• New Nations, Living in Limbo
    By Jonathan Blaustein


    There are corners of the globe where breakaway countries exist in #geopolitical purgatory, embraced by their would-be leaders yet unrecognized by the international community.

    And Narayan Mahon wanted to document them.

    This fascinating realization came to him in 2005, when he learned about “#unrecognized_countries” while studying at the University of North Carolina at Charlotte. At the time, he was just becoming interested in photography as well, so he applied to graduate school at Syracuse University with the express intention of visiting unrecognized countries for a long-term documentary photography project. It was a big stretch, given his limited knowledge of either subject.

    “This is the first thing I ever worked on; the first photographic idea I ever had,” he said. “I had a point-and-shoot digital camera, and I didn’t know what aperture meant. I didn’t know an f-stop from a stop sign.”

    He soon learned. Financing his project with student loans and a grant from the Pulitzer Center on Crisis Reporting, he embarked on his research in earnest. He set some very strict standards for the places he wanted to visit: that it maintain its borders and have a working government that seeks — but does not receive — international recognition.


    He ended up with a list that included #Abkhazia, which had seceded from Georgia; Transnistria, which had broken off from #Moldova; Nagorno-Karabakh, which had been a part of Azerbaijan; Northern Cyprus, which was a partition of that island nation; and Somaliland, which separated from the barely functioning country of #Somalia. Not surprisingly, the first three on his list emerged when the Soviet Union collapsed.
    http://lens.blogs.nytimes.com/2014/09/29/new-nations-living-in-limbo
    #nation #state #photo #photographie #photography #

  • When island nations drown, who owns their seas? - Ideas - The Boston Globe
    http://www.bostonglobe.com/ideas/2014/10/18/when-island-nations-drown-who-owns-their-seas/hyH9W5b1mCAyTVgwlFh7qO/story.html

    Kiribati, like other island nations, controls hundreds of thousands of square miles of the ocean that surrounds it. Kiribati’s land area is about that of Kansas City, while the ocean territory it controls is larger than India. Within these “exclusive economic zones,” to use the UN term, island nations possess the power to regulate, tax, or disallow any economic activity, including mining or drilling for oil. The tuna fishing alone in the domain of Pacific island nations is worth an estimated $4 billion a year.

    “An equitable and fair solution,” (...) “would be the recognition in international law of a new category of State, ‘the deterritorialized state.’” (...) Remarkably, such a landless state does exist today. The Knights of Malta (not to be confused with the country of Malta) are a 900-year-old lay Catholic order who today have no land, but do have a nonvoting seat at the United Nations. Their example, Rayfuse suggests, provides a seamless way to incorporate submerged nations into the international community.

  • Pour revenir sur les questions posée par Reflets http://seenthis.net/people/reflets concernant Firechat http://seenthis.net/messages/299814
    Une publication de Sami Ben Gharbia qui avait été reprise par NAAWAT et OWNI en 2011.

    Les cyber-activistes arabes face à la liberté sur Internet made in USA
    http://ifikra.wordpress.com/2011/01/24/les-cyber-activistes-arabes-face-a-la-liberte-sur-internet-made-in

    « Cet article se concentre sur le cyber-activisme de base dans le monde arabe et les risques encourus d’une collision inévitable avec la politique étrangère et les intérêts US. Il résume l’essentiel des discussions que j’ai eues, ces deux dernières années, avec de multiples acteurs engagés dans la défense de la liberté d’expression sur Internet et dans l’utilisation de la technologie pour le changement social et politique. Bien que le sujet principal demeure l’activisme numérique arabe, j’y ai inclus les problématiques et inquiétudes similaires soulevées par des activistes et défenseurs de la liberté d’expression sur Internet issus d’autres parties du monde comme la Chine, la Thaïlande et l’Iran.

    Ce document part donc de l’hypothèse que l’engagement privé – des entreprises – et public – de l’administration – US dans le mouvement pour la liberté sur la Toile est dangereux pour cette même liberté. J’éclairerai les raisons pour lesquelles je considère ce nouveau contexte comme étant extrêmement dangereux pour le mouvement des cyber-activistes de base. »

    #Monde_Arabe #Cyber_activisme #liberté_internet #technologies #geopolitique

  • Avis sur le #film Queimada (1968) - Burn baby ! Burn ! par Palplathune - SensCritique
    http://www.senscritique.com/film/Queimada/critique/7287936


    Le pire, c’est que près d’un demi-siècle plus tard, la démonstration de #géopolitique implacable fonctionne toujours : l’empire a besoin d’une ressource, l’empire instrumentalise les mecs énervés du coin pour s’assurer l’accès prioritaire à la ressource, les mecs énervés finissent par se retourner contre l’empire.

    A travers les action de William Walker, on assiste à la transformation du #colonialisme idéologique en son avatar économique du néo-colonialisme. Tout comme Pontecorvo et Solinas décortiquaient de manière implacable les mécanismes de la guérilla révolutionnaire urbaine et les méthodes utilisées pour la contrer dans la Bataille d’Alger, ils illustrent l’évolution de manière limpide où comment les velléités égalitaires des uns rejoignent les intérêts financiers des autres pour aboutir à une indépendance en trompe l’œil dont seule la puissance économique dominante ressort gagnante.
    Cette dynamique implacable fait évidemment référence à ce qui se passait lors des luttes d’influences coloniales du 19e siècle mais demeure toujours d’actualité aujourd’hui. En 1968, année de production du film, on se doute qu’il s’agissait de parallèles bien volontaires avec les actions des USA en Amérique Latine et en Asie (1).

    Le personnage de William Walker est l’incarnation a la fois séduisante et repoussante de ce nouvel ordre mondial. Opportuniste sans moral, il sait viser juste, adaptant son discours aussi bien au pauvres qu’aux riches, aux blancs qu’aux noirs, tant que cela sert ses intérêts. Derrière cet impressionnant « professionnalisme », on sent toutefois les traces d’un restant d’humanisme dont il ne sait comment se débarrasser. A ce titre, sa relation avec le leader indépendantiste qu’il a créé, faite d’admiration et de condescendance, est tout à fait fascinante.

    #cinéma

    • Tiens, ça tombe aussi ce matin
      Le livre est avant tout une façon pour les auteurs d’expliquer leur manière d’étudier les rapports coloniaux, une sorte d’historiographie.

      Il existe différentes façons de voir la question coloniale.
      1. La colonie est un domaine d’exploitation en utilisant des méthodes de production impossible en métropole.
      2. La colonie est une zone exempte des inhibitions générées par la bourgeoisie. C’est un lieu d’opportunités sexuelles et économiques. On finira par établir la morale sexuelle dans le but de sauver la race (crainte de la mixité).
      3. La colonie est le laboratoire de la modernité où l’on fait des expériences d’ingénierie sociale. Cela rencontrera la résistance des colonisés qui refuseront l’agriculture de plantations.
      4. La colonie est l’endroit où se trouve l’Autre et face à qui s’exprime l’européanité.

