►http://desordre.net/bloc/vie/reprise/index.htm
A Song For Diane Arbus
La Vie est l’une des plus anciennes rubriques du Désordre. Et aussi celle qui a le plus souvent changé de forme et d’aspect. Dans un premier temps, il s’agissait d’un collage de 600 pixels de large et à l’époque, 2003, ça paraissait large. Deux ans plus tard je me permettais une de ces audaces, on passait à 800 pixels de large, de la folie furieuse ! avant de passer au stade avancé de la démence : 1000 pixels de large. C’était autrefois. Il y a ensuite eu la période dite de l’avalanche (sans doute l’une des réalisations du Désordre, avec la collaboration indispensable d’@archiloque, que je préfère), mois après mois, les photos prises tous les jours s’affichaient suivant un principe de sélection, de taille, de placement dans la page et d’opacité aléatoires, tout un chacun avait le sentiment de voir plus ou moins la même chose alors que personne ne voyait la même chose, ce qui est devenu un des principes directeurs du Désordre, c’en est même à se demander si cela n’a pas atomisé sa communauté de visiteurs et visiteuses. En 2016, j’ai ralenti le rythme de mes prises de vue, bien obligé le matériel a lâché, au bout de 300000 prises de vue, il paraît que c’est inespéré, foutue obsolescence programmée, quand je pense que de temps en temps juste pour en entendre le son il m’arrive de déclencher mon vieux 6X6 et ça continue très bien de fonctionner.
Et du coup il manquait de nombreuses images pour faire une avalanche.
J’ai tenté une formule dont je ne peux pas dire qu’elle m’a donné beaucoup de satisfaction, avec la raréfaction des images j’ai imaginé un défilement et une lecture plus lentes, soutenues par une bande-son-collage à la bonne franquette.
En 2017 là j’ai carrément arrêté de prendre des photographies. J’ai tenté de le refaire un peu avec une série d’images que j’ai intitulée les #moindres_gestes. Une centaine d’images en six mois.
C’est devenu les #flux_detendus, je ne me servais même plus de mon appareil-photo mais, on aura tout vu, de mon téléphone de poche.
Bref j’étais dans une certaine forme d’arrêt à la fois libérateur et inquiétant dans mon travail de plasticien. C’était même à se demander si ce truc de jeune primo-romancier à 52 ans ne m’avait pas un peu monté à la tête.
Et puis j’ai rangé mon garage-atelier. Ce faisant je suis tombé sur une ancienne image que j’avais affichée sur une sorte de tableau magnétique et qui avait été recouverte par quantité d’autres images et autres documents, principalement des listes et des listes de listes. Cette image n’est pas anodine. Tant s’en faut. Il s’agit d’une image du mur du fond de l’atelier de Diane Arbus avant déménagement complet de son atelier à sa mort. Et potentiellement avant destruction. C’était au-dessus de son lit. Elle y collait toutes sortes d’images, des tirages, des épreuves refusés, des bouts d’essai, des articles de journaux, des images de presse, tout un monde curieux qu’elle faisait et défaisait tous les mois. A la recherche inconsciente de nouvelles voies. En 1971 elle souffrait particulièrement de ne pas parvenir après les images d’Halloween dans une institution d’accueil de personnes handicapées mentales, à renouveler son travail, de lui trouver des formes nouvelles, alors elle tentait de ces grands collages imaginant que dans l’entrechocs entre deux ou trois images, elle trouverait de nouveaux chemins.
Les raisons de son suicide à la fin de 1971 lui appartiennent entièrement et il ne me viendrait pas à l’esprit de penser que cette désespérance artistique ait joué un rôle dans son terrible suicide. En revanche quand j’ai pris connaissance de ce mur dont il ne restait qu’une seule image, la dernière du dernier état de ce mur, je me suis dit fort tristement qu’elle avait eu sous les yeux, tous les jours, une solution tout à fait valable à ce blocage de créativité qui la faisant tant souffrir, à savoir un immense collage de la taille d’un mur, elle en produisait de la sorte un par mois, quel dommage qu’elle n’ait pas pensé en faire une œuvre à part entière, quel dommage qu’elle n’y ait pas pensé pour son propre bien-être et quel dommage qu’elle n’y ait pas pensé, nous privant de la sorte de ce qui aurait vraisemblablement été des œuvres majeures.
