Mikrodystopies - Writing workshops & Design Fiction
▻https://atelier.mikrodystopies.com/en
Version en anglais de la création d’ateliers autour des Mikrodystopies de François Houste
Mikrodystopies - Writing workshops & Design Fiction
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Version en anglais de la création d’ateliers autour des Mikrodystopies de François Houste
Q182 | Ateliers de micro-écriture : quels enseignements ? - L’atelier des futurs
▻https://atelierdesfuturs.org/q182-ateliers-de-micro-ecriture-quels-enseignements
Depuis leur parution en 2020 aux éditions C&F, les Mikrodystopies ont été le prétexte à plus d’une dizaine d’ateliers d’écriture. Menés dans des environnements variés, tantôt supports de prospective, tantôt simples exercices poétiques, ces ateliers sont riches d’enseignements et permettent d’imaginer de nouveaux exercices d’écriture mettant en scène l’humain et son environnement technologique.
Un petit retour d’expérience s’impose donc.
C’est quoi, une mikrodystopie ?
Mais avant tout, un petit rappel : que sont les Mikrodystopies ? Nées sur Twitter en 2018, les Mikrodystopies sont des micro-nouvelles mettant en scène l’humain et la technologie qui l’entoure. Rédigées en 280 caractères seulement – espaces compris – elles constituent des capsules de nos quotidiens actuels ou futurs, peuplées d’intelligences artificielles, de robots, de voitures autonomes ou d’implants cérébraux. Leur objectif, avant de faire réfléchir, est surtout de distraire, et de mettre en collision la froide logique des algorithmes et notre irrationalité humaine.
Par leur format court, les Mikrodystopies se prêtent facilement aux ateliers d’écriture. Une première et très simple méthode pour mener ceux-ci a d’ailleurs été partagée dès 2021 sur le site Web de C&F Éditions.
Cette méthode suit trois règles extrêmement simples :
Les Mikrodystopies ne sont pas des histoires, ce sont des situations issues du quotidien. Sortie avec les copains, cours de math, repas de famille… la vie de tous les jours se prête facilement à la dystopie car elle est susceptible d’être chamboulée à tout moment par la technologie. Alors, n’imaginez pas trop loin ! Démarrez avec votre quotidien, c’est le meilleur moyen de créer un décalage drôle et intéressant.
Les Mikrodystopies se jouent des innovations technologiques, elles se nourrissent des prévisions qui nous entourent. Sur le Web, de nombreux sites d’information se font l’écho des innovations. Ils vous serviront d’inspiration. Imaginez simplement comment la technologie qu’ils présentent va changer notre façon de vivre en famille, de partir en vacances, d’aborder notre quotidien… C’est alors que surgit la dystopie !
Les Mikrodystopies, c’est 280 caractères, pas un de plus ! Et cela inclut les signes de ponctuation et les espaces. Il faut donc rester simple, percutant… Ne cherchez pas à raconter une histoire, exposez simplement une situation drôle ou dérangeante. Et n’hésitez pas à user de dialogues ou de synonymes, cela aide souvent à raccourcir les phrases.
Plusieurs organisations ont tenté l’expérience, parmi lesquelles on citera le Réseau Canopé autour de la thématique de l’éducation, le Laboratoire d’Innovation Numérique de la CNIL imaginant la protection des données dans le monde d’après ou encore la Fondation Internet Nouvelle Génération dont l’expérience a été relatée dans les pages de l’Atelier des Futurs.
A la découverte d’un nouveau chemin d’écriture : les « Mikrodystopies » – A mots croisés
▻https://amotscroises.fr/2023/10/25/a-la-decouverte-dun-nouveau-chemin-decriture-les-mikrodystopies
Pour ce premier atelier d’écriture de la saison 2023-2024, notre nouvelle intervenante, Carole Prieur, que nous vous avons présentée dans une précédente actu, nous a fait découvrir François Houste, auteur des « Mikrodystopies ». Ses textes de la taille d’un tweet (280 signes) décrivent des situations insolites et projettent dans un futur pas si lointain.
