• Emmanuel Todd : « La Russie gagne la guerre et l’Europe implose »

    La défaite de l’occident, ce n’est pas la victoire de la Russie, c’est une implosion de l’occident.
    Cf. L’augmentation de la mortalité infantile aux usa

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=AISnPMPUl4c

    #France #Russie #ukraine #USA #ue #union_européenne #économie #géopolitique #désindustrialisation #inégalités #Emmanuel_Todd #Angleterre

  • Vers l’#écologie_de_guerre. Une #histoire_environnementale de la #paix

    L’étrange hypothèse qui structure ce livre est que la seule chose plus dangereuse que la guerre pour la #nature et le #climat, c’est la paix. Nous sommes en effet les héritiers d’une histoire intellectuelle et politique qui a constamment répété l’axiome selon lequel créer les conditions de la paix entre les hommes nécessitait d’exploiter la nature, d’échanger des ressources et de fournir à tous et toutes la prospérité suffisante. Dans cette logique, pour que jalousie, conflit et désir de guerre s’effacent, il fallait d’abord lutter contre la rareté des #ressources_naturelles. Il fallait aussi un langage universel à l’humanité, qui sera celui des #sciences, des #techniques, du #développement.
    Ces idées, que l’on peut faire remonter au XVIIIe siècle, ont trouvé au milieu du XXe une concrétisation tout à fait frappante. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le développement des infrastructures fossiles a été jumelé à un discours pacifiste et universaliste qui entendait saper les causes de la guerre en libérant la #productivité. Ainsi, la paix, ou l’équilibre des grandes puissances mis en place par les États-Unis, est en large partie un don des #fossiles, notamment du #pétrole.
    Au XXIe siècle, ce paradigme est devenu obsolète puisque nous devons à la fois garantir la paix et la sécurité et intégrer les #limites_planétaires : soit apprendre à faire la paix sans détruire la planète. C’est dans ce contexte qu’émerge la possibilité de l’écologie de guerre, selon laquelle #soutenabilité et #sécurité doivent désormais s’aligner pour aiguiller vers une réduction des émissions de #gaz_à_effet_de_serre. Ce livre est un appel lancé aux écologistes pour qu’ils apprennent à parler le langage de la #géopolitique.

    https://www.editionsladecouverte.fr/vers_l_ecologie_de_guerre-9782348072215
    #guerre #environnement #livre

    • Ainsi, la paix, ou l’équilibre des grandes puissances mis en place par les États-Unis,

      Bon, c’est pas vraiment des synonymes, il me semble qu’on appelait même ça la guerre froide. Bonneuil et Fressoz appellent aussi ça le thanatocène, parce que c’est une période marquée par une destruction fulgurante, produite par les outils servant à faire la guerre (pas la paix).

      Je peux comprendre qu’après l’invasion de l’Ukraine par la Russie on ait pu espérer que la sobriété énergétique serait un truc rassembleur. Ce que les écologistes et les scientifiques n’avaient pas réussi à accomplir, peut-être que le soutien à l’Ukraine et un certain patriotisme allaient réussir à le concrétiser. Sauf qu’il est vite apparu qu’on allait se noyer sous le GNL et ses nouvelles infrastructures, que les échanges de fossiles continuaient bon train, et que, la guerre continuant elle aussi en laissant les négociations s’essouffler toutes seules, la destruction généralisée continuait tranquille.

      Il y a quelques années, le changement climatique était régulièrement retraduit dans les mots de la sécurité : la rareté des matières premières allait amener des guerres, l’abondance des matières premières (en Arctique dégelé) allait amener des guerres, les guerres allaient amener des migrants, la chaleur avait provoqué la guerre en Syrie, etc. Bref, le changement climatique était un "accélérateur de menaces". Maintenant, on a le complément qui t’enferme dans le cercle vicieux de la sécurité : la lutte contre les menaces sont retraduites dans le langage de l’écologie, de la lutte contre le réchauffement. Pour lutter contre la Russie, il te faut une #économie_de_guerre_climatique : des mines de lithium qui produiront des ev et des microprocesseurs pour des armes sophistiquées ; des éoliennes et des réacteurs qui produiront ton chauffage et des rafales.

      (Charbonnier a pu être moqué en « penseur du vivant » inoffensif ; j’ai l’impression qu’une même posture viriliste se manifeste là aussi.)

      L’étrange hypothèse qui structure ce livre a été succinctement discutée par Durand & Keucheyan
      https://shs.cairn.info/revue-green-2022-1-page-55

      l’écologie de guerre peut-elle être efficace du point de vue de l’avènement d’une économie bas carbone ? Et est-elle conforme aux valeurs d’une politique d’émancipation ?

      tldr : Ils répondent poliment non aux deux questions.

      Après, faudrait évidemment lire le livre.

    • Pour le philosophe, qui reprend les critiques du #pacifisme formulées par le juriste allemand (et nazi) Carl Schmitt, l’expression du rapport de force entre nations demeure indépassable. Par conséquent, un déplacement de l’écologie sur le terrain du « #réalisme » politique s’impose (soit une rupture franche avec une tradition libertaire importante au sein des mouvements écologistes contemporains). Ainsi, il aboutit à l’idée, essentielle, que, faute de gouvernance mondiale crédible, seuls les Etats les plus puissants, réunis en une coalition dominante, pourront imposer une transition aux acteurs ayant intérêt à défendre l’infrastructure fossile (qu’il s’agisse d’industriels, d’investisseurs, de travailleurs des secteurs menacés, d’Etats pétro-gaziers ou de nations dépendantes du charbon). A la lecture, on s’interroge néanmoins sur la façon dont cette coalition devrait « imposer » la transition aux acteurs en question. On aurait également apprécié des précisions sur la stratégie que devraient adopter les démocraties dans cette perspective (l’Europe devrait-elle s’associer à la dictature chinoise pour composer une coalition « post-carbone » ? Devrait-elle se rapprocher des Etats-Unis ?)

      Analysant la situation géopolitique depuis 2020, Pierre Charbonnier se réjouit de certains « bougés » de la part des grandes puissances, qui associent désormais écologie et questions stratégiques. L’Europe, réagissant à l’agression russe, promeut les énergies décarbonées dans une logique de sécurité (et pas uniquement protéger l’environnement). Après la Chine, les Etats-Unis de Joe Biden financent massivement leur industrie verte dans le but d’affirmer leur leadership. Ce changement de paradigme, à peine initié et toujours fragile, représente un espoir majeur selon l’auteur : celui de mettre en branle des puissances capables de gagner la guerre du climat, celui d’une écologie réellement (géo)politique.

      https://www.liberation.fr/culture/livres/lecologie-le-vert-de-la-guerre-selon-pierre-charbonnier-20240828_MQBVF5KB

  • Experte zu globaler Neuordnung: „China beansprucht mehr Gestaltungsmacht“
    https://www.telepolis.de/features/Experte-zu-globaler-Neuordnung-China-beansprucht-mehr-Gestaltungsmacht-983

    13.8.2024 vin Dietmar Ringel - China fordert Westen wirtschaftlich, politisch und militärisch heraus. Belt and Road Initiative und Aufrüstung im Pazifik. Reagiert Deutschland adäquat?

