• La Wallonie veut régulariser les sans-papiers pour les métiers en tension
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/09/05/la-wallonie-veut-regulariser-les-sans-papiers-pour-les-metiers-en-tension_61

    La Wallonie veut régulariser les sans-papiers pour les métiers en tension
    Des membres du gouvernement wallon, soutenus par les patrons et les syndicats de la région, demandent au gouvernement belge d’agir pour faire face aux pénuries de main-d’œuvre et anticiper la baisse du nombre d’actifs.
    Par Jean-Pierre Stroobants(Bruxelles, Correspondant)
    Même si elle connaît toujours un taux de chômage élevé (9,6 % en juin 2023, hormis la communauté germanophone), qui concerne notamment les jeunes de moins de 25 ans (25 % étaient sans emploi en 2022, selon l’Institut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique), la Wallonie rencontre, elle aussi, des problèmes de main-d’œuvre dans une série de métiers : 158 sont « en tension », 92 « en pénurie ». Afin de tenter de remédier à une situation qui entrave son redressement, des membres du gouvernement wallon espèrent convaincre l’Etat fédéral belge et la Flandre qu’il faut régulariser les sans-papiers et les demandeurs d’asile capables d’entrer dans les filières économiques concernées, très diverses : la construction, la logistique, la restauration, la boucherie, la soudure, le développement informatique, la comptabilité, etc.
    Elio Di Rupo, le ministre-président de la région, et Christie Morreale, la ministre de l’emploi, tous deux socialistes, ont adressé en juillet une lettre au premier ministre belge Alexander De Croo. Son contenu a fuité à la fin du mois d’août parce qu’il n’avait visiblement pas rencontré l’écho souhaité par ses auteurs. Même si le dirigeant libéral flamand s’est déclaré « sans tabou » et si les patrons et les syndicats wallons appuient fermement la demande des ministres.
    La Wallonie, compétente pour l’octroi des permis de travail, a, en revanche, besoin de l’aval du gouvernement central pour les titres de séjour. Seuls les chercheurs et les étudiants peuvent obtenir un permis unique. Impossible donc de délivrer une autorisation, y compris aux étrangers non européens qui disposent d’une formation et de compétences pour exercer un métier en pénurie. Or, il y a urgence, selon les dirigeants wallons : dans les quinze prochaines années, la région comptera 50 000 actifs de moins, avance l’Union des classes moyennes, association de défense des travailleurs indépendants.
    Il reste cependant à convaincre la Flandre : si les patrons y réclament également un plan d’urgence, les partis de droite, majoritaires, sont soumis à la pression de l’extrême droite, hostile à toute mesure assimilable à une éventuelle ouverture des frontières. La conférence interministérielle, qui réunit les pouvoirs régionaux et le fédéral, a déjà évoqué une possible régularisation mais sans pouvoir conclure un accord. Alors que 200 000 postes au total ne trouvent pas preneurs actuellement dans le pays et que la situation est jugée réellement critique en Flandre, où le recrutement massif de travailleurs frontaliers, français surtout, ne suffit plus à pallier le manque. Le débat se double d’une polémique récurrente sur le fait que la Wallonie n’accomplirait pas les efforts nécessaires pour remettre au travail ses 223 000 demandeurs d’emploi (dont 156 000 bénéficient d’une indemnité) et pour les orienter vers la Flandre voisine, qui lui a proposé 117 000 places de travail en 2022 et où 45 000 Wallons sont déjà employés.
    Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Belgique : une grève générale pour exiger une hausse des salaires s’apprête à paralyser le pays
    Il n’est pas question, pour le pouvoir régional wallon, de donner l’impression que la régularisation des réfugiés et sans-papiers masque en fait son incapacité à remettre au travail ses chômeurs. Il veut bel et bien, soutient-il, favoriser la « migration économique » (vers la Flandre) et il octroie des primes à ceux qui se forment à un métier en tension. Avec peu de résultats : selon le quotidien économique belge L’Echo, un chômeur wallon sur 30 seulement entre dans une telle filière. Et les formations échouent pour les publics cibles : chômeurs de longue durée, peu qualifiés, ou âgés. (...) Jean-Pierre Stroobants

    #Covid-19#migrant#migration#belgique#politiquemigratoire#wallonie#flandre#regularisation#economie#travailleurmigrant#migrationeconomique#postcovid

  • #Flans de brocolis au #Tofu_soyeux
    https://www.cuisine-libre.org/flans-de-brocolis-au-tofu-soyeux

    Détailler les brocolis en fleurons. Peler les troncs en retirant les parties dures et fibreuses et les couper en morceaux. Cuire à la vapeur. Réserver les plus jolis fleurons à part. Préchauffer votre four à 200°C. Faire revenir l’oignon émincé à la poêle jusqu’à ce qu’il soit fondant. Ajouter les morceaux de brocoli dans la poêle et prolonger la cuisson de 2 min. Pendant ce temps, dans un saladier battre le tofu soyeux afin d’obtenir une texture crémeuse. Ajouter la farine de pois chiche et mélanger.… Flans, Tofu soyeux, Brocoli (tige) / #Végétarien, #Sans viande, Végétalien (vegan), #Sans œuf, #Sans lactose, Sans (...)

    #Brocoli_tige_ #Végétalien_vegan_ #Sans gluten

  • « Faut-il débrancher WhatsApp ? »

    L’impératif de communiquer éradique toute vie intérieure, par David Le Breton, dans Libération

    Dans cette communication, il est impossible de se taire, d’écouter le silence ou de rêver un instant les autres.

    Ils sont dans la société mais plus dans le lien. Ils cheminent en zombies postmodernes, prosternés. Difficile de ne pas songer à ce qu’écrivait Walter Benjamin sur la perte d’aura de l’œuvre d’art à l’époque de sa reproduction industrielle. Cette communication profuse perd sa dimension de sacralité, elle se profane dans sa répétition sans fin, son impossibilité de se taire, d’écouter le silence ou de rêver un instant les autres. Il ne restera rien de ces nombreux échanges journaliers.

    Autrefois, s’interrogeant sur la pertinence du câble transatlantique ou du télégraphe, le philosophe Henry David Thoreau commentait : « Très bien cela, mais si les gens n’ont rien à se dire. » Quelques décennies plus tard, Georg Simmel relayait le propos : « L’ivresse dans laquelle les triomphes du télégraphe et du #téléphone ont littéralement plongé les hommes les empêche souvent de voir que l’important, c’est la valeur de ce que l’on a à communiquer et que face à cela la rapidité ou la lenteur du mode d’acheminement est souvent une affaire n’ayant acquis que par usurpation le rang qu’elle occupe actuellement. » La valeur de la #parole tient, en effet, à sa limite. Seul a de prix ce qui risque de manquer, ce qui n’est plus le cas de la communication qui engloutit aujourd’hui la conversation.

    L’impératif de communiquer, au sens moderne du terme, est une mise en accusation du silence, comme il est une éradication de toute intériorité. Il ne laisse pas le temps de la #réflexion ou de la #flânerie car l’exigence de réactivité l’emporte. Il faut rester connecté, éternellement disponible, en état d’alerte. Si la pensée ou le simple fait de vivre exige la #patience, la #délibération, la flânerie, à l’inverse la communication s’effectue toujours dans la vitesse et l’utilitarisme. Elle transforme l’individu en interface ou le destitue des attributs qui ne concernent pas d’emblée ses exigences. […]

    Etre seul devient désormais un souci, la confrontation à une intolérable intériorité qui amène à se précipiter sur son portable au feu rouge, à un stop, dans une file d’attente ou même en marchant dans les rues. […]

    Plus la communication s’étend et plus elle engendre l’aspiration à se taire, au moins un instant, afin d’entendre le frémissement des choses. Cette ébriété de #messages et de téléchargements rend enviable le repos, la jouissance de penser enfin l’événement et d’en parler en prenant le temps dans un rythme qui avance de son pas tranquille afin que soit pleinement restaurée la valeur de la parole.

