• Les dîners secrets de François de Rugy avec des lobbyistes (Ouest France)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16258-les-diners-secrets-de-francois-de-rugy-avec-des-lobbyistes-ouest-fr

    Bonjour à toutes et à tous je suis tombé la dessus en surfant chez les moutons et j’ai trouvé cela intéressant, je suis désolé mais pas beaucoup d’articles cet après midi sur le blog, nous sommes invités à un mariage.

    Amitiés,

    f.

    François de Rugy à Nantes, en novembre 2018. | FRANCK DUBRAY / OUEST-FRANCE

    Le rôle d’un ministre est-il de « mettre en relation des lobbyistes avec des personnalités influentes » ? C’est la question que pose une nouvelle polémique touchant le ministre de la Transition écologique, François de Rugy.

    Fin mars 2019, François de Rugy cale un dîner au ministère avec Marc Teyssier d’Orfeuil. Ce lobbyiste des véhicules écolo organise des think tank, des lieux de débats, de rencontres et d’échanges qui permettent d’engager des réflexions sur des sujets tels que la mobilité, (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • François de Rugy victime de la vengeance du Mollah Homard Jacques-Marie Bourget - 11 Juillet 2019 - Le Grand Soir
    https://www.legrandsoir.info/francois-de-rugy-victime-de-la-vengeance-du-mollah-homard.html

    Les commentateurs de l’actualité politique, tout si indépendants, n’ont pas compris que François de Rugy était une victime du djihad. Etonnant ! Non !

    Il est surprenant que nos analystes politiques, eux qui font l’honneur de la presse comme le « Cellofrais » plaqué sur la barquette de saucisses de Toulouse, n’aient pas correctement expliqué les désarrois de l’élève Rugy. Alors que l’exemplaire ministre de l’écologie -c’est-à-dire un traitre par Nature- est simplement victime de l’islamisme, le terrible mal qui court. Victime d’un djihad lancé par Plenel et son « Médiapart ». On oublie trop qu’Edwy, qui voulait naguère « construire une maison commune » avec Tariq Ramadan, est un supporteur des Frères Musulmans. Lui-même étant, à sa façon, une sorte de Mollah Omar version piéton, il était logique qu’il volât au secours de ses amis crustacés, victimes de la marmite de Lassay.

    Pour affirmer mon propos je vais me référer au maître en la matière : Alexandre Vialatte, l’écrivain qui, sans l’avoir autorisé, a accouché de Desproges. Vialatte a publié un formidable « Eloge du homard et autres insectes utiles ». Traducteur de Kafka et journaliste à « La Montagne », le quotidien de Clermont-Ferrand, Alexandre le magnifique a parlé du homard avec des mots qu’aucune langouste n’aurait su trouver :

    « Le homard est un animal paisible qui devient d’un beau rouge à la cuisson. Il demande à être plongé vivant dans l’eau bouillante. Il l’exige même, d’après les livres de cuisine. La vérité est plus nuancée... le homard n’aspire à la cuisson que comme le chrétien au ciel, mais le plus tard possible. Précisons de plus que le homard n’aboie pas et qu’il a l’expérience des abîmes de la mer, ce qui le rend très supérieur au chien et décidait Nerval à la promener en laisse dans les jardins du Palais Royal ». Vous voyez que nous sommes dans la plus haute éthologie, art à ne pas confondre avec l’éthylisme. Même si son avantage est de faire voir double.

    Trop jeune, et visiblement peu instruit de « l’Affaire Greenpeace », François de Rugy ignore qu’outre sa Carte de Presse, Plenel est le seul journaliste français à posséder un « Permis de chasser le ministre ». Si un titulaire de maroquin déplait, surtout les siens, Plenel reçoit en Colissimo la bouteille de poison. Cette fois de homard. Y’a plus qu’à verser.

    Ne croyez pas que j’ai la plus petite pitié pour Rugy, guignol devenu fils de Caligula mais, en tant qu’ancien grand reporter au « Chasseur Français », permettez-moi de démonter le dernier coup de fusil d’Edwy. Il a commencé avais-je écrit, avec le scandale du Rainbow Warrior. Pendant des jours, au moment du scandale en juillet et août 1985, le Tintin du Monde n’a écrit que des sottises, dans mensonges pour épargner l’Elysée. Puis soudain, on lui a soufflé un scénario, la révélation d’une « Troisième équipe », des barbouzes présents à Auckland dans le port où a coulé le bateau écolo (Déjà des écolos !). Ce vrai faux secret était le moyen de flinguer Charles Hernu, ministre des Armées. Et le frère barbu de Villeurbanne a démissionné. La mort politique de Jérôme Cahuzac, qui ne me fait pas chagrin, c’est aussi Edwy et le trophée du menteur « les yeux dans les yeux » figure maintenant au-dessus de cosy corner du patron de Médiapart.

    Décryptons donc comme le fait si bien Jean-Michel Apathie, l’un des invités de François de Rugy. Car le scoop de « Médiapart » entend nous convaincre d’une information incroyable : l’indépendant -et pas paysan- Jean-Mimi se serait laissé aller à partager la soupe d’un politique ! Etonnant ! Non ? Je tombe de l’échelle de Richter. Que va-t-il nous rester pour dire le vrai si Apathie participe aux festins des maîtres ? Je suis très déçu. Question ? Qui veut aujourd’hui la peau de celui qui a autorisé la chasse à la glue et autres barbaries ? Sûrement un ami, un collègue de gouvernement ? Un néo-Benalla agissant sur ordre du Palais ? Découvrir que, même chez les Z’en Marche il existe des fourbes, c’est triste même pour moi l’avant dernier de cordée (en alpinisme le « dernier de cordée » étant le numéro deux de l’équipée). Le bonheur de notre monde a bien des accros, et des acros au maintien des privilèges monarchiques. C’est vrai qu’il ne l’a pas fait exprès mais Robespierre, en mettant la bourgeoisie au pouvoir, devait s’attendre à une revanche de François Goullet de Rugy. Pour les « nobles », le retour des privilèges passait par la casserole du homard.

    Moi-même piqué par le pléonasme à la mode, celui du « journalisme d’investigation », je suis en mesure de vous révéler que Vialatte, post tombe, savait tout des intentions de Plenel, ne terminait-il pas ses « Chroniques du Homard » pas un définitif « Et c’est ainsi qu’#Allah est grand » ?
    Jacques-Marie BOURGET

    #humour #mollahs #mollah #Homard #festin #privilèges #cuisine #guerre_aux_pauvres #presse #journalistes #médias #écologie #islamisme #Edwy_Plenel #Tintin #Médiapart #Rugy #investigation #gastronomie

  • Restaurant in Potsdam: Jauch eröffnet Villa Kellermann wieder - Potsdam - PNN
    https://www.pnn.de/potsdam/restaurant-in-potsdam-jauch-eroeffnet-villa-kellermann-wieder/24188066.html


    Die Villa Kellermann in der Mangerstraße steht seit Jahren leer.FOTO (ARCHIVBILD, 2016): JOHANNA BERGMANN

    EXKLUSIV05.04.2019 von Peer Straube - Lange war es nur ein Gerücht, nun hat sich der Eigentümer der Villa Kellermann offiziell zu erkennen gegeben: TV-Moderator Günther Jauch will das Haus in Teilen öffentlich machen - und holt dafür Sterne-Koch Tim Raue nach Potsdam.

    Potsdam - Manche haben es gewusst, viele haben es geahnt, doch er selbst hat ein Geheimnis daraus gemacht – bis jetzt: Günther Jauch hat die legendäre Villa Kellermann am Heiligen See gekauft und lässt sie derzeit denkmalgerecht sanieren. Das bestätigte Jauch am Freitag den PNN. „Im Herbst soll alles fertig sein“, sagte der Potsdamer TV-Moderator. Zugleich bestätigte Jauch erstmals öffentlich, dass der Berliner Sternekoch Tim Raue in dem Bauwerk ein Restaurant eröffnen will. 

    Unklar ist noch, was auf der Speisekarte stehen wird

    Welche Art von Küche die Besucher künftig erwartet, ließ der Moderator offen. „Die Speisekarte ist noch nicht fertig“, erklärte er lediglich. Raue wollte sich auf Anfrage am Freitag nicht zu seinen Plänen in Potsdam äußern. 

    Mit Jauchs Bekenntnis steht jetzt fest, dass die Villa, in der zu DDR-Zeiten der Kulturbund seinen Sitz hatte und die nach der Wende jahrelang gastronomisch genutzt wurde, zumindest teilweise wieder öffentlich zugänglich sein wird – als einzige Immobilie am Ostufer des Heiligen Sees, der wohl begehrtesten Potsdamer Lage. 

