#fpr

  • De la complicité de la France

    Cet épisode pilote revient sur le soutien apporté par l’État français au gouvernement génocidaire rwandais. Les documents secret défense analysés et rassemblés permettent de comprendre les mécanismes qui ont permis l’une des plus atroces compromissions de la Ve République autour de 4 questions : Pourquoi la France s’est-elle impliquée au Rwanda ? A quand remonte l’implication de la France au Rwanda ? Jusqu’à quand la France a-t-elle poursuivi son soutien au régime génocidaire ? Que penser des conclusions du « rapport Duclert » quant aux "responsabilités lourdes et accablantes de la France dans le génocide des Tutsis ?

    https://www.youtube.com/watch?v=zElcjCs4GE8&list=PLnTYnV3R1tVAO35eRrLP1a1QJxXD_Ts5z

    #génocide #complicité #France #Rwanda #vidéo #colonisation #politique_coloniale #Front_patriotique_rwandais (#FPR) #opération_Noroît #armée #armée_française #François_Mittérand #responsabilité #néo-colonialisme #rapport_Duclert #commission_Duclert #excuses #Macron #Emmanuel_Macron #soutien_actif #forces_spéciales #plainte #justice

  • Rwandan ‘#peace_camps’, persecution and the struggle to be believed

    S is a Hutu-Tutsi girl who, like many young Rwandans was called to go to the #Ingando camps. Described by the Rwandan government as “programmes for peace education” for Rwandan youth and as aiming to be a form of “education for good governance”, the idea of the Ingando camps seems in line with the stance that Rwanda has taken on grassroots, community led transitional justice. However, despite this description, there is strong evidence that Ingando camps are highly militarized. S, being of mixed descent was ascribed Tutsi identity by her community, yet still found herself in a position of inbetweenness. Upon arrival at the Ingando camp she was subject to high levels of #violence, #discrimination, and repeated abuse, experiencing sexual harassment and multiple episodes of rape. She found herself pregnant twice by the same aggressor and was forced to abort the first of her children. Rejected by her family, unheard by her school principal and afraid to denounce the facts to the police, she fled to Cameroon in 2006, where she later married a Rwandan refugee of Hutu origin – causing her further marginalisation and rejection by her family.

    When the weighted words, “peace education” are used to describe a programme of transitional justice, assumptions are formed in the mind. Hailed by local and international media as a progressive and locally based method of dealing with the atrocities, grief and suffering left behind by genocide, the Ingando programme fits into a story of long awaited good following a gruelling period of tragedy. Despite the lifetime of persecution faced by S, when she applied for asylum in Europe the authorities were not immediately convinced of her need for protection.

    After the initial rejection, S’s legal representative came to Asylos requesting information on the reality of the Ingando camps and for information to substantiate her claim. Using a variety of research techniques for data collection, such as academic sources and (social) media analysis, Asylos’ researchers were able to uncover and highlight the highly politicised nature of the Ingando programme as well as the sometimes violent and abusive behavior of the authorities involved in the camp. The research meant the context of S’s story, with all its nuances and the power dynamics involved could be more clearly seen, thus adding a layer of credibility to a complicated story. After a long and difficult struggle, S was granted asylum in France. It is because of the hard work and dedication of Asylos’ volunteers and the legal representative, that stories such as S’s, are given a chance at equal access to justice based on proof and not upon prejudice.

    https://www.asylos.eu/blog/asylum-stories-rwandan-peace-camps?omhide=true

    #Rwanda #viols #harcèlement #harcèlement_sexuel #paix #rééducation #FPR #Front_patriotique_rwandais
    #COI #asile #réfugiés #réfugiés_rwandais

  • Centrafrique : HRW dénonce la tuerie d’au moins 27 civils par des rebelles à #Bria

    Au moins 27 civils sont tués par les rebelles de la #Séléka et des #Anti-Balaka depuis juin 2018 à Bria. C’est ce qu’a dénoncé dans un communiqué l’organisation de défense des Droits de l’Homme Human Rights Watch (HRW).