    #communication #dépendance #addiction #abrutissement #silence #intériorité #attention #concentration #whatsapp #SMS

    • Jusqu’aux chambres qui auront leurs lampes électriques avec un abat-jour qui tamisera la lumière. C’est évidemment un luxe charmant. D’ailleurs nos contemporaines veulent absolument du nouveau, n’en fût-il plus au monde. Il y a la belle-sœur d’une de mes amies qui a le téléphone posé chez elle ! Elle peut faire une commande à un fournisseur sans sortir de son appartement ! J’avoue que j’ai platement intrigué pour avoir la permission de venir un jour pour parler devant l’appareil. Cela me tente beaucoup, mais plutôt chez une amie que chez moi. Il me semble que je n’aimerais pas avoir le téléphone à domicile. Le premier amusement passé, cela doit être un vrai casse-tête.

      Marcel Proust. À l’ombre des jeunes filles en fleurs, p. 219 (Folio)

  • Flan de patidou
    https://www.cuisine-libre.org/flan-de-patidou

    Couper le #Patidou en deux (il n’est pas utile de le peler), retirer les pépins. Faire cuire à la vapeur (20 min) et réduire la chair en purée. Délayer la fécule de maïs avec un peu de #Lait froid et laisser épaissir sur feu doux, en remuant sans arrêt. Dés l’ébullition, ajouter le sucre, le jus d’orange, et le zeste râpé d’un quart d’écorce pour en faire un bouillon. Ajouter la pulpe de patidou et bien mélanger. Dans un moule à manqué, faire un caramel, I’étendre dans tout le moule. Verser la préparation.… Patidou, #Flans, #Orange_à jus, Lait / #Sans viande, #Sans gluten, #Végétarien, #Four

  • #Œufs au #Lait au chocolat
    https://www.cuisine-libre.org/oeufs-au-lait-au-chocolat

    Faire bouillir le lait avec le sucre, en verser un peu sur le chocolat en fouettant jusqu’à ce que les carrés soient fondus. Ajouter les œufs, fouetter pour homogénéiser et terminer d’ajouter le lait bouillant. Filtrer au tamis (facultatif). Verser la préparation dans 6 ramequins. Les disposer dans un plat contenant de l’eau froide à mi-hauteur des ramequins. Enfourner dans un #Four froid pour 35 min à … Œufs, #Flans, Lait, #Chocolat_noir / #Sans viande, #Végétarien, #Sans gluten, #Bouilli, Four

  • Spain wants NATO to flag migration as ’hybrid threat’ in policy roadmap, says foreign minister

    Spain, as host of an upcoming NATO summit, will push for the inclusion of “hybrid threats” such as irregular migration, food insecurity and terrorism in the alliance’s new policy roadmap, Foreign Minister Jose Manuel Albares said in an interview.

    The June 29-30 summit in Madrid will be one of the most important since NATO’s inception in 1949. It will draft the alliance’s “Strategic Concept” for the next decade, outlining its mission against the backdrop of Russia’s invasion of Ukraine and the admission of new members such as Finland and Sweden.

    Spain is campaigning for NATO to pay more attention to non-military threats on its so-called southern flank, comprised of the Maghreb and Sahel countries under growing Russian influence, Albares told Reuters in the interview, even as it addresses the Ukraine conflict on its eastern border.

    “We want an acknowledgement that there are also serious threats coming from the southern flank,” Spain’s chief diplomat said. “Terrorism, cybersecurity, the political use of energy resources and of irregular migration all impinge on our sovereignty,” he said.

    NATO insiders have told Reuters in recent weeks that, with an active conflict on its eastern flank and regions such as the Baltic states pushing for more resources, any firm commitment to the southern flank was unlikely.

    Sources also said the issue of migration was too divisive to gain consensus at the summit, even if Spain has the backing in its campaign from other southern European nations such as Portugal and Italy.
    DETERRENT EFFECT

    Albares said the mere inclusion of such hybrid threats in NATO’s strategy, as well as the reference to the southern flank as a region to monitor, would be enough to generate the “deterrent” effect that Spain seeks to protect its borders.

    “Nothing new needs to be done, it must just be borne in mind that a number of threats may emanate from the southern flank that at some point may require a NATO defensive reaction in exactly the same way as we are seeing on the eastern flank.”

    He said while a direct military threat from the south should be met with a NATO military response, “non-conventional” resources such as technology could be used to counter threats like cyberattacks and the weaponisation of irregular migration.

    “Let there be no doubt in anyone’s mind that such hybrid threats cannot be used to challenge our territorial integrity and sovereignty,” he said.

    Spain is also highlighting growing Russian influence in the Sahel region of West Africa. Russian private military contractor the Wagner Group is working with the Malian military to counter Islamic insurgency in the area, while former colonial power France pulled out troops. read more

    The European Union has imposed sanctions Wagner, which it says works on the Kremlin’s behalf. Moscow denies ties but it says it is providing “military assistance” through state channels. read more

    “Russia’s presence [in Mali] does not help in any way, it does not help in any way to advance democracy, to stabilise,” Albares said.

    https://www.reuters.com/world/europe/spain-wants-nato-flag-migration-hybrid-threat-policy-roadmap-says-foreign-2

    #menace #menace_hybride #migrations #asile #réfugiés #OTAN #NATO #Espagne #stratégie #concept_stratégique #souveraineté #southern_flank #flanc_sud #dissuasion #technologie

    ping @isskein @karine4

  • #Belgique, #Flandre : En 5 ans, la justice a enquêté sur 14 décès après des incidents dans des crèches Flandreinfo.be - L’Actu de Flandre
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/06/17/en-5-ans-la-justice-a-enquete-sur-14-deces-apres-des-incidents

    Au cours des cinq dernières années, la justice a enquêté sur 14 décès et 24 lésions cérébrales sur des enfants, qui pourraient être liés à un incident survenu dans une crèche en Flandre. Cette information a été donnée à la Commission d’enquête du Parlement flamand sur les problèmes dans les milieux de l’accueil à la petite enfance, a indiqué la députée Freya Saeys ce vendredi dans l’émission De Ochtend sur Radio 1. Dans deux cas, l’enquête a mené à une condamnation. Saeys souligne que les dossiers n’ont pas toujours mené à une surveillance accrue des crèches concernées.


    Pour certains cas de décès d’enfants, il est aussi question de mort subite, mais les chiffres inquiètent tout de même la parlementaire Freya Saeys. Elle soupçonne aussi des lacunes dans les suites qui ont été données à ces incidents. Il y a par exemple un décès survenu en 2019, pour lequel l’inspection des soins n’est toujours pas passée sur le lieu concerné, précise Freya Saeys (photo). Dans d’autres cas, l’avis sur les suites à donner ne connaît tout simplement pas de lendemain.

    Les enquêtes judiciaires de ces cinq dernières années n’ont abouti que dans deux cas à un jugement. Il est en effet souvent difficile de prouver où précisément les faits se sont déroulés et quelles personnes étaient impliquées. La Commission parlementaire poursuivait ses travaux ce vendredi. Lundi, c’est l’ancien ministre flamand du Bien-être, Wouter Beke, qui sera entendu. La Commission entamera ensuite la rédaction de son rapport final.

