• A Midcentury Map of American Wildflowers

    This 1955 map of “The Wild Flowers of Spring,” a collaboration between a botanist and an abstract expressionist painter, locates early-blooming American wildflowers geographically. The flowers are numbered and lettered, with common names appearing around the perimeter of the map.

    http://www.slate.com/blogs/the_vault/2015/04/17/wildflower_map_a_1955_pictorial_map_of_american_flowers.html?wpsrc=fol_tw
    #USA #Etats-Unis #fleurs #flore #cartographie #visualisation #art #carte

  • La civilisation libérale réalise le fondement social de tout régime totalitaire - L’Etat, Bernard Charbonneau, 1949

    C’est dans l’#économie libérale que s’est élaboré le plus efficacement le monde totalitaire. Dès le début du XIXème siècle la centralisation politique s’est renforcée d’une organisation économique qui tendait à concentrer la puissance en un seul point d’où dépendait tout le reste. Ainsi s’est formée une #humanité habituée à subir, et à subir sans comprendre, pour laquelle le mot de #liberté s’est vidé progressivement de tout contenu. Si nous considérons la tendance de la #technique actuelle à réserver la connaissance à une minorité de spécialistes comme elle réserve la puissance à quelques patrons ou directeurs, sa tendance à s’étendre méthodiquement à tout, sans autre principe que celui de l’efficacité pratique, alors nous pouvons bien affirmer qu’en dehors de toute volonté politique consciente le monde libéral tendait bien à devenir un monde totalitaire, où la #démocratie sociale devenait aussi absurde que la démocratie politique.

    La démocratie tend au partage de la vérité et de la puissance entre tous les #citoyens, la technique tend au #monopole de la vérité autant qu’à celui du pouvoir. Nous payons chaque perfectionnement d’une complication et d’une contrainte, - le tout est de savoir si ce perfectionnement vaut ce prix. Comme le rouage s’ajoute au rouage, l’explication s’ajoute à l’explication, et dans la mesure où l’organisation englobe de nouveaux domaines, elle multiplie les interférences. Ainsi, le sens commun à tous les hommes ne suffit plus, l’individu ne peut plus réaliser la condition de base de toute démocratie : une connaissance élémentaire de ses intérêts matériels, car ceux-ci dépendent d’une foule d’éléments qu’il ne peut plus atteindre directement. Pour juger sérieusement de son #salaire, il lui faut désormais connaître le mécanisme de la #monnaie, le système fiscal, l’économie française et sa situation dans l’économie européenne : une #culture politique et juridique du niveau de la licence en #droit. Dans ces conditions le citoyen ordinaire n’essaie même plus de comprendre, il se jette sur l’explication que lui prépare la #propagande ; atrophiant son aptitude à s’expliquer, la complexité du monde actuel le livre au simplisme du #slogan. Plus les techniques deviennent hermétiques et rigoureuses, plus leur vulgarisation devient vulgaire : l’image ou l’incantation qui s’adresse aux nerfs de la foule compense la formule mathématique qui s’adresse à l’intellect du technicien.

    Submergé par la multiplicité des faits où l’économie complique la #politique et la politique l’économie, l’individu se détourne d’un #pouvoir qui n’a plus de sens pour lui ; sa condition étant d’être dépassé, sa réaction est de s’abandonner. Dans la #nation, dans l’#armée, dans le parti, et dans un #syndicalisme bureaucratisé, il n’est plus qu’un rouage habitué à subir l’impulsion d’un état-major d’administrateurs. Le sens commun - et son représentant le Parlement - n’a plus d’autorité ; dans une société technicisée, ce sont les bureaux qui gouvernent. Le Parlement n’est que le mensonge [...] qui permet aux hommes d’esquiver le problème posé par la fin du bon sens.

    Partout où pénètre la technique recule la liberté, car à la différence de la pensée libérale, ses vérités sont sans appel et leur exécution automatique. La technique comme la #loi impose à tous la même discipline, et partout où elle s’établit, s’établit la loi qui peut seule rendre ses applications possibles : la discipline totalitaire dans ce qu’elle a d’apparemment légitime ne fait qu’exprimer en clair la discipline industrielle. Ainsi sous le couvert du #libéralisme, l’évolution économique réalise dans la vie quotidienne des individus la condition fondamentale du #régime_totalitaire : la démission de l’homme, qu’il s’agisse de l’#indifférence atone du plus grand nombre à des déterminations qui les dépassent ou de la participation frénétique de quelques-uns.

