• Une #extension qui meta-press.es à ta disposition
    https://framablog.org/2019/12/05/une-extension-qui-meta-press-es-a-ta-disposition

    La veille sur la #Presse en ligne est laborieuse et exigeante, mais une extension pour Firefox peut la rendre plus légère, rapide et efficace… et plus éthique que Google News. Nous rencontrons aujourd’hui Simon Descarpentries pour lui poser des questions … Lire la suite­­

    #Contributopia #Dégooglisons_Internet #Libres_Logiciels #agrégateurs #flux #méta-moteur #Mozilla #recherche #RSS #wallabag

  • « Google Fuchsia » from Wikipedia https://en.wikipedia.org/wiki/Google_Fuchsia
    #os #kernel #skia #vulkan #flutter #materialDesign

    « […] Fuchsia can run on many platforms, from embedded systems to smartphones, tablets, and personal computers. […]

    Fuchsia’s user interface and apps are written with Flutter, a software development kit allowing cross-platform development abilities for Fuchsia, Android and iOS.

    Flutter produces apps based on Dart, offering apps with high performance that run at 120 frames per second. Flutter also offers a Vulkan-based graphics rendering engine called Escher […]

    Fuchsia is based on a new microkernel called Zircon. Zircon is derived from Little Kernel, a small operating system intended for embedded systems. […] Zircon was previously known as Magenta and it was designed to scale to any application from embedded RTOS (Real-Time Operating Systems) to mobile and desktop devices of all kinds. […] »

  • The Millions Who Left

    Since German reunification, millions of people have left the East, triggering a demographic crisis. Data now shows exactly what happened – and why there’s cause for hope.

    –-> les cartes et le graphique montrent comment il y a eu à partir de la chute du mur et pendant quelques années une forte #émigration de l’Allemagne de l’Est à l’Ouest, les flux ont diminué petit à petit à partir de la fin des années 90. Et en 2017, changement : il y a eu plus de personnes qui ont immigré en Allemagne de l’Est depuis l’Allemagne de l’Ouest que de personnes qui ont fait l’inverse.

    https://www.zeit.de/politik/deutschland/2019-05/east-west-exodus-migration-east-germany-demography

    #Allemagne #migrations #évolution #histoire #flux_migratoires #visualisation #cartographie #flux_inversés #réunification #chute_du_mur #Allemagne_de_l'Est #Allemagne_de_l'Est #préjugés #invasion #ouverture_des_frontières #frontières_ouvertes

    ping @reka @fil @simplicissimus

  • Retraites : non, tous les seniors ne peuvent pas travailler plus longtemps
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/240919/retraites-non-tous-les-seniors-ne-peuvent-pas-travailler-plus-longtemps

    Alors que la CGT appelle à manifester ce mardi contre la réforme des retraites, un rappel : pour la moitié des Français de 60 ans, voir reculer l’âge où ils pourront prendre leur retraite ne signifie pas qu’ils devront rester plus longtemps à leur poste. Déjà rejetés en dehors du marché du travail, ils devront patienter encore au chômage, au RSA, en invalidité, ou ne compter que sur eux-mêmes quelques années de plus.

    #SOCIAL #manifestation,_social,_retraites,_âge_de_départ,_grève,_réforme

  • Cartographier les migrations #1 : Un monde de cartes

    Verbatim

    Cela fait longtemps que l’Humanité produit différents types de cartes. Cartes polynésiennes, table de #Peutinger, portulans, etc., nombre d’entre elles étaient notamment conçues pour le repérage et l’organisation des déplacements humains sur terre ou en mer.

    L’histoire de la cartographie est aussi l’histoire de la représentation du Monde. Si la première carte du monde connu date de l’époque babylonienne (vers 600 avant notre ère), ce sont les grecs qui ont posé les fondements de la cartographie scientifique : mesure de la rotondité de la terre (Ératosthène), systèmes de projection, découpages en zones, etc.

    Les premières représentations de données sous la forme de graphiques sont également très anciennes : elles datent du XIVe siècle et sont signées Nicolas Oresme, un intellectuel né en Allemagne, ancien évêque de Lisieux à qui sont attribués les premiers histogrammes de l’Histoire.

    En 1826, une conjonction graphique qui mêle ces histoires de la mise en graphique et de la cartographie s’ouvre avec les travaux du français #Charles_Dupin. Nait alors la première carte (#choroplèthe) représentant des données statistiques localisées invisibles à l’œil nu, une carte de l’instruction populaire en France. Comme l’indique #Gilles_Palsky, on a effectivement d’abord appris à représenter le temps sous la forme de diagramme, puis l’espace sous la forme de carte.

    Et puis, il y a #Charles_Joseph_Minard, ingénieur civil français qui entreprend, à l’heure de la retraite, un travail considérable de cartographie statistique fondé sur « un calcul par l’œil ». Sa carte figurative sur la Campagne de Russie de 1812-1813 est d’ailleurs considérée aujourd’hui comme le « Gold Standard » de la dataviz.

    Minard produira nombre de cartes et graphiques descriptifs de mouvements de transports, avant d’étudier également ceux de populations humaines. Sa mise au point de plusieurs variables visuelles posera les fondements d’une école française de la sémiologie cartographique.

    La publication illustrée des Lois de la migration à la fin du XIXe siècle par #Ernst_Georg_Ravenstein, cartographe allemand installé à Londres, ouvre la voie vers un changement de paradigme théorique : les approches monographiques, purement descriptives, sont progressivement complétées par une vision idiographique qui donnera lieu à un renouvellement progressif des méthodes et des cartographies correspondantes.

    Le tournant spatial de la fin des années 1960 entraînera dans son sillage un renouvellement de la figure de la carte statistique liée à un double mouvement. D’une part, les principes de sémiologie acquis au cours du temps sont formalisés par Jacques Bertin, dans le registre de la cartographie générale ; ils incluent à la marge des considérations liées aux déplacements. D’autre part, le développement d’une algorithmie spécifique au traitement et à l’analyse de données localisées va devenir une pratique courante avec les travaux de #Waldo_Rudolf_Tobler, géographe américain qui publiera, notamment, les premiers scripts autorisant le dessin automatique sur une carte, décrivant en particulier des interactions territoriales par des flux ; plus généralement l’émergence de nouveaux outils, les Systèmes d’information géographique.

    La production cartographique actuelle sur les déplacements, forte des acquis théoriques et méthodologiques du passé, est soutenue ces dernières années par le développement de l’informatique graphique et un engouement général pour la cartographie. Sa fabrique connaît en effet un renouvellement profond dans le contexte de la cartographie 2.0, une évolution en même temps qu’une ouverture des outils et des pratiques qui s’inscrit dans un contexte de permanence de questionnements anciens (figurer des routes, des directions majeures, montrer des zones d’accumulation, …).

    https://neocarto.hypotheses.org/5807

    #vidéo #migrations #cartographie #visualisation #Nicolas_Lambert et #Françoise_Bahoken (@fbahoken) #mobilité #flux #histoire_de_la_cartographie #histoire

    https://www.youtube.com/watch?v=j-QeXDiK1Iw

    #ressources_pédagogiques
    ping @karine4

    • Cartographier les migrations #2 : enjeux théoriques et méthodologiques

      Verbatim

      Les images cartographiques produites au cours du temps sur des mouvements et déplacements apparaissent diverses dans leur forme, dans leur fond et dans leur mise en œuvre. Dans la mesure où elles peuvent être (perçues comme) complexes, il devient intéressant de les examiner de plus près.