    Déjà 130 situations de danger signalées cette année
    Ce vendredi, l’Agence Opgroeien (qui comprend Kind & Gezin) passait à nouveau devant la Commission parlementaire, pour la troisième fois déjà. Ses responsables Katrien Verhegge (photo) et Ariane Van den Berghe devaient y répondre aux questions des députés. Elles leur ont notamment indiqué que depuis le début de cette année quelque 130 situations de danger dans l’accueil à la petite enfance ont été signalées à l’Agence Grandir. Cela représente 80% du total des situations recensées l’an dernier, et déjà davantage que l’ensemble des cas signalés les années précédentes.

    Selon Katrien Verhegge, ces chiffres donnent une fausse image de la situation. Depuis le décès d’un bébé à la crèche ‘t Sloeberhuisje (région gantoise) il y a quelques mois, les médias attacheraient nettement plus d’attention aux fermetures de crèches suite à des situations de danger, ce qui donne l’impression que les cas se multiplient. « Il y a légèrement plus d’interventions, mais nous ne suspendons pas davantage de crèches qu’auparavant ».

    Le nombre de dénonciations de situations dangereuses a par contre augmenté, pour atteindre 130 signalements déjà cette année. Katrien Verhegge estime que la crise actuelle dans le secteur joue un rôle dans cette vigilance accrue.

    L’administratrice-générale de l’Agence Opgroeien admettait par contre ce vendredi avoir commis une erreur dans le dossier de la gardienne de Furnes, dont la crèche a été fermée tout récemment après qu’un enfant ait déjà passé plusieurs semaines à l’hôpital, présentant des symptômes du bébé secoué. Cette crèche était reprise sur la liste d’une soixantaine de crèches qui avaient été réexaminées par l’inspection. Mais la ministre de tutelle Hilde Crevits n’en aurait pas été informée correctement et la crèche de Furnes avait alors reçu une évaluation « verte » lui permettant de reprendre son activité alors que l’évaluation était encore en cours.

    Katrien Verhegge reconnaissait devant la Commission parlementaire ce vendredi avoir commis l’erreur de ne pas communiquer à la ministre Crevits qu’une perquisition avait eu lieu à la crèche de Furnes. « Je comprends que la ministre était furieuse. Nous nous sommes excusées et signalerons à l’avenir toutes les perquisitions ». Au cours de la séance, plusieurs membres de la Commission ont cependant mis en question la position de Katrien Verhegge à la tête de l’Agence Opgroeien.

    #Bébés #petite_enfance #Crèches #judiciaire #bébé_secoué

  • Flanc salé au grana padano, fraises et balsamique
    https://www.cuisine-libre.org/flanc-sale-au-grana-padano-fraises-et-balsamique

    Mixer les œufs, le lait, la crème, le grana padano en morceaux jusqu’à obtenir un mélange fluide et homogène. Verser le mélange dans des moules huilés (en aluminium ou en silicone). Faire cuire au bain-marie dans un #Four préchauffé à 160°C pendant 20-30 minutes. Attendre que les flancs aient refroidi avant de les retirer. Servir les flancs avec des fraises fraîches et des gouttes de vinaigre… #Crème_fraîche, #Flans, #Fraise, #Parmesan / #Végétarien, #Sans viande, #Sans gluten, Four

  • Far breton aux pruneaux et au miel
    https://www.cuisine-libre.org/far-breton-aux-pruneaux-et-au-miel

    Délicieuse recette du Far breton aux pruneaux et au #Miel. Préchauffer le #Four au préalable à 180°C.

    Mélanger au fouet dans un saladier les œufs, le miel, la farine, puis le #Lait.

    Beurrer et fariner le moule rond en pyrex ou porcelaine à feu.

    Mettre votre préparation dans le plat et ajouter les pruneaux farinés.

    Cuire pendant 30 minutes à thermostat 5 ou 6 (180°C) Miel, #Pruneau, #Flans, Lait, #Bretagne / #Sans viande, #Végétarien, Four

  • Effets de la vaccination sur l’épidémie

    https://www.youtube.com/watch?v=_x-eozrCCNM

    Constat curieux : Les vagues de vaccination et de contamination arrivent en même temps.
    Marseille, les contaminations augmentent dans les beaux quartiers, suite au retour des sports d’hiver.
    « Dans les pays où on a le plus vacciné, il y a le plus de cas ».
    . . . . .

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #raoult #didier_raoult #france

  • Covid-19 : l’Espagne prépare déjà sa sortie de crise
    https://www.lefigaro.fr/international/covid-19-l-espagne-prepare-deja-sa-sortie-de-crise-20220113

    Les experts débattent de l’opportunité et de l’urgence de penser l’après-Covid. Non sans désaccords.


    Carolina Darias, ministre espagnole de la Santé, veut « passer d’un système de surveillance d’urgence à une surveillance soutenue ». OSCAR GONZALEZ/NurPhoto via AFP

    C’est une petite musique qui commence à résonner de plus en plus fort en #Espagne, pays très marqué par la virulence de la première vague et la rigueur des restrictions. Vendredi dernier, l’une des trois grandes associations de médecins généralistes d’Espagne, la Semfyc, a diffusé un article appelant à « la fin de l’exceptionnalité » : le texte propose ni plus ni moins de planifier l’élimination du port du #masque, des jauges et des quarantaines, de réserver la #vaccination des enfants aux cas de comorbidité, ou encore d’admettre comme « inévitable » un certain nombre annuel de morts de #Covid, « comme c’est le cas pour la grippe, le tabagisme, les suicides ou les accidents de la route ». Une façon de s’adapter à la progressive immunisation de la population et de désengorger les centres publics de santé, débordés par des cas de Covid bénins et des demandes d’arrêt-maladie.

    La suite payante.

    • #Flandres : « Vacciner à l’école contre le Covid va doper l’opposition aux autres vaccins »

      Le ministre flamand de l’Enseignement, Ben Weyts (N-VA), a réitéré jeudi son opposition à vacciner les enfants contre le Covid-19 dans le cadre scolaire.
      Il craint que cette démarche ne crée une polarisation et contribue à accroître l’opposition à d’autres vaccins, comme par exemple celui contre la rougeole.

      Les Centres pour l’accompagnement des élèves (CLB) témoignent en ce sens, indiquant que des parents commencent à s’opposer à des vaccins couramment administrés.
      Des vaccinations auront néanmoins lieu dans diverses écoles primaires en Flandre, notamment à Beveren, Kruibeke, Houthalen-Helchteren et dans la région d’Alost.
      Logique  ! Curieux que ce point ne soit jamais évoqué.

      #confiance

  • Endives de Flandre
    https://www.cuisine-libre.org/endives-de-flandre

    Débarrasser les endives de leurs feuilles extérieures avant de les passer rapidement sous l’eau courante (les laisser tremper les rend amères). Enlever un petit cône à la base, là où se concentre l’amertume. Placer les endives dans une grande casserole, ajouter le jus d’1/2 citron, 1 pincée de sel et 30 g de beurre.

    Verser de l’eau à hauteur. Porter à ébullition sur feu vif, couvrir d’un papier sulfurisé beurré, puis baisser le feu et faire cuire pendant 35 min. Laisser les endives refroidir dans le jus de… #Endive, #Garnitures, #Flandre / #Végétarien, #Sans œuf, #Sans gluten, #Sans viande, Mijoté

    #Mijoté

  • #Flandres Sous la pression du PVDA, le salaire des parlementaires flamands sera réduit de 5% Eric Steffens
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/10/06/sous-la-pression-du-pvda-le-parlement-flamand-va-reduire-de-5

    Le Parlement flamand va réduire les indemnités des parlementaires de cinq pour cent et cette mesure sera introduite dès ce mercredi. C’est ce qu’a annoncé le député Open VLD Willem-Frederik Schiltz. Fin décembre 2019, une résolution en ce sens avait déjà été approuvée à l’unanimité, mais elle n’avait toujours pas été mise en œuvre. Le parti d’opposition d’extrême gauche PVDA l’a dénoncé et a donc réintroduit la résolution aujourd’hui.