Toutes proportions mal gardées, j’ai affiché cette image du dernier mur de Diane Arbus dans un coin du garage il y a des années sur le tableau magnétique des projets en cours, comme une exhortation personnelle à garder les yeux ouverts sur la totalité de mon environnement et de ne rien négliger comme nouvelle piste. Et puis cette image s’est retrouvée enfouie sous d’autres, elle a disparu de mon regard en même temps que son exhortation à justement garder les yeux ouverts. Et, naturellement, en rangeant le garage cet été, je suis presque immédiatement tombé dessus et cela m’a donné l’idée d’une sorte de collage mensuel de tout ce qui pouvait retenir mon regard. Pêle-mêle. Sans ordre. Advienne que pourra.
A Song For Diane Arbus.
[Anim] One day in the life of San Francisco Bay | Max Galka
Cartographie animée de 24h de mouvements de navire dans la Baie de San Francisco, rapportée par The Guardian
▻https://www.theguardian.com/cities/2017/feb/23/24-hours-marine-traffic-san-francisco-bay-mapped
Voir ici quelques éléments d’explication (exemple de la méditerranée) : ▻https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01428974
#flowmap #cartedeflux #mouvement #animation #navires #flux #maritime #movement_mapping
[Appli] UberPool | Uber
Cartographie du « pouls » de la ville de New York liés aux mobilités, via le service UberPool.
Voir aussi le billet de Sylvain Genevois sur le blog Cartonumérique, qui présente ce service UberPool
►http://cartonumerique.blogspot.com/2018/03/big-data-et-choix-damenagement-urbain.html
En savoir plus sur UberPool : ▻https://www.uber.com/fr/drive/paris/resources/uberpool
ht @mirbole01
#ville #flux #poul #mobilités #Uber #UberPool #flowmap #New-York
[Projet] Altaïr - Human mobility knowledge | Vedecom - UTBM
Altaïr est un projet de Vedecom, réalisé en collaboration avec Média Mobiles et l’UTBM (Université Technologique de Belfort Montbéliard) issu du projet ANR Norm Atis (Nouveaux standards pour développer des services de mobilité intelligents) du programme Transports durables et mobilités.
En savoir plus sur le projet : ▻http://www.agence-nationale-recherche.fr/Projet-ANR-13-TDMO-0007
Aussi ici : ▻http://www.vedecom.fr/normatis
Altaïr est un modèle mathématique de prédiction (apprentissage automatique) de flux Origine-Destination réalisé par fusion de données hétérogènes, telles le fichier MOBPRO (INSEE), des données de comptage routier, de Floating car data (Média mobile), des enregistrements GPS, des fonds de carte, des variables telles le mode de transport, etc.
Une application de visualisation de flux illustrant les résultats du modèle à été présentée à l’ITS World Congress (17-21 September 2018) Copenhague.
ht @GuilhemSanmarty
MAJ : 25/09/2018
#flowmap #projet #application #flux #reseau #matriceOD #MOBPRO #Altaïr
La restauration du Désordre
L’année dernière j’ai mis fin à une expérience et un travail vieux de dix sept ans, le Désordre. Pour tout dire j’étais assez fâché (et quand De Jonckheere fâché, lui toujours faire ainsi). J’étais fâché à la fois contre moi-même et contre certaines forces occultes que j’identifiais avec difficulté. Pour ce qui est des forces occultes, je ne sais pas si ce sont les bénéfices parfois inescomptés de la psychanalyse (oui, je suis allé refaire une petite partie du vieux jeu juif viennois, la quatrième), ou l’intervention quasi divine d’un ange roux (si le pauvre @jsene savait que je pense parfois à lui en ces termes), toujours est-il que d’une part j’ai compris que je ne pouvais continuer de vivre jusqu’à la mort tel un Don Quichotte du Val-de-Marne et que je ne pouvais pas de la sorte laisser en plan, agonisant dans un fossé sur le bord de la route un enfant de dix sept ans dont j’étais malgré tout le père, le Désordre.