    [...] L’#impuissance individuelle mène au culte de la puissance collective. Quand l’#individu se tourne vers lui-même, il ne trouve qu’incertitude, vide et débilité ; mais quand il considère le monde qui le domine il voit triompher la force. Tout le dissuade de chercher l’autorité autant que le pouvoir en lui-même pour le tourner vers la puissance collective. Tandis que se dressent toujours plus haut des buildings ; dans la fissure de la rue passe l’individu, perdu dans la foule, mais suivi par les contraintes de l’argent et de la loi comme par son ombre ; et sur lui s’effondrent guerres et révolutions, qu’il ne peut que suivre. Alors écrasé, il compense ses complexes d’infériorité individuelle par ses complexes de supériorité collective : celle de sa nation, de son parti ou de sa classe. La révolte de l’individu alimente ainsi les forces qui l’anéantissent.

    #système_technicien #brown_tech

    • Le régime totalitaire vient comme un voleur ; il nous surprend à coup sûr parce-que nous l’attendons monstrueux alors qu’il n’a rien d’étonnant. Progressivement, dans le calme de ce que nous croyons être le temps normal, il s’est adapté à nous, et surtout nous nous sommes adaptés à lui. Il n’est plus loin ; au jour le jour il a déjà fait presque tout le chemin et il n’a plus qu’un pas à faire pour être là.
      [...] Le mal totalitaire n’est pas un fléau étranger qui fondra sur nous à la fin des temps, il grandit en nous dans le silence. Dans la vie quotidienne et dans l’esprit - ou plutôt dans l’absence d’esprit qui y préside : plus que dans nos fureurs, dans notre ennui ; plus que dans nos crises, dans nos petites habitudes. C’est là qu’il nous faudra le découvrir et le combattre. Tout homme doit se préparer à ce jour, et ce jour c’est aujourd’hui.

      #totalitarisme

    • Celui qui voudra résister le moment venu doit savoir qu’il ne sera pas placé d’un coup en face du choix. Le régime totalitaire consacrera l’état de fait plus qu’il ne rompra avec lui ; il nous aura lentement possédés de l’intérieur plus qu’il ne nous forcera de l’extérieur. [...] Songeons que notre régime totalitaire ne se présentera pas sous l’uniforme de l’envahisseur, mais dans l’exaltation de la puissance nationale ; non comme une subversion, mais un effort vers l’ordre universel. En apparence il sera moins un déchaînement de haine que l’irrésistible jaillissement d’un hymne de fraternité ; une unanimité dans laquelle le refus de l’individu ne sera plus affirmation légitime mais scandale.

    • Relu encore à l’instant.

      « perfectionnement » me semble ici très bon et très juste, mais « technique », « la technique » (ne parlons pas du « sens commun » et du « bon sens ») ne passent décidément pas.

      Termes décidément bien trop fourre-tout, qui recèlent autant sinon plus de problèmes cruciaux qu’ils n’apportent de clarifications - en particulier, dans ce que les premiers participent d’un dualisme « nature » vs « artifice » non dit ni assumé qui vient conditionner l’entendement beaucoup trop à mon goût.. (comme on le peut constater régulièrement dans les prises de position des militants « anti-industriels » qui se réclament de ce même Charbonneau).

      de même, l’emploi des catégories « totalitaires » et « libéralisme » me semble ici des plus casse-gueule - et aujourd’hui dépassé pour essayer de saisir les rapports sociaux que nous vivons.

    • Je suis assez d’accord sur l’opposition nature vs artifice, opposition que dépasse le concept d’#écoumène (dont les techniques humaines sont partie prenante cf http://seenthis.net/messages/166201). Cela dit quand Charbonneau parle de technique (même si c’est pas explicite) il parle de technique hétéronome, qui s’autonomise et échappe à la maîtrise commune, par opposition à l’outil convivial (concept forgé plus tard par Illich).
      Sur le glissement vers le totalitarisme en revanche l’analyse de Charbonneau me semble garder sa pertinence. Je trouve que le dernier paragraphe mentionné donne un éclairage saisissant à « l’esprit charlie » et aux derniers propos bellicistes de l’exécutif.

    • @paulo merci

      @koldobika

      Je me suis plongé il y a des mois dans tout ce que j’ai pu lire de Berque sur le web (il y a de la matière), et c’est passionnant, mais je pense que, de par sa singularité dans le paysage intellectuel, (en tout cas, dans le mien), c’est un auteur qui mérite d’être médité et digéré. Je n’ai pas fini d’y revenir.
      Son point de vue déplacé par rapport à la tradition occidentale « classique » et l’étendue de sa culture sont stimulants par l’emploi créatif qu’il en fait, et la notion d’écoumène m’a évidemment beaucoup plu.

      Mais il me semble que son travail reproduit néanmoins des biais fondamentaux, à travers une forme - c’est ce qu’il me semble y lire, je reste néanmoins prudent - d’humanisme universaliste abstrait. Par exemple, je n’ai pas lu chez lui de réflexion sur les rapports humains, les rapports sociaux de domination, (lesquels mettent pourtant en scène la notion de nature de façon récurrente) - j’ai l’impression qu’il y a là l’habituel point aveugle masculin et blanc, aisé, que l’on rencontre trop souvent. Dans ce que j’ai lu, les rapports de domination - sexe, race, exploitation économique - sont quasi-absents, sinon, pour les derniers, du point de vue de leurs conséquences écologiques. Je peux me tromper et avoir manqué cela. Mais j’aimerais les voir explicitement pris en compte : il font partie du milieu, de « l’écoumène », non ? Nous n’appréhendons pas le milieu tou-te-s depuis le même point.

