• Le passé retrouvé de Missak et Mélinée Manouchian
    https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2024/02/09/le-passe-retrouve-de-missak-et-melinee-manouchian_6215558_4500055.html

    Quatre-vingts ans après son exécution et celle de ses camarades au mont Valérien, #Missak_Manouchian ainsi que son épouse, Mélinée, seront inhumés le 21 février au Panthéon. Désireuse d’en apprendre davantage sur le destin percuté de ce couple, leur petite-nièce Katia Guiragossian a mis ses pas dans ceux de sa grand-tante. Ils l’ont menée à Erevan, en Arménie, jusqu’à de précieux carnets perdus.
    [...]

    L’Arménie ! Et si c’était là qu’il fallait chercher les derniers trésors enfouis ? Mélinée Manouchian y a débarqué pour la première fois de sa vie à 31 ans, « le 28 septembre 1945 exactement, invitée par le gouvernement d’Arménie soviétique à visiter le pays », révèle sa petite-nièce, qui a eu accès aux documents de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) – et non en 1947 avec les sept mille Arméniens de France montés à bord de deux paquebots soviétiques, comme le racontent encore des livres qui paraissent à l’occasion de la cérémonie du Panthéon.

    L’Arménie est soviétique depuis 1920 et un autre frère de Missak, Haïk, s’y est déjà installé pour devenir gardien dans un kolkhoze. Après guerre, « beaucoup de communistes – à l’époque, ils étaient internationalistes – s’en vont construire le socialisme dans leur pays d’origine, rappelle l’historienne Annette Wieviorka. C’est le cas d’Artur London, l’auteur de L’Aveu, qui part en Tchécoslovaquie, d’Adam Rayski, parti en Pologne, ou encore de Boris Holban », l’ancien chef militaire des #FTP-MOI de Paris avant Manouchian, exilé, lui, en Roumanie. Mélinée n’aurait jamais laissé derrière elle à Paris les carnets et agendas de son mari, se dit sa petite-nièce. Et si elle les avait mis en sécurité à Erevan, où elle a vécu jusqu’en 1963 ?

    Ce n’était pas prévu, mais quatre mois après son arrivée, lorsque #Mélinée_Manouchian réclame un visa retour pour rentrer un jour en France, elle n’obtient « jamais de réponse », indique-t-elle bien plus tard de son écriture sage sur sa fiche de l’Ofpra. La voilà « piégée », dit sa petite-nièce, assignée à résidence dans la capitale arménienne, où elle entame des études de philologie et enseigne à l’université. Le soir, elle rejoint seule son studio de l’avenue Staline (aujourd’hui avenue Machdots), l’une des deux grosses artères de la ville.


    Une carte de combattante des Forces françaises de l’intérieur délivrée à Mélinée Manouchian et retrouvée en décembre 2023 à Erevan. NAZIK ARMENAKYAN POUR « M LE MAGAZINE DU MONDE »


    Un des carnets de Missak Manouchian conservés au Musée d’art et de littérature d’Erevan. NAZIK ARMENAKYAN POUR « M LE MAGAZINE DU MONDE »

    https://justpaste.it/34i5d

    #apatrides #Résistance #PCF #URSS

  • Microsoft’s recent layoffs contradict what the company promised of its merger, the FTC says. - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/2/7/24065150/microsofts-recent-layoffs-contradict-what-the-company-promised-of-its-merg

    Microsoft’s recent layoffs contradict what the company promised of its merger, the FTC says.

    Pour le détail des observations de la FTC, voir les captures jointes à ce Tweet :
    https://twitter.com/tomwarren/status/1755309305866154194

    Réponse de Microsoft :
    Microsoft says Activision was already planning ‘significant’ layoffs. - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/2/8/24066089/microsoft-says-activision-was-already-planning-significant-layoffs

    Microsoft says Activision was already planning ‘significant’ layoffs.

    Plus détaillée dans ce Tweet :
    https://twitter.com/tomwarren/status/1755626533048209882

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #microsoft #acivision_blizzard #ftc #business #rachat #acquisition #finance #ressources_humaines #licenciements

  • Ruf nach Freiheit für Palästina wird als Straftat verfolgt
    https://www.wsws.org/de/articles/2023/11/15/rive-n15.html


    Nancy Faeser veut te faire emprisonner si tu appelles à la libération de la Palestine.

    On trouve toutes les informations de l’article suivant dans les grands medias « officiels » allemands aussi. Pourtant la quasi totalité de la presse, les chaînes de radios et de télévision de langue allemande nient la conclusion à tirer à partir des faits. C’est comme si je vous disait qu’il fallait appeller une colombe cet oiseau à la tête de canard qui fait coin-coin comme un canard et nage comme un canard.

    Pour la ministre de l’intérieur d’Allemagne un appel á la liberté est un crime. La qualité du novlang officiel vient de franchir un seuil inconnu jusqu’alors. En nous faisant avaler son crime contre la libre expression la ministre nous prépare à d’autres guerres impérialistes et génocidaires. Son gouvernement se montre en bon complice de ses alliés dépourvus de scrupules humanitaires.

    Ce n’est pas un événement isolé qui me fait arriver à ces conclusions. Pour décrire la situation politique en Allemagne nous disposons de nombreux éléments :

    – On réduit le niveau des salaires et retraites au point où la majorité de la population vit en dessous du seuil de pauvreté officiel.

    – On tient à l’écart des sources d’informations dissédentes la plupart des habitants du pays.

    – On persécute systématiquement les médias dissédents quand ils risquent de contribuer aux mouvements populaires contestataires.

    – On réduit le rôle de l’assemblée nationale à l’acclamation de textes de lois écrits par les groupes de puissants capitalistes. L’opposition de gauche denonce cette pratique mais sans succès.

    – On introduit des lois et structures de répression capables de mater toute expression de désaccord populaire. Les mesures anti-covid y ont largement contribué.

    – On conserve l’état de droit mais on le transforme en chimère par la réduction radicale du nombre de fonctionnaires chargés de la protection des citoyens contre l’exploitation, le crime et contre la fraude fiscale.

    - On impose la surveillance de la population en s’associant à un front unique de géants du numérique et de services secrets de pays étrangers.

    – On autorise la détention administrative des citoyens pour une durée maximale entre cinq jours et plusieurs semaines. Il suffit pour cela que la police soupçonne une personne de vouloir participer à des actes de contestation publique.

    – On dénonce les pacifistes comme meurtriers et ennemis de la liberte. On a testé l’efficacité de ce type d’argument fallacieux en en déclarant coupables de l’épidémie du covid les personnes non vaccinées.

    – On prétend voulour resoudre le problème de l’immigration par la surveillance et la fermeture de frontières au lieu de créer des conditions d’acceuil permettant aux nouveaux arrivants de contribuer au bien aller de tous. On abuse des immigrés en se servant d’eux comme briseurs de grève et travailleurs clandestins.

    – La ministre de l’intérieur décrète que tu te rendras directement à la case prison quand tu te prononceras pour la liberaration d’une région du monde gouvernée par des extrémistes génocidaires.

    – La ministre des affaires étrangères déclare devant les caméras de télévision qu’elle soutiendra l’armée en guerre d’un pays étranger contre la volonté de ses propres électeurs (le peuple).