      Résumé de Repenser le colonialisme de Ann Laura Stoler et de Frederick Cooper
      http://www.crepegeorgette.com/2014/10/06/repenser-colonialisme-stoler-cooper

    • En tant que Costarricien, cela tombe bien pour moi. William Walker et les flibustiers sont l’incarnation du mal. On les a chassé du Costa Rica, on est allé jusqu’au Nicaragua pour les buter.
      Notre président de l’époque, Juan Rafael Mora Porras, l’a chassé jusqu’à la mort. Et il a été trahi de retour au Costa Rica.
      Mais, notre éducation nationale est : William Walker et les flibustiers sont le mal absolu.
      Mais, ce n’est pas si bizarre quand on vient d’un république bananière si différente des autres. Notre élite avait une notion d’intérêt national.

  • ▶ Quand le monde bascule Terrorisme et nationalisme - YouTube

    https://www.youtube.com/watch?v=9GjI_H4jguM

    « Il y a incontestablement dans les premières expressions du terrorisme contemporain cette idée très forte que l’appartenance identitaire à une même communauté justifie des actions violentes dans la mesure où ces identités ne sont pas convenablement traitées par la partie majoritaire. » Yves Bonnet, ancien directeur de la DST.

    Savez-vous ce que sont les « Années de plomb » ? Que s’est-il passé aux JO de Munich en 1972 ? Pourquoi Al-Qaida existe ? Autant de questions qui trouvent réponses dans ce documentaire qui revient sur les raisons de l’émergence des mouvements nationalistes et du terrorisme qui en découle parfois.

    Au sortir de la seconde Guerre Mondiale, on aurait pu croire en une volonté unilatérale des peuples à vivre en paix. Or, c’est plutôt la résurgence de nationalismes ainsi que le recours au terrorisme qui connait son apogée dans les années 70 et 80. Le XXIe siècle s’ouvre sur le retentissant attentat du 11 septembre 2001 et c’est depuis l’escalade sur l’ensemble du globe.

    #documentaires #nationalisme #terrorisme #géopolitique

  • Annonce de colloque. C’est la première fois que je vois ça, et j’ai trouvé que l’approche était intéressante, donc, je la partage. Ce qui me plait dans l’idée, c’est qu’ici, les traducteurs sont des acteurs à part entière, des créateurs de nouvelles formes sémantiques, éventuellement de savoir...

    Traductologie et géopolitique

    Depuis l’époque des drogmans, traduction et géopolitique sont indissociables, mais les bouleversements qu’a connus ce début de siècle (guerre contre le terrorisme, guerre d’Irak, printemps arabe, guerres en Libye, en Syrie, en Ukraine et autres conflits aux enjeux internationaux, mais aussi la montée des extrêmes en Europe) ont considérablement affecté et modifié les conditions d’exercice des métiers langagiers en général et de celui des traducteurs en particulier.

    Depuis toujours, les langues servent aussi à parler des ennemis et avec les ennemis. On assiste notamment à une politisation accrue des acteurs et à une instrumentalisation des produits de la traduction et de la communication multilingue à des fins politiques ou idéologiques, à la fois sur le terrain réel et virtuel.

    Les phénomènes issus de cette collision inattendue entre traductologie et (géo)politique sont variés et complexes, mais ils concernent des questions fondamentales telles que celles de la neutralité et de l’indépendance, de l’interculturalité et de l’intercompréhension, de la tolérance et de la paix. Entre les enjeux éthiques et politiques de la traduction, les langagiers éprouvent de plus en plus de difficultés à gérer des situations souvent inextricables.

    Dans ce contexte de conflits médiatisés et mondialisés, plusieurs problématiques méritent une attention particulière de la part des spécialistes en traduction et en communication multilingue.

    Tout d’abord, le rôle et la place des traducteurs et des médiateurs langagiers dans cette multitude de conflits et de crises politiques : leurs fonctions, leurs missions, leurs actions et l’impact sur leur travail de leurs positions politiques et idéologiques.

    Ensuite, le type et la nature des productions langagières et des traductions diffusées en temps de crise, de conflits ou de campagnes électorales, en particulier lorsque les enjeux sont internationaux : manipulation de la traduction, d’idées ou d’objets culturels, usages langagiers et rhétoriques, procédés de communication orientée, biais cognitifs impliqués, décontextualisation et resémantisation de notions du passé, transferts idéologisés, etc.

    Enfin, les enjeux éthiques, sociétaux et culturels des phénomènes liés à la rencontre entre traductologie et géopolitique, sur le plan de la théorie comme de la pratique : respect de la différence, défense de la diversité, promotion de la tolérance, contribution au dialogue des cultures et à la paix dans le monde.

    C’est pour tenter de répondre à ces questions essentielles de notre temps que nous lançons une série de rencontres scientifiques qui visent à initier une réflexion renouvelée et actualisée des problématiques de la traductologie en lien avec la géopolitique et le contexte international en général.

    Ces rencontres pluridisciplinaires traiteront de faits contemporains mais qui ont des référents dans un passé parfois lointain, ils réuniront aussi bien des traductologues (spécialistes de la traduction théorique et pratique), des linguistes, des historiens que plus précisément des sémanticiens, sémioticiens ou politologues, intéressés aux enjeux de la traduction en contexte géopolitique, en diachronie comme en synchronie.

    Elles donneront lieu à une publication chez un éditeur français et/ou canadien.

    Les propositions émanant de jeunes chercheurs sont les bienvenues.
    Le Comité scientifique du colloque examinera les propositions de façon anonyme.

    – Tenue du colloque : Printemps 2015 (date communiquée ultérieurement)

    Comité d’organisation :
    James ARCHIBALD (Université de McGill)
    Lynne FRANJIE (Université Stendhal Grenoble 3)
    Mathieu GUIDERE (Université Toulouse 2 Jean Jaurès)
    Astrid GUILLAUME (Université Paris IV Sorbonne)
    Comité scientifique :
    James ARCHIBALD (Université de McGill)
    Lynne FRANJIE (Université Stendhal Grenoble 3)
    Nicolas FROELIGER (Université Denis Diderot)
    Mathieu GUIDERE (Université Toulouse 2 Jean Jaurès)
    Astrid GUILLAUME (Université Paris IV Sorbonne)
    Marianne LEDERER (Université Paris 3 Sorbonne nouvelle)
    Michaël OUSTINOFF (Université de Nice Antipolis)
    Jean PEETERS (Université de Bretagne)
    François RASTIER (CNRS)
    Cécile VAISSIE (Université Rennes 2)

    Contact : traducto.geopol@gmail.com

  • Out of Africa: Prospects of Conflict-Sensitive Adaptation

    http://www.ecc-platform.org/index.php?option=com_k2&view=item&id=5070:out-of-africa-prospects-of-c

    When it comes to a potential tool box to address the security implications of climate change, conflict-sensitive adaptation serves as a buzzword: often mentioned but with little conceptual and practical advice. For the African region, Urmilla Bob and Salomé Bronkhorst now offer new food for thought on this topic in their recently published book “Conflict-sensitive adaptation to climate change in Africa”.

    The book is the result of a discussion process, which was initiated by the African Centre for the Constructive Resolution of Disputes (ACCORD) in 2011 in the run up to the climate change conference in Durban.