    Jauch war früher selbst Stammgast in dem Lokal

    Jauch ist bereits seit drei Jahren Eigentümer der Villa Kellermann, hatte diese Tatsache bislang jedoch öffentlich unter Verschluss gehalten. Der beliebte TV-Moderator erwarb das Gebäude nebst 2700 Quadratmeter großem Grundstück 2015 von den Erben des Kosmetikkonzerns Wella, Gisa und Hans-Joachim Sander, die das Haus vis-à-vis vom Marmorpalais bereits 2005 bei einer Zwangsversteigerung gekauft hatten. 

    Bis 2009 betrieb Gastronom Maximilian Dreier dort das „Ristorante Villa Kellermann“, zu dessen Stammgästen auch Jauch gehörte, seitdem stand das Gebäude leer. Kurz nach dem Kauf begann Jauch mit der Sanierung des denkmalgeschützten Baus, die in diesem Jahr abgeschlossen werden soll. Wie viel die Restaurierung kostet, ist nicht bekannt. Sie soll jedoch wegen des teils desolaten Zustands sehr aufwendig sein. Nach einem Bericht der „Bild“-Zeitung soll Jauch planen, die oberen Geschosse des Hauses zu Apartments auszubauen. 

    Raue ist für Potsdam der dritte Sternekoch

    Mit Raue bekommt Potsdam seinen dritten Sternekoch – neben Alexander Dressel vom Restaurant „Friedrich Wilhelm“ im Hotel Bayrisches Haus und David Schubert, der im „Kochzimmer“ am Neuen Markt den Löffel schwingt. Der Guide Michelin hatte Tim Raue für sein nach ihm benanntes Restaurant in der Nähe des Berliner Checkpoint Charlie bereits 2012 zwei Sterne verliehen, das britische Restaurant Magazine listet es auf Platz 37 der 50 besten Restaurants der Welt. Bis Ende 2018 hatte er auch das „Sra Bua“ im Adlon betrieben. Erst im November hatte Raue vom Gault Millau erneut 19,5 von 20 Punkten bekommen. Damit gilt er als bester Koch Berlins.

    Einen möglichen Ansatzpunkt für Raues Pläne in Potsdam liefert eine Äußerung des Kochs aus dem vergangenen Mai. Damals hatte er gegenüber dieser Zeitung erklärt, er plane, das ehemals im Berliner Kollwitzkiez liegende „La Soupe Populaire“ („Suppe für alle“) wiederzubeleben – unter anderem Namen und am neuen Standort. 

    Eines der spannendsten Gebäude Potsdams

    Die Geschichte der Villa Kellermann ist wohl eine der spannendsten, die ein Gebäude in Potsdam zu bieten hat. Errichtet wurde sie 1914 für den königlich-preußischen Zeremonienmeister W. von Hardt und mit den seinerzeit modernsten technischen Raffinessen ausgestattet. Dazu gehörten ein Speisenaufzug und ein Fahrstuhl und sogar eine Tankstelle samt 750-Liter-Tank im Garten.

    In der Weimarer Republik gehörte das Haus dem jüdischen Bankier Emil Wittenberg, der von den Nazis enteignet wurde. Danach zog die Heeresleitung der Wehrmacht dort ein. Nach 1945 gehörte die Villa dem DDR-Kulturbund und blieb bis zum Mauerfall öffentlicher Treff von Intellektuellen, Künstlern und Schriftstellern. Benannt wurde sie damals nach dem Schriftsteller Bernhard Kellermann, ebenfalls Mitglied des Kulturbundes und heute vor allem für seinen Roman „Der Tunnel“ berühmt. Den Namen trägt das Haus in Potsdam bis heute. Ab 1988 traf sich unter dessen Dach auch die Arbeitsgemeinschaft für Umweltschutz und Stadtgestaltung, kurz Argus, der unter anderem Carola Stabe, Wieland Eschenburg und Matthias Platzeck angehörten.

    #Potsdam #Immobilien #Mangerstraße #Klatsch #Gastronomie

  • Nobel-Club Felix schließt in Mitte für immer seine Pforten – B.Z. Berlin
    https://www.bz-berlin.de/berlin/mitte/nobel-club-felix-schliesst-in-mitte-fuer-immer-seine-pforten

    5. Mai 2017

    Nach 13 Jahren Glanz und Glamour schließt der noble Mitte-Nachtclub. Hier feierten die Bayern ihren Pokalerfolg und Hollywood schaute auch gerne Mal vorbei. Am 13. Mai ist Schluss.

    Sehen und gesehen werden, schick essen gehen und tanzen zu den angesagtesten Beats. Dafür stand das Club-Restaurant „Felix“ in Mitte. Jetzt ist der angesagte Nachtclub Geschichte. Das Felix schließt nach 13 Jahren. Schlechte Geschäfte zwangen den Club in die Knie.

    Seit geraumer Zeit ging es mit dem Glamour-Club in Mitte rapide bergab: die Vip-Lounges wurden nicht mehr gebucht, unter der Woche tummelten sich gerade einmal noch 10 bis 20 Personen auf dem großen Dancefloor. An besucherstarken Sonnabenden kamen nur noch 300 Gäste – auch am Wochenende. Über 40 Mitarbeiter erhielten die Kündigung. Am 13. Mai schließen sich die Glitzer-Pforten für immer.

    Weiterer Flop für das Jagdfeld-Immobilien-Imperium
    Dabei begann die Geschichte des Felix so glamourös. 2004 eröffnete die Jagdfeld Gruppe den In-Club Felix auf der Rückseite des Adlon. Die Reichen und Schönen gingen dort ein und aus. Der FC Bayern feierte seinen Pokal Triumph. Hollywood schaute vorbei. Da knallten in der VIP-Lounge die Schampus-Korken für Daniel Craig und Christoph Waltz. Bei der „White House Down“ Premiere feierten hier Jamie Fox, Channing Tatum und Roland Emmerich.

    Jetzt ist Schluss mit Schampus. Dr. Christian Plöger, Sprecher der Jagdfeld-Gruppe zur B.Z.: „Das Felix war Trendsetter einer internationalen Nachtclub-Kultur, als es das in Berlin noch nicht gab. Die Entscheidung, endgültig den schwarzen Strich zu ziehen, ist uns nicht leicht gefallen.“

    Damit ist das noble Felix ein weiterer Flop des Jagdfeld-Immobilien-Imperiums. Auch das noble Grand Hotel Heiligendamm und der Departmentstore im Quartier 206 schlossen in den vergangenen Jahren. Ex-Clubmanager Daniel Kolenitchenko, der das Felix von 2010 bis 2012 geleitet hat: „Ich bin wirklich traurig! Ich habe dort das Handwerk des Clubmanagements gelernt.“

    Gerüchten zufolge trage er eine Mitschuld am Niedergang des Felix. Kolenitchenko sieht das anders: „In dieser Branche kann man nur sich selbst kaputt machen, es sind nicht die anderen.“ Wie es weitergeht, steht noch nicht fest. „Derzeit bestehen keine konkreten Nutzungspläne für die Räumlichkeiten“, so Plöger von der Jagdfeld-Gruppe.

    #wech_is_wech #Gastronomie #Club #Disco #Nachtleben #Berlin #Mitte #Behrenstraße

  • Schluss mit Glamour: Das Felix macht dicht | QIEZ
    https://www.qiez.de/felix-club-clubs-in-berlin-berlin-mitte

    Früher gehörte der Felix Club in Mitte zu den angesagtesten Locations in Berlin, nun ist der Glamour-Club Geschichte.

    Knallharte Champagnerfeten und echte A-Promis gehörten im Felix einfach dazu. Doch der Glanz vergangener Tage ist dahin, nach 13 Jahren blieben die Gäste aus und keiner hat es gemerkt.

    Ein simpler Name mit enormen Glamourfaktor: Im Berliner Nobelclub Felix gehen die Reichen und Schönen ein und aus. Und zwar die wirklich Reichen und echt Schönen, denn Superstars wie Kylie Minogue, Jamie Foxx und Robbie Williams ließen hier schon die Korken knallen, der Film Django Unchained feierte seine Premieren-Party im durchgestylten Ambiente und auch der FC Bayern war zur Feier seines Pokaltriumphs einst vor Ort. Felix steht für Glanz und Gloria. Entschuldigung, stand muss es heißen, denn der Nachtclub in Mitte wird nach dreizehn Jahren schließen. Die schlechten Geschäfte treiben den Betreiber des ehemals angesagten Lokals in den Ruin, selbst an besucherstarken Sonnabenden zählt das Felix nämlich nur noch 300 Gäste.

