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#forêt_vierge

  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 6/08/2024
    3
    @colporteur
    @stephane_m
    @simplicissimus
    3

    « La #forêt_amazonienne est habitée depuis toujours »

    https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/visuel_principal/public/assets/images/lmy24t03_2j9bj9h_floute_vp.jpg

    Sous ses dehors sauvages, la forêt amazonienne est habitée depuis des millénaires par des populations qui ont su l’exploiter tout en la préservant, comme le raconte le géographe François-Michel Le Tourneau dans ce 4ᵉ volet de notre série d’été consacrée à la forêt.

    On imagine la forêt amazonienne comme un espace vierge de présence humaine. Mais c’est loin de la vérité. Vous êtes spécialiste de la région amazonienne, notamment dans sa partie brésilienne. Pouvez-vous nous dire qui habite cette forêt aujourd’hui ?
    François-Michel Le Tourneau1. Depuis une trentaine d’années, le concept de forêt vierge appliqué à l’Amazonie est en train de voler en éclats. L’histoire de la région a été dominée jusqu’aux années 1970 par des archéologues occidentaux, qui avaient imposé l’idée d’une forêt impénétrable, produisant peu de ressources, en particulier peu de protéines animales, où ne pouvaient subsister que quelques tribus nomades. Mais c’est faux ! D’abord, le peuplement de cette région remonte au moins à 11 000 ans avant notre ère. Différentes populations ont peu à peu domestiqué des plantes comme le riz et le manioc. Elles ont par ailleurs développé des civilisations denses et quasi-urbaines dans les siècles qui ont précédé la colonisation européenne, comme le montre l’apport récent du lidar, une technique de télédétection laser qui traverse la canopée et révèle le modelé exact du sol.

    Mais à cause de l’arrivée des Européens et, avec eux, des épidémies, 80 % à 90 % de cette population a été décimée. Les Portugais ont alors importé de la main-d’œuvre depuis l’Afrique et une partie de ces esclaves, les quilombolas, appelés aussi « Noirs marrons », se sont échappés pour vivre en forêt. Par ailleurs, des métissages ont eu lieu entre Amérindiens et Européens, dont sont issus les caboclos, des paysans qui ont formé petit à petit le gros de la population du bassin amazonien. Le peuplement de la forêt amazonienne est donc le fruit d’une histoire où se sont succédé et mélangées des populations d’origines très différentes.

    Les Amérindiens ne sont donc pas les seuls habitants de cette forêt ?
    F.-M. Le T. Non, en effet. Et l’histoire ne se termine pas là ! Au XIXe et au XXe siècle, deux grandes vagues d’immigration ont entraîné des afflux de population du Nord-Est. À la fin du XIXe siècle, quand la demande de latex a explosé dans le monde, 500 000 seringueiros sont venus pratiquer en forêt la saignée des hévéas (seringueira en portugais, Ndlr). L’euphorie liée au commerce du caoutchouc n’a pas duré longtemps, car la Malaisie a repris cette exploitation à grande échelle. Comme dans le conte de Cendrillon, la région amazonienne s’est rendormie pour plus d’un siècle. Jusqu’à ce que le régime militaire brésilien arrivé au pouvoir en 1964 décide de développer une région considérée – toujours à tort ! – comme vide et arriérée et de l’arrimer au reste du pays, craignant une prise de contrôle par d’autres puissances. Il organise alors un grand plan de colonisation agricole par des populations paysannes sans terre, ce qui lui permet en même temps d’éviter une réforme agraire dans le reste du pays.

    Plusieurs millions de personnes arrivent ainsi dans les années 1970-1980, profitant des routes qui sont construites dans le même temps à travers la forêt. La population urbaine commence à dépasser la population rurale… au point que la géographe brésilienne Bertha Becker qualifiait dès 2000 cette Amazonie brésilienne de « forêt urbanisée » ! Aujourd’hui, environ 25 millions de personnes vivent en Amazonie brésilienne, dont 753 000 Amérindiens. Parmi elles, 350 000 habitent au cœur même de la forêt.

