• « طهران » : آخر حيل اسرائيل « في حربها الناعمة » على ايران
    https://al-akhbar.com/Media_Tv/291913

    Tiens ! Encore un habile feuilleton de propagande israélienne !

    https://fr.timesofisrael.com/la-nouvelle-serie-israelienne-teheran-sera-diffusee-sur-apple-tv
    Apple TV+ a acheté les droits de « Téhéran », une série israélienne se déroulant dans la capitale iranienne, co-créé par Moshe Zonder, un scénariste de la série à succès de Netflix « Fauda ».

    La vente, qui se serait élevée à plusieurs millions de dollars, a été négociée par Cineflix Rights et Paperplane Productions, ainsi que par les producteurs de la série, Dana Eden et Shula Spiegel. Dana Eden, co-créatrice de la série, et Shula Spiegel ont déclaré qu’Apple avait déjà commandé trois saisons.

    « Téhéran » se concentre sur l’histoire de Tamar Rabinayan, incarnée par l’actrice israélienne Niv Sultan, une jeune hackeuse douée travaillant pour une unité de renseignement israélienne. Elle est appelée à rejoindre le Mossad et envoyée en mission périlleuse en Iran, où elle reçoit l’ordre de pirater un réacteur nucléaire.

    Lorsque sa mission ambitieuse échoue, Tamar Rabinayan est coincée sur la terre de son enfance, où elle découvre ses racines locales et se lie d’amitié avec les militants pro-démocratie locaux.

    « ‘Téhéran’ vise à jeter une nouvelle lumière sur le conflit israélo-iranien et à engager des luttes universelles autour de l’immigration, de l’identité et du patriotisme pour examiner s’il est possible de se libérer de ces contraintes », avait expliqué Moshe Zonder à Deadline l’année dernière.

    #israël #iran #feuilletons_poison

  • Les incroyables aventures de Dan Cuchot au pays du confinement
    http://dancuchot.toile-libre.org

    Trois semaines.

    Ils avaient passé trois semaines claquemurés dans leur petite mai- son de Kergall, à Plestin-les-Grèves.

    Tout ce temps-là, Daniel Cuchot était resté prostré devant l’écran de son téléviseur plasma. Il jouait encore régulièrement à Fallout 76 ou à Resident Evil 3, mais il passait à présent le plus clair de ses journées à surfer sur les chaînes d’informations en continu, afin de se tenir au courant des dernières actualités.

    Ce n’était pas un problème pour lui de rester dans sa chambre. Il la quittait rarement, même en temps normal, sauf pour les repas – ou quand Manman lui demandait de sortir pour donner du ménage. Celle- ci du reste ne sortait pas souvent non plus, sinon pour faire les courses au Supéru et aller une fois par mois chez le coiffeur, seule folie qu’elle s’autorisait. Sans ça, c’était bien simple, elle avait toujours quelque chose à faire à la maison.

    Au début, Daniel avait suivi la progression de l’épidémie distraitement. Il faut dire que, là où il se trouvait, il ne se sentait pas spécialement menacé par le Covidus. Mais depuis que le confinement avait été décrété sur tout le territoire français, il avait observé une série de phénomènes extrêmement inquiétants, qui l’avaient peu à peu sorti de ses occupations habituelles – consistant principalement à regarder des sé- ries et des blockbusters américains, et à arpenter les univers virtuels des jeux multijoueurs.

    Bien sûr il y avait tous ces malades qui se bousculaient dans des hô- pitaux déjà surchargés, et il savait que, comme dans Contagion ou Je suis une légende, le Covidus n’avait pas fini de laisser des morts derrière lui. Mais d’après lui il y avait plus grave – beaucoup plus grave.

    Trois semaines.

    Trois semaines pendant lesquelles il avait passé en revue tous les bulletins d’alerte, tous les flashs spéciaux, tous les bandeaux d’info qui défilaient à l’écran vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sans compter internet et les fils d’actualité des réseaux sociaux – et personne, absolument personne n’avait parlé des mutants.

    Pour un jik de son âge (il allait bientôt fêter ses quarante ans), c’était pourtant une évidence. Qui disait nouveau virus disait nécessairement mutants – pas un seul réalisateur de série Z n’aurait osé le contredire sur ce point. Et pourtant aucune journaliste, aucun reporter, aucune envoyée spéciale n’avait osé évoquer ce fait devant les caméras. Daniel n’avait pas spécialement une meilleure vue que les autres, même il était myope comme un ver de vase ; mais il suffisait de regarder les images pour les voir. Ils paradaient obscènement dans l’espace public, se jetant sauvagement à la gorge des piétons qui faisaient leur promenade du soir ou des travailleurs qui rentraient à la maison. Ils étaient sûrement déjà là quand le Covidus était arrivé en France, mais depuis le début du confinement, c’était bien simple, ils proliféraient – régnant désormais en maîtres sur tout le territoire.