      Pour cela, il convient d’adopter une posture critique dé-constructive de ces images pour essayer d’identifier les éléments qui les composent, leur structure élémentaire et plus loin leur fondement théorique. Quel est le processus mis en œuvre pour réaliser cette carte de migrations ? Dans quel cadre théorique (approche réseau, approche gravitaire, approche visuelle) s’inscrit-elle ? Quel phénomène y est symbolisé ? A l’aide de quels procédés ?

      Cette seconde partie du séminaire met en œuvre une approche compréhensive à visée pédagogique, pour présenter les enjeux théoriques et méthodologiques d’une cartographie de migrations. Le rappel des notions mobilisées concernant la mesure de l’information est mis en perspective avec la symbolisation cartographique qui peut être réalisée en lien avec une difficulté spécifique qui se pose d’emblée pour les migrations.

      L’usage de la #flèche génère une erreur qui conduit généralement à interpréter son dessin sur une carte comme une généralisation de comportements individuels, alors qu’elle symbolise plutôt le comportement d’un agrégat – et non celui d’un groupe ou d’un individu. Son examen conduit à arbitrer sur le choix du niveau de chacune des composantes (sociale, spatiale, temporelle …) mobilisée dans l’analyse cartographique des déplacements, en général.

      La prise en compte de ces choix théoriques dans la symbolisation graphique des migrations n’est donc pas sans conséquences sur le type d’images réalisée, sur leur signification. On montre enfin qu’il existe en réalité trois modalités cartographiques de ces déplacements qui diffèrent fondamentalement sur les plan graphique et théorique.

      https://www.youtube.com/watch?v=Xy5M-Irpom0


      https://neocarto.hypotheses.org/5809
      #flèches

    • Cartographier les migrations #3 : enjeux rhétoriques
      Verbatim

      La carte est l’instrument fondamental du géographe. Elle permet de faire émerger des hypothèses, de tester une intuition, de valider un raisonnement, de spatialiser le regard. En sciences, la carte peut d’ailleurs valoir de preuve. L’élaboration d’une carte à la fin d’un processus de recherche permet aussi d’expliquer par l’image le résultat d’un raisonnement donnant toujours lieu à une #représentation donnée du Monde, située. Le fait qu’il y ait 1000 et 1 manières de mettre le Monde en cartes suggère autant de discours envisageables. La carte illustre en réalité, par l’intermédiaire d’un langage graphique plus ou moins formel, un ensemble d’arguments dont la présentation n’est pas dénuée de techniques de rhétorique.

      Certaines cartes de l’agence #Frontex en sont l’exemple frappant. En représentant des migrations sud-nord par de grosses flèches rouges pointant de façon menaçante vers les pays de l’Union européenne, leurs cartes font plus que mettre, simplement, des chiffres en images. Elles racontent un phénomène inscrit dans un espace géographique, de son point de vue : celui d’une autorité qui considère qu’il faut « protéger » les frontières européennes de l’arrivée de migrants jugés trop nombreux. Le mode de représentation traduit un parti pris cartographique indéniable pour soutenir leur position. Et pourtant, d’autres choix étaient possibles : en jouant sur l’#échelle du rendu ou sur les #figurés graphiques eux-mêmes, ou sur les questionnements sous-jacents. Qu’y a-t-il derrière ces grosses flèches rouges ? Quid des histoires individuelles de ces hommes, de ces femmes et enfants en migration ?

      Faire une carte, ce n’est pas mettre en image le réel, c’est en représenter une facette. C’est porter un regard sur le Monde, donner une représentation nécessairement tronquée et simplifiée de la réalité. La réalisation d’une carte résultant de choix pris dans un éventail de possibles, elle n’est ni totalement objective, ni complètement neutre ; elle se doit donc d’être conçue avec honnêteté.

      Les cartes servent aussi à dénoncer, à alerter. C’est l’objectif de celles qui sont réalisées depuis 2003 sur les morts et portés disparus aux frontières de l’Europe. En montrant les logiques spatiales et leurs évolutions à travers le temps, ces cartes permettent de mettre directement en cause les politiques de durcissement des frontières extérieures de l’Union européenne et leurs conséquences. Chaque fois qu’un point de passage est fermé (détroit de Gibraltar, Iles Canaries, Lampedusa,  etc.), les #flux_migratoires sont déviés mais non stoppés. En d’autres termes, chaque fermeture conduit à des morts… La carte réalisée dans ce contexte joue alors un rôle de contestation qui n’est pas sans rappeler la démarche du géographe américain #Wiliam_Bunge.

      Enfin, l’exemple de la cartographie des migrants syriens permet de montrer à quel point les images cartographiques peuvent être sujettes à caution. En changeant les mots, les couleurs, la taille des symboles, l’emprise de la vue, il est possible de faire tout dire à une carte, et son contraire ! À travers cet exercice de #déconstruction, l’esprit critique est de mise. Cette mise en garde permet de démontrer qu’aucune carte n’est innocente ; que derrière chacune d’elles se cachent des choix et des intentions qu’il faut savoir débusquer pour bien comprendre son message.

      https://neocarto.hypotheses.org/5811
      #rouge #préjugés #invasion #afflux

  • Kleine Information zur anstehenden #Europawahl. In der »Erklärung v...
    https://diasp.eu/p/9085386

    Kleine Information zur anstehenden #Europawahl. In der »Erklärung von Malta« wurde von den EU-Regierungschefs übrigens 2017 beschlossen, bei Entwicklungshilfe künftig generell »auf durchgängige Berücksichtigung von Migrationsfragen« hinzuwirken. http://menschenrechte.proasyl.de pic.twitter.com/ysHleokoOW

    Kleine Information zur anstehenden #Europawahl.twitter-hashtag .pretty-link .js-nav. In der »Erklärung von Malta« wurde von den EU-Regierungschefs übrigens 2017 beschlossen, bei Entwicklungshilfe künftig generell »auf durchgängige Berücksichtigung von Migrationsfragen« hinzuwirken. http://menschenrechte.proasyl.de pic.twitter.com/ysHleokoOW.twitter-timeline-link .u-hidden

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    https://twitter.com/ProAsyl/status/1130842348940857344 #asyl #asylpolitik #proasyl #deutschland #flüchtlinge #refugees (...)

  • Putains de camions - Les poids lourds en question | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/081593-000-A/putains-de-camions

    En Europe, 80 % des marchandises sont transportées par voie routière. Mais à quel prix ? Enquête sur la folie des #poids_lourds.

