🗓️ Le FGI France 2022 se déroulera le 5 décembre prochain en ligne et à Paris !
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Yvan Rioufol : La crise sanitaire dissimule t’elle un scandale ?
▻https://www.youtube.com/watch?v=yIRnA_v42vg
#santé #covid-19 #santé_publique #information #désinformation #gouvernement #pharma #big_pharma #bénéfices #L'argent , le #fric #l'artiche , le #flouz le #jonc #la #fraiche #coronavirus #santé #pandémie #confinement #sante #covid #sars-cov-2
Darmanin, BFMTV... : « Stop à la propagande mensongère ! »
▻https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/darmanin-bfmtv-stop-a-la-propagande-mensongere-txa_iKm8TOipSmNNMqL69w
Le week-end dernier a eu lieu la mobilisation contre les méga-bassines à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres en Poitou-Charentes. Les soulèvements de la terre, bassines non merci, confédération paysanne, CGT, ATTAC, Sud solidaires, 150 associations, des…
La France, une république bananière ? RATP : pourquoi la nomination de Castex est un scandale
▻https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/la-france-une-republique-bananiere-ratp-pourquoi-la-nomination-de-castex-e
Après avoir été premier ministre lors du premier quinquennat de notre président puis à la tête de l’AFITF (l’agence de financement des infrastructures de transport de France), Jean Castex est désormais a prit la direction de notre cher métro parisien, en…
Elon Musk, Bill Gates... « Il faut imaginer des moyens de contrôler la propension de milliardaires à se substituer aux Etats »
▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/10/29/il-faut-imaginer-des-moyens-de-controler-la-propension-de-milliardaires-a-se
Grâce à leur puissance financière, Elon Musk et Bill Gates multiplient les initiatives sur les plans géopolitique, sanitaire, climatique, affaiblissant par là même les démocraties et les organisations internationales, explique dans sa chronique Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».
Vont-ils lâcher le boss ? Ces macronistes qui s’y voient déjà
▻https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/vont-ils-lacher-le-boss-ces-macronistes-qui-sy-voient-deja-ePLugbmvQICpG8Y
Mercredi soir dans l’émission “L’évènement” sur France 2, Emmanuel #Macron a voulu rassurer, montrer qu’il avait anticipé, que c’était toujours lui le pilote. Il semble plutôt naviguer à vue et semble gagné par une certaine fébrilité #Politique. Il faut…
Avec #Macron, l’hôpital en phase terminale : le rapport qui accuse
▻https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/avec-macron-lhopital-en-phase-terminale-le-rapport-qui-accuse-flRsEl4gQQ2Y
Souvenons-nous. C’était le 12 mars 2020, et Emmanuel Macron s’adressait de manière très solennelle aux Français. “Ce que révèle cette pandémie, c’est que la santé gratuite sans condition de revenus, de parcours ou de profession, notre État-providence ne…
La libre circulation du virus | Théo Bourgeron
▻https://cabrioles.substack.com/p/la-libre-circulation-du-virus-theo
Pendant la pandémie de Covid-19, des similitudes sont apparues entre les politiques des gouvernements conservateurs du Royaume-Uni, des États-Unis et du Brésil, respectivement menés par Boris Johnson, Donald Trump et Jair Bolsonaro. Plutôt que d’imposer un confinement précoce, ces gouvernements ont tous minimisé l’impact de la pandémie sur la population et cherché à éviter à tout prix l’arrêt des activités économiques dans leur pays. En se concentrant sur le cas du Royaume-Uni, cet article analyse les origines de cette approche de la pandémie en élaborant une explication matérialiste de l’émergence de cette réponse, montrant comment elle résulte de conflits entre les acteurs capitalistes du Royaume-Uni. Il contribue au débat actuel sur le Covid-19 de deux manières. Premièrement, contrairement aux travaux récents qui étudient les conséquences du Covid-19 sur les institutions politiques et les activités économiques (par exemple, Boyer, 2020 ; De Perthuis, 2020 ; Latour, 2020 ; Tooze, 2020), il adopte la démarche inhabituelle d’utiliser la structure changeante de la classe capitaliste du Royaume-Uni pour expliquer la réponse du gouvernement britannique au Covid-19. Deuxièmement, il adopte une explication matérialiste de cette réponse. Des travaux récents ont décrit les réponses laxistes face au Covid-19 comme des politiques « ignorantes » résultant du rejet populiste de la science (Gonsalves, 2020 ; Stiglitz, 2020 ; Zarocostas, 2020). Ces travaux comprennent la réaction britannique par la réticence des décideur·euses politiques conservateur·ices à suivre les experts et les scientifiques. Ils suggèrent que le gouvernement britannique a pris des décisions à courte vue en raison de son "populisme"1, bien que ces décisions aillent à l’encontre de la science et soient dangereuses pour la santé d’une grande partie de la population (Gugushvili et al., 2020). Cette approche ignore les intérêts en jeu derrière les décisions de santé publique ainsi que les facteurs qui lient les intérêts économiques et les intellectuel·les (par exemple, les expert·es et les scientifiques) auxquels les gouvernements font appel pour élaborer leurs décisions. A contrario, cet article s’appuie sur la théorie matérialiste des régimes d’accumulation politique pour replacer la réponse gouvernementale britannique au Covid-19 au sein des luttes de classe.