    Pour cacher ce fait qui sautait aux yeux, les médias s’évertuaient à parler d’autre chose. Et quand ils étaient contraints de faire apparaître les envahisseurs à l’écran, ils évitaient scrupuleusement de parler de mutants ou de zombis, comme l’aurait commandé le bon sens. Au lieu de ça, ils les avaient baptisés les « Fordelords », pensant que personne n’y verrait que du feu. Et aussi incroyable que cela paraisse, ça avait marché. Daniel Cuchot n’en revenait pas. Ça avait putain de marché ! Ces derniers jours, il avait écumé les forums en ligne, les sites complotistes et les chaînes youtube consacrées à Didier Ragoût, et il avait fini par se rendre à l’évidence : à l’heure qu’il était, il semblait bien être le seul être humain à avoir pris conscience de la menace qui se tramait au-dehors.

    [épisode 1]
    (Où l’on découvre que derrière la terrible épidémie de Covidus
    se cache une réalité bien plus inquiétante encore.)

    [épisode 2]
    (De ce qu’il advint à notre valeureux justicier quand il entreprit
    de rejoindre la plage du Fond de la Baie.)

    [épisode 3]
    (Des péripéties aussi bien instructives que réjouissantes qui arrivèrent
    à notre trio entre Plestin-les-Grèves et la RN12.)

    [épisode 4]
    (Des mille et un pièges que nos trois héros déjouèrent sur la route de Marcillé-
    Robert et de la rencontre inespérée qu’ils firent en chemin.)

    (épisode 5 le 9 mai)

    Grand jeu-concours :
    Dessine ton Dan Cuchot et envoie-le à l’adresse ci-dessous.
    Les plus beaux dessins seront publiés sur ce site !
    contact : dancuchot @ riseup.net

    #confinement #récit #feuilleton

  • Pourquoi « Fauda » n’est pas une série réaliste
    https://theconversation.com/pourquoi-fauda-nest-pas-une-serie-realiste-129394

    Signalé sur le fil de Pierre Abi-Saab

    Fauda appuie une problématisation du conflit israélo-palestinien chère à la droite israélienne. L’accent mis sur le rôle joué par la religion musulmane renvoie la nature spécifiquement politique de l’engagement des personnages palestiniens au second plan. Les figures masculines palestiniennes sont présentées comme très obséquieuses vis-à-vis de l’Islam, ce qui renforce le rôle d’épouvantail de l’islamisation de la lutte palestinienne dans les Territoires.

    Dans la saison 2, le Fatah et le Hamas sont ringardisés au profit de l’État islamique, ce qui permet d’appuyer l’hypothèse du « pas de partenaire pour la paix » revendiquée par la droite et le centre israéliens. Cette thèse a été formulée par le Premier ministre travailliste Ehud Barak en octobre 2000 : en l’absence de dirigeant palestinien volontaire ou simplement capable de construire une paix, Israël ne pourrait pas négocier avec les Palestiniens. Le « deal du siècle » présenté par l’administration Trump entérine cette idée en écartant de la table des négociations les Palestiniens.

    Une telle lecture du conflit a pour corollaire la justification de l’emploi de la force armée : puisque les dirigeants palestiniens ne renoncent pas à l’utilisation de la violence, ils ne peuvent pas être des partenaires politiques crédibles, et les « éliminer » en utilisant la force armée ne poserait pas de problème politique quant à la reprise des négociations du processus de paix. Cette analyse est aujourd’hui discréditée par des observateurs politiques aussi bien que par des universitaires, qui y voient un prétexte pour soustraire Israël à ses obligations internationales en matière de respect du droit.
    Guerre des récits et outil d’influence

    La réponse des deux showrunners à ces critiques est ambiguë. Ces derniers arguent de leur licence fictionnelle sans craindre la contradiction avec leurs déclarations sur « l’honnêteté brutale » de leur série. Ils estiment « honorer le discours palestinien » tout en expliquant que : « Nous sommes Israéliens, nous écrivons une série israélienne, le discours est israélien, et je veux vraiment dire à tous les critiques qui nous demandent d’apporter des scénaristes palestiniens, vous savez, si les Palestiniens veulent écrire une série, qu’ils écrivent une série. »

    Une telle remarque ignore le fait cinéma palestinien rencontre de nombreux obstacles, notamment du fait que les permis de filmer en Cisjordanie soient délivrés par l’État d’Israël. Le film Five Broken Cameras décrit les difficultés rencontrées par les Palestiniens à filmer leur quotidien. Co-réalisé par le Palestinien Emad Burnat et l’Israélien Guy Davidi, il a pour sujet les manifestations à Bil’in, un village de Cisjordanie traversé par le mur de séparation. Au cours du tournage, cinq caméras ont été détruites par les soldats israéliens, ce qui témoigne des difficultés des Palestiniens à produire et décrire leur propre histoire. La droite israélienne cherche ainsi aujourd’hui à faire passer une loi à la Knesset visant à interdire aux Palestiniens de filmer des soldats – ce qui rend difficile la pratique documentaire.

