#gerd_conrad

  • Le « documentaire de création » peut-il encore être militant ? | Le Blog documentaire
    http://leblogdocumentaire.fr/le-documentaire-de-creation-peut-il-encore-etre-militant

    Ces liens que nous tissons avec les personnes-personnages sont étranges. Nous les vivons réellement, en même temps qu’ils sont imaginaires, asymétriques. On ne sait pas bien sous quelle forme ils peuvent se prolonger une fois les projections terminées et les tentes repliées. Ces liens ne nous enrichissent pas seulement de manière confortable, comme peuvent le faire certaines fictions rassurantes. Ils nous forcent à nous déplacer, à nous décentrer, à interroger nos manières de voir et d’agir. Le sentiment du monde qu’ils suscitent en nous n’est pas seulement jouissance esthétique, c’est autant le sens politique d’une responsabilité individuelle et collective, présente voire pressante, qui interroge : que faire ? Réfléchir à ce sentiment, c’est plus généralement poser la question du lien entre le cinéma de non-fiction et l’action politique aujourd’hui. Je voudrais proposer ici de brefs éléments de réflexion à partir de mon expérience des États généraux 2015, et en particulier de la projection du film de Jean-Gabriel Périot, Une jeunesse allemande, qui, me semble-t-il, peut servir de prisme pour observer le rapport problématique du documentaire de création à son héritage militant.

    • Gerd Conrad - Farbtest Rote Fahne

      http://www.zeitgeschichte-online.de/film/wie-entsteht-terrorismus

      Den spektakulären Kern der Quellen-Collage bilden zweifelsohne die Kurzfilme aus Meins‘ Zeit an der Deutschen Film- und Fernsehakademie, darunter allerlei Agitprop, der im Kontext der Enteignet-Springer-Kampagne entstand. Einer der Filme zeigt Gudrun Ensslin, wie sie gekochte Eier in sich hineinstopft, während in einer animierten Szene Ausgaben von „Die Welt“ unter der Tür hindurch in die Wohnung kriechen. Andere Ausschnitte zeigen Horst Mahler und Rudi Dutschke bei der taktischen Vorbesprechung der Demo zum berühmten „Vietnam-Kongress“ im Februar 1968. Zu sehen sind Ausschnitte aus zeitgenössischen Kino- und Fernsehfilmen wie Peter Zadeks „Ich bin ein Elefant, Madame“[6] und „Bambule“[7] von Ulrike Meinhof. Hinzu kommen Talkshow-Ausschnitte, in denen Meinhof oft die Hauptrolle spielt, sowie Einspielungen aus westdeutschen und französischen Nachrichtensendungen. Manche Sequenzen sind mit zeitgenössischer Musik unterlegt, vor allem von „Ton Steine Scherben“.

      https://de.wikipedia.org/wiki/Gerd_Conradt

      #Berlin #Friedenau #Hauptstraße #1968 #Ulrike_Meinhof #Gerd_Conrad