• Le #train deux fois plus cher que l’#avion en Europe !

    À l’occasion des départs en vacances estivaux pour de nombreux Français et Françaises, le prix des billets de train reste malheureusement très supérieur à celui des billets d’avion, à trajet égal.

    C’est ce que dénonce un nouveau rapport [1] de Greenpeace Europe centrale et de l’Est qui analyse, dans le détail, le fossé entre les prix des billets d’avion, mode de transport extrêmement polluant, et ceux des billets de train, dont l’impact sur le climat est pourtant jusqu’à 100 fois moins important.

    Lire le résumé du rapport en français : https://cdn.greenpeace.fr/site/uploads/2023/07/Analyse-comparative-du-prix-des-billets-davion-vs-train-en-Europe_Res

    Une fiscalité inéquitable au profit des compagnies aériennes et à contre-courant de la lutte contre la crise climatique

    En Europe, les billets de train sont en moyenne deux fois plus chers que ceux d’avion pour un même trajet, un trajet entre Barcelone et Londres coûtant même jusqu’à 30 fois plus cher !

    Cette différence abyssale entre les #tarifs de ces deux modes de transport va à l’encontre de l’urgence climatique et de la nécessité de diminuer le trafic aérien et de développer le #réseau_ferroviaire. Greenpeace appelle pour cela les institutions européennes et les gouvernements nationaux à rendre les trains plus abordables que les vols.

    Selon Alexis Chailloux, chargé de campagne voyage durable chez Greenpeace France :

    “Ce rapport démontre, chiffres à l’appui, ce que toutes les personnes qui voyagent en Europe ont déjà expérimenté : une différence de prix délirante entre les prix des billets d’avion et ceux de train pour un même trajet. Pour inverser la tendance, il est urgent de mettre fin aux #exemptions_fiscales anachroniques dont jouit le secteur aérien. Cela permettra d’investir massivement dans le réseau ferroviaire, et de rendre le train plus accessible”.

    La France dans le TOP 3 des pires élèves en Europe

    La situation est encore plus prononcée en #France, où les billets de train sont en moyenne 2,6 fois plus chers que les billets d’avion. La France se place ainsi en troisième position – à égalité avec la Belgique et derrière le Royaume-Uni et l’Espagne – des pays européens les plus inconséquents en termes de tarification, allant ainsi à contre-courant de l’urgence climatique et de la nécessité de réduire les émissions.

    Sur le trajet Paris – Valence (Espagne), par exemple, les billets de train sont en moyenne 8 fois plus chers que l’avion. Comment, avec de telles différences, demander sérieusement à la population de privilégier le train ?

    Nécessité d’adopter des mesures politiques impactantes et pérennes

    Forte de cette étude inédite Greenpeace demande au gouvernement français de mettre en place des mesures efficaces :

    – La fin des #avantages_fiscaux dont bénéficie le secteur aérien, et l’augmentation de la #taxe_de ^:solidarité sur les billets afin de financer les alternatives bas-carbone. Le manque à gagner lié aux avantages fiscaux du secteur aérien en France est estimé à 5 milliards d’euros par an par l’association Transport & Environnement.

    – L’accessibilité du train pour tout le monde, via la mise en place d’un “#ticket_climat” – un #forfait qui permet d’utiliser le train (hors TGV) de manière illimitée et à un prix abordable -, la relance du #train_de_nuit et le renfort de #tarifs_réduits sur les trains longue distance pour les personnes à faibles revenus.

    La deuxième version de notre Baromètre des pratiques de voyage des jeunes [2] montre justement que la jeunesse française est largement favorable à un rééquilibrage des tarifs entre les billets d’avion et de train (84%) et à la fin des exemptions fiscales pour le secteur aérien (68%).

    Notes aux rédactions :

    [1] La recherche porte sur 112 trajets de moins de 1500 km dans 27 pays européens (EU27 plus la Suisse, la Norvège et le Royaume-Uni, moins les îles de Malte, Chypre et l’Irlande. Pour chaque trajet, nous avons comparé le prix d’un aller simple en train et en avion sur 9 dates : 3 à très court terme (à +2, +4 et +7 jours après la date de recherche), 3 à moyen terme (un mois pile après la date de recherche, et à plus et moins 2 jours), et 3 à long terme (4 mois pile après la date de recherche, et à plus et moins 2 jours).

    Lire l’intégralité du rapport Analyse comparative du prix des billets d’avion et de train en Europe – comment une fiscalité inéquitable incite à voyager en avion au détriment du climat :
    https://greenpeace.at/uploads/2023/07/report-ticket-prices-of-planes-vs-trains-in-europe.pdf

    [2] L’enquête a été réalisée en ligne auprès d’un échantillon de 1200 personnes représentatif de la population de France métropolitaine âgée de 18 à 34 ans. Cette tranche d’âge a été ciblée prioritairement car elle est encline à un usage plus régulier de l’avion.

    https://www.greenpeace.fr/espace-presse/nouveau-rapport-le-train-deux-fois-plus-cher-que-lavion-en-europe
    #rapport #Greenpeace #fiscalité #compagnies_aériennes #transport #transport_public #transport_ferroviaire

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    voir aussi :
    In Europa viaggiare in treno costa il doppio che viaggiare in aereo
    https://seenthis.net/messages/1015811

  • Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis
    http://carfree.fr/index.php/2023/09/08/il-ny-a-que-les-imbeciles-qui-ne-changent-pas-davis

    Qu’est-ce qui « coûte cher et provoque très peu de report de la voiture vers le train« ? Selon le ministre des transports #clément_beaune en octobre dernier, c’est l’abonnement illimité aux Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Transports_publics #allemagne #critique #france #politique #sncf #société #subventions #trains #transports_en_commun

    • Beaune annonce en fanfare à la télévision (dans l’émission Télématin) « la mise en place à l’été prochain d’un « Pass Rail pour tous » sur le modèle des Allemands… » Il coûtera « autour de 49 euros par mois » (Comme les Allemands…) et permettra de voyager en illimité avec les TER et Intercités, bref sur les trains régionaux (Comme les Allemands…). Le ministre espère une extension aux bus et tramways [et, probablement, les métros] (pas comme les Allemands qui ont eux déjà les bus et les tramways dans leur forfait à 49 euros…).

      même des imbéciles, méchants qui plus est, peuvent changer d’avis.

      ça fait si longtemps qu’on a pas vu une réforme qui ne soit pas une contre réforme que c’en est renversant (si ça se confirme, et selon les modalités de la mesure). il y a pour cela des raisons évidentes et souvent citées (bagnoles, béton, écologie, désindividualisation). l’une d’elle l’est peu, c’est qu’avec la marchandisation frénétique des billets depuis le lancement du TGV (avec une brutale segmentation tarifaire), et malgré la création de force cartes SNCF, rares étaient les clients capables de maintenir un plaisir du train qui tient à la souplesse de son usage (dépenser 3500 euros pour certains trains, sélectionnés, pour obtenir une carte grand voyageur plus...). avoir la possibilité de s’arrêter dans n’importe quelle gare sans avoir à prévoir et administrer un transport, c’est une brèche vers le voyage.

      #rail #forfait_de_transport_illimité #voyage

  • Emploi : « La condamnation européenne du barème d’indemnisation d’un licenciement injustifié est une gifle cinglante »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/06/17/emploi-la-condamnation-europeenne-du-bareme-d-indemnisation-d-un-licenciemen

    Il aura fallu attendre l’entre-deux-tours des élections législatives pour être informé de la condamnation européenne du barème d’indemnisation d’un licenciement injustifié, dit « barème Macron », l’un des symboles de la politique sociale d’Emmanuel Macron.