    China fordert Westen wirtschaftlich, politisch und militärisch heraus. Belt and Road Initiative und Aufrüstung im Pazifik. Reagiert Deutschland adäquat?

    Auch wenn die Schlagzeilen derzeit eher von den Kriegen im Nahen Osten und der Ukraine oder den bevorstehenden Präsidentschaftswahlen in den USA bestimmt werden – ein zentrales Thema der internationalen Politik ist und bleibt China. Die Beziehungen zum Westen, vor allem den USA, sind angespannt. Gerade gab es im Pazifik das US-geführte weltgrößte Seemanöver Rimpac – zum ersten Mal mit Beteiligung der Bundesmarine.

    Der chinesische Botschafter wurde ins Auswärtige Amt in Berlin einbestellt wegen des Vorwurfs, China habe eine deutsche Bundesbehörde ausspioniert. Und sowohl die USA als auch die EU haben Strafzölle auf chinesische Produkte wie Elektroautos verhängt. Angeblich verletzt China internationale Handelsregeln.

    Dietmar Ringel sprach mit ihm im Telepolis-Podcast über Chinas Rolle im Spiel der Weltmächte, die deutsche China-Politik und die Chancen und Risiken der Wirtschaftsbeziehungen mit China.

    Verschiebung globaler Kräfteverhältnisse

    ▶ Wie der Name Ihres Blogs schon sagt, geht es dort um die Verschiebung des globalen Kräfteverhältnisses, vor allem in Richtung China. Woran kann man messen, wie sehr sich das Kräfteverhältnis mittlerweile zugunsten Chinas verschoben hat?

    Thomas Bonschab: Ich glaube, das Beste ist, wenn man mal nicht auf die Tagespolitik schaut, sondern sich die großen Megatrends ansieht. Dann kann man erkennen, wie sehr China in den vergangenen Jahren an Bedeutung gewonnen hat. Blickt man auf die Situation in den 1950er-Jahren und auch noch in den 1970ern, dann war das wirtschaftliche Epizentrum, wo das meiste Bruttoinlandsprodukt generiert wurde, in der Mitte des Atlantiks zu verorten, mit den großen Zielfaktoren USA und Europa. Seither ist das kontinuierlich nach Osten gewandert.

    Es liegt heute schon deutlich entfernt von Europa, und Projektionen sagen voraus, dass in den 2050ern das Epizentrum irgendwo im Grenzbereich zwischen China und Indien liegen wird. Und wenn man an diesem Punkt, wo auch immer er sich dann genau befinden wird, einen Kreis von etwa 4.000 Kilometern zieht, dann leben innerhalb dieses Kreises mehr Menschen als außerhalb. Und diese Menschen beanspruchen momentan eine sehr starke Rolle bei der Gestaltung der Weltordnung.

    ▶ Nun ist die Wirtschaftsleistung aber nur ein Faktor, an dem man das messen kann. Es gibt ja nach wie vor viele Abhängigkeiten, zum Beispiel vom dollarbasierten Weltwährungssystem. Da versuchen die Chinesen, auch im Bündnis mit anderen, sich abzukoppeln, eigene Zahlungssysteme aufzubauen. Wie weit ist man damit bislang gekommen?

    Thomas Bonschab: Diese Prozesse stehen sicherlich noch am Anfang, aber es ist bemerkenswert, wie sehr sich Länder zusammenschließen. Erst über die Bric 2006, dann über die Brics mit Südafrika 2010, und jetzt sogar mit dem in diesem Jahr geschlossenen Brics-Plus-Bündnis. Das sind Länder, die eigentlich gar nicht so viel miteinander zu tun haben, die aber alle eines verbindet, nämlich Alternativen zum US-amerikanisch oder westlich geführten Finanzsystem zu entwickeln.

    Das sind alles noch Anfangsbewegungen, aber man darf sich da nichts vormachen. Es nimmt sehr stark Fahrt auf und wird sicherlich die Finanzarchitektur in den nächsten Jahren stark verändern.
    Investitionen rückläufig

    ▶ Es gibt darüber hinaus die „Belt and Road Initiative“, auch als neue Seidenstraße bekannt. Noch vor wenigen Jahren wurde dieses Projekt von vielen belächelt. Viel Gedöns, hieß es, und wenig dahinter. Außerdem diktierten die Chinesen anderen Ländern die Bedingungen. Es sei nicht von gegenseitigem Vorteil. Trotzdem läuft diese Geschichte weiter. Wo steht man im Moment?
    Thomas Bonschab

    Thomas Bonschab

    Thomas Bonschab: Die „Belt and Road Initiative“ hatte seine höchsten Finanzierungsausgaben sicherlich vor ungefähr fünf oder sechs Jahren. Es ist ein wenig nüchterner geworden, was auch der insgesamt globalen Abkühlung der Wirtschaft geschuldet ist. Auch China kann nicht mehr ganz so viel investieren, wie es das vorher getan hat.

    Dennoch sollte man im Westen solche Prozesse nicht kleinreden und sich darüber lustig machen. Denn es sind tatsächlich Versuche, Alternativen zu schaffen zu Investitionsmethoden, die wir gewohnt sind und die vom Westen gesteuert werden.

    Da gibt es ein ganzes Paket an Maßnahmen wie Prozesse zur Entdollarisierung des Zahlungssystems, aber auch die Gründung neuer Institutionen, wie zum Beispiel der Asian Infrastructure Investment Bank oder der New Development Bank als Alternativen zu den entsprechenden UN-Einrichtungen. Ich meine, man sollte das sehr genau beobachten.

    ▶ Wir müssen natürlich auch über das militärische Kräfteverhältnis reden. Da sind die Amerikaner nach wie vor dominant, aber China rüstet massiv auf. Wollen die Chinesen so stark werden wie die USA oder noch stärker? Und gibt es eine Militärdoktrin, die dahintersteckt?

    Thomas Bonschab: China beansprucht mehr Gestaltungsmacht, und das zeigt sich auch im militärischen Aufrüsten. Allerdings muss man dazu sagen, China hat momentan noch einen enormen Abstand zu den Vereinigten Staaten. Genau genommen haben alle Länder einen großen Abstand zu den Vereinigten Staaten.

    Man braucht sich nur die Zahl der Flugzeugträger anzuschauen, was ja ganze Städte sind als mobile militärische Einrichtungen. Aber China holt trotzdem auf. Hinzu kommt: Solche Einrichtungen wie ein Flugzeugträger oder Raketensysteme funktionieren nur, wenn auch die Cyber Security funktioniert. Und da haben nicht nur die Chinesen zugelegt, sondern auch Russland und andere Länder. Das macht dem Westen sicherlich große Sorgen.
    Rüstungswettlauf zwischen USA und China

    ▶ Aber noch einmal zu der Frage der Militärdoktrin. Sagen die Chinesen, dass sie die Amerikaner auf diesem Gebiet einholen wollen? Oder geht es vielleicht auch darum, gemeinsam das Niveau zu senken, um nicht so viel Geld für militärische Zwecke auszugeben?