Interprétant la réponse britannique au Covid-19 à travers ce cadre, je donne un bref aperçu des stratégies de laissez-faire développées par le Royaume-Uni depuis le début de la crise jusqu’à la fin mars 2020 (section 1). Puis, en étudiant leurs origines idéologiques, je montre comment ces stratégies ont résulté d’un changement de ligne du parti conservateur britannique en faveur d’une stratégie de santé publique radicalement individualiste (section 2). Je soutiens que cela révèle la reconfiguration des institutions politiques du Royaume-Uni autour d’un nouveau régime d’accumulation libertarien-autoritaire qui est en contradiction avec le précédent régime d’accumulation néolibéral (section 3). Enfin, je relie ce changement à l’émergence d’une nouvelle classe de capitalistes favorables aux catastrophes au sein de la communauté des affaires du Royaume-Uni et à leur influence croissante sur les institutions britanniques (section 4).
il y a quelque chose qui cloche là dedans :
Contrairement à la stratégie de « suppression » suivie par les pays asiatiques et certains pays européens comme l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne et la France (Titheradge et Kirkland, 2020), le gouvernement britannique est parti du principe que l’épidémie ne pouvait être arrêtée.
outre le fait que néolibéralisme et autoritarisme ne peuvent être disjoints ou opposés, pensons au Chili de 1973, ou à la notion de la « dédémocratisation » dans Les habits neufs de la politique mondiale : Néolibéralisme et néo-conservatisme , Wendy Brown, 2009, 2017 pour la trad hexagonale.
Crise #Politique en France : pourquoi la majorité se fissure
▻https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/crise-politique-en-france-pourquoi-la-majorite-se-fissure-XI_liLMRSOu0GWCZ
Semaine sociale et politique chargée, rythmée par la guerre de communication que le pouvoir mène contre la grève dans les raffineries. Mais l’enjeu est hautement politique, car ces grèves concentrent une grande partie des sujets les plus brûlants du…
Chine. Le retour des #vendeurs_de_rue à Shanghai
Pendant des années, ils ont été considérés comme une #tumeur_urbaine par les autorités chinoises. Mais les commerçants ambulants font aujourd’hui leur grand retour à Shanghai, locomotive économique de l’empire du Milieu.
« L’#économie_de_rue serait-elle de retour ? » s’enthousiasme le média shanghaïen en ligne Pengpai (The Paper). Le 22 septembre, le Comité permanent de l’Assemblée municipale du peuple de Shanghai a approuvé une révision du « Règlement sur la gestion de l’hygiène environnementale de Shanghai ».
De ce fait, à partir du mois de décembre, les vendeurs de rue pourront légalement installer des étals dans les #marchés_de_nuit. Une nouvelle qui réjouit Pengpai :
« L’économie de rue n’est pas seulement un reflet de la tolérance de la ville, c’est aussi un élément important de l’#écosystème_économique. »
« Par le passé, il était interdit à Shanghai d’installer des stands ambulants et des commerces dans l’#espace_public, comme les #trottoirs », rappelle le quotidien de la jeunesse chinoise Zhongguo Qingnian Bao, qui ne cache pas sa joie face aux « changements dans le concept de #gouvernance_urbaine ».
Jadis, dans le développement urbain chinois, le commerce de rue a été constamment qualifié d’obstruction au #paysage_urbain, d’entrave à la #circulation_routière, etc. « Il a été presque considéré comme synonyme de ’#sale, #désordonné' », déplore le journal, ajoutant :
« L’absence d’échoppes en bord de route était vue comme un #symbole de l’indice d’une #ville_civilisée. »
Le Zhongguo Qingnian Bao mentionne les avantages des « #échoppes_de_rue ». « Cette activité économique urbaine marginale » a évidemment ses atouts, surtout dans le contexte économique actuel.