    – Le ministre de « défense » s’engagé à améliorer l’état des forces armées jusqu’à ce quelles soient prêtes mener des guerres (Il a utilisé l’expression de l’époque de l’empire allemand et des nazis « kriegstüchtig ».)

    – On emprunte des centaines de milliards aux banques pour les dépenses militaires pendant qu’on réduit la valeur effective du budget de l’éducation et du social.

    Cette liste n’est pas complète mais suffisamment étoffée pour servir de base pour des analyses plus approfondies. Bien entendu le contexte de chaque élément est complexe et sujet à discussion. Pourtant j’y découvre beucoup de signes typiques pour la préparation d’un pays et de sa population à une guerre dans l’intérêt de la classe dominante.

    Si on veut continuer à vivre dans une zone hors guerre il faudra s’organiser pour freiner le projet meurtrier des puissants.

    Die Verbreitung der Parole „From the river to the sea, Palestine will be free” wird in Deutschland ab sofort als Straftat verfolgt, die mit Freiheitsstrafe bis zu drei Jahren oder mit Geldstrafe geahndet wird. Der Müchner Oberstaatsanwalt Andreas Franck, der auch Antisemitismusbeauftragter der bayrischen Justiz ist, hat bereits angekündigt, die Parole genauso zu verfolgen wie verbotene Nazi-Sprüche und Symbole.

    Als juristische Grundlage dient das Verbot der Hamas, das Bundesinnenministerin Nancy Faeser (SPD) am 2. November erlassen hat. Die Hamas galt zwar schon bisher als illegale terroristische Vereinigung, doch nun hat Faeser noch einmal eigens ein Vereinsverbot ausgesprochen, obwohl Hamas in Deutschland offiziell gar keine Organisation hat.
    Palästina-Demonstration am 4. November 2023 in Berlin

    In der fünfseitigen, im Bundesanzeiger veröffentlichten Verbotsverfügung werden „Kennzeichen“ der Hamas aufgelistet, deren öffentliche Verwendung verboten ist. Auf der Liste steht auch „die Parole ‚Vom Fluss bis zum Meer‘ (auf Deutsch oder in anderen Sprachen)“. Damit, so Oberstaatsanwalt Franck, könne der Satz gestützt auf Paragraph 86a Strafgesetzbuch, „Verwenden von Kennzeichen verfassungswidriger und terroristischer Organisationen“, bestraft werden.

    Bislang hatten deutsche Staatsanwaltschaften den Satz als legitim gewertet. Er sei grundsätzlich von der Meinungsfreiheit gedeckt, hatten die Staatsanwaltschaften in Berlin, München und anderen Städten erklärt, wie die Süddeutsche Zeitung berichtet. Wer sich wünsche, dass Palästina „frei“ sei, rufe nicht dringend zur Gewalt auf, sondern könne auch eine friedliche Änderung des Status quo meinen. Das Verwaltungsgericht Berlin hatte erst im August entschieden, dass die Parole für sich genommen nicht strafbar sei.

    Doch mit der Verbotsverfügung haben sich die juristischen Voraussetzungen geändert. Statt als „Volksverhetzung“, was eindeutige Anstachelung zu Gewalt voraussetzt, kann die Verwendung der Parole nun allein aus dem Grund bestraft werden, dass die Innenministerin sie zum „Kennzeichen“ einer verbotenen Organisation erklärt hat.

    In Wirklichkeit handelt es sich um einen willkürlichen Akt der Zensur und der Unterdrückung des Grundrechts auf Meinungsfreiheit.

    In den vergangenen Wochen sind weltweit Millionen Menschen aller Religionen und Nationalitäten, darunter auch Israelis und viele Juden, auf die Straße gegangen und haben gegen das israelische Massaker in Gaza protestiert. Darauf reagieren die Regierungen, die die israelischen Verbrechen unterstützen, mit Zensur, Einschüchterung und Unterdrückung.

    In Deutschland werden friedliche Demonstrationen von den Medien als „antisemitisch“ verleumdet und von der Polizei reihenweise verboten oder mit strengen Auflagen versehen. Große Polizeiaufgebote schüchtern die Demonstrationsteilnehmer ein, zensieren jedes gesprochene und geschriebene Wort, nehmen Teilnehmer reihenweise fest und beschlagnahmen Flugblätter und Transparente.

    Die Kriminalisierung des Rufs nach Freiheit für Palästina ist eine weitere Stufe in dieser Repressionsspirale. Dabei ist die Behauptung, der Ruf „from the river to the sea“ sei ein „Kennzeichen“ der Hamas, schlicht gelogen.

    Die Wurzeln der Parole gehen mindestens bis zur Gründung der Palästinensischen Befreiungsorganisation PLO im Jahr 1964 zurück. In der Palästinensischen Nationalcharta wurde Palästina als das historische britische Mandatsgebiet von 1947 definiert, das vom Fluss Jordan bis zum Mittelmeer reichte. Ausdrücklich wurde zwischen Juden als Religionsgruppe und dem Zionismus als „rassistische“ und „mit dem internationalen Imperialismus“ verbundene „politische Bewegung“ unterschieden. Die Charta erklärte zudem ausdrücklich, dass auch Juden Palästinenser sein können.

    Als Ziel der Palästinenser galt traditionell ein säkulares, demokratisches Palästina ohne Besatzung und Diskriminierung. So erklärte die Fatah von Jassir Arafat, die lange Zeit größte und dominierende Fraktion innerhalb der PLO, im Jahr 1969: „Die Fatah, die Nationale Befreiungsbewegung Palästinas, verkündet feierlich, dass das Endziel ihres Kampfes die Wiederherstellung eines unabhängigen, demokratischen Staates Palästina ist, in dem alle Bürger unabhängig von ihrer Religion die gleichen Rechte genießen werden.“

    Die Hamas entstand dagegen erst 1987 als palästinensischer Zweig der Muslimbruderschaft. In ihrer revidierten Charta von 2017 bekennt sie sich ebenfalls zu einem Palästina „vom Fluss Jordan bis zum Mittelmeer“. Damit hat sie nichts Neues erfunden, sondern lediglich eine jahrzehntelange Orientierung palästinensischer Organisationen übernommen.

    In der Charta der Hamas von 1988 war die Formulierung noch nicht aufgetaucht. Anders als in dieser ersten Charta unterscheidet in der drei Jahrzehnte später entstandenen Fassung auch die Hamas zwischen Judentum und Zionismus. Es heißt dort: „Die Hamas bekräftigt, dass ihr Konflikt mit dem zionistischen Projekt und nicht mit den Juden aufgrund ihrer Religion besteht.“

    Auch in der israelischen Politik gab es schon lange vor Gründung der Hamas immer wieder Bezüge auf die Formel „vom Fluss bis zum Meer“. Anders als in der Interpretation der PLO war damit allerdings kein säkularer, demokratischer Staat gemeint, sondern „Eretz Israel“, ein Staat unter jüdischer Vorherrschaft.