    Les violences à Bria ont connu un pic depuis 2017 et ont repris en 2018 malgré plusieurs messages et menaces de la #Minusca contre les #bandes_armées qui écument cette région. Ce rapport est publié quelques jours après une scène de #réconciliation entre des factions Anti-Balaka et Séléka dans le contexte où les principaux leaders des #groupes_armés ont signé le 28 aout dernier à Khartoum une entente pour cesser les #violences contre les civils et acteurs humanitaires.

    « Le 6 septembre 2018, des rebelles de la Séléka ont capturé et exécuté au moins neuf civils, dont sept femmes », a déclaré Human Rights Watch dans un communiqué.

    Ces exécutions ont été perpétrées aux abords de la ville de Bria, dans la préfecture de la #Haute-Kotto, près de deux semaines après les meurtres de 11 civils par le même groupe armé à l’issue d’un affrontement avec une milice rivale des Anti-Balaka.

    « Ces #exécutions et #assassinats sont des #crimes_de_guerre flagrants commis par des combattants qui se sentent libres de tuer à volonté, malgré la présence des soldats de la paix de l’#ONU », a déclaré Lewis Mudge, chercheur senior auprès de la division Afrique de Human Rights Watch.

    Pour Lewis Mudge, « les #Casques_bleus, qui sont autorisés à recourir à la force pour protéger les civils, devraient chercher à anticiper ces attaques et à intervenir rapidement. Les combattants des #FPRC ne craignent apparemment pas les soldats de la paix, et des Anti-Balaka se trouvent à l’intérieur du camp », déplore-t-il.

    Selon le communiqué, Human Rights Watch a également recueilli des preuves de #meurtres d’au moins huit autres civils dans la région depuis juin dernier, tous tués par des groupes Anti-Balaka.

    Les tensions entre les deux #milices connaissent une escalade depuis 2017 dans cette région riche en minerais, se soldant par des meurtres de part et d’autre. Mais es deux groupes nient avoir attaqués des civils.


    http://rjdh.org/centrafrique-hrw-denonce-la-tuerie-dau-moins-27-civils-par-des-rebelles-a-bria

    #conflit #guerre #Centrafrique #République_Centrafricaine

  • Rwanda : « On était venus empêcher la victoire de ceux qui combattaient les génocidaires » - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2018/03/15/rwanda-on-etait-venus-empecher-la-victoire-de-ceux-qui-combattaient-les-g

    Guillaume Ancel, capitaine de l’armée française en 1994, a participé à l’opération « Turquoise ». Il publie aujourd’hui un livre sur cette intervention qui, d’après son témoignage, visait à protéger le gouvernement rwandais en déroute.

    C’est un soupçon monstrueux qui ne cesse de ressurgir, depuis près de vingt-cinq ans : la France a-t-elle déclenché une opération humanitaire dans un pays d’Afrique avec comme but inavoué de sauver un gouvernement qui venait tout juste de massacrer près d’un million de personnes ? L’accusation peut paraître énorme. Elle revient pourtant régulièrement, comme un serpent de mer qui interroge, encore et encore, le rôle pour le moins ambigu de la France lors du génocide qui s’est déroulé au Rwanda en 1994.

    Cette année-là, dans ce petit pays de l’Afrique des Grands Lacs, une extermination est déclenchée contre la minorité tutsie du pays. Pour y mettre un terme, alors que la communauté internationale a vite plié bagage, il n’y aura que l’offensive d’un mouvement rebelle, le Front patriotique rwandais (FPR), formé quatre ans plus tôt par des exilés #tutsis. Contre toute attente, le #FPR fait reculer le gouvernement génocidaire. Et c’est au moment où le FPR semble proche de la victoire finale que la France décide soudain d’intervenir. Sous label « humanitaire ». Guillaume #Ancel y était. Officier intégré dans une unité de la Légion étrangère, il a participé à cette opération « #Turquoise », dont il raconte la face cachée, dans le livre qu’il publie aujourd’hui (1).