      Pour se déprendre un peu plus du piège de ce dualisme nature-culture, pour être intellectuellement mieux armés face à lui, à défaut de prétendre en finir, les travaux de Colette Guillaumin, qui partent justement des rapports de domination, et en particulier d’appropriation, et qui lient la catégorie « nature » et son emploi à ces rapports sociaux, me semble ouvrir des pistes plus intéressantes dans ce qu’elle proposerait une explication matérialiste de l’existence de cette catégorie - la « nature » ne devant alors son caractère distinct, extérieur... qu’au fait de son appropriation par les humains. Mais là aussi, c’est une lecture que j’ai besoin de digérer - et aussi, en partie, de parvenir à mettre la main dessus (bouquins épuisés, hélas).

    • @martin5 c’est vrai qu’il manque tout ce pan social chez Berque, et ça donne à son propos quelque-chose de très universitaire, qui aime bien causer au calme d’un salon. Autant il a une approche très « habitée » de la question du paysage, autant pour ce qui est des rapports sociaux c’est l’angle mort, ça donne l’impression qu’il parle du rapport d’un humain isolé avec le monde, ou alors d’une culture mais en n’en retenant que la situation géographique et historique et pas les rapports sociaux ni de genre, tout juste aborde-t-il les modes de production, à gros traits.
      J’ai déjà vu passer le nom de Colette Guillaumin, à l’occasion j’en lirai un bout (j’ai déjà une trop grosse pile de bouquins à lire qui m’attend, je m’en sors pas).

    • Du coup je suis retourné plus en profondeur à un autre de ses bouquins, plus récent, que j’ai sous la main (#Le_jardin_de_Babylone), lu il y a trop longtemps.
      Il me semble que Charbonneau - outre des formulations chrétiennes fatigantes : « fils d’Adam » toi même, Bernard ! y donne à lire sans masque la rigidité et les limites d’une pensée banalement conditionnée par les concepts auxquels elle a recours. Si dans un court prologue il semble admettre l’historicité de celui de « nature », c’est ensuite pour en faire à nouveau un absolu et recourir au détour d’un chapitre ou d’un autre à celui de « nature humaine ». Il ne s’agit pas seulement de nature vs technique hétéronome, mais bien d’une incapacité à penser les animaux humains en termes de rapports sociaux, avec leur plasticité, leur historicité.
      Sitôt qu’il s’aventure un peu trop sur ce terrain là, comme p 171 de l’édition de l’EdN :

      si le progrès est illimité, la nature humaine, heureusement, reste immuable : on ne nous a pas encore proposé un superman avec un troisième oeil et des pinces greffées

      (j’italise)
      ,
      la rigidité du paradigme chrétien dans lequel il patauge semble le réduire à recourir immédiatement à une caricature grossière - celle que l’on retrouve, intacte, chez PMO, Escudero, etc, et avec laquelle se complaisent leurs soutiens. Il me semble qu’une pensée engluée dans le dualisme nature vs artifice/technique se condamne à tomber dans ce travers - se privant de la capacité à envisager les rapports sociaux, et donc les pratiques, dans toute leur profondeur en termes de production historique, pratiquant parmi elles une coupure... artificielle entre prétendus « naturels » et soi-disant "artificiels" , absolutisant nécessairement une conception particulière de l’"humain". Sur ce sujet, la confrontation avec la pensée d’une #Hannah_Arendt (#Condition_de_l'homme_moderne) me semble assez éclairante quant à l’espèce d’archaïsme dont on peut dire qu’il caractérisait déjà à l’époque la pensée de Charbonneau.
      Comme si le renoncement à un ancrage dogmatique tel que le sien était pour lui voué à menacer la capacité de juger le présent !

      Incidemment, l’évocation de la pêche et de la chasse est pour lui l’occasion de pages consacrées à une impudente apologie de la prédation et de l’appropriation conçues comme le rapport le plus intime possible avec "la nature" , qui après tout passait peut-être inaperçue il y a quelques décennies ? (Mais qui me semble remarquablement consistante avec la critique que fait Colette Guillaumin du concept de nature comme face mentale, idéologique, de pratiques d’appropriation, comme avec la critique qu’esquisse #Florence_Burgat dans #Pourquoi_l'humanité_est_elle_carnivore )

      je cite :

      La relation du chasseur et du pêcheur à la nature est totale , parce qu’elle est une relation active . L’employé parisien qu’hypnotise le jeu de son bouchon le long des quais de la Seine est plus près de la vie primitive que le touriste qui contemple les glaciers du Spitzberg

      .
      (p 179, même édition, et j’italise à nouveau)

      L’a priori complaisant quant à une conception de « la vie primitive » se donne à lire sans fard ni doute...
      La suite qui, au prétexte de condamner « l’errance moderne », méprise grossièrement le nomadisme, n’est pas meilleure.

