• La Troïka et le #FMI ne touchent pas aux dépôts des petits épargnants de Chypre. Vraiment ?
    http://reflets.info/la-troika-et-le-fmi-ne-touchent-pas-aux-depots-des-petits-epargnants-de-ch

    Réjouissez-vous foules en folie… L’#Europe est sauvée ! L’#Euro aussi. Pour la énième fois, après plus de 25 sommets de la dernière chance, les (ir)responsables politiques vous le disent : tout va bien. Ah, oui…, on sait, vous avez un peu flippé parce que pour la première fois, les politiques n’ont pas simplement conditionné l’aide [...]

    #A_la_Une #Economie #Angela_Merkel #Christine_Lagarde #Christos_Stylianides #Crise_de_la_dette_souveraine #Espagne #featured #François_Hollande #Grèce #Jeroen_Dijsselbloem #Portugal #swift #UE

  • خفايا الإخوان في « سر المعبد » تحقق أعلى مبيعات الكتب في 2012
    http://www.alarabonline.org/index.asp?fname=\2013\01\01-07\455.htm

    Que lisent les Arabes ? C’est toujours intéressant à savoir ! Apparemment, le gros succès de librairie en ce moment c’est Le secret du temple. Les secrets cachés (sic !) des Frères musulmans , par Tharwat Khirbawi, un livre plein de révélations (?) par un ancien dirigeant des FM.

    “سر المعبد.. الأسرار الخفية لجماعة الإخوان المسلمين”، أحد أكثر الكتب مبيعا وقراءة خلال سنة 2012، وفيه يكشف القيادي السابق في جماعة الإخوان المسلمين، ثروت الخرباوي، أسرارا جديدة عن جماعة الإخوان المسلمين، ويتحدث عن كواليس الجماعة منذ إنشائها وأجندتها في ظل ما تشهده مصر من تحولات.

    #Egypte #FM #édition

  • CADTM - FMI et Banque mondiale version 2013 : on change les mots, et on recommence

    http://cadtm.org/FMI-et-Banque-Mondiale-version

    FMI et Banque mondiale version 2013 : on change les mots, et on recommence

    17 décembre 2012 par Noémie Candiago

    Chaque année au mois d’octobre se déroulent les assemblées annuelles du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale. Habituellement elles ont lieu à Washington, où les deux institutions ont leur siège, mais une année sur trois, c’est à un autre pays qu’est gracieusement accordé le privilège de recevoir l’événement. Cette année, c’est le Japon qui a accueilli la rencontre du 9 au 14 octobre.

    L’événement réunit les Conseils des Gouverneurs du FMI et de la BM, mais aussi les grands dirigeants du secteur public - banques centrales, ministères des finances et du développement - et du secteur privé, ainsi que de nombreux spécialistes issus du milieu universitaire. Il consiste en une succession de séances d’information, de séminaires et de conférences de presse sur diverses thématiques liées « aux perspectives de l’économie dans le monde, à la lutte contre la pauvreté, au développement économique et à l’efficacité de l’aide » selon les mots des organisateurs. C’est à cette occasion que les deux institutions présentent leurs rapports annuels. Vitrine de choix donc pour ces doctrines développées par les plus grands analystes économiques et statistiques mondiaux. Et belle occasion pour nous de faire le point sur l’état de cette pensée économique dominante. Que pensent les hommes et les femmes à la têtes de ces institutions financières internationales ? Quelles sont leurs analyses, et quelles solutions proposent-ils ? Comment envisagent-ils notre avenir ? Et surtout, dans tout cela, quels mots avons-nous à dire ?

