#Etats-Unis. La #police veut boycotter les #films de #Tarantino | Courrier international
▻http://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-la-police-veut-boycotter-les-films-de-tarantino
#Etats-Unis. La #police veut boycotter les #films de #Tarantino | Courrier international
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#paris #grand #capital
▻http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2015/10/14/paris-grand-capital
À Ivry, Alain observe les pelleteuses, on détruit l’usine à côté de sa boulangerie. À Bagnolet, des immigrés sont expulsés d’un squat, ils font face aux CRS sous la neige. À Pantin, Monsieur le Maire fait visiter sa ville en … Continue reading →
#ACAB #ANTICOLONIALISME #ANTIFASCISME #CAPITALISME #EVENEMENT #FILMS #LUTTES #SOLIDARITE #a_contre_champ #documentaire #dvd #françois_lathuillière #paris_grand_capital #restructuration_urbaine
Le film Paris grand capital est dors et déjà terminé et sa diffusion commencera à la mi-septembre. Il a été réalisé de manière indépendante, sans boites de production, ni subventions.
Mais nous aimerions également le sortir en DVD. Il pourra alors être distribué en vente directe lors des projections et dès novembre prochain, en librairie par les éditions du bout de la ville.
Pour rendre possible la fabrication du DVD, du livret et des affiches du film, nous comptons sur une souscription. Par ailleurs, si nous récoltons assez d’argent (3000 euros) nous espérons pouvoir aussi réaliser le sous-titrage du film en anglais, en arabe, en espagnol, voire même en Chinois.
Plus que 2 jours pour la souscription pour le DVD :
►https://www.touscoprod.com/fr/parisgrandcapital
et pour aller plus loin dans le travail du réalisateur, il existe un site et une chaine youtube avec ses productions documentaires :
The Fury, De Palma, 1978.
Ça manque un peu de #films ces derniers temps sur seenthis.
Tourné après Carrie, ce #thriller #fantastique tient encore bien la route pour une soirée molle. De Palma touche à plusieurs genres dans ce film qui, malgré quelques longueurs contient quand même quelques scènes remarquables. La scène d’ouverture est digne d’un film d’espionnage. A noter aussi une scène de fuite au ralenti, ponctuée uniquement de musique, vraiment superbe. Le final, un peu branque, vire totalement dans le fantastique. Entre Dead Zone et l’Orange mécanique pour les thèmes, avec un traitement plus light. Avec Kirk #Douglas en père éploré vengeur, parfait et #Cassavetes en sale con.
#sexisme et images : une étude d’observation
►http://www.lecinemaestpolitique.fr/sexisme-et-images-une-etude-d-observation
En matière de discrimination entre les hommes et les femmes, on s’accorde souvent à penser qu’au-delà des lois, le problème s’ancre dans l’imaginaire collectif, sur le terrain du symbolique. Le sexisme se manifeste par des images, des signes, à la fois sources et reflets de l’imaginaire collectif. Travaillant moi-même sur le terrain du symbolique dans […]
#Cinéma #statistiques
▻http://regardeoutumarches.net/wordpress/wp-content/uploads/heros.mp4
Giovanni Princigalli
Giovanni Princigalli
Categories: Author , Director , Producer
Web: www.herosfragiles.com
Curriculum:
He studied Political Sciences at the University of Bari; screenwriting with Giuseppe Piccioni and Umberto Contarello ; documentary with C.A.Pinelli and Annie Comollie. He obtained a Master in Cinema in Montreal with Silvestra Mariniello with a thesis “Enchantements ans disenchantments of the fragile hero”. His documentaries were selected in festivals in Canada, USA, Cuba, Argentina, Colombia, Africa, China, Europe. He won awards in USA, Italy and Serbia His documentaries were on the air on RAI Italia International ; TV5, Canal Vox; Planet; Repubblica TV; and them were were reviewed by : Storia del documentario italiano by Marco Bertozzi ; Il film etnografico in Italia by Francesco Marano, and by cine and/or ethno social magazines in Canada, Usa, Italy. He’s living in Montreal where he founded the company “Heros fragiles”
Credits:
Les Fleurs à la fenetre (50’) (2010): Producer - Editor - Author - Director
Ho fatto il mio coraggio (50’) (2009): Producer - Editor - Director
Gli Errori belli (35’) (2007): Author - Music - Director of photography - Producer - Director - Editor
Japigia gagi storie di rom (59’) (2003): Director
▻http://www.italiandoc.it/area/public/wid/TNT/scheda.htm
The Earthquake That Will Devastate Seattle - The New Yorker
▻http://www.newyorker.com/magazine/2015/07/20/the-really-big-one
The first sign that the Cascadia earthquake has begun will be a compressional wave, radiating outward from the fault line. Compressional waves are fast-moving, high-frequency waves, audible to dogs and certain other animals but experienced by humans only as a sudden jolt. They are not very harmful, but they are potentially very useful, since they travel fast enough to be detected by sensors thirty to ninety seconds ahead of other seismic waves. That is enough time for earthquake early-warning systems, such as those in use throughout Japan, to automatically perform a variety of lifesaving functions: shutting down railways and power plants, opening elevators and firehouse doors, alerting hospitals to halt surgeries, and triggering alarms so that the general public can take cover. The Pacific Northwest has no early-warning system. When the Cascadia earthquake begins, there will be, instead, a cacophony of barking dogs and a long, suspended, what-was-that moment before the surface waves arrive. Surface waves are slower, lower-frequency waves that move the ground both up and down and side to side: the shaking, starting in earnest.