    Thomas Bonschab: Eine solche Doktrin ist mir tatsächlich nicht bekannt. Es gibt sehr starke Ansprüche, vor allem im südchinesischen Meer und um das konfliktreiche Thema Taiwan. Ansonsten ist das aus chinesischer Sicht eher eine Zusammenstellung verschiedener Aspekte, in denen man versucht, Einfluss auf globaler Ebene zu gewinnen.

    Dazu gehört der Aufbau von Hardpower, also von militärischer Macht. Vor allem aber sind es sehr innovative neue Methoden, den Einfluss auf wirtschaftlicher Ebene zu erweitern. Und dann gibt es noch das große Thema des Aufbaus von Softpower. Aber da steht es um China nicht besonders gut.

    ▶ Der Westen wirft China zunehmend aggressives Verhalten vor – und da will ich die Stichworte Taiwan und Südchinesisches Meer aufgreifen. Dort beansprucht China etwa eine Reihe von Inseln für sich, es gibt Territorialkonflikte mit mehreren Nachbarstaaten. Ist China eine Gefahr für seine Nachbarstaaten, und handelt China in der Tat aggressiv?

    Thomas Bonschab: Ja, ich würde schon sagen, dass sich die Nachbarstaaten da nicht ganz umsonst Sorgen machen. China beansprucht schon zur Sicherung der Seewege große Teile des Südchinesischen Meeres, und eine Macht, die so schnell gewachsen ist wie die von China, setzt das in der Regel auch durch. Das ist historisch nicht ungewöhnlich.

    ▶ Kommen wir zu Taiwan. Aus Sicht Pekings ist Taiwan Bestandteil des chinesischen Territoriums. Es gibt auch immer wieder kleinere militärische Attacken wie Militärmanöver, in denen chinesische Kampfflugzeuge den Lauftraum Taiwans verletzen. Aus westlicher Sicht sind das Anzeichen dafür, dass China versuchen könnte, Taiwan militärisch zu besetzen. Ist diese Gefahr real?

    Thomas Bonschab: Die Ansage von chinesischer Seite heißt: Zum 100. Gründungsjubiläum der Volksrepublik China im Jahr 2049 muss Taiwan wieder voll integriert sein in das chinesische Festland. Nu gibt es verschiedene Interpretationen, die insbesondere aus den USA kommen und die meines Erachtens sehr interessant sind. Da geht es um die Frage, wann und wie diese Eingliederung passieren könnte. Dass es passieren wird, ist sehr wahrscheinlich. Aber wann und wie, ist offen.

    Eine Position dazu ist: Der globale Wechsel Taiwans von der einen imperialen Macht USA zur zweiten, also nach China, sei unabdingbar. Ob das mit friedlichen Mitteln verläuft und in welcher Geschwindigkeit, hänge von der Weisheit der politischen Führung in China ab. Das heißt, es könnte auch ganz ohne militärische oder sonstige Gewalt passieren. Diese Interpretation liebt die chinesische Regierung natürlich.

    Es gibt aber auch eine Zweite. Die besagt, dass wir uns gegenwärtig in einer sogenannten Danger Zone befinden, einer Gefahrenzone also, und dass eine Übernahme von Taiwan aller Voraussicht nach innerhalb der nächsten zehn Jahre stattfinden wird. Warum?

    Weil China momentan schon wieder auf dem absteigenden Ast sei, große demografische Probleme habe, große interne Schwierigkeiten, Umweltprobleme und so weiter. Deshalb, so die These, werde China Taiwan einnehmen, solange es noch die Kraft dazu hat. Das sind die beiden konkurrierenden Interpretationen. Ich kann leider nicht in die Glaskugel schauen. Wir können nur hoffen dass, wenn überhaupt, der erste Weg eingeschlagen wird.

    ▶ Aber damit ist ja auch ein großes Risiko für China verbunden. Wenn es wirklich einen militärischen Konflikt mit Taiwan vom Zaun bricht, ist doch klar, wie der Weste reagiert, dass es große weltpolitische Verwerfungen geben wird. Und derzeit ist es doch auch so, dass China und Taiwan z. B. durch gute Wirtschaftsbeziehungen gegenseitig voneinander profitieren …

    Thomas Bonschab: Auf jeden Fall. China ist momentan noch ganz stark abhängig von Taiwan. Sollte China wirklich rasant einen Konflikt mit Taiwan in dieser Größenordnung suchen, könnte man davon ausgehen, dass wirklich das schlimmste von allem eintritt. Nämlich, dass auch westliches Militär eingreift und wir dann in eine maximale Eskalation hineingehen. Insofern kann man nur hoffen, dass die chinesische Regierung vernünftig abwägt.

    Momentan ist das ein Grenzspiel, weil in China selbst durchaus auch nationalistische Kräfte unterwegs sind, die ein sehr viel dezidierteres Eingreifen fordern. Und es ist sicherlich auch nicht einfach für die aktuelle politische Führung, dem etwas entgegenzusetzen.

    ▶ Andererseits stellt sich China selbst als friedliebendes Land dar, das – anders als etwa die Staaten des Westens – nie Eroberungskriege geführt habe. Wie passt das dazu, wenn man dann doch ein militärisches Vorgehen gegen Taiwan nicht ausschließt?

    Thomas Bonschab: China hat keine konsistente Geschichte, um zu sagen, dass man nur friedlich unterwegs gewesen sei. In der 4.000-jährigen Geschichte Chinas gab es immer wieder Momente, in denen das Land sehr starke territoriale Eroberungen vorgenommen hat und danach wieder schrumpfte.

    Und was in den Randterritorien passierte, ist genau dasselbe wie bei allen anderen Großmächten. Es war nicht besonders nett, um es vorsichtig zu formulieren. Es war verbunden mit sehr viel Brutalität, Ausbeutung und so weiter. Wie gesagt, ganz ähnlich wie bei anderen Ländern mit Großmachtbestrebungen.

    ▶ Lassen Sie uns über das Verhältnis China-USA sprechen. Das sind die beiden mit Abstand führenden Weltmächte, wobei die Amerikaner gerade an Einfluss verlieren – Sie haben das ja eingangs mit Blick auf die Wirtschaftszahlen beschrieben. Wie groß ist die Gefahr, dass dieser Wettbewerb ausartet in eine eklatante Feindschaft bis hin zu möglichen militärischen Konflikten? Und welche Instrumente braucht es aus Ihrer Sicht, um das zu verhindern?

    Thomas Bonschab: Das Problem ist, dass die USA und China beide Anspruch auf Weltführung erheben. Besonders bedenklich ist – vor allem für jemanden, der wie ich vor allem wirtschaftlich unterwegs ist – dass es fatale Gemeinsamkeiten zwischen den beiden Ländern gibt. Dazu gehört vorwiegend die Neigung, dass man alles, was Handel und wirtschaftliche Kooperation betrifft, unter die Perspektive der nationalen Sicherheit stellt.

    Früher war es ja so, dass globaler Handel als ein Moment des freien Austausches galt. Heute wird fast jede Kooperation als ein Angriff auf die nationale Sicherheit gesehen. Das verbindet beide Länder. Ferner verbindet sie, dass es in militärischen und Sicherheitsfragen momentan keine festen Kommunikationsmechanismen zu geben scheint. Dazu fehlt wahrscheinlich auf beiden Seiten der politische Wille.