    Die heute regierende Likud-Partei von Premierminister Benjamin Netanjahu wurde ausdrücklich auf dieser Grundlage gegründet. Es heißt in ihrer ursprünglichen Plattform von 1977: „Das Recht des jüdischen Volkes auf das Land Israel ist ewig und unbestreitbar und ist mit dem Recht auf Sicherheit und Frieden verbunden; daher werden Judäa und Samaria keiner ausländischen Verwaltung übergeben; zwischen dem Meer und dem Jordan wird es nur israelische Souveränität geben.“

    Der heutige Finanzminister Bezalel Smotrich von der Partei „Religiöser Zionismus“, dem auch weitgehend die Siedlungen im Westjordanland unterstehen, hat für einen rechten israelischen Thinktank 2017 einen Aufsatz mit dem Titel „Israel’s decisive Plan“ verfasst, in dem es heißt: „Wir werden deutlich machen, dass unser nationales Streben nach einem jüdischen Staat vom Fluss bis zum Meer eine vollendete Tatsache ist, eine Tatsache, die nicht diskutiert oder verhandelt werden kann.“

    Die Anhänger vom Netanjahu und Smotrich in Deutschland müssen allerdings nicht fürchten, dass sie deshalb Besuch von der Staatsanwaltschaft bekommen. Mit einer israelischen Regierung, die die Politik, die Palästinenser zu töten und zu vertreiben, gerade mit mörderischer Gewalt in die Praxis umsetzt, erklärt die Bundesregierung ihre volle Solidarität und unterstützt sie dabei auch militärisch. Wer dagegen dafür protestiert, dass es „zwischen dem Fluss und dem Meer“ Freiheit und Gleichberechtigung statt Besatzung und Apartheid gibt, wird kriminalisiert.

    #Allemagne #Palestine #sionisme #persécution #liberté_d_expression #fascisme #politique #FTRTTS

  • Sony agrees to a Call of Duty deal with Microsoft - The Verge
    https://www.theverge.com/2023/7/16/23792215/sony-microsoft-call-of-duty-cod-deal-signed

    Sony has agreed to a deal for Call of Duty with Microsoft to keep the franchise on PlayStation after the proposed Activision Blizzard acquisition. Microsoft Gaming CEO Phil Spencer says Sony and Microsoft have agreed to a “binding agreement” to keep Call of Duty on PlayStation. It’s not immediately clear if this is a 10-year deal, like Microsoft has signed with Nintendo and other cloud providers.

    Phil Spencer sur Twitter :
    https://twitter.com/XboxP3/status/1680578783718383616

    We are pleased to announce that Microsoft and PlayStation have signed a binding agreement to keep Call of Duty on PlayStation following the acquisition of Activision Blizzard. We look forward to a future where players globally have more choice to play their favorite games.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #finance #rachat #microsoft #sony #activision_blizzard #jeu_vidéo_call_of_duty #ftc #cat #cma

  • Microsoft vs FTC : qui peut gagner ? Quels sont les secrets révélés ? Le récap du procès
    https://www.frandroid.com/marques/microsoft/1731565_microsoft-vs-ftc-qui-va-gagner-quels-sont-les-secrets-reveles-le-

    Le procès entre la FTC et Microsoft est devenue l’enjeu principal pour déterminer l’avenir du projet de rachat d’Activision Blizzard. C’est aussi l’occasion de découvrir des secrets de l’industrie.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #microsoft #activision-blizzard #ftc #rachat #finance #business #procès jeu_vidéo_call_of_duty

  • Défense des terroristes (Barta, Lutte de classe, nº25 (23 février 1944)
    https://www.marxists.org/francais/barta/1944/02/ldc25_022344.htm

    24 « terroristes » sélectionnés viennent d’être livrés à la publicité par la #Gestapo, pour dégoûter de l’armée clandestine qui lutte contre l’impérialisme allemand, la « bonne société » et les petits-bourgeois conformistes. Regardez-les, disent les scribes de la Gestapo, ces faces « rusées et cruelles » de Juifs, de Polonais, d’Italiens, d’Espagnols communistes : ces gens prétendent juger du destin de la France !

    Certes, d’après les prostitués de la presse bourgeoise ce sont les #Doriot et les Goering aux faces bouffies, et tous les engraissés du régime de terreur bourgeois qui doivent décider du sort de la France...

    Regardons-les bien, travailleurs : ces visages que le photographe et les commentaires des affiches veulent nous empêcher de voir sont des visages d’opprimés, des visages de travailleurs : ils sont notre propre visage. Comment ces têtes d’opprimés et d’exploités de plusieurs pays qui luttent à mort contre le régime capitaliste d’exploitation et de misère, ne feraient-elles pas écumer de rage les bourgeois gavés au marché noir et vautrés dans les bras de prostituées qu’ils entretiennent avec le sang et la sueur des ouvriers ?

    Regardons-les bien, camarades, ces têtes énergiques de jeunes qui bravent à leur « procès » les canailles galonnées chargées de les faire fusiller : leur courage doit servir d’exemple à tous les jeunes, à notre époque de guerres impérialistes et de guerres civiles.

    « Ils ont des dizaines de crimes sur la conscience », profèrent leurs bourreaux, experts dans l’assassinat de milliers d’hommes en un seul jour, en une seule bataille...

    « Ils ont suivi l’école du crime », clament les professeurs qui enseignent l’"art" de la tuerie à des milliers de jeunes de 16 ans arrachés à leurs familles contre leur gré...

    « Ils ne sont pas la France », affirment les tortionnaires du peuple français qui n’ont pas assez de leur milice, de leur police, de leur garde-mobile, des bandes fascistes et des troupes d’occupation spéciales pour venir à bout des dizaines de milliers de réfractaires à la déportation et au travail pour la guerre impérialiste, et qui se gardent bien de publier les listes des jeunes gens qu’ils abattent par dizaines tous les jours.

    « Ce sont des bandits », écrivent les journaux à solde, en exposant certains cas particulièrement suspects. Mais si l’activité de véritables bandits, parmi lesquels il ne faut pas oublier des bandits de la milice, de Doriot et de Déat, se poursuit impunément, n’est-ce pas là le résultat de l’anarchie croissante dans laquelle le capitalisme et la guerre ont jeté la société ?

    LA CLASSE OUVRIERE EST RESOLUMENT POUR CEUX QUI ONT PRIS LES ARMES CONTRE LES BOURREAUX FRANCAIS ET ALLEMANDS QUI MARTYRISENT LES PEUPLES ; ELLE ACCUEILLE AVEC MEPRIS LES MANŒUVRES DE DIVERSION DE LA BOURGEOISIE.

    Mais la classe ouvrière est inquiète ; elle ne comprend pas pourquoi des militants qui autrefois combattaient sans compromis la bourgeoisie de tous les pays, mènent actuellement leur lutte sous le drapeau tricolore et au bénéfice des armées de Washington, de Londres et d’Alger. Les ouvriers savent qu’ils n’ont rien à attendre d’une victoire d’armées capitalistes qui ne feraient que relever les armées allemandes dans leur rôle de gardes-chiourme pour maintenir le capitalisme. Ils savent que Roosevelt en Amérique et Churchill en Angleterre prennent contre la classe ouvrière les mêmes mesures que Hitler en Allemagne.

