QUE FAIRE ?
POUR UN AVENIR DURABLE DE L‘HUMANITÉ
Les problèmes les plus pressants que l’Humanité doit résoudre dans les prochaines décennies sont connus du public, et commencent même à s’imposer : une population mondiale qui va très vite se chiffrer à dix milliards d’individus, des activités humaines qui influent sur le climat et dégradent l’environnement, des ressources qui s’épuisent, des inégalités croissantes entre pays pauvres et pays riches, des injustices sociales et les conflits qu’elles nourrissent ainsi que ceux qui s’aggravent entre intérêts nationaux et internationaux incompatibles.
Malheureusement, seule une minorité mieux informée est en mesure de réfléchir aux solutions scientifiques, philosophiques et politiques à ces problèmes. Pourtant, dans les pays riches, un nombre croissant de femmes et d’hommes commence à s’interroger sur les réponses concrètes à apporter, sur ce qu’il convient de faire, sur les possibilités que chacun a de s’engager.
Autant de questions auxquelles le cycle de courts métrages QUE FAIRE ? apporte des réponses ciblées. La parole est donnée à des spécialistes incontestés, indépendants, lucides. Les meilleurs de leur domaine : chercheurs en sciences naturelles et en sciences humaines, économistes, écologues, philosophes et militants. Avec force et clarté, ils présentent la situation, ils expliquent ce qu’il faut faire, ce qu’ils font eux-mêmes, ce que nous pouvons faire de notre côté.
Dans un premier temps, le cycle comportera 22 courts métrages d’environ 11 minutes. Chacun d’eux traite d’un aspect de cette problématique globale et complexe, dans la perspective d’un développement véritablement durable et d’une plus grande équité au niveau planétaire. - Et montre que des solutions existent.
En effet, il est possible de surmonter les obstacles qui empêchent l’avènement d’un monde durable et plus juste. Du point de vue technique, l’Humanité dispose des moyens de résoudre ses problèmes, aussi dramatiques soient-ils.
Ce qu’il manque ? Que suffisamment d’individus courageux comprennent les tenants et aboutissants de solutions difficiles à imposer, divulguent leurs connaissances et s’engagent activement. Ainsi se développerait de manière démocratique la nécessaire « masse critique » qui, aux moments déterminants des crises à venir, aiderait à prendre les bonnes décisions.