• On a de la vedette à #Montpellier :
    https://www.midilibre.fr/2023/12/31/legion-dhonneur-les-artistes-montpellierains-mathilde-monnier-et-vincent-b

    Mathilde Monnier et Vincent Bioulès : deux artistes montpelliérains distingués dans l’ordre de la Légion d’honneur, à l’occasion de la traditionnelle promotion du 1er janvier, dévoilée ce dimanche 31 décembre et publiée au Journal officiel.

    Vincent Bioulès, on est assez fans, dans la famille, depuis qu’on a visité l’exposition qui lui était consacrée au musée Fabre en 2019 :
    https://musee.info/Vincent-Bioules

    #y’a_d’la_vedette

    • Toi qui croyais que Napoléon était un dictateur assoiffé de sang et de pouvoir, tu vas pourtant avoir l’insigne honneur grâce à lui de mettre tes filles ou tes petites filles ou même tes arrières petites filles (sauf si t’es pas français et dans ce cas tu dois demander au grand maitre) dans des écoles qui leur sont réservées pour qu’elles apprennent les manières honorables c-a-d à être de bonnes reproductrices mariées et croyantes et tout ça en uniforme uniforme. Faut avant accepter de te la faire accrocher à la boutonnière même si la liste des pourritures avec légion d’honneur ne donne vraiment pas envie d’en être décoré.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_d'%C3%A9ducation_de_la_L%C3%A9gion_d'honneur

      L’Empereur, dans une lettre du 15 mai 1807, donna lui-même les grandes lignes de l’éducation qu’il voulait procurer aux jeunes filles : « Élevez-nous des croyantes et non des raisonneuses. » Il préconisait des études simples, visant à « maîtriser la vanité qui est la plus active des passions du sexe » et à faire en sorte que les élèves deviennent des mères de famille modestes.

      #sapin #foutaises #éducation #fillettes

  • Projet de loi de finances pour 2023 (no 273) Amendement n°I-CF897 - Assemblée nationale
    https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements/0273A/CION_FIN/CF897

    Rarement vu autant de conneries dans un texte aussi court !!!

    Texte visé : Projet de loi de finances nº 273 pour 2023
    Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
    Examiné par : Commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire

    Photo de monsieur le député David Guiraud
    Photo de madame la députée Nadège Abomangoli
    Photo de monsieur le député Laurent Alexandre
    Photo de monsieur le député Gabriel Amard
    Photo de madame la députée Ségolène Amiot
    Photo de madame la députée Farida Amrani
    Photo de monsieur le député Rodrigo Arenas
    Photo de madame la députée Clémentine Autain
    Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
    Photo de monsieur le député Christophe Bex
    Photo de monsieur le député Carlos Martens Bilongo
    Photo de monsieur le député Manuel Bompard
    Photo de monsieur le député Idir Boumertit
    Photo de monsieur le député Louis Boyard
    Photo de monsieur le député Aymeric Caron
    Photo de monsieur le député Sylvain Carrière
    Photo de monsieur le député Florian Chauche
    Photo de madame la députée Sophia Chikirou
    Photo de monsieur le député Hadrien Clouet
    Photo de monsieur le député Éric Coquerel
    Photo de monsieur le député Alexis Corbière
    Photo de monsieur le député Jean-François Coulomme
    Photo de madame la députée Catherine Couturier
    Photo de monsieur le député Hendrik Davi
    Photo de monsieur le député Sébastien Delogu
    Photo de madame la députée Alma Dufour
    Photo de madame la députée Karen Erodi
    Photo de madame la députée Martine Etienne
    Photo de monsieur le député Emmanuel Fernandes
    Photo de madame la députée Sylvie Ferrer
    Photo de madame la députée Caroline Fiat
    Photo de monsieur le député Perceval Gaillard
    Photo de madame la députée Raquel Garrido
    Photo de madame la députée Clémence Guetté
    Photo de madame la députée Mathilde Hignet
    Photo de madame la députée Rachel Keke
    Photo de monsieur le député Andy Kerbrat
    Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
    Photo de monsieur le député Maxime Laisney
    Photo de monsieur le député Arnaud Le Gall
    Photo de madame la députée Élise Leboucher
    Photo de madame la députée Charlotte Leduc
    Photo de monsieur le député Jérôme Legavre
    Photo de madame la députée Sarah Legrain
    Photo de madame la députée Murielle Lepvraud
    Photo de monsieur le député Antoine Léaument
    Photo de madame la députée Pascale Martin
    Photo de madame la députée Élisa Martin
    Photo de monsieur le député William Martinet
    Photo de monsieur le député Frédéric Mathieu
    Photo de monsieur le député Damien Maudet
    Photo de madame la députée Marianne Maximi
    Photo de madame la députée Manon Meunier
    Photo de monsieur le député Jean-Philippe Nilor
    Photo de madame la députée Danièle Obono
    Photo de madame la députée Nathalie Oziol
    Photo de madame la députée Mathilde Panot
    Photo de monsieur le député François Piquemal
    Photo de monsieur le député Thomas Portes
    Photo de monsieur le député Loïc Prud’homme
    Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
    Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
    Photo de monsieur le député Sébastien Rome
    Photo de monsieur le député François Ruffin
    Photo de monsieur le député Aurélien Saintoul
    Photo de monsieur le député Michel Sala
    Photo de madame la députée Danielle Simonnet
    Photo de madame la députée Ersilia Soudais
    Photo de madame la députée Anne Stambach-Terrenoir
    Photo de madame la députée Bénédicte Taurine
    Photo de madame la députée Andrée Taurinya
    Photo de monsieur le député Matthias Tavel
    Photo de madame la députée Aurélie Trouvé
    Photo de monsieur le député Paul Vannier
    Photo de monsieur le député Léo Walter
    APRÈS L’ARTICLE 4 , insérer l’article suivant :

    Il est établi une taxe sur les bénéfices tirés de l’utilisation commerciale et à but lucratif d’une œuvre ne faisant plus l’objet d’une protection au titre du droit d’exploitation reconnu à l’auteur ou à ses ayants droit mentionné aux articles L. 122‑1 à L. 122‑12 du code de la propriété intellectuelle.

    Son taux est fixé à 1 %.

    Exposé sommaire

    Le but de cet amendement est d’augmenter les aides à la création artistique par la mise en place d’un prélèvement sur l’utilisation commerciale lucrative des œuvres qui appartiennent au domaine public.

    Cette mesure ne heurtera pas l’utilisation gratuite et libre des œuvres non soumises aux droits d’auteurs.

    Pour ce faire, cet amendement établit, au profit de la création artistique, une taxe sur les bénéfices tirés de l’utilisation commerciale et à but lucratif d’une œuvre ne faisant plus l’objet d’une protection au titre du droit d’exploitation reconnu à l’auteur ou à ses ayants droit mentionné aux articles L. 122‑1 à L. 122‑12 du code de la propriété intellectuelle. Son taux est fixé à 1 %.

    #Droit_d_auteur #domaine_public #LFI #Foutaises

  • NFT sales reached $27 billion this year - Protocol — The people, power and politics of tech
    https://www.protocol.com/bulletins/nft-sales-2021

    As the NFT craze took over this year, people poured $26.9 billion into the digital ownership tokens in the first ten months of 2021, a report by blockchain analysis service Chainalysis found.

    The report, which tracked transactions sent to the two types of Ethereum smart contracts typically associated with NFTs between January and October, notes that the average transaction value and total of all sales rose toward the end of the year. One noticeable spike in sales occurred at the end of August, driven by NFT group Bored Ape Yacht Club’s release of its latest collection, which raked in $96 million.

