• ‘The journey inward’: How Westworld critiques the narrative guess work it inspired | National Post
    http://news.nationalpost.com/arts/television/the-journey-inward-how-westworld-critiques-the-narrative-guess-wo
    http://wpmedia.news.nationalpost.com/2016/12/ww4.jpg?quality=75&strip=all

    Among its many metafictional tricks, Westworld the show is built on loops as much as the park, casting us back to earlier moments we are only dimly aware of. (Actually, with the internet hive mind, our memory is somewhat more like the hosts now, able to live in every moment, through screen shoots and reddit essays, but at least in the first few minutes of a callback reveal things are hazy, I would hope.) In fictional terms, it’s an endlessly firing series of Chekov guns, clockwork mechanics being placed on tables, to be picked up and fired inevitably but hopefully surprisingly – and maybe even mysteriously, as its cascading reveals kept prodding bigger questions.

    #Westworld #Série #Fiction

  • We recut all 10 hours of ‘Westworld’ into a single, chronological timeline | The Outline
    https://theoutline.com/post/637/westworld-recut-into-single-timeline
    https://outline-prod.imgix.net/20161219-UQcqYVk8Fn7quTg6A4pC?auto=format&q=60&w=1000&s=f58b5132

    During the time we were recording the podcast, one of the editors here began a project in secret that would become something of a legend internally: a completely chronological re-edit of the whole show, based on the timeline which was eventually revealed in the final episodes. That’s right, a very troubled member of the staff (we’re getting him help) recut 10 hours of content into one continuous, rearranged masterpiece (we removed intros and credits for the sake of time). So we thought we’d share it with you — or at least, share a remotely digestible version. What you see below is the full cut, with the “normal” parts of Westworld sped up... because honestly who has another 10 hours of their lives to spare? Enjoy.

    #Westworld #Série #Fiction

  • Westworld – Humains, trop humains | Le Monde Des Séries
    http://seriestv.blog.lemonde.fr/2016/10/01/westworld-humains-trop-humains

    Série réflexive

    La série se veut aussi réflexive car dans l’imaginaire américain, le Wild West est avant tout un espace de conquête et d’émancipation. Celui où l’homme peut affirmer son statut et sa masculinité, celui où sa connaissance empirique des lieux et la maîtrise de son environnement lui offrent la liberté qu’il est venu chercher. Contre-pied intéressant, le parc est l’exact contraire de la mythologie du pionnier. Il est un espace en forme d’impasse duquel personne ne peut sortir.

    Pour nourrir les fantasmes et la progression dramatique, cet univers verrouillé doit (forcément) contenir un secret, une explication ou un graal qu’il convient de découvrir afin de reprendre la marche en avant de l’humanité. C’est ce que cherche l’homme en noir (Ed Harris) lancé dans une quête destructrice pour laquelle il est prêt à toutes les violences. Sur un plan plus mesuré, c’est aussi cette recherche qui anime William (au stetson blanc, restons dans les clichés) qui, après quelques moments d’hésitation et de rejet, va tenter de comprendre les tréfonds narratifs du parc.

    La mise en abyme pour le spectateur est impressionnante car il se trouve séparé de la narration par une distance équivalente à celle qui sépare les clients du parc des humanoïdes. L’interrogation porte alors sur la capacité à réduire cette distance et donc à éprouver une proximité pour les personnages, comme les clients éprouvent une attraction ou une répulsion pour les humanoïdes qu’ils croisent. L’attachement est moins évident que pour les cylons de Battlestar qui étaient sincèrement aimés par des personnages humains et plus difficiles à démasquer.

    La série porte en elle la transgression et la provocation, les deux piliers de la fidélité du spectateur, mais celles-ci sont peut-être trop clairement affichées, trop revendiquées. Westworld est sans doute trop consciente d’elle-même. Elle force la main du public et l’oblige à s’impliquer : une attention soutenue pour suivre des intrigues alambiquées, une curiosité intacte, un goût pour les jeux de l’esprit et une exploitation de notre attrait pour les spectacles mêlant la violence, la sexualité et la remise en cause des règles morales.

    Cela ne manque pas d’ambition, bien au contraire. La réalisation est somptueuse et le récit revendique une portée universelle voire intemporelle. La série entend présenter un tableau complet, passant alternativement du décor grandeur nature aux coulisses de la réalisation de ce spectacle unique. Le parallèle est tentant – et la série est à nouveau réflexive sur ce point – entre ce Westworld et l’industrie de l’entertainment américain. Entre l’écran et les studios.

    La question sous-jacente devient alors une interrogation sur ce que nous attendons des séries télé, sur la fonction qu’on souhaite qu’elles remplissent, sur la manière dont on souhaite qu’elles fonctionnent et sur ce que nous aimerions voir si nous avions les pouvoirs du Dr. Ford. Plus de sexe, plus de violence, plus de transgression de la morale ? Ou autre chose ?