    Cette asymétrie de la capacité à diffuser des récits sur sa propre expérience du conflit appuie les discours cherchant à éveiller les consciences sur l’appropriation culturelle. Les séries TV ont aujourd’hui un impact tel – un million de spectateurs en 48 heures pour le premier épisode de la troisième saison de Fauda – qu’il est nécessaire de développer un regard critique sur ces productions, a fortiori lorsqu’elles portent sur des sujets politiques.

    #feuilleton #palestine #netflix

  • USS Ford Munitions Elevators Miss Another Deadline in HII Setback - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2019-07-30/flawed-elevators-on-13-billion-carrier-miss-another-deadline


    The $13 Billion USS Gerald Ford Plagued by Problems

    • ‘Essentially, the ship can’t deploy,’ lawmaker Luria says
    • Weapons can’t be lifted to the deck of USS Gerald R. Ford

    Only two of 11 elevators needed to lift munitions to the deck of the U.S. Navy’s new $13 billion aircraft carrier have been fully installed, according to a Navy veteran who serves on a key House committee.

    I don’t see an end in sight right now” to getting all the elevators working on the USS Gerald R. Ford, the costliest warship ever, Democratic Representative Elaine Luria of Virginia said in an interview. The ship was supposed to be delivered with the Advanced Weapons Elevators, which are moved by magnets rather than cables, working in May 2017.

    It’s another setback for contractor Huntington Ingalls Industries Inc. — and for the Navy, which had said in December it planned to complete installation and testing of all 11 elevators before the Ford completed its post-delivery shakedown phase this month, with at least half certified for operation.

    Instead, the shakedown phase has been extended to October and the vessel won’t have all the elevators fully installed — much less functioning — by then, according to Luria, a 20-year Navy surface warfare officer whose served on two aircraft carriers and as shore maintenance coordinator for a third.

    Essentially, the ship can’t deploy,” Luria said. “It can’t carry ammunition.” She said the Navy and Huntington Ingalls are trying to solve new problems with doors and hatches lining elevators shafts that don’t meet specifications.

    un autre #feuilleton sans fin
    (à noter le peu de créativité des épisodes successifs)

  • Benalla, une zone d’ombre dans les comptes de campagne de Macron
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/07/29/benalla-une-zone-d-ombre-dans-les-comptes-de-campagne-de-macron_5494526_3224


    pas de crédits, image invisible dans l’article

    le #feuilleton_Benalla

    Selon nos informations, des versements à des membres du service d’ordre du candidat à la présidentielle auraient échappé au contrôle de la CNCCFP. Des anciens du SO interrogés par « Le Monde » évoquent d’autres bizarreries dans la gestion des notes de frais.

    Le 10 décembre 2016, Emmanuel Macron réussit sa démonstration de force. Le candidat à l’élection présidentielle réunit, selon son équipe, 15 000 personnes porte de Versailles, à Paris. Ce succès est aussi celui d’Alexandre Benalla, tout juste nommé directeur de la sûreté et de la sécurité d’En Marche !

    A l’époque, c’est un inconnu de 25 ans. Aujourd’hui, difficile de le rater sur les images du meeting. Il ouvre le chemin à Emmanuel Macron, bousculant parfois les militants et les photographes. Sur ces clichés, on peut aussi identifier de futurs piliers du SO, le service d’ordre. Comme Kamel « Gladiateur », Jamel « Judoka » ou « Tino », un professionnel basé sur la Côte d’Azur et venu spécialement à Paris. Selon les informations du Monde, la petite société parisienne Tego Sécurité a aussi fourni une dizaine d’hommes.

    La présence de ces professionnels n’a pourtant pas laissé d’autre trace. Dans les documents remis à la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), les dépenses pour la sécurité du meeting se limitent aux 16 500 euros versés à VIP Sécurité, un gros acteur du secteur. Selon ses factures, cette société a fourni une quarantaine d’agents chargés du contrôle des accès du public ou de la sécurité incendie, loin du candidat lui-même.

    Des membres du SO présents ce jour-là assurent au Monde qu’ils n’étaient pas bénévoles. « J’ai été payé plus tard au QG de campagne, de la main à la main par Benalla, 120 euros en liquide », raconte l’un d’eux, affirmant avoir aussi assisté à une distribution de billets « pour dix gars », après un meeting à Lyon, début février. Ce garde du corps expérimenté a demandé à rester anonyme : « La sécurité est un petit milieu. » Il a enchaîné les meetings et les déplacements de décembre 2016 à mai 2017, mais la plus ancienne fiche de paie qu’il peut nous présenter date de février, deux mois après son arrivée au SO.

    Il n’est pas le seul à raconter avoir vu circuler des billets au QG de campagne, pour rémunérer des missions ou rembourser des notes de frais. Si les sommes concernées sont difficiles à évaluer, de tels versements seraient par nature restés intraçables et auraient échappé au contrôle de la CNCCFP, chargée de valider l’ensemble des dépenses de campagne.