    Schnell wurde der 2004 eröffnete Club direkt am Brandenburger Tor, auf der Rückseite des Hotels Adlon, zu einem der beliebtesten Partyziele gerade für Touristen. Die strikte Kleiderordnung verweist die Damen in High Heels und hübsche Kleider, die Herren enstprechend in Anzüge oder zumindest Sakkos. An vier Tagen die Woche können die Partygäste zu Hip-Hop, House und manchmal auch Schlager stilvoll feiern. Im Inneren des Premium-Clubs wartet ein 20 Meter langer Bartresen auf Cocktailschlürfer und Rundenschmeißer. Rings um die Tanzfläche befindet sich die VIP-Lounge, die nicht nur so heißt, sondern gerne von dem einen und anderen Promi exklusiv gemietet wurde. Und jetzt? Funktioniert das High Society-Konzept nicht mehr in der Hauptstadt? „Am Samstag, den 13. Mai, öffnet der Club zum letzten Mal“, bestätigt uns eine Mitarbeiterin des Felix, übrigens eine von über 40 Mitarbeitern, die bereits ihre Kündigung erhalten haben.
     
    Der Nachtclub Felix gehört zum Jagdfeld-Imperium. Anno August Jagdfeld ist unter anderem auch Herr über das Fünf-Sterne-Hotel Adlon. Probleme innerhalb seiner Fundus-Gruppe sind allerdings nicht neu: 2012 musste der Immobilienunternehmer für sein Grand Hotel Heiligendamm Insolvenz anmelden und auch sein Modeladen Departmentstore im Quartier 206 existiert seit Ende Februar nicht mehr. Die Schließung des Felix ist ein weiterer Flop für den Immobilienkönig, der die meisten Geschäfte vor vier Jahren offiziell seinem Sohn Benedikt Jagdfeld übergeben hat. Die sehr gute Lage des Clubs wird sicher bald Nachfolger auf den Plan rufen, die eine neue Freudenstätte etablieren werden. Wir sind gespannt …

    Felix Club-Restaurant, Behrenstr. 72, 10117 Berlin
    Telefon 030 301117152

    Felix Club Berlin | Gästeliste030
    https://www.gaesteliste030.de/locations/felix-berlin-gF_7MOTMJkSwnbo7_y7Y1g

    Latest partyphotos Felix

    #wech_is_wech #Gastronomie #Club #Disco #Nachtleben #Berlin #Mitte #Behrenstraße

  • « On a effacé les femmes de l’histoire de la gastronomie »
    https://o.nouvelobs.com/food/20190307.OBS1337/on-a-efface-les-femmes-de-l-histoire-de-la-gastronomie.html

    Vous venez de publier un répertoire de 500 femmes chefs en France. Quelle est l’idée derrière ce projet ?

    – L’an dernier, j’ai réalisé le documentaire « À la recherche des femmes chefs » pour mettre en avant certaines figures inspirantes. Toutefois, le Guide Michelin a continué d’ignorer les talents féminins de gastronomie, notamment en France. [En 2018, seules deux femmes ont été récompensées d’une étoile, aucune de deux ou trois étoiles, NDLR]

    Du coup, j’ai eu très envie de savoir qui étaient les femmes chefs, combien et où elles étaient. J’ai lancé un appel sur Facebook pour compiler le tout dans une liste. Ça a eu un engouement énorme, beaucoup de gens m’ont écrit, et [la journaliste de « Télérama »] Estérelle Payany m’a apporté son aide. On a planché sur un tableur Excel avec tous les noms, toutes les adresses. « Télérama » a ensuite publié la liste sur son site internet.

    Le but était vraiment que toute la sphère de la gastronomie française, y compris le Michelin, ait accès à cette liste de façon gratuite et ouverte. J’en avais marre de ces listes privées qui disent qu’il y a des talents féminins mais sans donner leurs noms...

    C’est comme ça qu’est né votre ouvrage « 500 femmes qui font la différence dans les cuisines de France », avec Estérelle Payany ?

    – Oui, j’ai contacté un éditeur - Nouriturfu - pour leur expliquer qu’il est important que cette liste soit disponible. Ça permet de montrer concrètement que les femmes se sont imposées dans la gastronomie. Il fallait aller plus loin qu’une publication sur un média en ligne, il fallait plus de concret. Finalement, nous avons débouché sur cette sorte de référencement de plus de 500 femmes chefs, avec pour chacune une présentation.

    Quel est votre regard sur la place des femmes dans la gastronomie ?

    – Essentielle. Les femmes ont toujours joué un grand rôle dans l’histoire de la gastronomie française. A l’époque des auberges des bords de routes, c’était essentiellement des femmes qui cuisinaient. Dans les années 1920-1930, c’était encore elles, les mères à Lyon et dans toute la France. Ce n’est qu’à partir des années 1970, quand il y a eu les chefs stars comme Paul Bocuse, que la gastronomie française s’est vue marketée comme une affaire d’hommes. Alors même que les hommes ne faisaient que reprendre des recettes de femmes !

    Il faut reconnaître la place des femmes dans la gastronomie. On les a effacées de l’histoire, on ne leur a pas assez rendu hommage et, finalement, ce modèle de brigade masculine s’est imposé.

    La chef Adelaïde Perissel (Nouriturfu - Olivier Marie)

    Votre ouvrage s’arrête uniquement sur les femmes chefs. Pourtant, des femmes sont présentes à tous les échelons des brigades.

    – C’est vrai, nous avons beaucoup hésité à parler de toutes, mais c’était compliqué de faire une liste exhaustive. Peut-être qu’on le fera pour une seconde édition, ou qu’on consacrera une étude aux femmes secondes, aux chefs pâtissières, aux commis, etc.

    Est-ce que la place des femmes varie en fonction des types de restaurants ?

    – Les femmes chefs sont surtout dans les restaurants modernes, comme les végétariens, ceux uniquement pour déjeuner bio, etc. Les femmes s’adaptent finalement mieux aux goûts d’aujourd’hui, et adoptent plus volontiers la philosophie du mieux manger. Et c’est valable aussi en régions, où on les retrouve surtout dans des fermes auberges, avec une vraie cuisine régionale authentique.

    Si les femmes prennent tous ces virages aussi rapidement, c’est notamment parce qu’elles ouvrent plus vite leurs propres restaurants, essentiellement pour fuir des brigades où elles sont maltraitées...

    Le mouvement #MeToo a-t-il changé des choses ?

    – Les choses ont changé car les femmes ont pris leur destin en main. Ce que #MeToo a surtout déclenché, c’est une prise de conscience. Les femmes ont leur place dans la société, elles doivent arrêter d’attendre et y aller. Dans les pays anglo-saxons, ça va plus vite qu’en France. Alors qu’on a juste à agrandir la table et s’assoir où l’on veut !

    Dans votre précédent livre « Elles cuisinent », vous rencontrez des femmes chefs partout dans le monde. Y a-t-il une différence sur la place de celles-ci entre la France et le reste du monde ?

    – La vraie différence, c’est qu’en France, le métier de chef est valorisé et valorisant. Il y a beaucoup de pays où ce métier n’est pas bien vu pour un homme, mais aussi pour une femme. C’est plutôt un choix par défaut.

    Mais, plutôt que de nous concentrer sur les différences, il faut regarde tout ce qui nous rassemble – comme la cuisine ! En France, les femmes qui travaillent dans la gastronomie ne se rencontrent pas, ne se connaissent pas, et ne savent même pas qu’elles sont nombreuses. Et la raison principale est qu’elles sont très peu invitées dans les festivals. Quand on fait une table-ronde, on en invite une chef pour cocher la case diversité. Il faut créer des ponts entre les femmes pour qu’ensuite, elles s’organisent et s’entraident.

    Oui, la gastronomie n’est pas inaccessible pour les femmes. Elles doivent se l’approprier. Tous les modèles sont possibles. Il manque juste de la confiance en soi à acquérir...

    Si les chefs sont majoritairement des hommes, ils ont tous le même storytelling et citent leurs mères et grands-mères comme inspirations. Qu’est-ce que cela vous évoque ?

    – C’est une question qu’il faut poser aux hommes chefs. C’est en effet difficile de croire que toutes les mères de ces chefs soient des Cordons bleus... En revanche, je remarque qu’ils ne citent jamais le travail d’une femme de la profession, dont la technique ou la création les auraient inspirés. Anne-Sophie Pic, alors même qu’elle a trois étoiles depuis douze ans, a toujours du mal à évoquer ses techniques avec un homme chef.

    Le modèle doit changer, et pas qu’au restaurant. Si les petits garçons voyaient leurs pères plus cuisiner à la maison, peut-être qu’ils considéraient qu’on peut parler recette avec un homme, et de techniques de cuisine avec une femme. Les médias aussi doivent plus montrer de mixité derrière les fourneaux pour que garçons et fillettes puissent s’identifier.

    « Je suis en contact avec beaucoup de femmes chefs, qui sont brillantes et vont exploser dans les prochaines années, il faut juste être patient... », nous disait Anne-Sophie Pic l’an dernier.