Création d’#emplois
« Il s’agit d’un moyen pragmatique de stimuler la #consommation et de préserver l’#animation d’une ville », argumente le quotidien, en ajoutant que, « nécessitant un faible investissement, il contribue à créer des d’emplois ».
La création d’emplois est devenue urgente dans la deuxième puissance mondiale. En août dernier, le Bureau national chinois des statistiques a annoncé un taux de chômage record de 19,9 % chez les jeunes de 16 à 24 ans.
Le média hongkongais en ligne HK01 parle également d’une « bonne décision » prise à Shanghai, montrant que les autorités de cette métropole « ont compris que la #gestion_urbaine et l’économie des #colporteurs peuvent coexister, et que les deux ne s’excluent pas mutuellement ».
HK01 regrette qu’autrefois de nombreuses villes chinoises aient à tout prix voulu donner un aspect propre et ordonné à leur cité. Cela provoquait de fréquentes confrontations entre les chengguan (sorte de police municipale) et les #marchands_ambulants, causant « de nombreux incidents regrettables et affligeants ».
Ainsi, en mai 2009, Xia Junfeng, jeune vendeur d’aliments de rue à Shenyang, dans le Liaoning, a tué deux chengguan dans une bagarre. Xia a été exécuté quatre ans plus tard.
Interrogé par le média américain Radio Free Asia, l’économiste Si Ling estime que ce changement de politique de la ville de Shanghai est dû à la vague de faillites d’entreprises à la suite de l’épidémie. D’après lui, « le gouvernement de Shanghai a dû faire face au grand nombre de commerçants et d’ouvriers ayant besoin de travail en autorisant l’#économie_de_rue ».
Le chroniqueur Fang Yuan impute également cette souplesse du pouvoir vis-à-vis du commerce de rue à « la morosité des conditions macroéconomiques ». Il estime que « cette forme d’économie est la forme la plus basse de l’économie », qui ne peut toutefois pas être une solution de long terme face à la situation économique actuelle.
▻https://www.courrierinternational.com/article/chine-le-retour-des-vendeurs-de-rue-a-shanghai
#informalité #ville_informelle #économie_informelle #Chine #Shanghai #urban_matters #commerce #villes #cohabitation #propreté #ordre
#TRUST #master_TRUST
What were the historical reasons for the resistance to recognizing #airborne transmission during the #COVID‐19 pandemic? - Jimenez - 2022 - Indoor Air - Wiley Online Library
▻https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/ina.13070
The question of whether SARS-CoV-2 is mainly transmitted by droplets or aerosols has been highly controversial. We sought to explain this controversy through a historical analysis of transmission research in other diseases. For most of human history, the dominant paradigm was that many diseases were carried by the air, often over long distances and in a phantasmagorical way. This miasmatic paradigm was challenged in the mid to late 19th century with the rise of germ theory, and as diseases such as cholera, puerperal fever, and malaria were found to actually transmit in other ways. Motivated by his views on the importance of contact/droplet infection, and the resistance he encountered from the remaining influence of miasma theory, prominent public health official Charles Chapin in 1910 helped initiate a successful paradigm shift, deeming airborne transmission most unlikely. This new paradigm became dominant. However, the lack of understanding of aerosols led to systematic errors in the interpretation of research evidence on transmission pathways. For the next five decades, airborne transmission was considered of negligible or minor importance for all major respiratory diseases, until a demonstration of airborne transmission of tuberculosis (which had been mistakenly thought to be transmitted by droplets) in 1962. The contact/droplet paradigm remained dominant, and only a few diseases were widely accepted as airborne before COVID-19: those that were clearly transmitted to people not in the same room. The acceleration of interdisciplinary research inspired by the COVID-19 pandemic has shown that airborne transmission is a major mode of transmission for this disease, and is likely to be significant for many respiratory infectious diseases.
Covid-19 : derrière le retard à reconnaître la transmission par l’air, le poids de l’histoire de la médecine
▻https://www.liberation.fr/societe/sante/covid-19-derriere-le-retard-a-reconnaitre-la-transmission-par-lair-le-poids-de-lhistoire-de-la-medecine-20220903_FEWQARSVDVFJLJWLJO3BYGSKNM/?redirected=1
Le 28 mars 2020, L’#OMS tweete « fait : le Covid-19 n’est pas aéroporté », propageant ainsi elle-même une grave #désinformation en matière de santé.
