• Tuer les femmes, une histoire mondiale.
    Les couilles sur la table 74.
    https://www.youtube.com/watch?v=0eq4raE722k


    https://www.youtube.com/watch?v=JcwmGXs2zNs

    #fémicide - Mot inventé dans les années 1970 par les féministes de la seconde vague qui sert à nommé un crime qui n’existe pas car il est confondu avec les homicides. Le fémicide désigne un assassinat de femmes par un partenaire masculin. Ce concepts reste utilisé pendant 20 ans.

    #féminicide - Au Mexique, à Ciudad Juares les féministes montrent que les femmes n’ont pas été tuées par leur conjoint, donc le mot « féminicide » est formé pour apporté une nuance. La majorité des corps ont été supplicié, violés, mutilés, démembrés, on parle de « surmeurtre ». C’est Marcela Lagarde de los Ríos qui forge le mot en 2006 pour désigné une crime colléctif, car de très nombreux hommes sont impliqués, c’est un crime d’état car il a participé avec les cartels, il y a une tendance gynocidaire/génocidaire dans ces crimes qui cherche à détruir tout ce qui fait des femmes une groupe et un univers.

    #continuum_féminicidaire - Après #me_too on se rend compte qu’on ne peu pas parlé uniquement des partenaires intimes comme destructeurs de femmes, les agresseurs sont polymorphes car des femmes sont tuées par des membres de leur famille. En élargissant le concepts on arrive au « continum fémicidaire » car il s’agit d’un agrégat de violences que les femmes ont elles même du mal à perçevoir. (Ici je pense que les scandales sanitaires qui touchent systématiquement les femmes font partie de se continuum)

    #misogynie #masculinité #haine #terrorisme #domestication #crime_de_propriétaire #domination_masculine

    • Féminicides
      Une histoire mondiale
      Christelle Taraud
      Dans tous les pays du monde, à toutes les époques, des femmes ont été tuées parce qu’elles étaient des femmes.
      L’historienne Christelle Taraud réunit dans ce livre les meilleures spécialistes mondiales de la question, des œuvres d’artistes et d’écrivaines, des témoignages et des archives… pour comprendre le continuum de violences qui s’exerce contre les femmes depuis la préhistoire.
      Un ouvrage essentiel et inédit, autant scientifique que politique.

      Avec les contributions de Gita Aravamudan, Claudine Cohen, Silvia Federici, Rosa-Linda Fregoso, Elisa von Joeden-Forgey, Dalenda Larguèche, Patrizia Romito, Rita Laura Segato, Aminata Dramane Traoré et plus d’une centaine d’autres autrices et auteurs.

      https://www.editionsladecouverte.fr/feminicides-9782348057915

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      Dans tous les pays du monde, à toutes les époques, des femmes ont été tuées parce qu’elles étaient des femmes.
      L’historienne Christelle Taraud réunit dans ce livre évènement les meilleures spécialistes mondiales de la question, des œuvres d’artistes et d’écrivaines, des témoignages et des archives… pour comprendre le continuum de violences qui s’exerce contre les femmes depuis la préhistoire. Un ouvrage essentiel et inédit, autant scientifique que politique.

      Introductions
      Une histoire mondiale des féminicides : pour quoi faire ? Par Christelle Taraud
      Quand les femmes sont tuées en raison de leur genre : le regard d’une féministe tunisienne, par Dalenda Larguèche
      Et avant l’histoire ? Introduction par Claudine Cohen
      Partie I. Chasse aux « sorcières », introduction par Silvia Federici
      Partie II. Esclavage et colonisation comme féminicide, introduction par Christelle Taraud
      Partie III. Meurtres de femmes et féminicides de masse, introduction par Rosa-Linda Fregoso
      Partie IV. Masculinismes et féminicides, introduction par Patrizia Romito
      Partie V. Féminicides et génocides, introduction par Elisa von Joeden-Forgey
      Partie VI. Normes de beauté, mutilations corporelles et annihilations identitaires, introduction par Christelle Taraud
      Partie VII. Tuer les filles, les domestiquer et les marchandiser, introduction par Gita Aravamudan
      Conclusions
      La guerre contre les femmes : un manifeste en quatre thèmes, par Rita Laura Segato
      En finir avec les féminicides par une sororité renforcée, par Aminata Dramane Traoré
      Les autrices et les auteurs

      https://www.santementale.fr/2022/09/feminicides-une-histoire-mondiale

  • Féminicide : comment la mort d’un retraité a révélé un crime impuni (et la facilité d’exécuter une femme en toute quiétude)
    https://podcasts.leparisien.fr/le-parisien-code-source/202210191616-feminicide-comment-la-mort-dun-retraite-revele-un-c

    Lorsque Michel Hamilière meurt l’an dernier, le 8 juillet 2021, chez lui à Socx près de Dunkerque, son décès ne fait pas les gros titres de journaux. Le cœur de ce comptable à la retraite s’est arrêté, au terme de 70 années d’une vie en apparence tout à fait banale.

    Guère apprécié de ses voisins, Michel sortait très peu de chez lui. Le Ch’ti n’avait pas de famille proche, et son épouse Jocelyne avait quitté le domicile depuis 2 ans, disait-il, après avoir découvert qu’il menait une double vie.

    Mais lorsque le neveu de Michel découvre au domicile de son oncle les papiers d’identité et le téléphone portable de sa tante, les gendarmes se disent que le défunt emporte peut-être un terrible secret dans sa tombe.

    Cet épisode de Code source est raconté par deux journalistes du Parisien : Vincent Mongaillard de Vincent Gautronneau.

    #podcast #féminicide #impunité

  • Levothyrox : le laboratoire Merck annonce sa mise en examen pour « tromperie aggravée »
    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/levothyrox-le-laboratoire-merck-annonce-sa-mise-en-examen-pour-tromperie-aggrav%C3%A9e/ar-AA137pXa
    https://img-s-msn-com.akamaized.net/tenant/amp/entityid/AA137UsY.img?w=750&h=515&m=4&q=99

    « La juge d’instruction a décidé de mettre la société Merck en examen pour tromperie aggravée », a annoncé la filiale française du laboratoire pharmaceutique allemand Merck dans l’affaire du changement de formule du médicament Levothyrox qui avait causé d’importants effets secondaires.

    La filiale française du laboratoire pharmaceutique allemand Merck a annoncé mercredi sa propre mise en examen pour « tromperie aggravée » dans le dossier du changement de formule du médicament Levothyrox. Plusieurs milliers d’utilisateurs du Levothyrox avaient souffert d’effets secondaires à la suite d’un changement de formule de ce médicament.

    « Le président de Merck en France a été entendu » mardi à Marseille, explique le groupe dans un communiqué, audition à l’issue de laquelle « la juge d’instruction a décidé de mettre la société Merck en examen pour tromperie aggravée ».

    La mise en examen est liée aux « modalités d’information mises en place au moment de la transition de l’ancienne à la nouvelle formule en 2017 », pour ce médicament prescrit contre l’hypothyroïdie, précise l’entreprise.

    La nouvelle composition du médicament, modifiant certains de ses excipients afin d’apporter davantage de stabilité au produit, a été incriminée, entre mars 2017 et avril 2018, par quelque 31 000 patients souffrant notamment de maux de tête, insomnies, ou de vertiges.