    – La patience, elle a bon dos. Quand Anne-Sophie Pic engage la sommelière Paz Levinson pour son restaurant, c’est un signal fort qu’elle envoie. Elle - et on doit toutes le faire - arrête d’attendre que des hommes valident. Il faut se regrouper et de faire en sorte que les choses avancent plus vite.

    Evidemment, Anne-Sophie Pic n’a pas choisi Paz Levinson parce que c’est une femme, mais parce qu’elle a du talent. Ce choix influence l’histoire. Oui pour la patience, mais il faut agir également.

    Interview de Vérane Frédiani, auteure de « Cheffes : 500 femmes qui font la différence dans les cuisines de France » (éd. Nouriturfu), de « Elles cuisinent » (éd. Hachette Pratique), et du documentaire « A la recherche des femmes chefs », par Louna Boulay.

    #femmes #historicisation #sexisme

  • Kulinarische Entdeckungen in Berlin: Das jüngste Gericht - Tagesspiegel
    https://www.tagesspiegel.de/kulinarische-entdeckungen-in-berlin-das-juengste-gericht/23880794.html


    Illustration von: https://www.flickr.com/photos/herry
    Flickr

    Happahappa jut sacht Tante Tagesspiegel.

    Liu Chuan Chuan Xiang & Nudelhaus - chinesisch
    Mitte, Kronenstr. 72, tägl. 11.30–15 Uhr, Mi–So 15–22 Uhr

    Malafritta - frittierte Pizza
    Kreuzberg, Kottbusser Damm 1, Di–Do 12–22.30 Uhr, Fr+Sa 12–23.30 Uhr

    Mitu - italienisch
    Prenzlauer Berg, Danziger Str. 35, Mo–Sa ab 17 Uhr, http://miturestaurant.de

    Cell - gourmet-flexitarisch
    Charlottenburg, Uhlandstr. 172, Di–Sa ab 18 Uhr, http://cell.restaurant

    Kokio - koreanisch
    Prenzlauer Berg, Hagenauer Str. 9, Di–Sa 17.30–24 Uhr, So 16–22 Uhr, http://kokioberlin.com

    Palsta - nordische Weinbar
    Neukölln, Oderstr. 52, Mi–So 15–23.30 Uhr, http://palstawinebar.de

    Simsim - levantinisch
    Prenzlauer Berg, Husemannstr. 1, http://simsim-restaurant.de

    Bar Brass - Bistro im Skulpturenforum
    Charlottenburg, Am Spreebord 9, tägl. 10–23 Uhr, http://barbrass.de

    Barra - Weinbar
    Neukölln, Okerstr. 2, Do–Mo, ab 18.30 Uhr, barraberlin.com

    Gazzo - neo-neapolitanisch
    Neukölln, Hobrechtstr. 57, Di–So 17–22 Uhr, http://gazzopizza.com

    #Berlin #Gastronomie

  • taz-Serie Was macht eigentlich …? (Teil 2): Thaifood auf Preußenart - taz.de
    http://www.taz.de/!5558490

    31. 12. 2018 - Die Thaiwiese im Preußenpark, wo im Sommer asiatische BerlinerInnen kulinarische Spezialitäten anbieten, ist eine Attraktion – und Störfaktor zugleich.

    Mit den unterschiedlichen Namen ­gehen die verschiedenen Sichten schon los. Als die taz eine Sekretärin im Bezirksamt Charlottenburg-Wilmersdorf fragt, mit welchem Stadtrat sie denn über die Thaiwiese sprechen könne, antwortet die: „So etwas haben wir hier nicht. Sie meinen bestimmt den Preußenpark.“

    „Preußenpark“ heißt auf Berliner Stadtplänen und bei den unmittelbaren Anwohnern die staubige Brache zwischen den U-Bahnhöfen Fehrbelliner Platz und Konstanzer Straße, auf der nur noch wenig daran erinnert, dass sie einmal eine Grünfläche war. „Thaiwiese“ heißt der Ort hingegen in Berlin-Reiseführern. Und unter diesem Namen lockt der Ort in der warmen Jahreszeit Berliner aus allen Bezirken und Touristen an, die mitten in Europa fernöstliche Streetfood-Gastronomie erleben wollen.

    Garküchenbetreiber aus Thailand, den Philippinen, Vietnam, Korea und Japan bereiten dann hier auf mitgebrachten Campingkochern und Bastmatten Spezialitäten zu – allerdings ohne sich dabei an deutsches Recht zu halten. Denn die mit den Jahren immer stärker gewachsene Streetfoodszene ist vollkommen illegal: Weder zahlen die Händler hier Steuern, noch schaut die Lebensmittelaufsicht nach dem Rechten.

    Des halb will der Bezirk das Treiben auf der Thaiwiese in seiner jetzigen Form nicht mehr dulden. Fernöstliche Gastronomie, die Touristen aus aller Welt nach Wilmersdorf zieht, soll es allerdings weiter geben – darüber sind sich alle Parteien im Bezirksparlament einig, ob sie nun „Preußenpark“ oder „Thaiwiese“ sagen. Aber sie soll an den Rand der Brache in nur noch wenige feste Stände ziehen. Dort sind Wasser- und Stromanschlüsse geplant, die die Einhaltung von Hygienevorschriften und der Kühlkette ermöglichen. Wer einen Stand will, muss Steuern und Miete zahlen und ein Gesundheitszeugnis vorlegen.

    SERIE: WAS MACHT EIGENTLICH ...?
    Die meisten Geschichten enden nicht, bloß weil wir einen Artikel für die Printausgabe oder für die Onlineseite der taz.berlin darüber geschrieben haben. Deshalb fragen und haken wir bei ProtagonistInnen noch einmal nach. In unserer Serie „Was macht eigentlich ...?“ rund um den Jahreswechsel erzählen wir einige Geschichten weiter.

    Teil 2: Wie geht es weiter mit der Thaiwiese im Preußenpark? (taz)

    Doch: Bis es so weit ist, will Ordnungsstadtrat Arne Herz (CDU) die illegale Gastronomie in Wilmersdorf weiter dulden, „um keine Fakten zu schaffen“, wie er sagt. Denn die Thaiwiese ist eine Institution und hat es schon in bis in amerikanische Zeitungen gebracht. Danach soll es mit der bunten Thaiwiese, deren Charme gerade das Spontane, Urwüchsige ist, vorbei sein. Ob das schon 2019 ist, wie es der Bezirk eigentlich anstrebt oder doch erst 2020, ist offen.

    Vorschläge von Studenten
    Im Sommer hatten die Bezirksverordneten beschlossen, die Thaiwiese zu verkleinern, Recht und Gesetz durchzusetzen und den Preußenpark wieder zu begrünen. Dazu sollte es einen Bürgerdialog geben. Der sollte eigentlich im September beginnen, lässt aber bis heute auf sich warten. „Wir werden erst ab Februar damit starten“, erklärt der grüne Stadtentwicklungsstadtrat Oliver Schruoffeneger der taz. „Entgegen unserem ursprünglichen Vorhaben warten wir, weil die TU-Studenten der Landschaftsplanung in diesem Jahr ihre Masterarbeiten dazu schreiben.“ Da könne er sich sinnvolle Vorschläge vorstellen und die wolle der Bezirk mit einbeziehen. „Es ist aber möglich, dass das Konzept dennoch im Frühjahr fertig sein kann,“ sagt Schruoffeneger.

    Der Handel, der im vergangenen Sommer auf einer riesigen Fläche mit bis zu 100 Ständen für Papayasalat, fernöstliche Suppen, Currygerichte und Pasteten stattfand, hat einmal ganz klein angefangen. In den 1990er Jahren trafen sich hier Berliner Thailänderinnen an warmen Sonntagen und brachte ihre heimatlichen Gerichte zum eigenen Verzehr mit. Deutsche Parkbesucher fragten, ob sie etwas kaufen dürften. Diese Nachfrage machte aus dem geselligen Zusammensein ein Geschäft, das in den vergangenen vier Jahren kräftig wuchs. 2018 hatten sich zu den thailändischen Verkäufern längst Kollegen aus anderen fernöstlichen Ländern gesellt. Und Brasilianer, die hochprozentige Cocktails mixen und verkaufen. Zu viel Alkohol sowie dessen Verkauf an Minderjährige sind ein Vorwurf, der immer wieder über der Thaiwiese schwebt.

