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RSS: #géographie_économique

#géographie_économique

  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 13/12/2018
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    @reka
    @simplicissimus
    @pierre5
    @mondes
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    Une #géographie_économique et une #cartographie des mutations du #système_productif de la #France sans déclinisme ni optimisme candide.

    ►https://sms.hypotheses.org/3517

    https://f.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1243/files/2015/02/made_in_france_icone-300x300.jpg

    #géographie, #économie, #cartographie, #carte, #France, #industrie, #entreprise, #produire, #productivité, #évolution, #système_productif, #production, #recomposition, #mutation, #échelle, #secteur, #région, #usine, #travail

    Mondes Sociaux @mondes
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  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 27/08/2018
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    @reka
    @pierre5
    @simplicissimus
    @02myseenthis01
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    Une #géographie_économique et une #cartographie des mutations du #système_productif de la #France sans déclinisme ni optimisme candide.

    ►https://sms.hypotheses.org/3517

    https://sms.hypotheses.org/files/2016/11/globe-297271_960_720-300x300.png

    #géographie, #économie, #circulation, #cartographie, #système_productif, #production, #concentration, #déconcentration, #sciences, #activité_scientifique, #espace, #ville, #masse_critique, #coopération, #collaboration, #diversification, #recherche, #localisation, #WOS

    Mondes Sociaux @mondes
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 17/02/2018
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    @reka
    @gastlag
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    La #Mondialisation des pauvres. Loin de Wall Street et de Davos

    La mondialisation ne se résume pas au succès de quelques multinationales et à la richesse d’une minorité de nantis. Les acteurs les plus engagés dans la mondialisation demeurent discrets, souvent invisibles. Depuis une trentaine d’années, les routes de l’échange transnational ont connu de profondes mutations. Elles relient aujourd’hui la Chine, l’atelier du monde, à un « marché des pauvres » fort de quatre milliards de consommateurs, en Algérie, au Nigeria ou en Côte d’Ivoire. Pour apercevoir ces nouvelles « Routes de la Soie », il faut se détacher d’une vision occidentalo-centrée et déplacer le regard vers des espaces jugés marginaux, où s’inventent des pratiques globales qui bouleversent l’économie du monde. On découvre alors une « autre mondialisation », vue d’en bas, du point de vue des acteurs qui la font.

    http://ref.lamartinieregroupe.com/media/9782021366525/grande/136652_couverture_Hres_0.jpg

    ▻http://www.seuil.com/ouvrage/la-mondialisation-des-pauvres-armelle-choplin/9782021366525
    #livre #globalisation #marginalité #économie #marges #géographie_de_la_mondialisation #ressources_pédagogiques #post-modernisme #pauvreté #économie #marginalité #géographie #géographie_économique
    #inégalités #mondialisation_des_pauvres

    • #Algérie
    • #Chine
    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 9/04/2018

      Olivier Pliez : « Avec le #bas_de_gamme et la #contrefaçon, la mondialisation s’installe au plus près des pauvres »

      Les géographes #Armelle_Choplin et #Olivier_Pliez ont suivi à travers le monde les #vêtements, #jouets et autres extensions de cheveux de leur lieu de fabrication jusqu’au marché où ils sont vendus. Ces objets sont les indices d’une « mondialisation des pauvres » qui s’étend jusque dans les pays occidentaux.
      Peut-on parler de mondialisation sans passer par Wall Street, Davos, et tous les hauts lieux qui en sont habituellement les symboles ? Oui, répondent les géographes Armelle Choplin et Olivier Pliez dans la Mondialisation des pauvres (Seuil, La République des idées, 2018). Délaissant Manhattan ou la City de Londres, ils se sont rendus en #Afrique_du_Nord et dans le #golfe_de_Guinée, mais aussi en #Turquie et en #Chine, pour montrer que des espaces pauvres, que nous croyons exclus de la globalisation économique, ont aussi leurs réseaux internationaux. A défaut d’actions et de flux financiers, ces circuits voient transiter des produits bas de gamme : vêtements, électroménager, tongs, extensions de cheveux ou encore parpaings et ciment.
      En retraçant les parcours de ces #objets, ils dessinent les #réseaux d’une « #mondialisation_par_le_bas », de plus en plus sophistiqués et de plus en plus étendus. Né au cours des années 90 dans les marchés installés dans de nombreuses villes méditerranéennes comme Marseille, ce commerce à bas prix explose dans des métropoles chinoises d’envergure mondiale, où les produits bas de gamme s’exportent par conteneurs entiers. Olivier Pliez revient sur les logiques d’organisation de ce #commerce.