    Und jetzt vielleicht das Schlimmste: weder die USA noch China haben eine große Neigung zur Selbstbegrenzung. Der Weg, der da herausführen kann, ist meines Erachtens nur gegeben, wenn sogenannte Mittelmächte, also Mächte, die sich nicht einseitig auf die Seite der USA oder Chinas stellen und noch ein paar andere Kriterien erfüllen, versuchen, diesen Konflikt zu moderieren.

    ▶ Welche Mittelmächte könnten das sein?

    Thomas Bonschab: Es ist erstaunlich, welche Länder da teilweise unterwegs sind. Ich gebe mal ein Beispiel. Singapur – ein ganz kleines, auf der Landkarte nur stecknadelkopfgroßes Land, schafft es tatsächlich, sich mal auf die Seite der Amerikaner und dann aber wieder auf die Seite der Chinesen zu stellen und dabei so attraktiv zu sein, dass weder China noch die Vereinigten Staaten ohne Singapur können.

    Und damit nimmt man sehr viel Druck aus dem System raus. Andere Mittelmächte wären wahrscheinlich die Vereinigten Arabischen Emirate oder auch die Türkei. Deutschland im Moment allerdings nicht.

    ▶ Warum nicht?

    Thomas Bonschab: Deutschland wäre potenziell sogar mehr als eine Mittelmacht, nämlich eine Führungsmacht, also fast auf Augenhöhe mit den USA und China. Allerdings nur, wenn es eine gemeinsame europäische außenpolitische Haltung gäbe. Die gibt es aber nicht.

    Und es wird sie wahrscheinlich auch zeitnah nicht geben. Also muss man immer schauen, wie stark ist denn eigentlich die Gestaltungsmacht von Deutschland. Militärisch gesehen ist man, auch wenn gerade viel passiert, noch meilenweit von China entfernt, ganz zu schweigen von den Vereinigten Staaten.

    Was die wirtschaftliche Gestaltungsmacht Deutschlands angeht, so gab es in den letzten 20 Jahren einen starken Verlust. Als attraktiv gilt weiter die deutsche Softpower. Aber das alleine reicht nicht aus, um in einem Konflikt zwischen den beiden Großmächten zu intervenieren.

    Hinzu kommt, dass Deutschland in eine Falle getappt ist. Es ist vielleicht verständlich, aber nicht besonders klug, sich allzu einseitig auf die Seite des alten alliierten Freundes USA zu stellen und gleichzeitig keine Klarheit über den Umgang mit China zu haben. Vor allem, was die Wirtschaft angeht, denn unser wirtschaftlicher Reichtum wird ja auch in China generiert.

    ▶ Da möchte ich gleich anschließen. China ist ja seit Jahren Deutschlands wichtigster Handelspartner. Für viele deutsche Unternehmen ist der chinesische Markt unverzichtbar. Nun haben Sie gerade beschrieben, dass sich die deutsche China-Politik eher an der US-amerikanischen orientiert. Vertritt man da eigene Interessen zu wenig? Wie würden Sie überhaupt die Zielrichtung der gegenwärtigen deutschen China-Politik beschreiben?

    Thomas Bonschab: Als orientierungslos. In Deutschland werden momentan sehr viele Strategiepapiere von der Bundesregierung oder einzelnen Ministerien veröffentlicht – mit Blick auf China oder auch Afrika. Aber wie man in Zukunft mit den betreffenden Ländern umgehen will, kann man daraus nicht wirklich erkennen.

    Ich bin überzeugt, Deutschland sollte versuchen, sich in diesen ganzen Konflikten stärker zu neutralisieren und nicht einfach umzusetzen, was von den Vereinigten Staaten kommt. Man soll und man muss mit China auch klare Worte sprechen. Die chinesische Regierung kann das auch gut ab. Man darf die chinesische Seite nur nicht einfach als Feind adressieren.

    ▶ Eine zentrale Frage, die zu dieser Debatte auch dazu gehört, ist die der Menschenrechte. Das ist ja aus westlicher Sicht ein ganz entscheidender Punkt. Da gibt es viele Vorwürfe China gegenüber: Einschränkung der Meinungs- und Pressefreiheit, fehlender Parteienpluralismus bis hin zu Straflagern für Andersdenkende, massenhafte Vollstreckung der Todesstrafe und so weiter. Und da stellt sich natürlich die Frage, ob der Westen China unter diesen Umständen überhaupt als gleichberechtigten Partner akzeptieren kann.

    Thomas Bonschab: Die eine Frage ist, ob man das will. Die andere, ob man das ein Stück weit muss. Es ist ja einfach Fakt, dass China groß und mächtig und auch als Wirtschaftsstandort für Deutschland unverzichtbar geworden ist. Das heißt aber nicht, dass man in irgendeiner Form seine Werte zur Seite stellen muss und sagt, ich interessiere mich nicht für Menschenrechte in China.

    Meines Wissens hat die ehemalige Bundeskanzlerin Merkel auf ihren Reisen jedes Mal dieses Thema angesprochen. Dann ist passiert, was eben passiert, wenn man es mit einer Großmacht zu tun hat: Es gibt etwas Rührung, man lächelt ein wenig, sagt, man bleibt im Dialog – und dann passiert nicht viel. Das ist ein Dilemma, an dem ich leider auch nicht viel ändern kann.

    ▶ Sie sind vor allem wirtschaftlich aktiv, mit eigenen Unternehmen, mit solchen Unternehmen, denen Sie beratend zur Seite stehen. Ist das China-Geschäft für deutsche Unternehmen noch wirklich ein Zukunftsmodell?

    Thomas Bonschab: Ich würde unterscheiden zwischen Großkonzernen und mittelständischen Betrieben. Großkonzerne kommen meiner Meinung nach an China einfach nicht vorbei. Oder wie man so schön sagt: Das größte Risiko mit China besteht darin, nicht in China zu sein. Dazu sind die Märkte dort einfach zu bedeutsam. Und diese Unternehmen, diese Großkonzerne, haben alle dasselbe Problem. Sie geraten in den Strudel des Großkonflikts zwischen den USA und China und müssen irgendwelche Lösungen finden.

    Für mittelständische Unternehmen ist es noch viel schwerer. Die fühlen sich mehr oder weniger alleingelassen, auch von der Politik. Da kommen irgendwelche politischen Vorgaben, sowohl von der deutschen, vor allem aber von der chinesischen Seite. Stärkere Kontrollen in den Betrieben zum Beispiel.

    Oder weniger persönliche Freiheiten, was es immer schwerer macht, Mitarbeiter nach China zu schicken. Andererseits hat China manche westlichen Forderungen erfüllt. So kann man ohne Unternehmensbeteiligung, also ohne Joint Venture, in China tätig sein.

    Das ist heute kein Problem mehr. Man bekommt auch sehr viel leichter ein Visum. Wer nicht länger als zwei Wochen bleibt, braucht überhaupt kein Visum mehr. Chinesische Unternehmer haben dagegen derzeit fast keine Möglichkeit, ein Visum für Deutschland zu bekommen. Es ist also wirklich schwierig für deutsche Unternehmen. Sie können nicht ganz ohne China, aber es ist auch unattraktiver geworden.

