• Zachary Foster sur X :
    https://twitter.com/_ZachFoster/status/1760394126162354231

    “I am personally proud of the ruins in Gaza...every baby, even in 80 years, will tell their grandchildren what the Jews did…” -
    @GolanMay

    ...And you wonder why there is a rise in antisemitism when Israeli ministers explain that it’s “the Jews” carrying out a #genocide in #Gaza?

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1760353210382913536/pu/vid/avc1/1280x720/4hFjqwaIUTS4wE6O.mp4?tag=12

    #antisémitisme

  • Guerre Israël-Hamas : Des exécutions et des viols de femmes palestiniennes ont eu lieu à Gaza, estiment des experts La Libre - Belga

    Des experts indépendants liés aux Nations unies sont profondément préoccupés par des “allégations crédibles” d’exécutions et de viols de filles et de femmes par les forces israéliennes dans la bande de Gaza et en Cisjordanie. C’est ce qu’a annoncé lundi un groupe d’experts du Conseil des droits de l’homme des Nations unies.

    Ces experts, dont la rapporteuse spéciale de l’ONU sur la violence à l’égard des femmes, Reem Alsalem, ont dit avoir reçu des informations sur des exécutions “ciblées” de femmes palestiniennes dans la bande de Gaza, souvent en compagnie de membres de leur famille et d’enfants.

    Depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, des centaines d’autres Palestiniennes, dont des défenseures des droits de l’homme, des journalistes et des travailleuses humanitaires, auraient également été détenues arbitrairement à Gaza et en Cisjordanie.

    ”De nombreuses femmes auraient été soumises à des traitements inhumains et dégradants, privées de serviettes hygiéniques, de nourriture et de médicaments, et gravement maltraitées. Lors d’un incident au moins, des femmes palestiniennes de Gaza auraient été détenues dans une cage sous la pluie et dans le froid, sans nourriture”, dénoncent ces experts dans un communiqué de presse.

    Un nombre inconnu de femmes seraient par ailleurs portées disparues après avoir été en contact avec l’armée israélienne.

    Les experts, qui travaillent bénévolement pour les Nations unies, se disent particulièrement préoccupés par les “multiples formes d’agression sexuelle” dont sont victimes les prisonnières palestiniennes de la part des forces israéliennes. Elles seraient notamment fouillées nues.

    Selon les informations disponibles, au moins deux prisonnières palestiniennes auraient été violées et d’autres menacées de viol et de violence sexuelle.

    On ignore d’où proviennent les informations relayées par ce groupe d’experts et s’il les a vérifiées de manière indépendante.

    Ces experts du Conseil des droits de l’homme des Nations unies appellent en tous les cas à une enquête indépendante sur ces allégations et demandent à Israël d’y coopérer.

    #Femmes en #cage et leur #Filles #Palestiniennes #génocide #violence #viols #exécutions #agressions #disparitions #ONU #Gaza #israel

    Source : https://www.lalibre.be/international/moyen-orient/2024/02/20/guerre-israel-hamas-des-executions-et-des-viols-de-femmes-palestiniennes-ont

  • Le sort des palestiniens et palestiniennes à Gaza depuis 4 mois

    Des médecins et une infirmière ayant travaillé en mission humanitaire sur place décrivent ce qu’ils ont vu dans leur hôpital. Leurs témoignages sont bouleversants. Ils racontent l’horreur infligée aux civils, majoritairement des enfants et des femmes.
    Cette vidéo de 15 min retrace le sort des palestiniens et palestiniennes à Gaza depuis 4 mois.

    https://www.instagram.com/reel/C3hSIfwopjh/?igsh=NTlsaHFpN2ltOGM=

    #gaza #palestine

  • Aidarouss Ahmed Hirsi sur X :

    Loudspeakers at The Hague train station - Netherlands: 🇵🇸🇳🇱 “Dear passengers, We regret to tell you that the Netherlands is on the wrong side of history and that its taxes contribute to the war. It is time to act and not leave Gaza alone” #GazaHolocaust

    https://twitter.com/aidaroussahmed/status/1759320617117954138

    https://video.twimg.com/amplify_video/1757349020765184001/vid/avc1/720x1280/E1--LqKdcHMVVfaJ.mp4?tag=14

  • L’Egypte construit une zone de sécurité dans le Sinaï en prévision d’un éventuel afflux de réfugiés depuis Gaza
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/17/l-egypte-construit-une-zone-de-securite-dans-le-sinai-en-prevision-d-un-even