      Le lyrisme torrentiel et la verve de l’auteur dissimulent donc à mon sens très efficacement la superficialité et les a-priori avec lesquels sa pensée entre, comme pensée (de fait, fort peu) dans la foisonnante description qu’il donne du moment historique qu’il se trouve vivre : si son regard de chrétien contribue assurément à lui conserver une vive sensibilité à la brutalité des changements imposés par l’industrialisation, si sa culture de chrétien lui fournit la palette pour la peindre d’une façon des plus saisissantes (je ne lui conteste évidemment pas cela), se référer à lui en ignorant le lieu tout de même particulier, et lui même problématique et critiqué, depuis lequel son regard se porte , se référer à lui en ignorant ses biais, ses points aveugles pose un problème qu’il me semble nécessaire de souligner , puisqu’il s’avère qu’aujourd’hui encore, beaucoup de celleux qui disent s’en inspirer ne le remarquent pas, puisqu’ellils se satisfont de les reproduire quasiment à l’identique.

      Je ne leur reproche pas de lire ni de s’inspirer d’un auteur chrétien : après tout, je ne me cache pas de m’être abondamment nourri des écrits de Léon Bloy, Georges Bernanos, Simone Weil,... Jacques Ellul et Bernard Charbonneau himself, pour n’en citer que quelques un-e-s.
      Je leur reproche de le faire en perdant de vue que ceux-ci sont critiquables, aussi précieux et féconds soient-ils ; et que pour y nourrir notre pensée, nous ne sommes en rien tenus de l’encager dans ce qui fut leur paradigme.

  • A ne pas manquer maintenant 13h00 . #FrançoisBurgat et #FlorenceGaub sur #ArteSquare qui débattront sur la question de terrorisme et de la liberté d’expression.
    François Burgat affirme que l’analyse culturelle et religieuse de l’occident est fausse et ne suffit pas à expliquer la violence de la radicalisation islamique. Il faut, comme il le préconise, depuis longtemps, une analyse politique pour penser et résoudre le problème ici et là-bas. Pour stopper « la machine à fabriquer des poseurs de bombes » et auteurs d’attentats atroces.

    Florence Gaub, quant à elle, expose l’évolution de la situation et propose sa réflexion pour une tactique de riposte. En Europe tout particulièrement.

    http://www.arte.tv/guide/fr/058227-003/square-idees

    ici direct : http://www.arte.tv/guide/fr/direct

  • En France, une biodiversité sous haute pression
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/03/16/en-france-une-biodiversite-sous-haute-pression_4591476_3244.html

    La France abrite une #faune et une #flore très diversifiées, notamment dans ses territoires d’#outre-mer. Mais beaucoup de ces espèces sont menacées, en raison de la destruction et de la dégradation des milieux naturels, du #braconnage, de la #surexploitation, de l’introduction d’espèces envahissantes, de la #pollution et du #changement_climatique. La France se classe ainsi au sixième rang des pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces animales et végétales en danger au niveau mondial, après l’Equateur, la Malaisie, les Etats-Unis, l’Indonésie et le Mexique. Pour mieux protéger ce patrimoine naturel menacé, l’Assemblée nationale examine un projet de loi sur la biodiversité, du lundi 16 au jeudi 19 mars.

    #biodiversité

    La Liste rouge des espèces menacées en France
    http://www.uicn.fr/Liste-rouge-France.html

  • Here are our Africa Cup of Nations 2015 Awards
    http://africasacountry.com/here-are-our-africa-cup-of-nations-2015-awards

    That was #AFCON 2015. It was like 1992 all over again. The Ivorians are African champions after a nerve-shredding penalty shoot-out, and a Black Stars side led by an outstanding Number 10.....

    #FOOTBALL_IS_A_COUNTRY #AFCON_2015 #Bafana #Boubacar_Barry #Copa_Barry #Cote_d'Ivoire #Didier_Drogba #elephants #Florent_Ibenge #Gervinho #Issa_Hayatou #Ivory_Coast #Mandla_Masango #Robert_Kidiaba #Samuel_Kuffour #Sepp_Blatter #Teodoro_Nguema_Obiang #Yannick_Bolasie

  • Les murs de séparation nuisent aussi à la faune et la flore
    http://www.bastamag.net/Connected-Walls-le-webdocumentaire-4545

    3419 migrants sont décédés en Méditerranée en tentant de rejoindre Malte ou l’Italie. C’est ce que révèle un rapport du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés publié le 10 décembre. Il y a les barrières naturelles, et les murs artificiels. Pendant deux mois, le web-documentaire Connected Walls s’attaque aux murs de séparation entre quatre continents : le mur entre l’Amérique du Nord et l’Amérique latine incarné par les grillages entre les Etats-Unis et le Mexique, celui entre l’Europe et (...)