En réaction à cette fausse affirmation, une petite équipe se forme autour de Lidia Morawska, spécialiste des aérosols à la Queensland University of Technology, et décroche un entretien – en vidéoconférence – avec les responsables de l’OMS. Aux côtés de l’universitaire sont notamment présents une physicienne américaine, Linsey Marr, ou encore l’ingénieur chimiste espagnol José Jimenez. « Nous n’étions ni médecins, ni très connus, nous n’avons pas été entendus », confie ce dernier à Libération.
Le ton monte même pendant la réunion racontée par le magazine américain Wired. « Ils nous criaient “quelles sont vos preuves ?” J’ai été surpris par leur hostilité. Ils semblaient tellement convaincus de ce qu’ils disaient », se souvient José Jimenez.
« Ils ne maîtrisaient pas les bases physiques »
La doxa officielle qui leur est opposée pose que toute gouttelette d’une taille supérieure à cinq micromètres va tomber au sol dans un rayon d’un à deux mètres de distance. Elle ne reste pas en suspension dans l’air. Ces gouttelettes seraient la principale source d’infection. Dès lors, les consignes pour limiter la transmission du Covid seront de s’espacer physiquement, et de se laver les mains fréquemment. Rien sur l’importance de la #ventilation, donc, essentielle pour lutter contre l’#aérosolisation, c’est-à-dire le maintien en suspension de l’air de particules infectieuses.
« Leurs arguments me semblaient vraiment légers. Ils ne maîtrisaient pas les bases physiques de ce dont ils parlaient. Si ce qu’ils disent était vrai, nous verrions tous les jours les nuages tomber rapidement au sol. Or, ce n’est pas le cas », raconte, encore aujourd’hui médusé, José Jimenez.
Dès lors, la petite équipe va essayer de comprendre d’où vient cette taille limite de 5 microns qui leur a été opposée, et comment expliquer cette réticence à admettre un nouveau mode de transmission des maladies. Une véritable plongée historique dans la compréhension des épidémies. C’est le sujet de leur dernier article « Quelles étaient les raisons historiques de la résistance à reconnaître la transmission aérienne pendant la pandémie de Covid-19 ? »
L’aérosolisation, de dogme à superstition
De l’Antiquité au XIXe siècle, les maladies sont réputées se transmettre par l’air. C’est la théorie des miasmes, qui amènera les scientifiques à nommer le paludisme « malaria » une contraction de l’Italien pour « mauvais air ». Au XIXe siècle, plusieurs médecins mettent à mal ce dogme. Il s’agit de John Snow, qui démontre que l’épidémie de choléra à Londres en 1854 se transmet par l’eau contaminée. Ou encore de Ignaz Semmelweis, qui remarque, à Vienne en 1847, que les femmes ont moins de risques de mourir en couches si l’équipe soignante se lave les mains avant de les accoucher. Tous deux ont en commun de ne pas avoir été écoutés. « Comme nous, ils étaient des outsiders. Ils n’avaient pas beaucoup de #pouvoir », explique José Jimenez.
Ils se heurtent aussi à des élites qui ont du mal à remettre en cause leurs pratiques et à reconnaître leurs torts. « Admettre que Semmelweis avait raison, c’était, pour les médecins, reconnaître qu’ils causaient du tort à leurs patientes. De même, reconnaître publiquement l’importance des aérosols, c’était, pour l’OMS, admettre son erreur initiale. On ne saura jamais quel contrôle sur l’épidémie on aurait pu avoir si on avait tout de suite considéré le bon mode de transmission, mais je suis persuadé que nous aurions moins de morts », peste encore José Jimenez.
L’ingénieur William F. Wells a démontré, chez le lapin, que la tuberculose ne se transmettait que si la bactérie était contenue dans des particules de moins de… 5 microns.
Il faudra encore Pasteur et l’avènement de la théorie microbienne pour que l’idée d’une transmission des maladies par contacts directs avec un malade – ou un animal comme le moustique dans le cas de la malaria – s’impose. En 1910, un épidémiologiste américain, Charles V. Chapin, ira jusqu’à dire que la transmission par aérosol est impossible et relève de la superstition.
Littérature scientifique mal digérée
Une position excessive qui ne va pas aider William F. Wells, un ingénieur d’Harvard, à faire connaître ses travaux sur la tuberculose au milieu du XXe siècle. L’histoire a été reconstituée par Katie Randall, membre de la petite équipe de chercheurs, et racontée dans un article d’octobre 2021. Wells a démontré la transmission aéroportée de la maladie en exposant des cochons d’inde à l’air prélevé dans la chambre d’un patient. Il a également démontré, chez le lapin cette fois, que la tuberculose ne se transmettait que si la bactérie était contenue dans des particules de moins de… 5 microns. Tiens, tiens.
