• Je crois que j’ai commencé à tourner geek pendant les vacances de 1979… L’été de mes neuf ans, j’étais chez mes grands-parents maternels, qui étaient concierges au Crous de Belfort, et il y a eu des championnats du monde d’échecs des moins de 17 ans (j’ai retrouvé les dates : du 7 au 20 juillet 1979). Des équipes de jeunes joueurs étaient logées au Crous, et du coup dans la grande salle commune, c’était plein de jeunes gens qui s’entraînaient toute la journée. L’un d’eux m’avait appris à jouer, et j’ai passé plusieurs après-midi à faire quelques parties avec les jeunes champions (c’est très lointain, je ne me souviens que de garçons, est-ce juste moi qui projette parce que j’étais un petit mec, est-ce que les joueuses ne se mêlaient pas aux garçons, est-ce qu’elles étaient logées ailleurs… ?)

    Gamin, évidemment ça m’avait fasciné, et je m’étais alors pris de passion pour les échecs. À la rentrée suivante, mes parents m’ont inscrit au club de chez nous. Mes livres de chevets étaient lors des bouquins spécialisés dans « les ouvertures » et autres concepts passionnants.

    Le vrai petit nerd.

    À la réflexion, doublement geek : malgré toutes mes velléités à apprendre les échecs, après avoir débuté avec de jeunes champions du monde, je suis toujours resté totalement nul. Pendant mon année au club local, je n’ai jamais gagné une partie (en même temps, tu m’étonnes, il n’y avait que des vieux qui devaient tous avoir au moins, pffiou, 22 ans ou carrément plus…). Et encore aujourd’hui, il m’est totalement impossible de gagner une partie contre un·e opposant·e de plus de, disons, 14 ans.

    Je dois dire que je suis assez fier : avoir été un jeune garçon qui se passionne pour les échecs, et qui finit par toujours être nul malgré tous les efforts qu’il y met, je pense que c’est une sorte de summum de la #geekitude.

    • @arno Dans mes bras !

      Ma carrière à moi de joueur de cercle a été assez frustrante aussi, j’ai notamment le souvenir d’une partie De Jonckheere - Bacrot quand ce dernier devait avoir pas tout à fait sept ans (et moi pas tout à fait trente ans) qui n’a pas tourné tout à fait à mon avantage puisque dans le dix ou douzième coup j’ai dû poser mon roi, avec un pion de retard et une pression écrasante sur mon aile-roi (j’avais les Blancs) et je me suis retenu juste à temps de lui dire : « dis donc Gamin tu n’as pas école aujourd’hui ? »

      En revanche je bénis le jeu d’échecs parce que c’est devenu, depuis quatre ou cinq ans, le lieu d’échange par excellence avec mon Nathan, on peut faire plusieurs parties rapides par jour et depuis qu’il joue aux échecs, que sa petite soeur lui a appris à sa demande (elle, elle ne joue plus du tout, comme elle dit, elle n’a pas le level), je me sens tellement proche de lui, ce qui serait nettement plus difficile sans cela, eut égard à son autisme.

      Et naturellement je n’aime rien tant que quand il me crucifie avec des combinaisons qui viennent de je ne sais où ? Mon avantage en revanche, et que je risque de garder longtemps, c’est ma capacité à anticiper des finales avantageuses pour moi, après force échanges.

      Tu vois ce qu’il te reste à faire avec petit mec et la petite !

  • Clémentine Mélois, l’artiste qui a épilé « l’Origine du monde »
    https://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20180208.OBS1937/clementine-melois-l-artiste-qui-a-epile-l-origine-du-monde.html

    Clémentine Mélois « n’aimerai[t] pas l’idée d’exposer uniquement en galerie ». Elle a pensé son travail en trois axes : outre les expositions, il y a « les livres, disponibles en librairie, dans lesquels on trouve un jeu sur le péritexte, et Facebook, où tout est gratuit et libre d’être repris. Ce n’est finalement pas très éloigné de mon expérience de la lithographie, basée sur le multiple et sur la diffusion. »

    En Facebook, elle voit « un endroit de contact ». Qui ne touche pas toujours les mêmes communautés. Quand elle imagine Michel Foucault vendre des sous-pulls en polyamide dans un catalogue type La Redoute, elle met en émoi le milieu académique.
    "Le philosophe Mathieu Potte-Bonneville m’a rapporté que Paul Rabinow, spécialiste américain de Foucault, lui a envoyé le détournement avec la mention : "Is this for real ?" (c’est pour de vrai ?) » "


    Une autre fois, elle se moque des émissions de survie en imaginant un kit « Ma bite et mon couteau » sponsorisée par le présentateur Bear Grylls. « Ça a beaucoup circulé chez les parachutistes… »

    Facebook lui a même permis de faire des rencontres, comme l’auteur de la couverture de « Vol de nuit » de Saint-Exupéry qu’elle a rebaptisé « Saint-Exaspéré ». « C’était une rencontre formidable, il m’a raconté comment il avait travaillé au feutre à alcool. » Elle boucle même la boucle en revoyant la dame de Gallimard qui lui a remis son prix à 9 ans. Sans oublier que c’est précisément grâce au réseau social qu’elle a été repérée par Charles Dantzig et publiée chez Grasset. Elle lui a rendu hommage en transformant « Dictionnaire égoïste de la littérature française » en « Dictionnaire égoïste de la variété française », de Charles Dancing.