Soon after that shaking begins, the electrical grid will fail, likely everywhere west of the Cascades and possibly well beyond. If it happens at night, the ensuing catastrophe will unfold in darkness. In theory, those who are at home when it hits should be safest; it is easy and relatively inexpensive to seismically safeguard a private dwelling. But, lulled into nonchalance by their seemingly benign environment, most people in the Pacific Northwest have not done so. That nonchalance will shatter instantly. So will everything made of glass.
#tremblement_de_terre #états-unis #catastrophe #impréparation — un article magnifiquement écrit
à propos des #films_de_catastrophe :
If you are so inclined, you can watch an earthquake destroy much of the West Coast this summer in Brad Peyton’s “San Andreas,” while, in neighboring theatres, the world threatens to succumb to Armageddon by other means: viruses, robots, resource scarcity, zombies, aliens, plague. As those movies attest, we excel at imagining future scenarios, including awful ones. But such apocalyptic visions are a form of escapism, not a moral summons, and still less a plan of action. Where we stumble is in conjuring up grim futures in a way that helps to avert them.
Les Nouveaux Héros (III) : l’ABCD de l’inégalité
▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/les-nouveaux-heros-iii-labcd-de-linegalite
Outre la soupe militariste et raciste analysée dans les deux premiers volets de cet article, Les Nouveaux Héros s’avère aussi profondément viriliste et sexiste dans le traitement qu’il propose de ses personnages masculins et féminin. S’adoucir, c’est bien… mais s’endurcir, c’est mieux ! En ce qui concerne les représentations que le film propose de la masculinité, […]
#Films_d'animation #Disney #féminisme #féminité #Marvel #masculinité #sexisme #super-héros #virilisme
On se retrouve ainsi avec une configuration où l’homme viril blanc (ou, plus exactement, « white-washé ») commande à deux femmes (dont une racisée), à un homme noir, et à un autre homme blanc peu viril (Fred, le « geek bouffon »). C’est toujours bien de rappeler les fondamentaux de la domination masculine et blanche…
J’avais ressenti les mêmes choses sur BigHero (+chiffre à la noix).
Y’a clairement 2 parties dans ce film, une première qui cache encore un peu les stéréotypes, qui arbore des aspects progressistes : le care, la liberté d’exprimer son talent. Et ensuite, ça devient un gros blockbuster teenage movie, où les femmes sont dans l’ombre, les hommes sont geek et/ou forts…
Super article, merci. Je vais te suivre.
Les Nouveaux Héros (II) : #Disney, un studio qui lave plus blanc que blanc
▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/les-nouveaux-heros-ii-disney-un-studio-qui-lave-plus-blanc-que-
Suite à la première partie de cette analyse (consacrée au militarisme du film, à son apologie de la surveillance de masse et de la violence policière), je vais maintenant analyser son #racisme et son sexisme. En effet, même si son casting est particulièrement diversifié (en termes de genres et de races[1]) pour un Disney, Les […]
Under The Skin
▻http://www.foxylounge.com/Under-The-Skin
Je pense pouvoir raisonnablement dire que dans le cinéma d’auteur, en France en particulier, les prouesses techniques sont plutôt malvenues. Le génie de Jonathan Glazer est de réussir à convoquer des moyens inhabituels dans un film très personnel et d’une grande sensibilité sans jamais être dans la démonstration. Par quelques images suggestives dans la séquence d’ouverture, il nous indique déjà que nous sommes dans la #science-fiction, dans un sens qui, on s’en aperçoit très vite, n’est pas du tout (...)