    ▶ Hinzu kommt ja noch, dass die Politik massive Einschnitte vornimmt. Ich denke da zum Beispiel an die Strafzölle bis zu 37 Prozent, die die EU auf chinesische Elektroautos verhängt hat. Wie gerechtfertigt sind die aus Ihrer Sicht?

    Thomas Bonschab: Zunächst mal habe ich den Eindruck, dass Zölle immer eine schlechte Antwort auf die Verschiebung von Wettbewerbsfähigkeiten sind. Man darf ja nicht vergessen, wie das in China gelaufen ist. Wir bringen als Vorwurf immer die Subventionierung von chinesische Unternehmen. Tatsächlich wurden aber die Konsumenten subventioniert. Die wurden dabei unterstützt, auf Elektromobilität umzusteigen.

    Mit diesen Subventionen hätte man auch Elektrofahrzeuge von VW, Mercedes oder BMW kaufen können. Bloß die gab es nicht in China, weil sie bisher nicht gebaut wurden. Das ist auch jetzt noch so. Mit anderen Worten: Wenn man die politische Entscheidung trifft, den Klimawandel aufzuhalten und auf saubere Technologien umzurüsten, dann kann man schlecht Zölle einführen, weil diese Technologien nicht von uns, sondern von anderen kommen. Das ist es aber, was momentan passiert.

    Die EU sagt, wir haben den Wettbewerb ein wenig verschlafen, also lassen wir die anderen lieber gar nicht erst rein. Und es kommt noch ein Aspekt hinzu. Mir ist keine Großmacht bekannt, die ihre Strategie wirklich verändert hätte, weil ein anderer Wirtschaftsraum irgendwelche Zollbedingungen aufgesetzt hat. Weder bei den USA noch bei China fällt mir dafür ein Beispiel ein. Insofern glaube ich, dass die Zölle eigentlich nur allen Seiten wehtun, aber nicht viel Veränderung bringen werden.

    ▶ Sie haben beschrieben, dass die Subventionen in China die Konsumenten betreffen. Das Gleiche ist ja in Deutschland auch passiert. Es gab und gibt Kaufprämien für Elektroautos. Und die Amerikaner subventionieren ja auch ihre Wirtschaft, gerade was neue Technologien angeht. Machen die Chinesen also im Grunde nur das, was andere auch tun?

    Thomas Bonschab: Ja und nein. Also ja, sie machen das in einer ähnlichen Art und Weise, vielleicht etwas effizienter als viele europäische Länder. Aber es ist auch eine besondere Form von Industriepolitik, die in China stattfindet, mit der man sich auch tatsächlich auseinandersetzen sollte.

    Dabei geht es um eine enge Verzahnung von staatlichen Vorgaben bei der Finanzierung durch staatliche Banken, großen Staatsunternehmen und dem Privatsektor. Diese Verknüpfung ist für ausländische Unternehmen, abgesehen von Großunternehmen wie BASF oder Mercedes, sehr schwer zu durchschauen, geschweige denn zu knacken.

    Und dadurch entstehen tatsächlich Wirtschaftskräfte in China, bei denen wir in der Vergangenheit nicht mithalten konnten. Wir haben auch noch keine sinnvolle und schlagkräftige Antwort auf die chinesische Industriepolitik gefunden. Das wird, glaube ich, in nächster Zeit eine große Herausforderung für die Europäische Union. Und auch da gilt wieder, dass einzelne Länder das wahrscheinlich nicht schaffen werden. Dafür muss es europäische Lösungen geben.

    ▶ Lassen Sie uns zum Schluss noch mal auf das Weltgeschehen schauen. China nimmt ja mehr und mehr Einfluss auf die internationale Politik, versucht sich zum Beispiel als Vermittler in zentralen Konflikten. Kürzlich gab es in Peking ein Treffen der verfeindeten Palästinenserfraktionen von Hamas bis Fatah, vorher wurde zwischen Iran und Saudi-Arabien vermittelt. Und China gilt auch als möglicher Vermittler zwischen Russland und der Ukraine. Was ist Peking hier zuzutrauen?

    Thomas Bonschab: Ich persönlich würde nicht zu viel erwarten, denn China allein ist nicht attraktiv genug, auch nicht für die Ukraine. Und auch Russland wird sich nicht nur auf China verlassen können. China wird wahrscheinlich immer eine Rolle spielen bei der Lösung der globalen Konflikte. Aber sie werden das nur tun können in Kombination und mit Unterstützung der Mittelmächte, über die wir vorhin gesprochen haben.

    ▶ Noch einmal zu Russland. Der Westen wirft China vor, mit Blick auf den Krieg in der Ukraine nicht neutral zu sein, sondern auf der Seite Russlands zu stehen. Wie würden Sie das gegenwärtige Verhältnis Chinas zu Russland beschreiben?

    Thomas Bonschab: Es gibt viele Gründe, warum China und Russland sich zu wichtigen Allianzpartnern entwickelt haben. Russland ist ein wichtiger Partner in den Brics. Russland hat viele natürliche Ressourcen, die für China wichtig sind. Es gibt übrigens auch eine lange Grenze zwischen beiden Ländern und insofern das Bedürfnis, dass dort keine Konflikte entstehen. Aber das alles macht Russland und China bisher nicht zu Verbündeten.

    Meiner Ansicht nach sind sie verbunden, aber nicht verbündet. Der zentrale Markt für China ist Europa, nicht Russland. Und das Bruttoinlandsprodukt von China ist meines Wissens elfmal größer als das von Russland. Die Chinesen werden auch in Zukunft sehr stark darauf achten, dass ihnen Europa nicht verloren geht – schon um die eigene Wirtschaft zu schützen. Also, Russland ist ein wichtiger Partner für China, aber zugleich auch ein Dorn im Auge.

    Ich glaube nicht, dass der Überfall Russlands auf die Ukraine die Zustimmung der chinesischen Regierung gefunden hat. Man dürfte sich in Peking eher darüber geärgert haben.

    Im Telepolis-Podcast sprach Dietmar Ringel mit Thomas Bonschab, Unternehmer und Wirtschaftsberater mit 20 Jahren Erfahrung im China-Geschäft. Gemeinsam mit Prof. Robert Kappel ist er Herausgeber des Blogs „Weltneuvermessung“

    #Chine #économie #géopolitique #nationalisme #suprémacisme_han

  • Prise de #Terre et Terre promise : sur l’État colonial d’Israël
    https://www.terrestres.org/2024/08/02/prise-de-terre-et-terre-promise-sur-letat-colonial-disrael

    L’Etat israélien s’est bâti autour d’une double construction : celle d’une nation et celle d’un territoire originel. Dès lors, le rapport colonial d’Israël aux territoires palestiniens s’éclaire : les pollutions, des dépossessions, les destructions et les prises de terre s’inscrivent dans une volonté de créer de toute pièce une Terre promise. L’article Prise de terre et Terre promise : sur l’État colonial d’Israël est apparu en premier sur Terrestres.