    Revenons à la fin de l’année 2019. Le gouvernement flamand avait annoncé des coupes budgétaires, notamment dans le secteur culturel. En guise de contrepoids, les salaires des députés flamands devaient diminuer de cinq pour cent, une baisse de salaire que le Parlement fédéral avait déjà appliquée quelques années auparavant.

    La résolution avait été approuvée à l’unanimité par le Parlement flamand. Toutefois, la réduction n’a pas été immédiate : le Bureau élargi du Parlement - qui est responsable du fonctionnement quotidien du Parlement – devait élaborer une proposition d’ici mai 2020.

    Mais cela n’avait toujours pas eu lieu. C’est ce qu’a déclaré le parti d’opposition PVDA la semaine dernière, lorsqu’il a été décidé au Parlement de toucher à l’indemnisation des parlementaires malades de longue durée. Le chef du parti PVDA, Jos D’Haese, a donc voulu intensifier le forcing, en soumettant à nouveau une résolution ce mercredi.

    « Nous allons soumettre exactement le même texte. Avec un nouveau délai : d’ici l’élaboration du budget en janvier 2022. Nous attendons le soutien de tous les membres du Parlement pour mettre en œuvre cette proposition », a déclaré Jos D’Haese ce matin dans « De ochtend » sur Radio 1 (VRT).
 
    Une mesure effective à partir du 1er janvier prochain
    Au bout du compte la mesure sera désormais effectivement mise en œuvre par le Bureau élargi du Parlement flamand. Willem-Frederik Schiltz, président de groupe du parti au pouvoir Open VLD, a déclaré à la VRT NWS.

    « L’intention était de faire en sorte que le statut des parlementaires soit aussi similaire que possible dans toute la Belgique. Une étude a été réalisée à cette fin, et la présidente du Parlement flamand Liesbeth Homans (N-VA) a présenté cette proposition à la conférence de tous les présidents de parlement. Il semble qu’il y ait une certaine opposition ici et là. Nous réexaminons donc la proposition ici au Parlement. J’ai également convoqué le Bureau élargi aujourd’hui et nous adopterons la proposition ce mercredi. »

    La mesure devrait donc être effective à partir du 1er janvier prochain, l’indemnité des élus flamands, qui s’élève à environ 6000 euros, sera raboté de 5%.

    #députés #sénateurs #parlementaires #salaires #PTB #argent #solidarité

  • Une rentrée sans manuels pour 400 écoles flamandes
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/08/21/une-rentree-sans-manuels-pour-400-ecoles-flamandes

    Entre 350 et 400 écoles primaires néerlandophones devront débuter l’année scolaire sans manuels en raison de problèmes de livraison imputables à la société néerlandaise Cloudwise, indiquent ce samedi les quotidiens Het Laatste Nieuws et De Morgen. « Une situation très ennuyeuse et inadmissible pour nos écoles » , a réagi la direction de l’enseignement catholique en Flandre (Katholiek Onderwijs Vlaanderen).

    La société néerlandaise Cloudwise a repris depuis cette année la gestion des commandes de livres scolaires, auparavant confiée au Standaard Boekhandel. « Le retard actuel est malheureusement dû à notre partenaire logistique et sous-traitant qui est responsable de la réception, du traitement et de la livraison de tous les livres scolaires provenant de divers éditeurs », s’est défendu le directeur de Cloudwise, Philip Vermeylen, qui assure mettre tout en œuvre pour trouver une solution.

    Il envisage notamment aussi d’assumer les coûts d’impression et de copies de documents.

    « En dépit de promesses, l’entreprise ne peut satisfaire aux exigences de l’accord-cadre repris à Standaard Boekhandel. C’est évidemment un grave problème, qui va rendre difficile toute collaboration à long terme », a pour sa part réagi Pieter-Jan Crombez, porte-parole du réseau de l’enseignement catholique.

    #Flandres #Belgique #Cloudwise #Ecole #Enseignement #Livres #incompétence #enfants #néolibéralisme #éducation

  • « Ruche » de Zedelgem - Des SS lettons commémorés en Flandre
    https://dossiers.parismatch.be/ruche-de-zedelgem-des-ss-lettons-commemores-en-flandre

    En 1945, près de 12.000 légionnaires SS lettons furent détenus dans un camp pour prisonniers de guerre à Zedelgem.
    Dans cette commune de Flandre occidentale, depuis plus de deux ans déjà, un monument leur est dédié.
    Les expressions d’indignation et les appels à débat venant de la société civile ont été ignorés (ou presque) par le monde politique belge.
    Pourtant ces voix dénoncent une insupportable insulte à la mémoire des victimes du nazisme. Les autorités locales affirment qu’elles souhaitent seulement célébrer la « liberté » (sic).
    Un conseiller communal d’extrême-droite (Vlaams Belang) qui a joué un rôle important dans ce projet ‘’mémoriel’’, a été décoré à Riga pour son « travail exceptionnel réalisé au profit de la Lettonie. » 

    A Zedelgem, près de Bruges, sur une place dite de « la liberté », une « ruche lettonne » stylisée invite au souvenir de 12.000 de ces légionnaires des 15ème et 19ème divisions Waffen-SS qui, pendant huit mois, entre 1945 et 1946, furent détenus dans le camp pour prisonniers de guerre du Vloethemveld, situé à quelques kilomètres de là. Stupéfiant ? A l’évidence. Mais il y a pire encore : malgré les manifestations d’indignation répétées de certains citoyens, l’érection d’un tel monument n’a fait l’objet d’aucun débat politique en Belgique. Le souvenir des temps mauvais semble inexorablement s’effacer, la mémoire s’étiole. Cela contribue à la grande confusion idéologique d’une époque où l’on voit resurgir certains fantômes de jadis ; tout profit pour l’extrême-droite européenne qui n’a eu de cesse au cours des dernières décennies de réviser l’histoire, dans l’espoir de prendre sa revanche sur la démocratie.

    En marge de cette affaire éminemment politique, il y a pourtant eu des lanceurs d’alerte. De nombreuses lettres furent adressées à diverses autorités du pays par « The Belgians Remember Them », une association qui entretient la mémoire des aviateurs de la « Royal Air Force » qui tombèrent sur le sol belge pendant la guerre.


    Wilfred Burie, son président, raconte : « Durant l’automne 2020, j’ai découvert l’existence de ce monument. Il a été érigé par les autorités communales de Zedelgem en septembre 2018 et, à l’époque, d’évidence, cela est passé comme une lettre à la poste. Après avoir rassemblé de la documentation sur l’histoire de ces Lettons ayant appartenu à la SS, j’ai écrit à tous les membres du gouvernement pour leur faire part de mon indignation. Je n’ai reçu qu’une seule réponse, évasive d’un ministre, m’expliquant que cette question ne relevait pas de ses compétences. Du côté du parlement, seul le député André Flahaut (PS) s’est mobilisé. A la mi-décembre 2020, il a interpellé le ministre fédéral de la Justice, Vincent Van Quickenborne (Open-Vld). Mais cela n’a débouché sur aucune remise en question officielle de la présence d’un monument qui glorifie des Waffen-SS en Belgique. »
    . . . . . .
    Par deux fois déjà, la Commission contre le Racisme et l’Intolérance du Conseil de l’Europe a publié des rapports sur la Lettonie dans lesquels elle « condamne les commémorations des personnes qui ont combattu dans la Waffen-SS et qui ont collaboré avec les nazis ». En 2012, elle soulignait que « toute tentative de justifier le fait d’avoir combattu dans une unité de la Waffen-SS et d’avoir collaboré avec les nazis risque de renforcer le racisme, la xénophobie, l’antisémitisme et l’intolérance. »