#Yann
/ #Films, #Chroniques, science-fiction
Des classiques du #cinéma sud-coréen à voir gratis et légalement, KoreanFilm ▻https://www.youtube.com/channel/UCvH6u_Qzn5RQdz9W198umDw
„Martin” de George Romero
▻http://www.foxylounge.com/Martin-de-George-Romero
Dans le cadre du cycle Ciné Seventies au Centre des arts d’Enghien-les-Bains, #Jean-Baptiste_Thoret a présenté, pendant 1h20, Martin (1976), l’étonnant film de vampire de George A. Romero. Il en profite bien sûr, pour faire le tour de la carrière du célèbre réalisateur de La Nuit des morts vivants et, plus largement, du cinéma d’horreur des années 1970. La vidéo, ci-dessus, présente l’intégralité de son intervention, le mercredi 3 avril 2013. On peut retrouver sur la chaine de Cine70s, de nombreuses (...)
#Noze
/ #Films, #conférences, #70's, #épouvante, #nouvel_hollywood, Jean-Baptiste Thoret, #Vidéos
▻https://www.youtube.com/channel/UCL5nNmzN5CBfC1S6_-66ZBA
▻https://www.youtube.com/watch?v=yeAbJH4zZ2Q
Les Nouveaux Héros (I) : La violence policière comme médecine
►http://www.lecinemaestpolitique.fr/les-nouveaux-heros-i-la-violence-policiere-comme-medecine
Dernier #Disney en date, Les Nouveaux Héros (Big Hero 6 en anglais) a rencontré un énorme succès public et critique (il a notamment remporté l’Oscar du meilleur film d’animation, et a totalisé plus de recettes que n’importe quel autre film d’animation sorti la même année, Dragons 2 et The Lego Movie compris[1]). Je voudrais ici […]
#Films_d'animation #armée #big_brother #impérialisme #Marvel #militarisme #police #super-héros #surveillance
Faire et défaire les #frontières indigènes : #Terres et #Corumbiara
Le présent article analyse et compare deux #films brésiliens contemporains dans l’intention d’approfondir la réflexion à propos de différentes manières dont le cinéma s’est emparé des frontières amazonienne situées dans des régions habitées par des #peuples_indigènes. Dans le documentaire intitulé Terres, dont la plasticité est originale et minutieuse, les frontières sont vouées à être oblitérées par des interactions à la fois humaines et de la nature environnante. Sa « poétique de l’imbrication » semble, toutefois, renier les tensions géopolitiques présentes dans l’histoire des lieux représentés dans le film. À son tour, le film Corumbiara subordonne le souci esthétique à l’engagement vis-à-vis des droits des populations indigènes, mobilisant les outils cinématographiques afin d’imposer une frontière aux avancées des propriétaires fonciers vers les terres habitées par des populations autochtones. Il s’agit de prendre parti dans l’affrontement de forces disproportionnées qui transforment inlassablement le territoire en question. Le cinéma, de Terres à Corumbiara, est affirmé aussi bien comme un agent du pluriculturalisme croissant que comme un vecteur destiné à d’assurer le respect de l’Autre et de ses limites territoriales.