    Une enquête pénale pour tromperie aggravée, homicide et blessures involontaires a été ouverte en 2018.

  • FEMINICIDES : un Bataclan et demi par an

    INTERVIEW DE SANDRINE BOUCHAIT par Francine Sporenda

    Sandrine Bouchait dont la sœur, Ghylaine, a été brûlée vive par son compagnon parce qu’elle voulait le quitter, vient de publier un livre aux éditions l’Archipel « Elle le quitte, il la tue ». Elle a fondé l’Union nationale des familles de féminicides https://www.unff.fr

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2022/10/18/feminicides-un-bataclan-et-demi-par-an

    #féminisme #féminicide

  • La Nuit du 12

    À la #police_judiciaire, chaque enquêteur tombe un jour ou l’autre sur un crime qu’il n’arrive pas à résoudre et qui le hante. Pour Yohan, c’est l’assassinat de Clara, brûlée vive une nuit alors qu’elle revenait d’une fête entre amies.

    Les interrogatoires se succèdent, les suspects ne manquent pas, et les doutes de Yohan ne cessent de grandir. Une seule chose est certaine, le crime a eu lieu la nuit du 12.

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    La nuit du 12 octobre 2016, les inspecteurs de la PJ de Grenoble fêtent le départ à la retraite de leur chef. C’est Yohan Vivès qui reprend son poste. Cette même nuit, à Saint-Jean-de-Maurienne, Clara Royer, 21 ans, quitte la maison dans laquelle elle participait à une soirée entre amies, pour rentrer chez elle. Sur le chemin, elle envoie une vidéo à Stéphanie, sa meilleure amie. Juste après, elle rencontre un homme qui l’asperge d’essence et lui met le feu.

    C’est la PJ de Grenoble, et non la gendarmerie de Saint-Jean-de-Maurienne, qui se voit confier l’enquête. Après avoir identifié la victime et prévenu ses proches, ils font, avec l’aide de Stéphanie, la liste des hommes que fréquentait la victime et commencent à les interroger. Yohan et son collègue Marceau sont particulièrement choqués par la mort affreuse de Clara Royer, ainsi que par son jeune âge. Marceau fait remarquer que ce sont presque toujours des femmes que l’on tue ainsi, en les brûlant vives.

    Aucun des interrogatoires avec les différents « ex » de Clara ne permet de trouver le coupable, même si l’un d’eux a écrit après leur rupture une chanson rap dans laquelle il menace Clara de la « cramer ». Il jure qu’il serait incapable de passer à l’acte. Les inspecteurs de la PJ reçoivent, dans un courrier anonyme, un briquet. L’auteur de l’envoi s’avère être un marginal qui connaissait Clara, mais il n’y a aucune preuve qu’il ait commis le crime.

    Lors d’une rencontre avec Yohan, Stéphanie s’énerve à cause de ses questions répétées sur les relations masculines de Clara. Elle a le sentiment que Clara, de victime, devient coupable, coupable d’être une fille « pas compliquée », pour ne pas dire « facile », qui aurait joué avec le feu en multipliant les liaisons. Elle estime que Clara a été tuée parce qu’elle était une fille, qu’elle a été victime de féminicide.

    Sur le lieu de la mort de Clara, des proches et des anonymes ont déposé divers objets pour témoigner de leur émotion à la suite de ce meurtre. Le père de Clara y trouve un tee-shirt avec une tache de sang, ce qu’il trouve suspect, et il fait parvenir l’objet aux inspecteurs. Le sang s’avère appartenir à un homme condamné pour violences conjugales, qui avait aussi eu une liaison avec Clara, mais que les inspecteurs ne parviennent pas à confondre. L’écoute de son téléphone montre par contre qu’il est violent avec sa compagne, qui refuse de le dénoncer. Marceau, révulsé, se rend chez lui et commence à le frapper. Yohan arrive pour le maîtriser, et à la suite de cet incident, Marceau est muté.

    Près de trois années plus tard, une juge d’instruction (Anouk Grinberg) souhaite relancer l’enquête. Yohan lui avoue son découragement : même si aucun n’a pu être confondu, il a le sentiment que tous les hommes qu’il a interrogés étaient capables de commettre ce crime, et que, plus largement, ce qui est en cause, c’est « quelque chose qui cloche entre les hommes et les femmes ». Lui et la juge décident de mettre à profit le troisième anniversaire de la mort de Clara, pour faire une planque sur le lieu du crime, et pour dissimuler une caméra près de la tombe, dans l’espoir que le coupable se trahira. L’équipe, jusqu’alors très masculine, a intégré une jeune inspectrice, Nadia.

    La planque ne donne rien, mais la caméra près de la tombe dévoile une scène étrange. Un homme inconnu se rend sur la tombe de Clara pendant la nuit, se met torse nu, s’allonge sur la tombe, puis se relève et profère de mystérieuses paroles. Une sourde ayant la pratique de la lecture labiale leur permet de savoir que l’inconnu chante une chanson en anglais. Nadia parvient à l’identifier, il s’agit d’un déséquilibré ayant un solide alibi, car il était interné en hôpital psychiatrique au moment du crime.

    Le meurtre de Clara restera non élucidé.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Nuit_du_12

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    Fiction inspirée d’un fait réel, celui-ci ?

    Une jeune femme retrouvée à demi calcinée en Seine-et-Marne a été brûlée vive

    L’autopsie a révélé que la jeune femme de 21 ans, retrouvée sur un trottoir dans la nuit de lundi à mardi, a été brûlée vive dans une zone pavillonaire de Lagny-sur-Marne. La police judiciaire de Versailles enquête.

    L’autopsie de la jeune femme dont le corps a été retrouvé à demi calciné dans la nuit de lundi à mardi dans une zone pavillonnaire de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne), confirme que celle-ci a été brûlée vive, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. « Le décès a été provoqué par la combustion et par une asphyxie due aux gaz de combustion », a expliqué cette source, précisant qu’aucune trace d’autres lésions « qui pourraient correspondre à des violences » n’a été mise en évidence.

    A proximité de son domicile

    Le corps cette jeune femme de 21 ans, prénommée Maud, avait été retrouvé vers 3 h 30 mardi par une patrouille de police, à proximité de son domicile. Il était « brûlé assez profondément » sur la partie haute, selon la source judiciaire. « On ne connaît pas la nature du produit » qui a servi à la combustion, a assuré cette source, ajoutant que plusieurs prélèvements, notamment de sang, étaient en cours d’analyse. Selon Le Parisien.fr, Maud s’était rendue à une soirée donnée par un voisin, à laquelle son frère participait. « Elle a quitté les lieux en dernier, vers 2 h 30, sans manifester la moindre inquiétude » selon un proche.