    Fouiller dans son compte Facebook, c’est un peu comme chercher dans une malle aux trésors : tout y est motif d’émerveillement parmi ces idées à la fois malines, drôles et familières. On s’incline par exemple devant « Foufoune tendance », roman-photo qui associe images issues de « Nous Deux » et dialogues originaux de « Barbie magazine ».

    En dehors de Facebook, Clémentine Mélois a une année chargée. Elle travaille à la fois sur un album pour enfants, un nouveau livre chez Grasset et un volume de La Petite Bédéthèque des Savoirs du Lombard sur le roman-photo, avec Jan Baetens. Depuis juin dernier, elle a été cooptée à l’Ouvroir de ­littérature potentielle (Oulipo), où elle a rencontré des gens avec lesquels elle se sent « en phase ».

    L’Oulipo : le cercle des poètes farfelus

    Pour entrer à l’Oulipo, il ne faut pas proposer sa candidature. Mais Mélois avait tout pour séduire ces farfelus du verbe, dont son dernier ouvrage, « Sinon j’oublie » (Grasset), une fantaisie autour de « l’infra-ordinaire » chère à Perec. Elle parvient à y faire émerger de la poésie de la liste de commissions. Se basant sur 99 listes issues de sa collection personnelle, elle imagine les confidences de leurs auteurs : celle qui s’inflige un régime à base de saucisses, celui qui drague dans les rayons de Mr. Bricolage, ou ce couple qui croule sous « sept crédits conso ». Un ensemble irrésistible.

    Pour mieux « stimuler la racontouze » (Perec, encore), la jeune femme s’est fixé des contraintes strictes. « Il fallait utiliser un élément de la liste de courses, une catégorie de population, et un sujet de préoccupation ordinaire ». Elle s’est inspirée d’un exercice appelé la Polygraphie du cavalier (Perec, toujours), dans lequel le cavalier doit parcourir tout l’échiquier sans passer deux fois par la même case. On s’étonne, on se gratte la tête, mais Clémentine Mélois nous rassure : « C’est vraiment un truc de tordu ! ».

    Amandine Schmitt

    Clémentine Mélois
    De deux choses l’une
    Du 8 février au 24 mars 2018
    Galerie Lara Vincy
    47 rue de Seine, 75006 Paris
    lara-vincy.com

  • Déjà entendu parler de ce #bouzin ?

    Cozy Cloud - Cozy Cloud et la vie privée
    https://cozy.io/fr/privacy

    Le respect de votre vie privée est au cœur de notre démarche et de l’ADN de Cozy.

    Nous nous engageons à être transparents sur les fonctionnalités de Cozy et l’utilisation de vos données grâce à Cozy.

    Notre plateforme est un logiciel libre, ce qui garantit la confiance que vous pouvez lui accorder.

    Nous visons à vous fournir le meilleur service possible, tant en termes de facilité d’usage que de sécurité technique, pour éviter toute intrusion dans votre Cozy et toute utilisation non autorisée (sans votre consentement préalable) de vos données.

    #geekeries #cloud

  • Souriez ! Vous êtes « flické·e » ...

    Flick : Facebook a inventé une unité de temps, rien que ça... Et elle est pratique en plus - FrAndroid
    http://www.frandroid.com/culture-tech/484372_flick-facebook-a-invente-une-unite-de-temps-rien-que-ca-et-en-plus

    Facebook est avant tout un réseau social. Mais, comme tout le monde le sait, l’entreprise est bien décidée à laisser son empreinte sur le monde, numérique et réel, et diversifie ses activités pour se donner les moyens d’y arriver. Malgré cela, personne ne pouvait vraiment s’attendre à ce que la firme de Mark Zuckerberg invente carrément une unité de temps baptisée « flick ».

    #fesse-bouc #geekeries

  • Working Class Heroic Fantasy, le roman-feuilleton qui vous fera l’année
    https://framablog.org/2018/01/12/working-class-heroic-fantasy-le-roman-feuilleton-qui-vous-fera-lannee

    Gee, notre Simon, l’auteur des bandes dessinées GKND et #Grise_Bouille, que sa plume démange depuis un bon moment comme en témoignent ses nouvelles, se lance dans le roman avec Working Class Heroic Fantasy (notez le jeu de mots, il … Lire la suite­­

    #Artiste #Framabook #Libres_Cultures #CC #Gee #Livre

  • Aux #Pays-Bas, le libéral Rutte reste au pouvoir
    https://www.mediapart.fr/journal/international/111017/aux-pays-bas-le-liberal-rutte-reste-au-pouvoir

    Sensation des dernières législatives, les écologistes ne participeront pas au nouvel exécutif à La Haye. La formation de ce gouvernement, très ancré à droite, éjecte, par ricochet, le controversé #Jeroen_Dijsselbloem de la présidence de l’Eurogroupe à Bruxelles.