  • Notre système de santé craque – Union Syndicale de la Psychiatrie
    https://www.uspsy.fr/?p=26708

    Les soins urgents et vitaux sont encore dispensés mais dans quelles conditions ?

    Les personnels des soins sont au bout du rouleau, désabusés de leur métier, broyés dans la machine.

    Au point pour certains de perdre la boussole de leur éthique professionnelle et de mettre en avant le tri à faire sur les malades qui se présentent.

    Qui en est responsable ?

    Certainement pas ces professionnels eux-mêmes, sur qui on reporte des questions qui devraient être traitées par le débat démocratique.

    Depuis des années, les gouvernements successifs ont sacrifié notre système public de santé et l’ont vendu à la découpe au privé, sans aucune pensée globale et prospective sur les besoins et défis de santé à venir.

    Des professionnels sous-payés par rapport à leurs compétences, leur qualification et leur engagement ; une absence de reconnaissance des savoir-faire ; une logique économique qui passe avant la logique des soins ; des dysfonctionnements majeurs liés à une logistique et une administration inadaptées, pourtant pléthoriques ; un empiètement de plus en plus important de techniques managériales nocives qui ne sont là que pour faire marcher des escadrons de petits soldats…

    La servitude volontaire [et stipendiées manière honteuse, ndc] des plus gradés, paramédicaux, administratifs et malheureusement parfois médicaux, soumet aveuglément l’ensemble au dogme de la productivité, de la performance, d’une prétendue efficience, de la course au chiffre, de la #concurrence entre services, établissements… Cette bureaucratie comptable, disciplinée et aveugle, dont le coût et le poids sont énormes, présente dans toutes les strates des hôpitaux, des GHT mille-feuille, des #ARS… aboutit à une maltraitance des #patients et des #soignants, détruit le soin, dégoute les soignants et les conduit à l’arrêt ou à la fuite.

    Quoi de mieux que ce lent pourrissement, cette destruction organisée pour faire fuir aussi les patients et permettre de proposer le privé lucratif comme sauveur ?

    Nous en sommes arrivés là.

    Peut-on encore parler d’erreur ou d’incompétence là où une stratégie de #non-assistance clairement affichée trouve son illustration ?

    Plus encore, c’est l’absence de vision de santé publique qui fait défaut : celle qui articulerait la #médecine_de_ville à la médecine hospitalière, restaurerait une permanence des soins, prendrait véritablement en compte les plus précaires (4 % de la population n’a pas de mutuelle et devra payer de sa poche le nouveau 1 #forfait_urgence à 19,61 € alors que les le manque de #médecins généralistes est criant). Là encore il s’agit de favoriser attente, conflit, humiliation des patients par des équipes exsangues pour les dégouter un peu plus.

    La psychiatrie en est une parfaite illustration. Alors qu’elle est démantelée depuis des années mais ô combien nécessaire par les temps difficiles que nous traversons, elle n’a eu droit qu’à quelques mesurettes en septembre dernier alors que les besoins se chiffrent en milliards.

    Aussi l’USP appelle-telle à la mobilisation pour dénoncer cette politique et pour la défense d’une évolution positive de notre système de santé vers un accès pour tous sans condition le mardi 11 janvier, à l’unisson des intersyndicales et des collectifs de la santé, ainsi qu’à la participation aux Assises citoyennes du soin psychique des 11 et 12 mars 2022 à Paris.

    40 ans de destruction de la #psychiatrie, avec des dizaines de milliers de lits supprimés, tout comme les formations « infirmiers psy », ça fait expérience sur la #santé_publique.

    si ils évoquent des besoins à hauteur de milliards pour la psychiatrie, c’est qu’il s’agit de redéfinir de fond en comble et dans la durée les prises en charge : formation de soignants, psychiatres compris, modalités de soin, non seulement dans les lieux institutionnels (et déjà là, les besoins sont énormes : si la contention et l’isolement sont davantage utilisés, ce n’est pas seulement en raison d’une idéologie sécuritaire qui infuse partout, de la misère intellectuelle et pratique des approches du soin ; c’est aussi en raison du manque de moyens attribués que ces pratiques apparaissent à certains comme les seules possibles), mais aussi en ambulatoire (des hospitalisation de jour au secteur) et en ville.

    #management #bureaucratie #accès_aux_soins

  • « Pour aller aux urgences, il faudra désormais passer à la caisse à partir du 1er janvier 2022. Bizarrement, le gouvernement ne communique pas du tout sur le sujet jugé "trop techno". »
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/aux-urgences-vous-allez-devoir-passer-a-la-caisse-voici-dans-quels-ca

    Au lieu de la facture envoyée après un passage à l’hôpital, un nouveau dispositif entre en vigueur ce 1er janvier. Avec des conséquences directes pour les Français sans mutuelle et le personnel soignant.

    SANTÉ - La mesure a été officialisée il y a de longs mois, mais elle s’apprête à entrer en vigueur dans la discrétion la plus totale. À partir du 1er janvier, lors d’un passage aux urgences, chaque patient qui ne sera pas hospitalisé dans la foulée devra régler sur place une somme d’un peu moins de 20 euros.

    Un changement notable alors que jusqu’à présent, il fallait attendre plusieurs semaines pour recevoir une facture à son domicile, laquelle variait en fonction des actes pratiqués à l’hôpital (simple consultation, tel ou tel examen, une batterie de tests...) et était prise en charge par les complémentaires santé dont bénéficient 95% des Français.

    L’évolution contenue dans ce nouveau dispositif baptisé “forfait patient urgences” réside dans l’instauration d’un tarif unique et plafonné pour chaque passage aux urgences non suivi d’hospitalisation (19,61 euros pour 2022). Un montant minoré à 8,49 euros pour les femmes enceintes de plus de cinq mois et les personnes atteintes par une affection longue durée (formes graves d’épilepsie, AVC invalidant, infection au VIH pour donner quelques exemples). Et pour les enfants victimes de sévices, les victimes de terrorisme et les malades du Covid soignés dans le cadre de l’urgence sanitaire, ils sont même exemptés des frais.

    Des difficultés logistiques à l’hôpital

    Cette réforme n’est pas inattendue puisqu’elle découle des travaux menés en 2019 à la demande d’Édouard Philippe par le député LREM de la Charente et ancien urgentiste Thomas Mesnier avec le professeur spécialiste des urgences hospitalières Pierre Carli. D’ailleurs, ce dispositif, annoncé en octobre 2020 et voté dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2021, aurait dû entrer en vigueur dès septembre. Il a cependant été retardé à la demande de la Fédération hospitalière de France (FHF) du fait des complexités informatiques qu’il engendre pour les hôpitaux ainsi que d’un contexte budgétaire spécifique lié à la pandémie de coronavirus.

    Sauf que ce nouveau système interroge dans le milieu de la santé : “Très concrètement, le 31 décembre, si tu arrives aux urgences, tu es pris en charge et tu repars sans payer. Dès le 1er janvier, après t’avoir pris en charge, on te demande 19 euros”, résume après du HuffPost un employé d’hôpital.

    Dès lors, une première critique revient, de source hospitalière : celle de la difficulté de la mise en œuvre de ce nouveau fonctionnement pour les structures. “Les services d’urgence ne sont pas adaptés à l’encaissement de paiements : il faut des lecteurs de carte vitale, de la monnaie, des lecteurs de carte bleue...”, explique un connaisseur de ces problématiques.