    #afrique #conflits #géopoliique

  • L’effondrement capitaliste et la poussée vers la #guerre
    http://www.wsws.org//fr/articles/2014/sep2014/pers-s08.shtml

    En fait, la guerre a toujours été un reboot efficace d’un système économique en bout de course. On élimine les pouilleux autour de la table, on casse tout et on peut repartir sur une table rase qui ne peut que croitre.

    L’aspect le plus frappant de la réunion, cette semaine, du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) ne sont pas les décisions, aussi importantes soient elles, qu’il a prises pour réduire encore davantage les taux d’intérêt officiels et initier l’achat de titres adossés à des actifs (ABS).

    En réalité, c’est le profond sentiment de malaise qui a plané sur la réunion alors que les pouvoirs en place étaient confrontés au fait que six ans après l’effondrement du système financier mondial en 2008, non seulement ils ne sont pas plus près de trouver un train de mesures pour assurer une « relance » économique, mais la situation ne fait qu’empirer.

    #capitalisme

    • « profond sentiment de malaise » = c’est le problème de l’idéalisme et l’idéologie. Ici, la mentalité de ces « décideurs » est bloquée par leur propre éducation basée uniquement sur les notions « d’économie de marché », « rationalisation des dépenses et des investissements, » " intéressement"...
      En terme politique, je suis désolé, mais en géostratégie et géopolitique, les politiques européens n’ont pas pris en compte l’ampleur de la décolonisation et de la « désoccidentalisation » du monde. Dans la tête des gens des pays dites du Sud, l’Europe est un Disneyland- Côte d’Azur.
      En ce moment, j’ai des amis qui viennent passer des vacances en Europe parce que c’est « mignon » et « romantique ».
      Les États-Unis se déphasent de l’Amérique Latine qui lui échappe depuis plus de 16 ans (avec l’arrivée de Chavez au pouvoir au Venezuela).
      La décolonisation du monde suit son cours et les guerres d’ailleurs seront pareilles ici. L’exception « occidentale » arrive petit à petit à sa fin. Les classes dominantes « occidentales » vont vivre comme les classes dominantes d’ailleurs : dans des « havres » de paix ultra-sécurisés et totalement séparés du reste du pays. Au Brésil, en Colombie ou au Costa Rica, les vrais riches -et non pas, les classes moyennes enrichies que nous pouvons voir- utilisent des hélicoptères et des voitures blindées.

  • Traité sur le commerce des armes : résultat du vote à l’ONU le 3 juin 2013
    http://visionscarto.net/vote-onu-commerce-armes-2013

    Mots-clés : #Armes #Armement #Onu #Géopolitique #Géostratégie #Esquisse
    Apparition(s) : Seenthis (http://seenthis.net/messages/144438)
    Auteur : Philippe Rekacewicz
    Date de création : juin 2013, à l’arrache le soir du vote

    Sur le même sujet : « Les limites d’un traité sur les armes » par Philippe Leymarie, avril 2013

    #Collection_cartographique

  • Déroute de Kiev, Russes fantômes, l’Otan et les médias choisissent l’escalade - Chroniques du Yéti
    http://yetiblog.org/index.php?post/deroute-ukraine-agitation-otan

    Alors quoi, que se passe-t-il dans le bourbier ukrainien ? Invasion russe ou pas ? Coup tordu de Poutine annonçant déjà l’envoi d’un second convoi humanitaire ? Plus probablement, déroute des forces de Kiev sur le terrain et fuite en avant de l’Otan dans l’escalade face aux “menaces” de la Russie.

    En tout cas, ce n’est pas sur nos médias mainstream qu’il faut chercher les réponses à nos questions. La plupart, comme le Monde, ne doutent absolument de rien :

    « Des soldats russes combattent l’armée ukrainienne dans l’est du pays ».

    D’autres, comme le webmagazine américain Zero Hedge, sont beaucoup plus circonspects :

    « L’Ukraine accuse la Russie d’invasion, avant de se rétracter rapidement ».

    Le rectificatif de l’agence Reuters

    L’agence Reuters sera contrainte d’apporter un rectificatif aux propos prêtés initialement au président ukrainien Porochenko. Non celui-ci n’a pas parlé d’« invasion », mais juste de « présence » russe (entre 1 000 et 3 000 hommes, selon les sources éclairées). L’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), présente sur place, assure pour sa part n’avoir rien constaté jusqu’à présent[1].

    Il est vrai que Kiev avait aussi affirmé avoir détruit un convoi de blindés russes sur son territoire. Mais aucune trace des carcasses et des cadavres de ce convoi fantôme massacré.

    Il est vrai que l’Otan a publié des photos satellites, datées du 21 août, censées montrer un autre prétendu convoi russe. En vérité, ces clichés ne permettent aucune identification fiable......

    >>>

    Est-ce la Russie qui agit en sous-main dans toute l’Amérique latine pour y imposer ses intérêts ? Qui est allé batailler en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie ? Qui arme Israël au Moyen-orient ?

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    #géopolitique
    #Ukraine
    #Kiev
    #OTAN
    #États-Unis
    #Russie
    #Europe
    #médias

  • D’est en ouest, du nord au sud, principales routes maritimes et passages sensibles
    http://visionscarto.net/est-ouest-routes-maritimes

    Titre : D’est en ouest, du nord au sud, principales routes maritimes et passages sensibles Mots-clés : #Transport #Transport_maritime #Piraterie_maritime #Routes_maritimes #géopolitique #géostratégie #Rapport_piraterie_maritime Apparition(s) : Rapport « UNOSAT Global Report on Maritime Piracy - a geospatial analysis 1995-2013 » Auteur : Philippe Rekacewicz Date de création : Janvier 2014 Licence : CC BY-NC-SA (...)

    #Collection_cartographique

  • New Facts Revealed on 2010 Ousting of Australian PM
    http://dissidentvoice.org/2014/08/new-facts-revealed-on-2010-ousting-of-australian-pm/#more-55533

    Interviews with senior Labor Party figures, both past and present, published in the new book Triumph and Demise by the Australian newspaper’s leading political journalist Paul Kelly, cast a further revealing light on the circumstances surrounding the June 23-24, 2010 coup that ousted Labor leader Kevin Rudd as prime minister and installed Julia Gillard.

    Kelly does not delve into the driving forces of the coup, in particular the role played by the United States as the Obama administration set in place the anti-China “#pivot” to Asia. However, what he does present demolishes the fiction that Rudd’s removal was about poor public opinion poll ratings or his dysfunctional management style.

    (...)

    Kelly concludes: “The argument of the anti-Rudd faction chiefs that Rudd was in an irrecoverable position is unpersuasive. Former Prime Minister John Howard and his deputy, Peter Costello, said later they believed Rudd would have won any 2010 election against Tony Abbott.”

    Polls, however, did play an important part in creating the conditions for carrying out the coup. But they were not those conducted by established polling organisations and published in the daily newspapers. These were “internal” polls conducted by the right-wing leadership of the New South Wales branch of the Labor Party, which had a leading role in the coup. They purportedly showed a 7 percent swing against Labor in four marginal seats and that the party was heading for a major electoral defeat.

    (...)