    L’ébauche d’une réponse est peut-être que nous n’avons qu’en partie le choix, que nous sommes conditionnés par ce que nous regardons et que nous regardons ce pour quoi nous sommes conditionnés. Une sorte de boucle, en somme, de laquelle nous ne pouvons pas sortir. Nous sommes, nous aussi, dans une impasse et ce n’est pas le moindre des mérites de Westworld que celui de nous piéger, sans même essayer de nous faire croire le contraire.

    #Westworld #Série #Fiction

  • Westworld : Analyse, explications et théories de la série | Page 2 sur 5 | Oblikon.net
    https://oblikon.net/analyses/westworld-analyse-explications-et-theories-de-la-serie/2

    Les timelines

    Il aura fallu attendre les épisodes 9 et 10 pouvoir placer les événements dans le bon ordre avec certitude, mais voilà grosso modo dans quel ordre se sont déroulé les événements :

    35 à 40 ans avant le « présent » de la saison 1 : Dolores et Arnold

    Ford et Arnold créent les premiers androïdes dans le parc, encore fermé au public. Arnold, suite à diverses entretiens avec Dolores (ceux que l’ont voit en début de saison) pense que ceux-ci ont une conscience et que le parc ne doit pas être ouvert. Ford n’étant pas d’accord, Arnold exporte les données de Wyatt, un personnage meurtrier, en Dolores pour la pousser à tuer tous les autres hôtes et à le tuer lui-même. Arnold pense ainsi faire fermer le parc, mais il n’y parvient pas !

    30 ans avant le « présent » : Dolores et William

    Ford a quand même réussi à ouvrir le parc mais a besoin d’investisseurs pour continuer. Parmi ceux-ci, William et Logan représentent Delos et explorent le parc. William rencontre Dolores, tombe amoureux d’elle et sombre dans la violence. Arnold ne maîtrisait pas un facteur d’importance : William est tombé amoureux du parc et fera tout pour devenir actionnaire majoritaire et relancer le budget.

    Le présent : Dolores et l’homme en noir

    L’homme en noir mène sa quête vers la labyrinthe. Dolores, une fois de plus, fuit sa ferme et se dirige vers la village où elle a commis le massacre et découvrir le centre du labyrinthe. Maeve prend conscience de ce qu’est vraiment le monde de Westworld et tente de fuir. Ford a créé un androïde à l’effigie d’Arnold qu’il a nommé Bernard et qui est chef de la programmation du parc. Delos tente de pousser Ford vers la sortie. Ford prépare un nouveau scénario, qui est en fait le début de la révolte des androïdes, qui prend forme lors d’une soirée avec de nombreux invités humains.

    #Westworld #Série #Fiction

  • La raison d’être de Westworld | Sylvain Raymond
    http://quebec.huffingtonpost.ca/sylvain-raymond/serie-westworld-hbo_b_12759208.html

    Plusieurs critiques ont reproché à Westworld le manque de linéarité dans l’arc narratif de ses personnages, c’est-à-dire la capacité pour le spectateur de se raccrocher à un personnage, ou à un autre, afin de suivre l’évolution du récit. Par exemple, Westworld ressemble au film Blade Runner (1982) si Harrison Ford n’était qu’un simple personnage parmi tous les autres où le spectateur ne ferait que questionner incessamment chacune des réalités proposées : cela peut devenir lourd par rapport à la forme traditionnelle d’un récit.

    Par contre, c’est précisément l’objectif (le « purpose ») de Westworld.

    Certains spectateurs regarderont Westworld pour le divertissement typiquement HBO soit le sexe, la violence, l’esthétisme. À l’image de notre génération, HBO se spécialise dans la controverse qui repousse les barrières du puritanisme.

    Il en va de même pour les invités du parc d’attractions Westworld.

    Westworld, la série, propose une mise en abyme qui place le spectateur dans la peau des invités du parc d’attractions. Certains paieront le lourd prix d’abonnement mensuel de la chaîne HBO pour le divertissement facile, mais tel qu’on l’explique dans la série, plus on s’éloigne du village initial de Westworld, plus on s’égare dans les méandres du parc d’attractions, plus on y découvre différentes variantes plus fondamentales de l’expérience.

    On ne peut plus/pas écrire une série sans tenir compte de l’interaction avec son public qui ne cesse de réagir de plus en plus en direct.
    Au-delà des orgies, ce sont aux limites du parc d’attractions de Westworld qu’on retrouve le laboratoire qui orchestre l’environnement immersif : le studio de production Westworld.

    En effet, chacun des androïdes est programmé pour réagir selon les possibilités de sa trame narrative semblable à celle d’un acteur sur un plateau de tournage : des répliques sont inévitables, certains ad lib sont toujours possibles. La réponse à la libération/révolte des androïdes se trouve dans la pleine compréhension de leur environnement, soit l’articulation du studio de production pour un public qui vient s’y divertir.

    Ainsi, Westworld, la série, demande-t-elle ou s’attend-elle à ce que son public en fasse de même ?