    Joint par Le Monde, Alexandre Benalla a démenti que des rémunérations aient pu être versées en liquide au sein du service d’ordre. Il a assuré que ces questions n’étaient pas de son ressort, renvoyant aux responsables financiers de la campagne et du parti.

    #si_Benalla_le_dit
    #paywall, mais c’est pas grave ;-)

    • Le Monde est reparti en campagne, … ou il a décidé de lancer une nouvelle série d’été.
      Après le précédent à 6h30, celui ci à 10h.

      Dans le téléphone « perdu » de Benalla : « Tous des cons Alexandre sois zen et fort »
      https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/07/29/dans-le-telephone-perdu-de-benalla-tous-des-cons-alexandre-sois-zen-et-fort_

      L’ex-chargé de mission disait l’avoir égaré... les enquêteurs ont retrouvé plusieurs messages échangés avec l’Elysée, tous supprimés.

      « Monsieur le Président, hier après-midi j’ai été invité par la Préfecture de Police à observer de l’intérieur la manifestation du 1er-Mai, j’ai donc été équipé d’un casque et intégré à une équipe de policiers en civil et accompagné par un major de police. En fin d’après-midi nous nous sommes retrouvés place de la Contrescarpe, où la situation a plus que dégénéré, je ne me suis alors pas cantonné à mon rôle d’observateur (…) La scène assez violente a été filmée et même si on ne m’identifie pas très nettement je suis reconnaissable. Cette vidéo tourne actuellement sur les réseaux sociaux. Alexandre. »

      Ce message, Alexandre Benalla dit l’avoir adressé via Telegram à Emmanuel Macron dans la nuit du 1er au 2 mai 2018, soit quelques heures après l’épisode de la Contrescarpe. Le jeune chargé de mission l’a ensuite transféré, peu après 9 heures du matin, à Alexis Kohler. Discrètement entendu par l’Inspection générale de la police (IGPN), les 17 et 18 avril 2019 (Patrick Strzoda l’a été en mars), le secrétaire général de l’Elysée a montré aux enquêteurs le numéro de téléphone expéditeur du message. Il s’agit du « 06 » de M. Benalla, mais pas n’importe lequel : celui correspondant à son fameux portable « personnel » – un appareil resté à ce jour introuvable.

      « Je l’ai perdu (…). Je ne l’ai plus (…). Je ne souhaite pas donner d’éléments sur ce téléphone », répétait M. Benalla lors de sa première garde à vue, le 21 juillet 2018. Il s’était présenté aux policiers de la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) avec son seul téléphone professionnel. (…) Les données de son autre portable, le personnel, auraient été conservées « sur une clé USB », ajoutait-il le 5 octobre 2018, mais « il faut que je la trouve (…) dans mes affaires qui sont en Normandie ». Lors d’un nouvel interrogatoire, le 19 février 2019, l’ex-adjoint au chef de cabinet de l’Elysée expliquait que la clé « s’était perdue dans [ses] déménagements successifs ». Il remettait pourtant aux enquêteurs la copie imprimée du message transféré le 2 mai à M. Kohler.

      Aidés par le témoignage de ce dernier et les réquisitions adressées par les juges à l’opérateur téléphonique, les enquêteurs ont retrouvé la trace du téléphone. Et découvert que le 22 juillet 2018, à l’issue de la première garde à vue de M. Benalla, le portable soi-disant « perdu » retrouve son activité et entre en correspondance à 22 h 01 avec le chef de cabinet de Brigitte Macron, Pierre-Olivier Costa. « L’assertion de M. Benalla, le 21 juillet 2018 : “Cet appareil, je l’ai perdu”, est fausse », concluent dès lors les enquêteurs.

      Ça commence fort. La suite derrière le #paywall

  • Quand « Mimi » Marchand, proche du couple Macron, hébergeait Alexandre Benalla
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/06/20/quand-la-photographe-du-couple-macron-hebergeait-alexandre-benalla_5478938_3


    image sortie de la pochette surprise -> pas de crédit

    « Mimi » va-t-elle à son tour être rattrapée par l’affaire Benalla ? Selon une enquête du magazine « Envoyé spécial » de France 2, qui devait être diffusée jeudi 20 juin, Michèle Marchand, patronne de l’agence photographique Bestimage, a hébergé Alexandre Benalla en juillet 2018, au plus fort du scandale, dans un appartement de l’Ouest parisien. Reine de la presse people, Mme Marchand est aussi la redoutable gardienne de l’image du couple Macron depuis l’été 2017.

    Chokri Wakrim, un militaire impliqué dans le contrat négocié par M. Benalla avec un oligarque russe, l’a confié aux journalistes d’« Envoyé spécial ». Selon lui, Mme Marchand aurait même mis à la disposition de l’ex-adjoint au chef de cabinet d’Emmanuel Macron un des « sous-marins » de Bestimage – une camionnette à vitres teintées permettant de « planquer » ou de se déplacer sans être repéré, dans le jargon de paparazzi comme de policier. « On utilisait une camionnette de la société Bestimage (…) qui sert d’habitude à spoter [photographier] les gens », explique ce témoin.