Après guerre, Alexander Langmuir, le premier directeur du département d’épidémiologie au Centre de contrôle des maladies américain, a contribué à populariser ces travaux. Il a aussi écrit un rapport sur le risque de création d’une arme biologique. Selon lui, le plus dangereux serait la création d’un pathogène pouvant être pulvérisé en aérosol de moins de 5 microns, là encore.
Selon Katie Randall, il ne faut pas chercher plus loin. La fameuse limite entre les aérosols et les gouttelettes viendrait de cette littérature scientifique mal digérée. « Ce que nous espérons démontrer dans cet essai, c’est que bien que les idées sur la taille des gouttelettes et la plage de propagation soient apparemment bien acceptées, leur fondement est confus et trompeur, et n’est pas cohérent avec la physique », écrit-elle en conclusion de son article. Ironie de l’histoire, Wells lui-même avait un émis une taille limite pour l’aérosolisation. Il l’avait fixée à moins de 100 microns… soit 20 fois plus que les 5 micromètres finalement avancés par l’OMS. Il faut croire que cette partie de ces travaux n’a été ni lue, ni retenue.
Mea culpa partiel
L’OMS a fini par recommander l’#aération pour lutter contre le Covid-19. Mais les plus ardents défenseurs des « gouttelettes » conservent un schéma de pensée faussé. #Didier_Pittet, par exemple. Il est l’inventeur du gel hydroalcoolique et il a joué un rôle central dans l’approche française face au Covid-19 puisqu’il était président de la mission d’évaluation indépendante de l’exécutif sur la gestion de la pandémie. Interrogé en mai 2021 sur France Inter pour savoir s’il avait changé d’avis sur l’aérosolisation, il fait une réponse confuse : « Personne n’a vraiment changé d’avis en fait. On s’est mis d’accord davantage sur qu’est-ce qu’on appelle un aérosol, […] jusqu’où une gouttelette peut-elle être contagieuse, je pense qu’il n’y a pas eu changement de dogme, parce que si on avait eu un changement de dogme on aurait dû tout d’abord tous changer de #masque parce que les masques qu’on porte aujourd’hui ne sont absolument pas capables de retenir les aérosols. »
La fin de sa réponse est importante et illustre une dernière raison derrière la réticence à parler d’aérosolisation. Il est beaucoup plus compliqué, et cher, de lutter contre une maladie qui se transmet par l’air que contre une maladie qui se transmet par contact. D’ailleurs la France n’a pas encore mis en place la moindre mesure d’ampleur sur le sujet.
Mise à jour 4/09 à 9h43 : inversion de « par l’air » et « par contact » dans le dernier paragraphe.
Macron envisage l’ancien lobbyiste de Murdoch comme son prochain spin doctor – News 24
▻https://generationsnouvelles.net/macron-envisage-lancien-lobbyiste-de-murdoch-comme-son-prochai
PARIS – Le président français Emmanuel Macron envisage l’ancien lobbyiste de News Corporation Frédéric Michel comme son nouveau conseiller en communication, ont déclaré des sources proches du dossier au Playbook Paris de POLITICO.
Macron cherche à occuper le poste crucial depuis des mois, après le départ plus tôt cette année de Clément Léonarduzzi – un stratège de haut niveau et conseiller en communication du président français.
Expert en affaires publiques autrefois proche de l’ancien ministre français des Finances Dominique Strauss-Kahn et du parti de centre-gauche New Labour britannique, Michel est surtout connu pour son travail en tant que lobbyiste de premier plan pour Rupert Murdoch’s News Corp au Royaume-Uni. Michel y a fait la une des journaux en 2012. lors de l’enquête Leveson, qui s’est penchée sur l’éthique et les pratiques de la presse britannique à la suite du scandale de piratage téléphonique de Murdoch’s News International.
Michel a occupé le poste chez News Corp lors de l’offre de la société sur le géant de la télévision par satellite British Sky Broadcasting.
L’enquête Leveson a publié un rapport de 163 pages révélant de nombreuses communications entre Michel et le bureau du secrétaire britannique à la culture de l’époque, Jeremy Hunt. La nature confortable de leurs échanges privés a déclenché une tempête politique majeure, étant donné que Hunt était à l’époque censé être un arbitre neutre dans la décision de renvoyer ou non l’accord controversé à l’autorité britannique de la concurrence. Le conseiller politique de Hunt a été contraint de démissionner, bien que Hunt lui-même se soit accroché à son travail.