    Cela n’aura pas échappé aux automobilistes : les #autoroutes européennes sont encombrées par des files de poids lourds toujours plus interminables. Alors que près de 80 % des marchandises transitent par #voie_routière, le nombre de camions en circulation devrait augmenter de 40 % dans cinq ans. Pourquoi ce choix de la route au détriment du #rail ou du #transport_maritime, qui présentent pourtant de nombreux avantages, notamment écologiques ? Pour quelle raison les camions sont-ils aussi nombreux – un tiers d’entre eux, selon les estimations – à rouler à vide ? #Diesel bon marché, dumping sur les salaires des chauffeurs, explosion des commandes sur Internet, production et livraison à flux tendu : cette folie des poids lourds, qui résulte d’une série de décisions politiques, notamment un investissement massif dans les autoroutes, sert des intérêts économiques. Si les entreprises privées profitent de ce système, les citoyens en subissent les conséquences : embouteillages, pollution, risques sanitaires et usure précoce des infrastructures publiques. À l’échelle du continent, la #Suisse offre pourtant un modèle plus vertueux : le pays a su s’affranchir du #lobby_automobile pour miser sur le #transport_ferroviaire.

    #transport #transport_routier

    • Petite synthèse du reportage.
      1. Le #budget d’entretien des autoroutes et routes nationales allemandes est de 3,9 milliards. Ce coût s’explique en particulier par l’impact des poids lourds : 1 camion de 40 tonnes a un impact équivalent à celui de 60 000 véhicules légers.

      2. Le fonctionnement en #flux_tendu de l’ensemble du système #logistique transforme de facto le #réseau_routier en espace de #stockage grâce à un coût particulièrement intéressant ne prenant pas en compte les #externalités_négatives et reposant largement sur l’#exploitation des travailleurs de l’est de l’#union_européenne, que ce soit les chauffeurs ou les employés des #centres_logistiques. Le reportage cite notamment l’exemple d’Amazon — mais cela doit être valable pour l’ensemble des acteurs du #e-commerce
      qui installe ses centres en Pologne pour ses livraisons en Allemagne. Ce coût extrêmement faible se reflète également dans le fait que 36 % des camions roulant en Allemagne roulent à vide !

      3. Pour en revenir à l’exploitation, les patrons des sociétés de transport mettent une pression terrible sur leurs chauffeurs au détriment de la #sécurité_routière tout en profitant d’un nombre de contrôle très insuffisant et des sanctions trop légères (en #Allemagne) en cas d’irrespect de la législation européenne sur les temps de repos. Ainsi, il est estimé qu’un chauffeur routier pourra faire 100 000 kilomètres sans être contrôlé alors que 50 % de ces contrôles amènent à constater une infraction (cas allemand toujours) ! La faiblesse des sanctions amène d’ailleurs les transporteurs à prévoir leur coût lorsqu’ils ne fraudent pas directement en manipulant les instruments de contrôle.

      4. Bien entendu, le reportage aborde également la question du diesel (subventionné) et des émissions de #particules_fines avec leur impact sur la #santé : maladies cardio-vasculaires, décès prématurés.

      5. L’#électromobilité ne concernera le fret longue distance qu’à long terme, les constructeurs allemands ne s’y investissant pas pour la plupart. Il y a un début de développement de solutions pour le #fret_urbain. Pour le transport de passagers, le reportage cite l’exemple d’un #bus_électrique développé par l’entreprise Build your dreams, d’origine chinoise comme l’indique son nom, et exploité par #Flixbus pour sa liaison Paris – Amiens.

      6. En matière de lobbying, #Volkswagen entretient en particulier un groupe de pression de 40 personnes auprès des instances de l’Union.

      7. Alors qu’un train de marchandise de 740 mètres de long permet de remplacer 52 poids lourds, les #infrastructures_ferroviaires souffrent d’un manque d’investissement, de voies d’évitement trop réduites, d’une #électrification des lignes insuffisante, de gros problèmes de jonctions entre les différents réseaux nationaux.

      8. Le reportage se termine en citant le cas #suisse qui a développé une politique ambitieuse de #ferroutage. Le ferroviaire représente 37 % du fret, dont 70 % pour le transit, soit 2 fois plus qu’en Allemagne et 4 fois plus que la France. Cela s’explique notamment par la question des redevances versées pour l’usage des voies ferrées et routières qui permet de redonner sa chance au ferroviaire alors qu’il est estimé que le fret routier va augmenter en Allemagne de 40 % d’ici 2030 par rapport à 2010.

      J’en profite pour renvoyer vers ce message, de 2016, citant un article de Jean Gadrey signalant le documentaire de Gilles Balbastre, Transport de marchandises : changeons d’ère ! réalisé à l’initiative du comité d’entreprise de SCNF-fret : https://seenthis.net/messages/548855

    • merci @af_sobocinski pour ce résumé. J’ai arrêté à la publicité pour flixbus avec les interviews convenues des voyageurs émerveillé·es par les bus « non polluants », mais rien sur la pollution nucléaire, ce n’est pas sérieux.
      Déçue qu’il n’y est apparemment rien non plus sur les militants écologistes #anti-fret-routier, comme ceux certes des années 1990 de la Vallée du Somport.

      Il y a un passage sur les conducteurs de Pologne ou de Roumanie sous payés mais qui naviguent dans l’espace européen (surtout l’Allemagne) avec des camions qui font des trajets Allemagne=>Pologne=>Allemagne pour justifier ces aberrations socios-économiques-polluantes, Amazon en bonne position des pires entreprises implante ses plateformes dans les pays européens les plus pauvres.

      Et je renote ici le chiffre donné impressionnant : un poids-lourd représente le passage de 60.000 voitures . Donc, il faut inclure dans le coût global du #fret_routier la construction et l’entretien des routes, autoroutes et aires de stationnement tous saturé·es par les poids-lourds. En plus des cadeaux fiscaux, diesel moins cher, #subventions aux entreprises etc. #croissance #folie_humaine #inside_the_wall

      @aude_v j’appellerai pas ça du survivalisme mais du #déni_opportuniste
      #fin_du_monde #macronerie

    • Je n’ai pas encore pété de télé @touti mais il n’est pas trop tard pour que je m’y mette. Ce n’est pas les boîtes à conneries et les raisons qui manque. J’ai beaucoup cassé et dès l’adolescence, tout seul où en groupe. Puis on s’est calmé quand on a eu affaire aux flics. Plus tard avec un pote, on pointe à pôle-emploi (anpe à l’époque) depuis une antique cabine téléphonique. Tapez 1, tapez 2… tatati tatata, patins,couffins… au tour de mon compère, avant de finaliser par je ne sais quelle touche, il arrache le combiné et s’en sert telle une masse d’arme pour détruire la cabine. J’ai rien fait pour le retenir, je crois bien même que j’ai dû l’aider. J’ai encore, dans la tête, l’image de cette cabine toute destroy alors qu’on étaient partis faire du stop un peu plus loin.

    • Bon, je n’ai pas imaginé que ça allait déclencher de telles réactions. Je me retire de cette discussion et j’emmène avec moi la façon dont je pense que la télévision fonctionne avec une conclusion qui semble avoir activé moralisme et souvenirs de vandalisme à mon grand désarroi.