    #International #D66 #Geert_Wilders #Jesse_Klaver #Mark_Rutte

  • Un cas de dopage : Gégé sous l’emprise du Dr Valvin
    https://framablog.org/2017/09/22/un-cas-de-dopage-gege-sous-lemprise-du-dr-valvin

    Quand un libriste s’amuse à reprendre et développer spectaculairement un petit Framaprojet, ça mérite bien une #Interview ! Voici Valvin, qui a dopé notre votre #Geektionnerd Generator aux stéroïdes ! Gégé, le #Générateur de Geektionnerd, est un compagnon déjà ancien de nos … Lire la suite­­

    #Artiste #Framasoft #Libres_Cultures #Libres_Logiciels #Code #gege #Git #Illustrations #Images #Libre #Pepper&Carrot #Revoy

  • On recherche un·e barbu·e
    http://namok.be/blog/?post/2017/08/22/on-recherche-un-e-barbu-e

    Recherche barbu. Au sein d’une équipe d’hommes barbus et aux cheveux longs et dans un environnement à forte composante linux, vous évoluez dans un contexte dit sysadmin. Votre tâche principale est de vous assurer que les services fournis aux clients par notre société soient fonctionnels. Vous avez non seulement des compétences en linux — vous pouvez faire un ls voire un ps — mais aussi en PHP, MySQL, PostgreSQL, apache etc. Vous êtes frontend / backend, LAMP. Vous parlez le français et le néerlandais ainsi que l’anglais. L’indien est un plus.

    -- Elle est pas belle mon annonce ? — … — Quoi ? — Franchement, elle est un peu trop nineties. Je trouverais une formulation plus inclusive. Tu vois, en utilisant le point médian par exemple ! — Ouais, t’as raison. Je reformule.

    Recherche (...)

    #Moi #geek #inutile

  • Le Ray’s Day en BD !
    https://framablog.org/2017/08/22/le-rays-day-en-bd

    Aujourd’hui, comme tous les 22 aoûts, c’est le Ray’s Day : un jour où l’on célèbre les livres et la #Lecture… Un événement auquel Framasoft et les framasoftien⋅nes ont déjà participé à plusieurs reprises. Cette année, c’est notre ami Gee qui … Lire la suite­­

    #Geektionnerd #Libres_Cultures #Culture #fête #Livre #RaysDay

  • “Developing dissident knowledges”: Geert Lovink on the Social Media Abyss | P2P Foundation
    https://blog.p2pfoundation.net/developing-dissident-knowledges-geert-lovink-social-media-abyss/2017/07/12

    The closest comparison that we have today to the New Soviet Man is perhaps the cult to the cyberlibertarian entrepreneur of Silicon Valley. We are now used to thirty-somethings in sweaters telling us, from the ping-pong tables in their offices, that the only road to success —both personal and collective— lies in technology. To oppose them is no easy task: who is going to question a discourse that has innovation and “the common good” at its core? But the internet today hardly resembles the technology that, in its origins, seemed to promise a source of decentralization, democratization and citizen empowerment. Nowadays, the giants of Silicon Valley —lead by Facebook and Google— have mutated towards a monopolistic economic model and flirt with intelligence agencies for the exchange of their precious data.

    Lovink shares the “healthy scepticism” of Rendueles when elaborating what we could call an “Internet critical theory”. In Social Media Abyss, he inaugurates the post-Snowden era — “the secular version of God is Dead”— as the beginning of a general disillusionment with the development of the internet: now we can say that the internet “has become almost everything no one wanted it to be”. But even though we know that everything we do online may be used against us, we still click, share and rate whatever appears on our screen. Can we look at the future with optimism? Or are we too alienated, too precarized, too desocialized (despite being constantly “connected”) to design alternatives? In the words of Lovink, “what is citizen empowerment in the age of driver-less cars”?

    Interview de Geert Lovink

    And when I say ordinary I mean very ordinary. If you look at the general strategy, especially of Facebook, the target is this last billion, which is comprised of people really far under poverty levels. When we’re talking about the average internet user, we are not talking about affluent, middle-class, people anymore. This is really something to keep in mind, because we need to shed this old idea that the internet is an elitist technology, that the computers were once in the hands of the few, that the smartphone is a status symbol, etc. We are really talking about an average user that is basically under the new regime of the one percent, really struggling to keep afloat, to stay alive.

    So when I say invisibility, I mean that this growing group of people (and we’re talking about billions across continents) are forced to integrate the internet in their everyday struggles. This is what makes it very, very serious. We’re not talking about luxury problems anymore. This is a problem of people that have to fight for their economic survival, but also have to be bothered with their privacy.

    Yes, it feels like now it’s all measured by followers, even social movements.

    Exactly, we cannot distinguish the social movement from the followers anymore. This is the trap we are in at the moment, so in a way we have to go back to a new understanding of smaller networks, or cells, or groups. It is no surprise that many people are now talking of going towards a new localism, because the easiest way to build these smaller groups is to focus on the local environment. But that’s not necessarily what I have in mind: I can also imagine smaller, trans-local networks.