Naturellement, à cette introduction, vous aurez compris que je n’ai pas tout à fait perdu cette habitude mienne de tout exagérer et donc vous allez voir comme c’est simple.
Les quatre grands derniers travaux du Désordre ont tous les trois été réalisés sous la forme Ursula qui fait la part belle d’une part aux fichiers sonores et aussi aux images animées, à la vidéo. Or, il y a cinq ans, je m’y suis mal pris pour les intégrer, j’ai choisi une voie privée (et donc propriétaire), celle du Flash et cette erreur aurait pu et dû être fatale. Et j’espère pouvoir m’en rappeler jusqu’à la fin de mes jours. En effet pour pouvoir lire fichiers sonores et vidéo, j’avais recours à de petits lecteurs en Flash, c’était d’ailleurs une torture de code à installer et pire, pour ce qui est des fichiers vidéo, cela supposait une exportation des fichiers vidéos dans un format Flash (.flv) qui en soit était un poème (et requérait l’emploi d’un petit utilitaire au fonctionnement capricieux, pour parler poliment, que de souvenirs !). Et, de la sorte j’aurais donc produit pas loin de cinq cents fichiers vidéo dont la lisibilité n’a pas cessé de décliner les cinq dernières années. Autrefois hégémonique, ce format propriétaire est finalement tombé en désuétude pour ne plus être lisible qu’au prix de réels efforts de la part des visiteuses et des visiteurs de sites à maintenir leur propre navigateur équipé d’extensions de plus en plus exotiques.
Le comprenant l’année dernière à un moment d’une certaine lassitude par ailleurs (comme il en est arrivé d’autres pendant la route sinueuse du Désordre), j’ai fini par capituler, cela tombait bien je venais de fermer la parenthèse de Qui ça ? (►http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/index.htm ) qui elle même me permettait de fermer celle d’Ursula ( ►http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/index.htm ) et les parenthèses s’enchâssant les unes dans les autres, cela ressemblait fort à la fin du Désordre. Dont acte. Pour ne rien arranger, Guy, mon ordinateur s’appelle Guy, pouvait dûment exiger son départ à la retraite, mon appareil-photo, après avoir déclenché 300.000 fois a poussé un dernier râle que j’ai pu enregistrer in extremis avec l’appareil enregistreur qui n’avait jamais été conçu pour vivre au fond d’une besace de photographe dans la promiscuité d’objectifs et autres ustensiles certains contondants, l’enregistreur était kaputt aussi.
C’est là que l’ange roux est intervenu et qu’il a parlé et il m’a tenu à peu près ce langage
``<audio src=« mon_fichier_audio.mp3 » controls></audio>
``
Et
``<video width=« xxx » height=« xxx » controls><source src=« mon_fichier_video_mp4" type="video/mp4"></video>
``
Ce qui veut dire qu’en html5, la nouvelle norme universelle du langage html, on peut enfin directement intégrer sons et vidéos dans le code, sans passer par le folklore d’un lecteur importé.
Et ça change tout.
Pour ce qui était de l’intégration des fichiers sonores, je voyais bien comment en m’y prenant avec un peu de dextérité, en faisant des rechercher/remplacer de portions de codes, je pouvais m’en sortir, et c’est ce que j’ai fait sans trop de grande difficulté. N’était-ce qu’en n’ayant plus mis les pieds dans les arborescences du Désordre depuis plus d’un an, j’avais un peu oublié certaines de mes façons personnelles de ranger les choses selon un principe de la libre association qui s’il est vivement encouragé par mon analyste est moins payant en informatique.