    Le tiers payant simplifie la donne

    Aurélien Sourdille, de la Fédération hospitalière de France confirme cette difficulté logistique pour certains établissements. “La nuit par exemple, il n’y a pas toujours de secrétaires médicaux. Il y a des infirmiers et des aide-soignants, qui sont avant tout là pour les soins, et dont ce n’est pas la mission première de passer une carte bleue.” De la même manière, explique-t-il, les hôpitaux ne sont pas “des supermarchés où il faut passer à la caisse”, et il n’y a pas forcément de bureau de sortie suffisamment confidentiel dans lequel les patients pourront régler leur facture.

    Néanmoins, ce cadre de FHF nuance en expliquant que ce nouveau fonctionnement va permettre d’éviter une part de la déperdition de trésorerie liée aux factures non réglées par les patients passés aux urgences, à qui il est parfois impossible d’envoyer ce qu’ils doivent régler parce qu’ils sont partis trop vite, qu’ils sont étrangers, trop précaires... “Aujourd’hui, la plupart des impayés à l’hôpital sont liés aux urgences, là c’est terminé”, décrit-il. Le député Thomas Mesnier abonde : ”À l’heure actuelle, seuls 30% du reste à charge des passages aux urgences vont dans les caisses des hôpitaux tant la facturation est difficile à faire.”

    Surtout, 95% environ des Français disposent d’une complémentaire santé ou d’une aide équivalent (la complémentaire santé solidaire pour les petits revenus ou l’aide médicale d’État pour les plus précaires). Ce qui signifie que toute cette partie de la population pourra faire jouer le tiers payant au moment de régler ses 19,61 euros aux urgences et donc ne rien avoir à payer en dépit du nouveau système. Ils leur faudra présenter leur carte vitale et leur carte de mutuelle, ce qu’on n’a pas toujours sur soi lorsqu’on arrive aux urgences après une blessure sur un terrain de sport ou un accident de la circulation.

    Le public risque de découvrir cette nouveauté sur le fait

    Il reste aussi les 5% de la population, qui peuvent être des retraités ou des chômeurs par exemple (la complémentaire santé est obligatoire pour une vaste majorité de salariés), et qui ont fait le calcul suivant : payer une mutuelle leur reviendrait plus cher que ce qu’ils dépensent en frais médicaux. Et pour eux, à partir du 1er janvier 2022, il faudra effectivement passer à la caisse s’ils viennent aux urgences.

    Or dans ce cas, le personnel hospitalier pourrait avoir à avoir à gérer un public pas forcément au courant de cette évolution du fonctionnement des urgences. “Le 1er janvier, ce sont des agents des admissions, en première ligne donc, qui vont devoir expliquer qu’à partir de maintenant, c’est payant. Et gérer la grogne qui va avec”, anticipe une source en milieu hospitalier, évoquant de surcroît le contexte de sur-sollicitation des urgences et leur manque de moyens encore dénoncés jeudi 16 décembre au Sénat par le médecin François Escat.

    Or alors que le nouveau système va entrer en fonction dans quelques jours se pose la question de l’absence de communication de la part des autorités sur le sujet. Sollicités par Le HuffPost, ni le ministère de la Santé ni l’entourage du Premier ministre Jean Castex n’ont apporté de précision à ce propos. Le député Thomas Mesnier, lui, évoque pour expliquer cette non-communication une mesure essentiellement “techno” (comprendre technocratique, qui concernerait surtout le milieu médical et donc pas directement le grand public).

    Vers une communication locale

    Aurélien Sourdille apporte un élément d’analyse : “Je pense qu’il y a effectivement une sous-estimation de la part du gouvernement de ce que le nouveau forfait représente pour les établissements hospitaliers. Et en même temps, pour 95% des patients, cela ne change rien du tout.” Tant et si bien que pour le cadre de la FHF, le plus simple est que les établissements communiquent à leur niveau, avec leurs patients, en leur présentant les atouts du nouveau dispositif et notamment sa lisibilité évidente.

    Une source hospitalière se demande toutefois quelles conséquences pratiques le forfait patient urgences peut avoir sur la santé des Français. “Il y a sûrement des gens qui n’iront plus aux urgences par peur de devoir payer, alors qu’il le faudrait.” Et cette même source de rappeler qu’au cours de l’entretien accordé à LCI mercredi 15 décembre, le président de la République a insisté sur le fait “qu’il était vigilant à l’impact de ses décisions sur la vie des Français”.

    Mais pour Thomas Mesnier, le “forfait patient urgence” reste quand même une avancée majeure. “Honnêtement, je n’en fais même pas un objet politique : c’est une vraie réforme de simplification”, explique l’élu charentais. ”À l’heure actuelle, si l’on passe des examens en plus de la consultation lors d’un passage aux urgences, la facture peut monter. Et beaucoup. Alors que là, la facture va être plus juste, plus équitable, plus simple à comprendre.”

    Ce que confirme Aurélien Sourdille, de la Fédération hospitalière de France : “Avant, les services hospitaliers devaient attendre de connaître tous les actes pour savoir de combien serait la facture. Là, c’est simplifié à l’extrême et l’on sait immédiatement combien le patient doit régler. Et dans la plupart des cas, c’est sa mutuelle qui paiera.” Et pour ceux qui n’en ont pas, ce sera donc au personnel médical de gérer la transition d’un dispositif à l’autre.

    #santé_publique #économie #hôpital #forfait_hospitalier
    #forfait_patient_urgence

    • "pour 95% des patients, cela ne change rien du tout."
      Aurélien Sourdille, Fédération hospitalière de France
      (sauf si ils n’ont pas leur carte vitale et celle de mutuelle avec eux, mais bon)

      “Il y a sûrement des gens qui n’iront plus aux urgences par peur de devoir payer, alors qu’il le faudrait.” Une source hospitalière.

      Belle application du principe de précaution en milieu hospitalier : pour causer sur le fric et le patron (la loi budgétaire), on choisit l’anonymat.

      Il ne reste plus qu’à exiger que pour les diverses bricoles (membre cassé, examen clinique, radio éventuelle, plâtre, par exemple), cela puisse être facturé comme une hospitalisation de jour, pour laquelle le forfait hospitalier n’est pas (encore) exigible. C’est aussi comme ça que l’IHU pouvait (peut ?) (sur)facturer en hospitalisation de jour des tests et autres visites rapides, les patients n’y trouvant rien à y redire.

      Même pour de simples points de suture, je n’ai jamais trouvé un autre circuit que les urgences (qui dispatchent). J’ai déjà emmené des gens aux urgences qui n’avaient aucun justificatif sécu avec eux, et parfois 0 €. Si ça arrive à nouveau, faut désormais que je prévoie de raquer ?

  • Why the Swedish Model for Fighting COVID-19 Is a Disaster | Time
    https://time.com/5899432/sweden-coronovirus-disaster

    Le fameux modèle suédois de lutte contre le #covid est une immense #imposture basée sur le précepte ultra-libéral du #laisser-faire, voire plus franchement de l’#eugénisme social.
    Non seulement ils ont imposé l’#immunité_de_troupeau à la population en lui mentant assez éfrontément, mais ils ont carrément donné un coup de pouce à la #contamination_de_masse en ouvrant massivement les #écoles pour en faire des #accélérateurs d’#épidémie.