    #Décolonial #Géopolitique #Guerre #Luttes

  • Enroulez cette carte du Sahel - by Rahmane Idrissa
    https://rahmane.substack.com/p/enroulez-cette-carte-du-sahel

    La similitude principale [entre les 3 coups d’état au Mali, au Burkina et au Niger] provient d’un désenchantement prononcé à l’endroit de la démocratie, réduite dans l’opinion générale, peu éclairée par des intellectuels démissionnaires (ou subrepticement hostiles à la démocratie), à ce qu’une classe politique de médiocre qualité en a fait. Une autre similitude est [..] la guerre djihadiste qui fait rage depuis 2012 sur une grande partie du territoire du Mali et du Burkina Faso, et sur une partie moindre du Niger. (La guerre a commencé au Mali, s’est étendue aux franges occidentales du Niger quelques années plus tard et a englouti les régions du nord et de l’est du Burkina Faso après 2018). Par conséquent, dans ces pays, les militaires ont d’abord justifié leur prise de pouvoir en invoquant l’incapacité des gouvernements civils à gagner la guerre.
    ... Mais le nationalisme a un besoin incessant d’ennemis. La France et les États-Unis, bien qu’ils se soient retirés du champ sahélien, demeurent des boucs émissaires de choix, mais il faut inventer de nouvelles sources de fureur patriotique : c’est tour à tour la Mauritanie et l’Algérie pour le Mali ; c’est la Côte d’Ivoire pour le Burkina Faso ; c’est le Bénin pour le Niger, puis pour le Burkina Faso ; c’est la CEDEAO, même l’Union Africaine pour les trois capitales. L’hostilité à l’égard de ces pays et entités peut paraître incompréhensible de l’extérieur, mais elle sert à préserver l’effet « rassemblement autour du drapeau » qui est le fondement de la légitimité des juntes, ou plutôt, de ce que Machiavel appelle la benivolenzia populare, la faveur populaire, l’amitié du peuple (popolo amico), béquille de qui s’est saisi du pouvoir par la violence.

    #sahel #géopolitique #Afrique

  • Le colonialisme israélien est-il en voie de disparition ?
    https://www.les-crises.fr/le-colonialisme-israelien-est-il-en-voie-de-disparition

    Le professeur Ilan Pappe s’est exprimé lors de la journée annuelle de commémoration des génocides organisée par l’IHRC [Islamic Human Rights Commission] à Londres, au Royaume-Uni, le 21 janvier 2024, sur la nécessité de comprendre que le génocide des Palestiniens auquel nous assistons actuellement, aussi brutal soit-il, est aussi la fin de ce que l’on […]

    #Géopolitique #Conflit_Israélo-Palestinien #Géopolitique,_Conflit_Israélo-Palestinien

  • Out of sight, out of mind : EU planning to offshore asylum applications ?

    In a letter sent to EU heads of state last month, European Commission president #Ursula_von_der_Leyen named 2024 “a landmark year for EU migration and asylum policy,” but noted that the agreement on new legislation “is not the end.” She went on to refer to the possibility of “tackling asylum applications further from the EU external border,” describing it as an idea “which will certainly deserve our attention.”

    “Safe havens”

    The idea of offshoring asylum applications has come in and out of vogue in Europe over the last two decades. In the early 2000s, a number of states wanted camps established in Albania and Ukraine, with the Blair government’s “safe haven” proposals providing an inspiration to other governments in the EU.

    The idea has come back with a bang in the last few years, with the UK attempting to deport asylum-seekers to Rwanda (a plan now shelved), and EU governments noting their approval for similar schemes.

    Austria plays a key role in the externalisation of border and migration controls to the Balkans, and the country’s interior minister has called on the EU to introduce “asylum procedures in safe third countries,” referring to “a model that Denmark and Great Britain are also following.” Denmark adopted their own Rwanda plan, but that was suspended last year.

    “Innovative strategies”

    Now the idea has made it to the top of the EU’s political pyramid.

    “Many Member States are looking at innovative strategies to prevent irregular migration by tackling asylum applications further from the EU external border,” says von der Leyen’s letter (pdf).

    “There are ongoing reflections on ideas which will certainly deserve our attention when our next institutional cycle is under way,” it continues, suggesting that the intention is to get working on plans quickly from September onwards.

    The news comes just as almost 100 organisations, including Statewatch, have published a statement calling on EU institutions and member states to uphold the right to asylum in Europe, underlining that attempts to outsource asylum processing have caused “immeasurable human suffering and rights violations.”

    Von der Leyen goes on to indicate that the offshoring of asylum applications may be tacked onto existing migration control initiatives: “Building on experience with the emergency transit mechanisms or the 1:1, we can work upstream on migratory routes and ways of developing these models further.”

    The phrase “the 1:1” refers to the intended human trading scheme introduced by the 2016 EU-Turkey deal: “For every Syrian being returned to Turkey from Greek islands, another Syrian will be resettled from Turkey to the EU.” In a seven-year period, up to May 2023, fewer than 40,000 people were resettled under the scheme, while tens of thousands of people remained trapped in Greek camps awaiting their intended removal to Turkey.

    The current Commission president, who is soon likely to be elected for a second five-year term, goes on to say that the EU can “draw on the route-based approach being developed by UNHCR and IOM,” allowing the EU to “support the setting up of functioning national asylum systems in partner countries while strengthening our cooperation on returns to countries of origin.” In short: someone else should take care of the problem.

    These efforts will be bolstered by the new Asylum Procedure Regulation, says the letter, with the Commission considering “how to better work in synergy with future designated safe third countries.”

    “Hybrid attacks”

    The letter closes with a consideration of the use of so-called “hybrid attacks” by the EU’s geopolitical enemies.

    “When I was in Lappeenranta [in Finland] in April, it was clear that Russia’s actions at the border with Finland, or those of Belarus at the border with Poland, Latvia and Lithuania, are hybrid attacks aimed at undermining the security of our external borders, as well as that of the border regions and our citizens,” von der Leyen writes.

    The Commission president goes on to suggest that more legislation may be forthcoming on the topic, further reinforcing the security approach to migration, despite the EU having only just approved rules on the issue, where the term used is “instrumentalisation of migrants.”

    “We will therefore need to continue reflecting on strengthening the EU’s legal framework to provide for an appropriate response not only from a migration but also from a security perspective in line with the Treaties,” says the letter.

    The need for new legislation is also hinted at in the “strategic agenda” adopted by the European Council at the end of June, the same meeting to which von der Leyen’s letter was addressed.

    That document states the European Council’s intention to “find joint solutions to the security threat of instrumentalised migration.”

    As for the people targeted by all these initiatives, they are barely mentioned in the letter – but von der Leyen notes that the Commission is “conscious of the need… to enable durable solutions to be found for the migrants themselves.”