    Interrogée à deux reprises par l’équipe d’« Envoyé spécial », Michèle Marchand a seulement reconnu avoir « peut-être prêté [sa] voiture deux ou trois fois fin juillet », mais jamais accueilli Alexandre Benalla, « même pas pour prendre l’apéritif ». Ce dernier vient pourtant de confirmer le 15 juin le témoignage de Chokri Wakrim : « Chez “Mimi”, je suis resté une semaine facile. Elle m’a aussi proposé de l’argent mais j’ai refusé. » Et M. Benalla d’ajouter : « Franchement, je vois pas pourquoi elle assume pas. C’est elle qui m’a proposé de m’aider, moi je ne lui ai rien demandé ! »

    #paywall, mais le contenu ne devrait pas tarder à apparaître un peu partout,…

    suite du #feuilleton_Benalla

  • Quand la politique saoudienne fait irruption dans une série de ramadan - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1116511/quand-la-politique-saoudienne-fait-irruption-dans-une-serie-de-ramada

    La politique saoudienne a fait irruption dans une série télévisée égyptienne avant sa diffusion au Moyen-Orient pendant le ramadan, en obtenant de la production le remplacement d’un acteur jugé controversé.

    La série Ard el-nefaq (La terre de l’hypocrisie), sous la pression du groupe audiovisuel public saoudien Saudi Broadcasting Corporation (SBC), a été contrainte d’éliminer de plusieurs scènes un personnage joué par le célèbre présentateur égyptien Ibrahim Eissa. Critique notoire de l’islam politique dans ses émissions, M. Eissa avait accusé l’Arabie saoudite d’utiliser l’argent du pétrole pour favoriser les idées extrémistes et terroristes.

    Résultat : des scènes ont été coupées et refaites sans Ibrahim Eissa « avec l’accord du producteur », a dit le directeur de SBC Dawood Shirian. Présent dans la bande annonce initiale, M. Eissa n’est plus visible dans la dernière version. Selon la presse égyptienne, qui cite le producteur, Gamel el-Adl, il y a deux versions de la série. Le producteur n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP. Son groupe el-Adl avait annoncé sur sa page Facebook que Ard el-nefaq serait diffusé sur une dizaine de chaînes arabes et de sites internet à l’occasion du ramadan qui vient de commencer.

    #feuilletons #ramadan

  • أول مسلسل رقمي من إخراج أمين درة : الدراما السورية تنهض « بدون قيد » ! | الأخبار
    http://www.al-akhbar.com/node/288827

    Une mini-série syrienne intitulée "Sans lien" (Bidoun qayd, je ne trouve pas de meilleure traduction) et qui a la bonne idée d’être sous-titrée en français. A comparer avec "le bureau des légendes" !!! Ci-dessous la promo (bien faite)

    https://www.youtube.com/watch?v=3C0av5Xk6Ng

    #syrie #feuilleton

  • Les dix jours qui ébranlèrent le monde, de John Reed.
    10 épisodes diffusés dans les Fictions de France Culture


    https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-le-feuilleton/dix-jours-qui-ebranlerent-le-monde-de-john-reed-110-un-fils-de-la-revo

    Ayant lu avec un grand Intérêt et une attention profonde le livre de John Reed « Dix jours qui ébranlèrent le monde » je le recommande du fond du cœur aux ouvriers de tous les pays. Je voudrais que ce livre fût répandu par millions d’exemplaires et traduit dans toutes les langues, car il donne un exposé vivant et véridique des événements qu’il importe de connaître pour comprendre ce que sont la révolution prolétarienne et la dictature du prolétariat.
    N. Lénine
    (Préface à la nouvelle édition, numéro 16 de l’Internationale Communiste de Moscou)

    #journalisme #révolution_russe #John_Reed #Russie #bolchévisme #feuilleton #récit #fiction

  • points noirs sur fond rouge / 5
    par Dimitris Alexakis

    C’est une voix ; juste une voix, dans le noir, qui te raconte des histoires.
    C’est une violence personnelle.
    C’est une violence d’hommes. Une violence d’hommes de main, payés par la société sous-traitante ; et la société sous-traitante est payée par l’État.
    C’est une violence bienveillante : la voix demande des nouvelles de l’enfant, t’engage à être responsable ; à toi, à toi de voir, à toi de décider.
    C’est une proposition. (…)