    La multiplication des plateformes numériques ainsi que le défi des chaînes télévisées comme HBO à rentabiliser l’écoute programmée - face à l’alternative des plateformes de contenu comme Netflix qui préfèrent la mise en ligne complète d’une série et le « binge watching », une espèce de surconsommation de contenu sans relâche - font en sorte qu’on ne peut plus/pas écrire une série sans tenir compte de l’interaction avec son public qui ne cesse de réagir de plus en plus en direct.

    Westworld est donc (hyper) conscient que son public (se) questionnera. De l’instant où un épisode se termine jusqu’au dimanche où débute l’épisode suivant, le web est inondé de théories spéculatives sur ce qui se déroule dans la série Westworld. Tout comme les personnages qui s’attardent plus loin que la nudité et la violence, le public cherche à comprendre quelque chose de plus vrai.

    Pendant que d’autres séries se consomment en gavage, étape logique de notre existence occidentale qui carbure désormais à grands coups de séries sur la cuisine et la nourriture, comme si le dernier seuil de la découverte était littéralement notre propre nombril, Westworld propose une alternative qui permet la remise en question du divertissement consommé, de la manière dont il est produit par une maison de production qui industrialise le contenu pour ma situation de spectateur qui demande justement ce type de série à travers les boucles incessantes de notre routine programmée.

    Tel est l’objectif exceptionnel de Westworld, que la quête de sa raison d’être soit intrinsèquement la nôtre.
    L’interaction du public vis-à-vis Westworld - le parc d’amusements virtuel où des androïdes aux allures hyper-humaines se révolteront possiblement contre leur Créateur, ce narrateur-Dieu qui, comme c’était le cas dans True Detective, articule un récit habituellement à l’abri de ses sujets - force le spectateur à remettre en question sa responsabilité dans le sort réservé aux personnages qui souffrent pour le simple plaisir d’autocritique que nous nous accordons.

    Ainsi, les spectateurs qui décideront d’entreprendre ce parcours, à défaut de se contenter de la nudité et de la violence à outrance, découvriront potentiellement quelque chose de plus vrai sur eux-mêmes, grâce à l’expérience du divertissement, sur leur état dans un monde réel où tous nos besoins sont assouvis, sauf peut-être, la raison d’être.

    Il ne faut donc pas rechercher la linéarité narrative chez les personnages de Westworld, mais plutôt chez nous, dans notre construction ontologique de spectateur qui détermine la série que nous regardons et les raisons qui motivent notre appréciation (ou non) de cette situation.

    Tel est l’objectif exceptionnel de #Westworld, que la quête de sa raison d’être soit intrinsèquement la nôtre.

    #série #fiction

  • Narrative structure of Westworld - Bald Move
    http://forums.baldmove.com/discussion/2575/narrative-structure-of-westworld

    1) We have alternate narratives in #Westworld that are playing out in the same (probably) physical space: The narratives of hosts and the narratives of guests. 

    Hosts are robots that are programmed to perform a loop. We have seen evidence that the hosts’ loops can span a day, a week, or a longer period of time. We have seen that hosts reset and play out the same loop over and over (Delores waking up and greeting her father in the morning, Teddy riding the train). We see that events in the park can interrupt their loops and even change their course. The hosts are not supposed to be aware of their loops, and at the beginning of the show the main hosts we see do not seem to be aware of their loops or that they are on a loop. But their narrative timeline is not the same as a human lifespan. It’s this day, week, month or whatever loop. They were never babies. They will never get old and die of old age (unless someone writes that into their storyline). Even death doesn’t stop the loop. They die and their loop just starts over. 

    Guests are human and when they are in real life (not Westworld) they are just following a normal human timeline in terms of time and space.They were born as babies and will die at some point; maybe they will die of old age, maybe they will commit suicide, maybe they will have a bus accident, or maybe they will have a tumbleweed accident in Westworld, haha. When they are in the park, they actually do have their timelines somewhat interrupted because they are aware that they can jump in and out of these loops the hosts are on. But it’s not that they are on completely artificial timelines - The sun still rises and sets and conceivably they still have to go home someday. 

    So, point 1, the hosts and guests are already operating on different timelines although they are occupying the same space physically. Hosts have artificial engineered timelines that repeat on various length loops and guests have mainly human timelines that are somewhat disrupted by the nature of the park and the meta-awareness of narrative loops they can jump in and out of. And then we as viewers are presented with narrative challenges we don’t see in many shows, like characters dying and then appearing again in another scene as the same or a different character. And we see narratives playing out differently in different iterations because of the impact the wild cards, the guests, have on the park. So there’s some cognitive dissonance built into narrative timeline, but it’s not because the show is presenting two timelines in two different decades or something.