Carole nous a invités à nous intéresser à cette écriture qui ouvre sur la découverte ou la redécouverte des codes propres aux utopies et aux dystopies. Il s’agissait d’imaginer, à partir d’un mot choisi au hasard, une situation fictionnelle, cohérente et pertinente, le récit devant rester concis. À souligner que ce type d’exercice peut déclencher l’écriture d’un récit prospectif.
A suivre les récits de nos écrivants !
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« Mikrodystopies » de François Houste, sur son compte X (anciennement Twitter) et son recueil paru aux Éditions C&F
►https://cfeditions.com/mikrodystopies
ISBN 978-2-37662-011-2
NovFut #19 Raconter des histoires de Science-Fiction pour réinventer la société
►https://nouvellesdufutur.substack.com/p/novfut-19-raconter-des-histoires
Ce mois-ci en SF
Dans les récits pour construire la société, notons la sortie de Germinata d’Olivier Fournout (sociologue et sémiologue, écrivain et metteur en scène) aux Editions C&F. J’aime beaucoup ces éditions habituellement plutôt branchées numériques (l’indispensable Aux sources de l’utopie numérique de Fred Turner) qui maintenant avec la collection Fiction se lancent dans la SF. On leur doit également les fabuleuses Mikrodystopies de l’ami François Houste.
Bref, Yuval sans mâcher ses mots, nous raconte que les IA vont, à partir de maintenant, écrire l’histoire de l’humanité. Et il semble n’avoir pas tort. Selon un rapport du laboratoire d’innovation d’Europol (les policiers européen), 90% du contenu en ligne pourrait être généré artificiellement d’ici à 2026. Vous imaginez que les délires actuels de stars en lunettes de soleil abreuvées de contenus personnalisés de médias sociaux ne seront qu’une paille dans un océan de crétineries permanentes.
Usbek & Rica - 19 janvier 2054, fin de l’Ère numérique
▻https://usbeketrica.com/fr/article/19-janvier-2054-fin-de-l-ere-numerique
Est-ce qu’Internet pourrait disparaître un jour ? Le réseau est aujourd’hui tellement imbriqué dans notre quotidien qu’il est difficile d’imaginer notre vie sans lui. Et pourtant… François Houste, fictionnist au sein de l’agence de design digital Plan.Net France et auteur des Mikrodystopies – des micro-nouvelles de science-fiction publiées sur Twitter – a imaginé une faille. Rendez-vous le 2054. Le 19 janvier précisément. Le jour où le Net a commencé à disparaître…
As we may link - AWML #1 : La Bibliothèque des Origines - Serviceplan Blog
▻https://serviceplan.blog/fr/2021/09/as-we-may-link-la-blibliotheque-des-origines
Par François Houste
À l’heure des algorithmes, et demain des intelligences artificielles, il peut sembler bon de parler à nouveau de l’HYPERTEXTE… et surtout de (re)prendre conscience de l’importance de ce concept dans notre quotidien. Une bonne occasion de se pencher sur les façons dont il a émergé, dont il a en fait toujours existé… et dont il peut encore aujourd’hui se réinventer pour enchanter notre quotidien.
C’est parti donc pour une série de 8 petites histoires, que vous retrouverez sur ce blog chaque lundi au cours des prochaines semaines. Des billets qui vous feront – on l’espère – réfléchir et peut-être imaginer les usages digitaux du futur.
Mikrodystopies, les histoires aigres-douces d’un futur imparfait | La Marne
▻https://actu.fr/ile-de-france/conches-sur-gondoire_77124/mikrodystopies-les-histoires-aigres-douces-d-un-futur-imparfait_39770647.html
Qu’est-ce qu’une mikrodystopie ? Très simple selon son auteur : une situation du quotidien, une technologie défaillante, détournée ou moquée, le tout en 280 caractères, comme sur Twitter. Le parallèle n’est pas un hasard : les mikrodystopies sont nées sur le réseau social.