    L’Egypte construit une zone de sécurité dans le Sinaï en prévision d’un éventuel afflux de réfugiés depuis Gaza
    Par Hélène Sallon (Beyrouth, correspondante)
    Dans le Sinaï égyptien, le long de la frontière avec la bande de Gaza, entre les terminaux de Rafah et de Kerem Shalom, des engins de chantier aplanissent le sol d’une étroite bande de terre. Des images satellites, analysées par l’agence Associated Press vendredi 16 février, montrent que des travaux sont en cours dans ce périmètre. Des grues et des camions y sont visibles. Des barrières de béton ont été dressées pour ceinturer cette zone d’environ 20 kilomètres carrés.
    Selon l’ONG Sinai Foundation for Human Rights, qui a révélé l’existence de ce chantier le 12 février, l’endroit est destiné à accueillir des réfugiés palestiniens, dans l’éventualité où l’Egypte devrait faire face à un exode massif depuis Gaza. Des entrepreneurs locaux ont dit à l’ONG avoir été chargés des travaux par l’entreprise Sons of Sinai, propriété de l’homme d’affaires Ibrahim El-Argani, proche de l’armée égyptienne. Il est prévu que des murs de 7 mètres de haut soient construits, sous la supervision du génie militaire, et sous forte présence sécuritaire.Des sources égyptiennes ont confirmé, sous couvert de l’anonymat, au Wall Street Journal l’aménagement d’une zone de sécurité, pouvant accueillir jusqu’à 100 000 personnes. Une source égyptienne indique au Monde que la peur de faire face à un afflux de déplacés en cas d’offensive israélienne sur la ville de Rafah explique cette décision. Le chef des services de communication de l’Etat, Diaa Rashwan, a toutefois nié l’existence d’un tel projet. Il a rappelé que l’Egypte s’oppose à tout déplacement forcé de Gazaouis sur son territoire du fait de la guerre entre Israël et le Hamas dans l’enclave palestinienne.
    Ce scénario pourrait cependant se matérialiser si le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, mettait à exécution sa menace, agitée depuis le 7 février, de lancer une offensive sur Rafah, qui est devenue le dernier refuge de plus d’1,4 million de Gazaouis. « La décision de lancer l’offensive sur Rafah n’a pas été prise. Nétanyahou souhaite en faire un moyen de pression dans les négociations de trêve avec le Hamas. Mais s’il n’y a pas d’accord, il sera difficile pour les Israéliens d’éviter une offensive », estime Laure Foucher, spécialiste du Moyen-Orient à la Fondation de recherche stratégique (FRS).
    Le Caire et Washington exhortent Israël à renoncer à cette opération, invoquant des « conséquences humanitaires dévastatrices ». Ils exigent qu’un plan d’évacuation des déplacés de Rafah vers le nord de l’enclave soit mis sur pied. Vendredi, le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, a assuré qu’« Israël n’a pas l’intention d’évacuer des civils palestiniens vers l’Egypte », ni de mettre en danger l’accord de paix signé en 1978 avec Le Caire. L’armée israélienne n’a toutefois pas dévoilé de plan pour la prise en charge des civils palestiniens dans le nord de l’enclave, qu’elle a réduit à l’état de ruines. (...)
    La perspective d’un déplacement des Palestiniens dans le Sinaï suscite des inquiétudes. « En cas d’afflux massif, cette zone pourrait rapidement ressembler à un camp de concentration. Et, il n’y a aucune garantie qu’ils pourront revenir à Gaza », déplore l’expert palestinien. Les Palestiniens craignent qu’Israël ne cherche à provoquer une seconde Nakba (« catastrophe »), le nom donné à l’exode forcé de 700 000 Palestiniens, lors de la création d’Israël en 1948. Des réfugiés qui n’ont jamais pu rentrer sur leurs terres.
    « Une nouvelle crise des réfugiés signerait l’arrêt de mort d’un futur processus de paix », a alerté Filippo Grandi, le directeur de l’agence des Nations unies en charge des réfugiés (HCR), dans un entretien à la BBC vendredi. Le chef du HCR a appelé à « éviter à tout prix » un exode des Palestiniens vers l’Egypte, estimant qu’une fois sortis de Gaza, les réfugiés ne pourraient plus y retourner. Le HCR et l’UNRWA, l’agence des Nations unies chargée des déplacés palestiniens, disent ne pas être impliqués dans des préparatifs pour l’accueil de réfugiés palestiniens dans le Sinaï.

    #Covid-19#migrant#migration#gaza#israel#sinai#refugie#guerre#palestine#nakba#sante#camp#HCR#UNRWA

    • Alors que Rana continue de rassurer Hind, ses collègues s’activent auprès des autorités israéliennes, afin d’obtenir l’autorisation de se rendre auprès de la petite, dans la ville de Gaza où sont déployées les troupes israéliennes : « On a eu le feu vert [de l’armée] pour envoyer une ambulance dans la zone où se trouvait Hind. On était toujours en ligne avec elle, et en même temps en lien avec nos secouristes. Et tout d’un coup, on a entendu des tirs. Jamais on n’aurait pensé que c’était l’ambulance qui était ciblée. Elle était presque au niveau de Hind. Et là, la communication avec les ambulanciers et avec Hind a été interrompue. On est restés sans nouvelles durant douze jours ».

      Samedi 10 février 2024. L’armée israélienne se retire de la zone. L’ambulance est retrouvée pulvérisée. Les deux secouristes, Hind Rajab, sa cousine et les autres membres de leur famille, sont tous morts.

      #Génocide

  • Libertés universitaires en danger. Une conférence sur le droit international en Palestine interdite par l’Université Lyon 2 | Academia
    https://academia.hypotheses.org/54900

    Le 1er février 2024, le syndicat Solidaires étudiant-es Lyon et le collectif Palestine69 organisaient une conférence visant à informer la communauté universitaire de Lyon sur les décisions juridictionnelles rendues en droit international concernant la situation actuelle en Palestine. Celle-ci devait se tenir à l’Université Lumière – Lyon 2. Cette conférence devait être animée par Maitre Gilles Devers, avocat au barreau de Lyon et spécialiste du droit international, qui a déposé la plainte contre Israël pour génocide et crimes de guerre devant la Cour Pénale Internationale avec plus de 500 avocat-es.
    Malgré de nombreux échanges entre le syndicat et l’Université en amont de la conférence, cette dernière a été annulée par la présidence le 30 janvier dernier « pour des raisons de sécurité ».

    Cette annulation, en réalité une interdiction, a été faite à la demande de la préfecture, suite à une campagne de dénigrement menée par le CRIF, d’interventions du président de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rassemblement national de la jeunesse (RNJ) du Rhône. 

    A l’heure où la Cour Internationale de Justice, devant un risque sérieux de crime de génocide, demande à l’État d’Israël de « suspendre immédiatement ses opérations militaires à et contre Gaza », cette interdiction est une nouvelle atteinte aux libertés universitaires. Qu’une université cède au chantage de personnalités politiques et de la préfecture est très préoccupant.

    Les universités sont des lieux de production de savoirs et doivent demeurer des lieux de libre expression sur tous les sujets, y compris la situation au Proche-Orient. Il ne revient ni aux élu-es politiques, ni à l’autorité préfectorale de définir, directement ou par le biais d’interdictions, ce qui peut ou non être débattu, exposé ou enseigné, dans le respect de la loi, dans les enceintes universitaires ou par les universitaires.

    #censure #Gaza #université

  • La classe politique dénonce la manifestation anti-israélienne à l’hôpital juif de Toronto | Radio-Canada
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049179/manifestation-palestine-israel-toronto-hopital-mount-sinai

    Les premiers ministres Justin Trudeau et Doug Ford et la mairesse de Toronto, Olivia Chow, ont vivement dénoncé mardi la manifestation propalestinienne qui s’est tenue lundi soir devant l’Hôpital Mount Sinai. Des extraits vidéo de l’événement montrent des individus en train d’appeler à l’Intifada contre Israël et de grimper sur l’établissement pour y agiter l’étendard palestinien.