    La population amérindienne est à nouveau en progression ?
    F.-M. Le T. Oui, elle a fortement augmenté depuis trente ans au Brésil en général et en Amazonie en particulier. Depuis les années 1970, une meilleure prise en charge sanitaire, notamment vaccinale, a amélioré la santé des Amérindiens. Surtout, une convergence est apparue à partir de 1985 entre la montée des préoccupations environnementales d’une part et les luttes sociales des populations autochtones d’autre part.

    En 1988, une nouvelle constitution a reconnu leurs droits et leurs langues, et leur a restitué de larges pans de territoires : aujourd’hui, sur 3,3 millions de kilomètres carrés de forêt amazonienne brésilienne, environ 1,3 million de kilomètres carrés (trois fois la France métropolitaine environ) sont exclusivement réservés aux Amérindiens. À cela s’ajoutent les terres allouées à d’autres populations traditionnelles, comme les seringueiros. Confrontés dans les années 1970 à l’arrivée de propriétaires qui défrichent massivement, ils ont obtenu une gestion communautaire de ces terres. Même chose pour les ribeirinhos vivant sur les berges du fleuve, qui ont récupéré des réserves de développement durable et des droits spécifiques dans la préservation de ces écosystèmes.

    On oublie trop souvent que des centaines d’espèces et de variétés étaient cultivées en forêt par les Amérindiens avant le contact avec les Européens, sans entraîner de dégradation de la fertilité des sols, au contraire ! Là où les grandes entreprises agricoles défrichent d’immenses surfaces pour ne faire pousser que quelques espèces à grand renfort d’intrants chimiques.

    De quelle façon ces populations vivent-elles de la forêt ?
    F.-M. Le T. Les Amérindiens pratiquent pour la plupart un système mixte qui repose sur une agriculture rotative par abattis-brûlis, la collecte de ressources végétales (graines, semences, lianes), ainsi que la pêche et la chasse. Pour fonctionner, ce système impose d’avoir accès à de vastes surfaces qu’ils parcourent en fonction des saisons et des besoins.

    Les autres populations traditionnelles ont repris certaines bases des Amérindiens, notamment l’agriculture rotative, mais elles utilisent souvent plus intensivement d’autres ressources car elles tirent une partie de leur subsistance de la vente de ces produits (noix, fibres, semences, etc.) sur les marchés. Dans les deux cas, de plus en plus, les allocations sociales et les salaires participent aussi aux économies des familles, entraînant des changements de régimes alimentaires pas toujours heureux.

    Ces populations traditionnelles sont-elles un rempart contre la déforestation ?
    F.-M. Le T. En partie oui. Le gouvernement brésilien considère d’ailleurs que les territoires amérindiens participent au réseau des unités de conservation de l’environnement. Dans le même temps, les politiques de développement se pensent toujours face à une nature sauvage qu’il s’agirait de domestiquer, avec des plantations monospécifiques, des pâturages destinés aux élevages ovins et bovins, des grandes cultures, qui ne laissent aucune place aux processus naturels. L’idée perverse d’une profusion inépuisable de la forêt n’est pas remise en question...

    Mais les peuples autochtones deviennent aussi, pour certains, prisonniers d’une injonction à sauver la forêt. Or, leur projet de développement dans le futur n’est pas forcément de conserver un mode de vie traditionnel. De nouveaux besoins se font jour, qui nécessitent souvent l’accès à des revenus monétaires. Certains, pour subsister, acceptent de faire des coupes à blanc (abattage sur de très grandes surfaces de la totalité des arbres d’une exploitation forestière, Ndlr) dans la forêt afin d’y créer des pâturages pour de l’élevage. Doit-on les en empêcher ? Il faut noter enfin que la plupart ne résident plus seulement dans leurs territoires d’origine mais pratiquent des mobilités circulaires entre ville et forêt, utilisant l’espace périurbain pour continuer leurs activités agricoles et de collecte tout en profitant des avantages de la ville, comme l’accès à la scolarité ou à des emplois rémunérés.

    Le sujet est compliqué. En réalité, ce devrait être à l’État de protéger cet environnement, tout en acceptant le droit à l’autodétermination de ces populations et leur aspiration à une prospérité matérielle équivalente à celle du reste du Brésil.

    ▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-foret-amazonienne-est-habitee-depuis-toujours

    #géographie_du_vide #géographie_du_plein #Amazonie #peuples_autochtones #forêt #Amérique_latine #forêt_vierge #exploitation #Brésil #peuplement #quilombolas #noirs_marrons #esclavage #histoire #caboclos #agriculture #villes #urbanité #latex #hévéas #caoutchouc #colonisation #colonisation_agricole #réforme_agraire #forêt_urbanisée #vaccins #vaccination #démographie #agriculture_rotative #abattis-brûlis #alimentation #régime_alimentaire #déforestation #plantations #pâturages #terres #coupes_à_blanc #élevage #mobilités_circulaires

    CDB_77 @cdb_77
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  • @klaus
    klaus++ @klaus 6/12/2023

    Ex-Mann wählte Notruf : Deutsche verirrt sich im Dschungel in Taiwan – Berliner Polizei hilft bei Rettung
    ▻https://www.tagesspiegel.de/berlin/ex-mann-wahlte-notruf-deutsche-verirrt-sich-im-dschungel-in-taiwan--ber

    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/85/%E5%A1%94%E9%AD%94%E5%B7%B4%E4%B9%8B%E8%B5%B7%E9%9C%A7%E7%9A%84%E6%A8%B9%E6%9E%97.jpg/1280px-%E5%A1%94%E9%AD%94%E5%B7%B4%E4%B9%8B%E8%B5%B7%E9%9C%A7%E7%9A%84%E6%A8%B9%E6%9E%97.jpg

    Vive le progrès ! En Taiwan, République de Chine, le réseau 5G couvre la surface des forêts vierges. C’est ce qui a sauvé la vie á une touriste berlinoise qui s’est aventurée dans la nature sans prendre les précautions nécessaires.

    L’histoire ne manque pas d’ironie car elle est un cas de détournement créatif des fonctions d’un systëme informatique. Au lieu d’envoyer un appel de secours avec ses coordonnées en Allemagne et occuper le temps de travail de quelques douzaines de policiers et secouristes dans les deux pays la touriste aurait pu se servir du compas électronique de son smartphone et rentrer tranquillement à l’hôtel.

    L’article en fait une histoire de couple sans poser la question des réseaux de communication dana les jungles du pays ou du monde. C’est typique pour la presse bourgeoise d’attirer l’attention sur le côté « humain » des histoires au lieu de s’intéresser aux questions essentielles des événements.

    Taiwan subtropical evergreen forests
    ▻https://en.m.wikipedia.org/wiki/Taiwan_subtropical_evergreen_forests

    Die Berliner Polizei hat bei der Rettung einer deutschen Frau aus einem Dschungel in Taiwan geholfen. Der Ex-Mann der 37-jährigen Berlinerin hatte am vergangenen Sonntag den Notruf 110 gewählt, wie eine Polizeisprecherin am Dienstag sagte.

    Demnach gab er an, dass er eine Textnachricht von der Frau erhalten habe. Sie hatte sich den Angaben zufolge im Dschungel verlaufen und auch ihre Koordinaten gesendet. Laut der Sprecherin nahm der 40 Jahre alte Berliner die Nachricht sehr ernst und machte sich große Sorgen.

    Die Kriminalpolizei gab den Fall an das Bundeskriminalamt in Wiesbaden weiter, das wiederum die Behörden in Taiwan in Kenntnis setzte. Ein Suchteam machte sich dort auf den Weg und konnte die verirrte Frau schließlich finden. Nach Angaben der Berliner Polizei ist die 37-Jährige wohlauf. Sie wurde auf eigenen Wunsch in ihr Hotel gebracht. Zuvor hatte die „Bild“-Zeitung über den Fall berichtet.

    https://www.tagesspiegel.de/images/regenwaldjpg/alternates/BASE_1_1_W767/regenwaldjpg.jpeg