    Et cette #forfaiture #criminelle est à présent à l’œuvre chez nous

    The Swedish COVID-19 experiment of not implementing early and strong measures to safeguard the population has been hotly debated around the world, but at this point we can predict it is almost certain to result in a net failure in terms of death and suffering. As of Oct. 13, Sweden’s per capita death rate is 58.4 per 100,000 people, according to Johns Hopkins University data, 12th highest in the world (not including tiny Andorra and San Marino). But perhaps more striking are the findings of a study published Oct. 12 in the Journal of the American Medical Association, which pointed out that, of the countries the researchers investigated, Sweden and the U.S. essentially make up a category of two: they are the only countries with high overall mortality rates that have failed to rapidly reduce those numbers as the pandemic has progressed.

    Yet the architects of the Swedish plan are selling it as a success to the rest of the world. And officials in other countries, including at the top level of the U.S. government, are discussing the strategy as one to emulate—despite the reality that doing so will almost certainly increase the rates of death and misery.

    Countries that locked down early and/or used extensive test and tracing—including Denmark, Finland, Norway, South Korea, Japan, Taiwan, Vietnam and New Zealand—saved lives and limited damage to their economies. Countries that locked down late, came out of lock down too early, did not effectively test and quarantine, or only used a partial lockdown—including Brazil, Mexico, Netherlands, Peru, Spain, Sweden, the U.S. and the U.K.—have almost uniformly done worse in rates of infection and death.

    Despite this, Sweden’s Public Health Agency director Johan Carlson has claimed that “the Swedish situation remains favorable,” and that the country’s response has been “consistent and sustainable.” The data, however, show that the case rate in Sweden, as elsewhere in Europe, is currently increasing.

    Average daily cases rose 173% nationwide from Sept. 2-8 to Sept. 30-Oct. 6 and in Stockholm that number increased 405% for the same period. Though some have argued that rising case numbers can be attributed to increased testing, a recent study of Stockholm’s wastewater published Oct. 5 by the Swedish Royal Institute of Technology (KTH) argues otherwise. An increased concentration of the virus in wastewater, the KTH researchers write, shows a rise of the virus in the population of the greater Stockholm area (where a large proportion of the country’s population live) in a way that is entirely independent of testing. Yet even with this rise in cases, the government is easing the few restrictions it had in place.

    From early on, the Swedish government seemed to treat it as a foregone conclusion that many people would die. The country’s Prime Minister Stefan Löfven told the Swedish newspaper Dagens Nyheter on April 3, “We will have to count the dead in thousands. It is just as well that we prepare for it.” In July, as the death count reached 5,500, Löfven said that the “strategy is right, I am completely convinced of that.” In September, Dr. Anders Tegnell, the Public Health Agency epidemiologist in charge of the country’s COVID-19 response reiterated the party line that a growing death count did “not mean that the strategy itself has gone wrong.” There has been a lack of written communication between the Prime Minister and the Public Health Authority: when the authors requested all emails and documents between the Prime Minister’s office and the Public Health Authority for the period Jan. 1—Sept. 14, the Prime Minister’s Registrar replied on Sept. 17 that none existed.

    Despite the Public Health Agency’s insistence to the contrary, the core of this strategy is widely understood to have been about building natural “herd immunity”—essentially, letting enough members of a population (the herd) get infected, recover, and then develop an immune system response to the virus that it would ultimately stop spreading. Both the agency and Prime Minister Löfven have characterized the approach as “common sense“ trust-based recommendations rather than strict measures, such as lockdowns, which they say are unsustainable over an extended period of time—and that herd immunity was just a desirable side effect. However, internal government communications suggest otherwise.

    Emails obtained by one of the authors through Freedom of Information laws (called offentlighetsprincipen, or “Openness Principle,” in Swedish) between national and regional government agencies, including the Swedish Public Health Authority, as well as those obtained by other journalists, suggest that the goal was all along in fact to develop herd immunity. We have also received information through sources who made similar requests or who corresponded directly with government agencies that back up this conclusion. For the sake of transparency, we created a website where we’ve posted some of these documents.

    One example showing clearly that government officials had been thinking about herd immunity from early on is a March 15 email sent from a retired doctor to Tegnell, the epidemiologist and architect of the Swedish plan, which he forwarded to his Finnish counterpart, Mika Salminen. In it, the retired doctor recommended allowing healthy people to be infected in controlled settings as a way to fight the epidemic. “ One point would be to keep schools open to reach herd immunity faster ,” Tegnell noted at the top of the forwarded email.

    Salminen responded that the Finnish Health Agency had considered this but decided against it, because “over time, the children are still going to spread the infection to other age groups.” Furthermore, the Finnish model showed that closing schools would reduce “the attack rate of the disease on the elderly” by 10%. Tegnell responded: “10 percent might be worth it?”

    The majority of the rest of Sweden’s policymakers seemed to have agreed: the country never closed daycare or schools for children under the age of 16, and school attendance is mandatory under Swedish law, with no option for distance learning or home schooling, even for family members in high risk groups. Policymakers essentially decided to use children and schools as participants in an experiment to see if herd immunity to a deadly disease could be reached. Multiple outbreaks at schools occurred in both the spring and autumn.

    At this point, whether herd immunity was the “goal” or a “byproduct” of the Swedish plan is semantics, because it simply hasn’t worked. In April, the Public Health Agency predicted that 40% of the Stockholm population would have the disease and acquire protective antibodies by May. According to the agency’s own antibody studies published Sept. 3 for samples collected up until late June, the actual figure for random testing of antibodies is only 11.4% for Stockholm, 6.3% for Gothenburg and 7.1% across Sweden. As of mid-August, herd immunity was still “nowhere in sight,” according to a Journal of the Royal Society of Medicine study. That shouldn’t have been a surprise. After all, herd immunity to an infectious disease has never been achieved without a vaccine.

    Löfven, his government, and the Public Health Agency all say that the high COVID-19 death rate in Sweden can be attributed to the fact that a large portion of these deaths occurred in nursing homes, due to shortcomings in elderly care.

    However, the high infection rate across the country was the underlying factor that led to a high number of those becoming infected in care homes. Many sick elderly were not seen by a doctor because the country’s hospitals were implementing a triage system that, according to a study published July 1 in the journal Clinical Infectious Diseases, appeared to have factored in age and predicted prognosis. “This likely reduced [intensive care unit] load at the cost of more high-risk patients”—like elderly people with confirmed infection—dying outside the ICU.” Only 13% of the elderly residents who died with COVID-19 during the spring received hospital care, according to preliminary statistics from the National Board of Health and Welfare released Aug.

    In one case which seems representative of how seniors were treated, patient Reza Sedghi was not seen by a doctor the day he died from COVID-19 at a care home in Stockholm. A nurse told Sedghi’s daughter Lili Perspolisi that her father was given a shot of morphine before he passed away, that no oxygen was administered and staff did not call an ambulance. “No one was there and he died alone,” Perspolisi says.

    In order to be admitted for hospital care, patients needed to have breathing problems and even then, many were reportedly denied care. Regional healthcare managers in each of Sweden’s 21 regions, who are responsible for care at hospitals as well as implementing Public Health Agency guidelines, have claimed that no patients were denied care during the pandemic. But internal local government documents from April from some of Sweden’s regions—including those covering the biggest cities of Stockholm, Gothenburg and Malmö—also show directives for how some patients including those receiving home care, those living at nursing homes and assisted living facilities, and those with special needs could not receive oxygen or hospitalization in some situations. Dagens Nyheter published an investigation on Oct. 13 showing that patients in Stockholm were denied care as a result of these guidelines. Further, a September investigation by Sveriges Radio, Sweden’s national public broadcaster, found that more than 100 people reported to the Swedish Health and Care Inspectorate that their relatives with COVID-19 either did not receive oxygen or nutrient drops or that they were not allowed to come to hospital.