    LE PROLETARIAT CHERCHE DES MILITANTS ET UN PARTI QUI LUTTENT DIRECTEMENT POUR SES INTERETS, pour son relèvement économique et culturel, pour ses conquêtes de juin 1936, conquêtes qui sont également odieuses et qui rencontreraient la même résistance de la part de tout gouvernement capitaliste, totalitaire ou parlementaire.

    Servir la classe ouvrière, c’est lutter pour les Etats-Unis socialistes d’Europe, pour la transformation de la guerre impérialiste en guerre civile pour le socialisme. Lutter pour le triomphe de soi-disant démocraties sur le fascisme, c’est renouveler la trahison de 1914 quand les partis socialistes de l’Entente se mirent du côté de leur bourgeoisie sous prétexte de vaincre le militarisme.

    De même que la grande majorité des ouvriers socialistes comprirent la trahison de leurs chefs et passèrent à la IIIème Internationale de Lénine et de #Trotsky pour accomplir leur devoir de classe, de même la grande majorité des ouvriers communistes doit cesser de s’accrocher aux restes pourris de ce qui fut autrefois la IIIème Internationale pour lutter avec les militants de la IVème Internationale, PARTI MONDIAL DE LA REVOLUTION SOCIALISTE.

    Les militants combattants du PC restés fidèles à leur classe doivent se convaincre que le réveil de la classe ouvrière, par l’activité croissante de ses éléments les plus avancés et l’assaut de celle-ci contre le régime capitaliste, n’ont rien de commun avec la lutte sous le commandement des officiers réactionnaires de De Gaulle.

    La IVème Internationale appelle les meilleurs militants de la classe ouvrière à serrer leurs rangs autour du drapeau rouge communiste, qui triomphera envers et contre tous de la barbarie capitaliste et de la guerre !

    #Missak_Manouchian #Manouchian #PCF #résistance

    • Manouchian au Panthéon : morts d’hier et combines politiques d’aujourd’hui
      https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/06/21/manouchian-au-pantheon-morts-dhier-et-combines-politiques-da

      Le 18 juin, lors du traditionnel et obligatoire discours présidentiel sur la #Résistance, #de_Gaulle, l’#unité_nationale et l’habituel fatras tricolore, Macron a annoncé l’entrée de Missak et Mélinée Manouchian au #Panthéon.

      Ainsi, au milieu d’une campagne permanente contre les immigrés, les sans-papiers, les étrangers, après l’envoi de la police contre les travailleurs qui se battent pour leurs droits, après les litanies injurieuses contre « l’ultra gauche », le geste de Macron se voudrait dirigé vers sa gauche, en offrant à deux ouvriers communistes, arméniens arrivés clandestinement en France, une place aux côtés des grands hommes méritant la « reconnaissance de la patrie ». Cela ne concerne évidemment pas leur engagement communiste dans la lutte de classe des années 1930, mais le fait d’avoir été sous l’#Occupation les organisateurs des #FTP-MOI, les groupes armés issus du secteur Main-d’œuvre immigrée du PCF d’avant-guerre. Missak Manouchian et 23 de ses camarades, espagnols, italiens, juifs, arméniens, furent pour cela arrêtés et fusillés au mont Valérien en février 1944.

      Après la tragédie de 1944 vient la comédie politique d’aujourd’hui, soigneusement calibrée, du petit intérêt immédiat jusqu’à la préparation de sombres lendemains. Ce geste en direction de la gauche, et singulièrement du PCF, qui milite depuis longtemps pour la panthéonisation de Manouchian, veut démontrer la largeur d’esprit de Macron, son attachement au roman national, version de Gaulle-Jean Moulin-Résistance. Il lui fallait bien cela pour faire pendant à la quasi-réhabilitation du maréchal Pétain opérée en 2018. Cette célébration participe aussi du constant effort étatique et politique pour installer l’idée de l’unité nationale. Il s’agit, comme en toute circonstance, de persuader les travailleurs que, nés ici ou ailleurs, ils doivent être prêts à mourir pour la mère patrie, c’est-à-dire pour ses banquiers et ses industriels.

      L’opération politique n’est pas nouvelle et toute l’histoire de Missak Manouchian et des militants communistes entrés dans le combat contre le nazisme et l’État de Pétain en fut une tragique illustration. Leur courage et, pour beaucoup, le sacrifice de leur vie furent mis au service d’une bien mauvaise cause. Le PCF suivait depuis juin 1941 une politique d’union sacrée derrière de Gaulle, Roosevelt et Staline. Il s’agissait de vaincre l’Allemagne sans risquer de provoquer de crise révolutionnaire, comme celle commencée lors de la Première Guerre mondiale ou comme celle qui s’annonçait dès 1943, en Italie. Toute idée de lutte de classe devait donc être abandonnée au profit de l’unité nationale derrière la bourgeoisie. Personne ne peut savoir ce que Manouchian et ses camarades pensaient de l’abandon par le PC de tout internationalisme, de toute perspective révolutionnaire et de son alignement derrière un général réactionnaire. Quoi qu’il en soit, la direction stalinienne les envoya à la mort pour se faire admettre par les autres partis de la Résistance comme un parti « combattant pour la France ». Cette politique purement nationaliste allait contribuer à réinstaller après la guerre la république en tant que régime « démocratique » de la bourgeoisie capitaliste. C’est cette politique qui est aujourd’hui honorée par Macron, les médias unanimes et les héritiers revendiqués, à tort ou à raison, du #PCF de l’époque.

      Missak et Mélinée #Manouchian et leurs camarades, militants ouvriers abusés par les staliniens, combattants assassinés par les fascistes, internationalistes transformés malgré eux en icones nationales, avaient eu suffisamment de courage et de foi dans l’avenir pour offrir leur vie dans la lutte contre l’oppression. Cela les place hors d’atteinte des combinaisons minables d’un Macron et de l’exploitation de leur image par un PCF qui ne sait plus depuis longtemps ce que le mot #communisme signifie.

  • Cryptomonnaies : le capitalisme miné par la spéculation

    https://mensuel.lutte-ouvriere.org//2023/02/25/cryptomonnaies-le-capitalisme-mine-par-la-speculation_521784

    En novembre dernier, la société #FTX, la deuxième plate-forme mondiale d’échange de cryptomonnaies, a été déclarée en faillite. Son patron et fondateur, #Sam_Bankman-Fried, devenu multimilliardaire en quelques années et présenté jusque-là comme un génie de la #finance_2.0 par une partie du gotha capitaliste, a été arrêté de façon spectaculaire aux Bahamas, où sa société était immatriculée. En quelques mois, c’est tout le secteur des cryptomonnaies qui s’est lui-même effondré comme un château de cartes, à l’instar de la plus connue d’entre elles, le bitcoin.

    L’ensemble des actifs placés dans les différentes #cryptomonnaies (ou crypto-actifs), dont l’apparition en tant que marché attirant une masse significative de capitaux avides de placements très rentables remonte à une dizaine d’années, a atteint son pic à l’automne 2021, à 2 900 milliards de dollars. Une somme certes astronomique, mais qui ne représentait alors que 0,4 % de l’ensemble des actifs financiers dans le monde. Un montant en outre très largement revu à la baisse depuis l’effondrement de la valeur du #bitcoin et plusieurs scandales retentissants. Mais ce secteur n’en est pas moins un révélateur des tendances générales de la #financiarisation et de la décomposition de l’économie capitaliste. Un scandale après d’autres, révélateur du Far West financier Arrêté, puis libéré après avoir versé une caution de (...)

