• résumé : les #singes font moins de bruit que les #humains durant le coït, et deux chercheurs anglais se sont demandés pourquoi. Dans cette étude de 2011, ils ont d’abord déterminé que les bruits fait par la femme ne coïncidaient pas avec son orgasme à elle, mais plutôt avec celui de son partenaire masculin. Ils en ont déduit que c’était une conséquence de l’évolution : alors que les singes multiplient les partenaires, l’humain a tendance a privilégier la #monogamie, et a donc du développer des stratégies pour garder son partenaire unique. Les bruits féminin au moment de l’orgasme de son partenaire serait donc une façon de le flatter pour le retenir !

    • Autre recherche scientifique :

      Quatre vingt quinze pour cent - #George_Brassens
      https://www.youtube.com/watch?v=61klageOn-4

      La femme qui possède tout en elle
      Pour donner le goût des fêtes charnelles,
      La femme qui suscite en nous tant de passion brutale,
      La femme est avant tout sentimentale.
      Main dans la main les longues promenades,
      Les fleurs, les billets doux, les sérénades,
      Les crimes, les foli’s que pour ses beaux yeux l’on commet
      La transportent, mais...

      Refrain :
      Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
      La femme s’emmerde en baisant.
      Qu’elle le taise ou le confesse
      C’est pas tous les jours qu’on lui déride les fesses.
      Les pauvres bougres convaincus
      Du contraire sont des cocus.
      A l’heure de l’oeuvre de chair
      Elle est souvent triste, peuchèr’ !
      S’il n’entend le coeur qui bat,
      Le corps non plus ne bronche pas.

      Sauf quand elle aime un homme avec tendresse,
      Toujours sensible alors à ses caresses,
      Toujours bien disposé’, toujours encline à s’émouvoir,
      Ell’ s’emmerd’ sans s’en apercevoir.
      Ou quand elle a des besoins tyranniques,
      Qu’elle souffre de nymphomani’ chronique,
      C’est ell’ qui fait alors passer à ses adorateurs
      De fichus quarts d’heure.

      Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
      La femme s’emmerde en baisant.
      Qu’elle le taise ou le confesse
      C’est pas tous les jours qu’on lui déride les fesses.
      Les pauvres bougres convaincus
      Du contraire sont des cocus.
      A l’heure de l’oeuvre de chair
      Elle est souvent triste, peuchèr’ !
      S’il n’entend le coeur qui bat,
      Le corps non plus ne bronche pas.

      Les « encore », les « c’est bon », les « continue »
      Qu’ell’ cri’ pour simuler qu’ell’ monte aux nues,
      C’est pure charité, les soupirs des anges ne sont
      En général que de pieux menson(ges).
      C’est à seule fin que son partenaire
      Se croie un amant extraordinaire,
      Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
      Ne soit pas déçu.

      Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
      La femme s’emmerde en baisant.
      Qu’elle le taise ou le confesse
      C’est pas tous les jours qu’on lui déride les fesses.
      Les pauvres bougres convaincus
      Du contraire sont des cocus.
      A l’heure de l’oeuvre de chair
      Elle est souvent triste, peuchèr’ !
      S’il n’entend le coeur qui bat,
      Le corps non plus ne bronche pas.

      J’entends aller bon train les commentaires
      De ceux qui font des châteaux à Cythère :
      « C’est parce que tu n’es qu’un malhabile, un maladroit,
      Qu’elle conserve toujours son sang-froid. »
      Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
      De ces petits m’as-tu-vu-quand-je-baise,
      Mesdam’s, en vous laissant manger le plaisir sur le dos,
      Chantez in petto...

      Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
      La femme s’emmerde en baisant.
      Qu’elle le taise ou le confesse
      C’est pas tous les jours qu’on lui déride les fesses.
      Les pauvres bougres convaincus
      Du contraire sont des cocus.
      A l’heure de l’oeuvre de chair
      Elle est souvent triste, peuchèr’ !
      S’il n’entend le coeur qui bat,
      Le corps non plus ne bronche pas.

      #Musique