    These issues do not only affect the elderly or those who had COVID-19. The National Board of Health and Welfare’s guidelines for intensive care in extraordinary circumstances throughout Sweden state that priority should be given to patients based on biological, not chronological, age. Sörmlands Media, in an investigation published May 13, cited a number of sources saying that, in many parts of the country, the health care system was already operating in a way such that people were being denied the type of inpatient care they would have received in normal times. Regional health agencies were using a Clinical Frailty Scale, an assessment tool designed to predict the need for care in a nursing home or hospital, and the life expectancy of older people by estimating their fragility, to determine whether someone should receive hospital care and was applied to decisions regarding all sorts of treatment, not only for COVID-19. These guidelines led to many people with health care needs unrelated to COVID-19 not getting the care they need, with some even dying as a result—collateral damage of Sweden’s COVID-19 strategy.

    Dr. Michael Broomé, the chief physician at Stockholm’s Karolinska Hospital’s Intensive Care Unit, says his department’s patient load tripled during the spring. His staff, he says, “have often felt powerless and inadequate. We have lost several young, previously healthy, patients with particularly serious disease courses. We have also repeatedly been forced to say no to patients we would normally have accepted due to a lack of experienced staff, suitable facilities and equipment.”

    In June, Dagens Nyheter reported a story of one case showing how disastrous such a scenario can be. Yanina Lucero had been ill for several weeks in March with severe breathing problems, fever and diarrhea, yet COVID-19 tests were not available at the time except for those returning from high risk areas who displayed symptoms, those admitted to the hospital, and those working in health care. Yanina was only 39 years old and had no underlying illnesses. Her husband Cristian brought her to an unnamed hospital in Stockholm, but were told it was full and sent home, where Lucero’s health deteriorated. After several days when she could barely walk, an ambulance arrived and Lucero was taken to Huddinge hospital, where she was sedated and put on a ventilator. She died on April 15 without receiving a COVID-19 test in hospital.

    Sweden did try some things to protect citizens from the pandemic. On March 12 the government restricted public gatherings to 500 people and the next day the Public Health Agency issued a press release telling people with possible COVID-19 symptoms to stay home. On March 17, the Public Health Agency asked employers in the Stockholm area to let employees work from home if they could. The government further limited public gatherings to 50 people on March 29. Yet there were no recommendations on private events and the 50-person limit doesn’t apply to schools, libraries, corporate events, swimming pools, shopping malls or many other situations. Starting April 1, the government restricted visits to retirement homes (which reopened to visitors on Oct. 1 without masks recommended for visitors or staff). But all these recommendations came later than in the other Nordic countries. In the interim, institutions were forced to make their own decisions; some high schools and universities changed to on-line teaching and restaurants and bars went to table seating with distance, and some companies instituted rules about wearing masks on site and encouraging employees to work from home.

    Meanwhile Sweden built neither the testing nor the contact-tracing capacity that other wealthy European countries did. Until the end of May (and again in August), Sweden tested 20% the number of people per capita compared with Denmark, and less than both Norway and Finland; Sweden has often had among the lowest test rates in Europe. Even with increased testing in the fall, Sweden still only tests only about one-fourth that of Denmark.

    Sweden never quarantined those arriving from high-risk areas abroad nor did it close most businesses, including restaurants and bars. Family members of those who test positive for COVID-19 must attend school in person, unlike in many other countries where if one person in a household tests positive the entire family quarantines, usually for 14 days. Employees must also report to work as usual unless they also have symptoms of COVID-19, an agreement with their employer for a leave of absence or a doctor recommends that they isolate at home.

    On Oct. 1, the Public Health Authority issued non-binding “rules of conduct” that open the possibility for doctors to be able to recommend that certain individuals stay home for seven days if a household member tests positive for COVID-19. But there are major holes in these rules: they do not apply to children (of all ages, from birth to age 16, the year one starts high school), people in the household who previously have a positive PCR or antibody test or, people with socially important professions, such as health care staff (under certain circumstances).

    There is also no date for when the rule would go into effect. “It may not happen right away, Stockholm will start quickly but some regions may need more time to get it all in place,” Tegnell said at a Oct. 1 press conference. Meanwhile, according to current Public Health Agency guidelines issued May 15 and still in place, those who test positive for COVID-19 are expected to attend work and school with mild symptoms so long as they are seven days post-onset of symptoms and fever free for 48 hours.

    Sweden actually recommends against masks everywhere except in places where health care workers are treating COVID-19 patients (some regions expand that to health care workers treating suspected patients as well). Autumn corona outbreaks in Dalarna, Jönköping, Luleå, Malmö, Stockholm and Uppsala hospitals are affecting both hospital staff and patients. In an email on April 5, Tegnell wrote to Mike Catchpole, the chief scientist at the European Center for Disease Control and Prevention (ECDC): “We are quite worried about the statement ECDC has been preparing about masks.” Tegnell attached a document in which he expresses concern that ECDC recommending facemasks would “imply that the spread is airborne which would seriously harm further communication and trust among the population and health care workers” and concludes “we would like to warn against the publication of this advice.” Despite this, on April 8 ECDC recommended masks and on June 8 the World Health Organization updated its stance to recommend masks.

    Sweden’s government officials stuck to their party line. Karin Tegmark Wisell of the Public Health Agency said at a press conference on July 14 that “we see around the world that masks are used in a way so that you rather increase the spread of infection.” Two weeks later, Lena Hallengren, the Minister of Health and Social Affairs, spoke about masks at a press conference on July 29 and said, “We don’t have that tradition or culture” and that the government “would not review the Public Health Agency’s decision not to recommend masks.”

    All of this creates a situation which leaves teachers, bus drivers, medical workers and care home staff more exposed, without face masks at a time when the rest of the world is clearly endorsing widespread mask wearing.

    On Aug. 13, Tegnell said that to recommend masks to the public “quite a lot of resources are required. There is quite a lot of money that would be spent if you are going to have masks.” Indeed, emails between Tegnell and colleagues at the Public Health Agency and Andreas Johansson of the Ministry of Health and Social Affairs show that the policy concerns of the health authority were influenced by financial interests, including the commercial concerns of Sweden’s airports.

    Swedavia, the owner of the country’s largest airport, Stockholm Arlanda, told employees during the spring and early summer they could not wear masks or gloves to work. One employee told Upsala Nya Tidning newspaper on Aug. 24 “Many of us were sick during the beginning of the pandemic and two colleagues have died due to the virus. I would estimate that 60%-80% of the staff at the security checks have had the infection.”

    “Our union representatives fought for us to have masks at work,” the employee said, “but the airport’s response was that we were an authority that would not spread fear, but we would show that the virus was not so dangerous.” Swedavia’s reply was that they had introduced the infection control measures recommended by the authorities. On July 1, the company changed its policy, recommending masks for everyone who comes to Arlanda—that, according to a Swedavia spokesperson, was not as a result of “an infection control measure advocated by Swedish authorities,” but rather, due to a joint European Union Aviation Safety Agency and ECDC recommendation for all of Europe.