    #récit #fiction #feuilleton #surface #nettoyage #précariat #précarité #travail #violence #Grèce

    http://www.vacarme.org/article3075.html

  • Partager, par Hervé Brunon
    http://www.vacarme.org/article3014.html

    La question des #communs a pris une singulière actualité depuis une quarantaine d’années, et notamment le fameux article du sociobiologiste Garrett Hardin (« The Tragedy of the Commons », Science, 1968), objet d’une longue polémique. Nos utopies y trouvent un horizon pour repenser le vivre ensemble. Vacarme a souvent fait écho aux débats que suscite cette notion (voir par exemple « L’anti-recette des biens communs », Vacarme 56, été 2011), dont l’un des fondements imaginaires tient dans les droits d’usage que depuis le Moyen Âge, les populations villageoises avaient l’habitude d’utiliser sur les « communs » (en anglais commons) ou « terres communes » (common lands), pour la chasse, la pâture mais aussi, dans certains cas, les cultures vivrières. Or, cette question croise aussi celle des jardins dans leurs dimensions politiques et écologiques que cette chronique explore.

    Cahier / #Fronts, #Feuilletons, #Écologie, #Biens_communs, #Environnement, #Cultiver_notre_jardin, #Jardins

  • points noirs sur fond rouge / 2

    Choses que l’on fait pour vivre :
    s’avancer dans le noir en tenant son fils par la main
    traverser des rails
    vendre sa vie
    s’endetter
    vendre son temps à d’autres :
    le brouillard c’est quand les nuages sont gris jusqu’en bas sur la plaine
    le pays ce qu’on voit autour
    le temps est ce qu’on vend
    les arbres ce qu’on traverse :
    les uns ne vendent que ce qu’il n’ont pas, les autres n’achètent que ce qu’ils possèdent déjà.

    http://www.vacarme.org/article2990.html

    #récit #Grèce #émigrer #surface #nettoyage #Syntagma #crise #feuilleton

  • L’odyssée mexicaine

    Georges Lapierre

    http://lavoiedujaguar.net/L-odyssee-mexicaine

    L’essai de Georges Lapierre Vierge indienne et Christ noir, une « petite archéologie de la pensée mexicaine », paraît en feuilleton, deux fois par mois, sur « la voie du jaguar ».

    Quand les premiers franciscains ont débarqué au Mexique en 1524 pour entreprendre la conquête spirituelle du monde mésoaméricain, ils se sont confrontés à un système de pensée élaboré. Ils durent marquer leur différence, c’est-à-dire présenter la religion chrétienne dans ce qui la différencie des autres religions : le mystère de la Trinité. Au départ, les premiers missionnaires n’ont pas cherché à composer avec les croyances et les dieux des peuples du Mexique, ils étaient porteurs d’une religion chrétienne qu’ils voulaient pure de tout compromis. Ils devaient forcer le trait afin d’éviter toute confusion, s’arc-bouter sur le principe de base du christianisme : la transcendance de la pensée. Ils ont vite compris aussi qu’ils devaient changer la manière de vivre des peuples indiens s’ils voulaient changer leur croyance. (...)

    #Mexique #archéologie #religion #cosmovision #métamorphose #soulèvements #feuilleton

  • La vie secrète des dieux

    Georges Lapierre

    http://lavoiedujaguar.net/La-vie-secrete-des-dieux

    L’essai de Georges Lapierre Vierge indienne et Christ noir, une “petite archéologie de la pensée mexicaine”, paraît en feuilleton, deux fois par mois, sur “la voie du jaguar”.

    En 1995, à mon arrivée au Mexique, j’ai été surpris de la sensibilité religieuse (devons-nous dire spirituelle ?) à fleur de peau des Mexicains et de l’importance que revêt la Vierge de Guadalupe, qui, dit-on, tient lieu de sentiment national. Le Mexique semble être la terre de prédilection de la Vierge, du Christ et de tous ses saints. Les sanctuaires sont innombrables et, pour s’y rendre, les pèlerins sillonnent inlassablement le pays à pied, à vélo, en camion, ou en autocar. (...)

    #Mexique #archéologie #pensée #résistance #métamorphose #feuilleton

  • Le combat des dieux

    Georges Lapierre

    http://lavoiedujaguar.net/Le-combat-des-dieux

    « Les dieux anciens semblent ne pas vouloir abandonner la terre du Mexique pour le ciel de la transcendance malgré l’effort conjugué des premiers missionnaires franciscains en 1524 et des évangélistes aujourd’hui. Pour donner le change, ils ont dû, ces dieux, changer un peu d’apparence, modifier leur garde-robe, se déguiser, prendre l’aspect d’un saint chrétien, la figure de la Vierge ou du Christ : changer d’apparence, c’est assez facile pour un dieu, cela entre dans ses possibilités sinon dans ses attributions. Ainsi déguisés, ils ont pu passer inaperçus et rester dans un coin de leur ancien sanctuaire, ils ont évité d’être balayés grossièrement par le souffle de la tempête venue avec les conquistadores. »

    L’essai de Georges Lapierre Vierge indienne et Christ noir, une “petite archéologie de la pensée mexicaine”, paraît en feuilleton, deux fois par mois, sur “la voie du jaguar”.