    There is another consideration we can make. I understand that Pierre Lévy says we should use the existing technologies more efficiently. But obviously other people say we can only use the social media that exist now in a more emancipatory way if these platforms are socialized, if we really take over their ownership. That is a very interesting and radical proposition that other people have started to work on. What if we take those social media very seriously, so seriously that they become part of the public utilities? This is an interesting development in which you don’t emphasize so much on the alternatives or the conceptual level.

    #Médias_sociaux #Geert_Lovink #Politique_numérique

  • #donjonsetdragons

    Dungeons & Dragons Wouldn’t Be What It Is Today Without These Women
    http://kotaku.com/d-d-wouldn-t-be-what-it-is-today-without-these-women-1796426183

    Arguing over minute details of infantries, historically-accurate musket use, or what square footage was represented by a movement counter was not, apparently, a popular free-time pursuit for women of the 1970s. And several women who did play D&D in the late ‘70s and early ‘80s struggled against the very male-centric culture it had absorbed. Their work helped make D&D what it is.

    In the July 1980 issue of Dragon magazine, TSR’s official D&D publication, Jean Wells and her colleague Kim Mohan penned the editorial, “Women Want Equality. And Why Not?” Women from across the country had written in about the “unfair and degrading treatment of women players,” who comprised, they wrote, about 10 percent of D&D’s fanbase. One reader recalled how her adventuring party forced her to seduce a small band of dwarves so her party could kill them. Another told of how her Dungeon Master made her Cleric fall from her god’s graces when she became pregnant.

    Why The FBI Investigated ‘Dungeons & Dragons’ Players in the 1990s
    An FBI memo written during the Unabomber investigation describes roleplayers as ’armed and dangerous,’ ’extremely intelligent individuals’ and ’overweight and not neat in appearance.’
    https://motherboard.vice.com/en_us/article/43ymjd/why-fbi-investigated-dungeons-and-dragons-players-1990s
    #jeux #femmes #hommes #culture #surveillance #fbi

    • Dans les années 2000 période à laquelle j’ai beaucoup joué à ADD, c’était guère différent des années 1970-80. Un de mes personnage pour avoir raté un jet de sort de charme à subit une scène interminable de viol atroce. Une autre fois lorsque mon personnage avait gagné le pouvoir décisionnel pour l’équipe, s’est vu refusé toutes ses capacités de commandement et contesté chaque demande ce qui n’était jamais le cas lorsque c’était un homme qui commandait l’équipe. Une autre fois un jouer à tuer mon bébé démon Poulbolito dans mes bras sans que ca dérange personne à la table et que groupe ne dise quoi que ce soit à mon agresseur tueur de bébé démon pieuvre !
      Du coup j’ai fait mon propre JDR (adapté de l’univers de Harry Potter et des règles assouplies de Ars Magica) que je masterise de temps en temps avec des tables principalement composé de joueuses et un jouer homme admis parfois si il est pas macho. Depuis quelques années je n’ai pas pu jouer, mes amies sont éloignées et on est toutes bien occupées. Je projette de faire des parties sur skype avec un site qui permettrait d’avoir quelques outils style, plans, feuilles de perso, lancés de dés et des petits outils facilitant le jeu à distance tel que des fenêtres de discutions secrètes.

    • Aussi comme le JDR est abordé, dérnièrement je réflechissait au problème du dispositif du « maitre du jeu » vs « Joueurs » qui est une peu lourd pour la maitresse en préparation et trop hiérarchique. Je pensait que ca serait interessant de pratiquer un JDR en cadavre excquis. Chaque joueuse masterise à son tour. Il y aurait un background fabriqué en collectif. Avec des cartes et profils de PNJ, de monstres, d’ennemis divers. Chaque joueuse peut aussi en préparé dans son coin en secret pour qu’on ai des surprises. La premiere joueuse-maitresse décide du début de l’histoire et du develloppement pendant le temps dont elle dispose, les autres sont joueuses classiques pendant ce temps et puis la joueuse-maitresse suivant improvise à partir dumoment ou c’est son tour. A un moment du jeu on annonce que la ou les dernières maitresses-joueuses doivent s’éffocé d’apporter une conclusion à l’aventure. C’est encore assez rudimentaire dans ma tête et peut être que ca existe deja ailleurs. Mais je trouve que ca serait sympas un JDR sur cette forme.
      #misarchie #JDR #ADD #Femmes #féminisme #sexisme
      #geek

    • J’ai des souvenirs identiques. J’ai d’ailleurs lâché D&D pour l’appel de Cthulhu puis pour plus de jeux de rôles du tout alors que j’aime vraiment jouer. Avec le temps, je n’ai juste plus eu de joueurs/joueuses dans mon entourage et je me vois mal débarquer à mon âge avancé (ahaha) dans un club de teenagers ;P. Je suis curieuse de suivre ton projet de jeu via skype/cadavre exquis.