    #Témoignages

    / #Amériques, #Vidéos, #Migrations, #Europe

  • Nicolas Machiavel (1469-1527) et Simone Weil (1909-1943), même combat, même scienza. Un éclairage croisé, à quatre siècles d’intervalle, sur un événement fondateur et méconnu.

    La Révolte des Ciompi. Un soulèvement prolétarien à Florence au XIVe siècle - Textes de Nicolas Machiavel et Simone Weil

    http://www.collectif-smolny.org/article.php3?id_article=1691

    http://www.librairie-quilombo.org/IMG/arton4945.gif?1360261192

    En 1378, les Ciompi, les plus pauvres des ouvriers de l’industrie de la laine, ébranlèrent par leur révolte l’édifice social du capitalisme naissant à Florence. La bourgeoisie, incapable de savoir de quoi ce petit peuple débraillé était réellement capable, déploya rapidement sa violence répressive, montrant ainsi qu’elle estimait les Ciompi capables de tout, et qu’il fallait donc les réduire à rien.

    Par la simple chronique des faits, Machiavel atteste dans ses Histoires florentines que ce popolo minuto s’est dûment organisé, ce qui conduira Simone Weil à voir dans ces événements la première manifestation d’une révolution prolétarienne.

    #Ciompi #Machiavel #Simone_Weil #histoire #Florence

  • Ce #virus inconnu présent chez un humain sur deux
    http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2014/08/01/ce-virus-inconnu-present-chez-un-humain-sur-deux

    Il y a tout un monde dans nos boyaux. Le chiffre est souvent donné tellement il est éloquent : on estime que les cellules composant notre corps sont dix fois moins nombreuses que les cellules des #micro-organismes (bactéries, champignons, protistes, virus) qui peuplent notre système digestif. L’étude du #microbiote intestinal est en plein boom – on envisage par exemple des greffes de flore pour le traitement de l’obésité ou de maladies inflammatoires de l’intestin – mais, pour faire les choses dans l’ordre, cette exploration passe d’abord par l’identification des espèces qui nous colonisent le colon.

    Il faut bien l’admettre, c’est rempli d’inconnus là-dedans ! Au point que les chercheurs les considèrent comme la « matière noire » de la biologie, à l’instar de la matière noire de la cosmologie, cette importante composante de l’Univers dont on déduit la présence mais dont on ignore la nature. Le moyen le plus simple dont disposent les biologistes pour approcher les peuplades intestinales s’appelle la #métagénomique. Cela consiste à prendre un bout de milieu naturel (ici des matières fécales...) et à en cataloguer le contenu à partir des génomes qu’on y trouve. Plusieurs travaux de métagénomique ont déjà été consacrés au contenu des intestins et c’est sur ces précédents que s’est appuyée une équipe internationale qui s’est intéressée en particulier au virome intestinal, c’est-à-dire aux séquences génétiques appartenant aux virus, essentiellement des bactériophages (ou phages).

    Ses résultats viennent d’être publiés dans Nature Communications et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils sont surprenants. Ces chercheurs sont partis d’un tout petit échantillon de douze femmes. Ils ont scruté le matériel génétique présent dans leurs excréments et se sont aperçus que, chez toutes les personnes en question, on retrouvait le génome d’un virus, 97 000 paires de bases ne correspondant à aucune entité connue. Un panel de douze individus n’étant pas vraiment représentatif de la population humaine, l’équipe a ensuite passé au crible d’autres articles de métagénomique ayant œuvré sur des centaines d’Homo sapiens provenant de divers continents et elle a notamment fouillé dans ces résultats de travaux dont on ne sait trop que faire et que l’on range dans le fourre-tout baptisé « Inconnus ». Comme le souligne, non sans une certaine ironie, l’étude de Nature Communications, « tout le monde est d’accord pour dire que les inconnus sont importants, cependant ceux-ci sont en général ignorés »...