    #finance #investissements #FMI #Banque-mondiale #crapulerie

  • Voli speciali, calmanti sotto accusa
    Alcuni medici insorgono contro la somministrazione di neurolettici a richiedenti immobilizzati a bordo
    di Stefano Guerra

    pubblicato dalla Regione il 10 gennaio 2013

    I medici puntano il dito contro la somministrazione di calmanti ai richiedenti l’asilo immobilizzati sui voli speciali che li riportano in patria con la forza per non aver voluto o potuto lasciare la Svizzera di loro spontanea volontà. La prassi è stata denunciata ieri dalle colonne di Le Temps da Jean-Pierre Restellini, a capo della Commissione nazionale di prevenzione della tortura (Cnpt), e dall’ex presidente della Federazione dei medici svizzeri (Fmh) Jacques de Haller.

    Effettuati in gran segreto, i cosiddetti “voli speciali” sono tornati alla ribalta della cronaca nei giorni scorsi. La Berner Zeitung e la Neue Zürcher Zeitung hanno rivelato che l’Ufficio federale della migrazione (Ufm) ha sospeso il concorso per l’attribuzione del mandato definitivo per l’accompagnamento medico delle persone oggetto di un’espulsione coatta. Unico postulante è stata Oseara, società che dallo scorso mese di aprile svolge il compito a titolo sperimentale. Adducendo problemi legati a una “ristrutturazione” che non permetterebbe a Oseara di assicurare un progetto della durata di cinque anni, l’Ufm ha concesso alla società con sede a Stans una proroga di sei mesi del mandato pilota. Dopodiché verrà indetto un nuovo concorso.

    Il problema, tuttavia, è ben più complesso. Ed esula, almeno in parte, dalle difficoltà aziendali di Oseara. Lo ha rivelato il presidente della Cnpt, subentrata lo scorso giugno alla Federazione delle chiese evangeliche (Fces) nell’osservazione dei voli speciali (vedi box). « Somministrare dei calmanti a una persona prima di salire sull’aereo, con il suo accordo, è legittimo. Per contro, farlo senza il suo consenso esplicito mentre l’aereo è a terra o in pieno volo, è altamente problematico e deve rispondere a delle direttive molto precise », ha dichiarato Jean-Pierre Restellini a Le Temps . Il presidente della Commissione, lui stesso medico, ha chiamato in causa nelle scorse settimane il direttore dell’Ufm Mario Gattiker. Una prima riunione d’emergenza si è tenuta a metà dicembre, una seconda – scrive sempre il quotidiano ginevrino – è prevista nei prossimi giorni (saranno presenti anche i responsabili di Oseara).

    Ma cosa fare se un richiedente l’asilo, in pieno volo, dopo essere riuscito a liberarsi da manette, legacci e casco si dimenasse in maniera talmente violenta da mettere in pericolo la sicurezza di tutti gli altri passeggeri? « Potrei ammettere che in un caso del genere un medico possa fargli un’iniezione di neurolettici, non sarebbe che per una questione di legittima difesa e di messa in pericolo della vita altrui, al di fuori di qualsiasi considerazione medica », ha risposto Restellini.

    Non la pensano così alcuni suoi colleghi. Citato nell’articolo, il presidente dell’associazione Etica e medicina, il cardiologo Michel Romanens, ritiene che i medici non debbano nemmeno partecipare a questi voli. Non lo farebbe (e « non permetterei anche a nessuno nella mia équipe di farlo », ha detto in un’intervista pubblicata ieri dal Tages-Anzeiger ) neppure Hans Wolff, a capo della medicina carceraria all’Università di Ginevra e membro della commissione etica dell’Accademia svizzera delle scienze mediche (Assm).

    Sulla stessa lunghezza d’onda l’ex presidente della Fmh Jacques de Haller, che già a suo tempo aveva denunciato la pressione psicologica e i dilemmi etici con i quali un medico si trova confrontato a bordo dei voli speciali. « Per la Fmh è chiaro: è fuori questione iniettare qualsiasi cosa a una persona senza il suo consenso », ha dichiarato a Le Temps de Haller, sottolineando che « controllare qualcuno che si agita in un aereo rientra nell’ambito del mantenimento della sicurezza. I medici non devono in alcun caso sostituirsi alle forze di polizia », ha aggiunto. La stessa legge federale sulle misure coercitive prevede del resto che “i medicamenti non possono essere impiegati al posto di mezzi di coercizione”.