▻http://seer.ufrgs.br/index.php/PolisePsique/article/view/53666
#cinéma #Amazonie #peuples_autochtones #Brésil
« The Human Centipede 3 » : en défense de la #violence extrême au ciné | Bad Taste | Rue89 Les blogs
▻http://blogs.rue89.nouvelobs.com/bad-taste/2015/05/14/human-centipede-3-en-defense-de-la-violence-extreme-au-cine-2
Au bureau aussi, c’est « Saw »
Un #capitalisme qui finit par coloniser les esprits. Après le physique, place au mental. Comme dans les « torture flicks », la trilogie « Hostel », les sept « Saw ». Des #films dégoulinant de ketchup dont la #torture est l’ingrédient principal. Des films complaisants dont la vision est qualifiée de voyeurisme. Mais des films qui donnent à penser. Comme « Saw » où un prisonnier doit sacrifier un œil pour trouver la clé qui peut le libérer d’un masque menaçant de lui exploser le visage. Qui, selon l’auteur, « illustre pleinement le principe de la double contrainte ». Qui « est une forme de coercition qui avance masquée, sous couvert d’une alternative ». Et qui, dans l’#entreprise, fait « office de méthode de management » :
« En demandant à un employé ou un cadre de respecter des objectifs fixés de manière à ne plus pouvoir être atteints qu’au prix d’un sacrifice personnel (vie familiale, santé physique et psychologique), au risque de perdre sa place, on le place sciemment dans la même situation que les victimes de “ Saw ”. »
Conclusion en forme d’ouverture : l’entreprise est une entreprise de #mort, le capitalisme, le mal absolu et l’open space, un camp d’extermination. C’est ce qui ressort de son analyse de « Salo » de Pasolini qui, niveau énucléation et mutilation, n’a rien à envier au « Saw » de James Wan. Film qui délocalise Sade en Italie, à l’époque de la république sociale italienne de Mussolini. Où les #bourreaux libertins sont remplacés par des bourgeois fascistes et les victimes aristocrates par des ouvriers paysans. Des bourreaux exploiteurs et des victimes exploitées qui, par leur passivité, semblent accepter cette exploitation. Une division des rôles, une parcellisation des tâches qui est la preuve d’une taylorisation des esprits. Or nous rappelle l’auteur :
« C’est le découpage, la taylorisation des tâches qui rendit possible la mise en place de la machine de mort nazie. C’est sur cette implication individuelle, cette responsabilité collective que repose le film de Pasolini. Et le spectateur est inclus, à travers la position de voyeur qui lui est associée [des exécutions filmées à travers des jumelles, ndlr] renvoyant chacun à sa propre passivité, à sa propre servitude volontaire, face à un ordre social injuste. »
L’ensemble du texte me semble quand même très partiel et partial - pour ne pas dire complaisante.
J’ai consommé et je consomme encore pas mal de films de genre, mais je n’irais pas chercher dans ce cinéma (encore moins dans cette consommation) trop de ’subversion’. Ni même peu. Il me semble peu nécessaire de venir surenchérir de cette manière là sur le nihilisme de l’ordre social que nous vivons - je ne vois guère cette complaisance apporter quoi que ce soit à nos consciences et à nos sensibilité qui soit propice à ne serait-ce qu’à une plus grande lucidité sur lui, et sur nous même.
De part mon expérience de révolte et de consommation, je doute fortement que l’on sorte plus révolté, sinon révolutionnaire ou seulement « progressiste » d’une telle projection.
Pour ce qui est des mutilations physiques les plus sanglantes, des humiliations, double contraintes, et autres situations insupportables, il me semble que ma vie comme celle de mes contemporain-e-s n’en manquent pas, (entre ma propre vie et mon entourage proche, j’en ai rencontré, subi et vu subir plus que suffisamment pour avoir de quoi penser contre le monde dont elles participent, et je sais être bien loin de faire partie des plus défavorisé-e-s) et que le spectaclisme grossier qui fait le plaisir du cinéma et de l’entertainment ne procure guère d’outils pour les identifier, les reconnaître, parce qu’elles se manifestent bien autrement IRL. Il est beaucoup plus violent et douloureux de se confronter à celles qui jalonnent structurent et sous-tendent nos vécus surtout dans ce qu’ils nous paraissent les plus normaux et intégrés, les plus banals,"sans histoire". Il me semble que cette réalité là donne déjà assez à penser, et que l’insoutenable ne s’y cache pas loin ; que l’effort d’aller la questionner en profondeur est tout autre, mais qu’il peut aboutir aussi à des remises en cause un peu plus épaisse qu’un écran de cinéma.
Et qu’au contraire, l’outrance spectacliste participe presque toujours plus sûrement du façonnage d’une idée confortablement repoussante et caricaturale du mal, voir de sa grotesque fétichisation...
Par ailleurs, l’affirmation qui suit, en partie vraie, me semble au moins légère et relever ici d’une forme de méthode coué, de midi à la porte de l’auteur , pour ne pas dire participer de la banalité d’un négationnisme très présent, dans ce qu’elle ignore :
C’est le découpage, la taylorisation des tâches qui rendit possible la mise en place de la machine de mort nazie.