    La surprise vient du fait que ce génome de virus était systématiquement présent chez toutes les populations humaines testées. D’après les extrapolations effectuées par les chercheurs, un humain sur deux abriterait ce phage. « Cette observation, dit l’étude, s’élève contre l’opinion communément admise que le virome intestinal est unique à chaque individu et elle suggère que quelques phages pourraient être fréquents chez les humains de par le monde. » Etant donné qu’on ne le trouve pas chez les très jeunes bébés, on suppose que ce virus s’invite dans l’appareil digestif au cours de l’enfance. « Pour autant qu’on puisse en juger, explique l’un des auteurs de l’étude, Robert Edwards, chercheur à la San Diego State University, il est aussi vieux que le sont les humains. » Ainsi que l’explique un autre co-auteur, John Mokili, lui aussi de la San Diego State University, « il n’est pas inhabituel de partir en quête d’un nouveau virus et d’en trouver un. Mais c’est très inhabituel d’en trouver un qui soit commun à tant de gens. Il est étrange qu’il ait échappé si longtemps au radar. »

    Pour le moment, baptisé crAssphage (en référence au programme dit de « cross-assembly » qui a permis de déterminer sa présence), ce virus reste en quelque sorte virtuel. On sait qu’il est là, quelque part dans les intestins de milliards d’humains, mais on n’a pas encore vraiment mis la main dessus. Une fois qu’il sera isolé, les chercheurs espèrent déterminer à quelle bactérie de la flore intestinale il s’en prend et si cette attaque est bénéfique ou pas pour les hôtes.

  • Taxe de séjour : combien font payer les villes européennes ?
    http://fr.myeurop.info/2014/07/16/taxe-sejour-combien-font-payer-villes-europeennes-14172

    Camille Selosse Etienne Cabot

    Les députés français ont finalement rejeté la disposition permettant d’instaurer une taxe de séjour jusqu’à 8 euros. L’occasion de faire un petit tour d’horizon des « city tax » de grandes villes européennes. Infographie.

    L’Assemblée nationale a finalement renoncé à augmenter le plafond de la taxe de séjour dont doivent s’acquitter les touristes en France. lire la (...)

    #Voyages #Économie #Union_européenne #Amsterdam #Athènes #Berlin #Bruxelles #city_tax #Dubrovnik #Florence #Hotel #Londres #Paris #Rome #taxe_séjour #tourisme #Venise #voyage

  • La #dette perpétue l’#accaparement du monde et le #pillage des #ressources - Reporterre
    http://www.reporterre.net/spip.php?article5964

    Si une partie des bouleversements écologiques l’ont été malgré les instigateurs de l’expansion européenne (pensons aux transferts de plantes, d’animaux et de maladies entre les différents continents) (1), la #colonisation, par l’imposition d’un modèle productiviste et #capitaliste, a été à la source d’un désastre écologique dont les conséquences se font sentir jusqu’à aujourd’hui.

    C’est en effet à cette époque qu’a débuté un processus de production sans limite, si ce n’est l’accumulation elle-même. Concrètement, cela s’est traduit par la subordination à un système de #monocultures impossibles à cultiver dans les régions tempérées du Nord ainsi que par l’exploitation jusqu’à épuisement des ressources minières et forestières des pays #colonisés.

    Cette exploitation, qui a été un des facteurs du décollage économique de l’Europe, a entraîné dans les régions concernées un épuisement des sols, la destruction de l’habitat et la disparition d’espèces, une déforestation massive ainsi qu’une vulnérabilité accrue aux aléas climatiques.

    On retrouve déjà cette constatation sous la plume d’#Eduardo_Galeano au sujet de la #canne_à_sucre : « Le #sucre a détruit le Nord-est du Brésil. Cette région de #forêt tropicale a été transformée en #savane. Naturellement propice à la production alimentaire, elle est devenue région de #famine. Là où tout avait poussé avec exubérance, le #latifundio destructeur et dominateur ne laissa que roc stérile, sol lessivé, terres érodées. […]

    Le feu utilisé afin de nettoyer le terrain pour les champs de canne dévasta la #faune en même temps que la #flore : le cerf, le sanglier, le tapir, le lapin, le paca et le tatou disparurent. Tout fut sacrifié sur l’autel de la monoculture de la canne ». (2)

    Par la suite, l’#industrialisation des régions du Centre a encore accru l’exploitation, celle des peuples colonisés mais également de leurs #écosystèmes. Les cinq derniers siècles de pillage portent ainsi en eux les germes de la crise écologique globale que nous connaissons.

    Si l’exploitation coloniale et ses conséquences environnementales sont aisément compréhensibles, on peut se demander pourquoi les indépendances n’ont pas mis fin à la situation. Or, le pillage mis en œuvre a perduré grâce à une arme aussi pernicieuse qu’efficace : la dette.

  • Dans la Thiérache, la fierté des mères ados
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/02/15/dans-la-thierache-la-fierte-des-meres-ados_4367151_3224.html

    « A une époque, les filles comme nous devaient se cacher, la honte », reprend la brune au tatouage. Les autres écarquillent les yeux. « Aujourd’hui, c’est l’inverse : on compte pour quelque chose quand on a un enfant. » Elle a été étonnée de toucher de l’argent pour sa fille. « Je savais qu’on en recevait, mais pas autant. » Ce n’est pas la fortune, bien sûr, mais une « sécurité ». « L’avenir », s’enflamme sa voisine, remuant les draps de son fils comme on tisonne. « Un enfant, c’est déjà ça, toujours quelque chose qu’on a », dit-elle et sa voix part soudain dans les aigus, à la fois humble et triomphante.