    Des enregistrements vidéo qui circulent sur les réseaux sociaux montrent un groupe de manifestants scander des mots en arabe – on y entend notamment le mot Intifada – mais impossible de les dénombrer.

    • Des groupes propalestiniens rejettent les accusations de manifestations antisémites | Noovo Info
      https://www.noovo.info/nouvelle/des-groupes-propalestiniens-rejettent-les-accusations-de-manifestations-anti

      Dans une déclaration écrite, trois groupes qui ont organisé la marche de lundi – « Jews Say No To Genocide », « Palestinian Youth Movement-Toronto » et « Toronto4Palestine » – ont déclaré que la suggestion des politiciens selon laquelle les manifestants ont ciblé l’hôpital Mount Sinai dans un acte d’antisémitisme est infondée et inexacte.

      […]

      « La manifestation a débuté devant le consulat israélien, s’est poursuivie pendant quatre heures et s’est terminée sur la place Yonge-Dundas, passant devant de nombreux bâtiments et monuments à travers la ville, certains participants escaladant des structures et des échafaudages pour hisser le drapeau palestinien à divers endroits du chemin : aucun des endroits n’était ciblé », ont écrit les organisateurs.

      « Nous condamnons les politiciens canadiens qui présentent à tort la manifestation comme ayant ciblé l’hôpital. »

    • Jennifer Polk, PhD (she, her) sur X :
      https://twitter.com/FromPhDtoLife/status/1758507372882903346

      I hate being lied to, manipulated, deliberately deceived. I’m sure you feel the same way.

      And that’s partly why what happened this week — the fabrication of an antisemitic protest at a Jewish hospital in downtown Toronto — has so infuriated me.

      It’s one thing to get something wrong, learn new information, and correct the record.

      But Canadian politicians at all levels, including the prime minister, aren’t doing that. Nor are hospital administrators, journalists, and others who have power and platforms.

      It is clear now (if it wasn’t immediately to everyone when this non-story broke) that nothing hateful happened. Nothing really happened at all.

      And yet, the damage is done.

      And I can only assume that damage is deliberate.

      Yesterday, I received a message from a follower who told me that “the coverage of events in Toronto genuinely scared me and made me wonder if Canada was the best home my [Jewish] family.”

      Who can blame her for this, given the deliberate scaremongering?

      I’ve received messages from other white women over the past few months, all upset about my criticism of Israel and Canada’s complicity in it’s genocide of Palestinians in #Gaza.

      All these messages, including the one from yesterday, stress how my posts make them feel.

      These women living in places like Canada and the US ask outright or strongly imply that I should be centering their feelings instead of focusing on the mass murder of Palestinians.

      We all are allowed our own feelings, of course. We all are allowed to write on topics we care about.

      But in this case — and I know this is nothing new — the pro-genocide propaganda machine set out to whip up fear of and hate for Palestinians, and thus all Muslims and BIPOC by extension, plus those of us who “sympathize with terrorists.”

      Please don’t fall for it. Please.

      #manipulation #sionisme #complicité #Canada #sans_vergogne

  • Emilio Minassian - #Gaza: „Eine extreme Militarisierung des Klassenkrieges in #Israel-#Palästina
    https://kommunisierung.net/Gaza-Eine-extreme-Militarisierung-des-Klassenkrieges-in-Israel-Palas

    In diesem Sinne ist der Begriff „kolonial“ irgendwie unpassend, um das gesellschaftliche Verhältnis zu beschreiben, das seit dem Beginn der 1990er Jahre in Israel-Palästina vorherrscht. Er hat zudem den Nachteil, dass er einen Gegensatz zwischen zwei nationalen Gebilden annimmt, die in Wirklichkeit zusammen hervorgebracht und reproduziert werden. Palästinensische und israelische Proletarier sind Segmentierungen eines gleichen Ganzen. Was sich seit dem 7. Oktober abspielt, muss als eine Verhandlung durch Gewalt zwischen dem Subunternehmer aus dem Gazastreifen und seinem israelischen Arbeitgeber betrachtet werden. Dieser Aspekt muss in diesem Sinne klar von der Aktivität des Kampfes der palästinensischen Proletarier unterschieden werden, ihnen stehen in erster Linie die Subunternehmer der Hamas und der PA gegenüber. Dieser Kampf hat nie aufgehört, aber die nationale Einreihung wird ihm einen harten Schlag versetzen, zumindest im Gazastreifen.

    Jenseits jeglicher moralischen Betrachtung scheint mir der Begriff „Widerstand“, der auf die koloniale Vorstellungswelt verweist, unangebracht, um die Militäroperation am 7. Oktober zu beschreiben: Die Interessen der Hamas sind nicht jene der Proletarier, sind nicht jene – um das geltende Vokabular zu übernehmen – des „palästinensischen Volkes“. Die Proletarier im Gazastreifen, was auch immer das Resultat dieser Verhandlung sein mag, werden im Wesentlichen jene sein, welche geopfert werden – sie werden es schon jetzt. Falls sich Israel gegenwärtig dermassen im Aufwind fühlen würde, um sich seines Subunternehmers zu entledigen, würde das bedeuten, dass es bereit wäre, sich der überschüssigen Proletarier im Gazastreifen zu entledigen. Das Eine geht nicht ohne das Andere.

    Andererseits denke ich jedoch, dass man nicht ohne eine koloniale Lesart auskommen kann.

    • Comment les journaux télévisés les plus regardés de France traitent de la guerre menée à Gaza ? « Arrêt sur images » a regardé les JT de 13 h et de 20 h de TF1 et de France 2 depuis le 4 février. Si quelques séquences sont consacrées aux otages israélien·nes ou aux allégations de l’armée israélienne, seul le journal de 20 h de France 2 a évoqué le sort tragique des civil·es palestinien·nes.

