Euh.. là je crois qu’il y a maldonne : « éviterait d’avoir à traquer des fraudeurs » peut tout à fait s’entendre comme un élément d’un discours contre la bureaucratie et l’arbitraire, qui vont de pair avec la stigmatisation des « assistés ». La question qui se pose alors est vielle du montant de ce revenu (et les gens du revenu de base n’envisagent guère d’approcher le revenu médian, ni même le salaire mensuel minimum... loin de là), car ce pourrait être une clé de réorientation de la production et de la société.
Pour ce qui est du réseau salariat, leur croyance en un « salariat émancipateur » qui se généraliserait tout en rompant avec la subordination salariale n’est aune version parmi d’autre, mais elle a le gros défaut de se fonder sur un financement lié au temps d’emploi (la cotisation docile) une base étriquée pour appréhender la production de richesses, de quoi fournir une assiette de financement qui sera toujours insuffisante. Ils sont les répondants « à gauche » de la phobie anti fiscale, considérant que l’impôt ne peut pas être démocratiquement contrôlé alors que les cotisations le seraient (quelle blague !).
Il est vrai que faute de voir, ou de concevoir, ce qui pourrait inverser le rapport de forces, nombreux sont les candidats d’un concours Lépine d’une réforme sociale qui ne peut avoir lieu.
#réforme_imaginaire