    Den Anwohnern stinkt das – im wahrsten Sinne des Wortes. Der Dunst von süßsauren Currygerichten, Knoblauch und Zitronengras liegt im Sommer über Wilmersdorf. Anders als bei regulärer Gastronomie fehlen auf der Thaiwiese Toiletten, sodass die Besucher ihre Notdurft in Treppenhäusern oder den Gärten der Anwohner verrichten. Die private Müllentsorgung und Reinigung der einzigen Toilette im Park, die die Händler bis 2016 organisiert hatten, funktioniert nicht mehr. Und das Ungeziefer, das durch die hygienisch nicht einwandfreie Großgastronomie unter freiem Himmel angezogen wird, verbreitet sich auch zu den Anwohnern. Die machten Druck auf den Bezirk, das illegale Treiben zu beenden.

    „Warum lassen Sie den Park nicht räumen? Sie haben jede rechtliche Handhabe dazu“, fragte eine Anwohnerin im Sommer auf der ­Bezirksverordnetenversammlung. Zahlreiche Nachbarn pflichteten ihr bei. Wenn es nach ihnen ginge, solle die Thaiwiese umziehen. Irgendwohin, nur sehr weit weg von ihnen. Sie wollen den Preußenpark zurückhaben.

    Dahinter steckt die Frage: Wem gehört die ehemalige Grünfläche? Den Anwohnern, die dort Erholung und Ruhe suchen, oder der hippen Stadtcommunity und den Touristen, die sich nach einem Stück Exotik mitten in Berlin sehnen – sowie natürlich den asiatischen Berlinern? Preußenpark oder Thaiwiese?

    Schweigen der thailändischen Community
    Doch während die Kunden der Thaiwiese im Internet um deren Erhalt streiten, ist die thailändische Community selbst still. Rund 5.000 Menschen aus Thailand wohnen in Berlin. Etwa 80 Prozent von ihnen sind ältere Frauen, die einmal als Krankenschwestern angeworben wurden und heute auf das Renten­alter zugehen oder es bereits erreicht haben. Sie verdienen sich im Sommer ein Zubrot auf der Thaiwiese, stocken so ihre Rente oder ihre Sozialleistungen auf.

    „Was sollen sie auch öffentlich sagen?“, fragt eine jüngere Thailänderin, die Kundin auf der Thaiwiese ist und die Szene als geselliges Zusammensein mit Freunden und Bekannten bei leckerem Essen schätzt. „Die Händler wissen doch, dass ihr Verkauf nicht legal ist.“ Die Frau, die ihren Namen nicht nennen möchte, kann sich nicht vorstellen, dass eine dieser Frauen ein legales Gewerbe anmelden wird. „Dann müsste sie das ganze Jahr über Standmiete bezahlen. Das Geschäft läuft aber nur in den Sommermonaten. Das rechnet sich nicht.“

    Mehr und mehr Köchinnen würden zudem jeden Sommer eigens mit einem Touristenvisum für drei Monate aus Thailand kommen und in Privatwohnungen das Essen vorkochen, das dann Frauen mit deutschen Sprachkenntnissen vor Ort aufwärmen und verkaufen, verrät sie. „Touristen können aber gar kein Gewerbe anmelden. Ich glaube nicht, dass man den Verkauf hier in legale Formen lenken kann.“

    Das baldige Ende der gesetzlosen Thaiwiese sieht die Frau mit einem weinenden und einem lachenden Auge. „Unser geselliges Beisammensein könnte damit wegfallen. Das ist die traurige Seite. Aber in den letzten Jahren wurde dieses ohnehin immer stärker kommerzialisiert. Die Stimmung ist nicht mehr wie vor fünf oder zehn Jahren. Wenn ich mit meiner Familie auf einer Decke liege und mich alle zehn Minuten jemand fragt, ob ich eine Massage oder Maniküre brauche, nervt das einfach nur.“ Zudem, fügt die Frau hinzu, gäbe es Gesetzesverstöße, bei denen die Behörden wirklich nicht wegschauen könnten. „Illegales Glücksspiel beispielsweise oder Alkoholverkauf an Kinder.“

    #Berlin #Wilmersdorf #Fehrbelliner_Platz #Brandenburgische_Straße #Württembergische_Straße #Pommersche_Straße #Preußenpark #Gastronomie #Umwelt #Kultur

  • Des éleveurs caprins des Pays de la Loire sont en train de bâtir une filière bio où les chevreaux seront élevés sous la mère. Des réflexions similaires sont en cours en Ardèche et dans le Poitou. Mais il y a en France quelqu’un qui depuis déjà de nombreuses années tente de remettre la viande de chevreau au goût du jour. A la frontière espagnole, Martin Quintana élève des chèvres catalanes, une race en voie de disparition et très réputée pour la qualité de sa viande. Et si les Français les boudent, les cabris de Martin font le bonheur des Catalans et des Espagnols.

    https://alimentation-generale.fr/reportage/du-cabri-dans-nos-assiettes
    #gastronomie #élevage

  • Usul. Pourquoi les pauvres préfèrent-ils le Nutella à la confiture bio ?
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050218/usul-pourquoi-les-pauvres-preferent-ils-le-nutella-la-confiture-bio

    © Mediapart En #France, tout est politique. Et tout est lié à la bouffe, aussi. La dernière « polémique alimentaire » en date, qui implique des pots de Nutella en promotion, n’a pas manqué de susciter son lot de commentaires méprisants. État des lieux des rapports que les Français entretiennent avec leur nourriture et, finalement, entre eux.

    #cuisine #gastronomie #pauvreté

  • Echtes Berlin®
    https://www.berliner-zeitung.de/berlin/wuerste-aller-art-legendaerer-berliner-imbiss-an-der-leipziger-stra

    Berlin verschwindet. Wer in Rente geht hinterläßt ein Stück Berlin, das nun als Claim abgesteckt versteigert wird. In diesem Spiel sind Menschen Bauern für Spieler größer als sie. Sie sind die Attraktion, lokale Freaks, im supergroßen Supermarkt Berlin.

    Das Geld siegt bei der Versteigerung, und wer es investiert, wünscht sich manchmal Mensch zu sein, ein nüchterner Puntila, froh über sein Stück Echtes Berlin® .

    Der Sieger kauft sich ein Problem. Was er besitzt, ist nicht mehr Berlin, was vorher lebte, verwandelt sich im Akt des Kaufs in totes Kapital. Das will nun wiederbelebt werden, und sich selber wieder ähnlich sein. Der Invester mag das, aber Rendite geht vor. So macht er Geld daraus. Der Spekulationsgewinn wird realisiert, falls es gelingt, den Kadaver schön zu schminken für noch Reichere, für noch weiter vom Zustand echten Lebens Entfernte, für noch mehr Geld, für ein Stück angeblich Echtes Berlin® , das es in Wirklichkeit schon lange nicht mehr gibt.

    Sie erinnern sich, Kapital ist transformiertes Menschenblut, geronnene Arbeit. Hier wird mit ihm für das bezahlt, was nur noch Schatten seiner selbst, und wie ein Gespenst von Canterville von Kindern erlöst zu werden wünscht.

    Das kleine Stück Berlin, auf dem ein Imbiss stand, lebt weiter wenn ein Mensch ihm Leben gibt. Ein Penner macht hier Platte, ein neuer Kiosk soll nicht sein, vielleicht malt ein Kind ein Bild aufs Pflaster, und wenn die Mordmaschinen von der Leipziger verschwunden sind, stellt hier vielleicht ein Stadtverwalter den Rentnern einen Tisch fürs Schachbrett auf, wo sie dann still im Sonnenuntergang nur sind.

    Dorothea Bergers legendärer Imbiss an der Leipziger Straße schließt: „Eine der letzten Wurstbuden mit Herz“ | Berliner Zeitung
    ...
    Am 1. August 1990 wurde Dorothea Berger Würstchenverkäuferin. 27 Jahre ist das also her. Seither fährt sie täglich von Grünheide im Südosten Berlins in die City. Fast eine Stunde dauert die Fahrt mit dem Regionalzug. „Dafür wohne ich im Grünen“, sagt sie, während sie blitzschnell eine Wurst in Stücke hackt. Mit viel Übung halt.

    Zu DDR-Zeiten arbeitete sie als Erzieherin, dann in einem Porzellangeschäft in Köpenick. Nach der Wende schlossen viele Geschäfte im Osten, und Dorothea Berger hatte Angst, arbeitslos zu werden. Was also tun?

    Sie sprach mit ihrem Mann, und das Paar beschloss, eine Imbissbude zu kaufen und einen Standplatz zu mieten. „Essen müssen die Leute immer“, sagt sie in ihrer leicht schnoddrigen Art. Und der Standplatz schräg gegenüber der Kolonnaden nahe des Spittelmarkts versprach viel Laufkundschaft.

    „Mittlerweile haben aber viele Geschäfte hier geschlossen, die Gegend hat sich verändert“, erzählt Dorothea Berger.