Je renvoie ici encore au travaux de#Rosa-Amelia_Plumelle_Uribe et à #la_Férocité_blanche, qui argumente que
La hiérarchisation raciale illustre la débâcle morale de l’Europe. Le nazisme, en transposant des non-Blancs au non-Aryens cette dévaluation des êtres dits « inférieurs », a commis le crime impardonnable de porter au coeur du monde européen une férocité jusqu’alors réservée à d’autres continents.
(Quatrième de couverture)
Autrement dit, sans l’histoire coloniale et esclavagiste de l’europe, et la construction du racisme qu’elles impliquèrent, la taylorisation des tâches à elle seule n’aurait suffit à rendre possible l’entreprise nazie d’extermination : la destruction ou l’anéantissement des inférieurs tiennent d’abord à l’infériorité qui leur est faite, et à la déshumanisation inéluctable que cette infériorité implique. Des européens bien sous tout rapport, considérés en occident, ont massacré et anéanti, se sont fait machine de mort sur la personne d’indigènes et d’autochtones au quatre coins de la planète bien avant la taylorisation, et sans états d’âmes.
Autrement dit encore, pour faire très court, la déshumanisation commence avant la taylorisation - je serai même enclin à penser que c’est de l’inévitable déshumanisation des inférieur-e-s par qui les domine, qu’est venue la possibilité d’imposer aux prolétaires la taylorisation. Ce qui ne fait pas moins de cette dernière une causalité aussi dans l’extermination des juifs d’europe - mais cela la resitue au sein d’autres causalités, nettement moins confortables à aborder pour la gauche, les progressistes, les révolutionnaires ou les amateurs de cinéma d’horreur et de subversion.
J’aime aussi beaucoup le cinéma de genre, y compris le nanard décérébré, mais j’ai assez horreur de ces films-là, justement.
Cela dit, l’analyse dans cet article m’a interpellée. Et c’est particulièrement vrai pour l’extrait que j’ai sélectionné.
Après, ça ne me fera pas voir ce film. Ni les autres.
L’aptitude à la cruauté de notre espèce me dégoutte suffisamment en elle-même sans que j’ai besoin de mise en scène. Mais l’analyse de l’extension de la cruauté au corps social et la manière dont on l’occulte sous des justifications qu’on finit par rendre acceptables me semble tout de même très pertinente.
Il y a quelque chose dans le ton de cet article qui m’évoque assez violemment le petit monde de l’art contemporain - pour avoir accroché des expos et accueilli des visiteurs/surveillé des oeuvres durant quelques années, je ne suis pas fermé hermétiquement aux oeuvres qui demandent une explication de trois pages pour être compréhensibles, ou se voir proposer un sens. Simplement, au cas où ce sens m’intéresse, je me dis qu’il y a des moyens nettement plus simples et pertinents d’évoquer et partager ce sens, que de commencer par déconcerter violemment un public qui sera assez peu motivé à dépasser sa réaction initiale, ou à y revenir ensuite.
Il me semble que ce genre d’explication de film a quelque chose de gratuit - où l’auteur expose surtout ce qu’il a envie d’y voir.
La critique aborde des faits sociaux qui me semblent pertinents à moi aussi -
Au bureau aussi, c’est « Saw »
mais aussi
Si la bande passante est illimitée, pourquoi devrions-nous nous limiter ? Pourquoi ne pas tout regarder ?
par exemple mais ces questions justement de par leur pertinence me semblent ici bien plus sûrement mises au service d’une justification voir d’une idéalisation d’un cinéma plus ou moins auto-proclamé « extrême », et donc d’une complaisance vis-à-vis, et d’une idéalisation de la consommation de ce cinéma là, que l’inverse.