    #vols_spéciaux #expulsion #Suisse #calmants #neuroleptiques #Oseara #fmh #asile #migration
    @reka

  • L’erreur de calcul des politiques d’austérité : trop drôle ! | Yovan Menkevick
    http://reflets.info/lerreur-de-calcul-des-politiques-dausterite-trop-drole

    Oui, oui, cette information est tout à fait sérieuse et elle est sortie ce matin sur l’antenne de France Culture. Reflets vous la délivre brut de décoffrage, puis viendra, après recherches, compléter les affirmations assez stupéfiantes de cet économiste du FMI, Olivier Blanchard… C’est une information extraordinaire, dont les conséquences sont immenses, mais qui fait [...]

  • Deux économistes du #FMI reviennent sur une erreur de l’institution monétaire à propos des politiques d’#austérité en temps de #crise :

    Que les politiques d’austérité soient mauvaises pour la croissance et l’emploi, c’est désormais admis par la plupart des économistes. Mais qu’elles le soient encore plus qu’on ne le pensait, c’est ce qu’ont découvert deux d’entre eux, et pas les moindres : Olivier Blanchard, un Français chef économiste au FMI, et Daniel Leigh, économiste dans la même institution. Selon eux, l’utilisation d’un mauvais coefficient de calcul a débouché sur une sous-estimation des effets négatifs de l’austérité en Europe.

    Les deux économistes détaillent leur thèse dans un article publié le 3 janvier sur le site du FMI, mais dans une rubrique où les textes ne représentent pas la position officielle de l’organisation. « Nous démontrons que, dans les économies développées, une plus forte consolidation fiscale est allée de concert avec une croissance plus faible que prévu, écrivent-ils. Une explication naturelle est que les multiplicateurs fiscaux étaient nettement plus haut que ce que les prévisions estimaient implicitement. »

    Source : http://www.liberation.fr/economie/2013/01/08/oups-le-fmi-s-est-trompe-sur-l-austerite_872394

  • Des transcriptions inédites de #Bretton_Woods retrouvées
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/11/22/des-transcriptions-inedites-de-bretton-woods-retrouvees_1794106_3234.html

    Principal enseignement de ces #archives déterrées : les débats les plus vifs à l’époque ne sont pas très éloignés de ceux qui animent aujourd’hui le #FMI. Contestant une proposition américaine, plusieurs pays s’opposent alors aux « quote-parts » qui leur sont attribuées et qui détermineront leurs droits de vote au sein de l’institution.

    « En dépit du discours très éloquent et émouvant du délégué des Etats-Unis, [...] je tiens à dire que les quotes-parts proposées pour mon pays sont inacceptables », s’écrie le représentant iranien. Le délégué chinois campe sur la même ligne, mais tient à dire qu’il « hésite grandement à exprimer une note de discorde à cette conférence ».

    #histoire #ONU

  • Le FMI félicite l’Islande pour son bras d’honneur aux banquiers | Bakchich
    http://www.bakchich.info/international/2012/08/27/le-fmi-felicite-lislande-pour-son-bras-dhonneur-aux-banquiers-61619

    Toute honte bue, l’économiste en charge de l’Islande au FMI admet que les insulaires ont fait le bon choix en refusant d’appliquer les cures d’austérité habituellement prescrites par les équipes de Christine Lagarde…

    [...]

    L’économiste distinguée s’est aussi bien gardée de rappeler qu’en 2008 au plus dure de la crise, la Couronne Islandaise s’était dépréciée de 80% par rapport à l’Euro, un désastre apparent qui n’avait pas impressionné plus que cela les descendants de viking habitués au gros temps. Ils en avaient profité pour combler leur déficit commercial et dégager un excédent avant même que l’année se termine. D’ailleurs cette année, la monnaie locale a encore gagné 15% par rapport à l’Euro depuis le mois de mars.