    #capitalisme #crise

  • Le capitalisme et ses salopards… ou la prédation comme vocation.

    D’ex-traders sur les cryptomonnaies se lancent… dans le business des faillites dans le secteur des cryptos, et misent sur la « cryptodétresse »

    Les anciens traders de Three Arrows Capital, auteurs avant FTX de la plus grande faillite d’une firme de trading sur les cryptos, tentent une reconversion inattendue. Elle fait polémique dans un secteur qui se remet à peine du séisme de FTX.

    Après avoir perdu des milliards de dollars, les #traders fautifs peuvent-ils avoir une seconde chance ? Avant #FTX et Alameda Research, Kyle Davies et Su Zhu détenaient le titre de la plus grande faillite d’une firme de trading sur les cryptos.

    Les anciens fondateurs de #Three_Arrows_Capital (#3AC) tentent de nouveau leur chance en tablant sur la mansuétude des investisseurs. Ils ne changent pas d’environnement et se lancent… dans le business des faillites dans le secteur des #cryptos . De victimes, ils passent au statut de prédateurs. Ils ne veulent pas lancer un fonds ou une firme de #trading mais une plateforme d’échange baptisée provisoirement « #GTX ». Une allusion à « FTX » afin de montrer que, le « G » venant après le « F » dans l’alphabet, leur société inaugure une nouvelle ère. Ils espèrent lever 25 millions de dollars pour leur projet selon « The Block ».

    Le risque passe du trader au client
    Ce ne sont plus les traders de 3AC qui prendront des risques sur les marchés, mais les clients de leur plateforme. Ces derniers spéculeront sur les #banqueroutes des sociétés de cryptos et la probabilité de récupérer l’argent des clients. Ils pourront acheter ou vendre des créances plus ou moins douteuses de sociétés en #faillite, assorties de probabilités variables d’être remboursées.

    Comme dans le cas des faillites de FTX, Voyager, BlockFi et Celsius, des créanciers désireux de récupérer tout de suite leur argent doivent abandonner leurs droits à de futurs remboursements. En échange de cette rentrée d’argent immédiate, ils doivent accepter aussi de perdre l’écrasante part de leur investissement - près de 90 % pour les clients de FTX. Si ces derniers abandonnent leurs créances sur la plateforme GTX, ils recevront non pas de l’argent mais une crypto stable (ou #stablecoin) « USDG », censée être équivalente au dollar. Un risque supplémentaire.

    Ce business de la « #cryptodétresse » est florissant après 12 mois de chaos sur les marchés. Les faillites ont fait des millions de victimes. Autant de clients potentiels. […]

    (Les Échos)

  • L’ « altruisme affectif », une philosophie de merde pour les plus débiles des possédants. Donc, si vous entendez parler d’« #altruisme_affectif », sortez votre révolver.

    #Sam_Bankman-Fried, accusé de fraude à l’encontre des 9 millions de clients de #FTX, se réclamait de l’altruisme effectif, un mouvement philosophique utilitariste. La chute du fondateur et son arrestation entraînent une remise en question au sein du mouvement, très apprécié des #milliardaires de la #Silicon_Valley.

    L’altruisme effectif se retrouve, bien malgré lui, sous les feux des projecteurs. Sam Bankman-Fried, le fondateur de FTX, qui se réclamait de cette philosophie, attend son procès dans la maison de ses parents à Palo Alto. Il est soupçonné d’avoir commis « l’une des plus grandes fraudes financières de l’histoire des Etats-Unis », selon les autorités.
    Avant l’effondrement de sa plateforme de cryptomonnaies, les portraits élogieux abondaient pourtant dans les médias outre-Atlantique. « Sam Bankman-Fried a amassé 22,5 milliards de dollars avant ses 30 ans en profitant du boom des cryptomonnaies - mais il n’y croit pas vraiment. Il veut juste que sa fortune subsiste assez longtemps pour tout donner », écrivait le magazine « Forbes » en 2021. « Mon objectif est d’avoir de l’impact », répétait l’entrepreneur. A l’époque, il n’avait donné qu’une fraction de sa fortune, 25 millions de dollars, soit 0,1 %. Mais il espérait donner bien davantage un jour, disait-il. Depuis sa chute, l’ex-milliardaire a laissé entendre - dans une conversation qu’il croyait privée avec une journaliste de Vox - qu’il jouait surtout un rôle pour soigner son image.
    L’implosion de FTX remet en cause les fondements de l’altruisme effectif. Ce mouvement, né à la fin des années 2000 au Royaume-Uni, s’inspire largement des travaux de Peter Singer, un philosophe australien. Mais c’est aux Etats-Unis, dans la Silicon Valley en particulier, qu’il remporte ses plus francs succès.
    L’altruisme effectif s’inspire de la théorie économique classique. Il reprend notamment la notion d’utilité, qui correspond au bien-être d’un individu, et la transpose au domaine de la philanthropie. L’altruisme effectif s’efforce de maximiser le bonheur collectif, en distribuant l’argent de la façon la plus efficace possible. Il considère que cet impact peut être mesuré précisément, en années de vie ajustées en fonction du bien-être ressenti. Parmi les solutions privilégiées par les altruistes effectifs figurent notamment des ONG qui distribuent des moustiquaires imprégnées d’insecticide dans des pays en développement. Une façon d’améliorer la qualité de vie du plus grand nombre de personnes possibles à moindre coût. Mais les altruistes effectifs se laissent parfois aller à des débats abscons : ils débattent par exemple de l’impact exact du déparasitage sur la qualité de vie. Faut-il financer le déparasitage dans les pays pauvres, ou financer des études pour mesurer sa traduction en années de vie prospère ?
    Dans un libre publié l’été dernier, « What We Owe the Future », William MacAskill expose des idées long termistes. Le livre a été partagé par #Elon_Musk sur Twitter avec pour commentaire : « Cela vaut la peine de le lire. C’est très proche de ma philosophie. » Il n’est pas le seul, parmi les milliardaires de la tech, à se passionner pour ces idées.
    « Il y a une religion dans la Silicon Valley (long termisme, altruisme effectif et autre) qui s’est persuadée que la meilleure chose à faire ’pour l’humanité’ est de mettre autant d’argent que possible dans le problème de l’AGI », l’IA générale, relève Timnit Gebru, spécialiste de l’éthique dans la tech. « C’est la religion des milliardaires, elle leur permet de se sentir vertueux. La plupart sont des hommes blancs, très privilégiés » poursuit la chercheuse, qui a quitté #Google en l’accusant de censure.
    Les altruistes effectifs consacrent des sommes folles à des projets qui ne porteront leurs fruits que dans des dizaines d’années, au mieux. Ils investissent ainsi dans l’#IA ou la recherche médicale pour réduire les chances d’extinction de l’humanité. Ce qui donne lieu à des calculs très hypothétiques. « Si des milliers de personnes pouvaient, avec une probabilité de 55 %, réduire les chances d’extinction de l’humanité de 1 %, ces efforts pourraient sauver 28 générations. Si chacune de ces générations contient chacune 10 milliards de personnes, cela représente 280 milliards de personnes qui pourraient vivre des vies florissantes », écrit l’association 80.000 Heures sur son site.
    Sam Bankman-Fried, étudiant, était convaincu par l’altruisme effectif. Végan, il envisage d’abord de consacrer sa vie au bien-être animal, mais une rencontre avec #William_MacAskill le persuade d’aller dans la finance. Il commence comme #trader à Wall Street, avant de créer Alameda Research, qui tire profit des différences de prix entre le bitcoin en Asie et en Amérique.
    Frustré par les inefficacités sur les marchés des cryptos, il fonde FTX en 2019, toujours obsédé par l’impact. « Pour moi, ce que signifie [l’altruisme effectif], c’est gagner le maximum d’argent pour donner le maximum à des organismes charitables parmi les plus efficaces au monde », déclare-t-il à CNBC en septembre 2022. Depuis la faillit, William MacAskill a pris ses distances : « S’il a fait un mauvais usage des fonds de ses clients, Sam n’a pas écouté attentivement. » La fondation 80.000 Heures, qui prenait en exemple la carrière de Sam Bankman-Fried, écrit : « Nous sommes ébranlés [...], nous ne savons que dire ni penser. » Au-delà du manque à gagner pour les organisations liées à l’altruisme effectif, la chute de FTX risque de remettre le mouvement en question. Il était temps, disent les détracteurs de cette #philosophie un peu trop sûre d’elle-même.