      Vous présentez cette « mondialisation par le bas » en suivant des objets à travers le monde. Comment les avez-vous choisis ?

      Nous avons sélectionné ceux qui révélaient l’étendue des réseaux à travers le monde. Nous racontons ainsi comment un homme d’affaires a fait fortune grâce aux extensions de cheveux artificiels : simple revendeur de mèches à Barbès dans les années 80, il est ensuite devenu le principal revendeur pour l’Europe, avant d’installer ses propres usines au Bénin puis au Nigeria, où il emploie 7 000 personnes ! Cet exemple de réussite économique, où des produits fabriqués en Afrique se vendent en Europe, nous pousse à sortir de nos schémas habituels : l’Afrique n’est pas seulement un continent pris au piège de la Françafrique ou de la Chinafrique. Certes, la mondialisation est avant tout un rapport de dominant-dominé, avec des riches qui exploitent des pauvres, des Nord qui profitent des Sud. Mais ces espaces pauvres et dominés intéressent le marché car ce sont des lieux de #consommation - je pense à des produits neufs mais aussi, par exemple, aux voitures de seconde main en provenance d’Europe - et parfois même des lieux de production d’objets que l’on ne trouve pas ailleurs. Nous essayons donc de montrer comment des marchands, des fabricants, qui ne sont pas les plus armés face à la mondialisation, arrivent tout de même à tirer parti de ces #réseaux_d’échanges.

      Comment a évolué ce commerce au fil du temps ?

      Tout a commencé dans les années 80 avec le « #commerce_au_cabas » : des gens se rendaient dans des marchés tel celui de #Belsunce à #Marseille. Ils achetaient des produits bas de gamme comme des vêtements, des objets électroniques ou du petit électroménager, qu’ils ramenaient à la main au Maghreb pour les rerevendre. Ce commerce est un succès, et la demande se fait de plus en plus forte, à tel point que les marchands augmentent les volumes et achètent les marchandises par conteneurs entiers. Ils vont alors se fournir vers des villes plus grandes : d’abord #Istanbul, puis #Dubaï, et enfin, des villes chinoises comme #Yiwu : véritable #ville-marché à deux heures de train au sud de Shanghai, on y trouve des magasins d’usines ouverts 364 jours par an, où l’on peut se fournir en « menus articles », c’est-à-dire des #appareils_ménagers, des #jouets, de la #papeterie, des #vêtements ou encore des #objets_religieux. Dans les cafés, des marchands parlent « affaires », dans toutes les langues.

      Marseille, Istanbul, Dubaï, et maintenant Yiwu : pourquoi ce commerce se déplace-t-il à l’Est ?

      Chaque changement de ville correspond à un élargissement des lieux de consommation, et donc à une augmentation de la demande. A Marseille dans les années 90, le marché alimente surtout le #Maghreb. Puis les marchands maghrébins sont partis se fournir à Istanbul, au moment où la chute de l’URSS fait exploser la demande de consommation dans l’aire ex-soviétique. Cette ville offre alors des prix plus intéressants que Marseille. Lorsque Dubaï émerge à son tour, ce sont l’#Iran et toute la #corne_de_l’Afrique qui s’ajoutent à la liste des lieux de consommation. Enfin, en Chine, Yiwu est une #ville_globale, qui vend des produits dans le monde entier. En plus des affiches en arabe ou en russe, on voit aussi des panneaux en espagnol, preuve de la présence de marchands latino-américains.

      Les villes qui se font doubler perdent-elles leur rôle commercial ?

      A Marseille, le #marché_de_Belsunce a disparu et le quartier est en cours de #gentrification. A Istanbul ou Dubaï, villes très internationales, le commerce reste très actif mais répond à des besoins plus spécifiques : par exemple, Dubaï assure des livraisons plus rapides que Yiwu. Plus largement, pour rester en compétition, de nombreuses villes se spécialisent : celles de #Malaisie vendent des #meubles_en_bois, celles du #Vietnam du #textile, etc.

      Qu’est-ce qui explique en Chine le succès de Yiwu, bien moins connue qu’Istanbul ou Dubaï ?