  • Noch 11.519 Mängel, aber die Entrauchungsanlage funktioniert | Telepolis
    https://www.heise.de/tp/features/Noch-11-519-Maengel-aber-die-Entrauchungsanlage-funktioniert-4401941.html

    17. April 2019 Nach einem geleakten Statusbericht des TÜVs Rheinland erreicht der Streit um die Eröffnung des neuen Berliner Flughafens die Pressekammer des Hamburger Landgerichts

    2006 wurde mit dem Bau eines neuen Berliner Flughafens begonnen, der eigentlich schon seit 2011 fertig sein sollte. So weit ist man aber auch 2019 noch nicht. Dafür hat Flughafen-Geschäftsführer Lütke Daldrup dem RBB zufolge jetzt die Abnahme der Entrauchungssteuerung durch den TÜV als „ganz wichtigen Meilenstein für die planmäßige Inbetriebnahme“ vermeldet. Zu dieser Entrauchungssteuerung gehört unter anderem das automatische Öffnen von Türen, das noch 2017 zu mindestens zwei Dritteln nicht wie geplant funktionierte. Bei der Suche nach der Ursache dafür war Telepolis damals an Mauern aus Unzuständigkeit gestoßen (vgl. Technische Probleme lassen BER-Flughafen Baustelle bleiben).

    Einen dem Tagesspiegel zugespielten einundsechzigseitigen internen Statusbericht des TÜV Rheinland zum Zustand der Anlagentechnik im Fluggastterminal nach existierten am 8. März 2019 alleine „bei den Kabeln für die Sicherheitsbeleuchtung und die Sicherheitsstromversorgung“ noch 11.519 Mängel. Gegenüber der Öffentlichkeit hatte man vorher verlautbart, es gebe weniger als 3000 Mängel. Die Diskrepanz zwischen den beiden Zahlen erklärte Flughafensprecher Hannes Hönemann damit, dass man nun „Mängel in jeden einzelnen kleinteiligen Arbeitsschritt unterteilt“ habe, „damit die Firmen bei der Abarbeitung keine Ausreden mehr haben“.

    Die aufgrund der Diskrepanz der Zahlen erfolgte Einstufung als „notorischer Lügner“ durch den Berliner FDP-Fraktionsvorsitzenden Sebastian Czaja versucht Daldrup durch die einschlägig bekannte Pressekammer des Landgerichts Hamburg als „unzutreffende Tatsachenbehauptung mit beleidigendem Charakter“ verbieten zu lassen (vgl. Der Gerichtsreporter und die Kammer des Schreckens). Czajas Meinung nach zeigt diese Reaktion, „wie es um den Flughafen wirklich steht“.

    Die „Vielzahl von Rückbauten“, die dem TÜV Rheinland zufolge nötig sind, bedeuten dem Flughafensprecher zufolge keinen „Abriss“. „Manchmal“, so Hönemann, müsse man „einfach eine Abdeckung oder ein Wandelement abnehmen oder ein Lüftungsrohr wegnehmen, um an die sicherheitsrelevanten Kabel zu kommen“. Dem Problem, dass man für die Befestigung von Kabeln keine Metall-, sondern unzulässige Kunststoffdübel verwendet hat (die bei einem Brand schmelzen können), wollen die Berliner Flughafenbauer nicht mit einem Austausch, sondern mit dem „Nachweis“ begegnen, dass die Konstruktion trotzdem sicher ist. Dieser (bislang noch nicht erbrachte) Nachweis soll dann zu einer „Einzelfallzulassung“ führen.

    Prüfung des Zusammenspiels der Anlagen soll im Juli beginnen
    Auch bezüglich der bislang noch nicht abgenommenen Brandmeldeanlage gibt man sich offiziell zuversichtlich und stellt in Aussicht, dass die Prüfung des Zusammenspiels der Anlagen wie geplant im Juli beginnen kann.

    Klappt das nicht, könnte sich der Eröffnunggstermin weiter in die Zukunft verschieben, was in der Vergangenheit bereits mehrfach geschah: Weil sich das Licht nicht ausschalten ließ (und für elf Millionen Euro umgebaut wurde), weil man die Rolltreppen und Gepäckbänder zu kurz bestellt hatte, weil sich in überlasteten Kabeltrassen Hitze staute, weil Ventilatoren für die Decken zu schwer waren, weil über 1.000 der insgesamt 4.000 Räume wegen einer unzureichend kommunizierten Umplanung eine falsche Nummer bekommen hatten und weil 600 von insgesamt 1.000 falsch gepflanzten Bäume wieder herausgerissen und neu eingesetzt wurden.

    Was wird früher fertig: BER, Notre Dame oder Brexit?
    In Sozialen Medien fragt man sich deshalb (teils im Scherz und teils im Ernst), ob der Berliner Flughafen wohl eher fertig sein wird, als der vom französischen Staatspräsidenten Emmanuel Macron in fünf Jahren in Aussicht gestellte Abschluss des Wiederaufbaus der Kathedrale von Notre Dame (für den Experten eher 15 Jahre veranschlagen). Auch der nun ebenfalls schon mehrmals verschobene Vollzug des Ausstiegs von Großbritannien aus der EU wird in Wetten und Fragen dieser Art gern als Gegenüberstellungsereignis genannt.

    Sollte die nach dem verstorbenen SPD-Politiker Willy Brandt benannte Anlage einmal fertig werden, ist ein rentabler Betrieb nicht gesichert. Das glaubt zumindest Frank Welskop, der ehemalige Wirtschaftsausschussvorsitzende der Landesentwicklungsgesellschaft Brandenburg. Durch den hohen Anteil von Billigflügen wird der BER-Flughafen seiner Ansicht nach „immer eine riesige Umsatzlücke haben“ und „nicht in der Lage sein, auch nur in die Nähe der Gewinnschwelle zu kommen“.

    Damit die Kosten des Betriebs gedeckt sind, wären seiner Rechnung nach „mindestens 800 Millionen Euro Umsatz nötig“ - mit der geplanten Kapazität von 22 oder 27 Millionen Passagieren wird das seine Ansicht nach bei weitem nicht erreicht. Selbst wenn man alle anderen Berliner Flughäfen schließen und 33 Millionen Passagieren haben würde, käme man lediglich auf die Hälfte: 400 Millionen Euro (vgl. Willy-Brandt-Flughafen: Unrentabler Betrieb absehbar?). (Peter Mühlbauer)

    #BER #Berlin #Flughafen

  • [Appli] Die Millionen, die gingen | Christian Bangel et al.

    Ces flux de millions d’allemands de l’est qui s’en sont allés ... est une très belle application réalisée par Christian Bangel, Paul Blickle, Elena Erdmann, Philip Faigle, Andreas Loos, Julian Stahnke, Julius Tröger und Sascha Venohr.

    Cette application publiée en ligne, sur le site du journal die Zeit

    Depuis la chute du communisme, des millions de personnes ont en effet quitté l’Allemagne de l’est, ce qui déclencha « une crise démographique » sans précédent. Le journal raconte en effet comment le chef de l’Etat allemand chanta l’hymne national sur le balcon du Reichstag le 3 octobre 1990, pendant que les allemands célébraient leur réunification.

    Le Zeit a par ailleurs collecté des données décrivant de l’ordre de 6 millions de « délocalisations » correspondant aux mobilités résidentielles est-ouest entre 1991 et 2017. L’analyse réalisée permet de montrer qu’un quart de la population de l’Allemagne de l’Est s’est « déplacée » vers l’Ouest, ce qui correspond à 3 681 649 personnes venant de toutes les régions.
    Cette migration n’a pas été soudaine, elle prend la forme de vagues que l’application met bien en évidence. Interactive et sur le modèle de la storymap, elle relate cette migration par le recours à une cartographie statique (choroplèthe) et animée, en utilisant harmonieusement le procédé des particules.