(de fait, ça n’est pas tant que l’on parvienne ou non à regarder Saw ou The Human centipede - même si ce sont pour moi aussi des films horribles -, que ce que l’on éprouve le besoin de se raconter à soi même à propos de cette consommation là, qui m’interpelle)
MAI 2015 AU RÉMOULEUR (BAGNOLET)
▻http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2015/04/29/mai-2015-au-remouleur-bagnolet
#EVENEMENT #LUTTES #bibliothèque #cadecol #critique_sociale #et_nous_jetterons_la_mer_derrière_vous #FILMS #gallieni #le_rémouleur #local #montreuil #omar #prenons_la_ville #projections #repas #robespierre
La critique de l’industrie culturelle
▻http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2015/03/16/la-critique-de-lindustrie-culturelle
Adorno et #horkheimer analysent l’industrie culturelle et sa logique marchande qui impose des loisirs standardisés et une uniformisation des modes de vie. « Ce que nous vendons à Coca Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible », annonce fièrement le … Continue reading →
#ANTICOLONIALISME #CAPITALISME #FILMS #GENRE #IMAGE #LIVRES #LUTTES #MUSIQUE #REPRESSION #adorno #capitalisme #culture #ecole_de_francfort #industrie_culturelle #kulturindustrie #pensé_critique
Collectif Ogino Knauss (Ogino Knaus est une contraception par abstinence sexuelle durant la période de fécondité)
"Le collectif ogino:knauss a démarré ses activités au milieu des années 1990, sur la scène alternative florentine. La démarche d’ogino:knauss se caractérise par un attrait pour l’architecture et la vidéo. Tout comme les situationnistes, ils partent à la dérive pour explorer les facettes modernistes de nos cités, ces lieux où l’être humain se débrouille avec l’environnement qui lui est imposé. Leur attrait pour des endroits marginalisés et périphériques les a mené à filmer à La Havane, Moscou, Detroit, Berlin, Belgrade, Mexico...
De ces récits de voyage, ils distillent des vidéos, des photos et des performances.
▻http://www.cetri.be/IMG/pdf/142web.pdf
▻http://www.oginoknauss.org
Ogino Knauss is a collective active since 1995. Born as mutant cinema laboratory, acts during the years as a constant drift through audio visual languages and communication practices. The group experiments with VJing techniques as a peculiar form of open narrative, in contrast to the dominant tendency to create video
tapestries as an ornament to musician and DJ s production. Developing its action
at the crossing point between the exploration of etherotopic spaces and the exhibition of disclosing practices of the audiovisual device, Ogino knauss led a steady exploration of new spatial and creative contexts to confront, such as cultural centers, public spaces, temporary occupied zones, art galleries, festivals,dancefloors. Among many others ogi:no knauss collaborated or played live sessions with:
Autechre, Autobam, Vladislav Delay, DJ Ultracore, Masami Akita & Zbigniew Karkowski, Otolab, OTK, Rich Medina, Terre Thaemlitz.
In more recent projects, the attention has been focused on the globalizing urban landscape, applying image production techniques in the attempt to develop innovative listening and description practices about cultural urban processes. Urban explorations leading to performative acts or installations have place in such locations as Florence, Riccione, Berlin, New York, Rome,
Milan, Amsterdam, Thessaloniki, La Habana. The anthological project, Triplicity, focusing on the co-related production of space and image in the evolving global landscape, has been presented
world wide as live performance or installation and has been published as an interactive DVD + book by AVrec.
Tout le site est sous Flash, je ne sais comment exporter photos et vidéos ou meme si c’est possible.Cinéma expérimental, musique expérimentale, c’est riche et vraiment intéressant.
Parallélement le collectif a aussi ouvert blog plus institutionnel dans ses propositions et centré sur un projet unique.
Re:centering Periphery|Ogino Knauss
▻http://www.oginoknauss.org/blog
700 #films rares et #gratuits disponibles ici et maintenant
C’est un cadeau immense comme seul internet peut nous en offrir. Plus de 700 films rares totalement gratuits, disponible immédiatement grâce au site OpenCulture qui se bat pour éduquer et donc transmettre le meilleur de la culture totalement gratuite sur le web. On ne peut alors s’empêcher de céder aux sirènes cinématographiques qui sont ici multiples et très sophistiquées.
►http://www.apar.tv/cinema/700-films-rares-et-gratuits-disponibles-ici-et-maintenant
#open_source
cc @reka @wizo @albertocampiphoto
À quoi engage le cinéma ? Une autoréduction au Festival international du film documentaire, « Cinéma du réel »
▻http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7616
Un texte récemment traduit en français sur la #politique des #films des Huillet&Straub commence par un récit d’une autoréduc, à Beaubourg, il y a huit ans de cela :
« Samedi 10 mars 2007, 14h30 : une salle de cinéma située dans le sous-sol du Centre Georges Pompidou à Paris. On assiste à la projection de courts-métrages allemands des années 1960-1970, rarement projetés, dans le cadre de la 29e édition du Festival international du film documentaire, « Cinéma du réel ». Y était présenté l’essai cinématographique de 15 minutes, Einleitung zu Arnold Schönbergs ‘Begleitmusik zu einer Lichtspielscene’ (Introduction à « une musique d’accompagnement pour une scène de film » d’Arnold Schönberg, 1972) réalisé par Jean-Marie Straub et Danièle Huillet.