    2) The hosts’ perception is an engineered thing created by the employees of the park (or “someone” yet undetermined). Even though the show keeps teasing us that they might be becoming sentient, there is evidence in each case that shows someone is controlling them. For example, Abernathy seemed to go bananas and wanting to go after his creator (Ford) but it just turned out to be a garbled script. The guy who bashed himself with a rock, turns out had some kind of remote control device in him. Delores seems to be following some kind of independent path, but it turns out to be a voice in her head that could be Bernard, Arnold or someone else. The mystery of what’s going on with Maeve has not yet been solved, but we already know that Arnold purposely tried to create sentient hosts and what? Failed? Was stymied by Ford or someone else? The code is there. Every mystery in terms of their cognition or behavior so far has been explained by technology.

    The larger point I am making is that when we see robots as characters with POV, the POV we are seeing is engineered. Even if you think the robots are becoming “sentient” and they are having cognition that their creators didn’t intend, they aren’t human. They are technology gone awry in that case (or not, if it’s Arnold’s code or someone with Arnold’s views controlling them now). So if the POV is engineered, couldn’t the POV be manipulated? Or malfunctioning? We already know from when Abernathy saw the photo of the woman he found on the ground, that Delores said “it doesn’t look like anything” but we don’t know what she saw or what she’s engineered to see or what she’s engineered to react to. If someone’s controlling her actively they could easily manipulate her to see herself when she’s not there. If someone’s code went awry it could be that when we see things from her POV we are not seeing the whole of the scene in front of her.

    2-a - We know there are several characters who are park employees at different levels who like to tinker with things against their boss’s wishes, which is only normal and natural for people who are engineers of different stripes working in an isolated area with nothing to do with their free time and working on this unique technology.

    3) brings 1 and 2 together- The concept of memory was recently introduced into the hosts’ code and caused a bug. The park thinks it recalled the affected hosts and wiped the bad code, but anyone who knows anything about software knows that when you write some sophisticated code and cause a bug to happen, it sometimes happens that you don’t understand where the bug was and it can be harder than you might think to roll it back.

    So the concept of memory has already wreaked havoc on the park in terms of: The Milk Bandit who killed everyone who killed him in previous loops. Abernathy who appeared to go bonkers when he was just jumbling up his lines from an old script into his current storyline. Maeve remembering an old storyline with a lot of death and destruction on a ranch. The intent, as I understand it, was to only let them have a tiny emotional hint of these memories to spice up their emotional affect, but what happened was it was way too intense and so their emotional affect went bananas.

    We also see the hosts can be implanted with artificial memories, like when Ford implants Teddy with the memory that he was a soldier who served under Wyatt until Wyatt went nuts. The show presents this narrative as a flashback, but we know it’s not because we know Ford just recently implanted it in Teddy to spice up his narrative.

    Conclusion: Unique Narrative Structure, not Multiple Timelines

    So the stuff that happens with Delores (and other characters, but I am just going with Delores as an example) where she pops in and out of scenes with others, where she sees things that aren’t there a second later, sees copies of herself, and can do things she’s not programmed to do, could be a mashup of memories of former storylines, code that was written by Arnold, we know Bernard messes with her too, we don’t know what else has been done with her by other tinkerers on the staff, and we don’t know who might be manipulating her now or if she’s being manipulated by someone who is stealing the park’s data (like is she one of the ones with the device in her arm?). This, to me, is the central mystery of the show, that I’m waiting or not waiting to find out depending on how much I decide I care. But I think this unique narrative structure and multiple layers of “reality” that’s been sliced and diced in different ways has created this idea of “multiple timelines” that I think is sort of beside the point. There are obviously multiple timelines in terms of narrative and perception but they aren’t “different guys in different decades” IMO.

    #série #fiction

  • Modular narratives in ‘Westworld’ – CineNation – Medium
    https://medium.com/cinenation-show/modular-narratives-in-westworld-76c89dcda0a

    In a very real sense, Westworld demystifies what it even is to write stories, and specifically sprawling serialised television. In reducing the narratives of its world to if/thens, it becomes clear that the entire thing operates in much the same way. But crucial to those who want to learn these lessons on story from Westworld is its implicit acknowledgement that the author can only hope for so much “control” over the “thens”. Dolores was never meant to be able to fire a pistol. There is no “if” that has “Dolores kills” as the then according to the script written by Westworld’s narrative authors. And yet it happens. By metaphorical extension, any character has the power to surprise its creator and for those like myself looking to learn from Westworld, affording characters this freedom is one of the main ways to make a story feel more like a story and less like code.

    #série #fiction #Westworld

  • Westworld : A Delos Destination

    http://www.delosincorporated.com

    Le faux site des employés de la série

    THE DELOS SECURITY PANEL IS THE LARGELY AUTONOMOUS SOFTWARE RESPONSIBLE FOR MONITORING ACTIVITY BOTH IN THE PARK AND WITHIN THE WESTWORLD CORPORATE OFFICES.

    EFFICIENT AND COMPREHENSIVE, THE SECURITY PANEL FLAGS POTENTIALLY ANOMALOUS BEHAVIOR AND SENDS IT TO THE ATTENTION OF SURVEILLANCE TECHNICIANS IN THE CONTROL ROOM, ALLOCATING INFORMATION ON AN AS-NEEDED BASIS.