    The Canterville Ghost
    https://en.wikipedia.org/wiki/The_Canterville_Ghost

    ... a novella by Oscar Wilde. It was the first of Wilde’s stories to be published, appearing in two parts in The Court and Society Review, 23 February and 2 March 1887.

    The story is about an American family who move to a castle haunted by the ghost of a dead nobleman, who killed his wife and was starved to death by his wife’s brothers.
    ...
    Unlike the rest of her family, Virginia does not dismiss the ghost. She takes him seriously, she listens to him and learns an important lesson, as well as the true meaning behind a riddle. Sir Simon de Canterville says that she must weep for him, for he has no tears; she must pray for him, for he has no faith; and then she must accompany him to the angel of death and beg for Death’s mercy upon Sir Simon. She does weep for him and pray for him, and she disappears with Sir Simon through the wainscoting and goes with him to the Garden of Death and bids the ghost farewell. Then she reappears at midnight, through a panel in the wall, carrying jewels and news that Sir Simon has passed on to the next world and no longer resides in the house.

    #Berlin #Mitte #Leipziger_Straße #Gastronomie #Imbiss

  • La bonne adresse pour un vrai repas syrien : Chez vous, à la maison ou tout autre lieu à votre concenance ! Invitez vos proches et découvrez à la maison, un repas divin, un festival de couleurs et de saveurs syriennes

    A Lille, Roubaix, Tourcoing, Marcq-en-Bareuil, Croix, Wasquehal, Mouvaux, Bondues, Linselles, La Madeleine, ... dans la Métropole Européenne :

    Je vous raconte. Invité chez des amis dans la métropole de Lille, j’y ai découvert leur savoureux voyage parmi les spécialités de Syrie.

    Le nectar de la gastronomie syrienne, préparé maison sous nos yeux par Wafaa, traiteure à domicile.

    Plutôt que de se faire livrer un menu gastronomique syrien, mes amis ont demandé à Wafaa de venir cuisiner ses mets magnifiques chez eux.

    Ce fut un dîner très copieux aux mille saveurs orientales. Un repas syro-libanais composé de recettes de Damas et d’Alep à base d’ingrédients naturels et frais.


    Mes enfants végétariens ont trouvé leur bonheur, avec ce plat très complet aux nombreuses textures et saveurs : les pâtes et les lentilles apportent de la douceur, la coriandre relève le goût, tandis que les oignons frits et le pain grillé viennent compléter chaque bouchée. Ne vous fiez pas à son apparence, ce plat est un vrai délice qui se sert chaud ou froid, selon les goûts et les saisons.

    Nous avons apprécié :
    Les entrées froides et chaudes ( mezze, Hommos, beaucoup de verdure, et le caviar d’aubergines grillées, Mouhamara, ...)
    Les plats exotiques , brochettes d’agneau, de poulet, des variétés de grillades
    Et les desserts ! Les crêpes syriennes garnies de crème et pistaches, à déguster avec un sirop à la fleur d’oranger. Un délice (pour gourmets et gourmands !)

    Nous avons vécu une fête ensoleillée très réussie !

    Traiteur syrien à domicile dans la métropole Européenne de Lille, Wafaa nous régale de sa cuisine syrienne.

    Pour commander les menus syriens de Wafaa , rendez-vous sur le site : https://anotherchef.com/menu?nationality=syrienne&locality=Lille

    Vous pourrez y découvrir les menus qu’elle propose et choisir la date à laquelle elle viendra les cuisiner chez vous. Offrez à vos invités une expérience qui sort de l’ordinaire, faites-leur découvrir une cuisine délicieuse et authentique et profitez d’une rencontre humaine enrichissante avec votre chef Wafaa.

    https://blog.anotherchef.com/2017/05/18/portrait-wafaa-chef-a-domicile-syrienne-et-traiteur-a-lille

    #Wafaa, #spécialités_de_Syrie, #Syrie, #menus-syriens, #cuisinier_à_domicile, #Traiteur_à_domicile, #repas_syrien, #gastronomie_syrienne, #repas_syro-libanais, #recettes_de_Damas,
    #Lille, #Roubaix, #Tourcoing, #Marcq-en-Bareuil, #Croix, #Wasquehal, #Mouvaux, #Bondues, #Linselles, #La_Madeleine, #MEL,

  • „Restauration 1900“ am Kollwitzplatz in Prenzlauer Berg: Das letzte DDR-Lokal muss schließen | Berliner-Kurier.de
    http://www.berliner-kurier.de/berlin/kiez---stadt/kollwitzplatz-das-letzte-ddr-lokal-ist-dicht-27036428


    Schade, schade, Schwaben gehen nicht in die Kneipe. Ende mit dem 1900. War nett da, aber vorbei is vorbei.

    Der Wirt hat aufgegeben. Nach etwa 30 Jahren bleibt das Ost-Berliner Traditionslokal „Restauration 1900“ am Kollwitzplatz in Prenzlauer Berg geschlossen. „Das 1900 ist Geschichte“, sagt Thomas Jähnke. „Ich hätte gern weitergemacht“, sagt der 51-jährige Gastronom. „Aber es kommen zu wenig Gäste und die Kosten sind zu hoch.“ Unter diesen Bedingungen überlebt kein Betrieb.

    Die Husemannstraße ist keine Vorzeigestraße mehr

    Das Ecklokal an der Husemannstraße eröffnete Ende der 80er Jahre, als die Gründerzeithäuser der Husemannstraße zur 750-Jahr-Feier Berlins aufwendig saniert worden waren. Nach der Wende kamen viele Touristen in den berühmten Prenzlauer-Berg-Kiez. Sie besuchten den Kollwitzplatz, spazierten durch die Husemannstraße und speisten im „1900“, das sich auf Altberliner Küche spezialisiert hatte: Eisbein, Blutwurst, Königsberger Klopse. Die Wirte verdienten damals gut in der Nachwendezeit.

    „Doch die Husemannstraße ist längst keine Vorzeigestraße mehr“, sagt Jähnke. Im Viertel dominieren heute Cafés und Imbisse sowie indische und asiatische Restaurants.

    Bis jetzt möchte niemand das Lokal übernehmen

    Im „1900“ fehlten vor allem abends die Gäste. „Es gab gute Tage, aber leider auch zu viele schlechte“, sagt der Wirt. Dabei besuchten auch internationale und prominente Gästen das Restaurant. Der Linken-Politiker Gregor Gysi war dort zu Gast und Thomas Gottschalk kam zum Eisbein-Essen.

    Einige Gastronomen haben sich das „1900“ schon angeschaut, doch niemand wollte das Lokal übernehmen. Es ist 250 Quadratmeter groß, doch der 70 Quadratmeter große Gastraum hat nur 40 Plätze.

    #Berlin #Prenzlauer_Berg #Kollwitzplatz #DDR #Geschichte #Gastronomie

  • Une gigantesque fresque était cachée dans les murs de la gare de Lausanne

    Le chantier de l’aile ouest de la gare de Lausanne a été officiellement lancé vendredi. Une carte thématique de la Suisse, fraîchement redécouverte, a été présentée à la presse.
    La fresque se trouvait dans le bâtiment Voyageurs, dans l’un des cafés de la gare qui a été fermé il y a un an pour les travaux. Sur cette carte de la Suisse, chaque région et chaque ville a eu le droit à une représentation de sa spécialité : des poissons à Lausanne, du jambon à Fribourg, de la fondue au Val-de-Travers on encore des abricots en Valais. On notera que des bouteilles de vin figurent dans chaque canton romand, sauf dans le Jura, où c’est une mousse qui trône.


    http://www.rts.ch/info/regions/vaud/8231815-une-gigantesque-fresque-etait-cachee-dans-les-murs-de-la-gare-de-lausann

    #cartographie #cartographie_culinaire #gastronomie #gare_de_Lausanne #fresque

  • Souffrir de faire souffrir AL - La Brique 2 novembre 2016

    http://labrique.net/index.php/thematiques/lutte-des-classes/832-souffrir-de-faire-souffrir

    Chaque année, des affaires de maltraitance sont révélées concernant des personnes âgées « accompagnées » en maisons de retraite. De manière assez systématique, le personnel est pointé du doigt, sans toujours réincrire ces histoires de violence dans le contexte délétère qui les ont rendues possibles. Que savons-nous des conditions de vie et de travail en maisons de retraite ? Bien souvent prises dans la spirale du rendement, soignantes et soignées ont en commun d’être invisibles. Pour en savoir plus, La Brique donne la parole à Alice, ancienne aide-soignante (AS) en EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Il s’agit tant d’un témoignage personnel que l’expression d’une parole collective destinée à rendre visible l’envers du décor. 