  • Nouveau certificat chez Gandi, confiance et #git
    http://namok.be/blog/?post/2017/06/26/certificat-gandi-confiance-git

    Pour le serveur gitlab de l’école, je viens de renouveler les certificats chez Gandi. Si l’on se connecte via son navigateur, on a un beau certificat un peu plus récent :

    TLS_ECDHE_RSA_WITH_AES_256_GCM_SHA384, 256 bits

    Par contre, lorsque j’essaie un git clone | pull | push rien ne va plus car l’autorité n’est pas reconnue par ma machine. Il faut que j’aille chercher le certificat sur le serveur ou bien chez Gandi et que je l’ajoute à ma liste de certificats.

    Pour prendre le certificat sur le serveur, je fais donc :

    echo -n | openssl s_client -showcerts -connect git.esi-bru.be:443

    … et je mets les deux chaines entre -----BEGIN CERTIFICATE---- et -----END CERTIFICATE----- dans un fichier MyGandi.crt

    Si je préfère aller chercher le certificat chez Gandi directement, il se trouve à cette page et (...)

    #Cartable_au_dos #debian #esi #geek

  • Grise Bouille, tome 2 : lisez des #BD moches !
    https://framablog.org/2017/05/16/grise-bouille-tome-2-lisez-des-bd-moches

    Simon Giraudot nous les brise menu. Quand on a son talent, on arrête de faire le modeste, de prétendre à l’autodérision, de se faire tout petit face aux grands maîtres qu’on a adulés depuis tout petit (« Ahhh #Gotlib, quel génie ! », … Lire la suite­­

    #Libres_Cultures #Non_classé #Art #DavidRevoy #Gee #Humour #Planet #RezoTIC

  • #Framasoft sur les routes, et sur un nouveau T-shirt !
    https://framablog.org/2017/05/12/framasoft-sur-les-routes-et-sur-un-nouveau-t-shirt

    Un nouveau T-shirt Framasoft (et le mugounet qui va avec) pour briller lors des événements où nous pourrons nous rencontrer sous le soleil du printemps… et de l’été ! Nouveau T-shirt : la route est longue… Soyons franc·he·s : on n’est pas foutu·e·s … Lire la suite­­

    #Communaute #Conference #Conferences #Degooglisons #Geek_Faeries #Planet #rencontres #RezoTIC #RMLL #THSF

  • Barbecue #irc 0#A
    http://namok.be/blog/?post/2017/04/18/barbecue-irc-10

    Message à l’intention des quelques initiés :

    Le barbecue IRC aura bien lieu. Le *dixième barbecue IRT aura bien lieu.

    Comme d’habitude les infos sont disponibles où vous savez. Bien que les inscriptions ne se prennent que là-bas, ce serait chouette que l’on soit nombreux pour fêter les 10 ans.

    Crédit phto par Evaldas Daugintis chez Unsplash.

    #Cartable_au_dos #bbq #geek #inutile #secret

  • geek - Le Jargon Français 4.1 - dictionnaire d’informatique
    http://jargonf.org/wiki/geek

    La définition de Zita Faucilhon (on sent le vécu) : « Passionné d’informatique qui passe 25h sur 24h devant son ordinateur pour se battre avec la technologie existante. Le geek s’habille n’importe comment et dégage beaucoup de personnalité par sa polyvalence. Derrière un geek, il y a parfois une femme qui assure et qui contribue au succès d’un vrai geek ».

    Dans la droite ligne du « travailleurs de tous les pays, qui lave vos chaussettes »… Y’a pas un terme pour désigner ces femmes qui prennent toute la logistique en charge pour permettre à l’autre de vivre sa passion pleinement ?

    #geek

    • C’est un truc marxiste que m’avait expliqué Irène Pereira.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A8ne_Pereira
      Je suis loin d’être à même d’expliquer Marx. Mais en gros, il y a :
      – le travail productif, qui vise à produire des choses échangeables (on additionne la matière première et le temps de fabrication (travail abstrait)) ;
      – le travail reproductif, qui englobe toutes ces choses qu’on fait pour éviter une détérioration de son environnement (travail familial dans certains textes) : ménage, cuisine, courses, entretiens divers…

      Donc quand une personne fait reposer sa capacité de travail incroyable sur une autre qui réalise les travaux reproductifs, soif il y a déni (la société aide à faire passer cela pour une norme), soit il y a contrat (droit d’arrêter, salaire, reconnaissance…) [parfois un subtil mélange des deux].
      Tu bosses 25h par jour ? C’est parce que tu as volé du temps et de la force de travail à quelqu’un d’autre.

      J’en parle un peu dans un texte rationnel sur les tâches ménagères en coloc : https://seenthis.net/messages/584379

      Irène Péreira a beaucoup utilisé cette notion dans les débats contre le revenu de base. (car rémunérer du travail reproductif (effectué par des femmes) pourrait amener à légitimer cette situation et à la renforcer)

    • Y’a pas un terme pour désigner ces femmes qui prennent toute la logistique en charge pour permettre à l’autre de vivre sa passion pleinement ?

      Oui : #femme
      Parce que c’est carrément ce qui caractérise le patriarcat : l’exploitation sans vergogne ni contrepartie du travail reproductif des femmes et seulement d’elles (les hommes sont encore moins représentés dans cette catégorie que les prostitutés).