    It might be remarked, however, that “solutions” will likely only be considered “durable” to the EU if they are outside its territory.

    https://www.statewatch.org/news/2024/july/out-of-sight-out-of-mind-eu-planning-to-offshore-asylum-applications
    #lettre #migrations #asile #réfugiés #externalisation #frontières #safe_havens #ports_sûrs #Tony_Blair #Albanie #Rwanda #pays_tiers #pays_tiers_sûrs #Autriche #Balkans #route_des_Balkans #Danemark #innovations #accord_UE-Turquie #1:1 #IOM #OIM #HCR #hybrid_attacks #attaques_hybrides #géopolitique #Russie #Biélorussie #frontières_extérieures #instrumentalisation #menaces_sécuritaires

  • Famine à Gaza : la grande majorité des enfants de moins de 5 ans passent des journées entières sans manger
    https://www.les-crises.fr/famine-a-gaza-la-grande-majorite-des-enfants-de-moins-de-5-ans-passent-de

    Depuis qu’Israël a commencé à envahir Rafah, le montant de l’aide entrant dans la région a chuté des deux tiers. Source : Truthout, Sharon ZhangTraduit par les lecteurs du site Les-Crises La grande majorité des enfants de moins de 5 ans à Gaza sont régulièrement contraints de passer au moins une journée entière sans manger, […]

    #Géopolitique #Conflit_Israélo-Palestinien #Géopolitique,_Conflit_Israélo-Palestinien

  • Les États-Unis s’inquiètent des frappes ukrainiennes sur les stations radar nucléaires russes
    https://www.les-crises.fr/les-etats-unis-s-inquietent-des-frappes-ukrainiennes-sur-les-stations-rad

    Washington a fait savoir à Kiev que les attaques contre les systèmes russes d’alerte précoce pourraient être déstabilisantes. Source : The Washington Post, Ellen Nakashima, Isabelle Khurshudyan Traduit par les lecteurs du site Les-Crises Les États-Unis craignent que les récentes frappes de drones ukrainiens visant les systèmes russes d’alerte nucléaire précoce n’inquiètent dangereusement Moscou, à un […]

    #Géopolitique #Russie #Ukraine #USA #Géopolitique,_Russie,_Ukraine,_USA

  • L’ancien chef du Mossad a menacé une procureure de la #CPI pour qu’elle abandonne son enquête
    https://www.les-crises.fr/l-ancien-chef-du-mossad-a-menace-une-procureure-de-la-cpi-pour-qu-elle-ab

    Selon certaines sources, le directeur du Mossad, Yossi Cohen, a été personnellement impliqué dans un complot secret visant à faire pression sur Fatou Bensouda pour qu’elle abandonne son enquête sur la Palestine. Source : The Guardian, Harry Davies Traduit par les lecteurs du site Les-Crises Espionnage, piratage et intimidation : la « guerre » menée […]

    #Géopolitique #Conflit_Israélo-Palestinien #Géopolitique,_Conflit_Israélo-Palestinien,_CPI

  • La colonisation sauvage de la Cisjordanie se poursuit tandis que le génocide frappe Gaza
    https://www.les-crises.fr/la-colonisation-sauvage-de-la-cisjordanie-se-poursuit-tandis-que-le-genoc

    La Cisjordanie est le principal défi auquel les colons sionistes font face dans leur quête d’un « Grand Israël ». Source : Truthout, Daniel Falcone Traduit par les lecteurs du site Les-Crises Alors que la campagne génocidaire est en cours à Gaza, Israël a étendu son projet de colonisation et a considérablement accru la violence […]

    #Géopolitique #Conflit_Israélo-Palestinien #Géopolitique,_Conflit_Israélo-Palestinien

  • Les États-Unis demandent à leurs alliés de réduire les exportations de puces vers la #Chine
    https://www.les-crises.fr/les-etats-unis-demandent-a-leurs-allies-de-reduire-les-exportations-de-pu

    Washington demande au #Japon, à la Corée du Sud et aux Pays-Bas de réduire la fourniture d’outils et de technologies. Source : Financial Times, Demetri SevastopuloTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Les États-Unis poussent leurs alliés européens et asiatiques à renforcer les restrictions sur les exportations de technologies et d’outils liés aux puces vers […]

    #Géopolitique #USA #Géopolitique,_Chine,_Japon,_USA

  • Carte à la une. Déconstruire un récit impérial : le mythe Sykes-Picot — Géoconfluences
    https://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/a-la-une/carte-a-la-une/sykes-picot

    Très bon article

    La carte dite de Sykes-Picot (1916) est souvent présentée comme l’illustration la plus flagrante de l’impérialisme européen au Moyen-Orient et de la manière dont les frontières y ont été tracées arbitrairement. En replaçant cette carte dans son contexte historique, l’historiographie récente nuance cette idée. Exagérer son importance revient à occulter la longue histoire des frontières et tend à faire oublier que ce mythe est lui-même en partie hérité des discours impériaux.


    #cartographie #colonisation #géopolitique

  • Révélations : l’accord de paix que l’Ukraine et la #Russie auraient pu signer en avril 2022
    https://www.les-crises.fr/ukraine-accord-paix-die-welt-russie-auraient-pu-signer-devoile

    Die Welt, un média allemand, a déclaré qu’un accord de paix aurait pu être signé quelques semaines après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les conditions de la fin de la guerre ont été énoncées dans un projet d’accord de 17 pages sur lequel les parties se sont mises d’accord le 15 […]

    #Géopolitique #Ukraine #Géopolitique,_Russie,_Ukraine

  • #Exotisme à #Bakou...

    « #Paris accuse l’#Azerbaïdjan d’ingérence en #Nouvelle_Calédonie, Bakou s’insurge »

    "Les leaders indépendantistes calédoniens « auraient » (ndrl) noué des liens avec l’Azerbaïdjan, a déploré le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin sur France 2, alors que l’archipel est en proie aux émeutes. Bakou, quant à lui, rejette ces accusations les qualifiant d’infondées. (...)"

    Tintin est tombé dans un puits sans fonds... :-D :-D :-D

    #politique #bas_cout #géopolitique #société #monde #humour #France #folklore #colon #colonialisme #comique #social #seenthis #vangauguin

    https://fr.sputniknews.africa/20240516/paris-accuse-lazerbaidjan-dingerence-en-nouvelle-caledonie-bakou-

  • Industrie de l’armement : un pantouflage financé sur fonds publics
    https://www.les-crises.fr/industrie-de-l-armement-un-pantouflage-finance-sur-fonds-publics

    Un programme du #Pentagone envoie des officiers militaires travailler pendant un an pour les plus grandes sociétés de défense, de technologie et de finance. Ces personnes font ensuite leur rapport au ministère de la Défense, ce qui contribue à placer les intérêts des entreprises au cœur même de la stratégie militaire américaine. Source : Jacobin, […]

    #Géopolitique #Complex_militaro-industriel #USA #Géopolitique,_Complex_militaro-industriel,_Pentagone,_USA

  • C’était l’bon temps des #colonies

    "QUI est donc ce monsieur peint par Alexis Simon Belle et qui pète dans la soie ?…

    Né en 1655 et mort en 1738, il s’appelle Antoine Crozat, dont Saint-Simon dira qu’il était « l’un des plus riches hommes de Paris ». Crozat avait une fille, Marie-Anne, qu’il donnera pour épouse (alors qu’elle a à peine 12 ans) à un aristocrate, Louis-Henri de La Tour d’Auvergne, comte d’Évreux ; l’important dans l’affaire, c’est que le père Crozat mette un pied dans la noblesse et que Louis-Henri empoche une très très belle dot (quand on est endetté, ça ne se refuse pas).