Pour les fichiers vidéos c’était une autre paire de manches parce que le format .flv n’était pas interprétable, il fallait repasser tous les fichiers .flv en .mp4 ce qui ne se fait pas sans une certaine perte de qualité, notamment du son et notamment de l’image. Et là inutile de dire que la perspective de reprendre une à une les cinq cents séquences vidéo du Désordre n’avait rien d’engageante (j’avais déjà par le passé écopé le navire avec une passoire plus d’une fois, je savais un peu la dépense de ce genre de campagnes). J’ai malgré tout décidé de m’y mettre (on reconnaît l’idiot au fait qu’il regarde le doigt du sage quand il montre la lune ou quand il ne recule pas à l’idée de reprendre 500 séquences vidéo, certaines au noms de fichiers peu clairs dispersés sur une dizaine de disques durs externes) . Fichiers après fichiers et insertions de balise cohérente après insertions de balises cohérentes. A la main. De la folie. Pure.
Et pour le son c’est pareil et même que cela permet des démarrages du son automatique dès le chargement de la page autrement qu’avec un script qui fait appel à certaines fonctionnalités pas très constantes du serveur, on codait de ces trucs au millénaire précédent.
« Et voilà le travail ! », suis-je tenté de m’écrier (un peu) immodestement. Pour marquer le coup j’ai inséré une vidéo et un son sur la page d’accueil du Désordre (►http://www.desordre.net ).
Il y a par ailleurs quelques rubriques dans lesquelles ce travail de restauration est assez payant, ce sont, notamment les formes Ursula, la première, Ursula elle-même (►http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/index.htm ), puis le journal de Février (►http://www.desordre.net/bloc/ursula/2015/index.htm ), Arthrose (►http://www.desordre.net/bloc/ursula/arthrose/index.htm ) et enfin Qui ça ? (►http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/index.htm )
Je me suis d’ailleurs aperçu que je n’avais pas fini Février. Il reste une centaine de pages auxquelles il faudrait que je mette la main.
Et à vrai dire il y a plein de trucs comme ça qui ne sont pas vraiment finis dans le Désordre, ça n’étonnera personne. Je ne fais pas de promesses, mais je vais essayer. Et, qui sait ? j’aurais peut-être de nouveau envie d’ajouter de nouvelles pages à cette affaire (je dois dire que de reprendre certaines parties endommagées du site me fait toucher du doigt ce plaisir curieux qui a été le mien pendant les vingt dernières années, ou presque, de triturer du code pour raconter des histoires, fussent des histoires dans lesquelles on s’égare, moi le premier), notamment avec les deux ou trois trucs que je brouillonne dans Seenthis. Les #flux_détendus, #De_la_Dyslexie_créative, les #Moindres gestes, #Mon_Oiseau_bleu et d’autres que je brouillonne ailleurs encore, _Frôlé par un V1 et Les Anguilles les mains mouillées, ou encore My Favorite Favorite Things. Bref Désordre peut être pas entièrement mort. On verra bien.
[FlowData] Transferts d’armes internationaux (pays*pays) | SIPRI
Le Stockholm international peace research institute (SIPRI), une agence indépendante proposant analyses et données sur la « sécurité globale » propose en téléchargement libre des données de flux internationaux (pays*pays) (TIV Trend Indicator Values) décrivant des transferts bilatéraux annuels « d’armes classiques », depuis 1950 !
Elle permet notamment de connaître l’évolution des importations / exportations (fournisseurs / destinataires), les types d’armes... par pays.
L’unité est le million. Seuls les transferts > 0,5 million sont disponibles dans la BD. Donc le ’0’ affiché dans la base ne signifie pas absence de transfert, mais un transfert [potentiel jugé négligeable car il est] de moins de 0,5 millions.