    • En fait, le travail massif et totalement invisible des femmes est l’angle mort de la plupart des théories et pensées des structures sociales qu’elles soient réformatrices ou révolutionnaires. Cette masse titanesque de travail gratuit est totalement occultée parce qu’elle se produit tout le temps, partout, c’est un impensé absolu.
      J’en avais parlé dans un de mes papiers parce qu’il faut finalement sans cesse se justifier du temps absorbé par ce cumul de tâches impensées et non mesurées et donc ce temps est considéré comme « non utilisé »… J’avais parlé de cette mythification, de cette pensée magique du frigo qui se remplit tout seul, du linge qui se lave et se range tout seul, des trucs qui se rangent tous seuls, de la crasse qui ne se dépose jamais ou qui disparait toute seule.
      Le plus marrant, c’est que quand la femme disparait et que l’homme ne parvient pas à contrôler l’#entropie, tout le monde le plaint…
      Mais oui c’est ça : c’est un travail qui ne produit rien de visible puisqu’il empêche le merdier de le devenir, visible. C’est le même principe pour tous les soutiers qui font tourner les villes et les services le WE, la nuit, dans l’indifférence et dont l’absence subite nous renverrait en quelques jours dans la barbarie…

      L’argent dévalorise ce dont il n’est pas la mesure.

      Ivan Illich, Le Chômage créateur.

      Du coup, ce qui ne se paie pas n’existe pas et ne vaut rien…

    • Ah bin j’avais déjà repris le slogan sur ce thème (« Geeks du monde libre, qui lave vos chaussettes ? ») du coup, pardon, je m’auto-cite :
      http://romy.tetue.net/714

      Certains, trop pour que ce soit ignorable, ne connaissent pas le mouchoir et reniflent bruyamment en fond de salle, ponctuant désagréablement l’intéressante conf sur l’accès aux bases NoSql en Python. Cette façon qu’ont certains de déléguer le support corporel à l’entourage, se contentant de n’être que purs esprits, me répugne. Pour les prochaines RMLL, prévoyez de distribuer des paquets de kleenex à l’entrée des salles, SVP ! […] Lorsqu’on est née femme, l’on sait très bien ce que cela sous-entend. L’on sent confusément que derrière chaque « esprit » se cache un support technique, plus précisément logistique et corporel, qui rend possible cette apparente désincarnation : généralement du féminin servile, des mères qui lavent les chaussettes sales, des cantinières qui préparent la bouffe, des petites copines qui tiennent la maison pendant que le geek code et invente le monde libre, et quelques développeuses égarées qui fourniront de quoi se moucher si nécessaire, ce qui évite d’avoir à y penser.

    • Je raconte régulièrement ma prise de bec avec mon directeur de recherche qui m’avait balancé qu’il regrettait que je ne consacre pas assez de temps à mon travail pour faire grandes choses.

      Ce à quoi, je lui avait répondu très sèchement que je n’avais pas quelqu’un comme sa femme pour déléguer les tâches ingrates.
      Qu’en dehors de la Fac, de la Bibli, des TP et du terrain, il me fallait trouver du temps pour faire les courses, me faire à bouffer, laver le linge, gérer les factures, l’administratif (y compris les LOOOONGUES files d’attente à la CAF), me tenir propre et en bonne santé, etc. Et encore, on partageait les tâches assez équitablement avec mon compagnon.

      Là, mon directeur de recherche, assez désarçonné par la verdeur de ma réplique, m’avait avoué que depuis son mariage, sa femme (elle-même brillante chercheuse) avait tout abandonné pour consacrer sa vie à 100% au confort et à la réussite de monsieur. Elle s’occupait absolument de tout, y compris son emploi du temps, les fringues prêtes à être enfilées le matin (pour ne pas perdre de temps à chercher, assortir), bagagerie en cas de déplacement, gestion des gosses pour ne pas déranger le grand homme, portage des repas dans le bureau pour ne pas interrompre le travail et même la relecture des ses cours, conférences, abstracts, épreuves de bouquins (ben oui, elle était en plus compétente), gestion des relations extérieures et familiales, absolument tout.

      Parce que j’avais fait ma soupe au lait devant sa remarque, il s’était rendu compte qu’il n’avait aucune autre charge mentale que sa réussite professionnelle. Je lui ai fait remarquer que c’était là un luxe inabordable pour une femme, parce que même le plus dévoué des compagnons ne s’effacerait pas à ce point-là… et surtout, que je ne pouvais pas souhaiter que quelqu’un doive faire ça pour moi…

    • Cette définition de Zita Faucilhon est citée dans quelques sites geeks à tendance linuxienne et/ou gameuse, mais aucune autre occurrence de ce nom : serait-ce un personnage imaginaire ?

    • Du coup, ce qui ne se paie pas n’existe pas et ne vaut rien…

      Oui, c’est le travail reproductif comme ombre portée du travail producteur de (sur)valeur, celui qui se capitalise.