    In December 2010, leaked US diplomatic cables provided by #WikiLeaks showed that the main plotters in the anti-Rudd coup within the Labor Party and the trade unions, including Mark Arbib, David Feeney and the then Australian Workers Union chief Paul Howes, provided the US embassy with regular updates on internal government discussions and were characterised as “protected sources.”

    While domestic factors such as the mining companies’ heavily-funded campaign against the proposed resource rent tax undoubtedly helped create an air of “crisis” around the government, the coup was the outcome of geo-political shifts emanating from Washington.

    In 2010, the Obama administration was setting in place the foundations for its anti-China pivot to Asia. As events over the past four years have made clear, Australia and Japan are the two major anchor points for US preparations for military activities against China. However, before they could go ahead, political changes had to be carried out.

    #geopolitique #Chine #Etats-Unis #Australie

  • Un siècle de changements frontaliers en Europe

    visionscarto.net/un-siecle-de-frontieres

    Des quatre empires centraux en concurrence au XIXe siècle, il n’en reste plus que trois à la veille de la première guerre mondiale, en 1914. L’Empire ottoman est presque entièrement démembré, non pas au profit des grandes puissances (Russie et Autriche-Hongrie), mais par la création de nouveaux petits États. La « paix de Versailles », c’est-à-dire les cinq traités conclus en 1919 et 1920, consacre la disparition de l’Empire austro-hongrois et permet l’indépendance de petites et moyennes nations aux côtés des grandes
    puissances.

    #Frontières #Europe #Histoire #Ex-URSS #Empires #Nations #cartiographie_narrative #cartographie

  • Battle for Ukraine’s southeast coast heats up
    http://bigstory.ap.org/article/government-held-ukraine-town-hit-rebel-shells

    Pushing west in a new offensive along Ukraine’s strategic coastline, heavily armed Russian-backed separatist forces captured new territory Wednesday far from their previous battles with government troops.

    The bold offensive along a new southeastern front raised the prospect that the separatists are seeking to create a land link between Russia and Crimea, which also would give them control over the entire Azov Sea.

    After a third day of heavy shelling that sent many residents fleeing, rebel fighters with dozens of tanks and armored vehicles entered Novoazovsk, a resort town of 40,000 on the Azov Sea, the mayor told The Associated Press.
    (…)
    The separatist attack appears to have caught government forces off guard, and they were scrambling Wednesday to build up defenses. The offensive also adds to growing evidence that the rebels receive Russian support.

    Oleg Sidorkin, the mayor of Novoazovsk, told the AP by telephone that the rebel forces had rolled into town from positions near Ukraine’s southernmost border with Russia.
    (…)
    In Mariupol, a city of 450,000 about 30 kilometers (20 miles) to the west, defenses were being built up. A brigade of Ukrainian forces arrived at the airport on Wednesday afternoon, while deep trenches were dug a day earlier on the city’s edge. Other troops were blocking traffic from leaving the port heading east.

    Ukraine has already lost more than 750 kilometers (450 miles) of coastline in Crimea, along with a major naval port and significant mineral rights in the Black Sea.

    If the separatists were to seize a land bridge to Crimea that would be a further loss of more than 250 kilometers (150 miles) of coastline. This would also give them or Russia control over the entire Azov Sea and any offshore oil and gas reserves.

    This would leave Ukraine with about 450 kilometers (270 miles) of coastline to the west of Crimea.

    Offensive le long de la mer d’Azov, lien terrestre avec la Crimée, contrôle de la mer d’Azov et de ses gisements.

    Et le gouvernement ukrainien (et ses conseillers) est surpris.

  • Face à la Russie, l’Europe fait fausse route ! | Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances
    http://leblogalupus.com/2014/08/25/face-a-la-russie-leurope-fait-fausse-route

    Observateur avisé de la grave crise en Ukraine qui fait dégénérer les relations entre la Russie et l’Occident, Gabor Steingart, éditeur de la « Handelsblatt », estime qu’Angela Merkel ne gagnera rien à suivre Washington dans sa politique de représailles. Il lui enjoint de suivre l’exemple de Willy Brandt qui, lorsqu’il était maire de Berlin-Ouest, fut confronté à la construction unilatérale du Mur par les Soviétiques, et sut jouer tout en finesse. C’est aussi un appel à une politique européenne indépendante et réfléchie

    https://pbs.twimg.com/media/BvRU6BHIYAI305f.jpg:large

    Toute guerre s’accompagne de mobilisation mentale : la fièvre guerrière. Elle n’épargne pas même les gens intelligents. « Cette guerre est vraiment grande et merveilleuse. C’est une expérience qui en vaut la peine », écrivait Max ­Weber en 1914, au moment où les lumières s’éteignaient en Europe. Thomas Mann aussi ressentait « une libération et une immense espérance ». Même lorsque des milliers des morts gisaient sur les champs de bataille belges, la fièvre restait intacte : des peintres, des écrivains, des scientifiques ont continué d’en appeler à la cruauté envers leurs voisins. […]

    Stop, arrêtons tout de suite ce train de réflexions. « L’histoire ne se répète pas ! » Tout de même, en sommes-nous si sûrs ces jours-ci ? Au vu des manœuvres de guerre en Crimée et dans l’est de l’Ukraine, les chefs d’État et de gouvernement occidentaux n’ont soudainement plus de questions et toutes les réponses. Le Congrès américain discute ouvertement d’armer l’Ukraine. […] La chancelière allemande, comme à son habitude, est moins frontale mais tout aussi menaçante : « Nous sommes prêts à prendre de sévères mesures. ».....

    #géopolitique
    #Crimée
    #Russie
    #Europe
    #Willy_Brandt

  • Le convoi humanitaire russe, un road movie géopolitique
    http://www.nonfiction.fr/article-7204-le_convoi_humanitaire_russe_un_road_movie_geopolitique.htm

    Notre sidération collective pour cet événement au rythme haletant fait de cette caravane un succès pour ceux qui l’ont organisée : les principes humanitaires épaulés par des images parfaites ne sauraient rencontrer d’obstacle sur la route rectiligne du succès. Toutefois, notre devoir est de secouer notre hypnose digne de Troyens perplexes devant le cheval de bois imaginé par Ulysse : nous n’avons pas à ratiociner sans fin sur ces camions. L’essentiel est ailleurs : il n’est ni dans leurs remorques ni dans leur escorte, ni dans leur couleur, ni dans leur itinéraire. Il est dans l’inflexion de cap choisie par le Kremlin.

    #Convoi_humanitaire #Droit_d'ingérence #Géopolitique #Ingérence_humanitaire #Politique_internationale #Russie #République_populaire_de_Lougansk #Ukraine #Vladimir_Poutine

    • Là, je ne suis pas très d’accord. L’Ukraine avait le temps de fouiller les camions. Mais le but des Ukrainiens étaient de faire le siège des villes pro-russes. Les Ukrainiens bombardent ces villes de façon aussi terrible que dans d’autres guerres et non comme des forces de police qui veulent arranger les bidons. Autant les Ukrainiens sont soutenus par l’UE et les USA qui veulent y implanter les missiles de l’OTAN, autant le Donbass est soutenu par les Russes. Et dans cette guerre de propagande, je ne me prononcerais point en faveur de l’un ou de l’autre.