    Une famille sans histoire

    Le téléphone de la jeune femme, ainsi qu’un briquet, ont été retrouvés à proximité du corps, a indiqué la source judiciaire. « La piste d’un suicide par immolation est exclue », aucun récipient ayant contenu du liquide inflammable n’ayant été retrouvé sur place, a par ailleurs affirmé une source proche de l’enquête. « La jeune femme n’avait pas de profil suicidaire » et elle était issue d’une famille a priori sans histoire, a expliqué cette source. Le trottoir sur lequel le corps a été retrouvé portait encore plusieurs traces noires de combustion mercredi après-midi. Quatre bouquets de roses blanches avaient été déposés au même endroit. Plusieurs voisins ont indiqué n’avoir « rien vu et rien entendu » la nuit des faits. « J’ai découvert ça mardi matin, parce qu’il y avait les policiers dans la rue », a notamment expliqué une habitante de cette zone pavillonnaire très calme. La PJ de Versailles est chargée de l’enquête.

    https://www.midilibre.fr/2013/05/16/une-jeune-femme-retrouvee-a-demi-calcinee-en-seine-et-marne-a-ete-brulee-v

    #film #crime #enquête_policière #féminicide #genre #Dominik_Moll #meurtre

  • La masculinisation des naissances. État des lieux et des connaissances
    Christophe Z. Guilmoto
    Dans Population 2015/2 (Vol. 70), pages 201 à 264

    https://www.cairn.info/revue-population-2015-2-page-201.htm

    Quand Amartya Sen lança il y a vingt-cinq ans son cri d’alarme sur les millions de femmes manquant dans le monde, c’était avant tout la surmortalité féminine qui expliquait ce relatif déficit et la prépondérance des hommes (Sen, 1990). La population du monde est devenue majoritairement masculine en 1955, principalement en raison des déséquilibres en Asie, et la part des hommes n’a cessé d’augmenter légèrement depuis. Mais depuis les années 1990, on a aussi observé un accroissement anormal de la proportion de naissances masculines dans plusieurs pays du monde. Les rapports de masculinité à la naissance (RMN) [1] y sont désormais supérieurs à 110 ou 115 garçons pour 100 filles (tableau 1), alors que la norme la plus courante est 105. La natalité est donc à son tour devenue un instrument de discrimination sexuelle : elle accentue la progression graduelle du poids démographique des hommes que les Nations unies ne voient pas s’inverser avant 2030, en dépit des progrès de la longévité féminine qui est largement supérieure à celle des hommes [2]
    [2]Selon les pronostics à long terme des Nations unies, le monde…
    .

    #femmes #misogynie #féminicide #sexisme

  • Femminicidi in Turchia: un film onora Bergen, la “donna del dolore”
    https://www.balcanicaucaso.org/aree/Turchia/Femminicidi-in-Turchia-un-film-onora-Bergen-la-donna-del-dolore-2179

    Mentre in Turchia il governo prende di mira le organizzazioni che cercano di prevenire il femminicidio, un film campione d’incassi su Bergen - cantante uccisa negli anni ’80 - sta costringendo il paese a confrontarsi con le violazioni passate e presenti dei diritti delle donne

  • Comment l’Espagne a fait baisser de 24% les #féminicides en moins de 20 ans | L’Humanité
    https://www.humanite.fr/monde/violences-faites-aux-femmes/comment-lespagne-fait-baisser-de-24-les-feminicides-en-moins-de-20

    Subordonnées à cette loi-cadre, les régions et communautés autonomes ont aussi créé des lois administratives régissant uniquement leur territoire. En décembre 2020, la féministe Laia Serra a rédigé la réforme de la loi catalane, qui a été approuvée à l’unanimité de son Parlement : « En 2018 déjà, la loi catalane considérait les femmes victimes, même si elles ne portaient pas plainte. En 2020, en accord avec la convention d’Istanbul, la loi catalane a essayé d’élargir le concept de violence dans le couple à toutes les violences faites aux femmes. Pour la première fois en Espagne, nous avons aussi pris en compte les violences numériques. Enfin, la loi pose la violence d’État, la violence institutionnelle, comme une des formes possibles de violence envers les femmes. Une première en Europe ! »

    Par leur rédaction, ces lois régionales essaient de faire évoluer la loi-cadre de 2004. Depuis l’été 2021, le gouvernement travaille sur un tout nouveau concept qui pourrait faire basculer le Code pénal : un projet de loi baptisé « Solo sí es sí » (seul un oui est un oui). L’idée est d’inverser la charge de la preuve. Il reviendra au présumé agresseur de prouver qu’il y a eu consentement s’il veut être acquitté. Et non plus à la victime de prouver qu’elle a refusé l’acte sexuel. Une révolution en droit regardée avec envie par toutes les féministes européennes.

    Mais le texte est encore très combattu au sein même du pouvoir judiciaire et par les partis de droite et d’extrême droite, notamment Vox, devenu la troisième force politique du pays. Le projet de loi veut aussi étendre le cadre des violences de genre aux situations de harcèlement de rue, au travail, aux prostituées, aux femmes trans. Et ne plus se cantonner aux violences conjugales.

  • #Féminicide à Rennes : la victime avait demandé le divorce
    https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/feminicide-a-rennes-la-victime-avait-demande-le-divorce-5faa2026-bc19-1
    La victime participait à un collectif contre les violences faites aux femmes dans le quartier de Villejean à Rennes. Son tueur a étranglé son ex-femme devant les deux fillettes du couple.
    https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/rennes-une-femme-de-45-ans-retrouvee-morte-etranglee-par-son-mari-1649776

  • Génocide des femmes et travail dans les maquiladoras au Mexique

    Le féminicide est le meurtre d’une femme parce qu’elle est une femme. Mais il existe un type de féminicide qui n’est pas aussi facile à reconnaître : le féminicide social ou caché, qui comprend des formes non explicites de meurtre de femmes et se produit lorsque leur mort est autorisée en raison d’attitudes ou d’institutions sociales misogynes.

    https://entreleslignesentrelesmots.blog/2022/03/11/genocide-des-femmes-et-travail-dans-les-maquiladoras-au

    #féminisme #féminicide #mexique

    • Un policier, connu pour des faits de violences conjugales, est activement recherché après la découverte du cadavre de sa petite amie dans leur logement à #Paris.

      –-

      Un policier tue une femme, est en fuite, les syndicats policiers sont invités partout, pas les féministes et celles qui lutent contre les violences conjugales, les syndicats policiers.

      Ils ramènent le sujet sur les souffrances de la police. Une honte et tant d’indécence.

      –-

      "On demande à ce qu’il se manifeste très rapidement. On va tous trouver une solution ensemble" J.-Christophe Couvy, sec. national du syndicat Unité SGP Police FO, au sujet du policier armé, recherché après la découverte du corps d’une femme hier soir à #Paris. (itw BFM)

      –-

      Un policier est « connu » pour violences conjugales et le ministère de l’Intérieur lui laisse son arme ?

      Ça doit être une erreur.
      Ce n’est pas possible.

      relevé sur cuicui

      #féminicide

    • on fait publiquement mine de négocier avec un criminel (d’autant que c’est un collègue) pour éviter tirs ou suicide - que c’est le plus gros problème de la police, et peut-être qu’ils se tuent plus qu’ils ne tuent - et ça permet d’occuper le terrain police ouin ouin ouin on est mal nos collègues se tuent, ce qui légitime le syndicat

      les chiffres sur les violences conjugales chez les flics sont astronomiques, pas loin du vote RN ou l’inverse, je sais plus

      #virilisme

  • Al #Parco_Grandi inaugurata la stele in memoria di #Nicole_Lelli, vittima di femminicidio

    Alla giovane uccisa dal marito a soli 23 anni è stata intitolato un monumento. I famigliari lo dedicano anche a tutte le donne vittime del femminicidio
    Al parco Achille Grandi al Collatino è stata inaugurata una stele. E’ dedicata a Nicole Lelli ed a tutte le vittime del femminicidio. Alla vigilia della Giornata mondiale contro la violenza sulle donne, il monumento acquisisce un significato particolare.