    As early as January, the Public Health Agency was warning the government about costs. In a Jan. 31 communique, Public Health Agency Director Johan Carlsson (appointed by Löfven) and General Counsel Bitte Bråstad wrote to the Ministry of Health and Social Affairs, cautioning the government about costs associated with classifying COVID-19 as a socially dangerous disease: “After a decision on quarantine, costs for it [include] compensation which according to the Act, must be paid to those who, due to the quarantine decision, must refrain from gainful employment. The uncertainty factors are many even when calculating these costs. Society can also suffer a loss of production due to being quarantined [and] prevented from performing gainful employment which they would otherwise have performed.” Sweden never implemented quarantine in society, not even for those returning from travel abroad or family members of those who test positive for COVID-19.

    Not only did these lack of measures likely result in more infections and deaths, but it didn’t even help the economy: Sweden has fared worse economically than other Nordic countries throughout the pandemic.

    The Swedish way has yielded little but death and misery. And, this situation has not been honestly portrayed to the Swedish people or to the rest of the world.

    A Public Health Agency report published July 7 included data for teachers in primary schools working on-site as well as for secondary school teachers who switched to distance instruction online. In the report, they combined the two data sources and compared the result to the general population, stating that teachers were not at greater risk and implying that schools were safe. But in fact, the infection rate of those teaching in classrooms was 60% higher than those teaching online—completely undermining the conclusion of the report.

    The report also compares Sweden to Finland for March through the end of May and wrongly concludes that the ”closing of schools had no measurable effect on the number of cases of COVID-19 among children.” As testing among children in Sweden was almost non-existent at that time compared to Finland, these data were misrepresented; a better way to look at it would be to consider the fact that Sweden had seven times as many children per capita treated in the ICU during that time period.

    When pressed about discrepancies in the report, Public Health Agency epidemiologist Jerker Jonsson replied on Aug. 21 via email: “The title is a bit misleading. It is not a direct comparison of the situation in Finland to the situation in Sweden. This is just a report and not a peer-reviewed scientific study. This was just a quick situation report and nothing more.” However the Public Health Agency and Minister of Education continue to reference this report as justification to keep schools open, and other countries cite it as an example.

    This is not the only case where Swedish officials have misrepresented data in an effort to make the situation seem more under control than it really is. In April, a group of 22 scientists and physicians criticized Sweden’s government for the 105 deaths per day the country was seeing at the time, and Tegnell and the Public Health Agency responded by saying the true number was just 60 deaths per day. Revised government figures now show Tegnell was incorrect and the critics were right. The Public Health Agency says the discrepancy was due to a backlog in accounting for deaths, but they have backlogged deaths throughout the pandemic, making it difficult to track and gauge the actual death toll in real time.

    Sweden never went into an official lockdown but an estimated 1.5 million have self-isolated, largely the elderly and those in risk groups. This was probably the largest factor in slowing the spread of the virus in the country in the summer. However, recent data suggest that cases are yet again spiking in the country, and there’s no indication that government policies will adapt.

    Health care workers, scientists and private citizens have all voiced concerns about the Swedish approach. But Sweden is a small country, proud of its humanitarian image—so much so that we cannot seem to understand when we have violated it. There is simply no way to justify the magnitude of lost lives, poorer health and putting risk groups into long-term isolation, especially not in an effort to reach an unachievable herd immunity. Countries need to take care before adopting the “Swedish way.” It could have tragic consequences for this pandemic or the next.

    • Ça rappelle la formule « on n’additionne pas des choux et des carottes » (sauf pour confectionner un plat), toute distinctivité abolie en moins marrant :

      ... l’immunité collective contre une maladie infectieuse n’a jamais été obtenue sans vaccin.

      Sinon, on retrouve là bas ce que Epicov a mis en lumière, les plus âgés (plus de 50 ans), à la vie sociale moins foisonnante, en moyenne (?), et plus prudents, prennent des mesures de distanciation qui les préserve pour partie des contaminations.
      La non généralisation des #masques (découragée par le gvt) facilité le maintien et l’expansion de l’épidémie (à l’inverse de ce qui se passe ici, où la seconde vague se distingue pour l’instant nettement de la première avec cette modification du comportement).

      #Suède

  • Roland Dumas : « En 1995, les comptes de campagne de Balladur et Chirac étaient manifestement irréguliers » (article de 2015)
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/28/dumas-les-comptes-de-campagne-de-balladur-et-chirac-etaient-manifestement-ir

    L’ancien président du Conseil constitutionnel et ex-ministre socialiste Roland Dumas se dit « convaincu d’avoir sauvé la République » en ayant validé, en 1995, les comptes de campagne présidentielle « manifestement irréguliers » de Jacques Chirac, mais aussi d’Edouard Balladur.

    Si Roland Dumas, qui publie cette semaine ces carnets intimes, s’exprime pour la première fois publiquement sur cette affaire, Le Monde révèlait dès 2010 les dessous des tractations qui ont amené les « sages » du Conseil constitutionnel à valider les comptes, contre l’avis des rapporteurs. « Peut-on prendre le risque d’annuler l’élection présidentielle et de s’opposer, nous, Conseil constitutionnel, à des millions d’électeurs et ainsi remettre en cause la démocratie ? », aurait-il dit à l’époque devant les autres « sages », selon notre enquête.

  • Le premier tour des municipales n’a pas eu lieu - Libération
    https://www.liberation.fr/debats/2020/03/18/le-premier-tour-des-municipales-n-a-pas-eu-lieu_1782174
    https://medias.liberation.fr/photo/1300846-prodlibe-2020-0387.jpg?modified_at=1584534337&picto=fb

    [le maintien] résulte d’un pacte « faustien » entre le pouvoir en place d’Emmanuel Macron et les représentant.e.s des principales associations d’élus locaux qui ont poussé en ce sens. Un pacte dont les termes sont aujourd’hui transparents : la formation d’une union sacrée et la mise en sourdine de la critique, si l’exécutif cédait à la demande des élus en place et des principaux partis politiques de maintenir les élections, et de préserver ainsi les intérêts des sortants (et du Sénat). La pression des élus, des intérêts corporatistes de leurs associations et des partis les plus municipalisés (Les Républicains au premier chef), anticipant dans ce contexte troublé une « surprime » aux sortants, a été méthodique et cynique.

    #in_retrospect

  • Solidarité sans frontières | Le SEM pratique activement le dumping salarial !
    https://asile.ch/2019/03/27/solidarite-sans-frontieres-le-sem-pratique-activement-le-dumping-salarial

    https://asile.ch/wp/wp-content/uploads/2019/03/Image-schéma-pour-site-740x330.png

    La restructuration de la loi sur l’asile est entrée en vigueur le 1er mars dernier. Nouveauté, la représentation juridique des personnes réfugiées est gratuite en cours de procédure. Au sein des cantons, le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) a pour cela mandaté des bureaux de conseil juridique afin de suivre des dossiers de personnes qui […]

  • Ordonnances : le forfait jour pourra être imposé à tous les salariés
    https://www.mediapart.fr/journal/france/160218/ordonnances-le-forfait-jour-pourra-etre-impose-tous-les-salaries

    Sénateurs et députés ont autorisé, par le biais d’un amendement de dernière minute, qu’un employeur puisse imposer à un salarié de passer en forfait jour, ce qui permet de passer outre la réglementation sur le temps de travail. S’y opposer vaudra licenciement. Les syndicats dénoncent la manœuvre.