    Différents diagrammes catégoriels et temporels sont également disponibles.

    Les données collectées en réalité depuis 1957 permettent ainsi de mettre en perspective graphiquement une très longue histoire de la migration allemande impliquant la RDA (avec Berlin-Est), les États territoriaux est-allemands ultérieurs et l’Ouest.

    A consulter, absolument.

    –> A titre secondaire, cette web application est la 80e que nous avons pu recenser sur le sujet « flux et réseaux dans le geoweb » pur #gflowiz.

    En savoir plus : https://www.zeit.de/politik/deutschland/2019-05/ost-west-wanderung-abwanderung-ostdeutschland-umzug

    #application #flux #flowmap #cartedeflux #geoweb #Deutschland #migrations #chutedumur #particules #migrations #delocalisations

  • Antoine Costa, Protéger et détruire, 2019
    https://sniadecki.wordpress.com/2019/04/24/costa-iter

    Depuis le XIXe siècle et les principes de la thermodynamique, on sait que le mouvement perpétuel, c’est-à-dire l’idée d’une machine qui ne consommerait pas d’énergie, ne peut physiquement pas exister. C’est l’entropie : une partie de l’énergie produite se dégrade nécessairement. L’idée de la fusion thermonucléaire, qui n’est autre qu’un fantasme du mouvement perpétuel atomique, se résume à ceci : on pourrait avoir « tout pour rien » [3]. On pourrait produire de l’énergie sans carburant et sans déchets. Le beurre et l’argent du beurre, l’omelette sans casser les œufs. Problème : si on connaît le fonctionnement théorique de la fusion depuis longtemps, aucune infrastructure ne permet de reproduire ce phénomène physique dans la pratique.

    Le mouvement perpétuel est à la physique ce que la pierre philosophale est à la chimie. De la même façon qu’il est impossible de changer le plomb en or, il est impossible de créer un moteur perpétuel.

    […]

    On peut renvoyer à la conclusion de Pierre Musso dans son livre La religion industrielle, selon laquelle nous vivrions à une époque à la croisée des chemins, la rencontre entre deux idéologies : le management, ou rationalisation en français (l’administration des choses et des hommes) et la cybernétique (le pilotage centralisé du monde via le réseau). Notre époque est donc celle du cyber-management, et ce pilotage techno scientifique du monde répond précisément à la mode du moment : l’écologie. « S’appuyant sur le principe de l’économie circulaire, l’écologie industrielle a pour objectif de quantifier les flux de ressources (d’eau, d’énergie, de matière) dans le but d’optimiser leur utilisation » poursuit très justement le texte.

    Pour comprendre le lien entre écologie et économie et cette obsession de la rationalité et de l’optimisation il faut remonter aux chocs pétroliers de 1973 et 1979 et là façon dont ils eurent un effet d’électrochoc sur les sociétés occidentales. En effet, plus qu’une question de pénurie (nous n’avons jamais manqué de pétrole lors des chocs pétroliers) ces événements mirent en lumière la dépendance de l’Occident à une ressource sur laquelle il n’avait que peu de prise. Quand en 1911 Churchill, alors Lord de l’Amirauté fait passer la Royal Navy du charbon (anglais) au pétrole (Perse), c’est-à-dire fait passer la puissance militaire navale de l’Angleterre sur une ressource parcourant des milliers de kilomètres, il le fait (entre autre) pour contourner le pouvoir des mineurs et des syndicats [7]. C’est donc une réflexion politique et non scientifique qui détermine un choix énergétique. Les chocs pétroliers vont consister en une logique semblable même si le mouvement est inverse : rapatrier les sources d’énergies sur le territoire national et ne plus les laisser dépendre de gouvernements étrangers.

    #nucléaire #anti-nucléaire #histoire #critique_techno #énergie #flux #économie_circulaire #écologie #Antoine_Costa

  • Mozilla lance Fluent 1.0 pour révolutionner la localisation des logiciels
    https://blog.mozilla.org/press-fr/2019/04/17/mozilla-lance-fluent-1-0-pour-revolutionner-la-localisation-des-logici

    Mozilla propose en open source un système évolué de traduction ("localisation") des chaînes de langue d’un logiciel/d’une appli web :

    Fluent permet de s’adapter à la grammaire et au style d’autres langues, indépendamment de la langue source. Cela permet aux développeurs d’écrire du code agnostique du langage et aux localisateurs de réaliser des traductions naturelles plus rapidement et plus facilement.

    Système basé sur des fichiers au format FTL :

    FTL is a localization file format used for describing translation resources. FTL stands for Fluent Translation List.
    FTL is designed to be simple to read, but at the same time allows to represent complex concepts from natural languages like gender, plurals, conjugations, and others.

    Quelques ressources pour Fluent :
    – la page du projet Fluent : https://projectfluent.org
    – le guide de l’utilisateur de Fluent : https://projectfluent.org/fluent/guide
    – un exemple d’implémentation pour javascript : https://github.com/projectfluent/fluent.js

    Il ne semble (malheureusement) pas (encore ?) exister d’implémentation PHP...

    En parallèle pour simplifier le boulot des traducteurs.trices Mozilla propose un outil WYSIWYG de gestion des traductions : Pontoon
    – présentation de Pontoon : https://developer.mozilla.org/fr/docs/Mozilla/Localization/Localiser_avec_Pontoon
    – un bac à sable pour prendre en main/tester Pontoon : https://pontoon.mozilla.org/fr/tutorial/playground/?string=189479
    – intégrer Pontoon à un projet : https://developer.mozilla.org/fr/docs/Mozilla/Implementer_Pontoon_sur_un_projet_Mozilla
    – la doc officielle (en anglais) : https://mozilla-pontoon.readthedocs.io/en/latest

    #traduction #localisation #fluent #pontoon #mozilla #open_source #SPIP

  • L’#aide_au_développement peut-elle réguler l’immigration ?

    Moins de pays, davantage de financements privés et un accent plus fort mis sur la migration : le débat politique sur la réorientation de l’aide suisse au #développement commence en mai. #Fritz_Brugger, maître de conférences et conseiller en matière d’aide au développement, évoque les risques et les opportunités.

    swissinfo.ch : Le Conseil fédéral souhaite obtenir le soutien le plus large possible à l’orientation de l’aide suisse au développement au cours des quatre prochaines années. Pour la première fois, les politiciens et les groupes d’intérêt pourront s’exprimer à l’avance. L’aide au développement va-t-elle à l’avenir moins fâcher les esprits ?

    Fritz Brugger : Je crains que non... Jusqu’à présent, la discussion s’est principalement concentrée sur la question du niveau d’engagement de la Suisse, c’est-à-dire combien d’argent devrait aller à la coopération au développement. Cette situation est en train de changer avec la consultation prévue, qui se concentrera davantage sur des questions de contenu et d’instruments, qui étaient auparavant laissées aux experts.

    swissinfo.ch : Cela semble plutôt positif…

    F.B. : Un débat public sur le mandat actuel de la coopération suisse au développement est souhaitable, oui. Mais il y a un risque que des questions techniques soient politisées. En pleine année électorale, ce risque pourrait se confirmer. La coopération au développement est un effet un thème sur lequel les politiciens aiment bien s’écharper.

    swissinfo.ch : La coopération suisse au développement se concentre désormais sur quatre régions. Les intérêts de l’économie suisse devraient également être davantage pris en compte et l’aide au développement plus étroitement liée aux migrations. Ces mesures ont-elles un dénominateur commun ?