      Yiwu est connue des grossistes, pas des touristes. Contrairement à ses concurrentes, elle s’est développée pour le marché, alors qu’ailleurs, le marché naissait dans la ville préexistante. A la fin des années 90, Yiwu a fait le choix d’installer des magasins ouverts toute l’année, alors que ses concurrentes chinoises proposaient des foires ouvertes dans un temps limité, ce qui était plus contraignant pour les acheteurs. De plus, elle permet l’exportation sur de petits volumes - l’équivalent d’un demi-conteneur -, ce qui attire des marchands moins fortunés. Et puis, Yiwu a aussi élargi ses gammes de produits, en continuant à vendre du bas de gamme, mais en ajoutant des éléments de meilleure qualité, toujours dans le domaine du vêtement, des jouets, du papier. Il y a quelques années, on y trouvait jusqu’à 90 % de produits de contrefaçon. Ce n’est plus le cas. Cela permet d’atteindre de nouveaux marchés de consommation, jusque dans les pays du Nord ! En France, certaines grandes surfaces discount ou de petites boutiques proposent des produits venus de villes comme Yiwu.

      Donc, la « mondialisation des pauvres » concerne aussi les pays riches ?

      Oui. On le voit par exemple à #El_Eulma, le plus grand marché d’#Algérie, connu dans tout le Maghreb. On y trouve notamment des vêtements et des #fournitures_scolaires que tout le monde vient acheter, y compris des personnes qui vivent en Europe mais qui y viennent pendant leurs vacances. Les mêmes types de produits sont ainsi présents en #Afrique, en #Amérique_latine, en #Asie_du_Sud-Est, mais aussi ainsi dans les pays occidentaux : à Yiwu, les Etats-Unis et l’UE figurent en bonne place dans les listes de clients importants. C’est en quelque sorte l’illustration concrète des nouvelles routes de la soie que la Chine étend dans le monde entier. Aujourd’hui, des trains relient Yiwu à Téhéran, mais aussi à Madrid et à Londres ou Budapest. Economiquement, le #transport_maritime reste moins coûteux, mais c’est un symbole important de l’étendue de sa puissance commerciale.

      Ces réseaux commerciaux pourront-ils satisfaire les futurs besoins de l’Afrique, en forte croissance démographique ?

      En ce qui concerne le besoin de consommation, oui. Ce sera notamment le cas du golfe de Guinée : cette région portuaire de 30 millions d’habitants, anglophones ou francophones, a de bons atouts pour s’intégrer aux réseaux mondiaux. Pour d’autres zones, comme pour la bordure méridionale du Sahel, ce sera plus dur, même si les grandes capitales de cette zone affichent des publicités pour le port le plus proche, ce qui montre l’existence de lien avec le commerce international. En revanche, les activités économiques ne fourniront pas d’emploi à tout le monde, loin de là.

      Votre livre montre des commerçants qui circulent dans le monde entier. Comment analyser les contraintes que leur impose la politique migratoire européenne ?

      Tous les spécialistes des migrations disent depuis trente ans : laissez-les circuler ! Les conséquences de la fermeture des frontières européennes sont faciles à mesurer. Dans les années 90 et 2000, Istanbul a attiré de nombreux commerçants qui ne pouvaient pas se rendre en France faute de #visa. Aux Etats-Unis, des travaux ont montré la même chose dans les relations avec l’Amérique latine : les personnes avec un double visa circulaient et créaient cette mondialisation. Quand les contraintes de circulation s’accroissent, le commerce ne s’arrête pas, il se reporte. C’est bien ce qu’ont compris les Chinois en créant Yiwu et en y garantissant un bon accueil des marchands maghrébins, et plus largement, arabes.

      Avec cette image d’hommes et de produits circulant pour le plus grand bien de tous, ne glisse-t-on pas vers une « mondialisation heureuse » qui néglige la question des inégalités ?

      Nous dénonçons cette mondialisation qui est source d’inégalités. Mais nous essayons de comprendre comment elle s’installe au plus près des pauvres pour les inclure dans le #marché. Ce n’est pas une mondialisation plus angélique que l’autre, mais on n’en parle pas ou peu, notamment parce qu’il est difficile de quantifier les #flux qui circulent, comme on le fait pour les autres lieux de la mondialisation. Il manquait aussi une géographie à ce champ très marqué par les sociologues et les anthropologues, c’est ce que nous avons voulu faire.