    Daria n’a pas cru bon non plus d’entrer dans des détails aussi triviaux que le taux de chômage ; multiplié par 9 entre 2007 et 2010, il est revenu à 4,8% en juin, à la satisfaction des travailleurs immigrés qui sont de nouveau les bienvenus dans le secteur de la pêche.

    #Islande #économie #crise #FMI #austérité

  • Sortie de Crise : les tristes aveux du FMI | Bakchich
    http://www.bakchich.info/international/2012/10/01/sortie-de-crise-les-tristes-aveux-du-fmi-61736

    C’est au paragraphe consacré à « la réforme monétaire comme point de mire » que les experts tirent un véritable feu d’artifice qui donne toute la mesure de leur impuissance et met en pleine lumière leur conviction intime selon laquelle rien n’est réglé : « il faut admettre que des produits novateurs sont déjà en cours d’élaboration pour contourner certaines des nouvelles réglementations. Les nouvelles normes bancaires encourageront peut être le transfert de certaines activités vers le secteur financier non bancaires qui échappe à ces normes… » ; bref, bye-bye investment banking, bonjour hedge Funds incontrôlés…

    #FMI #finance #crise

  • Revue de presse sur la #Chine semaine du 08.10.12

    Le gouverneur de la #banque centrale #chinoise a annulé sa venue au sommet du #FMI à #Tokyo en plein conflit diplomatique sino-japonais autour de la souveraineté sur des îles de mer de Chine orientale, a-t-on appris mercredi auprès du Fonds monétaire international.

    Nouvelle illustration des impacts multiples du profond différent géographique entre la Chine et le Japon s’agissant des #îles #Senkaku / #Daoyu

    http://www.romandie.com/news/n/_Le_chef_de_la_banque_centrale_chinoise_annule_sa_venue_au_Japon5610102012

  • Revue de presse sur la #Chine semaine du 01.10.12

    De grandes banques chinoises ont annulé leur participation aux réunions annuelles du Fonds monétaire et international et de la Banque mondiale à #Tokyo la semaine prochaine, en plein conflit diplomatique sino-japonais

    Énième acte de provocation dans le conflit des îles #Daoyu/#Senkaku ? Vent de panique au #FMI

    http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2012/10/03/des-banques-chinoises-annulent-leur-participation-au-sommet-du-fmi-a-tokyo_1

  • IMF urges “more clarity” on Ireland’s austerity plans

    Le FMI n’hésite pas à dire de lui même qu’il a profondément revu ses modes opératoires et que ce n’est plus le grand méchant loup qui étouffait les pays endettés.

    Aujourd’hui le FMi exige de l’Irlande de clarifier ses intentions pour ce qui concerne les coupes (forcément drastiques) dans les dépenses de l’Etat pour les quatre prochaines années. Il s’agit de rembourser une dette (immense) laissée en héritage par une banque (évidemment crapule) aujourd’hui disparue. Petite précision : les emprunts n’étaient pas garantis par l’Etat. Ce qui n’empêche pas l’UE et le FMI d’exiger que le peuple irlandais rembourse...

    http://www.wsws.org/articles/2012/sep2012/irel-s13.shtml
    By Jordan Shilton

    13 September 2012

    The International Monetary Fund (IMF) has stepped up the pressure on the Fine Gael-Labour coalition in Dublin, demanding that it lay out detailed plans on how it will slash government spending over the next four years.

    The move came as the government was forced to announce €260 million in emergency cuts to the health care budget to comply with the bailout terms of the troika—the IMF, European Central Bank (ECB) and European Union (EU).

    The IMF, in its latest report on Ireland’s progress under the €85 billion programme the troika extended in 2010, criticised the government for not implementing deep enough cuts to welfare benefits, and urged the speedy adoption of a new property tax. The demands are in line with the approach being taken across Europe towards highly indebted states, with Greece and Spain in particular facing calls to deepen the attacks on the working class to bail out the banks.