    (Les Échos)
    #fraude_financière #intelligence_artificielle #cryptomonnaie

  • Google, Nvidia Express Concerns to FTC About Microsoft’s Activision Deal - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2023-01-12/google-nvidia-express-concerns-to-ftc-about-microsoft-s-activision-deal

    Alphabet Inc.’s Google and Nvidia Corp. have expressed concerns to the Federal Trade Commission about Microsoft Corp.’s acquisition of Activision Blizzard Inc., adding fuel to the government’s case against the $69 billion deal, according to people familiar with the matter.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #microsoft #activision_blizzard #google #nvidia #ftc #federal_trade_commission #google_play #cloud_gaming #jeu_vidéo_call_of_duty #playstation #xbox_game_pass #google_stadia #geforce_now #sony #rachat #finance #business

  • An FTC Proposal Could Kill Noncompete Clauses
    https://gizmodo.com/noncompete-tech-jobs-linkedin-ftc-salary-promotion-1849954126

    Viva Lina Khan !!!

    “Noncompetes block workers from freely switching jobs, depriving them of higher wages and better working conditions, and depriving businesses of a talent pool that they need to build and expand,” said FTC Chair Lina M. Khan in a press release. “By ending this practice, the FTC’s proposed rule would promote greater dynamism, innovation, and healthy competition.”

    Elizabeth Wilkins, the Director of the Office of Policy Planning says that research shows that noncompetes restrict workers’ mobility and suppress workers’ wages, even those not subject to noncompetes or noncompetes that are unenforceable under state law. She added, “the proposed rule would ensure that employers can’t exploit their outsized bargaining power to limit workers’ opportunities and stifle competition.”

    Noncompete clauses are used to prevent workers from working for a competitor or starting a competing business either within a geographical area or for a certain period of time after the employee exits the company. The FTC estimates that 1 in 5 Americans, or 30 million workers, are bound by noncompete clauses. The commission argues that this restriction lowers wages, as workers are forced to remain at their current position and unable to negotiate a higher salary with a competitor, while preventing new businesses from forming.

    #FTC #Line_Khan #Conditions_travail #USA

  • Microsoft’s acquisition of Activision Blizzard: What’s going on and what happens next? | GamesIndustry.biz
    https://www.gamesindustry.biz/microsofts-acquisition-of-activision-blizzard-whats-going-on-and-what

    Microsoft’s proposed $70bn acquisition of Activision Blizzard is currently being scrutinised by regulators around the world.

    The latest headlines centre around the US Federal Trade Commission, which, after its own investigation into the potential impact of the deal, has filed a legal complaint against Microsoft and Activision in an attempt to block the merger.

    The regulation process is complicated, and involves various different bodies from different countries that must look at the deal before it can go ahead.

    Here’s everything you need to know about what’s going on, and where the key issues lie.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #finance #concurrence #microsoft #activision_blizzard #ftc #federal_trade_commission #ue #competition_and_markets_authority #cma #commission_européenne #federal_trade_commission #jeu_vidéo_call_of_duty

  • Microsoft’s ZeniMax Studios Organizes to Form Labor Union (MSFT) - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2022-12-05/microsoft-s-zenimax-studios-organizes-to-form-labor-union

    About 300 workers at Microsoft Corp.’s ZeniMax Studios, known for popular video games Skyrim and Fallout, have begun organizing to form a union in what would be the first at the software giant in the US.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #microsoft #zenimax #syndicalisme #jeu_vidéo_skyrim #jeu_vidéo_fallout #cwa #activision_blizzard #bethesda_softworks #jeu_vidéo_doom #id_software #arkane_studios #ftc

  • Activision Blizzard : les États-Unis attaquent Microsoft en justice pour bloquer le rachat
    https://www.frandroid.com/marques/microsoft/1561220_la-ftc-tente-de-bloquer-lacquisition-dactivision-blizzard-par-mic

    Le projet d’acquisition d’Activision Blizzard par Microsoft, d’un montant de près de 69 milliards de dollars, rencontre un nouvel obstacle de taille. La Federal Trade Commission (FTC) a lancé une action en justice fédérale antitrust pour bloquer l’opération.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #rachat #acquisition #finance #microsoft #activision_blizzard #ftc #sony #jeu_vidéo_call_of_duty #nintendo #console_switch #valve #steam #xbox #concurrence #jeu_vidéo_wow #jeu_vidéo_warcraft #jeu_vidéo_overwatch #jeu_vidéo_diablo #meta #withing #cma #ce #commission_européenne #zenimax #jeu_vidéo_starfield #jeu_vidéo_redfall

  • Rachat d’Activision par Microsoft : l’autorité de la concurrence américaine veut bloquer l’opération
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2022/12/08/rachat-d-activision-par-microsoft-l-autorite-de-la-concurrence-americaine-ve

    L’autorité américaine de la concurrence, la FTC, a porté plainte jeudi 8 décembre pour bloquer le rachat pour 69 milliards de dollars (65 milliards d’euros) d’Activision Blizzard, éditeur de jeux vidéo à succès comme Call of Duty, par Microsoft.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #finance #microsoft #activision_blizzard #jeu_vidéo_call_of_duty #ftc #concurrence #zenimax #bethesda_softworks #jeu_vidéo_starfield #commission_européenne

  • FTC Sues to Block Microsoft Acquisition of ‘Call of Duty’ Publisher Activision Blizzard
    https://www.vice.com/en/article/ake97g/ftc-sues-to-block-microsoft-acquisition-of-call-of-duty-publisher-activision-b

    The Federal Trade Commission is suing to block Microsoft’s acquisition of Activision Blizzard. The pending $68.7 billion deal would be the largest in video game history and see Microsoft take control of some of the most popular video game franchises on the planet, including Warcraft and Call of Duty.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #finance #acquisition #rachat #microsoft #activision_blizzard #ftc #jeu_vidéo_warcraft #jeu_vidéo_wow #jeu_vidéo_call_of_duty #jeu_vidéo_minecraft #zenimax #jeu_vidéo_elder_scrolls #jeu_vidéo_doom #jeu_vidéo_quake #bethesda #jeu_vidéo_starfield #sony #console_playstation #concurrence

  • The FTC is suing Microsoft to block its Activision Blizzard purchase - The Verge
    https://www.theverge.com/2022/12/8/23498224/ftc-microsoft-activision-blizzard-legal-challenge-sues-block

    The FTC has filed a legal challenge to try and block Microsoft’s plan to buy Activision Blizzard for $68.7 billion, according to a press release from the regulator. The lawsuit was filed today after weeks of back and forth between Microsoft, Sony, and regulators over competition concerns and the future of Call of Duty. The FTC argues that the acquisition would “enable Microsoft to suppress competitors to its Xbox gaming consoles and its rapidly growing subscription content and cloud-gaming business.”