    En 2019, évoquant une nouvelle fois la marche des ex-légionnaires SS et de leurs supporters à Riga, la même institution se déclarait « particulièrement préoccupée par le fait que des députés du parti de l’Alliance nationale, membre de la coalition au pouvoir, aient été vus à plusieurs reprises à ces cérémonies ». Et de renouveler sa « recommandation aux autorités lettones de condamner toute initiative visant à rendre hommage à des personnes ayant combattu dans une unité de la Waffen-SS. »
    . . . . . . .
    En Lettonie aussi, la question des légionnaires SS fait débat. A chaque fois que ces nostalgiques défilent, des contre-manifestants cherchent à faire entendre leur désapprobation au nom du souvenir des victimes du nazisme. En 1998, le parlement letton a décidé de donner un statut officiel à cette manifestation mais, trois ans plus tard, sous la pression internationale et alors que la Lettonie allait bientôt rejoindre l’Union européenne (1er mai 2004), « la journée de la légion » a été rangée dans le rayon des événements officieux. Mieux, la ville de Riga a voulu l’interdire mais, à la suite d’un recours juridique introduit par ses organisateurs devant les tribunaux locaux, la marche des légionnaires a été maintenue.


    Les milieux nationalistes lettons avancent régulièrement des arguments qui, d’après eux, permettent de célébrer ces légionnaires. Ils soulignent qu’en octobre 1939, la Lettonie fut victime du pacte germano-soviétique qui déboucha, en 1940, sur une première occupation par l’URSS : des milliers de Lettons furent alors déportés par le régime stalinien. A partir de l’été 1941, la Lettonie fut l’objet d’une seconde occupation, lorsque les nazis attaquèrent à l’Est.

    Comment se fait-il que des milliers de Lettons en arrivèrent ensuite à endosser l’uniforme de la Waffen-SS ? Le discours officiel letton appuie l’idée qu’il ne s’est pas agi d’un acte volontaire : « L’Allemagne nazie a formé la Légion lettone en 1943, violant ainsi la Convention de La Haye de 1907 qui interdit aux puissances occupantes de recruter dans leur armée les habitants des territoires occupés. Les conscrits ont été appelés « volontaires » pour contourner la Convention. Ceux qui tentaient d’éviter la conscription dans la Légion risquaient d’être emprisonnés et condamnés à mort. La Légion lettone était une unité de première ligne, dont un tiers des soldats est mort sur le front. Aucun légionnaire n’a jamais été reconnu coupable de crimes de guerre en tant que membre de la légion. », dixit un communiqué publié en 2015 par l’ambassade de Lettonie en France.

    #Ruche #ss #wafen_ss #Vlaams_Belang #Flandres #Riga #Lettonie #extrême-droite_européenne #nazisme #révisionnisme #mémoire #projet_mémoriel

  • La surprenante évolution des médias flamands pendant la crise sanitaire De Standaad - Tom Heremans , Guilhem Lejeune
    https://daardaar.be/rubriques/culture-et-medias/la-surprenante-evolution-des-medias-flamands-pendant-la-crise-sanitaire

    Les médias flamands ont fait florès durant la crise, surtout en ligne. Une évolution que confirme l’étude menée par le groupe Imec-SMIT (VUB) dans le cadre du « rapport annuel sur l’information numérique » (une initiative internationale émanant de l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme). 
Mais elle met aussi en évidence quelques grandes tendances, dont certaines semblent démentir cet essor, ou du moins le nuancer. Cette enquête consiste en un questionnaire soumis à 2000 Belges, dont 926 Flamands. Si certaines réserves sont donc de mise, les résultats n’en sont pas moins intéressants.
    « On peut dire qu’on a vu là la première véritable vague de fake news de Belgique
    L’étude révèle que l’appétit de la population pour l’information a certes été attisé, mais que certaines catégories consultent la presse en ligne plus souvent et davantage, tandis que d’autres (principalement les plus diplômées) s’en sont un peu écartées. Du reste, les chercheurs distinguent un groupe de personnes qui s’en sont totalement détournées. « En plus de l’anxiété, ces gens indiquent que la principale raison pour laquelle ils évitent l’actualité, c’est une surcharge d’information », analyse Ike Picone, chargée de cours en Médias et Journalisme à la VUB, qui a dirigé le volet flamand de l’enquête.

    Fake news
    Les fake news, qui ne sont pas évoquées comme motif de désaffection du public pour les médias, sont tout de même citées dans l’étude, mais comme un fléau qui vient s’ajouter aux difficultés engendrées par le coronavirus.
« On peut dire qu’on a vu là la première véritable vague de fake news de Belgique », ajoute la spécialiste. « 36 % des répondants affirment avoir été confrontés à de fausses informations en lien avec le virus. Et plutôt que des médias à proprement parler, ils considèrent que ces infox émanent surtout des responsables politiques. »

    En effet — autre fait remarquable —, après des années de déclin, on a assisté à un regain de la confiance envers les médias durant la crise, même si celle-ci se limite aux organes établis (la VRT en tête). « On remarque que les gens se tournent moins vers les réseaux sociaux comme source d’information », poursuit Ike Picone. « Ils ont davantage tendance à consulter les sites d’actualité directement. »

    Autre habitude avec laquelle ils renouent — et c’est peut-être le résultat le plus marquant de l’étude — : ils regardent les journaux télévisés. « Les audiences des JT progressent à nouveau depuis quelques années », confirme l’experte. « Depuis le début de la crise, ils sont repartis à la hausse, de pas moins de 8 points. Cela s’explique évidemment en partie par les confinements, puisque tout le monde était enfermé chez soi, mais aussi par l’aspect “humain” : manifestement, lorsque l’époque est à l’angoisse, ce rendez-vous quotidien avec une figure empathique apporte du réconfort. »

    « Les audiences des JT progressent à nouveau depuis quelques années
    Quoi qu’il en soit, les médias établis sortent renforcés de cette crise, conclut Ike Picone. « Reste à savoir comment les choses évolueront dans la durée, car notre enquête montre que les Belges sont à peine plus disposés qu’auparavant à acheter des informations payantes. Il s’agira donc d’éviter une rechute aussitôt qu’on sera venu à bout de la pandémie. »

    #médias #merdias #propagande qui se voit trop #fake_news #manipulation #désinformation #censure #journulliste #journullistes #pandémie #politique #médiacrates #mass_merdias #épidémie #imposture #enfumage #medias #confinement #Belgique #Flandres

  • Tarte au citron d’Anké
    https://www.cuisine-libre.org/tarte-au-citron-d-anke

    Fameuse tarte au citron du Docteur Anké. Pour la pâte Mélanger la farine avec le beurre, les jaunes et le sucre. Ajouter l’eau et pétrir la pâte. Étaler la pâte dans le plat de cuisson. Cuire au #Four pour 40 minutes à 180°C. Laissez refroidir la pâte, puis la couper en 2 parties. Pour la garniture Zester 2 citrons puis presser le jus des 3 citrons. Malaxer le beurre avec le sucre, ajouter le jus et le zeste de citron et les œufs. Remuer et cuire au bain marie jusqu’à ce que le mélange ait la consistance… #Citron_jaune, Farine de blé, #Flans_pâtissiers, #Russie / #Sans viande, Four

    #Farine_de blé

  • La #pauvreté des enfants au niveau local : cartographie communale

    En #Belgique, plus d’un enfant sur six vit sous le #seuil_de_pauvreté, mais cette pauvreté n’est pas répartie de la même façon dans toutes les communes. Actuellement, seule la #Flandre dispose d’un outil de mesure de la pauvreté des enfants au niveau communal : le #Kansarmoede_Index. Afin de mieux cerner le phénomène, la Fondation Roi Baudouin a chargé l’Université de Mons en 2018 de cartographier les facteurs de risque de pauvreté des enfants sur l’ensemble du pays et à l’échelon communal.