    F.B. : On peut constater que la coopération au développement se concentre davantage sur les intérêts à #court_terme de la Suisse. Jusqu’à présent, tout le monde reconnaissait qu’il était dans l’intérêt à long terme de la Suisse de lutter contre la #pauvreté. L’intérêt à court terme de la Suisse est désormais de limiter l’immigration. L’aide au développement doit ainsi être transformée en un instrument de gestion des migrations.

    swissinfo.ch : Qu’y a-t-il de mal à cela ?

    F.B. : Les recherches montrent que la coopération au développement ne réduit pas la migration à court terme. On ne peut pas se contenter de regarder les Syriens et les Érythréens qui viennent en ce moment en Suisse et orienter toute l’aide au développement en conséquence. Les raisons qui influencent la migration sont multiples.

    Cette approche, qui est axée sur l’intérêt personnel à court terme, comporte également le risque de passer d’une approche de long terme et fiable de la réduction de la pauvreté à des interventions à court terme. Selon le nombre de réfugiés et de migrants qui arrivent dans notre pays, la Suisse pourrait ainsi décider d’abandonner ou de poursuivre sa coopération au développement dans la région d’origine.

    swissinfo.ch : Quelles en seraient les conséquences ?

    F.B. : Le risque est de créer une contradiction interne, car l’argent investi pourrait ne pas avoir d’effet à long terme. En termes d’#efficacité, l’argent ne serait donc pas dépensé de manière optimale, ce qui donnerait lieu à des critiques justifiées. Les mesures de coopération au développement devraient surtout être examinées en fonction de leur impact.

    Le choix des acteurs et des instruments devrait également être fondé sur l’impact. Prenons l’appel en faveur d’un rôle accru pour le secteur privé : le secteur privé doit jouer un rôle dans tous les cas. L’ampleur de ce rôle devrait toutefois dépendre de comment et avec quel acteur il est possible d’obtenir l’impact le plus important.

    swissinfo.ch : Estimez-vous que la réduction de la pauvreté est l’objectif le plus menacé ?

    F.B. : Il y a un risque que certains instruments ou certaines questions dominent, sans tenir compte des tendances et des défis à long terme.

    Par exemple, on ne peut fondamentalement pas reprocher à la Suisse de vouloir réduire le nombre de pays qu’elle aide pour rassembler les forces. Cependant, il est important de garder à l’esprit que la géographie de la pauvreté – qui comprend non seulement le manque d’argent, mais qui se mesure aussi en termes de santé, de nutrition, d’accès à l’eau ou à l’éducation – a changé. Il y a de moins en moins de « pays pauvres », mais de nombreux pays dans lesquels des groupes de population de certaines régions vivent dans la pauvreté ou dans lesquelles la pauvreté est aggravée par une urbanisation rapide. De telles #inégalités présentent également un grand potentiel de tensions sociales.

    swissinfo.ch : La Suisse est-elle le seul pays à réorganiser sa coopération au développement et à se concentrer sur ses propres intérêts à court terme ?

    F.B. : Actuellement, les États servent de plus en plus leurs propres intérêts. Et la question des migrations domine le débat politique interne dans de nombreux pays. De ce point de vue, la discussion en Suisse s’inscrit dans une tendance générale.

    Au sein de l’Union Européenne (#UE), par exemple, il y a une pression considérable pour gérer la migration avec les fonds de la coopération au développement. Et en #Angleterre, le discours sur les intérêts de la politique nationale et étrangère comme celui du rôle de l’industrie dans la coopération au développement se poursuit également depuis plusieurs années.

    swissinfo.ch : L’aide suisse au développement est appréciée pour sa neutralité et sa fiabilité. Voyez-vous cette réputation menacée par la réorientation ?

    F.B. : La réputation de partenaire sincère que s’est forgé la Suisse n’est pas menacée. Le pays est trop petit pour apparaître comme un acteur politique de pouvoir. En ce qui concerne la fiabilité, je suis moins optimiste. Les pays partenaires de la Suisse apprécient notre pays parce qu’il tient ses promesses sur le long terme. Si l’allocation des fonds de coopération au développement dépend à l’avenir des mouvements migratoires actuels, nous compromettrons cette réputation. La fiabilité est indispensable dans les questions de développement si nous voulons avoir un impact. Elle ferait ainsi défaut.

    swissinfo.ch : Par rapport aux Etats-Unis ou à l’UE, par exemple, la Suisse n’est de toute façon qu’un acteur insignifiant de l’aide au développement…

    F. B. : Bien que la Suisse soit financièrement un petit acteur, elle sait se positionner. Jusqu’à présent, elle a réussi à trouver des niches dans lesquelles elle peut avoir un impact important par rapport à l’argent investi. Il ne serait pas prudent de mettre en péril ce rôle d’acteur de niche avec une orientation à plus long terme basée sur un prétendu intérêt personnel à court terme.

    https://www.swissinfo.ch/fre/politique/politique-de-d%C3%A9veloppement_l-aide-au-d%C3%A9veloppement-peut-elle-r%C3%A9guler-l-immigration--/44866002
    #migrations #asile #réfugiés #coopération_au_développement #Suisse #flux_migratoires #gestion_des_flux_migratoires #Europe #EU #UK

    Le changement de cap pour Brugger :

    Jusqu’à présent, tout le monde reconnaissait qu’il était dans l’intérêt à long terme de la Suisse de lutter contre la #pauvreté. L’intérêt à court terme de la Suisse est désormais de limiter l’immigration. L’aide au développement doit ainsi être transformée en un instrument de #gestion_des_migrations.

    voir métaliste :
    https://seenthis.net/messages/733358

    • Il nuovo aiuto allo sviluppo fa litigare Berna

      La consultazione facoltativa fa emergere tutti i punti controversi, dal ritiro dal Sudamerica al budget ’insufficiente’

      Legami tra aiuto allo sviluppo e migrazione, ammontare dei fondi investiti, ritiro dall’America latina: sono alcuni dei punti che hanno fatto maggiormente discutere nel corso della procedura di consultazione sull’orientamento da dare all’aiuto allo sviluppo elvetico nei prossimi anni.

      È la prima volta che le grandi linee della cooperazione internazionale vengono sottoposte a procedura di consultazione facoltativa. Il progetto prevede che gli aiuti tengano maggiormente conto degli interessi della Svizzera, in particolare in materia di politica migratoria.

      Per il PLR, è positivo che venga dato maggior peso alla migrazione. Il partito si aspetta ora che queste intenzioni si concretizzino. Oltre a rafforzare il dialogo e i partenariati in materia, occorre adoperarsi per concludere nuovi accordi di riammissione, ha sottolineato.

      PS e Caritas apprezzano dal canto loro il fatto che il legame tra aiuti e migrazione non sia soggetto a condizioni rigorose. I socialisti deplorano però che collegando questi due aspetti venga ridotta l’interazione complessa tra cooperazione e migrazione con il solo scopo di ridurre gli arrivi.