    Una battaglia culturale

    «Dopo che abbiamo elaborato il lutto – ha spiegato il papà di Nicole – ci siamo impegnati sul fronte culturale. Stiamo combattendo una battaglia per sensibilizzare i giovani sul rispetto di genere. E questo ’monumentino’ – per realizzare il quale è stato necessario ottenere molti permessi – si inserisce in questa battaglia» .
    L’omicidio di Nicole

    Nicole è stata uccisa a soli ventitre anni dall’uomo che aveva amato. Yoandris Medina Nunez, col quale si era sposata a Cuba, non aveva accettato la fine del loro rapporto. Per questo l’ha aspettata fuori un locale di Testaccio. L’ha invitata a salire sulla propria auto e poi le ha sparato. Per questo, tra le proteste ancora oggi reiterate dalla famiglia, non è stato condannato all’ergastolo, ma a vent’anni di reclusione.

    Una libertà pagata a caro prezzo

    «Siamo orgogliosi di aver donato a Roma questo monumento – ha dichiarato il papà di Nicole, durante l’inaugurazione, anche a nome del fratello della ragazza – e vorrei ricordare che le vittime dei femminicidi – per come sono state trattate – sono come le nuove streghe. Non vengono messe al rogo ma sono state assassinate perchè hanno rinvedicato la propria libertà di decidere se amare o meno un uomo. Per questo sono state uccise».

    La lettera della mamma

    Durante la cerimonia cui, insieme a tanti famigliari, hanno preso parte anche le istituzioni municipali, sono state lette le parole che la mamma ha dedicato a Nicole. Si è trattato di un momento particolarmente intenso. «Ti ho qui sempre e ovunque dove ci sia il colore del sole. Nei stessi sogni che facevamo insieme prima che diventassi mare, cielo e terra. Prima che diventassi oltre». Per questo «perchè nessuno dimentichi tutte le donne uccise» è stato realizzato questo monumento che «vivrà in eterno». Alla vigilia della Giornata internazionale contro la violenza sulle donne, dal Collatino arriva un messaggio chiaro. Grazie alle istituzioni ma soprattutto ai famigliari di una ragazza che, a soli 23 anni, ha smesso di vivere.

    https://www.romatoday.it/zone/pigneto/collatino/stele-nicole-lelli-parco-grandi-collatino-.html

    #Collatino #Rome #Italie
    #mémoire #monument #toponymie #toponymie_féministe #féminicide

  • Suspension du décompte des féminicides par @NousToutesOrg

    @NousToutesOrg sur l’oiseau bleu
    #NousToutes a décidé de suspendre le relai du décompte des féminicides conjugaux. Nous vous expliquons pourquoi
    https://twitter.com/NousToutesOrg/status/1478688944996982790?s=20

    Le 3 janvier 2022, des propos #transphobes ont été tenus par un collectif comptabilisant les #féminicides conjugaux. Ces propos sont oppressifs, et par ailleurs illégaux. Depuis, une vague de propos transphobes s’exprime librement sur les réseaux sociaux.

    Cette violence impacte directement la vie des personnes trans qui subissent la transphobie au quotidien. La lutte contre la transphobie fait partie intégrante du féminisme car elle découle d’une société patriarcale qui établit des normes et des hiérarchies de #genre.

    Par ailleurs nous rappelons que la transphobie n’est pas une opinion mais un délit puni par la loi.

    Depuis 2018, #NousToutes relaie le décompte des féminicides conjugaux effectué par ce collectif. C’est un travail d’ampleur, et le seul décompte rigoureux qui est effectué depuis des années.

    Cependant, nous considérons que nous ne pouvons pas nous appuyer sur un collectif qui affiche des positions contraires à nos valeurs.

    En conséquence, #NousToutes suspend son relai de ce décompte des #féminicides_conjugaux dans l’attente de trouver une autre manière de visibiliser l’ensemble des féminicides.

    etc...

    • J’imagine qu’il s’agit de ce collectif... La page Wikipédia ne mentionne pas encore que ce collectif est un repaire de TERF.

      Collectif Féminicides par compagnons ou ex — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Collectif_F%C3%A9minicides_par_compagnons_ou_ex

      Leurs chiffres sont repris par plusieurs personnalités et entités dont Caroline De Haas, représentante du collectif #NousToutes, l’Agence France-Presse pour son propre décompte de féminicides ou encore lors du Grenelle des violences conjugales organisé par le gouvernement français en 2019.

    • A aucun moment il n’est demandé que tou-te-s les trans soient comptabilisé-e-s, @mad_meg , il faudrait faire attention à ne pas dire des choses sans avoir pris connaissance de ce qui s’est passé. Depuis plusieurs années les femmes trans demandent à être comptabilisées dans les féminicides et cette requête me semble on ne peut plus légitime. Le texte de noustoutes fait suite à plusieurs réponses très limites et une réponse franchement transphobe d’un groupe très spécifique, « féminicides conjugaux », qui se refusait à intégrer les femmes trans dans les féminicides conjugaux, ce qui est très spécifique, trouvant toujours des arguments pour refuser, puis cette année, créer une comptabilisation à part.
      L’outil n’est en rien cassé. NousToutes ne relaie plus la communication de « féminicides conjugaux » mais toujours les féminicides en général, et des dizaines de personnes se sont proposées pour mettre en place un outil qui fera le même travail en intégrant les femmes trans cette fois-ci.
      Il y a aussi une demande pour que les travailleureuses du sexe qui meurent pendant leur travail soient comptabilisé-e-s dans les « mort-e-s du travail ».
      Tout ceci me semble parfaitement légitime.

    • L’accusation de « transphobie » fonctionne comme une imprécation religieuse qui ne repose ici que sur une autorité que s’arroge l’imprécateur. Quelle que soit sa logique, on comprend qu’il a intérêt à la dissimuler (comme à l’époque d’autres chasses aux sorcières), Mais on comprend que la violence de « suspendre » d’autorité un décompte des femmes assassinées par des hommes (sous prétexte que des hommes devraient y être inclus) est du même ordre que cette violence elle-même. Heureusement que d’autres sont moins facilement intimidé-es par les garde-chiourme du libéralisme.

    • Je me tais sur ce sujet de l’instrumentalisation TERF par principe. Aucune légitimé. Ni femme, ni trans. Mais la shitstorm, je vois qui l’a lancée, et je vois dans quelle direction elle part... Là, moi, j’ai juste envie d’être derrière les nanas qui se coltinent les pages des faits divers à la recherche des homicides conjugaux depuis si longtemps, sans la ramener particulièrement, et juste en faisant le job. Me demandez pas pourquoi, mais les menaces de mort et les insultes, j’ai ma petite idée sur celles qui vont en recevoir.

    • Est-ce que @/feminicidesfr va cesser de faire son travail, harassant et nécessaire, de décompte des féminicides par compagnon ou ex ? NON.
      Est-ce que @/NousToutesOrg va cesser de parler des violences conjugales ? NON.
      Est-ce que relayer régulièrement la communication d’une féministe « radicale » notoirement et explicitement transphobe est un probleme ? OUI.
      Est-ce que d’autres décomptes existent et vont exister pour affiner encore plus de nuances et inclusivités ? OUI.