      Début janvier, Célia Chirol, créatrice du blog À la télévision sur ma télévision, décide de se pencher sur la manière dont les journaux des grandes chaînes traitent de la guerre à #Gaza. « Ma spécialité est la télévision, mais je me concentre souvent sur les chaînes d’information en continu, parce que j’oublie parfois que les JT restent une source importante d’information, indique à Arrêt sur images cette doctorante en sociologie des médias – un doctorat en pause faute de financement. Si je prends ma mère comme exemple, elle regarde le JT de France 2 tous les soirs. » Elle choisit cependant d’élargir sa recension à TF1, le journal de 20 h le plus regardé de France avec plus de 5,5 millions de téléspectateurs·ices en moyenne […]

      #escorte_médiatique

  • Prof. Hanna Kienzler 🧡 🇵🇸 sur X :
    https://twitter.com/HannaKienzler/status/1758129312220484003

    These days, I often think of my German teacher. As 16-year-olds we learned lots about the Holocaust and other Nazi crimes by reading books, watching films, visiting places of commemoration, and talking to older people who survived or witnessed the atrocities.

    In this process, we started to become arrogant accusing our grandparents and their generation of their deeds and stating that we would (or rather could) never partake in such horrors.

    We were convinced that we had amassed enough civil courage to not only withstand calls to partake in violence, condemn those who do, and protect people targeted. Hearing our narrative and observing our increasing self-confidence, our teacher intervened saying something along these lines: “Slow down! You have no idea of the violence you are capable of perpetrating . You have no idea if you would have the stamina to speak out against injustice, let alone protect others. History has never tested you. You never had to prove yourselves.”

    I remember his words every day as I witness the violence perpetrated by Israel against Palestinians. I am being tested by history – we all are - and have a choice to make of how we want to go down in the books of history.

    #Gaza
    #génocide #assistance_de_génocide #génocide_assisté
    #non-assistance_à_génocidés

  • « C’est inhumain » : témoignage d’une infirmière qui a soigné les blessés sous les bombes à Gaza
    https://www.youtube.com/watch?v=Zgh8TRvNEAU

    16 févr. 2024
    France 24 a rencontré Imane Maarifi, infirmière de retour de Gaza. Elle livre un témoignage glaçant et des vidéos qu’elle a tourné elle même avec son téléphone au sein de l’hôpital européen de l’enclave. « C’est inhumain, même les animaux on ne les soignerait pas comme ça », réagit elle.
    #Gaza #témoignage #Palestiniens

  • Energy firms face legal threat over Israeli licences to drill for gas off Gaza
    By Dania Akkad | 15 February 2024 14:28 GMT | Middle East Eye
    Rights groups say exploration licences handed to companies in first weeks of war encroach on Palestinian waters and may amount to the war crime of pillaging
    https://www.middleeasteye.net/news/gaza-energy-firms-legal-threat-companies-cease-activity-drill-gas-coa

    Major energy companies awarded licences by Israel to explore for gas off Gaza’s coast have been warned that they could face legal action for possible breaches of Palestinian maritime sovereignty and war pillaging.

    Israel’s Ministry of Energy granted exploration rights to three companies - Italian energy giant Eni, UK-based Dana Energy and Israel’s Ratio Petroleum - three weeks after the war on Gaza began in October.

    Lawyers working on behalf of three Palestinian NGOs - Al Haq, the Palestinian Centre for Human Rights and Al-Mezan Center for Human Rights - notified the companies in letters this month that they would use “all legal mechanisms to the fullest extent” if they proceeded and called on them to desist from any activities relating to the licences.

    The organisations contend that over half of the zone for which the companies were awarded licences lies within Palestine’s maritime boundaries.

    Those boundaries were declared in 2015 when the Palestinians acceded to the UN Convention on the Law of the Sea (UNCLOS), the international agreement providing the legal framework for all marine and maritime activities. (...)

    #gaz #gaza #exploration_gazière #pillage_de_guerre

  • L’Égypte prépare une zone à la frontière de Gaza qui pourrait être utilisée pour abriter des Palestiniens - sources - 16/02/2024 | Zonebourse
    https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/L-Egypte-prepare-une-zone-a-la-frontiere-de-Gaza-qui-pourrait-etre-utili

    L’Égypte prépare une zone à la frontière de Gaza qui pourrait être utilisée pour abriter des Palestiniens

    L’Egypte prépare une zone à la frontière de Gaza qui pourrait accueillir des Palestiniens au cas où une offensive israélienne à Rafah provoquerait un exode à travers la frontière, ont déclaré quatre sources, dans ce qu’elles ont décrit comme une mesure d’urgence de la part du Caire.

    L’Égypte, qui a nié avoir entrepris de tels préparatifs, a maintes fois tiré la sonnette d’alarme quant à la possibilité que l’offensive dévastatrice d’Israël à Gaza déplace des Palestiniens dans le Sinaï - ce qui, selon le Caire, serait totalement inacceptable -, faisant écho aux mises en garde d’États arabes tels que la Jordanie.

    Les États-Unis ont déclaré à plusieurs reprises qu’ils s’opposeraient à tout déplacement de Palestiniens hors de Gaza.

    L’une des sources a déclaré que l’Égypte avait bon espoir que les pourparlers visant à conclure un cessez-le-feu permettraient d’éviter un tel scénario, mais qu’elle établissait la zone à la frontière à titre de mesure temporaire et de précaution.

    Trois sources de sécurité ont déclaré que l’Égypte avait commencé à préparer une zone désertique avec quelques installations de base qui pourraient être utilisées pour abriter les Palestiniens, soulignant qu’il s’agissait d’une mesure d’urgence.

    Les sources avec lesquelles Reuters s’est entretenu pour cet article ont refusé d’être nommées en raison du caractère sensible de la question.

    Israël a déclaré qu’il lancerait une offensive pour s’emparer du « dernier bastion » du Hamas à Rafah, où plus d’un million de Palestiniens ont trouvé refuge après son offensive dévastatrice à Gaza.

    Israël a déclaré que son armée élaborait un plan d’évacuation des civils de Rafah vers d’autres parties de la bande de Gaza.