    #chômeurland

  • Le ventre, notre deuxième #cerveau | ARTE+7
    http://www.arte.tv/guide/fr/048696-000/le-ventre-notre-deuxieme-cerveau?autoplay=1

    Notre ventre contient 200 millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent avec notre cerveau. Les chercheurs commencent à peine à décrypter cette conversation secrète. L’uploading de notre conscience s’éloigne chaque jour un peu plus... car elle se révèle chaque jour un peu plus incarnée. Tags : internetactu internetactu2net fing cerveau #cognition

  • La flore intestinale en renfort de la chimiothérapie

    Chez la souris, des bactéries favorisent les réponses immunitaires lors d’un traitement antitumoral. A quand une application chez l’homme ?

    http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20131220.OBS0370/la-flore-intestinale-en-renfort-de-la-chimiotherapie.html?xtor=RSS-

    On aime bien la flore intestinale sur seenthis, par exemple : http://seenthis.net/messages/167029 - http://seenthis.net/messages/97099 - http://seenthis.net/messages/62511

    #santé #bactéries #flore_intestinale #immunité

  • #film #documentaire :
    Va’ pensiero, storie ambulanti

    Va’ pensiero è il racconto incrociato di due aggressioni razziste a Milano e Firenze e della complicata ricomposizione dei frammenti di vita dei sopravvissuti. Milano: Mohamed Ba, 50 anni, griot, attore e educatore senegalese residente in Italia da 14 anni, viene accoltellato il 31 maggio del 2009 in pieno giorno, nel centro di Milano. Firenze: Mor e Cheikh, immigrati anche loro dal Senegal e residenti a Firenze, vengono colpiti il 13 dicembre 2011 mentre sono al lavoro al mercato di San Lorenzo. Le storie dei tre protagonisti s’incrociano nel racconto delle loro drammatiche esperienze di vita e, malgrado tutto, le loro speranze di continuare a vivere in Italia, con la continua paura e incertezza di incrociare uno sguardo o un gesto che li riporti al momento dell’aggressione...

    Trailer ici : http://vimeo.com/81090797

    #racisme #xénophobie #Milan #Florence #agression #Italie

    Site officiel du film : http://www.va-pensiero.org

    cc @albertocampiphoto

  • http://fyouzan.ci/index.php?post/2013/11/15/Jerry-un-bidon-qui-repousse-des-limites-en-Afrique

    Le Jerry est le nom que porte affectueusement un bidon dans lequel est reconditionné du vieux matériel informatique de récupération, sur lequel est installé un système d’exploitation libre GNU/Linux. Il se conçoit à 0 Fcfa et consomme moins d’énergie. J’ai développé avec cet ordinateur révolutionnaire une telle relation que nombreux sont ceux qui s’interrogent sur les vraies fondements de mon histoire personnel avec ce serveur en bidon. J’ai donc décidé de revenir sur ce que j’ai découvert au reflet de la philosophie du JerryClan, cette communauté de bénévoles qui contribuent au projet Jerry Do It Together.

    J’ai toujours revendiqué le besoin d’intégrer les logiciels libres dans le quotidien des africains et d’ailleurs leur utilisation en tant qu’axe stratégique de développement de nos territoires. Dans ma lutte pour la réduction de la double fracture numérique que vit l’Afrique, Jerry Do It Together est devenu un vecteur de communication et surtout de transmission de la philosophie du Logiciel Libre. Pendant qu’il me permettait de rassembler plusieurs intelligences autour des projets, il me donnait l’occasion de vivre les réalités des populations des villes de la Côte d’Ivoire dont la connectivité à Internet est encore réduite. La possession d’équipements informatiques et l’ouverture à internet restent leurs derniers soucis, parce que le coût d’acquisition des ordinateurs reste élevé.

    Des jeunes manquent d’ateliers pratiques parce que les équipements informatiques et les logiciels spécialisés restent inaccessibles. Mais Jerry DIT nous a montré qu’il existait des alternatives tant au niveau Hardware par la récupération du vieux matériel information et le reconditionnement de vieux ordinateurs, qu’au niveau software par une utilisation responsable et avant-gardiste des Logiciels Libres.