Alors que de nombreux spectateurs s’installent dans leurs sièges, une agitation se fait entendre depuis l’extérieur. Soudain, un groupe d’une cinquantaine de militants force le passage et fait irruption dans la salle. Tout en distribuant dans toute la salle des tracts de l’ère pré-Photoshop, le groupe, qui s’autodéfinit comme étant composé de jeunes chômeurs, réclame d’assister gratuitement à la projection, outré qu’un festival financé par de l’argent public puisse exiger que l’on paye sa place et plaidant globalement pour une séparation de l’art et du commerce.
Offensée par cette manifestation, la directrice du festival – après avoir ordonné au technicien de ne pas démarrer la projection et mobilisé le service de sécurité afin qu’il intervienne physiquement dans la salle pour intimider les manifestants – prend la parole et déclare à la foule (notons que les spectateurs ayant payé leurs places se sont rangés presque unanimement du côté des manifestants, en dépit du désagrément) qu’elle ne se laissera pas « terroriser » et forcée à poursuivre la projection, ce qui eût pour effet de prolonger l’occupation de la salle par les spectateurs. »
Le #tract diffusé sur place :
LE RÉEL ? Chouette !
ENTRÉE LIBRE !!!
« Si le cinéma ne s’était pas aussi complaisamment livré à la fausse alternative art/divertissement, il aurait pu servir d’outil de vérification de thèses essentielles. » ...
Geopolitical everyday
This blog is a partial record of a conversation between the students and faculty of the School of Slavonic and East European Studies (UCL), the local residents of the London Borough of Camden and the ex-Yugoslav diaspora and myself.
This project is part of the residency that ran between February and November of 2010 at the School of Slavonic and East European Studies (UCL) and has been made possible by a grant from the Leverhulme Trust. The pricipal grant holder is Dr Ger Duijzings, the author of ‘Religion and the Politics of Identity in Kosovo‘, and my co-author of the movie lebensraum | living space (80 min, 2009).
In the past few years I have been exploring London and trying to understand how we are influenced by spaces we live in, how we understand and produce them. Space is a common medium and we share ideas, feelings and uses of it. The immigrant experience of space (which I share) provides a fruitful starting point. Expressions which sound complicated and theoretical are to the immigrant commonplace: ‘diasporic space’, ‘the multi-local’, ‘the transnational’, ‘the geopolitical everyday’. It provides a counterpoint to the way the indigenous community see their home and homeland. Together with the indigenous experience of space, the immigrant experience clashes with the way the State and capital try to determine the layout of our lives.
I have also been exploring the break-up of Yugoslavia not from a historical point of view, but as a cross between the personal and collective, between the geopolitical and the everyday. I am interested in expressing how the very different ex-citizens of a nation which have been scattered throughout the world, live and work in London, how they construct their allegiances, how they choose to remember their lives and the lives of others and how all of this is played out in the metropolis and megalopolis that London is. I am interested in how these processes change London and the Balkans.
Generation after generation of students and teachers at The School of Slavonic and East European Studies have been trying to understand some of these questions from the standpoints of history, economics, anthropology, linguistics, politics, journalism, cinema studies, urbanism… All of this accumulated knowledge and evolving understanding is a treasure that mostly remains hidden due to its technical nature and the role of higher education in our society. I am interested in taking this knowledge for a walk in the surrounding streets of London. I would also like to explore the potential for staff and students to embody, perform and challenge their academic work in different ways, through making movies. The School resides in the Borough of Camden and as such shares its local and metropolitan history.
The experience of the Borough of Camden by local residents is unique and is an archive that cannot be found in books or films. It is a living space which is produced, preserved and modified by generations of immigrant and indigenous communities, by passers-by, plants and animals. In trying to trace how this space has changed, I want us to also try and envisage a shared vision of it for the future.
For some time now, I have been making movies as a spatial practice. To make movies as ‘spatial practice‘, means to use moving images to try and understand the space we live in (the space in front of the camera) and the space we are represented in (the space of the screen). It also supposes that there is a relationship between the two, which I believe goes both ways. It is a striving to understand and perfect the mechanisms that we use to translate from one space into the other.