      Mais il faut aussi être attentif à ne pas faire de cette masse invisible un pole positif en soi, en « naturalisant » la lutte contre l’entropie par exemple, face au règne de la quantification abstraite. Car le problème est aussi dans le grand partage opéré entre productif et reproductif. Cette dissociation est en effet un moment indispensable au déploiement séparé de la sphère productive. Celle-ci peut alors déployer ses nuisances avec « les meilleures raisons du monde » puisque son contenu propre importe peu tant qu’il permet la valorisation. C’est sa raison d’être.

      Si une distribution égalitaire des tâches dans la sphère reproductive — et aussi entre sphère productive et sphère reproductive — est une revendication légitime et souhaitable dans le monde tel qu’il est, il faut aussi envisager qu’elle ne porte réellement ses fruits que si la dissociation est abolie. Il faut que toutes les tâches puissent trouver leur justification dans le contenu particulier qu’elles produisent, et non plus dans leur contribution à la marche sans fin de la valorisation de la valeur, qu’elle soit directe (tâches productives) ou indirecte (tâches reproductives)

      Pour ça, il faudrait pouvoir s’activer sans se préoccuper d’abord de savoir si cela participe à une activité rentable. Car en se fondant sur ce critère, soit la réponse est positive et l’on est amené à faire littéralement n’importe quoi, soit la réponse est négative et l’on est renvoyé dans un monde dissocié et invisibilisé.

      Cela veut dire fondamentalement ne plus produire de marchandises, ces choses qui n’existent qu’en se rapportant implicitement ou explicitement à un standard de productivité que personne ne décide mais sur lequel chacun doit s’aligner pour participer au « jeu ». Il faut abolir un certain rapport au temps (faire tant de choses en tant de temps) et à la norme (des choses comparables et interchangeables)

      Peut-être que la question de la répartition des tâches se posera à nouveau après cette abolition, et que resurgiront d’ailleurs des questions de genre. Mais elles seront posées sur de nouvelles bases, à partir d’un contenu concret et non plus dans un cadre où la dissociation opère déjà a priori le grand partage.

      Je remets ici un lien vers un texte qui aborde le sujet sous cet angle

      http://lapetitemurene.over-blog.com/pages/Roswitha_Scholz_Valeur_et_genre_Production_et_reproduction

    • @tetue oui, je n’ai pas trouvé d’occurrence d’une Zita Faucilhon. La définition est pratiquement toujours citée intégralement et sa première occurrence semble être ici (que tu pointes au début de ce fil)
      http://jargonf.org/wiki/geek
      et comme c’est un wiki, on peut vérifier que cette définition est présente depuis l’origine de l’article (juillet 2002) dont elle composait l’essentiel du contenu.

      Dans le paragraphe suivant (distinction geek/nerd) il y a un lien vers le blog copinedegeek.com qui a disparu depuis et est accessible en mode archive, p. ex. par ici :-)
      http://herbier.spip.net/copine-de-geek

      j’ai (un peu) regardé, je n’y trouve pas trace ni de Zita ni de la définition…

    • Dissociation des sphères productives et reproductives
      @ktche Tu mets les mots sur un truc que je n’avais pas perçu. Je m’opposais au Revenu de Base parce que ça légitime le travail sur les tâches reproductives et fait disparaître les questions autour de ce sujet.
      (Pour moi, c’est important qu’un outil pose des questions lors de son usage… c’est le summum d’un outil bien conçu)
      Mais quand tu dis qu’un tel outil pourrait aussi dissocier les sphères productives et reproductives. Je suis prêt à me questionner plus loin.
      En effet, ce qui est choquant derrière le travail salarié, c’est la reconnaissance qu’il apporte (même un travail à temps partiel non choisi). En gros : salarié = intégré socialement, chômeur = reclus.
      Seul une dissociation des sphères pourrait mettre au grand jour cette anomalie : pourquoi on qualifie de reclus les sans activité salariée. (une réponse au Japon peut-être ?)
      Donc voila, une question de fond qui reprend sa place dans mon esprit.

    • En effet, ce qui est choquant derrière le travail salarié, c’est la reconnaissance qu’il apporte (même un travail à temps partiel non choisi). En gros : salarié = intégré socialement, chômeur = reclus.

      Si le chômage induit une stigmatisation, il reste que le chômeur est identifié à la sphère de la production (il pourrait être productif, mais il ne l’est plus temporairement... il reste à la disposition d’un éventuel employeur... sa tâche principale est de chercher un emploi...). Sa figure n’a pas vraiment basculé dans la sphère dissociée, celle de la reproduction.

      Inversement, on pousse les femmes à trouver une forme de reconnaissance dans la sphère reproductive (même lorsqu’elles subissent aussi l’injonction de participer à la sphère productive). Bien sûr, cette reconnaissance est toujours subalterne à celle du travail productif, mais le patriarcat producteur de marchandises y voit tout de même une forme d’accomplissement.