    #Chine #Taiwan #5G #télephone_portable #internet #forêt_vierge

    klaus++ @klaus
    • @sandburg
      Sandburg @sandburg CC BY-SA 6/12/2023

      Réseaux : zone blanche, zone grise, zone noire ... zone verte ? 🤣

      Sandburg @sandburg CC BY-SA
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  • @la_vie_des_idees
    La Vie des idées @la_vie_des_idees via RSS 23/05/2022
    6
    @odilon
    @lyco
    @koldobika
    @fitzlombard
    @cdb_77
    @colporteur
    6

    La nature des Amérindiens
    ▻https://laviedesidees.fr/La-nature-des-Amerindiens.html

    À propos de : Stéphen Rostain, La forêt vierge d’Amazonie n’existe pas, Le Pommier. On se trompe beaucoup sur l’Amazonie. On y voit une forêt première et sauvage, alors qu’elle est l’objet d’une gestion raisonnée par les Amérindiens de leur environnement. La biodiversité est aussi le produit de nos efforts.

    #International #biodiversité #écologie #déforestation
    ▻https://laviedesidees.fr/IMG/docx/cr_rostain_2.docx
    ▻https://laviedesidees.fr/IMG/docx/figures_pour_.docx

    La Vie des idées @la_vie_des_idees via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 24/05/2022

      La #forêt_vierge d’#Amazonie n’existe pas

      https://www.editions-lepommier.fr/sites/default/files/public/styles/book_image/public/assets/images/74652278.jpg?itok=lOOuJZxw#.jpg

      Depuis trop d’années, le grave état de santé de l’Amazonie inquiète. #Déforestation sauvage, incendies, élévation de la température… Autant de symptômes d’un fatal #déséquilibre aux prochaines implications climatiques globales, et irrémédiables. En cause ? Une #destruction systématique menée, depuis trois siècles à peine, par les sociétés occidentales. Mais celles-ci, contrairement aux idées reçues, ne menacent pas seulement la plus grande forêt tropicale du monde, mais également les Amérindiens, qui ont pourtant toujours vécu en interaction avec leur milieu naturel.

      Dans cet essai original d’écologie historique, Stéphen Rostain brosse un panorama complet de ces relations et des puissantes dynamiques à l’œuvre. Il se propose, plutôt que d’en rester à un constat d’échec, de comprendre les divers #usages qui ont été faits de cette nature sylvicole – du plus néfaste au plus bénéfique –, ouvrant des horizons face à la chronique habituelle d’une mort annoncée.

      ▻https://www.editions-lepommier.fr/la-foret-vierge-damazonie-nexiste-pas

      #géographie_du_vide #géographie_du_plein #Stéphen_Rostain

      #livre #peuples_autochtones

      CDB_77 @cdb_77
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  • @observatoiremultinat
    ObservatoireMultinationales @observatoiremultinat CC BY-ND 15/09/2014
    10
    @reka
    @touti
    @odilon
    @monolecte
    @7h36
    @sammyfisherjr
    @koldobika
    @moderne
    @rastapopoulos
    @simplicissimus
    10

    #EDF construira bien des #Grands_barrages en Amazonie
    ►http://multinationales.org/EDF-construira-bien-des-grands

    Il en était question depuis plusieurs mois. EDF vient d’officialiser son arrivée dans le secteur ô combien controversé des grands barrages en Amazonie brésilienne. Le groupe énergétique français a racheté 51% des parts du consortium chargé de construire le barrage de Sinop, dans le bassin du Rio Tapajós, un affluent de l’Amazone. En ligne de mire pour EDF, les enchères pour deux autres barrages encore plus importants dans la même zone, São Luiz do Tapajós et Jatobá, qui doivent se tenir fin 2014. Au même (...)

    Actualités

    / A la une, #Brésil, EDF, #GDF_Suez, Grands barrages, #changement_climatique, #droits_humains, #impact_social, #impact_sur_l'environnement, #gaz_à_effet_de_serre, communautés (...)