      Ce fil explique ce qu’il en est sur le terrain : la plupart du temps, tout se passe extrêmement bien. Et c’est pas pour rien. https://twitter.com/oviked/status/1479041769463500806

      Avec les réactions et soutiens/condamnations, les quelques personnes/collectifs anti trans et cissexistes essaient de vous faire croire que leur position est majoritaire au sein des mouvements féministes français. La réalité est tout autre.
      Sur le terrain, la plupart de ces personnes, de ces orgas, sont absentes ou marginales dans le paysage féministe local. Elles tentent de jouer de leur image et de leur influence médiatique nationale pour faire peser la balance en leur faveur mais c’est un leurre.
      La réalité du terrain c’est que la majorité des orgas, des collectifs informels, des AG féministes...etc, accueillent des femmes trans et que, à part quelques accros, ça se passe généralement très bien.
      La majorité des orgas ont déjà pris position en faveur d’un féminisme non excluant et sont des alliés de fait, d’autres sont en passe de le faire et ne ferment pas la porte. Des personnes trans, et notamment des femmes, travaillent déjà dans ces orgas féministes au quotidien.
      Nous sommes déjà là pour travailler ensemble sur les stratégies de luttes et de soutien, sur l’organisation de rassemblements, de manifs, d’ateliers ...etc.
      À mes sœurs et adelphes, ne vous laissez pas berner par les discours excluants qui tentent de vous faire croire que le paysage féministe fr est anti trans. Poussez la porte des collectifs, des orgas, des AG de terrain et vous y trouverez des alliées et des camarades.

    • Tout à fait d’accord. J’ajouterais que l’entrisme de ces libfem dans les organisations féministes a clairement pour but de détourner et de diaboliser leur travail nécessaire pour contrer la violence masculine, principale arme anti-trans...

    • Est-ce que @/feminicidesfr va cesser de faire son travail, harassant et nécessaire, de décompte des féminicides par compagnon ou ex ? NON.

      Quoiqu’on pense de la question, leur travail a été publiquement décrédibilisé, le risque c’est que les médias mainstream ne cherchent pas bien loin et vont peut-être retenir que « ces chiffres font polémique », il se peut donc que ce travail ne soit plus relayé, ou alors de manière confidentielle.

    • Je suis suffisamment les combats et douleurs trans pour savoir quels comptes son fiables quand iels dénoncent une dérive transphobe. Le compte @/feminicidesfr (nom trompeur) avait déjà relayé plusieurs fois Margueritte Stern dont la haine des trans n’est absolument pas un secret.
      Aujourd’hui ce compte tombe définitivement le masque :

      Après la disparition du mot « femme » de leur documentation🤮🤮🤮, le #PlanningPatriarcal salue la décision de diffamer les femmes en luttes contre les violences machistes. La #honte ! Fuyons cette structure qui ne mérite pas ses subventions. 🤬🤬🤬

      https://twitter.com/feminicidesfr/status/1479090334005137410

      J’ajoute ce debunk ci-dessous puisque les mensonges s’accumulent mais j’ai la flemme de revenir sur chacun des vôtres. Je constate avec beaucoup de tristesse être seule à apporter des nuances et des faits. Je me sens de mons en moins safe sur seenthis et vous y contribuez largement. Sans parler du stress de recevoir les notifications d’un homme que j’ai bloqué. Je vais donc me taire. Vous avez gagné.

      Pas mal quand même leur intox transphobe, le Planning a fait « disparaître le mot femme »

      Je suis allée sur le site internet, j’ai même téléchargé des plaquettes de documentation pour vérifier.

      Le terme « femme » est toujours bien présent. On en doutait pas, l’extrême-droite ment.

      https://twitter.com/LeMondeDeK6/status/1479203347131514881

    • @val_k : je te présente mes excuses si mes propos t’ont blessé d’une quelconque façon, ce n’était aucunement mon but.

      Pour cette affaire de notifications de la part de personnes bloquées, ce n’est pas la première fois que le sujet sort, et je pense qu’il faut le résoudre une bonne fois @seenthis ; ça me semble même plus important que nos difficultés à poster des commentaires.

    • Je présume que c’est moi qui pose problème. Ca sera pas la première fois. Je vais prendre des vacances de seenthis sans supprimer mon compte car ca me ferait mal de détruir toutes ces années de documentation. Bonne continuation à toutes et à tous.

    • J’ai lu l’article censé argumenter contre le concept de « sociabilisation primaire » :
      https://lesguerilleres.wordpress.com/2021/08/10/socialisation-primaire

      Ce point est important puisque c’est au départ uniquement sur ce point précis, sur ce tweet évoquant la « sociabilisation primaire » des personnes qui les insultent, que le collectif est accusé de transphobie.

      Au passage, il est dit dès le début que ce sont des propos « illégaux », ce qui est totalement faux et sert à discréditer sans aucune argumentation. À aucun moment il n’y a de loi, de jugement légal, affirmant que « discuter de la sociabilisation primaire » et que celle-ci a souvent des conséquences sur le comportement des gens adultes, serait quelque chose « illégal ». Sérieux d’où ça sort cet argument ?

      Ce que j’ai compris de l’argumentation c’est ça : tweet parlant de sociabilisation primaire à propos des gens qui les harcèlent => sociabilisation primaire = transphobie => transphobie = illégal. Déso mais c’est « un peu » rapide et léger.

      se complaisent dans l’idée que le genre assigné à la naissance détermine comment une personne a grandi, et qui elle est vraiment au fond d’elle-même

      1) À aucun moment celleux qui parlent de ça ne disent que c’est le genre associé à la naissance qui détermine, mais que c’est la sociabilisation durant plusieurs années, qui a une influence sur la vie des gens dans l’immense majorité des cas. Et que les apprentissages et réflexes (confiance en soi ou pas par exemple) qu’on acquière bébé et enfant peuvent toujours changer mais sont souvent plus fort que ce qu’on apprend adulte.

      2) « au fond d’elle-même » = essentialisme bordel de merde. Ça n’existe pas, enfin en tout cas c’est le postulat de la critique du genre, que ça n’existe pas ce concept de « au fond de soi-même ». Concept flou qui ne veut rien dire, et alors quoi, c’est quoi ce « fond » ? Les gènes ? L’âme ? Ya pas ou peu de « fond » : il y a l’éducation, l’apprentissage, la publicité, les films, les romans, le martèlement, les parents, l’école, les ami⋅es que l’ont se fait, les rencontres amoureuses, les philosophes qu’on lit, toute la société quoi. Tout ça fait qu’on pense ci ou ça sur le monde et sur nous-mêmes.

      Il serait temps que l’on arrête de considérer que l’étiquette qu’on a mis sur le front d’un enfant à sa naissance permettra systématiquement de prédire comment vit ou a vécu une personne. En fait, c’est là tout le principe de la libération trans : que la destinée des personnes ne soit pas déterminée par une étiquette qu’elles n’ont pas choisie et à laquelle elles n’ont pas consenti.

      Il n’y a pas une seule et unique « socialisation primaire féminine », pas d’expérience « AFAB » ou « AMAB » universelle, et ça cause du tort à tout le monde de persister à croire que ce serait le cas.