    Vous trouverez ci-dessous six cartes représentant la Belgique avec, pour chacune d’elles, les données de chaque commune relatives à un indicateur de risque de pauvreté des enfants. Ces cartes sont interactives : en les parcourant avec la souris, vous verrez apparaître à l’écran les chiffres pour chaque commune.

    Les cinq premières cartes présentent cinq indicateurs indirects de risque de #pauvreté_des_enfants. Ils portent sur l’ensemble de la Belgique et mesurent des facteurs de (haut) #risque_de_pauvreté dans les #ménages avec enfants de 0 à 18 ans, mais pas la pauvreté des enfants en tant que telle. Il faut donc les interpréter avec précaution. Les cartes sont individuelles, mais complémentaires : c’est en prenant en compte plusieurs indicateurs indirects qu’on obtient une meilleure image du risque de pauvreté couru par les enfants de chaque commune.

    1. Les bénéficiaires d’un #revenu_d’intégration_sociale (#RIS) ou équivalent (eRIS) en charge d’un ménage

    Cet indicateur met en évidence le pourcentage de familles bénéficiaires du RIS ou eRIS dans chaque commune et parmi les ménages avec enfants. Plus une commune compte de bénéficiaires d’un RIS ou eRIS en charge d’un ménage, plus le risque de pauvreté des enfants est élevé.

    2. Les revenus moyens par ménage

    Cet indicateur donne une approximation de la richesse des ménages dans chaque commune. Plus l’indicateur est élevé, plus faible est le risque de pauvreté des enfants.

    3. La part des #mineurs vivant dans un ménage sans revenu du travail

    Vivre dans un ménage sans revenu du travail est l’indicateur indirect le plus fiable du risque de pauvreté des enfants. Plus cet indicateur est élevé, plus nombreux sont les enfants à risque de pauvreté.

    4. La part des ménages vivant dans un logement public social

    Cet indicateur doit être interprété avec précaution. Même si les enfants vivant dans un logement public social sont plus à risque de pauvreté, un taux élevé de ménages vivant dans un logement public social peut aussi refléter une stratégie communale active de lutte contre la précarité des familles.

    5. Le type de ménage – focus sur les ménages monoparentaux

    Vivre dans une famille monoparentale, dont le parent est le plus souvent une femme seule, augmente le risque de pauvreté des enfants. Toutefois, cet indicateur doit être interprété avec prudence car certains parents seuls disposent de revenus suffisamment élevés, d’un réseau social ou d’autres types de ressources qui protègent leur(s) enfant(s) du risque de pauvreté.

    6. Le dernière carte présente le Kansarmoede Index (Index de risque de pauvreté), le seul indicateur direct de la pauvreté des enfants développé par l’organisme flamand Kind en Gezin et disponible uniquement pour la Flandre. Cet indicateur fournit le pourcentage d’enfants entre 0 et 3 ans qui vivent dans un ménage défavorisé. Le pourcentage de risque de pauvreté est calculé sur la base de six domaines : le revenu mensuel de la famille, le niveau d’éducation des parents, le niveau de stimulation de l’enfant, la situation professionnelle des parents, la qualité du logement et la santé. Les familles sont considérées comme à risque de pauvreté lorsque leur situation est impactée négativement dans trois des six domaines. Plus cet indicateur est élevé, plus les familles sont à risque de pauvreté.

    https://www.kbs-frb.be/fr/cartographie_pauvreteinfantile

    #cartographie #Belgique #pauvreté #enfants #enfance #visualisation #chiffres #statistiques #pauvreté_des_enfants #communes #indicateurs

    via @suske

  • Choux de Bruxelles à la #Saucisse
    http://cuisine-libre.org/choux-de-bruxelles-a-la-saucisse

    Des choux de Bruxelles, une paire de saucisses et hop ! Mettre une grande quantité d’eau non salée à bouillir avec un bouquet garni. Ôter les feuilles flétries des choux, couper la partie du pied qui dépasse et rincer sous l’eau courante. Les jeter dans l’eau bouillante avec les saucisses. Cuire à petits bouillon, pour ne pas abimer les choux, pendant 10 à 20 minutes. Vérifier la cuisson des choux de la pointe d’un couteau. Égoutter. Couper les choux en deux et les saucisses en rondelles. Poivrer.… #Choux_de Bruxelles, #Potées, Saucisse, #Flandre / #Sans œuf, #Sans lactose, #Sans gluten, #Bouilli

    http://cuisine-libre.fr/local/cache-gd2/74/d5c0f0bdd797776c14c252474c04c6.jpg?1602928428

  • La Horde – Schild & Vrienden : l’organisation flamande qui séduit Génération Identitaire
    https://lahorde.samizdat.net/2020/11/02/schild-vrienden-lorganisation-flamande-qui-seduit-generation-ident

    Les points de convergence ne manquent pas entre S&V et Génération Identitaire : mêmes vidéos mettant en scène les militants en action, même usage des réseaux sociaux, même communication, mêmes réponses aux journalistes quant à leur bord politique. Van Langenhove, tout comme Verhassel après la diffusion de Generation Hate par Al Jazeera, nie en bloc toute filiation à l’extrême droite et hurle à la manipulation médiatique.

    Plus globalement, les fascistes français et flamands prétendent incarner une même jeunesse appelée à “libérer” son pays, tout en se faisant l’incarnation de valeurs traditionnelles, qui seraient, selon eux, tombées en désuétude. Ils motivent leurs actions par la promotion d’un roman national rétrograde et imaginaire qu’ils servent à toutes les sauces.

    Tous se réclament d’une identité européenne commune, implicitement supérieure aux autres, qui serait, elle aussi, menacée d’extinction. Ils partagent l’idéologie selon laquelle, si l’Europe va mal, c’est qu’elle a perdu de son uniformité ethnique et culturelle. Ainsi se donnent-ils le rôle de rétablir l’ordre, et par la force s’il le faut.

    Les similitudes sont nombreuses, mais il y a une chose qui pourrait rendre les militants français jaloux des flamands ; Génération Identitaire est, contrairement à Schild & Vrienden et son leader, une organisation sans tête. De plus, Van Langenhove a l’avantage d’être confortablement installé en politique et peut, en toute quiétude, diffuser ses idées fascistes en tant que député fédéral à la Chambre des représentants belges. Le récent succès du Vlaams Belang aux élections du 26 mai 2019 en Flandre n’a fait qu’accroître la popularité du parti. A cette occasion, il est devenu le deuxième parti de Flandre avec un score de presque 20%, et cela contre toute attente. De quoi donner le tournis aux Français qui peinent encore à trouver leur représentant au niveau national.

    De leur côté, encouragés par cette inquiétante percée, Dries Van Langenhove et sa bande entendent bien continuer de forger l’image d’un parti jeune et audacieux, avec des soutiens au quatre coins de l’Europe. Leur nouvel objectif : remporter les élections législatives fédérales belges prévues pour 2024.

    #flandres #flammands

  • Coronavirus en Israël : des milliers de personnes mises en quarantaine sans raison sur la base des données de leur GSM
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-en-israel-des-milliers-de-personnes-mises-en-quarantaine-san

    Des milliers d’Israéliens ont été placés en quarantaine sans raison apparente, sur la base des données de leur GSM, a admis le ministère de la Santé israélien. Près de 12.000 personnes ont reçu un SMS de la part du Shin Bet, le service de renseignement intérieur israélien, les invitant à se mettre en quarantaine, a déclaré mardi un porte-parole du ministère de l’Intérieur devant une commission parlementaire.