    Depuis que vous avez quitté l’armée en 2005, et même encore récemment, vous avez souvent témoigné sur l’opération Turquoise. Pourquoi publier encore un livre aujourd’hui ?
    Pour empêcher que le silence ne devienne amnésie, et sur les conseils d’un historien, Stéphane #Audoin–Rouzeau, qui m’a aidé à écrire ce livre. C’est le témoignage écrit cette fois-ci, de ce que j’ai vécu, ce que j’ai vu. En nous envoyant là-bas, personne ne nous a briefés avant le départ. On ne savait rien. C’est totalement inédit dans les pratiques de l’armée. Et ce n’est qu’en arrivant sur place qu’on a compris : en guise « d’action #humanitaire », on était d’abord venus pour stopper le FPR, donc empêcher la victoire de ceux qui combattaient les génocidaires. Qu’on a tenté de remettre au pouvoir, puis qu’on a aidé à fuir, avant de les réarmer de l’autre côté de la frontière au Zaïre [aujourd’hui république démocratique du Congo, ndlr]. C’est comme si à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le corps expéditionnaire français avait été envoyé aux côtés des nazis pour stopper, par exemple, l’avancée des troupes russes. En aidant les nazis à se réarmer, faute d’avoir pu finalement les réinstaller au pouvoir. L’opération Turquoise a été menée « au nom de la France ». Mais vingt-quatre ans plus tard, on refuse toujours d’en ouvrir les #archives. Pour quelle raison, si ce n’était qu’une simple opération humanitaire ?

    Au sein de l’armée il y a d’autres témoignages qui contredisent le vôtre…
    En réalité, il y a surtout très peu de témoignages. Beaucoup se taisent car il existe une culture du silence dans l’armée française, qu’on ne retrouve pas d’ailleurs chez les Anglo-Saxons. Il y a pourtant cet ancien officier du GIGN qui a raconté l’horreur d’avoir compris qu’il avait formé des troupes qui commettront ensuite le génocide. Parmi les anciens de Turquoise, certains, en revanche, répètent la parole officielle, par peur d’être mis en cause. Mais il y a aussi cet ancien commandant de marine qui, lui, explique clairement qu’il était là pour aider ceux qui commettent les massacres ! J’ai également des camarades qui avaient écrit au ministre de la Défense, à l’époque de l’opération, pour dénoncer le réarmement des troupes génocidaires en déroute. Ils se sont fait tacler.

    Mais pour quelle raison la France se serait-elle fourvoyée dans ce bain de sang ?
    Aucun responsable ne s’est réveillé un matin, en se disant « tiens je vais aider ceux qui commettent un #génocide ». Mais il y a eu une part d’aveuglement, dans le cercle étroit autour du président François #Mitterrand. Quand le génocide commence, la France vient de passer quatre ans aux côtés du régime rwandais. Sur place on a vu le fichage des Tutsis, on a su pour l’entraînement des miliciens, les premiers pogroms, simple répétition du « grand soir ». Et on n’a pas réagi. En revanche dès le début du génocide, des divergences apparaissent au sein même des services de renseignements : la #DGSE pointe tout de suite la responsabilité du pouvoir en place dans l’organisation de massacres et conseille de s’en dissocier. Puis, la direction du renseignement militaire va contredire cette analyse, tenter de détourner l’attention sur la responsabilité du FPR dans l’attentat contre l’avion du président rwandais Juvénal #Habyarimana [attentat du 6 avril 1994, considéré comme l’événement déclencheur du génocide] avec une photo de missiles qui avait tout d’une manip.

    Or quand l’avion du président Habyarimana est abattu, après des mois de tensions, ce dernier venait justement d’accepter de partager le pouvoir avec le FPR. Au fait, pourquoi n’a-t-on jamais retrouvé la boîte noire ? L’un des premiers sur les lieux du crash, c’est un officier français : Grégoire de Saint Quentin. Mais quand je l’ai rencontré et que je lui ai demandé ce qu’était devenue la boîte noire, il s’est brusquement refermé comme une huître. Il n’est pas en cause, on lui a ordonné de se taire.