Le ressortissant français travaille actuellement chez Lupa Systems, une société d’investissement privée fondée par James Murdoch, le fils de Rupert Murdoch. Lupa Systems a investi dans la société de médias française Brut. Michel est également membre du conseil d’administration de l’hebdomadaire français Les Inrocks.
S’il est confirmé, Michel devra être autorisé par l’autorité administrative française chargée de scruter les éventuels conflits d’intérêts.
Si Michel décroche le poste de prochain conseiller en communication de l’Elysée, il aura la délicate mission de gérer les relations de Macron avec la presse, parfois tumultueuses.
POLITICO a contacté Michel et l’Elysée, qui n’ont fait aucun commentaire.
« Il y a 10 ans le lobbyiste Frédéric Michel était entendu devant une commission judiciaire à Londres sur le lobbying de News Corp pour racheter un bouquet de télévision qui mettait en cause un ministre dans une enquête sur les pratiques des médias. »
▻https://www.lefigaro.fr/international/2012/05/24/01003-20120524ARTFIG00780-frederic-michel-le-francais-qui-seme-le-trouble-c
C’est fait : le communicant et lobbyiste Frédéric Michel, qui a travaillé pour Tony Blair et James Murdoch, sera le prochain « conseiller communication et stratégie » de l’Elysée. La HATVP a donné son feu vert.
▻https://www.latribune.fr/economie/france/l-elysee-embauche-un-spin-doctor-a-l-americaine-929164.html
C’est un nom à retenir : Frédéric Michel. Ce Français âgé de 50 ans, qui a passé toute sa carrière hors de France comme expert en relations publiques, notamment en Grande-Bretagne et aux États-Unis, va être nommé « conseiller spécial communication et stratégie » de l’Elysée dans les prochains jours.
« Le choix est fait depuis au moins deux semaines », assure un proche d’Emmanuel Macron.
Selon nos informations, la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), vient de donner son feu vert à une telle embauche. Dès hier, la newsletter Politico présentait Frédéric Michel comme un CV « en bonne place sur le bureau du chef de l’État » pour remplacer le communicant Clément Léonarduzzi, conseiller à l’Elysée jusqu’en mai dernier. Frédéric Michel semble donc avoir négocié avec le président de la République un poste à sa hauteur, car il ne sera pas cantonné au champ de la communication, et reprendra de fait le rôle de « boîte à idées » qu’avait Ismaël Emelien au début de l’aventure Macron.
Parcours multiple
Car le parcours de cet expert est multiple, et son expérience, conséquente. Après avoir grandi à Poitiers et fait de brillantes études (Sciences Po Bordeaux, institut universitaire européen de Florence, et London School of Economics), il fait ses premiers pas dans la politique par l’entremise d’Edith Cresson, une amie de la famille, et entre au service de Dominique Strauss-Kahn au milieu des années 1990, avant de tomber dans le grand bain de la vie politique britannique en se mettant au service de Tony Blair et de son New Labour. À l’époque, il va notamment contribuer au projet de la « troisième voie » européenne en confondant le thinktank Policy Network (dont il deviendra le directeur), organisme qui sera rejoint par Peter Mendelson, futur commissaire européen au commerce.
Le rapprochement entre Tony Blair et Rupert Murdoch propulse sa carrière
Mais la carrière de Frédéric Michel va surtout se trouver propulsée dans les années qui suivent par le rapprochement de Tony Blair avec Rupert Murdoch, le magnat des médias australiens qui dispose de nombreux journaux en Grande Bretagne, et qui lancera quelques années plus tard FoxNews aux États Unis et deviendra le propriétaire du Wall Street Journal. En 2003, il devient partenaire associé de la société de consultance Reputation Inc., puis en 2009 intègre l’équipe de Murdoch dans son groupe News Corp. C’est peu de temps après que son nom se retrouve au coeur du scandale BSkyB, le bouquet satellitaire que Murdoch souhaitait racheter entièrement en lançant une grande campagne de lobbying auprès du gouvernement de David Cameron.
Cela n’empêche pas le petit frenchy, qui dispose également d’un passeport britannique, de continuer les années suivantes à se rapprocher de James Murdoch, le fils du magnat australien, qu’il va conseiller sur tout un tas de dossiers internationaux. Et comme s’en inspire la série télévisée Succession, le « jeune » James va peu à peu prendre ses distances avec son père qui soutiendra activement Donald Trump dans son aventure présidentielle. En rupture politique avec son père, James Murdoch se rapproche alors des Démocrates, allant jusqu’à financer Joe Biden et différentes causes pour promouvoir le climat. C’est dans cette perspective qu’il décide en 2021 de financer le nouveau média Brut, co cofondé par le producteur Renaud Le Van Kim. Une opération réalisée avec l’aide de… Frédéric Michel.