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #finance #acquisition #rachat #microsoft #activision_blizzard #concurrence #ftc #jeu_vidéo_call_of_duty #xbox #console_xbox #xbox_game_pass #cloud_gaming #sony #nintendo #valve #cma

  • FTC sues to block Microsoft’s acquisition of Activision - The Washington Post
    https://www.washingtonpost.com/technology/2022/12/08/ftc-sues-microsoft-over-activision

    The Federal Trade Commission on Thursday sued to block Microsoft’s $69 billion acquisition of the video game publisher Activision Blizzard, charging that the massive deal would allow the Washington tech giant to suppress its competitors in gaming.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #acquisition #rachat #finance #ftc #concurrence #microsoft #activision_blizzard

  • Feds likely to challenge Microsoft’s $69 billion Activision takeover - POLITICO
    https://www.politico.com/news/2022/11/23/exclusive-feds-likely-to-challenge-microsofts-69-billion-activision-takeov

    The Federal Trade Commission is likely to file an antitrust lawsuit to block Microsoft’s $69 billion takeover of video game giant Activision Blizzard, maker of the hit games Call of Duty and Candy Crush, according to three people with knowledge of the matter.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #finance #acquisition #rachat #microsoft #activision_blizzard #activision_blizzard_king #ftc #régulateur #rumeur #mobile #sony #jeu_vidéo_call_of_duty #take_two #king #jeu_vidéo_candy_crush #xbox #playstation #console_xbox #console_playstation #cma #google #game_pass #console_stadia #epic_games #jeu_vidéo_fortnite #google_play #tencent

  • Can Big Tech Get Bigger? Microsoft Presses Governments to Say Yes.
    https://www.nytimes.com/2022/11/21/technology/microsoft-activision-deal.html

    Microsoft’s $69 billion deal for Activision Blizzard, which is undergoing reviews in 16 countries, has become a test for whether tech giants can buy companies amid a backlash.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #finance #acquisition #microsoft #sony #activision_blizzard #xbox #console_xbox #playstation #console_playstation #jeu_vidéo_candy_crush #jeu_vidéo_cod #jeu_vidéo_call_of_duty #concurrence #cwa #ftc

  • Lina Khan’s Battle to Rein in Big Tech | The New Yorker
    https://www.newyorker.com/magazine/2021/12/06/lina-khans-battle-to-rein-in-big-tech

    Open Markets studied industries ranging from banking to agriculture. In case after case, Lynn found, the number of companies in each market had been reduced to a few big entities that had bought up their competitors, giving them a disproportionate amount of power. Consumers had the impression of vast choices among brands, but this was often misleading: many of the biggest furniture stores were owned by one company; a large percentage of the dozens of laundry detergents in most supermarkets were made by two corporations. After consolidation, it became easier for furniture sellers and detergent manufacturers to raise prices, compromise the quality of their products, or treat employees poorly, because consumers and workers had few other places to go. It also became much more difficult for entrepreneurs to break into the marketplace, because competing with these giants was almost impossible. As huge companies became even bigger, much of the American middle class struggled with stagnant wages. In Lynn’s view, the issues were connected.

    Khan began researching book publishing. “There was a sense that this industry was in crisis,” she recalled. Publishers had come under pressure, first from chain stores like Barnes & Noble, and then from Amazon, which sold electronic books by pricing them at a loss, in order to encourage consumers to buy its Kindle e-book readers. Amazon eventually controlled more than seventy per cent of the e-book market, a dominance that gave it the ability to force publishers to accept its terms, undermining the business model they had long used to subsidize the creation of a wide variety of books. When publishers tried to band together to fight Amazon, the Justice Department sued them, fearing that their action would increase the retail price of e-books. The publishers saw Amazon’s power as potentially leading to a decline in the free exchange of ideas and as a crisis for democracy. Increasingly, so did Khan. Her work helped provide the basis for a piece that Lynn published in Harper’s, in February, 2012, called “Killing the Competition.” Today, he wrote, “a single private company has captured the ability to dictate terms to the people who publish our books, and hence to the people who write and read our books.”

    Khan told me that she started to see the world differently. “It’s incredible, once you start studying industry structure and see how much consolidation there has been across industries—in airlines, contact-lens solution, funeral caskets,” she said. “Every nook and cranny of our economy has consolidated. I was discovering this new world.” At one point, she investigated the candy market, identifying nearly forty brands in her local store that were made by Hershey, Mars, or Nestlé. In another project, about the raising of poultry, she found that most farmers had to purchase chicks and feed from the giant poultry processor that bought their full-grown chickens, which, because it had no local competitors, could dictate the price it paid for them.

    On June 15, 2021, Khan was sworn in as the chair of the Federal Trade Commission, the agency responsible for consumer protection and for enforcing the branch of law that regulates monopolies. At the age of thirty-two, she is the youngest person ever to head the F.T.C.

    Amazon taught a generation of consumers that they could order anything online, from packs of mints to swimming pools, and expect it to be delivered almost overnight. According to some estimates, the company controls close to fifty per cent of all e-commerce retail sales in the U.S. and occupies roughly two hundred and twenty-eight million square feet of warehouse space. It makes movies and publishes books; delivers groceries; provides home-security systems and the cloud-computing services that many other companies rely on. Amazon’s founder, Jeff Bezos, wants to colonize the moon. During the Presidency of Barack Obama, Amazon’s relentless expansion was largely encouraged by the government. The country was emerging from a devastating recession, and Obama saw entrepreneurs like Bezos as sources of innovation and jobs. In 2013, in a speech given at an Amazon warehouse in Chattanooga, Tennessee, Obama described the company’s role in bolstering the financial security of the middle class and creating stable, well-paying work. He spoke with near-awe of how, during the previous Christmas rush, Amazon had sold more than three hundred items per second. Obama was also close with Eric Schmidt, the former executive chairman of Alphabet, Google’s parent company. An analysis by the Intercept found that employees and lobbyists from Alphabet visited the White House more than those from any other company, and White House staff turned to Google technologists to troubleshoot the Affordable Care Act Web site and other projects. Between 2010 and 2016, Amazon, Google, and other tech giants bought up hundreds of competitors, and the government, for the most part, did not object. The analysis also found that nearly two hundred and fifty people moved between government positions and companies controlled by Schmidt, law and lobbying firms that did work for Alphabet, or Alphabet itself. When Obama left office, many of his top aides took jobs at tech companies: Jay Carney, Obama’s former press secretary, joined Amazon; David Plouffe, his campaign manager, and Tony West, a high-ranking official at the Department of Justice, joined Uber; and Lisa Jackson, the former head of the Environmental Protection Agency, went to Apple.