    #irlande #banque #crise-financière #crise-bancaire #fmi #ue #crapules

  • EuroCrise : la #BCE, elle fait quoi si c’est systémique ? | Yovan Menkevick
    http://reflets.info/eurocrise-la-bce-elle-fait-quoi-si-cest-systemique

    (Vous entendez parler très souvent depuis quelques temps de la BCE. Peut-être bien des « prêteurs en dernier recours » pour les Etats ? De la Troïka. De la crise bancaire, mais aussi financière, économique, de l’euro, whaouuuuu : ça fait beaucoup non ? Allez, pour bien débuter le mois d’août et en rajouter quelques couches, une petite balade vers la suite de la longue agonie de l’euro, et peut-être un peu plus. Mais tout ça dans la bonne humeur et la pédagagogie. Parce que tout arrive à se comprendre, même le plus improbable ou le plus absurde, comme vous allez le constater. Enfin espérons-le, parce que le terrain est un peu miné, il faut bien le dire) Il y a eu de nombreux articles sur la « crise » chez Reflets depuis un an. Sur le HFT aussi (ou Trading Haute Fréquence in french). Même sur les dark pool, c’est vous dire. La guerre des monnaies, l’eurocrise, les récessions de divers pays, les politiques budgétaires… Un petit bilan s’impose, parce que toute cette affaire, terrible à bien des égards (pour les peuples), nous mène à des réflexions de grande ampleur. Des réflexions qui laissent présager des événements surprenants. Commençons par le plus simple (...)

    #A_la_Une #Economie #Chômage #crise_systémique #Dollar #Euro #FMI #fonds_spéculatifs #Japon #Paradis_fiscaux #USA

  • Après le #FMI, la #BanqueMondiale change de #manager...

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1239

    Les #paysémergents espèrent un de leurs ressortissants comme #directeur.

    _Pour remplacer le #président de la Banque Mondiale, l’Américain #RobertZoellick, qui démissionna le 16 février, et quittera son poste le 30 juin prochain, une nouvelle opposition est ouverte entre pays émergents et puissances économiques traditionnelles ou occidentales. L’institution financière, sous tutelle de l’#ONU, regroupe 187 pays et ceux dits "émergents" souhaitent placer un de leurs experts. Le partant est « la bête noire » des #altermondialistes, et il vécut le retrait du #Venezuela, après le remboursement de la totalité de ses #dettes._

  • Le #FMI accroît sa force de frappe sans accélérer sa réforme
    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/ce8d9d28-8b1f-11e1-884d-e8efe47305ae|0

    A l’image des Nations unies, le Fonds monétaire international (FMI) doit se réformer pour conserver sa légitimité. Vendredi, le coup de gueule de Guido Mantega, ministre brésilien des Finances, a été sonore. Il a fustigé la (trop) lente mise en œuvre de la réforme des quotes-parts et de la gouvernance du FMI décidée par le Conseil des gouverneurs de l’institution en décembre 2010.

    Le cri de colère du ministre brésilien fait écho aux réticences de la Russie, de l’Inde et de la Chine à apporter un soutien financier plus important au FMI. Directrice générale du FMI, Christine Lagarde juge pourtant nécessaire « d’accroître substantiellement la force de frappe » de son institution, étant donné que des « nuages sombres » s’accumulent à l’horizon.

    ça, on savait l’institution offensive

  • Après le #FMI, la #BanqueMondiale change de #manager

    http://goo.gl/H2HxA

    #Paysémergents espèrent un de leurs ressortissants comme #directeur

    Pour remplacer le président de la Banque Mondiale, l’Américain #RobertZoellick, qui démissionna le 16 février, et quittera son poste le 30 juin prochain, une nouvelle #opposition est ouverte entre #paysémergents et puissances économiques traditionnelles ou occidentales. L’institution financière, sous tutelle de l’ #ONU, regroupe 187 pays et ceux dits "émergents" souhaitent placer un de leurs experts. Le partant est « la bête noire » des altermondialistes, et il vécut le retrait du #Venezuela, après le remboursement de la totalité de ses dettes.

  • « Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques », entretien avec l’ancien ministre de l’Economie argentin, Libération, 19 février 2012.

    http://www.liberation.fr/economie/01012390907-nous-avons-sauve-les-gens-plutot-que-les-banques

    L’ancien ministre de l’Economie argentin, Roberto Lavagna, a sorti son pays de la crise en 2002, en se passant des services du FMI. Il préconise la même solution pour la Grèce.

    L’ancien ministre de l’Economie argentin Roberto Lavagna, 69 ans, est le principal artisan du redressement de l’Argentine engluée dans une terrible crise économique il y a dix ans. Lorsqu’il prend ses fonctions, en avril 2002, le peso vient d’être dévalué de 70%, le pays est en cessation de paiement, la dette privée s’élève à plus de 72 milliards d’euros, l’inflation annuelle flirte avec les 125% par an, le chômage explose, les petits épargnants sont ruinés et les troubles sociaux ont déjà fait plus de 30 morts dans le pays. Cet ancien ambassadeur auprès de l’Union européenne décide immédiatement de se passer de « l’aide » du Fonds monétaire international (FMI) et des marchés financiers. Quelques pistes à suivre pour la Grèce.

    Quelles sont les grandes similitudes entre la crise argentine de 2001-2002 et la crise grecque ?

    Au plan économique, tout est semblable. L’Argentine avait établi une parité fixe entre le peso et le dollar, la Grèce est ficelée à l’euro, perdant ainsi le contrôle de sa monnaie. Un taux de change fixe associant des pays à forte productivité et d’autres dont la compétitivité est beaucoup plus faible ne peut qu’engendrer une crise. La Grèce est déjà dans sa quatrième année de récession, l’Argentine l’était également. Le déficit fiscal, le déficit des comptes courants, la chute vertigineuse du PIB, l’endettement, l’explosion du chômage... toutes les grandes données macro-économiques sont similaires. En revanche, la situation sociale de la Grèce est bien meilleure que celle de l’Argentine à l’époque. Au plan institutionnel, l’Argentine était par ailleurs un pays isolé alors que la Grèce fait partie de l’ensemble économique le plus puissant du monde.

    Comment avez-vous tiré l’Argentine du chaos ?

    Dès mon entrée en fonction, en avril 2002, j’ai décidé de changer radicalement notre manière de penser la sortie de crise.. Le mois suivant, j’étais à Washington pour rencontrer les dirigeants du Fonds monétaire international et leur expliquer que nos rapports allaient s’en ressentir. Depuis le début du marasme économique, en 1998, nous avions déjà eu deux programmes du Fonds pour un total de 51 milliards d’euros. Les deux ont été des échecs retentissants et certaines voix s’élevaient pour demander une troisième tournée de quelque 17 milliards supplémentaires.

    Je n’ai pas voulu suivre cette voie et j’ai expliqué au Fonds que nous ne voulions plus de prêt et que nous sortirions seuls de la crise. La seule chose que j’ai demandé était un roll over partiel de toutes les échéances. Je me suis également engagé à payer les intérêts de la dette et une partie du capital. Mais pas tout et pas tout de suite. Cette position était tout simplement impensable pour le FMI car nous affichions notre volonté de fixer nous même notre propre politique économique. J’ai du leur expliquer trois fois de suite ma position avant qu’ils finissent par comprendre. A partir de là nous avons arrêté de soutenir financièrement les banques alors que le FMI nous l’imposait, exigeant même que nous privatisions la Banque de la Nation. Mais comme nous étions sorti du jeu, le Fonds n’avait plus de moyen de pression sur l’Argentine !

    Vous avez donc oeuvré contre le FMI et vos principaux créanciers ?