En savoir plus et téléchargement : ▻https://www.sipri.org/databases/armstransfers
Sources et méthodes : ▻https://www.sipri.org/databases/armstransfers/sources-and-methods
Via Jean-Christophe Fichet (@jcfLPDN)
#Données #Data #flux #flowmap #armes #monde #imports #exports #évolution #pays
Je ne le savais pas, merci @b_b ! Maintenant, je peux même le suivre.
@fbahoken de rien, content de faire le lien, je suis certain que vous avez plein de choses à vous dire :)
Oh...merci à vous...pas assez présent ici, je le regrette. Mais je trouve que suivre seenthis sur smartphone pose souci. Poster ici oblige à être sur le fixe. J’en profite pour remercier encore @b_b , je ne sais pas combien de temps cartolycée tiendra mais je n’oublie pas la disponibilité de Bruno !
Histoire de faire patienter avant que je ne déballe mes valises et vide mes cartes mémoire.
Bonjour #Seenthis !
Je voulais te dire que j’arrive plus à piger le fonctionnement des #flux #rss automatisés : ça fait plusieurs semaines que je galère et je sais plus quoi faire. Des fois ça marche, des fois ça marche pas (!) et j’ai beau le vérifier, tenter de le modifier, là par exemple, de toute la « balade » dans « le Voyage à Nantes qui expulse », rien ne passe.
Bon en même temps j’avoue que ça t’aurait complètement floodé, hein, et que j’en suis gênée, mais j’avoue aussi que j’arrive à saturation totale de trouver le moyen idéal pour chaque support : ça impacte beaucoup trop ma spontanéité (ouai là je suis limite désespérée !)
En fait je me questionne : est-ce que les soucis que je rencontre ne sont pas liés à la mise en place plus efficace d’un détecteur / bloqueur de spam & bot ?
Bon en attendant, voici l’album de la série en cours :
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/albums/72157699398622724
Il fait partie d’un dossier sur les exilé.e.s qui, hélas, s’alourdit de plus en plus :
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157689315084581
Tu peux adresser le message à @seenthis :-)
Du coup, comme c’est #Jeudi_Photo, je me permets d’être plus directe encore : @fil , @arno , une idée de pourquoi mon RSS déraille ? Suis-je considérée comme un spam ou un bot par SeenThis ?
Actuellement je suis avec ▻https://www.flickr.com/services/feeds/photos_public.gne?id=36741471@N00&lang=fr-fr&format=atom_1 et j’ai tenté d’autres formats depuis le début de l’instabilité. Y’a d’ailleurs eut un format qui fonctionnait (mais avec carrément 3 vignettes !) et qui a fini, lui aussi, par buguer :/
Connaissez-vous le procédé d’impression couleur Fresson développé en France ?
Oui, alors c’est pas donné, d’une part, et, d’autre part, on ne peut pas dire qu’ils soient très ouverts à la discussion quand ça ne sort pas comme ça devrait (sur ce sujet, ils ont un drôle de raisonnement, inversé par rapport à une relation « normale » entre le ou la photographe et son tireur ou sa tireuse, à savoir que c’est le tireur (en l’espèce) qui sait et le photographe (en l’espèce) n’a aucune idée de ce qui est pas assez ou trop pausé). Ce que l’on comprend bien après coup, c’est que c’est tellement difficile (cela demande tellement de travail) d’arriver à la bonne densité, et la bonne chromie, qu’ils ne sont pas du tout motivés pour reprendre une image. J’imagine que quand tu t’appelles Plossu ou autre, que d’une part tu laisses de bonnes factures chez eux et que par ailleurs cela les arrange de pouvoir dire que c’est effectivement tiré chez eux, alors il doit y avoir moyen de faire reprendre des tirages, sinon je crois que c’est mission impossible. Rarement j’aurais été aussi frustré du résultat d’une commande de tirages. Je dis ça, des fois qu tu serais tentée de t’en offrir un ou deux d’une de tes images favorites (ce que tu pourrais être tentée de faire, ça irait très bien avec certaines de tes images en tout cas) (si ça sort bien).