    #Mexique #archéologie #pensée #résistance #vie_cachée_des_dieux #métamorphose #feuilleton

  • kopecks
    http://www.vacarme.org/article2923.html

    Les baricades misterieuses – Vu la télévision et presque pleuré. Je me souviens de tout. Vu les dents du monstre qui riait là-bas, à Tchernobyl. Vu les dents de l’air et les dents des nuages car air avait des dents, là-bas, nuage avait des dents ; et les dents du soleil. Je me souviens les gens sous la fenêtre, courir avec leurs dents et avec leurs visages, courir avec leurs yeux.

    Cahier / #Écritures, #les_baricades_misterieuses, #Feuilletons

  • Guerre et jeux de pouvoir dans les séries TV

    http://www.franceculture.fr/emissions/affaires-etrangeres/guerre-et-jeux-de-pouvoir-dans-les-series-tv

    De James Bond à Game of Thrones et Homeland, comment les scénaristes du grand et du petit écran traduisent-ils les enjeux des guerres (guerre froide/conflits armés, escalade nucléaire), la lutte contre le terrorisme, comment représentent-ils le monde ?

    #géopolitique #feuilletons #jeux_vidéos

  • https://vimeo.com/158846389

    voilà ce qui occupe tout mon temps et mon esprit ces temps-ci, rien d’étonnant à ce que ça occupe aussi la plupart de mes posts seenthis.
    L’enjeu théorique et social, important pour moi - que signifie exposer de la bande dessinée dans un espace, la sortir du livre ? - est sans doute anecdotique pour beaucoup d’entre vous, j’imagine...
    Quoiqu’il en soit, j’espère que l’expo apportera des réponses intéressantes à ces questions.

  • Un Libanais voulant sauver ses enfants décapité par l’EI - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/952391/un-libanais-voulant-sauver-ses-enfants-decapite-par-lei.html

    Pour sortir son fils Yehia, 18 ans, et sa fille des griffes de l’EI, M. Hussein, 50 ans, originaire du quartier de Mankoubine, à Tripoli, au Liban-nord, s’est rendu en Syrie où il a réussi à les retrouver. Mais lors de la rencontre entre le père et son fils, ce dernier s’est montré extrêmement virulent, accusant son père d’être un infidèle et un espion de l’État libanais.

    On n’est pas loin de la scène finale d’un feuilleton saoudien qui avait fait du bruit durant le dernier ramadan. http://cpa.hypotheses.org/5599

    #EI #feuilletons_arabes

  • des fantômes | ou la vie sauvage
    https://oulaviesauvage.wordpress.com/2015/07/27/des-fantomes
    https://secure.gravatar.com/blavatar/fbff544e751a012cf407fcbfd5e6a699?s=200&ts=1438004816

    Nous avons vécu longtemps dans la compagnie des fantômes et peut-être, par malheur pour nous, sommes-nous les seuls à pouvoir les décrire.

    Négocier avec les fantômes aura sans doute été l’erreur la plus funeste de notre histoire récente ; il nous aura fallu six mois pour comprendre que les fantômes ne négocient jamais mais attendent, plus immobiles et plus silencieux qu’un sphinx, que les enfants soient épuisés.

    Aujourd’hui, nous avons au moins la consolation de pouvoir parler et de dire qui ils sont : nous avons tout perdu.

    #Syriza #austérité #Europe #UE #Eurogroupe #Grèce #récession #dette #démocratie #mémorandum #négociations #fiction #spectres #fantômes

    • La disparue d’Egine – Mari-Mai Corbel, DIACRITIK
      http://diacritik.com/2016/01/31/la-disparue-degine/#more-7410