    #France #Code_du_travail #durée_légale_du_temps_de_travail #forfait-jour #Muriel_Pénicaud #ordonnance_balai #ordonnances_Macron #UGICT

  • Ordonnances : un amendement surprise permet d’imposer le forfait jour aux salariés
    https://www.mediapart.fr/journal/france/160218/ordonnances-un-amendement-surprise-permet-d-imposer-le-forfait-jour-aux-sa

    Sénateurs et députés ont autorisé, par le biais d’un amendement de dernière minute, qu’un employeur puisse imposer à un salarié de passer en forfait jour, ce qui permet de passer outre la réglementation sur le temps de travail. S’y opposer vaudra licenciement. Les syndicats soulignent l’absence de démocratie dans cette manœuvre.

    #France #Code_du_travail #durée_légale_du_temps_de_travail #forfait-jour #Muriel_Pénicaud #ordonnance_balai #ordonnances_Macron #UGICT

  • #AAH et revenu du conjoint : la mesure choquante ? - Allocation et aides financières aux adultes handicapés (10191)
    https://informations.handicap.fr/art-aah-revenu-conjoint-51-10191.php

    Quant à l’APF (Association des paralysés de France), elle fait son propre calcul, avec le scénario le plus défaitiste. « Même avec la revalorisation de 90 euros, le plafond de ressources pour le couple serait de 1 350 euros par mois, contre 1 621,78 euros aujourd’hui, estime-t-elle. Avec cette baisse du plafond, les allocataires de l’AAH vivant en couple (plus de 250 000 bénéficiaires) vont perdre une partie conséquente de leur AAH, au maximum 272 euros par mois, y compris en tenant compte de la revalorisation ». L’APF alerte le président de la République et son gouvernement de « la dimension terriblement négative de ces mesures qui va à l’encontre de l’ambition et des intentions affichées d’une société plus inclusive et de lutte contre la #pauvreté des personnes en situation de handicap ».

    • Commentaire sur Facebook

      Augmentation de l’AAH annoncée : « L’allocation aux adultes handicapés passera à 860 euros le 1er novembre 2018, puis à 900 euros le 1er novembre 2019. En 2 ans, la hausse sera donc d’environ 90€ ».

      En réalité, +49,11€ dans un an et +40€ supplémentaires dans deux ans, soit un total de 89,11€ dans deux ans.

      Dans le même temps, augmentation immédiate de 2€ par jour du forfait journalier (soit 60,83€ par mois en moyenne).

      Quel avantage réel restera-t-il aux personnes handicapées accueillies en Maison d’Accueil Spécialisée ?

      Elles seront même perdantes immédiatement, puisque leurs revenus, nets de forfait journalier, passeront de 263,39€ à 202,56€ au 1er janvier 2018, soit une baisse de 23%.

      En fonction des effets contradictoires de ces mesures, les résidents de MAS ne verront réellement les effets de l’augmentation de leur AAH (de 28,28€ mensuels en moyenne et non 90€) qu’à partir d’avril 2022, d’après mes calculs.

      Certes, le décret n° 2010-15 du 7 janvier 2010 garantit un minimum de ressources à hauteur d’au moins 30 % de l’Allocation aux Adultes Handicapés (AAH) à l’ensemble des personnes en situation de handicap résidant en Maison d’Accueil Spécialisée, mais l’impact de ces mesures se reportera alors sur le budget de fonctionnement des établissements.

    • Macron réalise un projet PS.

      « Un travail de rapprochement des règles de prise en compte de la situation familiale des bénéficiaires de l’AAH avec celles applicables aux bénéficiaires d’autres minima va être engagé, au regard des disparités de traitement mises en lumière tant par le rapport Sirugue de 2016 relatif à la réforme des minima sociaux que par l’enquête en cours de la Cour des comptes sur les prestations monétaires aux ménages modestes. En effet, le niveau de ressources garanti à un couple comptant un bénéficiaire de l’AAH s’établit aujourd’hui à 2 fois celui d’une personne isolée, alors qu’il s’établit à 1,5 fois pour les bénéficiaires du RSA. Les règles d’appréciation des revenus des bénéficiaires de l’AAH en couple, qui représentent un peu moins d’un quart des allocataires, seront rapprochées en deux temps de celles des autres minima. » (...)

      Rappelons que les personnes concernées réclament depuis longtemps déjà la fin de la prise en compte des revenus du conjoint, afin de pouvoir bénéficier de ressources propres.

      #rapport_Sirugue #minima_sociaux

    • Hollande avait juré, dans sa proposition n°11 :

      « … Je renégocierai le traité européen issu de l’accord du 9 décembre 2011 en privilégiant la croissance et l’emploi, et en réorientant le rôle de la Banque centrale européenne dans cette direction… »

      > Traité européen : les Socialistes du Oui ont décidé de bafouer le peuple en soutenant Sarkozy. Jacques COTTA
      http://www.legrandsoir.info/Traite-europeen-les-Socialistes-du.html

      Les socialistes bafouaient ainsi la volonté du peuple exprimée antérieurement par le NON au referendum du 29 mai 2005 : le traité de Lisbonne a repris les termes du TCE (Traité Constitutionnel européen) pourtant rejeté lors de ce refenrendum par 54,68% des suffrages exprimés :

      " Ils ont ainsi répondu à la fois aux vœux du Président de la République et des institutions européennes qui s’accordent quotidiennement sur des directives qui agressent les salariés, les employés, les jeunes et les vieux en attaquant les retraites, les services publics, l’emploi, les salaires… ou qui attaquent encore les conditions de vie tout simplement, l’affaire en cours des O.G.M. étant là pour en témoigner.[...]

      Si les socialistes qui ont voté oui ou qui se sont abstenu avaient voté non, cela aurait donné au total : 181+17+15+93+3+49+2= 360 !
      Le projet de réforme constitutionnelle aurait été rejeté. Nicolas Sarkozy aurait été mis en échec. Il n’aurait pu faire autrement que d’organiser un référendum. Le peuple aurait eu droit à la parole. Ce sont donc les responsables socialistes, les Hollande, Ayrault, Dray, Moscovici, Lang, Valls, Bianco, et quelques autres qui ont fait passer la modification constitutionnelle et par la même occasion le traité.

      > Honneur aux soixante-dix ! jacques Sapir http://russeurope.hypotheses.org/266

      Ce Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance, contient trois mensonges pour le prix d’un.

      Quelle stabilité, quand on voit dans le rapport récent du FMI, posté sur ce carnet ( http://russeurope.hypotheses.org/253 ), que les mécanismes mis en oeuvre depuis 2010 n’ont fait qu’aggraver la crise ? Quelle stabilité encore quand on voit la dépression que connaissent certains des pays en crise ? Parler de stabilité est ici un mensonge flagrant.

      Quelle coordination quand on sait qu’il n’y a de coordination qu’entre des agents libres, sinon c’est à une autorité hiérarchique que l’on a affaire, et qu’il n’y a dans ce traité qu’asservissement à des agences dites indépendantes ? Ce Traité organise en fait le dépérissement de la démocratie en Europe avec la fin de l’autorité suprême des Parlements nationaux en matière budgétaire. Or, il faut s’en souvenir, c’est par le consentement à l’impôt que commence la démocratie.

      Quelle gouvernance enfin dans un Traité qui est en fait inapplicable et qui n’a pas d’autres fonctions que d’être violé à peine signé ? Est-ce ainsi que l’on croit créer un « bonne gouvernance » dans les mots dont on se gargarise à Bruxelles et ailleurs ?