    Le gouvernement israélien utilise son agence de sécurité intérieure pour le traçage des citoyens afin de lutter contre l’augmentation du nombre de cas de Covid-19. Appliqué par le Shin Bet au début de la crise sanitaire, ce programme de surveillance controversé a été bloqué temporairement par la Cour suprême de l’État hébreu fin avril, avant d’être relancé fin juin.

    Selon le journal Times of Israel, des dizaines de milliers d’Israéliens ont reçu, au cours de la première semaine de la reprise du programme, un SMS leur conseillant de se placer en quarantaine en raison d’une potentielle infection à la Covid-19.

    Cent cinquante employés d’une ligne d’écoute ont été chargés de répondre aux questions concernant les SMS. Ils ont reçu plus de 26.000 appels entre le lancement de la ligne et dimanche dernier. Dans 83% des cas, les appels concernaient des protestations contre l’imposition de la quarantaine par voie d’un SMS. Environ 12.000 personnes ont été notifiées qu’elles ne devaient plus rester en quarantaine.

    Ce type de surveillance électronique a jusqu’à présent été utilisé pour lutter contre le terrorisme. L’intention était, au cours de la crise sanitaire, d’utiliser les données de localisation des GSM des personnes infectées pour établir avec qui ces dernières avaient récemment été en contact. Les personnes potentiellement contaminées étaient alors alertées par SMS et priées de se placer en quarantaine.

    #erreur_intentionnelle ? #algorithme foireux ? #vie_privée #surveillance #données #bigdata #privacy #données_personnelles #santé #GSM #géolocalisation #covid-19 #coronavirus #quarantaine #shin_bet

    • La police flamande de Hasselt (NVA) retrouve ses anciennes habitudes, fouiller les greniers afin de rechercher les fêtards, en attendant mieux.

      Coronavirus à Hasselt : il planque les clients de son café dans son grenier à l’arrivée de la police
      https://www.rtbf.be/info/insolites/detail_coronavirus-a-hasselt-il-planque-les-clients-de-son-cafe-dans-son-grenie

      Le patron d’un café de Hasselt espérait berner la police lorsque celle-ci s’est présentée aux petites heures à la porte de son établissement. Il venait de couper la musique et de faire passer au grenier 13 fêtards qui espéraient encore danser et chanter quelques heures de plus. Mais les forces de l’ordre ont fini par découvrir la planque.


      Le bourgmestre de Hasselt, Steven Vandepu. - © JORIS VLIEGEN - BELGA

      La police est intervenue vers 02h00 dans la nuit de lundi à mardi après avoir reçu un appel faisant état de nuisances sonores. L’établissement ne respectait en outre pas le couvre-feu imposé à 01h00 du matin en raison du coronavirus.

      Chaque fêtard et le gérant ont reçu un procès-verbal pour ne pas avoir respecté les mesures corona. Le patron a également écopé d’un PV pour avoir autorisé sa clientèle à fumer à l’intérieur du bar. . . . . .

      Pourtant, ce sont les dirigeants belges qui, par leur épouvantable gestion de l’épidémie de #coronavirus ont tué, les vieillards, principalement. Certain.e.s de faim et de soif, témoignages #MSF

      #police #flandres #Belgique #Traditions #violences_policières #surveillance #répression #violence #maintien_de_l'ordre #coronavirus #covid-19 #entrainement #rafles #rafle

    • La Belgique inflige une amende de 600.000 euros à Google pour atteinte à la réputation
      https://datanews.levif.be/ict/actualite/la-belgique-inflige-une-amende-de-600-000-euros-a-google-pour-atteinte-a-la-reputation/article-news-1310641.html?cookie_check=1594786091

      Google Belgium devra s’acquitter d’une amende de 600.000 euros. L’Autorité de protection des données (APD) belge a sanctionné l’entreprise, parce qu’elle a refusé de supprimer des résultats de recherche dommageables.

      L’APD inflige cette amende suite à une plainte déposée par un homme qui voulait voir supprimer quelques résultats du moteur de recherche. Depuis quelques années, les Européens ont le ’droit d’être oubliés’, ce qui leur permet de demander de supprimer certains résultats de recherche. Mais dans un premier temps, Google décide elle-même si une telle demande se justifie.

      L’homme en question n’est pas nommément mentionné, mais il s’agit, selon l’APD, de quelqu’un qui exerce une fonction dans la vie publique. Les résultats qu’il voulait voir enlever, portent sur ses possibles liens avec un parti politique, ce qu’il réfute, et sur une plainte pour brimade à son égard, qui avait été déclarée infondée il y a des années déjà.

      Google n’a pas accepté de supprimer ces deux résultats. La Chambre des litiges de l’APD a donné raison à Google pour la première partie, parce que l’homme joue un rôle dans la vie publique et que ces résultats ont donc un intérêt général.

      Mais pour ce qui est de la plainte pour brimade, l’APD se montre très critique vis-à-vis de Google. Par son refus, l’entreprise s’est montrée négligente, parce qu’elle disposait des preuves que les faits en question étaient ’non pertinents et désuets’. Il s’agit en effet d’une plainte datant de plus de dix ans et portant sur des faits qui n’ont jamais été démontrés.

      Formulaire de demande incorrect
      L’amende de 600.000 euros n’est pas infligée pour ce seul refus. L’APD estime en effet que le formulaire de demande de suppression de résultats n’est pas suffisamment transparent. L’APD invite dès lors Google à adapter ce formulaire à l’Espace Economique Européen.

      Google Belgium botte en touche
      Ce qui est étonnant, c’est que Google Belgium a, dans son argumentation, considéré comme infondée la plainte déposée auprès de l’Autorité de protection des données du fait que le responsable du traitement n’est pas Google Belgium, mais Google LLC, la société mère aux Etats-Unis.

      Ce raisonnement n’a pas été suivi par la Chambre des litiges de l’APD. Pour elle, les deux organisations sont liées de manière indissociable, ce qui fait que c’est la filiale locale belge de Google qui est responsable.

      Il s’agit d’un singulier précédent dans la mesure où les grandes firmes technologiques se réfèrent dans ce genre de situations assez souvent à leur siège central européen ou américain, ce qui fait qu’un jugement prend souvent pas mal de temps et se complexifie. La Chambre des litiges suit cependant Google dans le fait que son siège européen établi en Irlande n’est pas responsable de la suppression des résultats de recherche.

      La plus forte amende à ce jour
      Pour l’Autorité de protection des données belge, il s’agit de la plus forte amende jamais infligée à ce jour. Le précédent record était de 50.000 euros. Pour Google aussi, il est probablement question d’un record dans notre pays. En 2011, l’entreprise avait encore proposé un arrangement d’un montant de 150.000 euros, parce qu’elle avait intercepté https://datanews.knack.be/ict/nieuws/belgische-boete-voor-google/article-normal-280643.html?cookie_check=1594786373 par mégarde avec ses voitures Street View des communications privées.

      Google en appel
      Google annonce qu’elle va en appel de l’amende qui lui est infligée. Celle-ci a été introduite auprès du tribunal des marchés, une composante de la Cour d’Appel de Bruxelles.

      « Depuis 2014, nous avons travaillé dur pour implémenter le droit à l’oubli en Europe et pour trouver un équilibre sensé, basé sur des principes, entre le droit des citoyens à l’accès à l’information et le respect de leur vie privée. Nous estimons que cette affaire ne répond pas aux critères de la Cour européenne de Justice de supprimer des résultats de recherche du contenu journalistique publié. Nous pensons qu’il y va de l’intérêt général que l’article en question puisse encore être recherché. L’Autorité de protection des données n’est pas du même avis. Nous allons donc demander à la Cour de décider », affirme Google dans une réaction à . . . . . .