      Et donc un rejet clair et net de toutes les études de genre sur le fait que les enfants vus comme femelles sont éduqués différemment des enfants vus comme mâles, et que cela à un impact énorme sur leur vie ensuite et sur la société entière.

      Par ailleurs c’est une argumentation par homme de paille, en faisant croire qu’en fasse ça dit qu’il y a une expérience « universelle », unique, parfaitement pareille partout. Ridicule. Il est évident qu’on n’éduque pas pareil les filles et garçons suivent les cultures, suivant les classes sociales, etc, putain mais qui a dit le contraire ? Cela n’empêche en rien de démontrer qu’il y a bien des points très communs sur des populations entières, sur comment on éduque les filles par exemple.

      Là encore il y a ce vieux débat éculé (et argument moisi) que « comme il aurait des exceptions, des gens qui ont un parcours de vie différent », alors ça invaliderait les études sociologiques sur la population entière.

      Même si d’aucuns à l’époque n’auraient dit de moi que j’étais un homme, ils l’ont inconsciemment remarqué et j’en ai été récompensé.

      Une bonne partie de la suite est la description du passé de la personne qui écrit, et qu’avant d’être homme trans, c’était une femme sûre d’elle et bonne oratrice. Et donc ? Comme elle avait « les caractéristiques d’un homme » alors en fait « c’était un homme » ? Bah non : ça prouve juste qu’on peut effectivement aussi être une femme ayant confiance en soi, sûre de soi, bonne oratrice, avec de la répartie. En quoi ça argumente quoi que ce soit sur le fait que « au fond », c’était un homme ?

      Peut-on dire qu’un gosse qui s’est fait frapper parce qu’il est trop efféminé ne peut pas comprendre ce qu’est la violence liée au genre ? La vie entière de ces gamins tourne autour de la violence de genre ! En réalité, ils ont subi un type de violence particulièrement pernicieuse et documentée par les statistiques : la transmisogynie.

      Bé non, ça c’est de son point de vue où tous les gosses non dans la normes sont par défaut des trans en devenir. Quand on est « critique du genre », on peut parfaitement dire autrement :ils ont subi le patriarcat, le masculinisme et les assignations de genre ! Bordel là encore, un petit garçon peut parfaitement être un petit garçon, et plus tard un homme, un humain mâle ET avoir le droit de jouer à la poupée et aimer se maquiller ! Ça n’en fait pas obligatoirement « une (trans)femme » ou « future (trans)femme », et donc ce qu’il subit de la transmisogynie.

      La fin du texte est très bien, sur les différentes cultures, mais du coup je ne vois pas le rapport dans l’argumentation justement.

    • En même temps, pas de commentaire, pas de notification :p

      @b_b
      Et quand c’est complètement impossible de poster un message qui soit visible publiquement et non pas uniquement quand on est connectés ?
      Désolé hors-sujet mais ça me frustre.

    • je crois que @khalyp parle de la visibilité générale de ses messages.

      Exactement, j’ai constaté par trois fois (du coup je ne publie plus...) que les messages (je ne parle pas des commentaires) que je publie s’ils me sont effectivement visibles quand je suis connecté, ne sont plus du tout visible quand je suis déconnecté. J’ai même créé un autre compte pour vérifier ça.

      Vraiment désolé pour le hors sujet, surtout compte-tenu de la valeur du sujet en cours, je n’en rajouterais pas plus.

    • Personnellement, le transactivisme, j’ai l’impression d’en entendre parler que lorsque des femmes menstruées se font silencier. Je comprends de la forme du débat qu’il n’y a pas d’appel ni de débat possible. La seule possibilité semble être la reddition totale ou la fuite (la fuite a été choisie, faute de reddition). Cette forme me semble toxique.

  • Violences conjugales : plus de 1 100 suicides forcés dans l’Union européenne en 2017 – Libération
    https://www.liberation.fr/societe/droits-des-femmes/violences-conjugales-plus-de-1-100-suicides-forces-dans-lunion-europeenne

    Elles font partie des oubliées, des invisibles : 1 136 #femmes se sont donné la mort en 2017 dans l’Union européenne à cause de #violences_psychologiques répétées de leur conjoint ou ex, selon les conclusions d’un rapport du Projet européen sur les #suicides_forcés, remis en novembre à la Commission européenne. En France, ce sont 209 femmes qui ont été poussées au #suicide. « C’est donc près d’une femme victime par jour que font les violences au sein du couple en France en 2017, et non une tous les trois jours, comme il est rapporté habituellement si l’on considère restrictivement les seuls #féminicides », appuie le rapport, dévoilé ce mardi par le Parisien.[...]

    Les auteurs du rapport ont « déterminé le pourcentage de tentatives de suicide attribuables aux violences au sein du couple » à « 11% ».

  • Féminicides, suicides… les ravages des fusils de chasse
    https://reporterre.net/Feminicides-suicides-les-ravages-des-fusils-de-chasse

    Une fois la sortie en forêt terminée, les armes des chasseurs ne perdent pas leur dangerosité. Ces hommes, en majorité, peuvent les utiliser pour tuer leur femme ou se suicider. Reporterre a épluché la presse pour dresser le bilan 2020 et 2021 de ces morts.

    Alors que les blessés et les morts se multiplient, de plus en plus de voix s’élèvent dans la société civile pour restreindre la chasse. Celle-ci s’invite même dans les débats de la présidentielle [1]. Mais qu’en est-il des ravages causés par les armes des chasseurs une fois le gibier ramené à la maison ? « À Martigues, près de Marseille, un homme a tué sa femme avec un fusil avant de se suicider. » « Landes : trois corps découverts dans une habitation, les victimes tuées par une arme de chasse » « Il n’y a eu ni cri ni pleurs, juste la détonation : il tue sa femme à la carabine à Suresnes. » La presse quotidienne régionale est remplie de ces faits dits « divers », sans que l’on en saisisse l’ampleur.

    #féminicides #suicides #armes_à_feu #chasse

  • Pour le pire

    En France, en 2019, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou leur ex-compagnon. Au travers de trois affaires, une mise en lumière glaçante des mécanismes du féminicide, symptôme d’un dysfonctionnement de la société.

    En France, 84 % des victimes des 173 homicides conjugaux commis en 2019 étaient des femmes. Mais quelle réalité se cache derrière ces chiffres effrayants, que les collectifs féministes contribuent à rendre visibles ? Qui sont ces femmes dont on ne connaît souvent que le prénom, l’âge et les circonstances du décès ? Sindy, 34 ans et enceinte, a été abattue en septembre 2017 sur le quai de la gare de Noyon, avec deux de ses enfants, par son conjoint policier, à qui elle venait d’annoncer sa décision de le quitter. À Corbas, en juillet 2017, les gendarmes ont découvert dans leur appartement les corps en état de décomposition avancée de Michèle, 44 ans, et de sa fille de 18 ans, poignardées par Laurent, le père de famille, chômeur alcoolique qui menait une double vie. La même année, à Toulon, Dorothée a succombé aux coups de couteau portés par son mari au cours du déjeuner de Noël, malgré la tentative d’interposition de leurs enfants.