      (On connait la « blague » : Un chômeur à qui on demande si sa femme travaille, répond : « Oh non, elle s’occupe des enfants et de la maison ! »)

      La dissociation sexuée ne distribue donc pas les rôles entre reconnu et non reconnu, qui est une ligne de partage différente. La dissociation n’est d’ailleurs pas non plus stricto sensu une coupure entre productif et reproductif. C’est une coupure entre une certaine vision du masculin (efficace, volontaire, rationnel...) et son pendant pour le féminin (sollicitude, sensibilité, émotivité...), qui expriment par ailleurs les « valeurs » attribuées respectivement au productif et au reproductif. Mais la dissociation peut parfaitement traverser chacune de ces sphères : les femmes ont par exemple une position subalterne dans la sphère productive (salaires moindres, carrière nécessitant plus d’effort...) ou lorsque les tâches domestiques sont partagées alors on dit que l’homme est exemplaire alors que la femme est tout simplement à sa place...

  • Mastodon et Gnu Social deux services différents qui peuvent communiquer… et remplacer #twitter.
    http://namok.be/blog/?post/2017/04/06/mastodon-gnusocial-deux-services-remplacer-twitter%2E

    Mastodon, le réseau social libre qui est en train de bousculer twitter. Mastodon : le concurrent open source de Twitter qui cartonne. Mastodon : Twitter en mieux ?. Le réseau social Mastodon, un « Twitter plus proche de l’esprit originel ».

    Mastodon, aujourd’hui, on en parle et cet article est là pour en parler aussi. Pour le présenter, lisez l’article d’Alda sur son blog qui gère le site http://witches.town.

    Welcome to Mastodon Depuis quelques jours, Mastodon reçoit entre 50 et 100 inscrit·es par heure et on peut voir sur twitter quelques messages enthousiastes incitant plus de monde à migrer sur cette alternative « Libre et Décentralisée ». C’est quoi ce truc ? Mastodon est un logiciel accessible par un navigateur et des applications iOS ou Android qui vise, par ses fonctions (...)

    #Mes_doigts_dans_le_clavier #alternatives #buzz #diaspora #facebook #geek #internet #logiciellibre #utile

  • #Pays-Bas : les sociaux-démocrates en perdition
    https://www.mediapart.fr/journal/international/160317/pays-bas-les-sociaux-democrates-en-perdition

    Mark Rutte, premier ministre sortant (VVD) © Reuters Le scrutin législatif aux Pays-Bas est marqué par l’effondrement historique des sociaux-démocrates. Le système partisan néerlandais, plus que jamais polarisé et fragmenté au lendemain de cette élection, est en fait déstabilisé depuis une vingtaine d’années.

    #International #Geert_Wilders #social-démocratie

  • #Pays-Bas : un paysage politique toujours plus fragmenté
    https://www.mediapart.fr/journal/international/160317/pays-bas-un-paysage-politique-toujours-plus-fragmente

    Mark Rutte, premier ministre sortant (VVD) © Reuters Le scrutin législatif aux Pays-Bas est marqué par l’effondrement historique des sociaux-démocrates. Le système partisan néerlandais, plus que jamais polarisé et fragmenté au lendemain de cette élection, est en fait déstabilisé depuis une vingtaine d’années.

    #International #Geert_Wilders #social-démocratie

  • Sur le polder d’Almere, il n’y a pas de « cordon sanitaire » avec le xénophobe Wilders
    https://www.mediapart.fr/journal/international/140317/sur-le-polder-dalmere-il-n-y-pas-de-cordon-sanitaire-avec-le-xenophobe-wil

    Almere est l’une des deux seules villes des #Pays-Bas où le parti de #Geert_Wilders a présenté des candidats aux dernières municipales. Dans ce centre urbain à la population très métissée, les élus locaux « s’accommodent » de la poussée du #PVV. Quitte à faire prospérer leurs idées.

    #International #Almere #extrême_droite #libéraux #Mark_Rutte #populisme #UE

  • « Les Néerlandais sont de ceux qui pleurent le plus le #Brexit »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/120317/les-neerlandais-sont-de-ceux-qui-pleurent-le-plus-le-brexit

    Les législatives aux #Pays-Bas inaugurent une année électorale très chargée en Europe. Tandis que le score de #Geert_Wilders inquiète à Bruxelles, le philosophe néerlandais #Luuk_van_Middelaar, ex-« plume » du président du Conseil européen, revient sur la portée de ce scrutin, dans l’un des pays fondateurs d’une Europe bousculée par les crises.

    #International #Culture-Idées #Lodewijk_Asscher #Mark_Rutte #Royaume-Uni #social-démocratie #UE #Ukraine

  • Aux #Pays-Bas, l’opposant en chef au xénophobe Wilders est un écologiste
    https://www.mediapart.fr/journal/international/110317/aux-pays-bas-l-opposant-en-chef-au-xenophobe-wilders-est-un-ecologiste

    À l’approche des élégislatives du 15 mars, où en est la gauche aux Pays-Bas, face à l’offensive Wilders ? Si les sociaux-démocrates traversent une crise profonde, la dynamique est du côté des écologistes, emmenés par le jeune #Jesse_Klaver. Quant à #Sylvana_Simons, une femme noire née au Surinam, elle incarne, elle aussi, le renouveau de la contestation.

    #International #Ecologie #Geert_Wilders #Lodewijk_Asscher #racisme #social-démocratie #UE