Si j’ai bien compris, tu as eu une mauvaise expérience avec eux à la fois dans la qualité des échanges ainsi que du résultat obtenu. Est-ce exact ? à priori, je ne suis pas tentée, mais pourquoi pas... Merci pour ton commentaire, même s’il n’a pas été simple à comprendre. Hier, j’ai vu que tu as posté tes photos, c’était chouette de les voir. Comment fais-tu pour qu’elles soient cote à cote ?
@marie_lou Oui, une très mauvaise et très coûteuse expérience. Ce n’est que plus tard que j’ai compris que c’était soit du mauvais professionnalisme soit de l’arnaque pure et simple. En tout cas c’est comme cela que moi j’ai été traité. Et je ne doute pas que le traitement puisse être différent avec d’autres photographes. C’était il y a vingt ans j’ai eu le temps de décolérer. Heureusement.
Quand j’y repense, de toute ma carrière, cela a sans doute été la pire de mes catastrophes industrielles, parce que pendant que je donnais les images à tirer dont j’ai eu un contentement médiocre, j’avais commandé à un ami des cadres en ciments (oui, je sais, don’t ask ), pour une exposition qui n’a tenu que deux jours, les cadres étaient tellement lourds et les uns à la suite des autres que la médiocrité de la cimaise temporaire a cédé et les cadres, à l’exception d’un seul sont tombés et se sont cassés et pour 8/10 des images ont foutu en l’air les tirages (des 40X50 cms !)
Il me reste donc un rescapé de cette affaire, qui est accroché dans le salon chez mes parents, chaque fois je le vois avec un peu d’amertume.
Deux ou trois ans plus tard, j’ai tenté de les tirer moi-même en Cibachrome, et c’était pas mieux. Il y a une dizaine d’années, j’ai tenté de scanner ces 4’X5’ et je ne suis jamais parvenu à les équilibrer en couleur. Ces ektas sont maudites
Pour ce qui est de l’affichage des images sur seenthis , je ne contrôle pas grand chose, il faudrait demander à @arno quelques sont les règles css pour l’affichage des images. De ce que j’ai cru comprendre, si une image est horizontale et qu’elle fait au moins 600 pixels de large alors elle est affichée dans toute la largeur. En revanche si tu appelles des images carrées sans séparation dans tes appels, cela fait comme sur #flux_détendus et j’ai remarqué une fois qu’on pouvait afficher trois images verticales de rang aussi. Il y a sans doute d’autres subtilités.
Whoah ! Quelle histoire, ça devait être un moment très désagréable.
« des cadres en ciments (oui, je sais, don’t ask ) » lol ok...ciment ciré ? ;-)
En parlant papier, je recherche un pour mes travaux, mais je n’ai aucune idée lequel serait le plus approprié pour des photos colorisées J’ai déjà regardé, mais il y a tellement de choix. Coté imprimeur, un me conseille brillant, un autre satiné, je ne sais pas lequel choisir, car ils ne veulent pas m’envoyer un petit tirage test pour comparer. Peut-être pourrais-tu me conseiller ? Ici ou par mail, merci !
Bien ! Je vais essayer le format carré et si ça ne fonctionne pas, je demanderai à @arno. ;-)
Pour les alignements, ça se calcule tout seul quand on référence plusieurs images directement à la suite, et c’est pas vraiment contrôlable (et en plus c’est responsive, l’affichage ne sera pas le même selon la taille d’écran). En gros, plus des images ont des proportions verticales, plus tu as de chances pour qu’elles s’installent côte à côté. Les images horizontales vont assez systématiquement occuper toute la ligne.
Ok @arno merci pour les précisions, je vais essayer un de ces jours.
@marie_lou Je n’y connais plus rien en papier. Cela fait très longtemps que je ne passe presque plus par la case impression et quand je le fais, je suis arrivé à un point où la nature du papier m’est devenue indifférente. Désolé.