    As a result, antitrust policy, especially as it pertains to big technology firms, has emerged as one of the starkest differences between the Biden Presidency and the Obama one.

    Biden Administration has indicated that it wants to reshape the role that major technology companies play in the economy and in our lives. On March 5th, Biden named Tim Wu, a Columbia Law School professor and an anti-monopoly advocate who has argued that Facebook should be broken up, to the newly created position of head of competition policy at the National Economic Council, which advises the President on economic-policy matters. On March 22nd, Biden nominated Khan to her current role. And, in July, he selected Jonathan Kanter to head the antitrust division of the Department of Justice. Kanter left the law firm Paul, Weiss in 2020 because his work representing companies making antitrust claims against Big Tech firms posed a conflict for the firm’s work for Apple, among others. Wu, Khan, Kanter, and a handful of other anti-monopoly advocates have been referred to as members of a “New Brandeis movement,” after the Supreme Court Justice Louis Brandeis, whose decisions limited the power of big business.

    Benjamin Woodring, who worked with Khan on the Yale Journal on Regulation, said that she seemed more sophisticated than the typical law student. “She understood the political dimension of regulation and the lawmaking process,” Woodring told me. “It’s so easy for law students, especially relatively green ones coming straight from college, to just treat the study of law as this disembodied language in a vacuum. But, in reality, especially with things like antitrust and civil rights, it is very much a political struggle, a complicated journey that involves all three branches. She was comfortable with the nuts and bolts of how that process worked.”

    Khan started writing a paper arguing that the consumer-welfare standard was outdated, using Amazon as a case study. Amazon had avoided antitrust scrutiny so far, Khan wrote, because of the fixation on consumer prices. There was no question that consumers loved the convenience of being able to order almost anything on Amazon, and of the free and expedited shipping included in an Amazon Prime membership. Khan believed that the low costs to consumers were a short-term benefit that failed to account for the harm the company’s size and practices posed to the economy. She highlighted the company’s willingness to operate with billions of dollars in losses for years at a time, often by pricing products below what it cost to make and deliver them. This strategy has helped Amazon crush its competitors in so many markets that the company now provides critical infrastructure to other businesses, which rely on it to get their own products to market. It also has access to sensitive data about most of its competitors, who must use Amazon’s platform in order to survive. Khan proposed two ways to address the problem: One would be to return to the old idea of antitrust law, which focussed on preserving healthy competition rather than on the prices consumers paid. The second would be to treat Amazon and similar companies like public utilities, and to regulate them aggressively, including by requiring that their competitors be given access to their platforms on more favorable terms.

    Independent businesses tended to be reliant on Google, Amazon, Facebook, and Apple, in order to communicate with their customers and sell their products. Cicilline’s team described the big four as “gatekeepers” that dictated how other firms could operate. They discovered that leaders of companies were afraid of speaking out against any of the dominant tech firms, especially Amazon, and worried that their coöperation with the investigation would become public. The companies understood that Amazon could block them from doing business on its site, a tactic that Amazon had used in 2014, during the e-book-pricing dispute, when it removed books published by Hachette from its Web site.

    Cicilline opened the proceedings from the congressional hearing room. Before the pandemic, he noted, the companies in question were already “titans in our economy.” Since then, they had grown even more powerful, while locally owned businesses faced an economic crisis. “Open markets are predicated on the idea that, if a company harms people, consumers, workers, and business partners will choose another option. That choice is no longer possible,” he said. “Concentrated economic power leads to concentrated political power. This investigation goes to the heart of whether we as a people govern ourselves, or let ourselves be governed by private monopolies.” Khan sat beside him, in a pastel blazer and a mask.

    Most of the names mentioned in the press, however, were longtime corporate lawyers who had cycled in and out of government. Karen Dunn, a partner at Paul, Weiss who had served as White House counsel under Obama, and as a senior adviser and communications director to Senator Hillary Clinton, was rumored to be under consideration for a position in the Justice Department. Dunn had represented Uber and Apple, and advised Bezos during his antitrust subcommittee hearing. Renata Hesse, a Sullivan & Cromwell partner and former Obama Justice Department official who had worked for Google and advised Amazon on its 2017 purchase of Whole Foods Market, was said to be a leading candidate for the Assistant Attorney General for Antitrust position. Susan M. Davies, a corporate lawyer who had worked for Facebook, was rumored to be Attorney General Merrick Garland’s first choice for the antitrust job. Left-leaning news outlets published harshly critical articles about the pro-corporate direction Biden’s Administration seemed to be taking. On January 28th, a piece ran in the American Prospect with the headline “Merrick Garland Wants Former Facebook Lawyer to Top Antitrust Division.”

    Then, in March, Biden announced that he was nominating Khan to a seat on the F.T.C. Khan said that she was surprised when, a few months later, she was named chair. On July 9th, Biden issued an executive order instructing more than a dozen regulatory agencies to take aggressive steps to promote competition in the economy.

    Khan told me that her vision for the F.T.C. takes these challenges into account. “Antitrust needs to be on the table, but we need to have a whole host of other tools on the table as well,” she said. On September 22nd, she issued a memo outlining her priorities. One of them, she told me, was to address the merger boom that’s under way; during the first eight months of 2021, $1.8 trillion in mergers and takeovers was announced. Some of the largest corporations were set to become even bigger: Amazon announced a proposed acquisition of M-G-M studios; UnitedHealth Group proposed to buy Change HealthCare; A.T. & T. wants to merge WarnerMedia, which it owns, with Discovery. “There’s a very real risk that the economy emerging post-COVID could be even more concentrated and consolidated than the one leading up to it,” Khan said.

    The Wall Street Journal editorial page, which has published at least six critical pieces about Khan since she started, described her as “Icarus,” and said that her “power grab at the F.T.C. will end with her wings melting in the courts.”

    #Lina_Khan #Antitrust #FTC

  • This Train I Ride

    L’Amérique aujourd’hui. Un #train_de_marchandises traverse le paysage tel un gigantesque serpent de fer. Un jour, Ivy, Karen, Christina ont tout quitté, bravé le danger pour parcourir le pays à bord de ces trains. Elles les attendent, cachées dans des fourrés, dormant sous les ponts des autoroutes. Elles mènent une vie de #hobos (#vagabonds). Dans le fracas de la bête métallique, le réalisateur devient leur compagnon de route. Sur le rail et là où la vie les a menées, leurs trajectoires se croisent et se répondent : une rage de vivre, une quête spirituelle, une éternelle #rébellion. Elles sont plus fortes que la société, elles sont plus fortes que les hommes, elles sont libres.

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/59944_1
    #film #film_documentaire #documentaire
    #nomadisme #solitude #errance #train #femmes #USA #Etats-Unis #Freight_Train_Riders_of_America (#FTRA) #meurtres #assassinats #vagabondage #liberté