Plusieurs relais
Conseiller stratégie, communicant, lobbyiste, Frédéric Michel est donc un poids lourd de l’influence. Et c’est peu après l’opération Brut pour James Murdoch, qu’il va de nouveau s’intéresser à la vie politique française dès la fin 2021, à quelques mois de la présidentielle. Il travaille alors avec le banquier d’affaires Mathieu Pigasse et devient administrateur des Inrocks. C’est en fait par l’intermédiaire de Renaud Le Van Kim qu’il finit par se rapprocher de la macronie, alors qu’il connaît aussi d’autres figures du monde des affaires parisien comme Xavier Niel, Bernard Arnault, ou Denis Olivennes (administrateur de CMI, la filiale médias de Kretinsky, et DG de Libération), qui ont chacun à leurs manière leurs entrées avec le Château. Certes, Michel n’a guère pratiqué ces dernières années les journalistes politiques parisiens, mais il dispose déjà de sérieux relais au coeur même de l’industrie des médias en France.
Plutôt rompu à l’exercice des médias anglo-américains, Frédéric Michel sait manier la communication de crise, comme un vrai « spin doctor ». À l’heure où les tensions se multiplient dans le monde entier, son arrivée à l’Elysée doit permettre à Emmanuel Macron de rétablir son image à l’international alors qu’il affronte de multiples dossiers (guerre en Ukraine, crise de l’énergie et du climat, relations avec les États-Unis à quelques mois des élections midterm avec l’affrontement entre Biden et Trump…), et qu’il fait l’objet ces derniers mois de toute l’attention des médias (Que l’on pense à l’affaire des « Uberleaks » début juillet dans le Guardian, ou plus récemment du Washington Post sur les coulisses diplomatiques de la guerre en Ukraine, ou le magazine Rolling Stone qui a consacré un article au président français qui a fait le buzz outre Atlantique).
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’Emmanuel Macron se tourne vers des historiques de l’équipe de Tony Blair. Durant sa campagne présidentielle de 2017, Alastair Campbell, le célèbre spin doctor de l’ancien Premier ministre britannique, lui avait fourni plusieurs notes d’analyses stratégiques et politiques. La séduction Macron sur Campbell avait pourtant été de courte durée. Ce dernier ne fait plus partie des fans du président français à l’international.
▻https://twitter.com/marcendeweld/status/1566103030193348610
Le pire du lol est à venir. Pour le pays, ce président est une catastrophe, son communicant sera une respiration clownesque dans le mensonge.
Frédéric Michel, un homme d’influence à l’Elysée
▻https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/09/06/frederic-michel-un-homme-d-influence-a-l-elysee_6140412_823448.html
Frédéric Michel ne perd pas totalement de vue la politique française et conserve un lien qu’il décrit comme « affectif » avec le Parti socialiste. Il participe à la publication de l’ouvrage de Lionel Jospin, Ma vision de l’Europe et de la mondialisation (Plon, 2001), collabore un temps avec Dominique Strauss-Kahn avant que celui-ci ne soit rattrapé par les scandales sur sa vie privée et se passionne, en tant que Poitevin, pour la campagne de Ségolène Royal lors des régionales de 2004. Mais sa vision d’une gauche plus européenne et internationale, plus moderne, pragmatique et libérale, le rapproche aujourd’hui idéologiquement du chef de l’Etat.
Décrit par Gilles Finchelstein, directeur de la Fondation Jean Jaurès, comme « un lobbyiste mais aussi un homme d’idées », Frédéric Michel pourrait « raviver l’esprit de disruption » du chef de l’Etat qui s’est émoussé au fil des années, pense l’intellectuel. Habitué des réflexions sur le renouveau de la politique, sur la construction de réformes en s’appuyant sur les meilleures pratiques internationales, réfléchissant aux problématiques liées à l’environnement ou aux infox, le communicant peut apporter un nouveau souffle au chef de l’Etat, que ses contempteurs décrivent en mal d’inspiration.
et c’est là tout de suite. pour l’instant seules les collectivités territoriales à qui il a été promis deux rdv annuels avec le pestilentiel pour qu’elles puissent faire la mendicité pour essayer de faire face à des dépenses en hausse veulent bien aller aux rdv de la dernière invention de Macron, le Conseil national de la refondation
Explosion des prix de l’électricité : « On a caché des vérités aux Français »
▻https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/explosion-des-prix-de-lelectricite-on-a-cache-des-verites-aux-francais-m-X
Nouvelle édition de l’instant Porcher ! Nous sommes ravis de vous retrouver. Et c’est parti, chaque semaine, on va avoir des choses à dire, décrypter et comprendre avec tous ces discours qui gravitent autour de nous où parfois l’on peut s’y perdre. Notre…
#Écologie #Économie #Énergie #Géopolitique #Gouvernement #Macron #Politique
Macron et Borne : à quelle sauce ils veulent nous manger ?