Micros-nouvelles du futur
Baigné dans l’univers numérique depuis 25 ans, lecteur de science-fiction et aujourd’hui consultant pour une agence digitale, François Houste est un enfant d’Internet. « Après 20 ans, on ne peut plus s’en sortir », plaisante-t-il. Anciennement dans la presse, blogueur, Twitter était une suite logique. En 2018, il sacrifie un compte dédié à parodier le Général de Gaulle et André Malraux pour en créer un nouveau : les mikrodystopies.
Ce compte dépeindra un futur technologique sous forme de micro-fictions, « comme il en existe beaucoup », tient-il à préciser. Robots, intelligences artificielles, implants cérébraux et voitures autonomes, il y a toutes les technologies avec un point commun : un regard doux-amer, qui s’attarde sur les situations bizarres, absurdes, imprévues.
Interroger les technologies
« C’est la culture d’Internet, il y a toujours un détournement possible, une faille à exploiter, c’est un peu ce que je fais pour trouver mes histoires », explique l’auteur qui a gardé l’esprit potache de la génération Canal+ et des Monthy Python.
« Le but est de détourner les fantasmes et l’imaginaire dressé par les prophètes des technologies et d’interroger notre futur rapport à ces technologies, dans notre quotidien. » Un objectif réussi avec un livre qui se picore facilement et laisse un léger sourire à chaque lecture.
Et les originaux sont là : ▻https://twitter.com/mikrodystopies
Livre – « Mikrodystopies » : des histoires sur le futur en 280 caractères
▻https://www.solutions-numeriques.com/livre-mikrodystopies-des-histoires-sur-le-futur-en-280-caracte
Le compte @mikrodystopies a été créé il y a plus de deux ans sur Twitter par François Houste, consultant au sein de l’agence digitale Plan.Net France. Son exercice ? Ecrire et diffuser des histoires complètes sur le futur en 280 caractères maximum. Ses « mikrodystopies » font aujourd’hui l’objet d’un livre.
Robots, voitures autonomes et implants cérébraux forment un futur présent au quotidien au travers de 330 micro-nouvelles parues chez C& F Éditions, un éditeur indépendant spécialiste de la culture numérique.
Soigneusement sélectionnées, elles prennent sur papier une autre dimension, loin du flux des réseaux sociaux, et invitent à une réflexion sur le futur numérique que nous souhaitons. Ces « mikrodystopies » sont augmentées de photos signées Nicolas Taffin, mettant en image les futurs imaginés. Des histoires qui font à la fois rire et grincer des dents. A offrir ou s’offrir pour Noël. Extraits :
« Connecté au robot-cuisinier de Mme Rodriguez,
l’espion chinois notait scrupuleusement
la recette de la paella en cours de préparation.
Elle était réputée la meilleure de tout le pays ! »
« Le ton de Luc avait changé.
Après quelques phrases, sa voix normale revint
et il put enfin finir sa conversation.
C’était l’un des inconvénients
des implants cérébraux gratuits :
ils obligeaient parfois leur hôte
à prononcer un script publicitaire. »
170 pages, 15 euros – ►https://cfeditions.com/mikrodystopies
Juliette Paoli
B SMART - SMART TECH - Invité : François Houste - Emission du jeudi 27 août
▻https://www.bsmart.fr/video/390-smart-tech-emission-27-aout-2020
▻https://s1.dmcdn.net/v/SQQzr1VKFC9tzbdz7/x480
SMART TECH
Emission du jeudi 27 août
Durée : 48m
SMART TECH du 27 août 2020, Le magazine quotidien de l’innovation
Episode #31 - Goood Morning Web avec François Houste
▻https://www.gooodmorningweb.fr/episodes/episode_2020_31
Episode #31
Ce matin, René Cotton, Bertrand Demarcq, Cyrièle Piancastelli et Jérôme Neuvéglise nous parlent :
de Mikrodystopies avec François Houste 🤖
des écrans pliable chez Apple 📱
de l’API de Tesla 🚘
des annonces d’Oxfam 💰
et du rachat de Carfully 🚗
Mikrodystopies de François Houste - Chut Maman Lit !