      Et pour ne pas être le seul à rire, une citation de Urvoas, homme sans état d’âme ni enthousiasme, qui précisait alors :

      Il faut parfois savoir se contenter du peu pour éviter le pire. Engrangeons donc les acquis, si modestes soient-ils.

      http://www.urvoas.bzh/2008/02/07/oui

      #Traité_européen #congrès-de-versailles #forfaiture #PS #hollande

  • Grèce : quand les médias privés font la #propagande du #oui au #référendum - L’actu Médias / Net - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/medias/grece-quand-les-medias-prives-font-la-propagande-du-oui-au-referendum,12888

    Depuis le 26 juin et l’annonce, par le premier ministre Alexis Tsipras, de la tenue d’un référendum sur un nouveau plan d’austérité, c’est peu dire que, sur Skaï comme chez ses concurrentes Antenna, Mega et les autres, le non et ses défenseurs n’ont pas droit de cité. « A grands coups d’émissions spéciales et de débats totalement orientés, c’est une propagande pro-oui que les six chaînes privées du pays déploient à longueur de journée », explique Marianna Karakoulaki, journaliste indépendante. Elle, comme nombre de journalistes et de citoyens, n’ont de cesse de dénoncer depuis plusieurs jours, sur les réseaux sociaux (surtout Twitter), cette désinformation assumée.

    Heureusement qu’on est une grande #démocratie, parce que ce n’est pas chez nous qu’une #forfaiture pareille pourrait se produire !
    http://blog.monolecte.fr/post/2005/03/23/divorce-a-la-francaise

    Il y a là des gens qui sont franchement pour le OUI, des oui-oui, des oui-mais, des oui-cependant et des oui-même si. Je me dis que je suis peut-être arrivée trop tard pour les NON, ils ont disparu, tant pis, ça m’apprendra. En attendant, le #pluralisme des opinions est, comme d’habitude sur ce sujet depuis le début, totalement respecté !

    #médias

  • #TripMode contrôle votre #partage de connexion | MacGeneration
    http://www.macg.co/logiciels/2015/04/tripmode-controle-votre-partage-de-connexion-88228

    TripMode est un utilitaire gratuit qui remplit deux fonctions : surveiller la quantité de données consommée pour chaque application et bloquer l’accès à internet de toutes les applications, sauf celles que vous choisissez. Tags : #forfait #data #quota #logiciel #mac TripMode partage

  • Intéressant...
    Après le 30 novembre, des #milliardaires renoncent à leur #passeport_suisse

    C’est une conséquence inattendue des résultats de la votation du 30 novembre, 248 helvètes fortunés se sont constitués en association. Baptisé #Equitax, ce mouvement revendique une égalité dans le traitement des grosses fortunes.

    http://24matin.ch/suisse/apres-le-30-novembre-des-milliardaires-renoncent-a-leur-passeport-suisse
    #riches #forfaits_fiscaux #étrangers #Suisse #initiative #votation
    cc @jeanabbiateci

  • Votations du 30 novembre
    Ecopop - Forfaits fiscaux

    Spécial Votations de dimanche. Vous pouvez retrouver ici tout le travail que nous avons mené avec #Data_Le_Temps sur les questions soumises au vote ce dimanche, notamment #Ecopop et les #forfaits_fiscaux.


    https://checkthis.com/votations
    #Suisse #votations #30_novembre #géographie_électorale #visualisation #cartographie
    via @jeanabbiateci

  • Je me permets un peu d’autopromo pour signaler une enquête que je viens de réaliser pour le Temps avec deux confrères. Nous nous sommes intéressés aux millionnaires/milliardaires de la commune de Cologny, sorte de Neuilly suisse, la douceur lémanique et le climat fiscal en plus. Au début, on pensait aller papoter un peu autour d’un thé avec nos amis, et en fait, non. Du coup, on a extrait les données du registre foncier, pour essayer de cartographier les gens qui vivent derrière ces belles maisons plus kitsch les unes que les autres. Et il y a plein de beaux monde, Nana Mouskouri, des rois du pétrole et même un copain de Copé... http://www.letemps.ch/interactive/2014/cologny

  • Numericable mange #SFR : la valse des #opérateurs en Europe
    http://fr.myeurop.info/2014/04/07/sfr-mumericable-valse-des-operateurs-telephoniques-en-europe-13561

    Ariel Dumont Effy Tselikas Delphine Nerbollier myeurop

    C’est fait : SFR échappe à #Bouygues et tombe dans l’escarcelle de Numericable. Le marché français reste à quatre opérateurs. Ailleurs en Europe, ça bouge aussi dans la #téléphonie, comme en #Grèce ou en #Allemagne.

    Lancé début mars, le grand feuilleton de la téléphonie a finalement pris fin ce week-end : Vivendi a choisi Numericable pour le rachat de l’opérateur SFR, au d lire la (...)

    #EUROFOCUS #Économie #France #Italie #forfaits #Free #guerre_des_prix #mobile #Numéricable #Orange

  • La grande valse des #opérateurs téléphoniques en Europe
    http://fr.myeurop.info/2014/03/10/la-grande-valse-des-operateurs-telephoniques-en-europe-13346

    Effy Tselikas Delphine Nerbollier Ariel Dumont myeurop

    En #France, le marché de la #téléphonie #mobile pourrait retomber de quatre à trois grands opérateurs, si #Bouygues parvient à racheter #SFR, également courtisé par Numéricable. Ailleurs en Europe, ça bouge aussi, comme en #Grèce ou en #Allemagne.

    Pause dans la #guerre_des_prix ? Pour le marché français de la téléphonie mobile, c’est le temps des grandes manœuvres. lire la (...)

    #EUROFOCUS #Économie #Italie #forfaits #Free #Orange

  • Lobby bancaire au coeur de l’Etat, suite… | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2013/11/21/lobby-bancaire-au-coeur-de-letat-suite

    Lobby bancaire au coeur de l’Etat, suite…
    Publié le 21 novembre 2013 par Olivier Demeulenaere
    Pour ceux qui ignoreraient encore l’omniprésence des banquiers aux côtés d’un pouvoir prétendûment « adversaire de la finance » (cf. ici ou là), Olivier Berruyer vient de donner une suite à son billet sur l’énarchie bancaire. Il y dénonce la « forfaiture » que constituerait une nomination dont on parle : celle de François Villeroy de Galhau, actuel directeur général délégué de la BNP, à la direction du Trésor, en remplacement de Ramon Fernandez.

    Pour que le Canard [enchaîné] sorte cette information, et que le Monde la ressorte en indiquant “confirmer” les propos du Canard, c’est que les journalistes ont forcément eu confirmation de personnes très haut placées à Bercy, Matignon et/ou l’Élysée. Ce n’est pas juste une rumeur sortie d’on ne sait où…

    Et donc, que cela se fasse ou pas, on est sûr d’une chose : de très hautes personnes de l’appareil d’État ont en tous cas songé à le nommer, ce qui est gravissime, et constitue pour moi une forfaiture. Personnes n’ayant clairement pas le moindre sens de ce qu’est un symbole.

    Et ces symboles sont bafoués en permanence, comme le rappelle La Tribune dans ce papier – hélas bien loin d’être exhaustif…

    #Lobby #bancaire au coeur de l’ #Etat
    #banksters
    #forfaiture
    #BNP
    #Trésor

  • Fête de la Musique #2013 : un #forfait à 3 euros et des transports toute la nuit
    http://www.transports-en-commun.info/fete-de-la-musique-2013

    La #ratp et la SNCF, en collaboration avec le #STIF proposent cette année encore des transports en commun qui fonctionneront toute la nuit pour la Fête de la Musique 2013....Cet article Fête de la Musique 2013 : un forfait à 3 euros et des transports toute la nuit est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Ile_de_France #bus #fete_de_la_musique #metro #noctilien #trains