    Défaillances
    Pour tenter de saisir la mécanique des féminicides, qui surviennent souvent au moment d’une rupture, Aurélia Braud s’est plongée dans des affaires datant de 2017, qu’elle reconstitue au travers des témoignages d’amis et voisins des trois couples, de gendarmes, d’avocats, d’un journaliste ou d’une responsable associative. Alors que 40 % des femmes tuées par leur conjoint ont subi des violences physiques ou psychologiques avant le drame, dans la majorité des cas, l’entourage et la société tout entière n’ont pas su ou pu déceler les signaux d’alerte. Une immersion glaçante dans la violence de ces drames à huis clos, symptômes d’un dysfonctionnement de la société, dont les enfants constituent les victimes collatérales invisibles.

    https://www.arte.tv/fr/videos/090005-000-A/pour-le-pire
    #film #film_documentaire #documentaire

    #féminicide #féminicides #femmes #violences_conjugales #violences_domestiques #France #stéréotypes_de_genre #impunité #rapports_de_domination #domination #discrétion #silence #peur #terrorisme_intra-familial #terrorisme_infra-familial #emprise #isolement #empathie #éducation #déconstruction_du_passage_à_l'acte

  • Cette critique de la #fait-diversification des médias date de septembre 1906. La rubrique « chiens écrasés » ou les titres putaclics ne datent pas d’hier.
    Il y a tout dans cette Une de « l’#assiette_au_beurre » :
    – la place des #médias dans le colportage de l’#insécurité
    – le #voyeurisme de la foule
    – la satisfaction bien baveuse de la maréchaussée
    Darma-nain apprécierait !
    (trouvé dans « quand le crayon attaque »- Images satiriques et opinion publique en France 1814-1918 - Éditions autrement)

    • La « fait-diversification » c’est aussi beaucoup de violences systémiques, ce sont les violences faites la plus part du temps par les hommes aux femmes et aux enfants qu’on dépolitise alors qu’il s’agit de faits de société. Ce sont aussi souvent des faits de voisinages car les hommes violents s’en prennent aussi souvent à leur voisinage et aussi aux animaux. Le fait que les hommes des classes populaires méprisent les faits divers sert le maintiens dans l’invisibilité de leurs privilèges et domination sur la famille et les femmes de leur quartier.
      C’est aussi souvent utilisé comme outil de controle sociale des femmes. On l’a vu recement avec le retour des injonctions faites aux joggeuses de ne plus courir seules la nuit sous couvert d’un fait divers sans aucune mise en perspective par les journalistes.
      cf https://www.crepegeorgette.com/2021/11/11/le-gendarme-la-coureuse-et-les-bonnes-ames

    • Hello @mad_meg :

      les hommes des classes populaires méprisent les faits divers

      J’ai une impression inverse en matière de classe sociale. Je serai curieux de lire des études :
      – Sur la lecture des faits divers par classe et par genre
      – Sur le mépris des faits divers par classe et par genre (nuance qui doit être plus dur à trouver).

      Tu as des billes là-dessus ?

    • Pour les lectures par genre je te renvoie au tag #féminicide ou #violences_parentales et #violences_conjugales on peu aussi y ajouter les violences sexuelles dans le couple et dans la famille qui ont été politisés par les féministes.
      Ces violences concernent toutes les classes sociales ce qui fait que ca concerne aussi les classes populaires et pour le mépris pour les faits divers le poste auquel je réagit qui souligne l’ancienneté de la problématique et son aspect negatif (chiens écrasés, voyeurisme, colportage d’insecurité...) qui remonte au moins jusqu’à l’assiette au beurre. Peut etre que tu es un bourgeois et que l’assiette au beurre etait un canard bourgeois mais je peu me trompé. J’ai vu souvent un mépris pour les faits divers et je pense que la catégorie « faits divers » est problématique car elle cache la plus part du temps de la violence conjugale et parentale la plus part du temps venant des hommes. Les hommes de toutes les classes ont interets à cette « fait diversification » car elle rend invisible le carracère systémique. Rien que le fait de parler de « chiens écrasés » montre que ces faits concernent des personnes à peine humaines (femmes, enfants, personnes racisées, catégories pauvres de la populations, personnes neuroatypiques...)

    • J’aurais du dire « les dominants méprisent les faits divers » plutot que « les hommes des classes populaires », car c’est une dépolitisation qui leur est profitable à tous. Si j’ai précisé les hommes des classes populaires c’est à cause des critiques et des sources que tu fournis. Il y a aussi une critique élitiste des faits divers, qui consiste à trouvé que s’interessé à ces faits est vulgaire et qu’il n’y a pas de temps à perdre avec les « chiens écrasés ».

  • #Féminicide : Ils défilent après la mort d’une mère enceinte
    Une femme enceinte de 30 ans a perdu la vie en Pologne, victime de la nouvelle loi sur l’avortement. Samedi, de nombreuses personnes ont manifesté dans tout le pays.

    Des dizaines de milliers des personnes ont manifesté samedi dans toute la Pologne choquées par la mort d’une femme enceinte, victime, selon les ONG de défense des droits des femmes, de la législation en vigueur depuis le début de l’année, interdisant pratiquement tout avortement. Izabela, âgée de 30 ans et dont la grossesse avait commencé 22 semaines plus tôt, s’est éteinte fin septembre dans un hôpital à Pszczyna en Silésie (sud). « Les médecins ont attendu la mort du fœtus. Le fœtus est mort, la patiente est morte. Choc septique », a écrit Jolanta Budzowska, l’avocate de la famille, dans un tweet. Selon elle, Izabela est la première à avoir perdu la vie en conséquence de la décision du Tribunal constitutionnel d’octobre 2020, entrée en vigueur fin janvier.

    Avortement proscrit
    Le Tribunal, soutenu par le gouvernement nationaliste de Droit et Justice (PiS), a alors proscrit l’interruption volontaire de grossesse en cas de malformation grave du fœtus, ce qui a abouti à l’interdiction de toute IVG, sauf en cas de viol ou d’inceste ou lorsque la vie de la mère est en danger.

    « Pas une de plus ! » ont scandé les milliers de manifestants à Varsovie qui se sont réunis devant le siège du Tribunal avant de se rendre devant le ministère de la Santé. « Je suis ici pour que la vie d’aucune femme ne soit plus en danger. L’actuelle législation tue les femmes », a déclaré à l’AFP Ewa Pietrzyk, une Varsovienne d’une quarantaine d’années portant une photo d’Izabela.

    Des manifestations semblables se sont déroulées dans environ soixante-dix autres villes polonaises. Selon une déclaration de sa famille, les médecins de l’hôpital de Pszczyna « ont adopté une attitude attentiste », ce qu’Izabela a interprété comme une volonté de ces derniers de ne pas avoir à procéder à un avortement. Toute personne, y compris les médecins aidant à pratiquer une IVG, est passible d’une peine de prison de trois ans.

    « L’enfant pèse 485 grammes. Pour l’instant, grâce à la loi sur l’avortement, je dois rester couchée. Et il n’y a rien qu’ils puissent faire. Ils attendront qu’il meure ou jusqu’à ce que quelque chose commence et, sinon, je peux, génial, m’attendre à une septicémie », a écrit Izabela à sa mère dans un de ses sms rendus publics. « Ma fièvre monte. J’espère que je n’aurai pas de septicémie, sinon je ne m’en sortirai pas », a-t-elle encore écrit. « C’est l’horreur, ma vie est en danger. Et je dois attendre ».