      Nous avons subi le maccarthysme jusqu’à ce que le Rideau de Fer soit démoli et les USA ont fait la promesse à Gorbatchev de ne pas étendre la zone de l’OTAN, la Russie n’ayant pas la capacité financière d’être l’attaquant dans cette histoire. Et pour la petite histoire, ce n’est pas la première fois que les USA trahissent la Russie ou l’URSS...

      La bonne question à se poser, c’est pourquoi l’Occident a soudain envie de s’accaparer l’Ukraine alors qu’elle la laissée dans la merde jusqu’à maintenant...

    • J’ai un peu de mal à comprendre la logique de ce billet…

      Prêter au président russe un projet impérial, c’est tout à la fois s’illusionner sur les forces réelles de la Russie et sur l’idée que les autorités se font de leurs propres marges de manœuvres. La propagande officielle vantant la grandeur de la Russie ne fait nulle part illusion : Moscou n’a pas les moyens de peser dans la mondialisation. Elle a tout juste les instruments nécessaires pour faire en sorte que l’OTAN ne se porte pas à ses frontières et pour que l’UE n’absorbe pas tout son « étranger proche ».

      Donc finalement, le grand méchant Poutine n’a pas les moyens de mener une guerre d’agression ? Il est acculé à une stratégie réactive face à l’avancée triomphante de l’OTAN+UE…

      Va falloir reprendre la cohérence de la narrative !

      Par ailleurs, certains prétendent que le convoi humanitaire est une manœuvre de diversion ayant (brillamment) réussi à détourner l’attention (au moins médiatique) des convois militaires qui passeraient à quelques kilomètres de là.
      Cf. http://seenthis.net/messages/287378

    • Et pour d’autres, il aurait servi de prétexte pour aller faire ses courses en Ukraine et que c’est le fret retour qui importait…

      Russian trucks depart Ukraine, leaving questions in their wake - The Washington Post
      http://www.washingtonpost.com/world/russia-escalates-tensions-with-aid-convoy-reported-firing-of-artillery-inside-ukraine/2014/08/23/dbb76290-2a96-11e4-958c-268a320a60ce_story.html

      Lysenko [Ukrainian military spokesman] claimed that trucks had crossed back into Russia on Saturday morning after being packed with Ukrainian-made equipment used to produce an advanced aircraft-tracking system, as well as ammunition for small arms.

      Russia’s defense sector, which has been hurt by European sanctions, has long been dependent on industries in Ukraine to provide parts for everything from planes to missiles.

  • « Dans le conflit ukrainien, on peut observer la relation entre le gaz, le pétrole et l’OTAN dans toute sa splendeur » (D. Ganser) | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2014/08/23/dans-le-conflit-ukrainien-on-peut-observer-la-relatio

    Selon Daniele Ganser, spécialiste dans le domaine de l’OTAN, nous assistons en Ukraine à la prochaine étape de l’extension de cet organisme. L’Allemagne devrait suivre le pas parce que les Américains disposent du commandement en chef et veulent empêcher la naissance d’un nouvel axe Moscou-Berlin. Les USA dressent à cette fin les Etats européens les uns contre les autres – afin de continuer à les contrôler.

    L’OTAN est la plus grande et la plus puissante alliance militaire depuis nombre d’années. Les « Deutsche Wirtschafts Nachrichten » ont parlé avec l’historien et le spécialiste en matière de l’OTAN, Daniele Ganser à propos de la structure de celle-ci, du rôle de l’Allemagne dans l’organisation, de son influence dans l’UE et de son implication dans le conflit de l’Ukraine.

    Deutsche Wirtschafts Nachrichten : Le Danois Rasmussen démissionne bientôt en tant que Secrétaire général. Son successeur sera probablement le Norvégien Stoltenberg. Quelle est selon vous, l’influence des Européens au sein de l’OTAN ?

    Daniele Ganser : Je pense que l’influence des Européens au sein de l’OTAN est petite, parce que celle-ci est menée par les USA. On le voit à travers le fait que les Européens peuvent toujours désigner le Secrétaire général et celui-ci apparaît très souvent dans les médias en Europe. C’est pourquoi, on a l’impression que le Secrétaire général est la personne la plus importante de l’OTAN. Toutefois, ce n’est pas vrai !
    La personne encore beaucoup plus influente au sein de l’OTAN est le SACEUR (Commandant suprême des forces alliées en Europe) et c’est toujours un général américain. Ce commandement militaire est encore plus puissant que le poste officiel de Secrétaire général. L’ancien Président Nixon l’a formulé une fois de cette façon : « Le seul organisme international qui ait jamais fonctionné, c’est l’OTAN, tout simplement parce qu’il s’agit d’une alliance militaire et que nous étions aux commandes ».

    Par quelles voies l’OTAN impose-t-elle ses intérêts à l’UE ?

    L’OTAN a ses ambassadeurs dans tous les pays membres. Ce sont des ambassadeurs envoyés par chaque pays afin d’être informés des projets de l’OTAN dans les étapes suivantes. Les voies sont opérationnelles de telle façon que l’OTAN – et en premier les USA – disent : C’est comme ça et maintenant vous devez faire ça. Cela était ainsi en particuliers lors du 11-Septembre et de la Guerre contre l’Afghanistan. La plupart du temps, les Européens obéissent tout simplement. Ils n’ont jamais dit : Nous devons nous développer indépendamment. Une politique extérieure et de sécurité européenne commune ne fonctionne pas vraiment. On est toujours indécis : doit-on aller en Irak avec les Américains ? Les Anglais l’ont fait, pas les Français. Ou bien doit-on bombarder avec les Américains la Lybie, pays membre de l’OPEC ? Les Français l’ont fait, pas les Allemands. Les USA réussissent très bien à dresser les différents pays européens les uns contre les autres. En ce moment, on se sert de l’Allemagne contre la Russie, bien sûr pour des intérêts américains. C’est l’ancien système du « divide et impera » – « diviser pour régner ». Ce n’est pas dans l’objectif de Washington que l’UE et la Russie coopèrent et construisent un grand espace économique, disposant en plus des plus grandes réserves de pétrole et de gaz. Ce ne serait pas dans l’intérêt des Etats-Unis.....


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    Et cette extension de l’OTAN n’est aucunement mentionnée par les médias occidentaux, pas même prise en compte. On peut communiquer ceci tout simplement en prenant une carte de l’OTAN en 1990 et une de 2014 .

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    #géopolitique
    #guerre
    #impérialisme
    #mensonge
    #NSA
    #OTAN
    #atlantisme
    #Ukraine
    #Allemagne
    #Russie
    #souveraineté
    #énergie
    #coup_d’État
    #Empire
    #États-Unis
    #Europe
    #gaz
    #pétrole
    #politique
    #propagande
    #ressources_naturelles
    #Russie
    #souveraineté
    #stratégie
    #Union_européenne.

  • Un chasseur chinois frôle ’dangereusement’ un avion américain (Pentagone)
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/08/22/97001-20140822FILWWW00279-un-chasseur-chinois-frole-un-avion-americain.php

    Un chasseur chinois a « dangereusement » frôlé par trois fois un avion militaire américain mardi au-dessus des eaux internationales à l’Est de la Chine, a annoncé le Pentagone aujourd’hui.