    Marketplace OpenSea took the crown as the most popular NFT buying destination, making up $16 billion, or nearly 60%, of all NFT transactions in the 10-month period. CryptoPunks, an NFT collection established in 2017, came in as the most popular collection with a transaction volume of $3 billion between March and October.

    Large NFT transactions have also become more common. Collector-sized transactions, or those the report defines as worth between $10,000 and $100,000, accounted for 63% of transaction volume between March and October. Institutional transactions, or those worth more than $100,000, made up 26% of activity in that time period.

    #NFT #Collections #Foutaises

  • « Décolonialisme et idéologies identitaires représentent un quart de la recherche en sciences humaines aujourd’hui »
    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/decolonialisme-et-ideologies-identitaires-representent-un-quart-de-la-reche

    « Décolonialisme et idéologies identitaires représentent un quart de la recherche en sciences humaines aujourd’hui »

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Les tenants du décolonialisme et des idéologies identitaires minimisent ou nient leur existence. La montée en puissance de ces idéologies dans la recherche est pourtant flagrante et on peut la mesurer, démontrent les trois universitaires.

    Xavier-Laurent Salvador, Jean Szlamowicz et Andreas Bikfalvi sont universitaires et membres de l’Observatoire du Décolonialisme et des idéologies identitaires.

    La suite est payante mais déjà comme ça ça fait très peur !... #islamo-gauchisme #foutaises

  • A wristband that tells your boss if you are unhappy - BBC News
    https://www.bbc.com/news/business-55637328

    Comment dit-on foutaises en anglais ?

    The gadget, which links to a mobile phone app and web interface, has two buttons, one yellow and one blue. The idea is that you press the yellow one if you are feeling happy, and the blue one if you are sad.

    Aimed at companies who wish to monitor the wellbeing of staff who are working from home, the idea is that employees are encouraged to wear the wristband (they can say no), and press the relevant button as they see fit throughout the working week.

    Managers can then view an online dashboard to see how workers are feeling and coping. With bosses no longer able to check in physically with their team, Moodbeam hopes to bridge the gap.

    “Businesses are trying to get on top of staying connected with staff working from home. Here they can ask 500 members: ’You ok?’ without picking up the phone,” says Moodbeam co-founder Christina Colmer McHugh.
    Christina Colmer McHughimage copyrightChristina Colmer McHugh
    image captionChristina Colmer McHugh was inspired by her daughter

    She originally came up with the idea for the product after she discovered that her daughter was struggling at school, and she wanted a way for her child to let her know how she was feeling. The wristband was launched commercially in 2016.

    With many children, especially teenagers, likely to balk at the idea of having to press a button on a wristband to let their parents know how they are doing, how probable is it that employees would be willing to do the same for their boss?

    Ms Colmer McHugh, whose firm is based in Hull, says that many are indeed happy to do so. “We moved away from anonymous to identifiable data after trials found that people do want to be identified,” she says.

    One organisation now using Moodbeam is UK charity Brave Mind.

    “One member of the team was in an uncomfortable place, struggling with a huge workload, and disillusioned with what was going on,” says trustee Paddy Burtt. “It’s not something he would have flagged up, and we wouldn’t have known about it unless we had seen the data.”

    With depression and anxiety estimated to have cost the global economy $1 trillion (£730bn) per year in lost productivity before the pandemic, according to the World Health Organization, mental health in the workplace has long been a concern. However, Covid-19 lockdowns and home working appear to have worsened the issue.

    UK mental health charity Mind said last year that 60% of adults thought their mental health had got worse during the first lockdown. And a survey by human resources software firm Employment Hero suggested that a quarter of people employed by small and medium-sized UK firms wanted more mental health support during the pandemic.
    A man working from homeimage copyrightGetty Images
    image captionThe solitude of working from home is tough for some of us

    With most of us not due to return to the office any time soon, a number of other technology firms are also exploring ways to help companies better look after their employees’ emotional wellbeing.

    In San Francisco, mental wellness app Modern Health aims to help employers more easily connect their workers with a variety of mental health resources, such as sessions with therapists.