    Mère d’une fille de 9 ans
    Mariée depuis dix ans, Izabela avait une fille de neuf ans. Selon les nationalistes au pouvoir, la mort de cette jeune femme n’est pas due à la décision du tribunal. Deux médecins de l’hôpital de Pszczyna ont été suspendus de leurs fonctions après sa mort et le parquet local a ouvert une enquête. Selon les organisations de défense des droits des femmes, plusieurs milliers de Polonaises ont demandé leur aide dans le but de procéder à un avortement, principalement à l’étranger.

    #Pologne pays membre de l’#union_européenne #avortement #religion #femmes #ivg #contraception #santé #droits_des_femmes #pologne #catholicisme #misogynie

    • Curieux que ce féminicide avec préméditation n’ai pas déjà été signalé.

      Pour ce qui est de l’attitudes des médecins, il est possible qu’ils aient été paralysés par des poursuites judiciaires.
      L’église catholique est implacable dans la violence.
      Exemple : Retransmettre une messe à la télévision, présidée par un violeur d’enfants, condamné.
      A vomir.

  • « Papa est en train de tuer maman ! » : l’appel au secours d’un petit garçon de 5 ans
    https://www.aufeminin.com/enfant/son-pere-frappe-sa-mere-ce-petit-garcon-de-5-ans-sonne-l-alerte-s4027854.

    Cette dernière se précipite alors chez ses voisins, dont le pavillon est mitoyen. Elle y découvre la mère de famille. « Elle était debout à la porte, elle avait du sang partout sur son visage, comme dans le film Carrie », décrit-elle. Ses autres enfants, deux petites filles âgées de 2 et 4 ans se tiennent derrière elle, apeurées.
    Coups de couteau et de marteau

    Par miracle, la jeune femme est encore consciente, malgré des blessures très sérieuses. Elle est mise à l’abri chez sa voisine, avec ses filles et son fils, en attendant l’arrivée des secours.

    Prise en charge au centre hospitalier d’Orléans, la mère de famille a reçu de multiples coups de marteau à la tête et sur les mains, ainsi que des coups de couteau qui lui ont occasionné de profondes estafilades. Plusieurs dizaines de points de suture sont nécessaires. Elle souffre également de diverses fractures, mais ses jours ne sont pas en danger.

    Son compagnon, qui avait quitté les lieux après l’agression, a été interpellé peu de temps après par les forces de police. Il semble que son petit garçon ait tenté de le mordre pour le faire lâcher prise, il s’était rendu chez les pompiers pour se faire soigner.

    #féminicide #violences_masculines #patriarcat et grosse merde.

  • The macho state: coercion, patriarchy and resistance

    When police officers themselves are responsible for so many cases of gender-based violence and when so many cases are never addressed by the judicial system, what does that say about both the institution of the police, the state and their coercive apparatus?

    https://longreads.tni.org/stateofpower/the-macho-state-coercion-patriarchy-and-resistance

    #machisme #partiarcat #résistance #violences_sexuelles #justice #impunité #insitutions #police #coercition #féminicide #féminicides #femmes #viols #culture_du_viol #violence #invisibilisation #genre #Etat #omission #violence_institutionnelle

    ping @_kg_

    • To paraphrase Paulo Freire, it seems to varying degrees that we are coming to the realisation of our condition of oppression. The moment is ripe to also realise that “nobody liberates themselves all alone. People liberate themselves in fellowship with each other.” Invoking the appeals of abolitionists who see not only the need but also the potential for the world to transform itself, it is time to forge ties of solidarity, communities of care, but above all communities of understanding, to come closer to the one another and find our own humanity in this otherness. This we owe to ourselves, to those who came before, but above all to those who will come after.

      ajouté ici —> https://seenthis.net/recherche?recherche=%23metalist+%23gender

  • Féminicide présumé dans la Somme : la justice rouvre l’enquête sur la mort de la première épouse du suspect - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/faits-divers/feminicide-presume-dans-la-somme-la-justice-rouvre-lenquete-sur-la-mort-d

    Deux femmes sont décédées à quatre ans d’intervalle dans la même maison en présence d’un même homme. La seconde a subi des coups, probablement à l’origine de sa mort, dimanche dernier, la première serait morte des suites d’une chute dans l’escalier. Le parquet d’Amiens relance les investigations.
    La procureure de la République d’Amiens a ordonné une enquête pour déterminer la responsabilité du suspect dans le décès - alors classé comme un accident - de sa première épouse il y a quatre ans.

    Après le décès de Laurena Domart, 33 ans, survenu le dimanche 8 août à son domicile de Longpré-les-Corps-Saints (Somme), et la mise en examen de son compagnon, Serge B., pour « homicide volontaire sur conjoint », la justice s’intéresse désormais au sort de l’ex-épouse de cet homme de 44 ans. Cette femme, Maryline D., avec laquelle il a eu deux enfants, est décédée en octobre 2017 à l’intérieur du même domicile de Longpré-les-Corps-Saints.

    Selon nos informations, la vice-procureure de la République d’Amiens, Anne-Laure Sandretto, a décidé ce vendredi de rouvrir une enquête pour recherche des causes de la mort. À l’époque, l’enquête avait conclu à l’origine accidentelle du décès « sans intervention d’un tiers ». Selon les explications fournies alors par son mari, la mère de famille aurait fait une chute dans l’escalier en pleine nuit puis serait remontée se coucher avant de subir un malaise et de succomber. Serge avait juste eu le temps d’appeler les secours, qui n’avaient pu que constater le décès de Maryline à leur arrivée. L’homme n’avait à l’époque aucun antécédent judiciaire et n’était pas connu pour des faits de violence conjugale.
    Il évoque les ravages de l’alcool

    Aucun élément matériel ne permet d’établir pour le moment de lien précis entre les décès de Maryline et de Laurena, survenus à quatre ans d’intervalle au sein d’une même maison et en présence d’un même homme. Mais les derniers événements poussent forcément la justice à rouvrir ce dossier. Au cours de sa garde à vue en début de semaine, Serge B. a reconnu avoir porté des coups sur Laurena mais aurait contesté toute intention homicide. Le corps de la victime présentait de multiples traces de coups au visage et à l’abdomen.

    Les faits se seraient déroulés le dimanche 8 août à l’aube. Fortement alcoolisé, l’homme se serait ensuite endormi auprès de sa compagne et n’aurait constaté son décès qu’à son réveil, une dizaine d’heures plus tard. En revanche, il n’aurait pas été interrogé sur le décès de son épouse en 2017.

    Les nouvelles investigations sont confiées aux gendarmes de la section de recherches d’Amiens. L’exhumation de la mère de famille est envisagée dans les prochaines semaines.

  • #féminicide #suicide #personnes_agées

    Tarn-et-Garonne. Deux octogénaires morts par balles, découverts dans leur garage par un livreur | Actu Toulouse
    https://actu.fr/occitanie/vaissac_82184/tarn-et-garonne-deux-octogenaires-morts-par-balles-decouverts-dans-leur-garage-

    D’après nos informations, les deux victimes étaient grièvement malades et aucune trace de violences n’a été retrouvée ni sur l’un, ni sur l’autre.

    Selon le substitut du Procureur de Montauban, Emmanuel Ferrand, les enquêteurs privilégient la piste d’un « suicide concerté ». L’homme, un ancien commissaire de police à la retraite, pourrait avoir tué sa femme, avant de retourner l’arme contre lui.