▻https://chutmamanlit.fr/2020/10/mikrodystopies-de-francois-houste
A force de suivre de près l’actualité littéraire de l’Imaginaire, j’aime bien être surprise de temps en temps par des récits de SFFF que je ne connais pas et qui peuvent me surprendre. Le petit livre dont je vais vous parler : Mikrodystopies de François Houste paru chez C&F éditions, a une drôle d’histoire. Il est tiré d’un compte twitter : @mikrodystopies sur lequel François Houste imagine de courts récits de SF en moins de 280 caractères. Les thèmes : Robots, IA et dystopies.
Une très bonne surprise avec ce recueil, c’est bien écrit, d’actualité, plein d’humour et joliment édité.
Blog Stéphane Bortzmeyer : Fiche Mikrodystopies
▻https://www.bortzmeyer.org/mikrodystopies.html
Fiche de lecture : Mikrodystopies
Auteur(s) du livre : François Houste
Éditeur : C&F Éditions
9-782376-620112
Publié en 2020
Première rédaction de cet article le 30 septembre 2020
Beaucoup de gens sur Twitter ont déjà lu les Mikrodystopies, ces très courtes histoires d’un futur techniquement avancé mais pas forcément très heureux. Les voici réunies dans un livre, le premier livre de fiction publié chez C&F Éditions.
Des exemples de Mikrodystopies ? « Le robot de la bibliothèque municipale aurait été l’assistant idéal s’il n’avait pas pris l’initiative de censurer certains ouvrages de science-fiction qu’il jugeait offensants. » Ou bien « La licence du logicielle était claire : pour chaque faute d’orthographe corrigée, le romancier devait reverser une partie de ses droits d’auteur à la société qui avait créé ce traitement de texte. » Ou encore, en temps de pandémie, « Les robots de l’entreprise firent valoir leur droit de retrait, invoquant les pare-feu insuffisants du réseau informatique. ». Oui, je l’avais dit, ce sont des courtes histoires, qui se tiennent dans les limites du nombre de caractères que permet Twitter, mais je trouve chacune d’elles pertinente, et mettant bien en évidence un problème de notre société et de son rapport avec la technique.
Fallait-il publier ces histoires que tout le monde peut lire sur Twitter ? Je vous laisse en juger mais, moi, cela m’a beaucoup plu de les découvrir ou de les redécouvrir sur mon canapé. Et en plus le livre est beau comme l’explique Nicolas Taffin.
Ne nourrissez pas les robots… | Sur les Mikrodystopies de François Houste | Entre les lignes entre les mots
►https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/09/30/ne-nourrissez-pas-les-robots
Des textes très courts, plein d’humour plus ou moins grimaçant, des moments de tendresse aussi. Les angoisses et les espoirs dévitalisés projetés vers un avenir sombrement coloré par la pandémie de covid-19. L’affluence technologique contre les controverses démocratiques, l’isolement connecté contre la singularité humaine, le non-sens de la marchandisation des êtres humains. Et le fil tendu d’espoir des résistances…
Le monde des calculs et des algorithmes, les voitures autonomes, les implants cérébraux, « C’était l’un des inconvénients des implants cérébraux gratuits : ils obligeaient parfois leur hôte à prononcer un script publicitaire », les objets connectés, les réalités virtuelles, les robots,
Un livre et des histoires à partager
François Houste : Mikrodystopies
Fiction C&F éditions, Caen 2020, 136 pages, 15 euros
Didier Epsztajn
Mikrodystopies by François Houste - Fonts In Use
▻https://fontsinuse.com/uses/35630/mikrodystopies-by-francois-houste
▻https://assets.fontsinuse.com/cardshot?q=KW0Ddn9oHB1uaG8/awpQDSQtF10XJUUmUnlkAy4DSR5oE18IaiwcFDg3JCU8QxdWNCdYLRolRC8DH2lYb
FF Attribute Text in use for the cover and interior of Mikrodystopies by François Houste, a collection of Twitter fiction by French author François Houste:
Digital Oulipo? Technical haikus? Cybernetic aphorisms? The Mikrodystopies are the product of the exercise in style which François Houste engaged in: writing and disseminating on Twitter complete stories in no more than 280 characters.