    Toutefois, Martin Griffiths, responsable de l’aide humanitaire des Nations unies, a déclaré jeudi qu’il était « illusoire » de penser que les habitants de Gaza pourraient être évacués vers un lieu sûr et a mis en garde contre le risque de voir les Palestiniens se répandre en Égypte si Israël lançait une opération militaire à Rafah.

    Il a qualifié ce scénario de « cauchemar égyptien ».

    L’Égypte a présenté son opposition au déplacement des Palestiniens de Gaza comme faisant partie du rejet arabe plus large de toute répétition de la « Nakba », ou « catastrophe », lorsque quelque 700 000 Palestiniens ont fui ou ont été forcés de quitter leurs maisons lors de la guerre qui a entouré la création d’Israël en 1948.

    La première source a déclaré que la construction du camp avait commencé il y a trois ou quatre jours et qu’il offrirait un abri temporaire en cas de passage de la frontière « jusqu’à ce qu’une solution soit trouvée ».

    Interrogé sur les récits des sources, le chef du service d’information de l’État égyptien a déclaré : "Cela n’a aucun fondement dans la vérité : « Cela n’a aucun fondement. Nos frères palestiniens ont dit et l’Égypte a dit qu’il n’y avait pas de préparation à cette éventualité ».

    La Fondation du Sinaï pour les droits de l’homme, une organisation militante, a publié lundi des images montrant des camions de construction et des grues travaillant dans la zone, ainsi que des images de barrières en béton.

    Citant une source non identifiée, la Fondation du Sinaï a déclaré que les travaux de construction étaient destinés à créer une zone sécurisée en cas d’exode massif de Palestiniens.

    Reuters a pu confirmer qu’une partie de la vidéo se trouvait à Rafah grâce à la position des bâtiments, des arbres et des barrières, qui correspond à l’imagerie satellite de la zone.

    Reuters n’a pas été en mesure de confirmer la localisation de l’ensemble de la vidéo ni la date à laquelle elle a été filmée.

    LES LIENS AVEC ISRAËL SOUS PRESSION

    Quelque 1,5 million de Palestiniens se trouvent actuellement à Rafah, soit plus de la moitié de la population de la bande de Gaza, selon l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens.

    Israël affirme qu’il doit étendre son assaut à Rafah pour éliminer le Hamas, le groupe à l’origine de l’attaque du 7 octobre qui a fait 1 200 morts en Israël et 250 autres personnes enlevées, selon les décomptes israéliens.

    Avec plus de 28 000 personnes déjà tuées lors de l’offensive israélienne à Gaza, selon les autorités sanitaires de la bande de Gaza dirigée par le Hamas, le sort des personnes réfugiées à Rafah est devenu un sujet de préoccupation internationale, y compris pour les alliés occidentaux d’Israël.

    Le président américain Joe Biden a déclaré au premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qu’Israël ne devrait pas procéder à une opération à Rafah sans un plan visant à assurer la sécurité des personnes qui y sont réfugiées.

    Un porte-parole du département d’État américain a déclaré : « Le président a clairement indiqué qu’il ne soutenait pas le déplacement forcé des Palestiniens de Gaza. Les États-Unis ne financent pas de camps en Égypte pour les Palestiniens déplacés ».

    Le bureau de M. Netanyahu a ordonné à l’armée d’élaborer un plan d’évacuation de Rafah. Mais aucun plan n’a encore vu le jour.

    Lors d’une interview accordée à ABC News, M. Netanyahu a déclaré que les Palestiniens pourraient se rendre dans les zones situées au nord de Rafah et libérées par l’armée.

    Avi Dichter, ministre israélien de l’agriculture et du développement rural, a déclaré mercredi que l’évacuation était « une question militaire » et que l’armée israélienne savait comment procéder.

    Dans des commentaires à la radio de l’armée israélienne, M. Dichter a déclaré qu’il y avait « suffisamment de terres à l’ouest de Rafah » et a mentionné Al Mawasi, une zone sur le littoral vers laquelle l’armée israélienne a déclaré que les civils devaient fuir au début de l’offensive.

    La guerre de Gaza a mis sous pression les relations entre l’Égypte et Israël, qui ont signé un accord de paix en 1979.

    Le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit, ancien ministre égyptien des affaires étrangères, a déclaré en début de semaine que les actions israéliennes menaçaient la continuité des accords avec l’Égypte et la Jordanie, en référence aux traités de paix conclus avec ces deux États arabes.

    Le ministre égyptien des affaires étrangères, Sameh Shoukry, a déclaré le 12 février que l’Égypte avait maintenu l’accord pendant 40 ans et qu’elle continuerait à le faire tant que les deux parties s’y engageraient.

    • L’Egypte construit une zone de sécurité dans le Sinaï en prévision d’un éventuel afflux de réfugiés depuis Gaza

      https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/17/l-egypte-construit-une-zone-de-securite-dans-le-sinai-en-prevision-d-un-even

      Des engins de chantier aménagent un espace dans l’optique d’une offensive israélienne sur Rafah, le dernier sanctuaire de l’enclave palestinienne.

      Par Hélène Sallon (Beyrouth, correspondante)

      Publié hier à 12h59, modifié hier à 15h08

      Dans le Sinaï égyptien, le long de la frontière avec la bande de Gaza, entre les terminaux de Rafah et de Kerem Shalom, des engins de chantier aplanissent le sol d’une étroite bande de terre. Des images satellites, analysées par l’agence Associated Press vendredi 16 février, montrent que des travaux sont en cours dans ce périmètre. Des grues et des camions y sont visibles. Des barrières de béton ont été dressées pour ceinturer cette zone d’environ 20 kilomètres carrés.

      Selon l’ONG Sinai Foundation for Human Rights, qui a révélé l’existence de ce chantier le 12 février, l’endroit est destiné à accueillir des réfugiés palestiniens, dans l’éventualité où l’Egypte devrait faire face à un exode massif depuis Gaza. Des entrepreneurs locaux ont dit à l’ONG avoir été chargés des travaux par l’entreprise Sons of Sinai, propriété de l’homme d’affaires Ibrahim El-Argani, proche de l’armée égyptienne. Il est prévu que des murs de 7 mètres de haut soient construits, sous la supervision du génie militaire, et sous forte présence sécuritaire.