      Data News.

      #vie_privée #google #internet #données_personnelles #bigdata #données #privacy

  • La rêverie à Paris
    https://topophile.net/savoir/la-reverie-a-paris

    Venez-vous de passer deux mois confiné·e sans pouvoir flâner dans les allées de votre chère ville, sans pouvoir respirer le parfum des arbres florissant ? À quelques jours de la fin de ce calvaire, Georges Sand vous invite en promenade dans ses souvenirs du Paris de 1867… Il y a plus de 150 ans, déjà, on se plaignait de la circulation et des poussières, du faux-semblant de nature en ville. Mais qu’importe ? La végétation et l’eau dans Paris ont tant à nous apprendre, pour que l’on veuille bien s’adonner à la flânerie. Le retour de la vie urbaine en est bien l’occasion ! D’ici là, embarquez pour un voyage lyrique, critique et (...)

  • Deregulierte Taxipolitik: Wartezeit für ’App-Taxis’ gekippt
    https://www.taxi-times.com/deregulierte-taxipolitik-in-flandern-15-minuten-wartezeit-fuer-app-taxis

    6. Februar 2020 von Wim Faber - Meinungsumschwung bei flämischen Politikern: Ursprünglich war eine obligatorische 15-Minuten-Wartezeit für App-Taxis (und Uber) eine von vielen Maßnahmen einer neuen Taxipolitik der flämischen Regierung. Jetzt hält man diese Wartezeit für „absurd“. In der parlamentarischen Debatte war Mobilitätsministerin Lydia Peeters nach lauten Protesten von Uber-Seite auffällig schnell bereit, diesen Punkt zu streichen.

    Am 1. Januar 2020 trat die neue, deregulierte Taxigesetzgebung im belgischen Flandern in Kraft, wobei zwischen „Taxistandtaxis“ und App-Taxis („Straßentaxis“) unterschieden wird. Um die erstgenannte Kategorie vor zu großer Konkurrenz zu schützen, wurde – nach dem Vorbild von Barcelona – eine 15-Minuten-Regelung eingeführt: alle „App-Taxis“ dürfen erst nach einer Wartezeit von 15 Minuten die Fahrt antreten. In Barcelona hatte die gleiche Regelung dazu geführt, dass Uber die Stadt verließ.

    Obwohl keine Regierungspartei Einwände erhoben hatte, will Ministerin Peeters diese Maßnahme nun streichen – gerade als das Taxigewerbe dies in die Taxiverordnung aufgenommen hatte, um verschärfte Konkurrenz an den Taxiständen zu beseitigen. Jetzt soll eine Art von „Perimeter“, eine Schutzzone um die Halteplätze, für Schutz vor der Uber- und App-Taxi-Konkurrenz sorgen.

    In den sozialen Medien wechselten sich Spott und Empörung über die vorgeschriebene Wartezeit ab. Das Lachen schmerzt zusätzlich, weil die „alte“ flämische Regierung gerade das Taxi-Dekret „zur Modernisierung des Sektors“ erlassen hatte. Die Tarife für sogenannte „Straßentaxis“ wurden freigegeben, die Beschränkung der Anzahl der Genehmigungen wurde aufgehoben und Taxis konnten seit dem 1. Januar überall in Flandern eingesetzt werden. Wie jeder „Deregulierungspolitiker“ wollte der damalige Mobilitätsminister Ben Weyts „mehr Taxis zu niedrigeren Preisen“.

    Doch der Ehrgeiz von Weyts stieß von Anfang an auf Widerstand aus dem Taxigewerbe, wo man der Meinung war, dass der Minister „den roten Teppich für Uber ausrollte.” Uber ist im Moment nur in Brüssel und am Brüsseler Flughafen tätig – meist mit Mietwagen-Konzessionen. Direkt am Flughafen ist der Fahrdienstvermittler nicht willkommen. Die Uber-Fahrer stehen deshalb im Bereich einer Tankstelle in der Nähe und warten dort auf Bestellungen.

    Als die Begrenzung für Taxikonzessionen verschwand, befürchtete das Taxigewerbe, dass neue Akteure wie Uber den Markt „überfluten“ und einen Preiskampf auslösen würden. Darüber hinaus führe das Dekret zu einem unlauteren Wettbewerb zwischen Taxistand- und App-Taxis, da die flexibleren Regeln in erster Linie für App-Taxis gelten die auf der Straße angehalten oder per App – wie bei Uber – bestellt werden können. Um zu vermeiden, dass App-Taxis einfach neben den Taxiständen warten, forderte das Taxigewerbe „eine Korrektur“.

    Alle Beteiligten geben zu, dass die in der Entscheidung enthaltene 15-Minuten-Regel auf Ersuchen des Taxigewerbes verfasst wurde. Laut Uber-Fahrern kam die Idee aus Barcelona, aber der Taxiverband GTL sagt, „dass die Frage auch von den örtlichen Behörden kam. Sie wollten nicht, dass ihre Gemeinde von Taxis überflutet wird.“

    Mobilitätsministerin Peeters war in der politischen Debatte letzte Woche auffällig schnell bereit, die 15-Minuten-Maßnahme zu streichen und eine neue Lösung zu suchen. Im Taxigewerbe meint man nun, dass die Ministerin „für Uber handelt”.

    Ihr Amtsvorgänger musste sich noch den Vorwurf gefallen lassen, „für die Taxilobby zu handeln”, als er – in Ubereinstimmung mit den sozialen Partnern – die 15-Minuten-Regelung in das Taxigesetz aufnahm.

    #Taxi #Belgien #Flandern

  • Divagation animale : l’Etat annonce de nouvelles mesures - France 3 Corse ViaStella
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/corse-du-sud/ajaccio/divagation-animale-etat-annonce-nouvelles-mesures-17139


    Accidents de la route, et dégâts matériels importants, pour les habitants comme pour les élus et les administrations, les animaux en divagation sont un problème épineux.
    © PAUL-STEFANI Jacques / FTViaStella

    Ils font le bonheur des touristes mais sont la source de nombreux dangers. Face au problème de divagation animale persistant, la préfecture de Corse a décidé de la mise en œuvre de nouvelles mesures. Parmi elles, un abattage sur décision administrative des bêtes non-identifiées.
    […]
    Quant à cette jolie place du village, parfaite pour une promenade digestive ou un jogging entre amis, la municipalité est contrainte de la garder fermée. Sans quoi elle finirait « pleine de bouses de vaches ».

    Au delà de l’aspect peu ragoûtant pour les villageois, il y a aussi le prix à payer par les contribuables pour financer le nettoyage et les réparations, rappelle la mairesse.

    Et plus inquiétant encore, un problème « de santé publique » : « ce sont quand même des bêtes non-immatriculées qui ne vont jamais voir le vétérinaire » explique Joselyne Mattei Faizi.
    […]
    La préfecture de Corse évalue aujourd’hui qu’entre 15 000 à 25 000 animaux sont en divagation dans toute l’île.

    Face au ras-le-bol des municipalités et habitants, et pour limiter les accidents, Etat, région, communes et professionnels de l’agriculture ont décidé de travailler ensemble à une solution pour limiter cette divagation animale.

    Le sujet, épineux, revient chaque année autour de la table, mais cette année, les pouvoirs publics l’assurent : ils sont bien décidés à prendre, littéralement, le taureau par les cornes.

    Parmi les différentes mesures avancées, on relève notamment l’abattage sur décision administrative de tous les animaux qui n’auront pas pu être formellement identifiés.