    « J’ai fait la toilette de Madame Oiseau avec Pauline, chouette fille. Elle bosse comme une dingue, vit seule avec ses filles à élever. Elle est crevée à cause du manque de sommeil. Elle travaille dans la maison depuis vingt ans. Encore une fille qui n’a pas le diplôme, qui avant faisait tout, mais s’est retrouvée faisant fonction aide-soignante. Aujourd’hui, elle est payée comme une femme de ménage en faisant le boulot d’une AS. C’est dur. Pauline parvient à peine à toucher Madame Oiseau. Pourtant, elle l’adore. Les escarres sont importantes et creusent le corps, elles sont infectées dans le bas du dos, aux talons. Elle souffre, se crispe de douleur. Faire ses soins est éprouvant. Le directeur hésite encore à faire appel à l’équipe mobile de soins palliatifs. La situation traîne et Madame Oiseau reste des journées entières sans soin ».
     
    Ancienne aide-soignante, j’ai travaillé pendant trois années dans un EHPAD. Cet extrait de mon journal raconte une scène aussi fréquente qu’éprouvante. Après un certain temps j’ai ressenti le besoin de transcrire la dureté de ce quotidien où, du côté des soignantes comme des soignées, se côtoient des souffrances de toutes sortes. Aujourd’hui, je suis tiraillée entre l’urgence de témoigner des conditions déplorables dans lesquelles notre société accompagne nos vieilles1 durant les derniers moments de leur vie, et l’inconfort de parler d’une maltraitance à laquelle j’ai moi-même participé, malgré moi. Car, si des aides-soignantes ont une pratique maltraitante, c’est bien souvent parce que l’institution les y contraint.
     
    Les vieilles, pompes à fric
    La France compte sept millions d’habitant.es de plus de 75 ans et 10 % d’entre eux.elles – soit environ 700 000 – vivent en maison de retraite où sont généralement hébergées les personnes les plus fragiles, âgées, malades et dépendantes. Les EHPAD sont des maisons de retraite médicalisées. Une formule technocratique pour euphémiser ce qu’on appelait autrefois hospices, asiles ou mouroirs. On y concentre, recluse, la vieillesse dépendante, celle qui va mal et qu’on refuse de voir2.
     
    Le budget des EHPAD est tripartite. L’agence régionale de santé (ARS) finance les soins et une grosse partie du salaire des soignantes. Le département, lui, finance la dépendance et la petite partie restante des salaires. C’est aux particuliers de payer le reste de la note, c’est-à-dire l’hébergement, qui finit dans les poches des promoteurs immobiliers et des actionnaires. Quant à l’État, il se désinvestit et délègue aux collectivités territoriales la gestion financière des EHPAD. Faute de budget, celles-ci freinent des deux pieds lorsqu’il s’agit d’ouvrir de nouveaux EHPAD publics, ou des EHPAD privés à but non lucratif.
     
    Résultat, il reste les EHPAD à but lucratif. Fédérés en grands groupes cotés en bourse, ces établissements sont les seuls capables de rafler les appels d’offre. C’est qu’ils ont su rendre la santé des vieux rentable en réalisant des économies d’échelle sur le matériel, en externalisant les services d’entretien des locaux et de restauration, en payant les plus petits salaires possibles, en programmant des taux de dépendance optimums (plus la dépendance est élevée, plus la rentabilité est forte). En bref, les groupes profitent de la faiblesse de l’offre et de la forte demande pour proposer des tarifs d’hébergement prohibitifs, aux frais des familles3.
     
    Parallèlement, la mesure du soin a été rendue possible par l’usage de nouveaux outils. La médicalisation et la standardisation des soins en cours depuis les années 1970 permet aux collectivités publiques de contrôler de près les coûts de la dépendance. Puisque les collectivités territoriales ont un oursin dans la poche et que l’État regarde ailleurs, le prix de l’hébergement ne cesse de s’élever en EHPAD : de 1500 euros par mois pour une chambre en province à 6000 euros à Paris ou en région Provence-Alpes-Côte-d’Azur. L’ARS fixe le budget du soin et en contrôle la qualité. Selon l’État et les collectivités territoriales, la privatisation permettrait de maintenir serrées les dotations en soin tout en garantissant le développement d’une offre de services apparemment conforme à des normes exigeantes. Pourtant, le secteur privé facture aux client.es des services chers (restauration, blanchiment, ménage, loisirs, kits d’hygiène, etc.) qui répondent mal aux besoins des résidentes et sont directement financés par les particuliers.
     
    Sans surprise, les EHPAD privés à but lucratif enregistrent les plus forts taux de remplissage et de dépendance pour une rentabilité maximale. Les ratios soignantes/soignées sont au plus bas, la charge de travail énorme pour des soignantes souvent privées du matériel et de la moindre marge de manœuvre.
     


     
    L’usine
    Ces entreprises du grand âge, toujours soucieuses de réduire leurs coûts, optimisent partout où elles le peuvent : protections hygiéniques comptées, toilettes minutées, temps de repas étriqués, pauses grignotées, budgets d’animation réduits, cadence soutenue… La liste est longue et témoigne de l’effet désastreux de la privatisation de la prise en charge des personnes âgées changées en matière première.

    Les soignantes ne sont pas en reste puisque dans la plupart des EHPAD, c’est l’usine... Les journées de onze heures s’enchaînent. On vient souvent travailler sur ses jours de congés ou de repos, les heures supplémentaires ne sont pas payées. Pendant ce temps, les pointeuses comptent tous les jours rigoureusement notre temps de présence. L’énorme turnover et le non remplacement des absentes mettent celles qui restent à rude épreuve.
     
    En plus de ces conditions de travail dégradées il faut encore supporter la soumission à un personnel d’encadrement malveillant. Le chef, qu’on ne voit jamais dans les étages, nous regarde de haut et nous parle comme à des gamines mal élevées. Il reste sourd à nos problèmes préférant nous parler « du budget », sa seule obsession. Il faut également supporter la pression exercée par la cadre, celle qu’on doit supplier pour un jour de repos, pour quelques toilettes en moins, pour le remplacement d’une fille en arrêt. Celle qui nous demande sans cesse s’il ne reste pas quelque chose à faire, des ongles à couper, qui ne supporte pas de nous voir prendre du temps avec une personne. Celle qui nous dit que si ça ne va pas c’est la faute de la génération Y, que les filles n’ont plus la vocation, qui nous répète que Pôle emploi leur envoie n’importe qui.
     
    Éthique et performance : des injonctions contradictoires
    En EHPAD, la norme, c’est l’injonction contradictoire. Une collègue m’a dit un jour : « On est obligé de maltraiter ». C’est que les soignantes sont en permanence rappelées à des contraintes médicales et éthiques qu’elles ne peuvent satisfaire prises sous les feux de l’impératif de rendement. D’un côté, on demande aux soignantes de bien prendre soin des résidentes. L’éthique des soins gériatriques responsabilise excessivement les agentes qui les prodiguent. Assignées à la sollicitude permanente, responsables du bonheur d’individus privés de la liberté d’aller et venir, sommées de mettre au travail leur propre vulnérabilité pour donner le meilleur d’elles-mêmes à des sujets fragiles et déracinés, « nous sommes dévouées ». De l’autre, pas le droit de s’asseoir pour faire un brin de causette. Pour les boss, le « prendre soin » possède une valeur principalement quantitative : un maximum de soins pour un minimum de coûts. Il faut faire vite, mais ne rien oublier, sous peine d’une observation orale ou écrite, voire d’un avertissement pour maltraitance.
     
    Politiser le soin
    Des luttes collectives voient le jour. Partout, des revendications se formulent : dans les couloirs, durant le repas, dans les chambres, les salles de repos, etc. La presse se fait parfois l’écho de formes plus politisées de mobilisations, de débrayages d’une heure et de journées de grève. En janvier 2016 le département du Nord a baissé de 3 % le budget des EHPAD. En réaction, l’Union Nationale des Syndicats Autonomes (UNSA) a lancé un appel à la grève d’une heure le 1er avril 2016. La forte mobilisation a forcé la rencontre de directeurs d’EHPAD du Nord avec des représentant.es du département. Fin septembre 2016, une dizaine de soignantes de l’EHPAD de Coudekerque-Branche pousse la porte de Force Ouvrière et menace de faire grève si la direction ne répond pas à leurs revendications. À suivre.
     
    Partout en France, les salariées des EHPAD se syndiquent pour renverser les rapports de force. Les journaux locaux relaient plus régulièrement les revendications des soignantes et les directions se voient obligées d’ouvrir le dialogue, au moins pour la forme. Mais rien n’est gagné. Après des mois de lutte, les salariées de la maison de retraite intercommunale de Semblançay-La Membrolle (composée de deux EHPAD) située près de Tours obtiennent une réunion réunissant des agents de l’ARS, du conseil départemental d’Indre-et-Loire, la directrice de l’EHPAD, le président du conseil d’administration des deux établissements et des représentants syndicaux CGT et SUD. Les salariées doivent s’estimer heureuses, elles ont obtenu un audit censé mesurer la gestion, les effectifs et l’organisation de l’établissement4. Mais cette démarche, une nouvelle fois comptable, peut-elle déboucher sur quelque chose ?
     