    The journey starts with staff answering a short online questionnaire about their mental health, leading to a personalised mental healthcare plan. This could involve video call sessions with an expert on dealing with anxiety, or being directed to a digital meditation plan.

    “The idea is to give employees the tools to build resilience,” says Alyson Watson, chief executive of Modern Health, which has 190 companies around the world signed up. “People are working from home and struggling. Leaders can no longer expect employees to compartmentalise what is going on at work and in their personal life.”
    Modern Health’s appimage copyrightModern Health
    image captionModern Health’s app can connect employees with therapists

    This blurring of our work life and downtime is one key aspect of working from home that many of us struggle with. To help better separate the two, Microsoft is set to implement a “virtual commute” across its Teams file-sharing and video-conferencing app.

    Billed as a mental bookend for the workday, as the end of the day approaches, users will receive a notification. This will prompt them to go through a series of activities such as adding pending tasks to a to-do list for the next day, reflect on how they felt about the day, and a guided meditation session via the Headspace meditation and sleep app.

    #Nouvbelle_domesticité #Travail #Foutaises #Mood

  • Moodbeam, le bracelet qui tracke le moral des salariés
    https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/moodbeam-bracelet-connecte-moral-des-salaries

    Quelle foutaise ne vont-ils pas inventer encore ?

    Si tout va bien, appuyer sur le bouton jaune, sinon c’est le bouton bleu.

    On connaissait les bracelets connectés pour mesurer le rythme cardiaque, le nombre de pas effectués par jour, les cycles de sommeil… Celui-ci, commercialisé par la société Moodbeam, contrôle le moral des salariés. Il est doté de deux boutons. Vous ne vous sentez pas bien ? Appuyez sur le bouton bleu. Tout roule ? Appuyez sur le bouton jaune.

    L’entreprise britannique, lancée en 2016, estime sa technologie particulièrement appropriée au télétravail généralisé, rapporte la BBC. « Les entreprises essaient de rester connectées à leurs salariés qui travaillent depuis chez eux. Le bracelet permet de demander "ça va ?" à 500 collaborateurs sans avoir à décrocher son téléphone », argumente Christina Colmer McHugh, fondatrice de Moodbeam, qui affiche sur son site une petite dizaine d’entreprises clientes dont la banque Barclays et le groupe britannique de construction Morgan Sindall.
    Tableau récapitulatif de votre humeur

    Le gadget est connecté à une application. Sur celle-ci, le salarié et son manager peuvent voir divers graphiques représentant les changements d’humeur durant la journée et la semaine écoulée. Chaque jour l’application calcule le « happiness score » du salarié et de son équipe. Il est également possible de comparer le moral des différents employés, et de repérer des « tendances ». Tiens, tiens, mais pourquoi Jean-Mi n’est jamais heureux vers 22h30 ?

    Pour s’assurer que chacun mette régulièrement à jour son humeur, Moodbeam propose un système de rappel, qu’il est possible de paramétrer.
    Un pansement pas très efficace

    Il est évident que la progression de l’anxiété est un sujet dont les managers doivent s’emparer. Selon CoviPrev, une enquête nationale de Santé publique France, qui interroge à intervalles rapprochés des échantillons indépendants de 2 000 personnes, le taux d’états anxieux était estimé fin novembre à 18,5 % pour l’ensemble de la population, et le taux d’état dépressif à 23 %, soit deux fois plus qu’en septembre. Mais pas sûr qu’appuyer sur un bouton bleu et voir son humeur comparée à celle des autres soient des outils très efficaces.