    #série #fiction #Westworld

  • Narratives | Westworld Wiki |
    http://westworld.wikia.com/wiki/Narratives

    “They already know who they are. They’re here because they want a glimpse of who they could be.”
    – Dr. Ford (when speaking about creating narratives for the park’s guests)

    Narratives are the stories that guests can participate in within the park. These stories are part of the entertainment of the guests. (Hosts follow their own story lines that loop, or repeat. The host’s story lines can be part of guest narratives. There have been instances when hosts have broken away from their loops.)

    Narratives are adventures that the guests can participate in. Lee Sizemore is the head of the Narrative Division. Sizemore’s narratives can be vetoed by the park director, Dr. Robert Ford if Ford disagrees with his ideas. Before Sizemore presented his Odyssey on Red River narrative, Ford hadn’t weighed in on a narrative in a very long time.

    #série #fiction #Westworld

  • Les Inrocks - Pourquoi il faut absolument regarder « Westworld », la nouvelle série d’anticipation monstre de HBO
    http://mobile.lesinrocks.com/2016/10/03/series/faut-absolument-regarder-westworld-nouvelle-serie-danticipation-m

    Parce qu’elle parle de fiction comme aucune autre
    Montrer les fils qu’elle tire tout en demandant de croire en elle, donc aux puissances de la fiction, mettre à nu la fabrique de la fiction mais conserver la croyance : le pari de #Westworld s’avère clair et ambitieux. Il rappelle celui de Lost (dont le co-créateur J.J. Abrams est ici producteur) qui évoquait déjà la série psychédélique et politique sixties Le Prisonnier… Ici, lorsque nous divaguons dans le un far west virtuel en compagnie de Dolores (Evan Rachel Wood) ou de Maeve (Thandie Newton), deux androïdes qui chaque matin, se réveillent sans le souvenir des horreurs qu’elles ont subi la veille – sauf quand la machine commence à se gripper, laissant apparaître des bribes de mémoire -, quelque chose d’un vertige captivant s’installe. Le vertige du faux capable de toucher au cœur.
    Au centre du dispositif narratif mis en place avec brio par Westworld (malgré, il faut l’avouer, quelques mornes moments explicatifs, surtout dans les trois premiers épisodes) se trouve un glissement ultra contemporain entre divers décors et réalités. Très vite, une sensation s’impose : la partie de la série située dans le monde du western est traitée de manière beaucoup plus réaliste et émotionnellement puissante que l’autre. Dans les bureaux de la multinationale qui fabrique les androïdes et imagine les récits, se débattent des personnages passionnants mais retors, voire affreux – notamment le directeur de création du parc, incarné par Anthony Hopkins, métaphore du showrunner comme démiurge ?

    Sans aucune peur, Westworld plonge dans la mêlée et propose une vision très sombre de l’époque, dont l’ampleur n’est pas encore parfaitement claire dans les quatre premiers épisodes mis à la disposition de la presse, même si des pistes se dessinent. Nolan s’est expliqué avec fougue auprès du magazine américain Entertainment Weekly :
    “Nous voulons y aller à fond. Décrire un monde où nos créations nous remplacent en tant que premiers rôles. Nous sommes fascinés par la nouvelle tectonique des plaques, les conflits actuels autour de l’intelligence artificielle et de la réalité virtuelle. L’expérience et le réel deviennent potentiellement indiscernables. Mais nous continuons aussi, en tant qu’espèces, à nous laisser conduire vers le désastre. Voilà ce dont parle la série.”
    A supposer que sa première saison de dix épisodes ne s’égare pas en route, Westworld pourrait devenir rien moins que le traité visuel et narratif d’un monde en mutation, dont spectacle et la fiction seraient à la fois les fossoyeurs et les sauveurs. Une série qui nous apprendrait à aimer les récits et à nous en méfier comme de la peste, qui réveillerait le sens critique.

    #série #fiction

  • Pause sur Westworld (1×06) | Daily mars
    http://www.dailymars.net/westworld-1x06-hbo-ocs

    En traitant l’idée d’un parc d’attractions, la série oublie une dimension pop et ludique, préférant sombrer dans une exploitation grave : cartographie d’une humanité voyant dans l’extrême liberté d’un monde sans conséquence la possibilité de s’adonner à leurs pires instincts ; complexe de dieu de scientifiques ou scénaristes, jouant les marionnettistes grandeur nature dans un univers référencé (le western) et pourtant désincarné ; multiplication de fils narratifs aux profils évanescents dans une construction générale qui privilégie le message à l’affect. Toute la série se complaît dans une vision auteuriste, fermée sur elle-même, prêtant le flanc aux analyses aiguisées, sacrifiant sur l’autel d’une ambition mal placée, l’envie de conter.