    Car beau-papa, parmi d’autres activités, dirige la Compagnie de Guinée, créée en 1684 par Louis XIV et l’une des plus importantes sociétés de « commerce triangulaire », locution géométrique qui en cache une autre plus parlante : traite négrière. Précisons que cette compagnie avait pour but de se livrer au « commerce des nègres, de la poudre d’or et de toutes les autres marchandises » sur les côtes africaines.Crozat, qui habite déjà un hôtel particulier place Vendôme (...) "

    #histoire #politique #humour #France #géopolitique #société #mémoire #seenthis #vangauguin

    https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/2024/05/12/cetait-lbon-temps-des-colonies

  • Pour un Conseil Diplomatique des Bassins-Versants
    https://www.terrestres.org/2024/04/12/pour-un-conseil-diplomatique-des-bassins-versants

    Du 20 au 23 avril 2024, se dérouleront à Genève des rencontres autour de la création d’un Conseil Diplomatique des Bassins-versants. Miroir bio-régionaliste de l’ONU, cette institution en devenir entend explorer les contours d’une autre #Géopolitique terrestre, s’inventant depuis des territoires en profonde mutation. En voici les grandes orientations politiques et théoriques. L’article Pour un Conseil Diplomatique des Bassins-Versants est apparu en premier sur #Terrestres.

    #Biorégionalisme #Ecologie_Politique #Vivants

  • It’s Not Just Ukraine and Gaza : War Is on the Rise Everywhere - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/opinion/articles/2023-12-10/it-s-not-just-ukraine-and-gaza-war-is-on-the-rise-everywhere?campaign_id=

    An authoritative new study finds there are 183 regional and local conflicts underway in 2023, the highest number in three decades.

    Although the world is not immediately threatened by a great war, such as those of 1914-18 and 1939-45, tensions are rising, especially between the US and China. I would identify an issue that seems to me, as a historian, especially important and dangerous. One of the primary reasons Europe went to war in 1914 is that none of the big players were as frightened as they should have been, of conflict as a supreme human catastrophe. After a century in which the continent had experienced only limited wars, from which Prussia had been an especially conspicuous profiteer, too many statesmen viewed war as a usable instrument of policy, which proved a catastrophic misjudgment.

    Today, we see Russia’s president, Vladimir Putin, sharing this delusion. His lunges into Georgia in 2008, Crimea in 2014 and now mainland Ukraine argue a reckless embrace of the risks of interstate violence. He is confident, and becoming more so as American and European popular support for Ukraine weakens, that he and his people are tougher than us decadent Westerners.

    The increasingly assertive policies of authoritarian states — notably China, Russia, Iran, Turkey and the Gulf states — “is one of the main causes of the demise of traditional conflict-resolution and peacemaking processes …. These powers often prop up authoritarian regimes and disregard fundamental principles of international humanitarian law.”

    Complicating things, “the divide between Russia and Western powers has become unbridgeable and securing allies has become a strategic imperative.” In other words, the democracies feel increasingly obliged to seek friends wherever they can find them, ignoring — for instance — the ghastly cruelties institutionalized in Saudi Arabia.

    The scale of violence in Mexico, especially, is terrifying. On June 26, 2022, heavily armed gangsters attacked a group of 10 policemen near the town of Colombia on the US border, killing six and wounding two. Two months later, organized crime groups staged orchestrated attacks on security forces in five different Mexican states. In significant areas of that vast country, the rule of law is non-existent.

    The IISS survey was compiled before the murderous events in Israel two months ago and what has followed, but it records rising tensions driven by extremists on both sides there, including the armed settler movement in the West Bank: “These new cycles of violence in Israel and the occupied territories are prompting speculation of a new intifada.”

    Yet former Secretary-General Ban Ki-moon complained in 2014 that some peacekeepers were stationed “where there is no peace to keep.” In Mali, jihadists have killed 300 UN personnel over a decade. Amid acute new geopolitical tensions between the major powers, the UN’s influence has shriveled. In the UN Security Council, China, Russia and the US repeatedly veto each other’s declared purposes, or at least cause each other to abandon any prospect of securing a mandate in a given situation, most conspicuously Ukraine.

    The Ukraine experience makes a good case that Rehman, whose research has been supported by the Pentagon’s immensely influential Office of Net Assessment, is right. The current US mindset seems to confuse planning to win a mere battle or limited campaign with the demands of protracted conflict. The author quotes a French history of the 14th century Hundred Years’ War between Britain and France, which he believes offers a template for 21st century superpower conflict. Temporary truces or even peace treaties between the rival monarchies merely “provided an opportunity for the protagonists to regain their breath” — to rearm for the next round of war.

    #Guerre #Géopolitique

  • Why Sanctions Haven’t Hobbled Russia - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2024/02/16/briefing/russian-sanctions.html

    After Russia invaded Ukraine in 2022, Western nations imposed the most extensive sanctions and trade restrictions in history on Moscow. Today, Russia appears to be doing OK.

    Its economy is growing steadily. Russia can’t buy much from the West but has found new providers for drones, surveillance gear, computer chips and other gear. Its oil and gas sales are still strong, despite attempts to stop them. Russian officials say they have plenty of money to pay for their war.

    Moscow’s continued strength is a humbling result for the U.S. and its allies. These nations make up more than half of the global economy, and they tried to weaponize their influence over trade and finance to weaken Russia. They hoped to make President Vladimir Putin a pariah and maybe even stop the war. Today, I’ll explain why those efforts have fallen short — and whether they can be made to work again.

    #Mondialisation #Géopolitique #Russie #Economie

  • Occupied
    https://www.arte.tv/fr/videos/RC-021466/occupied

    La #Russie occupe la #Norvège avec l’assentiment de l’UE [les E-U ont quitté l’Otan, ndc] pour s’approprier son #pétrole. Face à cette occupation “douce”, citoyens et politiques norvégiens doivent faire un choix : résister ou collaborer ? Série scandinave captivante, Occupied est un #thriller #géopolitique imaginé par le maître du polar Jo Nesbø.

    Une suggestion chronophage, avec manipulations et cliffhanger partout, toutes mes excuses. Une longue liste d’ingrédients, entre technocratie européenne et héritiers de l’okhrana et du KGB, le Kompromat comme si on y était ! avec espionnage et opérations spéciales, anti-terrorisme et campagnes en ligne, love affair et fermes à trolls, oligarques russes et coups d’état militaires, « conflits d’intérêt » (comme on dit pudiquement) et écologie sous l’angle exclusif du climat et des énergies fossiles (à la manière de Sabotage, ce film inspiré par la thèse de Malm), manifs (ridicules) et politique institutionnelle façon marigot mortel. De quoi stimuler notre passion pour des décideurs, tantôt marionnettistes, tantôt marionnettes.

    #série #énergies_fossiles #écologie #impuissance

  • La plainte de l’#Afrique_du_Sud contre #Israël

    "La plainte déposée par l’Afrique du Sud contre l’#Etat d’Israël ne l’accuse pas de #génocide, mais de laisser des éléments de ses forces de sécurité le pratiquer. Elle se fonde sur les intentions énoncées par certains responsables politiques et militaires, sur l’observation des pratiques israéliennes depuis 75 ans vis-à-vis de l’ensemble du #peuple_palestinien et enfin sur la manière dont il se comporte aujourd’hui à #Gaza. (...)

    #politique #international #géopolitique #monde #propagande #fascisme #sioniste #extermination #holocauste #Palestine #seenthis #vangauguin

    https://www.voltairenet.org/article220263.html