Si l’imprimeur te propose de si nombreux choix, tu devrais plutôt regarder si dans le lot il n’y a pas des papiers avec un peu de profondeur, Arches88, Fabriano ce genre de farine et du coup opter pour un rendu plutôt mat mais avec des noirs soyeux. Je dis cela sans savoir quels sont tes choix.
Pas de souci Philippe, je vais me débrouiller. Merci, passe une bonne semaine !
Quand mon propre piège se referme sur moi. Cherchant une image dans mon vaste foutoir en ligne, Désordre, ce que je peine à faire pour ne plus y avoir foutu les pieds depuis plus d’un an maintenant (c’est comme si j’étais enfin à égalité avec mes visiteurs et visiteuses, désormais, pour ce qui est de m’y orienter), je tombe, par inadvertance finalement, sur une série dont j’avais oublié, du tout au tout, à la fois les images, le son et une certaine complexité d’enchaînement, en grande partie dûe à l’aléatoire. Immodestement, je me dis que cela pourrait intéresser les personnes qui me suivent ici sur notre beau Facebook bio. Et que je devrais presque en faire une manière de parution hebdomadaire (à l’image des #flux_detendus) : partir à la recherche des deux ou trois chefs d’oeuvre oubliés du Désordre. Une sorte de #retour_au_désordre. Une vraie cérémonie d’enterrement en somme.
▻http://desordre.net/photographie/numerique/muesum/velasquez/titre.htm
Migration data portal
Created for journalists and others interested in migration, the Global Migration Data Portal makes migration data, data sources and topics more accessible and understandable. Launched in December 2017 and administered by IOM’s Global Migration Data Analysis Centre, the Portal brings together key facts and figures about global migration trends and topics in one place and communicates global data on migration through visualizations, infographics and videos.
#portail #statistiques #chiffres #base_de_données #trafic_d'êtres_humains #monde #disparitions #morts #décès #réfugiés_environnementaux #réfugiés_climatiques #migrations_forcées #IDPs #déplacés_internes #migrations #asile #réfugiés #étudiants_internationaux #migration_de_retour #smuggling #passeurs #genre #intégration #santé #diaspora #remittances #droits_des_migrants #SDG #sustainable_development_goals #global_compact #opinion_publique
Et cette magnifique terminologie : #flux & #stock
cc @simplicissimus @reka @fil
#mots #sémantiques à rajouter au dossier « mots » pour visioncarto ... :)
du coup, j’ajoute #terminologie #vocabulaire
:-)
–-> tu ajoutes au dossier, reka ?
[Animation] Mapping Puerto Rico’s Hurricane Migration With Mobile Phone Data
Cartographie animée de migrations forcées suite aux ouragans de Porto Rico.
Teralytics, une société newyorkaise a réalisé une carte animée des mobilités résidentielles réalisées entre août 2017 et février 2018, à partir de l’exploitation d’un échantillon de 500 000 « téléphones intelligents » dont le fournisseur n’est pas divulgué.
L’intérêt réside avant tout dans les potentialités des données sous-jacentes, la possibilité de visualiser (d’explorer pour celles et ceux qui en ont l’accès) une estimation assez fiable de ces migrations forcées, alors même que les autorités n’en avaient gardé de trace exacte.
–> Lire la suite sur la page Citylab dédiée :
▻https://pic.infini.fr/sOJolxWp/0HvnZk3e.PNG
–> Une animation vidéo est accessible ici : ▻https://streamable.com/kir7j
–> On regrette que cette réalisation (animation autonome ie qui bouge toute seule) soit apparemment fermée, qu’elle n’ait pas donné lieu à une application qui permettrait d’explorer les données, ou de réaliser différentes cartes... Ce n’était probablement pas l’objet.
#cartographie #flux #cartedeflux #flowmap #gflowiz #ouragan #Porto-Rico #migration #migration_forcée #réfugié_écologique #téléphone_portable #mobile #marqueur