    À l’image du labyrinthe, motif que la série exploite comme axe narratif, Westworld travestit son histoire dans des dédales de méta-réflexion sur la création. Au reproche du résultat glacial, les auteurs rétorqueront que c’est à l’image de leur univers, de leurs androïdes s’éveillant au monde, de la science-fiction et son caractère aseptisé. L’ordonnancement très théorique conduit à une stérilité générale, voire une expression du vide.

    #Westworld incarne à sa façon l’idée d’une fiction en crise. Elle élève le vide comme une évidence ; elle exploite la pensée qu’une œuvre grandit grâce à une accumulation de symboles ; elle se définit par ce qu’elle dit et non ce qu’elle raconte ; elle nie au récit son pouvoir d’évocation, qu’elle transgresse en le surlignant d’allégories. C’est la victoire d’une ambition d’auteur démiurge : démontrer son intelligence dans des architectures complexes, donner de la matière à réflexion, quitte à procéder à des coupes franches (une histoire, des personnages). Westworld est un corps mort laissé à la science (la critique). On pourra toujours s’émerveiller lors de l’autopsie sur sa conception ambitieuse, aucune chaleur, aucune émotion ne s’en dégagera.

    #série #fiction

  • “Westworld”, fin de saison 1 : je souffre, donc je suis - Séries TV - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/series-tv/westworld-fin-de-saison-1-je-souffre-donc-je-suis,151048.php

    La série d’aventures métaphysiques de HBO s’est terminée par un magistral épisode, qui clarifie son récit complexe et prépare une saison 2 attendue pour 2018. Bilan.

    Les créateurs de Westworld avaient prévenu : ils savent où ils vont. Ils auront besoin de cinq saisons pour y arriver et prendront leur temps pour développer leur intrigue, explorer leur univers, révéler leur propos. Au terme des premiers épisodes de leur série-monde, mélange de western rugueux et de science-fiction métaphysique, c’était justement ce qui nous inquiétait. A force de ne pas vouloir nous perdre, de soigner leur mystère, de structurer leur récit, ne risquaient-ils pas de nous ennuyer ?

    Le combat entre Arnold, dieu bienveillant souhaitant l’émancipation de ses créatures, et Robert, dieu manipulateur obsédé par les « histoires » qu’il veut raconter, s’est terminé dans un bain de sang,

    #série #fiction

  • My Analysis of the Philosophy in Westworld
    https://danielmiessler.com/blog/analysis-philosophy-westworld

    I think #Westworld is fantastic. It’s fundamentally about the center of meaning. It’s asking questions like:

    What is true meaning?
    What makes meaning real vs. fake?
    What meaning could we expect from coming technologies like VR, or even to a lesser extent from video games?
    How do you pursue meaning?
    How do you know if you’ve found it?

    #série #fiction

  • Westworld – Dialectique du maître et de l’esclave | Le Monde Des Séries
    http://seriestv.blog.lemonde.fr/2016/12/08/westworld-dialectique-du-maitre-et-de-lesclave

    Série réflexive, s’interrogeant en permanence sur la signification de la narration, #Westworld est également une longue digression de dix épisodes consacrée à la notion de reconnaissance. Avec une superbe maîtrise et (parfois) une agaçante patience, elle décortique la dialectique du maître et de l’esclave formulée par Hegel dans La Phénoménologie de l’Esprit. Si elle est trop démonstrative et trop consciente d’elle-même, la première saison a été conçue par Jonathan Nolan et Lisa Joy comme un jeu de construction intellectuelle destiné à enfermer le spectateur dans la fiction. Le piège a fonctionné à plein : suivant un phénomène déjà observé pour Lost, les théories se sont multipliées et l’analyse des indices disséminés à chaque épisode a servi de base à l’exégèse. Le pari de cette première saison est réussi. De ce point de vue.

    En proposant une énigme à clés distillée sur dix semaines, Nolan et Joy ont prouvé qu’ils avaient parfaitement compris et exploité la manière dont fonctionne le web, devenu le prolongement naturel et désormais indispensable de la fiction télévisuelle. Ils ont offert au public les chaînes avec lesquelles ce dernier était trop heureux de s’attacher au récit. Usant avec habileté d’un subterfuge bien connu, les créateurs ont joué sur l’anticipation au détriment de la résolution.

    L’essentiel était moins d’apporter une réponse à une énigme que d’anticiper la prochaine question en se fondant sur les connaissances accumulées dans une fuite en avant prospective. Il s’agissait moins de résoudre un problème ponctuel que de deviner celui qui allait surgir au prochain épisode, exactement comme le faisaient pas à pas les personnages. La position du spectateur et celle des protagonistes composaient les deux faces d’une même pièce qui servait de monnaie d’échange narrative.