    Chris Rowley, professeur en ressources humaines à la Cass Business School, University of London, interrogé par la BBC, estime que le risque est de voir ce type de technologie utilisée comme des pansements appliqués à la va-vite. Il faut que cela soit accompagné d’un réel support pour les salariés, estime-t-il. « Les employeurs doivent essayer de réduire le sentiment d’isolement en créant un sentiment d’appartenance. »

    #Nouvelle_domesticité #Foutaises #Mood

  • Google Approved $45 Million Exit Package for Executive Accused of Misconduct - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2019/03/11/technology/google-misconduct-exit-package.html

    SAN FRANCISCO — Alphabet’s board of directors agreed to pay a former top Google executive as much as $45 million when he resigned from the company in 2016 after being accused of groping a subordinate.

    The previously undisclosed sum was in the separation agreement for Amit Singhal, a senior vice president who ran Google’s search operations until February 2016. The amount was revealed on Monday in a shareholder lawsuit accusing the board of directors of Alphabet, the parent of Google, of shirking their responsibilities by agreeing to pay executives accused of misconduct instead of firing them for cause.

    The suit was part of the fallout over how Google has handled sexual harassment cases. The New York Times reported in October that Google had handsomely paid several high-ranking executives in separation agreements after they were credibly accused of sexual harassment, even though the men could have been fired for cause. In one case, Google handed a $90 million exit package to Andy Rubin, who used to head its Android division, after he was accused of sexual misconduct.

    Bon, non seulement ces gens touchent un pactole qui doit faire rêver les membres de la Ligue du LOL, mais au détour de l’article il y a cette phrase :

    Mr. Singhal left Google after an employee said he had groped her at an off-site event. Google investigated the allegation and found that Mr. Singhal had been inebriated. The company also concluded that the employee’s account was credible. At the time, Mr. Singhal said he wanted to spend more time with his family and focus on his philanthropy.

    Elle a bon dos la philanthropie !!!
    Tiens, ça me rappelle les Sackler (voir ma postface sur le rôle de la philanthropie dans « Addiction sur ordonnance : la crise des opioides ».

    #Philanthropie #Abus_sexuels #Google #Foutaises

  • Linguistic red flags from Facebook posts can predict future depression diagnoses — ScienceDaily
    https://www.sciencedaily.com/releases/2018/10/181015150643.htm

    Research finds that the language people use in their Facebook posts can predict a future diagnosis of depression as accurately as the tools clinicians use in medical settings to screen for the disease.

    In any given year, depression affects more than 6 percent of the adult population in the United States — some 16 million people — but fewer than half receive the treatment they need. What if an algorithm could scan social media and point to linguistic red flags of the disease before a formal medical diagnosis had been made?

    Ah oui, ce serait fantastique pour les Big Pharma : la dépression est une maladie complexe, dont les symptômes graves sont souvent confondus avec la déprime qui est un état sychologique que nous connaissons tous. Notre Facebook, couplé avec notre assistant vocal Amazon nous gorgerait de Valium, et tout irait pour le mieux dans le Meilleur des mondes.

    Considering conditions such as depression, anxiety, and PTSD , for example, you find more signals in the way people express themselves digitally."

    For six years, the WWBP, based in Penn’s Positive Psychology Center and Stony Brook’s Human Language Analysis Lab, has been studying how the words people use reflect inner feelings and contentedness. In 2014, Johannes Eichstaedt, WWBP founding research scientist, started to wonder whether it was possible for social media to predict mental health outcomes, particularly for depression.

    “Social media data contain markers akin to the genome,” Eichstaedt explains. “With surprisingly similar methods to those used in genomics, we can comb social media data to find these markers. Depression appears to be something quite detectable in this way; it really changes people’s use of social media in a way that something like skin disease or diabetes doesn’t.”

    Il y a au moins une bonne nouvelle sur la déontologie scientifique :

    Rather than do what previous studies had done — recruit participants who self-reported depression — the researchers identified data from people consenting to share Facebook statuses and electronic medical-record information, and then analyzed the statuses using machine-learning techniques to distinguish those with a formal depression diagnosis.

    Les marqueurs considérés sont aussi des marqueurs sociaux et économiques, qu’il faudrait traiter autrement qu’avec des médicaments.