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Nouvel épisode de notre rendez-vous d’actualité hebdomadaire estival, “Le fond de l’info”. Épisode co-animé par Nadiya Lazzouni, Thomas Dietrich et Théophile Kouamouo.
Barkhane : comment et pourquoi la France a été chassée du Mali
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9 ans après avoir posé le pied au Mali, les soldats français l’ont quitté par la petite porte, chassés par une junte malienne qui s’est désormais alliée avec les Russes. Le 15 août 2022, le dernier militaire français a déserté la base de Gao et a franchi…
#Afrique #Françafrique #Géopolitique #Gouvernement #International
Variole du singe : le #Gouvernement aux abonnés absents
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Le jeudi 25 août 2022, l’association AIDES et huit autres associations vont se réunir avec les autorités de santé. Les associations attendent une déclaration claire des objectifs du gouvernement sur la gestion de la campagne de vaccination contre la…
Guerre, inflation... Pourquoi #Macron fait peur aux Français
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Nouvelle édition du “Fond de l’info”, avec Nadiya Lazzouni, Thomas Dietrich et Théophile Kouamouo.
#Macron minoritaire : comment il compte s’en sortir à la rentrée
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C’est le 9ème rendez-vous du fond de l’info. Aujourd’hui encore, on balaye l’actu avec nos journalistes Lisa François, Théophile Kouamouo et Lisa Lap. Nous sommes le 16 août, dans la période la plus creuse de l’été. Certes, l’actualité ne s’arrête pas,…
#Afrique #Assemblée_nationale #Extrême_droite #Françafrique #Gauches #Gouvernement #International #politique
Des policiers formés en 15 jours : l’inquiétante trouvaille de la Macronie
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“Tous les secteurs de l’économie sont concernés par l’ubérisation : la logistique, le transport, la mobilité, l’avocature, la médecine, les services, le commerce, etc. Pas un secteur n’est épargné par cette lame de fond, mis à part les industries lourdes.…
Uberfiles, McKinseyGate... Plus rien ne nous choque, et c’est très grave
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L’été c’est aussi le moment de faire le bilan de la saison médiatique qui s’est achevée le mois dernier. Quand on y pense, il y a eu pas mal de scandales ces derniers mois. Les Uberfiles. Le McKinseyGate. Le Rothschildgate. Etc. Etc. Et c’est peut-être ça…
Et s’il voulait remplacer #Macron ? Darmanin sur les pas de Sarkozy
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C’est le 8ème épisode du « Fond de l’info », notre rendez-vous d’actualité de l’été. Nadiya Lazzouni, Théophile Kouamouo et Thomas Dietrich commentent ensemble l’actualité #Politique de la semaine écoulée. Ils parlent notamment d’un personnage qui occupe…
#Macron et ses dictateurs bien aimés
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C’est déjà le 7ème numéro du fond de l’info. Nos journalistes Nadiya Lazzouni, Théophile Kouamouo et Thomas Dietrich décryptent l’actualité politique de la semaine passée. Au sommaire de l’édition, l’intégration du RN à la commission de la défense de…
#Assemblée_nationale #Extrême_droite #Gouvernement #International #Relations_internationales
Le FGI France se déroulera en ligne et à Paris le lundi 5 décembre 2022.
Inscriptions ouvertes sur ►https://www.igf-france.fr
Le FGI France se déroulera en ligne et à Paris le lundi 5 novembre 2022.
Inscriptions ouvertes sur ►https://www.igf-france.fr
Superprofits, retraites... C’est officiel, la Macronie se moque de nous
▻https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/superprofits-retraites-cest-officiel-la-macronie-se-moque-de-nous-s1eEsBVO
Nouvel épisode du module “L’actu démasquée”, présenté par Théophile Kouamouo.
Super augmentation de salaires
C’est le rêve de millions de travailleurs : une augmentation de salaire automatique, qui compense entièrement l’inflation.
Et c’est à Bruxelles que cela se passe.
Quelque 60.000 employés de l’UE recevront une augmentation de salaire d’environ 8,5 % d’ici la fin de l’année, ce qui atténuera totalement la gigantesque inflation."
Source : Bild
#ue #union_européenne #inflation #salaires