    Vous refusez d’accuser vos anciens compagnons d’armes, qui n’auraient fait qu’« obéir aux ordres », mais vous évoquez aussi ce prisonnier qui aurait été jeté d’un hélicoptère pendant l’opération Turquoise. Est-ce que l’armée n’est pas parfois hors contrôle dans ces opérations ?
    C’est un cas particulier. Une équipe qui, je pense, a disjoncté toute seule. Pour le #Rwanda, ce qui est inquiétant, c’est ce lourd silence qui continue à s’imposer, et la gravité des faits qui pourrait impliquer une complicité de génocide. Mais aujourd’hui, alors que les questions sécuritaires sont de plus en plus fortes, on est de moins en moins informé sur les opérations militaires, en #Afrique notamment. Sur le moment c’est parfois périlleux de dévoiler les détails d’une opération. Mais après coup ? Si l’opinion, les médias, ne se montrent pas plus exigeants sur ce qui est fait en notre nom à tous, c’est la démocratie qui est en péril.
    (1) Rwanda, la fin du silence (éditions les Belles Lettres), 21 euros
    Maria Malagardis

    En parlant de soupçon au début de l’interview c’est comme si Libération découvrait ce que de nombreux livres, chercheurs et témoignages n’ont cessé de répéter depuis plus de 20 ans. Ce ne sont pas des soupçons, ce sont des faits avérés mais niés par les responsables politiques français contre toute évidence. Les mots sont importants.
    #françafrique #armée

    • déjà en 2014…

      Guillaume Ancel. Hanté par Turquoise - Libération
      http://www.liberation.fr/planete/2014/07/02/guillaume-ancel-hante-par-turquoise_1055863

      Il atterrit au bord du lac Kivu, à la frontière du Rwanda et de ce qui était alors le Zaïre (devenu république démocratique du Congo). Finalement, il n’y aura pas de raid sur la capitale. « Mais nous étions bien venus pour nous battre et trouver le moyen de sauver le pouvoir en place alors en pleine débandade », souligne-t-il. Quelques jours plus tard, un deuxième ordre pour stopper la progression des rebelles sera aussi annulé in extremis. « Ce n’est qu’après cette deuxième annulation que l’opération Turquoise devient vraiment humanitaire et qu’on va être encouragés à aller sauver des rescapés », explique-t-il. Il en garde le souvenir de s’être enfin rendu utile : « Chaque vie sauvée était une victoire. »Mais au niveau politique, un certain flou demeure. « On a renoncé à sauver ouvertement le régime génocidaire mais on lui a permis de traverser la frontière. Et on lui a fourni des armes », accuse l’ex-officier qui fut le témoin direct d’une livraison d’armes, « cinq à dix camions qui ont franchi la frontière dans la seconde partie de juillet. Moi, ce jour-là, j’étais chargé de "divertir" les journalistes présents sur place. »

  • Rwanda : diffusion d’une nouvelle confession du chanteur Kizito Mihigo - France - RFI

    http://www.rfi.fr/afrique/20140422-rwanda-diffusion-une-nouvelle-confession-kizito-mihigo/?amp%3Bns_fee=0&amp%3Bns_linkname=lire-5&amp%3Bns_mchannel=newsletter&amp%3Bns_s

    Une interview « confession » du chanteur Kizito Mihigo a été mise en ligne et diffusée à la radio, quelques heures après l’audience du lundi 21 avril, où ce dernier a plaidé coupable de tous les chefs d’accusation et a demandé à pouvoir être assisté par un avocat. Ce rescapé du génocide et ses trois co-accusés sont notamment accusés « d’atteinte à la sûreté de l’Etat », de « complicité de terrorisme » ou encore de « trahison ». Selon la police, ils auraient fomenté une attaque à la grenade et un coup d’Etat avec la rébellion des FDLR - dont certains dirigeants sont accusés de génocide - et le parti d’opposition en exil, le RNC. Les deux groupes démentent toute implication dans ces attaques à la grenade et condamnent ces arrestations.