      Des sources égyptiennes ont confirmé, sous couvert de l’anonymat, au Wall Street Journal l’aménagement d’une zone de sécurité, pouvant accueillir jusqu’à 100 000 personnes. Une source égyptienne indique au Monde que la peur de faire face à un afflux de déplacés en cas d’offensive israélienne sur la ville de Rafah explique cette décision. Le chef des services de communication de l’Etat, Diaa Rashwan, a toutefois nié l’existence d’un tel projet. Il a rappelé que l’Egypte s’oppose à tout déplacement forcé de Gazaouis sur son territoire du fait de la guerre entre Israël et le Hamas dans l’enclave palestinienne.

      Le Caire n’a pas beaucoup d’options

      Ce scénario pourrait cependant se matérialiser si le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, mettait à exécution sa menace, agitée depuis le 7 février, de lancer une offensive sur Rafah, qui est devenue le dernier refuge de plus d’1,4 million de Gazaouis. « La décision de lancer l’offensive sur Rafah n’a pas été prise. Nétanyahou souhaite en faire un moyen de pression dans les négociations de trêve avec le Hamas. Mais s’il n’y a pas d’accord, il sera difficile pour les Israéliens d’éviter une offensive », estime Laure Foucher, spécialiste du Moyen-Orient à la Fondation de recherche stratégique (FRS).

      Le Caire et Washington exhortent Israël à renoncer à cette opération, invoquant des « conséquences humanitaires dévastatrices ». Ils exigent qu’un plan d’évacuation des déplacés de Rafah vers le nord de l’enclave soit mis sur pied. Vendredi, le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, a assuré qu’« Israël n’a pas l’intention d’évacuer des civils palestiniens vers l’Egypte », ni de mettre en danger l’accord de paix signé en 1978 avec Le Caire. L’armée israélienne n’a toutefois pas dévoilé de plan pour la prise en charge des civils palestiniens dans le nord de l’enclave, qu’elle a réduit à l’état de ruines.

      « Les Egyptiens sont pragmatiques. Si les Gazaouis n’ont pas d’autre choix que de fuir vers l’Egypte, ils les accueilleront pour les protéger mais, derrière de hauts murs, pour ne pas qu’ils s’installent en Egypte », estime Khalil Sayegh, un analyste palestinien. Le Caire n’a pas beaucoup d’options. « Tirer sur les Gazaouis qui tenteraient de fuir vers le Sinaï provoquerait un tollé au sein de l’opinion égyptienne, qui soutient les Palestiniens, et serait une violation du droit international », poursuit M. Sayegh.

      Inquiétudes

      La perspective d’un déplacement des Palestiniens dans le Sinaï suscite des inquiétudes. « En cas d’afflux massif, cette zone pourrait rapidement ressembler à un camp de concentration. Et, il n’y a aucune garantie qu’ils pourront revenir à Gaza », déplore l’expert palestinien. Les Palestiniens craignent qu’Israël ne cherche à provoquer une seconde Nakba (« catastrophe »), le nom donné à l’exode forcé de 700 000 Palestiniens, lors de la création d’Israël en 1948. Des réfugiés qui n’ont jamais pu rentrer sur leurs terres.

      « Une nouvelle crise des réfugiés signerait l’arrêt de mort d’un futur processus de paix », a alerté Filippo Grande, le directeur de l’agence des Nations unies en charge des réfugiés (HCR), dans un entretien à la BBC vendredi. Le chef du HCR a appelé à « éviter à tout prix » un exode des Palestiniens vers l’Egypte, estimant qu’une fois sortis de Gaza, les réfugiés ne pourraient plus y retourner. Le HCR et l’UNRWA, l’agence des Nations unies chargée des déplacés palestiniens, disent ne pas être impliqués dans des préparatifs pour l’accueil de réfugiés palestiniens dans le Sinaï.

      Hélène Sallon(Beyrouth, correspondante)

  • Guerre à #Gaza : un député libéral clé critique la politique du gouvernement Trudeau | Proche-Orient, l’éternel conflit | Radio-Canada
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049545/depute-liberal-oliphant-critique-gouvernement-trudeau-guerre-gaza

    Pendant cette conversation, il a estimé que supprimer le financement de l’#UNRWA n’était pas justifié.

    Quand j’ai lu que nous suspendions les fonds versés à l’UNRWA – je vais être très clair – c’était pour des raisons politiques. Et je ne parle pas seulement de politique intérieure. Cela concerne nos alliés, a déclaré Oliphant à son interlocuteur.

    #canada

  • Egypt building buffer zone to possibly receive Palestinian refugees
    14 February 2024 19:26 GMT | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/egypt-building-buffer-zone-possibly-receive-palestinian-refugees-repo

    A report by the rights group Sinai Foundation for Human Rights said that construction is currently underway to create a security zone with Gaza, which would act as a buffer area that could receive Palestinian refugees if they are forced out of Rafah.

    The group said, citing local contractors, that the aim is to create an area in the Sinai peninsula that is surrounded by walls that are seven metres high. The reported plans would also pave over the destroyed homes of indigenous groups in the area.

    Middle East Eye could not independently verify the report.

    Earlier this month, Egyptian journalist Ahmed El-Madhoun posted a video online that showed workers strengthening the security wall separating Egypt and Gaza.

    Since the war in Gaza began in October, there have been several Israeli proposals reported in the media detailing plans to push Gaza’s Palestinian residents into Egypt, which Cairo has rejected.

    Sinai for Human Rights
    @Sinaifhr
    6:24 PM · 14 févr. 2024
    https://twitter.com/Sinaifhr/status/1757818082825851371

    السلطات المصرية تشرع في بناء منطقة أمنية عازلة محاطة بأسوار لإستقبال فلسطيني غزة .

    حصلت مؤسسة سيناء على معلومات من مصدر ذو صلة تفيد بإن أعمال البناء الجارية حاليا شرقي سيناء
    هي لإنشاء منطقة أمنية معزولة مع الحدود مع قطاع غزة بهدف استقبال لاجئين من غزة في حال حدوث عملية نزوح جماعي من سكان قطاع غزة.