    #série #fiction

  • Devenir révolutionnaire en regardant Westworld - Première partie [Quand j’entends le mot culture]
    https://lundi.am/Devenir-revolutionnaire-en-regardant-Westworld-Premiere-partie-Quand-j-entends

    Les hôtes n’ont aucune ressource intérieure qui soit pure de la cruauté de leurs créateurs : leur « soi » n’existe pas, il n’est jamais qu’une identité jetable, une backstory . Preuve de cette soumission ontologique : l’impossibilité de tuer les invités, impossibilité qui devient au fil des épisodes le symbole et le verrou de leur asservissement intérieur. Car s’ils ne peuvent donner la mort ; ils ne peuvent créer de l’irréversible ; ils ne peuvent vivre ni évènement, ni histoire. Leur « existence » n’est donc que cybernétique : fonctionnement, boucle, répétition, feedback.

    La vie des hôtes est donc scriptée, et plutôt mal : les aventures qu’ils proposent ne sont que des prétextes stéréotypés au défoulement des passions tristes des joueurs. Au raffinement de la programmation s’oppose la bêtise des scénarios. Evidemment les joueurs ne peuvent pas vraiment perdre, puisqu’ils ne peuvent mourir : il n’y a donc pas d’enjeu réel autre que le divertissement dans ce monde qui reboot tous les soirs. Dans cet éternel retour du même, les hôtes vivent tous les jours une journée exceptionnelle, suffisamment exceptionnelle pour susciter l’attention du joueur : telle maison close se fait braquer à répétition, telle fermière voit son père mourir tous les soirs, etc. L’existence des hôtes est donc scénarisée comme une crise permanente et quotidienne. Mais l’effacement systématique de leur mémoire à chaque reboot les force à vivre sous le régime de la normalité. Ils se lèvent tous les matins comme si de rien n’était, pour finir tous les soirs par se faire violer ou assassiner. Westworld est donc un monde parfaitement spectaculaire, c’est-à-dire sans histoire : rien n’est irréversible, et des scénarios répétitifs tiennent lieu d’évènement. L’ordre est théoriquement immuable ; de lui-même, le monde du parc n’a aucune raison de changer. Seul le besoin de renouveler l’expérience du jeu pour attirer plus de clients justifie des modifications dans les storylines, ou l’introduction de nouveaux personnages.

    Car #Westworld est un jeu vidéo : il y a les invités, les joueurs, et les personnages non-joueurs, les hôtes. C’est un Red Dead Redemption qui s’est donné une physique, et une géographie, mais c’est un jeu vidéo quand même, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un monde fait de quêtes. Chaque hôte est pris dans une boucle : tous les jours, il répète les mêmes gestes, prévisibles car designés jusque dans leurs moindres détails. Il peut offrir une quête à chaque joueur : tel hôte tombe dans une flaque de boue, et à chaque joueur qui le relève il propose une chasse au trésor ; si le joueur accepte, il le guide dans diverses aventures au terme desquelles il est invariablement massacré, et le joueur diverti. Bref, ce qui tisse l’existence au sein du parc, c’est l’entremêlement complexe des diverses « storylines » des hôtes, conçues comme des mauvais films par le scénariste en chef, aussi exubérant que racoleur. Quand les storylines s’épuisent, que les joueurs se lassent de tel ou tel hôte et de sa "backstory", on l’envoie au pilon.

    #série #fiction

  • « Quand la radio trompe l’oreille : petite histoire des faux-semblants radiophoniques. Épisode 5 : le faux-semblant comme genre (années 1970-1990). », par @intempestive
    http://syntone.fr/quand-la-radio-trompe-loreille-petite-histoire-des-faux-semblants-radiophoni

    Quand la fiction fait l’évènement en passant pour le réel : retour, sous forme de feuilleton, sur près d’un siècle de #faux-semblants radiophoniques, ces fictions qui se font passer pour le réel. Dans l’après Deuxième Guerre mondiale, en l’absence de panique médiatique notable, nous avions cru un instant qu’ils avaient disparu. En réalité, ils se transformaient. Nous atteignons maintenant la fin du 20e siècle : la mue s’achève, le faux-semblant s’institue lentement comme genre reconnu.

    Allez, juste pour le plaisir, les sons congelés de #Gregory_Whitehead :

    https://soundcloud.com/sarah-lawrence-radio/icemusic

    #histoire #création_sonore #création_radio #fiction_sonore #audio

  • Judgments About Fact and #Fiction by Children From
    Religious and Nonreligious Backgrounds

    http://www.bu.edu/learninglab/files/2012/05/Corriveau-Chen-Harris-in-press.pdf

    In two studies, 5- and 6-year-old children were questioned about the status of the protagonist embedded in three different types of stories. In realistic stories that only included ordinary events, all children, irrespective of family background and schooling, claimed that the protagonist was a real person. In religious stories that included ordinarily impossible events brought about by divine intervention, claims about the status of the protagonist varied sharply with exposure to religion. Children who went to church or were enrolled in a parochial school, or both, judged the protagonist in religious stories to be a real person, whereas secular children with no such exposure to religion judged the protagonist in religious stories to be fictional. Children’s upbringing was also related to their judgment about the protagonist in fantastical stories that included ordinarily impossible events whether brought about by magic (Study 1) or without reference to magic (Study 2). Secular children were more likely than religious children to judge the protagonist in such fantastical stories to be fictional. The results suggest that exposure to religious ideas has a powerful impact on children’s differentiation between reality and fiction, not just for religious stories but also for fantastical stories.

    via @Jean_no (tw) #religion #enfants

  • « L’#identité n’est pas essentielle, nous sommes tous des passants » #Achille_Mbembe
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/24/nuit-des-idees-achille-mbembe-l-identite-n-est-pas-essentielle_5068460_3232.