      Captain pleura de joie le soir du 25 janvier 2015. Nous sommes sortis, direction le siège de SYRIZA applaudir le brillant Tsipras qui allait nous sortir des griffes des croque-morts, ces dignitaires de l’Union Européenne et du FMI. Après, nous sommes allés là où Tsipras fit son discours, place de l’Université. C’était la ferveur, et, en même temps, c’était comme quand vous venez de provoquer un monstre horrible. On n’en croyait pas nos yeux et on retenait nos souffles. On était des milliers. Je crois qu’il faisait froid. Je me souviens qu’on se souriait tous, que l’air était plus léger, trop léger. Ça nous montait au cerveau. On n’y croyait pas et on y croyait. Je fus folle de joie de croiser là par hasard Nikos, venu de Paris voter. Après, tous les jours avec Captain, trois heures de #télé, à suivre le #feuilleton de ce qui, après l’accord du 4 février, devint les « négociations avec les institutions »(...)
      ... un photographe-reporter, m’a prédit que l’Union Européenne ferait de la Grèce un « parking à #réfugiés. Un gros délire. Comme par hasard, depuis quelques semaines, on ré-entend des petites phrases lancées depuis Bruxelles ou Berlin, comme quoi, on n’est plus obligé de tout faire pour garder la Grèce dans l’Eurozone. Pendant ce temps-là, Schäuble à Davos vient de traiter #Tsipras d’imbécile devant lui, en se tenant les côtes de rire. L’autre a encore une fois souri poliment ou stupidement. Je me tais. Captain aussi. Hier on a regardé Tsipras fêter sa « victoire » du 25 janvier dernier devant quelques milliers de gens dubitatifs. Captain aime encore un peu Tsipras. Captain n’arrive pas à en croire ses yeux. L’autre jour, il se plante devant moi, tout sourire, légèrement illuminé. Il vient de faire un rêve éveillé, me dit-il, et, dans ce rêve, Tsipras avait un plan secret. Il allait sauver le pays ; on n’avait pas encore tout vu de Tsipras. Tsipras, le #sauveur. Le déni de réalité, le rêve, sont des réactions de survie dans des situations insupportables. Autant laisser Captain rêver. Captain, ces temps derniers, tantôt voit dans Tsipras un futur Papandréou (le père, sorte de Jaurès, à ne pas confondre avec le fils qui signa le premier mémorandum), tantôt un nul doublé d’un arriviste. Ça dépend des jours. Et souvent il dit que ça ne l’intéresse plus, qu’il est juste curieux de voir la fin de l’histoire. Le dénouement du thriller. A un moment ou à un autre, on finira bien par savoir qui est Tsipras. Héros, ordure en cheville avec les intérêts des banquiers ou un nul roulé dans la farine par Schäuble and co ? On arrêtera de se torturer pour essayer de comprendre comment ce fut possible, qu’après le cri du #OXI du 5 juillet 2015, Tsipras ait pu céder à ce point qu’en fait maintenant, presque plus rien n’est possible, tant la politique est totalement discréditée, ici. Captain croit qu’on saura un jour ce qui s’est passé. Je penche pour on ne saura jamais. Je penche pour un gros blanc, un diabolique coup de chiffon. On est dans le blanc. On ne réalise pas ce qu’on nous a fait. On s’est fait baiser, ni plus ni moins. Captain ne peut pas réaliser. Il n’a toujours pas atterri. Ce qu’il y a de certain, c’est que Tsipras s’est coupé du pays. Au début, Tsipras venait encore à Egine. A Egine, il n’a pas de maison mais il était invité par un ami de son père, je crois, un petit tailleur, où il passait ses vacances, adolescent. En fait Egine est devenue dans les années 2010 un repère de #SYRIZA. Plusieurs figures de SYRIZA, des députés, des-qui-allaient-devenir-ministres, avaient des maisons à Egine ou de la famille. Ils venaient discuter là. Tsipras venait encore après sa victoire dans des tavernes et Captain était fou de joie car on y vendait ses vins. Tsipras buvait son vin. On savait ça immédiatement. Tsipras passait et les Egrinètes se passaient l’info. Il y avait aussi Varoufakis et d’autres. Le premier gouvernement Tsipras comportait huit ministres propriétaires d’une maison à Egine. Le magazine du golfe saronique que j’ai conservé avait titré son numéro de février 2015 « LE GOUVERNEMENT D’EGINE… ». Les trois petits points du titre, c’est parce qu’Egine fut pendant la révolution grecque des années 1820-1830 le siège du premier gouvernement indépendant de la Grèce indépendante. Egine, symbole historique dans l’indépendance de la Grèce. L’été, les ministres étaient vus aux terrasses des cafés. Puis, on ne les a plus vus. Mystère et boule de gomme. On n’y comprend rien. »

  • The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب : Typical Western media account about Arab Jews : TV serial The Jewish Quarter
    http://angryarab.blogspot.fr/2015/06/typical-western-media-account-about.html

    Angry Arab « allume » un article à propos d’un feuilleton égyptien de ramadan, le « quartier des juifs ». Il s’agit d’un classique machin de saison, avec dans le titre le mot « juif » histoire de titiller les médias. Ca ne rate pas ! Peu de public le suit, le feuilleton n’a rien de particulièrement excitant, mais les articles, en particulier dans les médias étrangers, tombent comme feuilles en automne...

    #égypte #feuilleton #quartier_des_juifs

  • هجوم على دراما « الخواسر » وقناة « دوزيم » المغربية بسبب تحقير اللغة العربية | القدس العربي Alquds Newspaper
    http://www.alquds.co.uk/?p=360668

    الخواسر

    Une grosse comédie de ramadan, pas vraiment très fine vraiment, fait parler d’elle au Maroc. On l’accuse notamment de maltraiter grossièrement l’immortelle langue arabe héritée du passé. Se moquant des feuilletons historiques avec leurs dialogues en arabe classique, elle propose un rare regard parodique des Arabes sur eux-mêmes. D’autant plus intéressant que nombre de miliciens de Daesh auraient pu jouer leur propre rôle d’Arabes d’opérette dans ce feuilleton.

    https://www.youtube.com/watch?v=RKk84djlZY4

    #feuilleton #maroc #ramadan