    وفي مقابلة للمؤسسة مع اثنين من المقاولين المحليين قالا ان أعمال البناء التي حصلت عليها شركات محلية من الباطن بتكليف من شركة أبناء سيناء للتشييد والبناء المملوكة لرجل الأعمال المقرب من السلطة إبراهيم العرجاني، تهدف لإنشاء منطقة محاطة بأسوار بارتفاع 7 أمتار، بعد إزالة أنقاض منازل السكان الأصليين التي دمرت خلال الحرب على الأرهاب، وتمهيد التربة وتسويتها، على أن تنتهي هذه الأعمال في أقصر وقت ممكن لا يتجاوز العشرة أيام.
    كما أضاف أن هذه المعلومات جرى تداولها على نطاق ضيق بهدف عدم انتشارها، وأن العمل يجري تحت إشراف الهيئة الهندسية للقوات المسلحة وفي تواجد أمني كثيف.

    وكانت مؤسسة سيناء قد نشرت قبل يومين تقريرا مدعما بصور حصرية يوضح بدء السلطات في أعمال إنشاء بوتيرة سريعة للغاية، في ظل تشديد أمني كبير في المنطقة الحدودية شرق سيناء. كما رصد فريق المؤسسة صباح اليوم إنشاء جدار إسمنتي بارتفاع 7 أمتار بدء من نقطة في قرية قوز أبو وعد جنوب مدينة رفح ويتجه نحو الشمال باتجاه البحر المتوسط بموازاة الحدود مع قطاع غزة.

    وفي مقابلة مع مهند صبري، الباحث في شؤون سيناء والأمن في مصر، قال:" إن أعمال البناء التي شوهدت في سيناء على طول الحدود مع غزة - إقامة محيط أمني معزز حول مساحة محددة ومفتوحة من الأرض - هي إشارات جدية على احتمالية أن مصر تستعد لقبول والسماح بتهجير سكان غزة إلى سيناء، بالتنسيق مع إسرائيل والولايات المتحدة".

    وكانت الأعمال الهندسية قد بدأت في وقت مبكر من صباح الأثنين 12 فبراير في منطقة حدها الشمالي ينحصر بين قرية الماسورة غربا ونقطة على خط الحدود الدولية جنوب معبر رفح، بينما ينحصر حدها الجنوبي بين قرية جوز أبو رعد ونقطة على خط الحدود الدولية جنوب معبر كرم أبو سالم، في ظل تواجد تواجد ضباط تابعين لجهاز المخابرات الحربية وعدد من سيارات الدفع الرباعي تحمل عناصر قبلية مسلحة تابعة لمليشيا “فرسان الهيثم” التابعة لإتحاد قبائل سيناء الذي يرأسه رجل الأعمال إبراهيم العرجاني بالقرب من منطقة “قوز أبو رعد” جنوب مدينة رفح بصحبة عدد كبير من المعدات والجرافات برفقة عدد من المقاولين المحليين.
    #سيناء #رفح #غزة #مخيمات_لاجئين

    #IsraelEgypte
    https://seenthis.net/messages/1041350

    • Sinai for Human Rights
      @Sinaifhr
      Dernière modification :
      10:27 PM · 14 févr. 2024
      https://twitter.com/Sinaifhr/status/1757879298940149921

      Egypt to create a gated high-security area in the reception of Palestinian refugees from Gaza

      The Sinai Foundation obtained information through a relevant source that indicates that the construction work currently taking place in eastern Sinai, is intended to create a high-security gated and isolated area near the borders with Gaza strip, in preparation for the reception of Palestinian refugees in the case of the mass exodus of the citizens of Gaza Strip.

      The foundation interviewed two local contractors who said that local construction companies had been commissioned this construction work by Ibrahim Al-Arjani - A close businessman to the authorities - Abnaa Sinai For Construction & Building, who had been directly assigned the commission through the Egyptian Armed Forces Engineering Authority. The construction work is intended to build a gated area, surrounded by 7-meter-high walls. After the removal of the rubble of the houses of the indigenous people of Rafah, who were displaced forcibly and their houses demolished during the war against terrorism against ISIS. The area is expected to be levelled and ready in no more than 10 days. They said this information is being circulated in closed circuits to avoid publication, noting that the work is being done under the supervision of the Egyptian Armed Forces Engineering Authority under heavy security presence.

      Sinai Foundation published a report two days ago -https://sinaifhr.org/show/333 - with exclusive images showing the Egyptian authorities starting rapid construction on the border area of eastern Sinai. Additionally, this morning the Institution’s team observed the building of a cement wall of 7 meters in height starting at a point in Qoz Abo Raad village south of Rafah city, directed towards the Mediterranean Sea north, parallel to the border with Gaza Strip.

      In an interview with Mr Mohannad Sabry, @mmsabry
      a researcher specialising in Sinai and Egyptian security, he said: “ The construction works seen in Sinai along the border with Gaza—the erection of a reinforced security perimeter around a specified and open stretch of land—are serious signals that Egypt could be preparing to accept and allow the displacement of the people of Gaza into Sinai, in coordination with Israel and the United States”.

      The construction works that started early Monday, February 12 have its eastern borders lying between a point southern of the Rafah border crossing and another southern of the Kerem Shalom border crossing, while its western borders lie between Qoz Abo Raad village and El-Masora village. Military intelligence officers are present as well as the ‘Fursan Al-Haitham’ militia that stems from the Sinai Tribal coalition headed by businessman Ibrahim Al-Arjani, near the Qoz Abo Raad area south of the city of Rafah, along with construction tools, bulldozers and local contractors.


      #sinai #rafah #Gaza

    • Standoff over Rafah assault tests Israel’s most important alliances
      By Steve Hendrix, Claire Parker and Miriam Berger
      February 15, 2024 at 12:27 p.m. EST
      https://www.washingtonpost.com/world/2024/02/15/israel-rafah-gaza-war-displaced
      https://www.washingtonpost.com/wp-apps/imrs.php.jpg
      Tents housing displaced Palestinians near the border separating the Gaza Strip and Egypt in the Rafah refugee camp on Tuesday. (Loay Ayyoub for The Washington Post)

      Egypt is concerned that an influx of Palestinians would destabilize northern Sinai, a sensitive military zone where its military recently spent a decade fighting off an Islamist insurgency.