     
    Des alternatives au règne de l’actionnariat  
    Malgré son coût prohibitif, l’EPHAD apparaît comme la solution incontournable alors même qu’il est en voie de ne devenir accessible qu’aux familles aisées. Quand bien même on a les moyens, trouver une place en EHPAD n’est pas chose facile : il faut souvent attendre des mois, voire des années, pour que la liste d’attente se tarisse et que s’ouvrent les portes de l’institution. L’insuffisance des aides accordées par les régions et les départements est criante en comparaison de l’épuisement d’aidantes esseulées face à l’aggravation d’une démence, la survenue d’une maladie ou une perte d’autonomie. Leur isolement social les oblige à faire la navette entre l’hôpital et le domicile. La vieille meurt souvent sur le chemin5.
     
    Dans ce contexte, la place réservée à d’autres modèles d’accompagnement s’avère réduite. Et pourtant, il existe des alternatives : dans le Nord, l’association de développement gérontologique du valenciennois a ouvert une maison de retraite communautaire composée de petites unités de vie de 17 à 35 studios. À Montreuil, c’est la « maison des Babayagas », une « anti-maison de retraite » autogérée, citoyenne, solidaire, écologique et féministe qui a ouvert ses portes en 20136. Ici, pas de loyers exorbitants : « Les Babayagas sont locataires de l’Office des HLM de Montreuil, qui réalise la construction pour des loyers modulables de 250 à 700 euros en fonction de leurs ressources »7. Quand on sait que neuf vieux.vieilles sur dix ne vivent pas en EHPAD, voilà une initiative qui mérite de se développer.
     
    Nouvelles solidarités
    Pour conclure ce papier, je voudrais dire à quel point j’aime mon métier. Comme la plupart de mes collègues, j’ai choisi de travailler auprès des personnes âgées. Après avoir travaillé une année à domicile, j’ai pensé que travailler dans un environnement adapté, tout en étant mieux formée, me permettrait d’être une meilleure soignante. Je n’ai pas trouvé, en EHPAD, le cadre sécurisant que j’y attendais. Entre le maintien à domicile – où le soin est reclus dans la sphère privée et domestique des familles – et l’EHPAD – où le soin est privatisé pour rendre productive la vieillesse improductive – il faut créer de nouveaux lieux de vie. En attendant, je salue le courage et la détermination de celles et ceux qui ont la force de rester et de se battre au quotidien sur le terrain pour défendre leurs conditions de travail. Celles-ci font la qualité de vie des résidentes en EHPAD.
     
    AL

    Et comme plus d’info ne tue pas forcément l’info, vous pouvez continuez à vous documenter en allant voir l’article paru dans Bastamag le 7 octobre 2016 : Dans les maisons de retraite, manque de moyens et conditions de travail dégradées rendent la situation « explosive » http://www.bastamag.net/Dans-les-maisons-de-retraite-manque-de-moyens-et-conditions-de-travail
     
    1. Avec plus de trois quarts des résidents qui sont des résidentes et plus de 90 % des soignants qui sont des soignantes, je choisis de féminiser ces termes.
    2. Les prénoms ont été changés.
    3. Pour ne citer que les trois plus gros EHPAD français côtés en bourse, le groupe Korian occupe la tête du classement avec 23900 lits et 288 établissements. Suivent Orpéa (19275 lits, 222 établissements) et DomusVi (15043 lits, 187 établissements).
    4. « La Membrolle et Semblançay : pas de réponses concrètes pour les salariés des EPHAD », La Rotative, 02 septembre 2016.
    5. « La fin de vie des personnes âgées », Observatoire National de la Fin de Vie, 2013.
    6. « La maison des Babayagas, l’antimaison de retraite à Montreuil », Juliette Harau, Le Monde, 22 février 2016.
    7. « La maison des Babayagas, un projet pour vieilles qui décoiffe… », Danielle Michel-Chich, Mediapart, 27 novembre 2012.

    #Lille #presse #La_Brique #luttes_sociales #EPHAD #maltraitance #Babayagas #maison_de_retraite #ARS #vieux

  • Eine Art „Grill Royal des kleinen Mannes“ in Schöneberg
    http://www.morgenpost.de/gastronomie/article208334099/Eine-Art-Grill-Royal-des-kleinen-Mannes-in-Schoeneberg.html


    Wird probiert und dann berichtet.

    Eine Art „Grill Royal des kleinen Mannes“ ist das Schöneberger Steakhaus Doree. Abends und besonders am Wochenende geht es hier hoch her. In einem irritierend unattraktiven Ambiente im Erdgeschoss eines Sozialbaus aus den 70er-Jahren speisen mittags und abends an die hundert Gäste zu „50 Prozent Rabatt – Preise wie vor 20 Jahren“, wie die auf allen Tischen liegende Speisekarte verkündet.

    Die Mehrzahl der Gäste hat Steak auf dem Teller. Nicht die 250-Gramm-Filet-Version für 9,99 Euro, sondern die XL-Variante: Hüftsteak und Rumpsteak von 400 bis 800 Gramm, zwischen 9,50 und 22 Euro. Wohlgemerkt, laut Aussage des Besitzers argentinische Steaks. Beilagen werden extra berechnet, ebenfalls zu Discountpreisen. Die Kellner, in klassischem Schwarz-Weiß gekleidet, duzen die meisten Gäste salopp. Die Bestellung wird schnell aufgenommen und ruckzuck zu Tisch gebracht. Punktgenau gegrillt kam das 250-Gramm Filet, die Portion Brokkoli mit Zwiebeln war ein bisschen zu weich, aber wer will bei 1,49 Euro dafür groß meckern? Besser als die Pommes waren die Mexican Potatoes für 1,39 Euro. Auf die Frage, wie sie Steaks so günstig anbieten können, antwortete der Kellner: „Man muss die richtigen Lieferanten kennen.“ Die Kundschaft jedenfalls freut’s.

    Restaurant Doree Dominicusstraße 37/ Feurigstraße, Schöneberg, Tel. 788 57 46, täglich 12–24 Uhr

    Selber essen macht schlau, in diesem Fall. Man weiß ja nie, wer genau mit wem verwandt ist und darum Gutes oder Schlechtes berichtet.

    #Gastronomie #Restaurant #Berlin #Schöneberg #Feurigstraße #Dominikusstraße

    • Geschafft, Test erfolgreich absolviert. Pizza € 3,- auf Aldi-Tiefkühlniveau, kleines Rindersteak €5,- war OK, Getränke billig aber nicht sehr billig, Salat mit Remoulade zum Davonlaufen, Grillteller billig und riesig wie früher beim Jugo, Fleischzubereitung nach dem Zufallsprinzip, Kellner ahnungslos und freundlich unprofessionell. Sehr zu empfehlen für Bauarbeiter mit Riesenhunger, wer nuancierte Geschmackserlebnisse sucht bleibt besser weg. Immerhin, sind wir am nächsten Morgen ohne Lebensmittelvergiftung aufgewacht.

      Wir verkaufen demnächst T-Shirts mit dem Aufdruck „I survived Doree“. Qualität hat eben ihren Preis. Aber lustig wars.

  • #Agriculture et #gastronomie : le #bio, atout majeur des #Balkans

    Fromage des montagnes du Shar, slatko de prunes de Bosnie, rakije de fruits, et tant d’autres encore : les produits naturels des Balkans constituent un trésor gastronomique aujourd’hui menacé. Le saccage des agricultures traditionnelles et la domination des trusts agro-alimentaires internationaux représentent une menace directe à la biodiversité. Des mouvements comme Slow Food essaient pourtant d’inventer des alternatives, en impliquant des producteurs traditionnels dans la création de « Sentinelles du Goût », mais il y a urgence.

    http://balkans.courriers.info/spip.php?page=dossier&id_article=15758
    cc @odilon

  • Une flore vaginale senteur pêche, et puis quoi encore ? - Madmoizelle
    http://www.madmoizelle.com/vagin-parfum-peche-301177

    Le corps féminin est déjà soumis à suffisamment d’injonctions, il y a déjà suffisamment de produits destinés à « corriger » ses multiples imperfections pour ne pas en plus vouloir régir et uniformiser les odeurs intimes.

    Sérieusement les mecs, vous n’avez rien de plus important à faire ? On est à court de maladies mortelles et contagieuses pour lesquelles développer des vaccins ? Je ne crois pas. Alors lâchez-nous la vulve et rendez-vous vraiment utiles, merci.

    #sexisme