    Le sorties de crise se font en dehors des chemins tracés par le FMI. Cette institution propose toujours le même type de contrat d’ajustement fiscal qui consiste à diminuer l’argent qu’on donne aux gens - les salaires, les pensions, les aides publiques, mais également les grands travaux publics qui génèrent de l’emploi - pour consacrer l’argent économisé à payer les créanciers. C’est absurde. Après 4 ans de crise on ne peut pas continuer à prélever l’argent aux mêmes. Or c’est exactement ce qu’on veut imposer à la Grèce ! Tout diminuer pour donner aux banques. Le FMI s’est transformé en une institution chargée de protéger les seuls intérêts financiers. Quand on est dans une situation désespérée, comme l’était l’Argentine en 2001, il faut savoir changer la donne.

    Selon vous les plans d’austérité et de rigueur ne sont pas nécessaires mais c’est pourtant ce qu’on impose à la Grèce...

    A tort car l’argent prêté risque de ne jamais être remboursé et le déficit fiscal grec est plus élevé aujourd’hui qu’avant la première injection d’argent frais. Ce sont les mêmes éternelles erreurs. C’est le secteur financier qui impose sa manière de voir les choses au monde entier. On préfère sauver les banques plutôt que les gens qui ont des crédits immobiliers à rembourser. La première chose qu’on a faite nous, c’est de rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du capitalisme ! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment plus, ce qui obère une relance par la croissance.
    Au lieu de payer les banques, la Grèce devrait investir dans l’éducation, les sciences et la technologie, financer des infrastructures et récupérer ainsi une certaine productivité, ne serait-ce que dans les secteurs des services ou du tourisme.

    Vous devez avoir beaucoup d’ennemis chez les banquiers...

    Ils me détestent ! Ce qui ne les a pas empêché de frapper à notre porte pour nous prêter de l’argent 48 heures exactement après que nous avons terminé la restructuration de notre dette en 2005 ! Or j’ai refusé ces offres intéressées en leur répondant que nous ne reviendrons pas sur le marché financier avant 2014 car nous n’en avons plus besoin. Pourquoi 2014, simplement parce qu’a cette époque la dette sera seulement de 30% du PIB, la moitié des critères européens de Maastricht ! Je pense qu’un pays comme l’Argentine ne doit pas être tout le temps présent sur le marché financier. C’est un risque beaucoup trop grand d’augmenter à nouveau la dette. Le problème c’est que ce sont les banquiers eux-mêmes qui estiment qu’il est positif pour l’image d’un pays d’emprunter à l’international. Il est clair que si je vendais des tomates, je trouverai très bien qu’on en mange ! Eux ils vendent de l’argent.

    La gauche latino-américaine a choisi une autre voie que celle de donner du sens à la rigueur... et cela a fonctionné. Et encore, la politique de l’Argentine n’est pas du tout radicale par rapport à d’autres pays du continent.

    #crise #rigueur #hollande #argentine #FMI #Union_europeenne #grece #france

  • Pays Riches, Pauvreté Extrême

    http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/pays-riches-pauvrete-extreme-106367

    Plus près de nous, les populations grecques sont aussi victime de ce qu’il est convenu d’appeler « la crise » : chômage massif, faillite des petits commerçants et entrepreneurs, augmentation sans précédent des prix de l’énergie, baisses drastiques des salaires, nouvelles taxes sur « tout et n’importe quoi » : maisons, voitures, énergie,... Les Grecs sont maintenant, pour une large part, paupérisés et proches de ce que l’on peut appeler la misère.

    http://www.youtube.com/watch?v=cKuzEDcbR0w&feature=colike

    #Grèce, #pauvre_grèce, #misère

  • Grèce, chair à spéculation

    6 mai 2010

    http://www.bastamag.net/article1025.html

    Alors qu’un hold-up social se déroule en Grèce avec la bénédiction de l’Union européenne, quelques investisseurs aux prophéties autoréalisatrices sont en train de réaliser d’énormes profits. Le FMI applique ses recettes éculées, les dirigeants des pays européens laissent faire, et les hedge funds s’enrichissent en spéculant sur l’éclatement de l’euro.