    « Profonde inquiétude » au Pentagone

    Le chasseur chinois, qui était armé, s’est même approché à moins de 10 mètres de l’avion américain, un P8-Poseidon de surveillance maritime qui effectuait une mission de routine, a déclaré le contre-amiral John Kirby, porte-parole du Pentagone. Le pilote chinois a effectué un « tonneau » au-dessus de l’appareil américain et à un autre moment il est arrivé perpendiculairement au Poseidon et a « exhibé ses armes ». L’incident, qui se produit à un moment de tensions entre la Chine et ses voisins, s’est déroulé à environ 220 km à l’Est de l’île chinoise de Hainan. « Nous avons fait part de notre profonde inquiétude aux Chinois quant à cette manoeuvre hasardeuse et peu professionnelle », a souligné le porte-parole du Pentagone. Il a dit ne pas avoir connaissance d’un quelconque échange radio entre les pilotes des deux appareils.

    #géopolitique
    #Chine
    #États-Unis
    « chasseur ».... #chinois
    « avion » .... #américain
    #Pentagone

  • Dent pour dent , oeil pour oeil : McDonald’s en partie suspendu à Moscou | Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances
    http://leblogalupus.com/2014/08/22/dent-pour-dent-oeil-pour-oeil-mcdonalds-en-partie-suspendu-a-moscou

    Tandis que les tensions s’accentuent entre Russie et Occident le géant américain voit quatre de ses filiales supendues pour raisons sanitaires.

    http://ift.tt/1v1z7wK

    L’Agence russe de protection des consommateurs (Rospotrebnadzor) a annoncé mercredi avoir suspendu les activités de quatre établissements à Moscou du géant américain de l’alimentation rapide McDonald’s pour « violations des normes sanitaires », sur fond de tensions accrues entre la Russie et l’Occident en raison du conflit en Ukraine.

    « De nombreuses violations des normes sanitaires ont été détectées au cours d’une inspection des cafés McDonald’s à Moscou entre le 18 et le 20 août 2014 », a indiqué l’antenne locale de Rospotrebnadzor dans la capitale russe.

    Les activités de quatre établissements de la chaîne, parmi lesquels le premier McDonald’s dans la capitale russe, en plein centre-ville, ainsi qu’un autre très connu situé à deux pas du Kremlin, « ont été provisoirement suspendues », a-t-elle précisé.

    Les violations concernent notamment la sélection des produits alimentaires et les conditions sanitaires dans les cafés, selon la même source. Les inspections des cafés de la chaîne McDonald’s à Moscou « seront poursuivies », ajoute-t-elle. La chaîne McDonald’s a confirmé la suspension des activités de ces quatre établissements à Moscou, indiquant examiner les faits qui lui sont reprochés afin de préparer un plan d’action visant à « faire rouvrir les cafés pour les clients le plus vite possible ». « La principale priorité de McDonald’s est de fournir des produits sûrs et de qualité », a affirmé la chaîne. « Nous allons faire tout notre possible pour poursuivre avec succès les activités de notre compagnie en Russie », a-t-elle ajouté. Rospotrebnadzor avait déjà annoncé fin juillet avoir constaté des infractions dans la composition de certains des hamburgers de McDonald’s vendus dans des restaurants de la région de Novgorod (nord-ouest), affirmant notamment que ceux-ci « ne respectaient les normes ni en termes de sécurité (alimentaire), ni en termes de valeur énergétique ».

    L’agence russe avait également indiqué avoir ouvert une procédure devant la justice pour demander l’interdiction de la production et de la vente des produits concernés.....

    #économie
    #géopolitique
    #embargo
    #McDonald's
    #Moscou

  • Sergeï Glaziev, conseiller de Vladimir Poutine : « Les Etats-Unis veulent déclencher une guerre chaotique dans toute l’Europe » | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2014/08/20/sergei-glaziev-conseiller-de-vladimir-poutine-les-eta
    https://www.youtube.com/watch?v=cikvqdMRTTA

    "Au lieu de la zone de développement de Lisbonne à Vladivostok qu’offre le président Poutine, les Etats-Unis veulent déclencher une guerre chaotique dans toute l’Europe, déprécier le capital européen, effacer toutes les dettes qui écrasent les Etats-Unis, effacer leurs dettes envers la Russie et l’Europe, soumettre leur espace économique et prendre le contrôle des ressources du gigantesque territoire eurasien.

    Ils croient qu’ils n’ont pas d’autre moyen de maintenir leur hégémonie mondiale et de supplanter la Chine.

    Hélas pour eux, cette stratégie géopolitique a un siècle de retard. Elle date de l’époque de l’Empire britannique où la géopolitique se résumait à « diviser pour régner » : c’est-à-dire monter les pays les uns contre les autres, générer des conflits et provoquer une guerre mondiale (…)

    La Russie est la dernière victime de cette politique et l’arme choisie contre elle est l’Ukraine, dont le peuple sert de chair à canon dans cette nouvelle guerre (…)

    Depuis 20 ans, les Etatsuniens nourrissent le nazisme ukrainien pour faire du tort à la Russie.

    Comme vous le savez, ils ont recueilli ce qui restait des troupes de Bandera après la Seconde Guerre Mondiale. Ils ont emmené en Amérique des dizaines de milliers de nazis ukrainiens et en ont pris grand soin pendant toute la période qui a suivi la guerre. Ces nazis ukrainiens sont revenus en masse en Ukraine après l’effondrement de l’Union Soviétique. Leur but est toujours le même : séparer l’Ukraine de la Russie (…)

    Ce qui se passe dans le Donbass est un conflit régional armé. Le but des Etats-Unis est d’y faire autant de victimes que possible.....

    >>>

    Nous avons calculé que l’Union européenne allait perdre mille milliards d’euros à cause des sanctions envers la Russie imposées par les Américains (…)

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    Cette génération de politiciens européens n’a pas réussi à se libérer du joug de l’occupation étatsunienne. Bien que l’Union soviétique n’existe plus, ils continuent d’obéir servilement à Washington, qui se sert de l’OTAN pour mettre toujours plus de territoires sous son contrôle (…)

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    #géopolitique
    #Russie
    #Sergeï_Glaziev, conseiller de Vladimir Poutine
    #États-Unis veulent #déclencher une #guerre chaotique dans toute l’ #Europe
    #Europe

  • Quand Alliot-Marie ose faire la leçon à Fabius !
    http://www.marianne.net/Quand-Alliot-Marie-ose-faire-la-lecon-a-Fabius-_a240589.html

    MAM ne manque pas de culot. Interrogée ce matin sur France Inter, l’ex-ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sakozy a affirmé sans sourciller que « ces derniers temps », la « diplomatie française » avait « toujours un temps de retard ». « Ces derniers temps » ? Il est vrai que lors de son (bref) passage au quai d’Orsay, Michèle Alliot-Marie a offert au monde le visage d’une véritable visionnaire de la géopolitique...

    http://www.marianne.net/photo/art/default/984565-1167277.jpg?v=1407751147

    « On a toujours un temps de retard dans la diplomatie française ces derniers temps ». La sentence (à écouter à 2’45’’ ci-dessous) , sortie sans vergogne de la bouche de l’ancienne ministre des affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, est savoureuse quand on sait combien l’ancienne locataire du quai d’Orsay avait elle-même été à la pointe des révolutions arabes.