    They learned that these markers comprised emotional, cognitive, and interpersonal processes such as hostility and loneliness, sadness and rumination, and that they could predict future depression as early as three months before first documentation of the illness in a medical record.

    La conclusion est fantastique : il faut rendre le balayage obligatoire !!!

    Eichstaedt sees long-term potential in using these data as a form of unobtrusive screening. “The hope is that one day, these screening systems can be integrated into systems of care,” he says. “This tool raises yellow flags; eventually the hope is that you could directly funnel people it identifies into scalable treatment modalities.”

    Despite some limitations to the study, including its strictly urban sample, and limitations in the field itself — not every depression diagnosis in a medical record meets the gold standard that structured clinical interviews provide, for example — the findings offer a potential new way to uncover and get help for those suffering from depression.

    #Dépression #Facebook #Foutaises #Hubris_scientifique #Big_pharma #Psychologie

  • These University of Washington professors are teaching a course on #bullshit
    https://www.recode.net/2017/2/19/14660236/big-data-bullshit-college-course-university-washington

    Two University of Washington professors are teaching a course to help students “think critically about the data and models that constitute #evidence in the social and natural #sciences,” according to the introduction to the course.

    The 160-seat seminar, titled “Calling Bullshit in the Age of Big Data,” begins in late March and continues for roughly 10 weeks. Members of the general public can follow the course syllabus, including readings and recordings of lectures, at the course’s website.

    http://callingbullshit.org/syllabus.html#Big

    #foutaises

  • Le summum des paroles creuses : Françoise Nyssen appelle le monde culturel à « agir en faveur des migrants ». Des places de cirque contre des tentes déchirés et des soutiens pourchassés. Foutage de gueule maximum.
    http://abonnes.lemonde.fr/culture/article/2018/01/18/francoise-nyssen-appelle-le-monde-culturel-a-agir-en-faveur-des-migr

    Devant des centaines de responsables culturels, réunis à Nantes à l’occasion des Biennales internationales du spectacle (BIS), la ministre de la culture a lancé, mercredi 17 janvier, un vibrant appel en faveur des migrants. Alors que la veille, Emmanuel Macron se déplaçait à Calais pour défendre sa politique en matière d’immigration critiquée par les associations humanitaires et caritatives, Françoise Nyssen a appelé à « une mobilisation toute particulière » en faveur des migrants : « Le monde culturel a le devoir d’agir. Offrons-leur un accueil digne de ce nom. C’est notre honneur, celui de notre culture, celui de notre République qui en dépend. »

    Balayant la critique de l’angélisme ou de la complaisance, la ministre a incité « à agir par humanité et par esprit de responsabilité pour rendre à ces personnes le droit de vivre normalement, à côté des procédures, des démarches, des files d’attente ». Selon elle, le monde de la culture a « tous les pouvoirs pour rappeler à ces personnes que le rêve existe et leur offrir des moments de grâce ». Et Françoise Nyssen de citer des exemples : « que des places leur soient réservées pour assister à des spectacles, que des ateliers de théâtre, de cirque, de danse leur soient proposés ».

    « Vous pouvez combattre les stéréotypes qui les frappent, agir pour leur droit à la considération, en racontant leur histoire dans vos spectacles ; en leur faisant une place dans vos programmations. »

    #Migrants #Foutaises

  • Monsieur Eric, le « spécialiste » faisant un tabac auprès des complotistes et des analystes de comptoir, dernièrement vu à la télé chez Calvi, comment est-il vu par les vrais experts du renseignement ? Un exemple ici et même si cela date, il ne fait guère de doute que les opinions n’aient pas changé

    Monsieur Eric, le roman d’un tricheur. | Terrorismes, guérillas, stratégie et autres activités humaines
    http://aboudjaffar.blog.lemonde.fr/2009/08/29/monsieur-eric-le-roman-dun-tricheur

    Autoproclamé spécialiste du renseignement, Monsieur Eric ne rate pas une occasion de se présenter, avec une fausse modestie teintée de mystère qui force le respect, comme un « ancien des services ». Ce fut encore le cas, le 27 août dernier, dans une dépêche de l’AFP et dans une interview téléphonique à RTL, à l’occasion de la toujours mystérieuse évasion/libération d’un agent français en Somalie. D’un ton docte dans lequel on percevait la longue et douloureuse expérience de l’espion qui en a vu d’autres, Monsieur Eric se permettait de juger « crédible » les maigres informations disponibles et glissait quelques détails censés démontrer à quel point il avait l’habitude de ce genre d’affaires.