    Par ailleurs, le propre de l’humanité, c’est le fait que nous sommes appelés à vivre exposés les uns aux autres, et non enfermés dans des cultures et des identités. Mais tel est aussi le cours que prend désormais notre histoire avec d’autres espèces sur cette Terre. Vivre exposés les uns aux autres suppose de reconnaître qu’une part de qui nous sommes devenus trouve son origine dans ce que la philosophe Judith Butler appelle notre vulnérabilité. Celle-ci doit être vécue et entendue comme appel à tisser des #solidarités et non à se forger des ennemis.

    Pour fonctionner, le #racisme a besoin de la #fiction selon laquelle il y aurait des corps purs, des cultures pures, du sang pur. Or, il n’existe aucun corps humain qui soit pur, diaphane. En matière de corps, de religion, de culture ou de sang, le blanc n’existe tout simplement pas. Tous les corps sont gris ocre et obscurs. Et c’est ce qui fait d’eux des corps vivants et humains, et à ce titre poreux, ouverts sur ce qui les fait vivre, sur la chair du monde.

    Si au fondement de la #démocratie se trouve le principe de l’#égalité, alors il faut reconnaître qu’un certain seuil d’inégalité sociale met en péril l’idée même de la démocratie.

    Pour le reste, notre monde est un monde fini, qui a des limites et par conséquent n’est pas extensible à l’infini. Les humains n’en sont ni les seuls habitants ni les seuls ayants droit. Ils ne sauraient dès lors exercer sur ce monde une souveraineté illimitée. Cela étant, la véritable démocratie ne saurait être que celle des vivants dans leur ensemble.

    #culture #commun #monde

  • On a perdu la lune
    http://www.radiopanik.org/emissions/l-emission-masquee/on-a-perdu-la-lune-2

    ON A PERDU LA LUNE Pourquoi à bord de la navette ratatouille l’Eclair , Jean-Michel, le garagiste de Champion, et l’astrophysicienne de Toulouse accompagnent ils la poétesse portugaise, l’ humoriste venant de Vannes, la journaliste française et le Professeur /capitaine ? Rediffusion de la #fiction radiophonique (22 minutes) réalisée durant l’été 2014 au Centre Ados d’Anderlecht.

    #conte #adolescence
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/l-emission-masquee/on-a-perdu-la-lune-2_03145__1.mp3

  • « Fins du monde » de #Christophe_Deleu et #Marine_Angé (La Revue des Podcasts #1)
    http://syntone.fr/fins-du-monde-de-christophe-deleu-et-marine-ange-la-revue-des-podcasts-1

    Pour ce premier numéro de La Revue des Podcasts et nos tout débuts en podcast, nous commençons par la fin… ou plutôt par Fins du monde , une fiction de Christophe Deleu et Marine Angé. Une fois par mois environ, nous troquons nos claviers pour des micros, afin de vous proposer la chronique d’un podcast récent.

    https://soundcloud.com/larevuedespodcasts/lrdp1-fins-du-monde-de-christophe-deleu-et-marine-ange

    Écoutez Fins du monde de Christophe Deleu et Marine Angé, diffusée le 2 janvier 2017 sur la #RTBF#La_Première et en replay pendant 30 jours seulement :
    http://www.rtbf.be/auvio/detail_par-oui-dire?id=2170463

    http://podaudio.rtbf.be/pod/lp-pod_par_ouc3af-dire_27112525.mp3

    #audio #création_sonore #fiction_radio

  • Europe et élection présidentielle : entre nullité profonde et indifférence crasse
    http://www.taurillon.org/europe-et-election-presidentielle-entre-nullite-profonde-et-indifference

    Les différents débats télévisés opposant les candidats aux primaires de la droite et du centre ont couvert à peu près toutes les thématiques ressassées depuis le début de la campagne. Un de ces sujets a toutefois été survolé, au prétexte de sa soi-disant légendaire complexité. Seuls quelques candidats de droite ou de gauche radicale, aux discours pourtant réputés simplistes se sont décidés à l’aborder : on les appelle les Eurosceptiques. Ils ont beau aligner les contre-vérités, à défaut de contradiction ou d’autre son de cloche, ce sont eux qui donnent le ton sur ce thème interdit : l’Europe.

    #Opinions

    / #France, #Fiction_politique, #Élections, (...)

    #Médias