    Invitée de la matinale de France Inter aujourd’hui, MAM commente, par téléphone, l’action de l’actuel chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, qu’elle accuse d’agir en « agita[teur] médiatique » après un voyage « éclair » effectué en Irak, où le ministre s’est rendu ce week-end afin de superviser l’aide alimentaire apportée par la France. ........

    >>>

    au moment où s’immole par le feu le modeste vendeur de fruits et légumes Mohamed Bouazizi, au moment même où les poches de contestation se multiplient et bouleversent le pays, Michèle Alliot-Marie fait tranquillement affaire, en compagnie de ses parents et d’un certain Aziz Miled

    <<<

    #géopolitique
    #ben_ali
    #fabius
    #irak
    #mam
    #tunisie

  • Geography and global order - The Hindu

    http://www.thehindu.com/books/books-reviews/geography-and-global-order/article6164049.ece

    A thesis that explains how the Cold War, origins of the UN and decolonisation were mutually implicated processes

    Mapping the End of Empire by U.S. State Department historian Aiyaz Husain embodies a project that the author himself describes as ‘ambitious’. Aiming to offer a fresh perspective on the end of European colonialism and the attendant rebuilding of the global order at the end of World War II is ambitious indeed. And Husain’s core insight — that policy-framing and diplomacy in London and Washington were shaped as much by material factors as by the mental geographies of the East nurtured by strategists and academics — is so original as to run the risk of appearing eccentric. That hazard is avoided, though, as Husain adequately convinces the reader of the tenability of his thesis that in the post-war period ‘perceptions of geography’ came to shape Anglo-American foreign policy agendas, especially on the question of refugee settlement, drove organisational changes, and ultimately ‘congealed into international bodies like the U.N. Security Council’.

    #recension #géopolitique #cartographie #histoire_contemporaine

  • Série d’émissions #radio autour du #mur sur France culture

    Le mur (1/5) : De chaque côté du #mur

    Premier moment d’une série d’émissions conçue autour du mur. Avec #Jane_Sautière, éducatrice de #prison et écrivaine, nous évoquerons le quotidien d’une vie qui s’organise de chaque côté des murs de la prison, une expérience dont elle rendait compte en 2003 dans Fragmentation d’un lieu commun aux éditions Verticales.

    http://www.franceculture.fr/emission-pas-la-peine-de-crier-le-mur-15-de-chaque-cote-du-mur-2014-06

    Le mur (2/5) : Ce sont NOS murs !

    Deuxième temps d’une semaine que nous consacrons aux murs. Aujourd’hui, avec le graphiste Pierre Di Sciullo, nous évoquons l’#affichage_public légal et illégal. Quelle est la place de l’#image sur les murs de nos villes où semble dominer les messages publicitaires ? Quels sont les possibilités d’y résister ? En plus de quelques interventions remarquables dans l’espace public, #Pierre_di_Sciullo est le créateur de la revue Qui ? résiste.

    http://www.franceculture.fr/emission-pas-la-peine-de-crier-le-mur-25-ce-sont-nos-murs-2014-06-24

    Le mur (3/5) : #Géopolitique du mur

    Troisième moment d’une semaine entièrement construite autour des murs. Notre invité, #Stéphane_Rosière est géographe, professeur d’Université et directeur de la revue de géographie politique en ligne L’Espace Politique. Nous analysons avec lui la #fermeture contemporaine des territoires et le renforcement des #barrières déjà existantes à travers le monde. Nous nous demanderons à quelles demandes répondent ces « nouvelles frontières » dans les relations internationales mais aussi à l’échelle urbaine.

    http://www.franceculture.fr/emission-pas-la-peine-de-crier-le-mur-35-geopolitique-du-mur-2014-06-2

    Le mur (4/5) : Le mur est une surface sensible

    Quatrième moment d’une semaine qui regarde les murs. Aujourd’hui, avec le réalisateur #Antoine_Page, nous parlons du travail de #Zoo_Project, nom d’artiste de #Bilal_Berreni, disparu tragiquement à l’été 2013. Il avait commencé par peindre de grandes figures hybrides en blanc sur les murs de Paris, avant de franchir d’autres murs et d’amener ses dessins sur les escaliers d’Odessa ou dans les rues de Tunis. Le film « C’est assez bien d’être fou » narre le voyage entrepris par l’artiste et le réalisateur en 2012

    http://www.franceculture.fr/emission-pas-la-peine-de-crier-le-mur-45-le-mur-est-une-surface-sensib

    Le mur (5/5) : Carte blanche musicale à Alexone

    Cinquième et ultime étape d’une émission consacrée aux murs. Nous confions notre carte blanche musicale au peintre, illustrateur, graphiste et amateur de graffitis #Alexone.

    http://www.franceculture.fr/emission-pas-la-peine-de-crier-le-mur-55-carte-blanche-musicale-a-alex

    #frontière #barrière_frontalière

  • Is the New BRICS Bank a Challenge to US Global Financial Power? | TRNN 2014-07-18

    Michael Hudson and Leo Panitch discuss and debate the significance of the new international development bank created by Brazil, Russia, India, China and South Africa

    https://www.youtube.com/watch?v=6tNOekslUYg

    La trace écrite chez http://therealnews.com/t2/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=74&jumival=12123

    [...]

    JAY: Okay. So, Michael, if I understand, your main argument is—in some ways it’s not that different, in some respects, from what Leo was saying. You’re not saying they’re getting off the whole capitalist bandwagon. What you’re saying they’re doing is buying themselves a little more room in terms of their foreign policy.

    HUDSON: There is a very broad range over what they can do. And if you look at what is the most likely of common denominator, it’s exactly what Leo said. The common denominator is it’s their capitalists against the U.S. capitalists, it’s their saying, what can we do to be free of the U.S. banks and Wall Street and the City of London and the financial extractive loans. At least the neoliberal plans today have gone beyond trying to finance infrastructure development. The financial system in the West is almost entirely extractive now, not productive. The capitalist class in the countries that Leo’s mentioned want at least some bank to do some productive loans that they can benefit from, rather than having the U.S. come in and grab everything for itself like a privatization on behalf of the U.S. You see this kind of fight going on in Greece right now, where the eurozone said, Greece as to privatize its natural resources to pay the debt. Half the privatization last year was to be the sale of its gas rights.

    [...]

    PANITCH: So, I’m sorry, I don’t see the world in terms of competition amongst the capitalist classes of the world in the sense you’re speaking of. I think there is a very deep integration on the part of the leading capitalists in these countries, including the domestic ones, into globalization. I think that’s true of Vale in Brazil.

    JAY: That’s the world’s largest iron ore company.