      Analogo il punto di vista della Croce Rossa Svizzera, per la quale la Confederazione deve utilizzare l’aiuto umanitario e i meccanismi di cooperazione allo sviluppo per ridurre la povertà, non per promuovere la politica migratoria.

      Per il periodo dal 2021 al 2024, il progetto prevede un budget di 11,37 miliardi, una somma ritenuta «insufficiente» dalle organizzazioni attive nell’aiuto allo sviluppo e dal PS. Ciò corrisponde allo 0,45% del reddito nazionale lordo (RNL) della Svizzera. Il Parlamento ha fissato quale obiettivo di dedicare lo 0,5% del RNL e il Consiglio federale si è impegnato ad aumentare questa quota allo 0,7%, come previsto dall’Agenda 2030, ricorda in particolare Swissaid.

      Il PLR indica dal canto suo che si pronuncerà ulteriormente sulla percentuale da destinare all’aiuto allo sviluppo, quando il messaggio sarà definitivo. Il partito del consigliere federale Ignazio Cassis sottolinea tuttavia che, oltre a un rigido obiettivo, è determinante l’efficacia con la quale i mezzi sono utilizzati.

      Diversi attori consultati ritengono che gli obiettivi siano formulati in modo troppo vago. La creazione della crescita economica sul posto deve essere la principale priorità, rileva il PLR.

      Per Unione sindacale svizzera, Alliance Sud, Swissaid, PS, Croce Rossa Svizzera e Accademia svizzera delle scienze naturali, gli obiettivi della cooperazione elvetica dovrebbero allinearsi a quelli dell’Agenda 2030 delle Nazioni Unite, ciò che implica in primis la riduzione della povertà.

      Per raggiungere tali scopi, non basta limitarsi alla cooperazione internazionale. La politica svizzera deve migliorare la sua coerenza in ogni dipartimento, in particolare nei settori della politica commerciale, fiscale e finanziaria. Tale esigenza deve essere esplicitamente menzionata, chiedono Alliance Sud, PS e USS.

      Il progetto prevede un riorientamento dell’aiuto internazionale elvetico su quattro regioni e 34 Paesi prioritari anziché su sei e 46 come avviene attualmente. Di conseguenza, la Svizzera si disimpegnerà progressivamente dall’America latina entro il 2024.

      Secondo il DFAE, tale concentrazione è necessaria. La politica in materia di sviluppo deve essere realistica e, affinché abbia un effetto tangibile, i fondi devono essere utilizzati in maniera mirata, scrive il PLR.

      Swissaid ritiene invece che viste le difficoltà politiche in questa regione, una partenza pura e semplice dell’aiuto svizzero «avrebbe conseguenze disastrose per le popolazioni locali».

      Caritas si mostra dal canto suo preoccupata per le sorti di Haiti. Tale Paese «dovrebbe essere considerato come un caso particolare».

      https://www.laregione.ch/svizzera/svizzera/1387562/il-nuovo-aiuto-allo-sviluppo-fa-litigare-berna

    • Une coopération au développement recentrée sur la Suisse

      En Suisse, le Conseil fédéral définit tous les quatre ans sa stratégie de coopération internationale. Pour la période 2021–2024, il souhaite fixer de nouvelles priorités. Ainsi, outre la lutte contre la pauvreté, les intérêts de l’économie et ceux liés à la politique migratoire et sécuritaire de la Suisse devront être davantage pris en considération lors du choix des pays et des programmes. « En vertu de son économie ouverte et très mondialisée, la Suisse dépend d’un ordre international stable », explique le ministre des Affaires étrangères, #Ignazio_Cassis (PLR), à la « Revue Suisse ». La Confédération a intérêt à ce que les principes de l’état de droit se renforcent dans les pays en voie de développement, d’une part pour la population locale, « d’autre part parce que ces pays constituent de futurs marchés ». Le conseiller fédéral poursuit en disant que la Suisse a intérêt « à s’attaquer aux causes de la migration irrégulière et forcée ».

      Concernant la politique migratoire, le Conseil fédéral veut cependant renoncer à faire dépendre l’aide au développement de la coopération d’un pays – par exemple pour le retour de refugiés renvoyés – comme l’exige l’UDC. L’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) ainsi que les œuvres d’entraide ont pris position contre cette conditionnalité. Au printemps 2019, le Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE a insisté sur le fait que l’aide suisse au développement devait se focaliser sur les besoins des pays partenaires, et non se mettre au service de la lutte contre la migration irrégulière.

      https://www.revue.ch/fr/editions/2020/01/detail/news/detail/News/une-cooperation-au-developpement-recentree-sur-la-suisse-1

      #root_causes

  • Introducing UI2CODE : An Automatic #flutter #ui Code Generator
    https://hackernoon.com/introducing-ui2code-an-automatic-flutter-ui-code-generator-7e0a575c193?s

    With the help of AI, Alibaba’s Xianyu tech team is advancing an intelligent tool that renders visual UI design as Flutter code with 100 percent accuracyAs we explored in our recent article on AI-based algorithm development, automation is quickly changing from something to that developers can work on into something that can do developers’ work. While the extent of this shift remains to be seen in the years to come, one major focus today is how AI can tackle the repetitive and tedious aspects of application development so human developers can focus their efforts elsewhere.Now, developers at Alibaba’s Xianyu(闲鱼) second-hand trading platform have launched the UI2CODE project to apply deep learning technology in converting visual user interface images to client-side code. With clear component, (...)

    #artificial-intelligence #ecommerce #machine-learning

  • Easily Impossible: One approach to designing a great API
    https://hackernoon.com/easily-impossible-one-approach-to-designing-a-great-api-16fc02e42d?sourc

    Why building graphical user interfaces is hard.Why is it so hard to write and maintain UI code? One of the reasons is poor API design. Specifically poor balance of control vs effort over a set of use cases. Effort is the time it takes to implement a use case using an API. Control is how fine-grained the commands that we send to an API can be.This issue of balance is not GUI-specific, it’s a generic problem in API design. This post is my attempt to understand the dynamics between control and effort using examples from #frontend development.The lost art of geometryHere’s a puzzle. Let’s say we have two rectangles. One is taller and wider than the other. We want to place and vertically center the smaller rectangle inside the larger one.The height of the larger rectangle is h1. The height of the (...)

    #web-development #flutter #api-development #design-an-api

  • #flutter 1.2 : What’s new in this release ?
    https://hackernoon.com/flutter-1-2-whats-new-in-this-release-799062b36c36?source=rss----3a8144e

    Mobile cross-platform development has reached a new dimension with the introduction of Flutter. Since the team at Google released Flutter 1.0 in last December, the buzz has been never-ending. And as we talked and debated about the recent entrant, Flutter 1.2 is out!Flutter 1.2 is the first feature update for Google Flutter. It was released on February 26 at the Mobile World Congress held in Barcelona. So, let’s see what’s new this time!Dart 2.2The use of #dart has proven to be a major game changer for Flutter. The performance enhancements offered by Dart for Flutter apps is huge. Keeping this in mind, the new Flutter release includes Dart 2.2 SDK for faster performance.In Dart 2.2, they have specifically focussed on improving the performance of the Ahead Of Time (AOT) code. Developers can (...)