    #logiciels-libres
    #jerry-do-it-together
    #bidon
    #florent-Youzan

  • Pic de la Mirandole, Florence, 1486 :

    « De dignitate hominis » (« De la dignité humaine »)

    http://www.editionsquartmonde.org/rqm/document.php?id=742

    Je ne t’ai donné ni visage, ni place qui te soit propre, ni aucun don qui te soit particulier, afin que ton visage, ta place, et tes dons, tu les veuilles, les conquières et les possèdes toi-même. Nature enferme d’autres espèces en des lois par moi établies. Mais toi, que ne limite aucune borne, par ton propre arbitre, entre les mains duquel je t’ai placé, tu te définis toi-même. Je t’ai placé au milieu du monde, afin que tu puisses mieux contempler ce que contient le monde. Je ne t’ai fait ni céleste ni terrestre, mortel ou immortel, afin que de toi-même, librement, à la façon d’un bon peintre ou d’un sculpteur habile, tu achèves ta propre forme

    #Italie #Florence #philo #Pic_de_la_Mirandole #Renaissance

  • Feu vert à la #construction du plus haut #barrage de #Chine

    Le ministère chinois de l’Environnement a donné son feu vert à la construction du plus haut barrage #hydroélectrique du pays, tout en reconnaissant que ce chantier aurait des conséquences sur la #flore et certaines #espèces #rares de #poissons.

    La suite du barrage des Trois Gorges (#Sichuan)

    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/reuters-00521461-feu-vert-a-la-construction-du-plus-haut-barrage-de-chine-5

    Revue de Presse Hebdomadaire sur la Chine du 13/05/2013

  • Une édition rassemblant le chapitre des Histoires florentines de Machiavel consacré à la révolte des ouvriers de la laine (Ciompi) à Florence, en 1378, et le texte de la philosophe Simone Weil sur le sujet (qui voit dans ce soulèvement populaire « l’aîn [é] des insurrections prolétariennes » ), vient de paraître. Excellente initiative, qui fournit l’occasion de (re)découvrir cet événement majeur dans l’histoire de la cité toscane, et qui hante encore les esprits. On peut facilement trouver les deux textes sur le Net.

    La Révolte des Ciompi - Un soulèvement prolétarien à Florence au XIVe siècle. Textes de Simone Weil et Nicolas Machiavel (Smolny/CMDE Editions, février 2013).

    http://www.collectif-smolny.org/article.php3?id_article=1691

    Quatrième de couverture :

    En 1378, les Ciompi, les plus pauvres des ouvriers de l’industrie de la laine, ébranlèrent par leur révolte l’édifice social du capitalisme naissant à Florence. La bourgeoisie, incapable de savoir de quoi ce petit peuple débraillé était réellement capable, déploya rapidement sa violence répressive, montrant ainsi qu’elle estimait les Ciompi capables de tout, et qu’il fallait donc les réduire à rien.

    Par la simple chronique des faits, Machiavel atteste dans ses Histoires florentines que ce popolo minuto s’est dûment organisé, ce qui conduira Simone Weil à voir dans ces événements la première manifestation d’une révolution prolétarienne.

    La postface inédite d’Emmanuel Barot éclaire comment ces deux auteurs permettent d’alimenter une réflexion - qui reste incontournable - autour de la définition et de l’affirmation du sujet révolutionnaire.

    #Machiavel #Simone_Weil #Florence #Italie #histoire #Ciompi

  • La Révolte des Ciompi - Un soulèvement prolétarien à Florence au XIVe siècle
    Souscription ouverte jusqu’au 31 janvier 2013
    http://collectif-smolny.org/article.php3?id_article=1691

    En 1378, les Ciompi, les plus pauvres des ouvriers de l’industrie de la laine, ébranlèrent par leur révolte l’édifice social du capitalisme naissant à Florence. La bourgeoisie, incapable de savoir de quoi ce petit peuple débraillé était réellement capable, déploya rapidement sa violence répressive, montrant ainsi qu’elle estimait les Ciompi capables de tout, et qu’il fallait donc les réduire à rien.

    Par la simple chronique des faits, Machiavel atteste dans ses Histoires florentines que ce popolo minuto s’est dûment organisé, ce qui conduira Simone Weil à voir dans ces événements la première manifestation d’une révolution prolétarienne.

    La postface inédite d’Emmanuel Barot éclaire comment ces deux auteurs permettent d’alimenter une réflexion - qui reste incontournable - autour de la définition et de l’affirmation du sujet révolutionnaire.


    #livres #édition #Florence #Smolny

  • Le Monde Académie, première édition
    http://www.lemonde.fr/monde-academie/article/2012/10/08/le-monde-academie-premiere-edition_1771709_1752655.html

    Nous avons donc lancé un appel à candidatures, le plus large possible : les 18-25 ans, d’expression francophone, sans obligation de résidence, ni de diplôme, pas même le bac.

    Je me demande ce que #florence_aubenas est allé faire dans ce truc, parce que quand on regarde
    http://www.lemonde.fr/monde-academie/article/2012/10/08/le-monde-academie-promo-2012-2013_1771720_1752655.html
    on trouve pas beaucoup de non-bacheliers, par contre science-po, master, fac et j’en passe, c’est plutôt bien représenté ...
    Pas sûr donc d’y trouver grand chose de différent des élèves habituels des zécoles de journalisme ... mais moins cher par contre ...