The book was designed by Nicolas Taffin (who also made the photographic illustrations in the book interior) and Sophie Harris, using FF Attribute Text by Viktor Nübel. In the colophon they describe it as “one of the most beautiful typefaces when it comes to ‘faux monospaced fonts’ which takes the shapes of characters with the constant spacing of computer terminals,themselves inherited from typewriters. By adding a little proportionality, the faux monospaced preserves legibility. A typical hybridization of our early days of the 21st century.”
170 pages, 13,5×21 cm. Published by CF éditions.
#Typographie #François_Houste #Nicolas_Taffin #C&F_éditions #Mikrodystopies
Dystopies familières | Polylogue
▻https://polylogue.org/dystopies-familieres
François Houste est un type formidable : non seulement il a du talent et de la finesse, mais en plus travailler avec lui est un grand plaisir. C’est sans doute pour cela qu’il inaugure la collection fictions de C&F éditions ;-)
Mikrodystopies, ce sont des moments volés au futur (un futur si présent), des situations, plus que des histoires, qui montrent les humains confrontés à leur devenir-machine, les algorithmes face à des dilemmes humains trop humains, les robots désireux de se faire une place dans l’humanité, bref, un joyeux méli-mélo de notre quotidien techno-futur. 320 fragments de vies, tous limités à 280 caractères – pas un de plus – un exercice de style inspiré et stimulé par Twitter où le compte @mikrodystopies poursuit ses explorations. Le ton est toujours aigre-doux, plein de finesse, d’humour aussi. Quant au désespoir, n’est pas une injonction, il est laissé à la discrétion du lecteur, qui affichera d’abord bien souvent un sourire.
Mais j’avais en tête une série de photos depuis un moment, cela a été l’occasion de passer à l’acte. L’idée en était : produire “à la maison” et sans effets de retouche, ni collages impressionnant, ni équipements futuristes, des images mettant en situation tous ces messages numériques qui nous confrontent aux erreurs systèmes, illegal arguments et autres plantages, violations des termes, acceptation de conditions abusives ; bref, à la régulation de nos vies par les logiciels depuis que « Code is law ». J’ai donc profité de l’occasion pour acquérir un nano projecteur à trois sous et préparer des messages que nous avons pu projeter, avec l’aide de ma fille, sur les jouets, murs, objets de la maison, ou même sur notre propre peau, comme s’ils étaient animés de facultés interactives nouvelles, irrigués de silicium. Avec un peu d’imagination, bien-sûr. J’ai aussi pu faire quelques images chez ma mère, dont l’intérieur n’a vraiment rien de techno, et lui proposer ainsi une belle mise à jour. Bref, on était vraiment dans le quotidien familial, tout près des récits de François Houste.
Je me retrouvais avec une série de 11 images finales, sombres mais familières, qui ont rapidement trouvé leur pendant dans les Mikrodystopies. Plus que des illustrations strictes, cela composait des paires harmonieuses, que nous avons mises en valeur dans certaines doubles pages du livre.
#Mikrodystopies #François_Houste #Nicolas_Taffin #Making-of #C&F_éditions