    PANITCH: That’s the world’s largest iron ore company, which, sure, is competing with other iron ore companies. But it doesn’t see itself as aligned against the American bourgeoisie or the American capitalist class. This is not right.
    And moreover, I think that these capitalist classes very much want access to the deep financial markets of London and New York. They don’t want to leave them; they want to be part of them. They want access to them. Indeed, they’ve been floating bond us in those markets—dangerously, in terms of volatility. So I think—and it has to be said the reason they do so is that their financial markets, their bond markets, even the European bond market relative to the London/New York access, remain extremely weak, extremely vulnerable. So it’s also a matter of where the deep institutional strength of capitalism is.
    I would make one other point. I don’t think that finance, even Wall Street and London—the City of London finance is merely parasitic. I think it facilitates, it underwrites, it’s very important in terms of hedging for all of the integrated production that goes on between China and the United States, between South Africa and Europe. This plays a functional role for all these value chains. Of course there’s loads of speculation in this, but it means that industry is linked up with this speculation. These aren’t separated compartments. And you can’t unscramble them.

    HUDSON: I see that I’m emphasizing the geopolitical much more than you of nobody’s talking about Brazil and other countries not interacting with the London and New York money markets. What they don’t want to do is to have the U.S. government and U.S. banks act as a threat, a threat against their countries. And of course they’re trying to keep their—have other options apart from being tied into the U.S. as a system of control. They want to break free of U.S. control, basically, and European control is a satellite of the United States.

    PANITCH: Yeah. But since politics and economics aren’t so easily separated, their continuing interest and increased interest in being linked economically and financially means that the American state, given its superintending role of Wall Street and the City of London, will continue to have power vis-à-vis them. They would like to, as we’ve agreed, they’d like to have more room for maneuver in the face of that enormous power of the American Empire, but they are not interested in breaking from it.

    [...]

    BRICS: Progressive Rhetoric, Neoliberal Practice | TRNN 2014-07-14
    Patrick Bond: All the governments behind the New Development Bank practice intense neoliberalism

    https://www.youtube.com/watch?v=ut5qPigtWIw

    La trace écrite chez http://therealnews.com/t2/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=74&jumival=12129

    [...]

    JAY: Okay. So let’s say that they are as neoliberal as they come. But at the geopolitical level—like, for example, let’s take the leadup to the war in Iraq. Now, France is not part of BRICS, but France, for its own reasons, its own interests, stood up to the United States at the UN Security Council in quite an interesting way. So did some of the other countries. I mean, China, I think, actually could’ve been, certainly, bolder than they were, but they couldn’t get—the Americans couldn’t get the votes they wanted to give a clear-cut authorization of the Iraq War. It didn’t stop them from doing it illegally anyway, but it was an important moment. And with an institution like this new bank, and perhaps even building on that—for example, right now there’s the sanctions against Russia over the Ukraine. There’s a story in The New York Times today that it’s not going to have that much effect. One of the major Russian oil companies was targeted for sanctions, and one of the sanctions was going to make it more difficult for it to get capital in the Western capital markets. And now, apparently, they’re just going to borrow the money from the Chinese, and so the sanction’s not going to affect it as much. So I guess my question is is that within this context of global and neoliberal capitalism, getting to a more multipolar world, getting to a point where some of these other bigger powers can push back against the United States, which clearly is the biggest military operation on the planet and is the one that keeps starting major war after major war, is this—whatever room they can create for themselves, isn’t this a good thing?

    BOND: Well, it could be if the modus operandi operates in a way that reduces U.S. power systematically. But as we’ve seen, when there are inter-imperial rivalries, that can often lead to a much more dangerous outcome. For example, the way to handle the kinds of pressures that the U.S. puts on other countries—the coalition of the willing, certainly, in the UN Security Council in 2003, the U.S. was unable to get authorization, because the Chinese and Russians and French wouldn’t support—they would veto the approval. But, you know, in May they then approved that the U.S. could run Iraq, having invaded it.
    What was interesting this week on that front was that the UN Security Council reforms that are being proposed for many years to widen up the permanent members with a veto to move from five to ten by adding three BRICS—South Africa, Brazil, and India, as well as Germany and Japan—those ideas, which you’d have thought perhaps China and Russia would have supported to get more of their allies on board in the Security Council, they didn’t. It was quite a revealing memorandum that was released at the end of the BRICS summit in which the BRICS only said that it would be an increased role for the these other three smaller countries, as opposed to China and Russia.

    JAY: So this inter-imperialist rivalry is even amongst the BRICS countries. And we even saw this with a big fight between China and India about where the bank was going to be—this new bank was going to be based.

    BOND: Well, indeed. There was a lot of face-saving. And I can just imagine these finance ministers, reserve bank governors, and all of their bureaucrats fighting over the fine details. They eloquently and geometrically resolved that by setting up all kinds of mechanisms to appear that each of the five countries got a little piece. For example, in South Africa, Johannesburg will have a branch plant of the BRICS bank, and that will allow South Africa to help control the funding flows in and out of Africa, which is South Africa’s so-called gateway role that they’ve desired, and that would be very much an example of South imperialism insofar as the hinterlands of the BRICS countries are under the thumb of the regional hegemons, South Africa in Africa probably wanting now to have a more regularized extraction system of the valuable member minerals and petroleum from this continent.
    However, I think you’re right that we will probably see the kind of tensions in a logic of expansionism, territorial ambitions of a Russia and China. Well, Russia now, of course, moving to the West to try to capture some of the ground lost when the USSR fell apart, China moving aggressively even into Vietnamese territorial waters to grab islands, of course the conflict with Taiwan and Japan, these are moments where I think there’s a fair bit of danger, and not just in the symbolic sense of territorial expansionism, but actually in potential alliances, that the BRICS will become an inter-imperial force with a more aggressive approach to capital accumulation. And that’s where these two logics come together.

    [...]

    #BRICS

    #Chine
    #Russie #Russland
    #Indes #India
    #Brésil #Brasil
    #Afrique_du_Sud #South_Africa #Südafrika

    #néolibéralisme
    #capitalisme #Kapitalismus
    #géopolitique

    #USA #États-unis
    #Europe

    #Worldbank #Banque_mondiale #Weltbank

  • Gilles Ardinat, L’obsession de la compétitivité - Parole d’auteur éco - xerficanal-economie.com
    http://www.xerficanal-economie.com/emission/Gilles-Ardinat-L-obsession-de-la-competitivite_1738.html

    La compétitivité c’est d’abord la capacité d’une entreprise à faire face à la concurrence, c’est-à-dire à maintenir et à accroitre ses parts de marché face à la concurrence des autres entreprises. La compétitivité, c’est un concept de la gestion d’entreprise, mais sous les effets de la mondialisation, la notion de compétitivité a pénétré le champ du discours économique. Ainsi, sont considérés comme compétitifs les pays qui gagnent des parts de marché dans la concurrence mondiale. Cette intrusion du terme « compétitivité » dans l’économie a pris une telle place que l’on parle désormais d’économie compétitive, de pactes, de pôles, de chocs de compétitivité et que se multiplient les palmarès de la compétitivité des pays dans le monde. Pourtant, ce transfert d’un concept du micro au macroéconomique jusqu’à l’économie mondiale suscite bien des controverses à la fois théoriques et politiques........

    #économie
    #économie_mondiale
    #géopolitique
    #géostratégie