As outcomes of this process, we created 4 #films:
Whose Fitzrovia? (4.19 min) WATCH
Whose Fitzrovia? Interview with Anna Minton (8.14 min) WATCH
Ripples (45 min) – a film entirely shot within 1 square mile of the BT telecommunication tower, which explores the tower and the surrounding area from different perspectives: the quotidian comings and goings, the local architecture, the changing of the seasons, urban redevelopment, a tarot reading, an account of local history, macroeconomic and metropolitan processes, critical geopolitics, a mantra chant and science fiction elements. It counterposes London’s BT tower with Belgrade’s Avala tower to explore our fascination with these structures, their military and civilian use as well as the imaginary space they create, be it national, psychological or as a local landmark. WATCH
April Showers (45 min) – a film exploring the everyday activities of a student terrorist group. Revolutionary rhetoric is mixed with boredom and house chores. Interviews with scholars question the motivation and the exact nature of the group’s activities. The film explores the limits of liberalism and student radicalisation from an everyday perspective. WATCH
You can contact me on : tetrys@posteo.de
▻https://geopoliticaleveryday.wordpress.com
@reka : il y a probablement de trucs super intéressants à découvrir car j’ai reçu ce lien d’une personne dont j’ai beaucoup d’estima, mais là j’ai pas le temps...
La mémoire filmée de la Shoah
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-memoire-filmee-de-la-shoah
L’exposition « Filmer la guerre : les Soviétiques face à la Shoah » qui se déroule en ce moment à Paris présente un point de vue poignant mais parfois insoutenable sur ce que l’on a appelé « la Shoah par balles ». Valérie Pozner, spécialiste de l’histoire du cinéma russe et soviétique, nous en explique le caractère inédit.
Dès 1941, dans les pas de l’#Armée_rouge, des opérateurs soviétiques sont envoyés sur le front et captent les traces des #crimes_nazis.
À qui ces #films sont-ils destinés ? Quels sont les processus de production et de diffusion de ces centaines d’heures de tournage ? Est-ce dans le but de participer à la mobilisation de tout un peuple pour la lutte contre « l’envahisseur fasciste » ? Pourquoi la judéité des victimes est-elle parfois gommée et parfois mise en évidence ?
Les films présentés concernent les images de l’ouverture des fosses et des traces des exécutions de masse en Europe de l’est (#Babi_Yar, #Rostov, #Krasnodar, #Kertch, etc.), de la libération des #camps_de_concentration et d’extermination (#Klooga, #Maidanek, #Auschwitz, etc.), et des multiples #procès et #exécutions qui suivirent la Libération. Aux côtés de cinéastes célèbres comme #Roman_Karmen, les autorités politiques s’impliquent dans la construction d’une histoire de la « Grande guerre patriotique » au #cinéma.
Collectif de réalisateurs lausannois, #Climage offre ses #documentaires en ligne pour ses 30 ans. Une première en #Suisse. Explications avec #Fernand_Melgar.
▻http://www.lecourrier.ch/127072/quarante_films_en_cadeau
Ils sont téléchargeables ici :
▻https://www.youtube.com/user/climageprod
#La_forteresse, de Melgar :
#exit, le droit de mourir :
▻https://www.youtube.com/watch?v=7iNYTj_G03k
Album de famille :
▻https://www.youtube.com/watch?v=yizN4nvDilM
#Prud'hommes :
#Vol_spécial :
▻https://www.youtube.com/playlist?list=PLQY0YOLA6NExUYfg3ANxOVFSgBLguHimU
La barque n’est pas pleine :
▻https://www.youtube.com/watch?v=smOBmhCSb7A
De la cuisine au parlement :
L’usine :
▻https://www.youtube.com/watch?v=WhEUusP9Ve8
#open_source
cc @reka @albertocampiphoto @wizo
Sans titre
▻http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2015/01/02/1775
La Horde vous invite à assister samedi 31 janvier 2015 à 14h, au cinéma #la_clef (Paris), à lapremière projection publique du documentaire antifasciste #acta_non_verba, un documentaire réalisé par un militant antifasciste marseillais, dans lequel sont présentés différentes … Continue reading →
#ANTIFASCISME #EVENEMENT #FAF #FILMS #antifa #Clément_Meric #culture #facho #faf #france #hazem #la_horde #paris #pensé_critique #rassemblement