    Je dois confesser une forme de fascination pour ces experts, capables de dire « nous » en parlant des services de renseignement français, et avançant des théories relevant de la psychiatrie quant à l’entraînement des agents de la République. Si un certain nombre d’entre eux, issus du Service Action de la DGSE ou du COS, sont en effet capables de véritables exploits, il faut garder en tête que les membres de la communauté française du renseignement sont recrutés sur leurs qualités intellectuelles et non pas sur leurs capacités physiques. Et de toute façon, je n’aime pas être giflé et je dirai tout à un homme armé de tenailles. Bien peu de ces analystes seraient capables d’encaisser le choc d’une détention, voire d’un interrogatoire un peu poussé.

    Mais Monsieur Eric joue les vétérans, et il n’hésite pas à détailler son CV dans une revue pour étudiants voire sur son site Internet. Quand on interroge les témoins, cependant, on découvre vite que la pompeuse fonction « d’analyste à la direction de l’Evaluation et de la Documentation Stratégique du Secrétariat Général de la Défense Nationale » a essentiellement consisté en un poste auprès de la photocopieuse. Surtout, nulle part n’apparaissent des fonctions opérationnelles au service de la République. Monsieur Eric a-t-il traité des sources ? A-t-il eu des entretiens opérationnels avec des services alliés ? A-t-il participé à la gestion de crises majeures ?

    Connu des services français, Monsieur Eric n’y a pas bonne presse.

    #foutaises #complotisme #désinformation #journalisme #pseudo_experts

  • Ben voyons, le Maroc, et d’autres encore, voire même la France sont des états en faillite ?

    La compétition des martyrs
    http://bibliobs.nouvelobs.com/idees/20160413.OBS8458/boris-cyrulnik-et-c-est-ainsi-qu-on-fabrique-des-gogos-armes.htm

    « Au Proche-Orient, là où les Etats sont défaillants, les gens trouvent refuge dans des sectes et donnent le pouvoir à des théories totalitaires. Et là, chaque fois, il y a un sauveur qui apparaît. Ce sauveur dit : je suis prêt à mourir pour vous sauver, vous allez m’aimer encore plus quand je serai mort, vous allez me glorifier. Les héros apparaissent, et se dessine une compétition de martyrs potentiels. Au Proche-Orient, il y a 14 millions d’enfants traumatisés, orphelins, mutilés, abandonnés, non éduqués ou survivant dans des familles misérables. "

    #gogos #foutaises #blabla

  • CES 2013 : la fourchette électronique high tech pour perdre du poids ?
    http://www.reviewer.fr/breves/web-tech/1920/ces-2013-la-fourchette-electronique-high-tech-pour-perdre-du-poids.html

    http://www.reviewer.fr/uploads/Janvier%202013/fourechette-electronique.jpg

    Une fourchette qui fait maigrir, elle est pas belle la technologie ? Au CES 2013, la société française Slowcontrol a présenté une fourchette électronique qui porte le petit nom de HAPIfork. Bourrée de capteurs, elle permet d’avertir l’utilisateur lorsqu’il mange trop vite, ce qui est souvent lié à une prise de poids, les aliments étant mal assimilés par l’organisme. La batterie de HAPIfork tient la route puisqu’elle permet de manger trois fois par jour pendant quinze jours sans la recharger, à raison de dix vibrations par repas.