    #communautés_locales
    « ▻http://economia.estadao.com.br/noticias/negocios,governo-federal-marca-leilao-da-hidreletrica-sao-luiz- »
    « ▻http://dams-info.org/en/dams/view/sinop »
    « ▻http://news.mongabay.com/2014/0915-tapajos-dam-deforestation.html »
    « ▻http://dams-info.org/en/dams/view/sao-luiz-do-tapajos »
    « ▻http://dams-info.org/en/dams/view/jatoba »
    « ▻http://exame.abril.com.br/negocios/noticias/tractebel-ve-recuperacao-com-resultado-satisfatorio-em-2014 »
    « ▻http://www.agenceecofin.com/electricite/0409-22544-rio-tinto-edf-et-la-sfi-recherchent-5-experts-pour-la-centr »
    « ►http://www.climatecentral.org/news/tropical-dams-methane-18019 »
    « ▻https://www.flickr.com/photos/55449636@N07/8509547867

    Flickr
     »

    • #Brésil
    • #l'Amazone
    ObservatoireMultinationales @observatoiremultinat CC BY-ND
    • @touti
      vide @touti 15/09/2014
      @koldobika

      Quelle horreur !
      Légende de la photo :

      Para, Brazil. February 12, 2012. Construction of the Belo Monte Dam project, near Altamira. The Belo Monte Dam will be the third largest in the world, submerging 400,000 hectares and displacing 20,000 people. Approximate coordinates: -3.302742 -51.90765. Photo by Daniel Beltra for Greenpeace

      Au-delà du cas emblématique du barrage de Belo Monte, ce sont des dizaines de nouveaux barrages que le gouvernement brésilien et les intérêts industriels souhaitent construire en Amazonie, notamment dans le bassin du rio Tapajós. Celui-ci, encore relativement préservé, abrite une #biodiversité unique et des dizaines de milliers d’#indigènes. Une ONG estime que la construction des barrages y entraînera directement ou indirectement la perte de 950 000 hectares de #forêt_vierge.

      #gaz_à_effet_de_serre

      C’est exactement le genre de #saloperie participant à la #destruction_environnementale et au #dérèglement_climatique et qui rend éminement risible les actions individuelles écologistes.
      On en parlait récemment, cf @koldobika.

      #industrie_de_l'armement #politique_française #croissance

      vide @touti
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 15/09/2014

      #système_technicien #gpii #fausses_solutions

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 15/09/2014

      un des facteurs de l’autonomisation de la technique est le fait que nous nous refusons à l’appréhender de façon « rationnelle », en nous laissant séduire par la magie de sa puissance tout en nous glorifiant d’en mener le déploiement.
      ►http://seenthis.net/messages/235534
      ►http://seenthis.net/messages/166428
      ►http://seenthis.net/messages/100078

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 30/06/2014
    5
    @lyco
    @la_taupe
    @gastlag
    @reka
    @kassem
    5

    #Déforestation : l’#Indonésie a fait pire que le Brésil
    ▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/06/29/deforestation-l-indonesie-a-depasse-le-bresil-en-2012_4447606_3244.html

    L’Indonésie a abattu en 2012 près de deux fois plus de forêt vierge que le Brésil, considéré comme le plus grand destructeur au monde de cette forêt primaire, selon une étude publiée dimanche 29 juin.

    Le pays d’Asie du Sud-Est possède la troisième plus grande #forêt tropicale de la planète derrière le Brésil et le Congo, un espace qui constitue l’un des derniers refuges pour de nombreuses espèces végétales et animales comme les orang-outans, les éléphants et tigres de Sumatra.

    Mais au cours de la dernière décennie, la déforestation en Indonésie s’est considérablement accélérée au profit du commerce du bois et des plantations d’huile de palme – dont l’archipel est le plus grand producteur mondial – en dépit d’un moratoire sur les permis de défrichement.

    http://s2.lemde.fr/image/2014/06/29/534x267/4447607_3_0dbd_une-colline-de-l-ile-de-borneo-en_bf791acbe2dc657921cdafc35b3ac58f.jpg

    #biodiversité #destruction_totale

    • #Brésil
    • #Congo
    • #Indonésie
    • #le Congo
    • #Asie du Sud-Est
    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 30/06/2014

      #fortêt #forêt_vierge #forêt_primaire #forêt_tropicale #écologie #défrichement

      CDB_77 @cdb_77
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