      ▻http://www.liberation.fr/debats/2018/04/06/olivier-pliez-avec-le-bas-de-gamme-et-la-contrefacon-la-mondialisation-s-
      #frontières #ouverture_des_frontières #fermeture_des_frontières #circulation #route_de_la_soie (les nouvelles "routes de la soie")

      CDB_77 @cdb_77
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  • @ville_en
    Ville En Guerre @ville_en 23/08/2016

    En cartes : pourquoi la récolte de céréales en France sera la pire depuis trente ans

    Les moissons ne sont pas encore terminées en France, mais les chiffres s’annoncent déjà désastreux. D’après les prévisions d’Agreste, l’organisme qui réalise des études statistiques pour le ministère de l’agriculture, le rendement de la récolte de blé tendre, la catégorie de céréales la plus utilisée dans l’alimentation, s’élèverait à 55,7 quintaux par hectare, soit son niveau le plus bas depuis trente ans :
    « En 2016, la production des cultures d’hiver enregistrera un recul historique en raison de la chute des rendements. »
    Mauvaise météo au printemps, crues, proliférations de maladies et de ravageurs… Un bouquet de facteurs défavorables aura eu raison de la moisson 2016. Décryptage en trois cartes de cette catastrophe agricole.

    ►http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/08/12/en-cartes-pourquoi-la-recolte-de-cereales-sera-la-pire-depuis-trente-ans_498

    Une météo trop humide

    http://s2.lemde.fr/image/2016/08/12/534x0/4982038_6_ac7f_rapport-a-la-normale-etablie-entre-1981-et_b3805f92596bbbea9950660fcd0d6616.png

    Un manque d’ensoleillement

    http://s2.lemde.fr/image/2016/08/12/534x0/4982037_6_04a5_la-moyenne-francaise-pour-le-rendement-des_c27917ae73d26e5a5c0d0398e95e7e26.png

    #Géographie #Systèmes_Productifs #Agrégation_Interne #Agrégation_d_Histoire_et_de_Géographie #Géographie_Rurale #Géographie_Agricole #Géographie_Économique #Moisson #Céréales #Céréaliculture #Inondations #Climat #Climatologie #Catastrophe #Risques #Géographie_des_Risques

    Ville En Guerre @ville_en
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 12/01/2016
    7
    @fil
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    @monolecte
    @7h36
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    7

    L’emploi et le territoire : l’émergence des « monstropoles » – carToTem – fabien lambertin cartography
    ►http://www.cartotem.fr/lemploi-et-le-territoire

    + 113 000 C’est le nombre d’emplois #salariés privés supplémentaires en France depuis 5 ans [20 000/an..., ndc] . Ainsi, en marge de la hausse historique du #chômage, le territoire français continue de créer de l’#emploi.

    Néanmoins, ce chiffre qui pourrait suggérer une bonne santé économique cache une profonde dualité spatiale, une #géographie_économique à deux vitesses qu’illustre parfaitement cette première anamorphose.

    http://www.cartotem.fr/wp-content/uploads/2015/11/anamorph_empINDUSsuppl_20092014_2-01.jpg

    On observe en effet un gain en emploi très fortement concentré géographiquement : six #bassins_d’emploi totalisant un surcroît de 184 000 emplois (Paris, Lyon, Toulouse, Nantes, Bordeaux et Saclay). Ce qui induit que le cumul des 316 autres zones d’emploi accuse un déficit de près de 71 000 emplois salariés. Globalement, 118 zones d’emploi présentent une évolution positive sur les cinq dernières années, pour 204 zones d’emploi qui connaissent des pertes, qui sont supérieures à 1 000 emplois pour 75 d’entre elles.

    Les grandes #métropoles ont donc fait mieux que résister aux effets de la crise depuis 2009. L’Est, le Nord et le grand Bassin Parisien paraissent en revanche plus que jamais écrasés par la capitale. C’est dans ce grand secteur géographique que l’on retrouve les zones d’emploi les plus en souffrance, exception faite de la zone d’emploi de Nice qui connaît des difficultés dans les secteurs du bâtiment et certaines activités de pointe.

    http://www.cartotem.fr/wp-content/uploads/2015/11/anamorph_empINDUSsuppl_20092014_2-01.jpg

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 14/01/2016

      #territoire #mobilité

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 15/01/2016

      Aaaah mais c’est pour ça que je comprenais rien au résumé : quand ça parle de « première anamorphose » avec des gains y compris dans le bassin parisien alors que la carte ci-dessus dit exactement le contraire, c’est parce que c’est celle là la première carte :

      http://www.cartotem.fr/wp-content/uploads/2015/11/anamorph_emptotsuppl_20092014_2-011.jpg

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 15/01/2016

      ah oui, dsl, m’ai trompé.

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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