      Cairo also opposes the displacement of Palestinians into Sinai on political grounds, refusing to become complicit in what President Abdel Fatah El-Sisi describes as the “liquidation of the Palestinian cause” — or a permanent exodus of Gazans from the Strip.

      But a report this week from U.K.-based Sinai Foundation for Human Rights, which has a monitoring team in northern Sinai, suggested that Egyptian authorities were creating an area to house Palestinian refugees who crossed the border.

      Footage obtained by the organization and shared exclusively with The Post shows trucks and bulldozers clearing debris from a rectangular plot of land measuring about eight square miles adjacent to the Gaza border, with a concrete wall being built around the perimeter. The Post verified some of the footage and obtained satellite images that show that two square miles within that area were cleared between Feb. 5 and Wednesday.

      Asked for comment, an Egyptian official referred The Post to a statement last month by Diaa Rashwan, head of the State Information Service. “Egypt has full sovereignty over its land, and has complete control over its entire northeastern borders, whether with the Gaza Strip or with Israel,” the statement said.

      Despite its public refusal to entertain any scenario in which Palestinians are pushed into Egypt, the country is probably preparing contingency plans, a former Egyptian official said.

      “If as a result of the attacks [in Rafah] tens of thousands of Palestinians cross the border, do you think the Egyptian army would shoot at them? The answer is no,” they said. “Any responsible government would have to think, ‘Okay, if we have the worst-case scenario, how would we deal with that?’”

    • L’Égypte aménage une zone qui pourrait abriter des Palestiniens à la frontière avec Gaza
      16 février 2024
      https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20240216-%F0%9F%94%B4-en-direct-la-communaut%C3%A9-internationale-tente-de

      L’Égypte aménage une zone près de sa frontière avec Gaza où des Palestiniens pourraient être accueillis si une offensive israélienne à Rafah provoquait un exode vers son territoire, ont déclaré quatre sources à Reuters. Des installations de base, qui pourraient accueillir des réfugiés dans une zone située dans le désert.

      L’Égypte, qui a nié avoir entrepris de tels préparatifs, a prévenu à plusieurs reprises de la possibilité que l’offensive lancée par Israël dans la bande de Gaza déplace des Palestiniens dans le Sinaï, ce qui, selon le Caire, serait totalement inacceptable.

      L’une des sources a déclaré que l’Égypte avait bon espoir que les négociations visant à conclure un cessez-le-feu permettraient d’éviter un tel scénario, mais qu’elle établissait la zone à la frontière en tant que mesure temporaire et de précaution.

    • 16 février 2024 (10:55 GMT)
      Palestinian exodus into Egypt’s Sinai would mean ‘disaster’: UN
      https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2024/2/16/israels-war-on-gaza-live-17000-children-torn-from-parents-un-says

      A mass movement of refugees from Rafah into Egypt’s Sinai Peninsula would be a disaster for Palestinians and prospects for peace in the Middle East, the UN’s high commissioner for refugees says.

      Filippo Grandi, speaking at the Munich Security Conference, said Egyptian authorities have made it clear that displaced Palestinians must receive assistance.

      “It would be a disaster for the Palestinians, … a disaster for Egypt and a disaster for the future of peace,” Grandi said of Israeli’s planned Rafah ground invasion.

      Asked whether Egyptian authorities had contacted Grandi’s agency about contingency plans, he said: “The Egyptians said that people should be assisted inside Gaza, and we are working on that.”

  • Quels actes forts la France va-t-elle poser pour imposer la paix à Gaza ? #QAG 14/02/2024 - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=sCHTpR2Jf1E


    Après un hommage à Missak et Méliné Manouchian, question du député Dharréville et réponse de Mme Chrysoula Zacharopoulou
    Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargée du Développement et des Partenariats internationaux, à la place de Stéphane Séjourné, empêché.
    #gaza #complicité #France #génocide #inaction

    • Je suis tombé sur la vidéo Youtube d’un débat de i24NEWS Français, datant, de 2013, où ce monsieur ("expert de la chaîne") jouait le rôle du « modéré » face à Emanuel Navon ("professeur de politique étrangère") à propos de la « menace d’une nouvelle intifada ».

      Le propos n’était pas du tout contradictoire avec celui de l’invité (il commençait souvent ses phrases par « je suis d’accord ») mais on sentait qu’il fallait apporter quelque semblant de crédibilité au « débat télé », histoire d’éviter de mettre en scène deux personnes qui tiennent exactement le même propos.

      Globalement, donc, on retrouvait des deux côtés les éléments de langage et de représentation du réel qu’en donne la propagande israélienne. Les différences subtiles se jouaient essentiellement sur les prévisions. Il est très facile de mettre en scène de fausses divergences quand on fait parler des gens sur ce qui n’existe pas encore.

      Visiblement, aujourd’hui, le temps de la nuance, même minime et trompeuse du propos, est révolu. Sur cette chaîne (propriété de Patrick Drahi, et rattachée au groupe Altice), on va désormais à l’essentiel. On reprend, tel quel, le discours de haine délirant du gouvernement d’extrême droite.

      Je ne mets aucun lien tout est hyper facile à trouver.

  • Between tales and facts: The long saga of Gaza Marine - MESP
    https://www.mesp.me/2024/02/13/between-tales-and-facts-the-long-saga-of-gaza-marine

    One of the earliest gas discoveries in the Levant basin, Gaza Marine, was heading towards an agreement on development when the war broke out in Gaza last October. The one trillion cubic feet (Tcf) gas field located 35 km offshore Gaza at a water depth of 600 meters was discovered by British Gas (BG), along with partner CC Oil & Gas, in 2000. At the time, it was hoped that the discovery would provide a “solid foundation” for the economy and for establishing an independent Palestinian state. But 23 years after its discovery, Gaza Marine’s road to development is still filled with overwhelming challenges, and first gas appears as elusive as ever amid the fog of war.

    #gaz #gaza #israël #égypte