    Pour commencer, Slowcontrol va vendre la fourchette électronique aux États-Unis, un marché évidemment prometteur pour l’entreprise. Son prix sera de 99 dollars et une application sera liée à HAPIfork, histoire d’éviter de prendre du poids et de monitorer sa consommation. À quand le couteau et la cuillère électroniques ?

  • Les agences immobilières expliquent la baisse des ventes de logements depuis 18 mois par les mesures du gouvernement arrivé il y a 7 mois. Faut-il avoir fait des études d’économie pour ne pas les croire ?

    http://www.lemonde.fr/immobilier/article/2012/12/11/les-agences-immobilieres-forcees-d-adapter-leur-strategie-face-a-la-crise_18

    Près de 10 000 suppressions d’emplois et jusqu’à 3 000 fermetures d’agences en 2012. [...] « Moins 20 % environ de transactions immobilières sur un an dans l’ancien et de - 30 à - 35 % sur les dix-huit derniers mois » [...].

    [Pour François Gagnon, président ERA Europe et ERA France], la baisse des transactions s’explique surtout par un manque de confiance. « Les effets d’annonce du gouvernement – taxation accrue, contrôle des loyers, saisie des biens vides – font peur : elles donnent l’impression de vouloir punir les propriétaires, alors qu’il faudrait au contraire leur redonner confiance par des mesures incitatives, afin de favoriser les constructions et ainsi augmenter l’offre », plaide-t-il.

    Du côté d’Orpi, [...] Bernard Cadeau, le président du groupe [...] ne peut s’empêcher d’"avoir des craintes sur l’emploi à terme, d’autant que nous n’avons pas de vision claire du paysage fiscal dans les années à venir".

    Cet argument est largement relayé par le président de la Fnaim, qui dénonce "une évolution en yoyo de la fiscalité.

    Il n’y a pas d’explosion de la bulle immobilière. C’est juste une question de confiance, on vous dit !

    #économie #immobilier #bulle_immobilière #crise #foutaises #le_monde

  • Pour François Hollande, l’union politique de la zone euro sera « solidaire » ou ne sera pas - Coulisses de Bruxelles
    http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2012/10/pour-fran%C3%A7ois-hollande-lunion-politique-de-la-zone-e

    François Hollande, dans ce premier entretien consacré à l’Europe, place l’Allemagne devant ses responsabilités : la France est prête à la suivre sur la voie d’une union politique qui se traduira pas de nouveaux partages de souveraineté, mais seulement si cela se traduit par une solidarité forte entre les États. Sinon, l’Europe prend le risque « de ne plus être aimée. De n’être regardée au mieux que comme un guichet austère, où les uns viendraient chercher des fonds structurels, d’autres une politique agricole, un troisième un chèque, au pire comme une maison de redressement ». La balle est désormais dans le camp allemand.

    #Europe

  • Le titre de l’express est amusant. Donc la Russie et la Chine, en opposant leur véto à une résolution de l’ONU viennent de donner un permis de tuer à leur ancien copain Assad.

    http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/syrie-moscou-et-pekin-donnent-un-permis-de-tuer-au-regime_1079091.html

    Mais il me semble me souvenir de centaines de résolutions de l’ONU soient vétoisées, soient avalisées par le conseil de sécurité et sur lesquelles Israël s’assoit, et pour lesquelles notre ami Barbier n’a pas fait preuve d’autant d’humanisme.
    Les 1600 morts (500 bébés et enfants) de plomb durci n’ont pas réussit à tirer le même titre de l’express... À Homs c’est une tuerie, à Gaza de la légitime défense.

    Ceux qui viennent de battre cette année le record de victimes civiles en Afghanistan sont donc en train de donner des leçons d’humanisme aux autres.

    Tuer ? oui, mais … avec de l’eau ferrugineuse.

    C’est en cela que je pense que le comique est subjectif : on peut rire de cela, on peut également en pleurer.
    #foutaises