    #rwanda #génocide #fpr

  • « L’opération Turquoise au #Rwanda était offensive avant d’être #humanitaire »
    http://www.france24.com/fr/20140407-france-operation-turquoise-rwanda-offensive-humanitaire-guillaume

    Mais selon l’ancien capitaine français, avant de devenir humanitaire, #Turquoise a clairement été une opération offensive. Un raid terrestre, qui devait être accompagné de frappes aériennes, avait été programmé pour aller jusqu’à Kigali. Son objectif : contrer militairement l’avancée du #FPR. « Moi je suis parti avec l’ordre opérationnel de préparer un raid sur Kigali. Quand on fait un raid sur Kigali, c’est pour remettre au pouvoir le gouvernement qu’on soutient, c’est pas pour aller créer une radio libre », explique Guillaume Ancel, qui a quitté l’armée en 2005, avec le grade de lieutenant-colonel. « L’ordre que j’ai reçu pour partir au Rwanda était extrêmement offensif », affirme-t-il. L’ex-militaire affirme avoir ensuite reçu, entre le 29 juin et le 1er juillet, un autre ordre, qui « était d’arrêter par la force l’avancée des soldats du FPR » : « On n’est toujours pas dans une mission humanitaire. »

    Selon lui, la #France aurait ensuite continué à soutenir le gouvernement génocidaire rwandais et son armée en rendant, vers la mi-juillet, « à ce qui restait des forces armées rwandaises, les dizaines de milliers d’armes » que les militaires français avaient confisquées dans la zone humanitaire. « On a clairement été à l’origine d’une continuation des combats [...], qui ont fait de nouveau des centaines de milliers de morts », admet-il.

  • Les anars français formés à la violence en Grèce : histoire d’une intox
    http://www.lesinrocks.com/actualite/actu-article/t/77684/date/2012-02-07/article/la-police-lultragauche-et-lepouvantail-grec

    Selon Jérôme, le jeune anar français, les policiers fantasment les anarchistes sur un mode parano pervers : “On peut mettre au défi n’importe quel agent de la DCRI : qu’ils nous montrent ces camps d’entraînement, ces sessions de formation. Evidemment qu’ils en seraient absolument incapables. Mais les flics ne peuvent envisager les rapports humains autrement que sous l’angle du réseau, de la filière, de la conspiration. Ils sont incapables d’y penser en termes d’amitié, de sympathie. Ils n’ont d’ailleurs aucun intérêt à le faire, sinon ils ne pourraient pas justifier d’être payés à faire des rapports.”

    Nous contactons la police grecque pour savoir si elle partageait les inquiétudes des services français. Apparemment non. Athanassios Kokallakis, son porte-parole, répond de manière laconique : “La police grecque n’a aucune information sur l’arrivée d’anarchistes français en Grèce pour la ‘formation’ à des actes terroristes.” Plus largement, le porte-parole ne dispose “d’aucun élément relatif à la façon dont les anarchistes européens cherchent à se structurer au niveau international.”

    #police #Europol #DCRI #anarchistes #Grèce #Athènes

  • Fichier des passagers : y’a-t-il un pilote à la Cnil ? | Jean Marc Manach
    http://owni.fr/2011/06/14/le-fichier-francais-des-passagers-aeriens-ne-respecte-pas-la-loi-informatique-e

    Créé « à titre expérimental » en 2006, le fichier français des passagers aériens ne respecte pas vraiment la loi informatique et libertés, à en croire la CNIL qui... « prend acte » de la volonté du gouvernement de ficher encore plus de gens.

    #Pouvoirs #Surveillance #aviation #cnil #fichiers #fpr #pnr #Schengen #sis