    […] Le peuple grec, trahi par ses dirigeants, est aussi la victime collatérale d’un pari boursier qui pourrait rapporter énormément d’argent à certains. Selon le Wall Street Journal, les dirigeants de plusieurs « hedge funds », lors d’un dîner au début du mois de février, ont fait le pari que l’euro chuterait jusqu’à atteindre la parité de un pour un face au dollar.

    #Grèce, #FMI, #Europe, #crise_grecque, #pauvre_grèce

  • Le #Pakistan ne veut plus de l’argent du #FMI - LeMonde.fr
    http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/11/01/le-pakistan-ne-veut-plus-de-l-argent-du-fmi_1596652_3216.html

    Le ministre des finances du Pakistan a affirmé lundi au Financial Times que le pays ne voulait plus de l’argent du Fonds monétaire international (FMI), dont il trouve les conditions trop sévères. Selon ce ministre, Abdul Hafeez Shaikh, le Pakistan a « renoncé à une tranche finale de 3,7 milliards de dollars » d’un prêt accordé en 2008 car « les exigences du FMI étaient devenues trop dures ». Le gouvernement pakistanais compte à la place « promouvoir un programme de réforme budgétaire conçu en interne », a indiqué le Financial Times, citant M. Hafeez Shaikh indirectement.

  • Zéro de conduite pour le FMI | Actualutte |
    http://actualutte.info/?p=5450
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    Etats-Unis : Le FMI a chanté les louanges du secteur financier qui a déclenché la crise

    Non seulement le FMI n’a pas pressenti la crise aux Etats-Unis mais en plus il a souvent mis en avant et pris en exemple le modèle financier américain. Une série d’affirmations écrites dans les rapports du FMI l’illustre très clairement. Alors qu’à la mi-2006 la bulle immobilière était sur le point d’éclater, le FMI a nié les dangers qui menaçaient l’économie des Etats-Unis : « Les taux de défaillance sur crédits hypothécaires ont, de tout temps, été bas. Ajouté à la titrisation du marché hypothécaire, ceci permet de penser que l’impact d’un ralentissement du marché immobilier sur le secteur financier serait limité |1| »(Perspectives de l’économie mondiale, avril 2006, p. 18). Pour bien comprendre ce passage, il faut savoir que selon le FMI, la titrisation réduit les risques ! Nombre d’affirmations en témoignent. En voici une extraite du rapport sur la stabilité financière dans le monde : « La titrisation et, plus généralement, l’innovation financière ont rendu les marchés plus efficaces en répartissant mieux les risques » (FMI, Rapport sur la stabilité dans le monde, septembre 2007, p.7). Ainsi, d’après le FMI, le fait pour les banques d’intégrer les crédits à haut risque (subprime) à des produits structurés (Collateralised Debt Obligation, CDO) pour les vendre sur les marchés financiers (opération qui, au passage, leur permettait de sortir ces créances douteuses de leurs bilans) est une pratique exemplaire et permet de diluer les risques ! A noter aussi au passage que les agences de notation ne faisaient pas mieux en attribuant la note maximale AAA aux CDO et autres produits structurés.

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    Comme l’affirmait, Joseph Stiglitz, ancien n°2 de la Banque mondiale entre 1997 et 2000 :« Si l’on examine le FMI comme si son objectif était de servir les intérêts de la communauté financière, on trouve un sens à des actes qui, sans cela, paraîtraient contradictoires et intellectuellement incohérents » |3|. Loin de servir l’intérêt des populations affectées par la crise, loin d’agir pour le plein emploi comme ses statuts l’exigent, le FMI est au service des grandes puissances et des entreprises transnationales parmi lesquelles les grandes sociétés financières privées jouent un rôle fondamental. Dans ce contexte, à l’aune des conditions de vie des plus démunis dont l’amélioration devrait guider toute politique digne de ce nom, il est nécessaire d’agir pour sa dissolution et son remplacement par une institution démocratique et centrée sur la garantie des droits fondamentaux, en un mot une institution « utile ». Tout le contraire du FMI actuel…

    #FMI #capitalisme