    #flutter-1-point-2 #flutter-one-point-two #android-app-development

  • Top 10 #flutter Companies in 2019
    https://hackernoon.com/top-10-flutter-companies-in-2019-d57cf5a5f6ec?source=rss----3a8144eabfe3

    Best of the best! Experts in Flutter around the globe!2019 is in its second month and the era of mobile application technology is continuously reaching new peaks. In the midst of the power struggle between companies to take hold of this division, Google has made its mark by releasing its own open-source SDK for app development.Flutter was announced in its alpha stage in May 2017 and towards the end of 2018, Google announced the first stable release of its brainchild at the annual Flutter conference in December. Flutter has proved to be a revolution in the Mobile application development scene with its intuitive design and cross-platform developmental features. Removing the need for JavaScript bridges for communication and it has become one of the fastest frameworks to be adopted by (...)

    #programming #mobile-app-development #ios #android

  • Getting started with #redux
    https://hackernoon.com/getting-started-with-redux-aa37180dbe93?source=rss----3a8144eabfe3---4

    ReduxI have worked on a couple of projects which had Redux, and i see there is a lot of confusion among people who are getting started. My opinion is if we understand “what problem is redux trying to solve” and “responsibilities of the core components of redux”, life will be easier. This post is my attempt on trying to explain these things.The Problem…SPAs(Single Page Applications) these days are pretty complex and they maintain a lot of state in the front end, e.g: api responses, cache data, state of the #ui widgets like spinners and progress bars, etc..Usually we have Models which hold the data and Views which render them. A View can update a single Model or multiple Models, a Model can update another Model and based on these Model changes Views get updated. Because of all these (...)

    #flux #react #frontend

  • Opening the floodgates ? European migration under restrictive and liberal border regimes 1950-2010

    The effect of ‘open borders’ on migration has been the subject of substantial controversy. Political rhetoric and media images help stoke fear of uncontrolled mass migration that in turn fuels arguments in favour of tighter immigration regulations and border controls to ‘bring migration back under control’. In public debates, removing migration barriers is frequently portrayed as tantamount to ‘opening the floodgates’. However, immigration liberalisation may increase also circulation and return, rendering the effect on net migration theoretically ambiguous. Drawing on bilateral flow data over the 1959-2010 period contained in the DEMIG C2C database, this paper uses European Union (EU) enlargement as a case study to assess how liberalising border regimes affected migration flows. The analysis suggests that, with some exceptions, liberalisation boosted circulation rather than led to a structural increase in intra-EU migration. While removing migration barriers can lead to migration surges—particularly when economic gaps between origin and destination countries are large—these tend to be temporary, after which migration becomes more circular and tends to consolidate at lower levels. And while intra-regional circulation in the EU has grown, closing external EU borders has increasingly pushed non-EU migrants into permanent settlement along with significant family migration. These factors help to explain the structural rise in non-EU immigration, defying policy expectations that opening internal borders would decrease non-EU immigration.

    https://www.imi-n.org/publications/opening-the-floodgates-european-migration-under-restrictive-and-liberal-borde
    #flux_migratoires #ouverture_des_frontières #histoire #statistiques #migration_circulaire #chiffres #préjugés

    merci @isskein
    Le texte apporte probablement des éléments, notamment statistiques, intéressants, mais, en le parcourant rapidement, c’est quand même un peu indigeste...
    c’est ce type de graphiques qui est proposé :


    Je me dis qu’il serait super important d’en tirer des visualisations plus facilement compréhensibles...
    Un travail qui pourrait être confié à l’équipe @visionscarto, si seulement elle avait le temps (et un peu d’argent, hein ?) pour le faire...
    @reka @simplicissimus @fil

  • L’État coule le #transport_fluvial
    https://reporterre.net/L-Etat-coule-le-transport-fluvial

    C’est la première fois que le vote annuel du budget de Voies navigables de France (#VNF, cet établissement public à caractère administratif gère et exploite le réseau fluvial français) soulève une telle tempête. Tous les membres du conseil d’administration, parmi lesquels Transport et logistique de France (#TLF, la première organisation professionnelle représentative des métiers du transport) et #France_Nature_Environnement, s’opposent farouchement à l’#État. Au point d’avoir tous signé le 20 décembre un communiqué de presse intitulé « Les #voies_navigables lâchées par le gouvernement ». Une manifestation de colère inédite dans le petit monde du transport #fluvial.

    explications...

  • #flutter#slack Redesign Challenge : What I learnt from it.
    https://hackernoon.com/flutter-slack-redesign-challenge-what-i-learnt-from-it-ef3719fa1d3f?sour

    Flutter — Slack Redesign Challenge: What I learnt from it.Exploring the power of UI in flutter, I decided to create something cool. I saw the concept of slack application while browsing up-laps.Link: https://www.uplabs.com/posts/slack-redesing-challengeHere I reveal the power of flutter.Slack Redesigned using Flutter SDKMy flutter redesign is not exactly same as the up-labs version but quite similar, I took it as motivation. I used the default flutter icons and colors to keep it simple.I used flutter as a hobbyist for some time and made couple of packages.After working on this redesign challenge I would love to share my experience in this article.What is Flutter, Dart or FuchsiaHeard about Google’s new operating system for mobile devices? Fuchsia OS. Google didn’t make any public announcements (...)

    #android #mobile-app-development #ios

  • Millions of Americans Flood Into Mexico for Health Care
    https://truthout.org/articles/millions-of-americans-flood-into-mexico-for-health-care

    It’s true that Latin and Central Americans are coming to the US fleeing #violence and poverty, much of it caused by destructive US trade policy over the course of decades. But there’s another massive “border crossing” phenomenon afoot — and Trump has not said a word about it. We’re talking about thousands of US citizens crossing the border each day in search of affordable health care.

    #etats-unis #mexique #santé #frontières #pauvreté

  • [Flowdata] “WIOD : World Input-Output Database”

    Tableau entrées-sorties sur le commerce international, couvrant 56 thèmes pour 43 pays (dont les 28 UE) sur 2000-2014 (un modèle décrit le reste du monde sur la période).
    Données en millions de dollars US.

    Références :
    Timmer, M. P., Dietzenbacher, E., Los, B., Stehrer, R. and de Vries, G. J. (2015), “An Illustrated User Guide to the World Input–Output Database: the Case of Global Automotive Production”,
    Review of International Economics., 23: 575–605.

    Timmer, M. P., Los, B., Stehrer, R. and de Vries, G. J. (2016),
    “An Anatomy of the Global Trade Slowdown based on the WIOD 2016 Release”, GGDC research memorandum number 162, University of Groningen

    En savoir plus : http://www.wiod.org/home

    #flowdata #monde #commerce #pays #data #flux

  • [Flowdata] Exobiase

    EXIOBASE est une base de données globale harmonisée sur l’utilisation d’intrants et d’extrants environnementaux.
    Le tableau international des entrées-sorties peut être utilisé pour l’analyse des impacts environnementaux associés à la consommation finale de différents groupes de produits.

    En savoir plus : https://www.exiobase.eu/index.php

    #matrice #flux #data #environnement #monde #régions