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  • @ant1
    ant1 @ant1 CC BY-NC 5/02/2021
    2
    @colporteur
    @solitudemaisdishuits
    2

    Nantes Révoltée - #INTERVIEW : L’ART DE PEINDRE LES #BANQUES
    ►https://www.nantes-revoltee.com/interview-lart-de-peindre-les-banques
    #art #rue #peinture #vandal #graff #seday #tag #pollock #harcor
    " Parle moi de ton parcours.

    – Je viens du graff. Du vandal pur et dur. J’ai pendant longtemps tagué des métros, des trains, de la street, avec différents pseudos. Un jour, je me suis rendu compte que ça n’était pas l’ego trip qui m’importait mais le cri de révolte. J’ai toujours aimé l’art de Jackson Pollok, la gestuelle, le corps, les trips, et les cris. Mon parcours est un cri de couleur. C’est mon langage contestataire.

    – Parle-moi de la première banque que tu as « attaquée »

    – C’était un Crédit lyonnais. Au début, je ne cassais que des banques Crédit lyonnais. Avec un tag qui disait : « Give me my money back. » C’était il y a environ douze ans, lorsque le Crédit lyonnais était à deux doigts de faire faillite. Le gouvernement avait alors obligé chaque citoyen inscrit à la banque à payer 250 euros – c’était directement prélevé de notre compte pour « sauver la banque », prétendu pilier de notre économie. Est-ce que, maintenant qu’ils font à nouveau des milliards de bénéfices, ils nous ont rendu nos 250 euros ? Non, bien sûr. Ils ont juste changé de nom. Ils s’appellent désormais le LCL. Je sais bien que l’on n’arrêtera pas le capitalisme en cassant des banques – il s’agit d’un symbole.

    – Depuis, il me semble que tu t’es diversifié. Tu attaques d’autres enseignes que le LCL

    –En effet. Aujourd’hui, je m’attaque à toutes les banques, avec une petite préférence pour la Société Générale, surtout depuis la fuite des Panama Papers.

    – Depuis les manifestations des Gilets Jaunes, on a vu de nombreux casseurs de banques agir. Dirais-tu que chaque casseur a un style particulier ?

    – Oui, il y en a que l’on reconnaît tout de suite. Quand je vois tel ou tel slogan, je sais direct qui est l’auteur. C’est un peu comme dans le graffiti, chacun a sa patte. Il y a aussi celui qui peint toutes « ses » banques systématiquement en jaune. Pour moi, c’est comme du Land Art, en version hardcore. Sinon, je crois en effet avoir influencé des plus jeunes avec des bank paintings, pourvu que le mouvement continue à prendre de l’ampleur … »"

    ant1 @ant1 CC BY-NC
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  • @val_k
    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 14/01/2021

    #Graff'n #Nantes : "Respecte les meufs
    ▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/50835520821

    Flickr

    ValK. a posté une photo :

    Nantes, le 11 janvier 2021.
    . #photo : ValK.
    Série [écrits et chuchotements] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/albums/72157649342411763
    | autres photos : frama.link/valk
    | infos / audios : frama.link/karacole
    | oripeaux : frama.link/kolavalk
    | me soutenir : liberapay.com/ValK

    https://live.staticflickr.com/65535/50835520821_662bfaac57_b.jpg

    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @rezo
    Rezo @rezo via RSS 14/12/2020
    9
    @rastapopoulos
    @touti
    @cy_altern
    @marielle
    @7h36
    @vanderling
    @colporteur
    @die_brucke
    @gastlag
    9

    « Marianne pleure » : la gigantesque fresque d’Obey à Paris détournée
    ▻https://www.franceinter.fr/politique/marianne-pleure-la-gigantesque-fresque-d-obey-a-paris-detournee

    Rezo @rezo via RSS
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 14/12/2020

      ►https://hiya.fr/2020/12/14/inedit-un-crew-anonyme-fait-pleurer-la-plus-grande-marianne-de-france-mariannep

      https://hiya.fr/wp-content/uploads/2020/12/IMG_3532.jpeg

      Fait à la suite de l’appel :
      ▻https://mvtconcorde.fr

      #détournement #graffiti #graff #politique #Marianne #Obey #violences_policières #Mouvement_Concorde #art

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @touti
      touti @touti 14/12/2020
      @ramses

      @ramses

      touti @touti
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 15/12/2020

      #MARIANNEPLEURE - L’ÉQUIPE DE GRAFFEURS REVIENT SUR SA PERFORMANCE AVEC UNE VIDÉO (...) (ET LE TEXTE INTÉGRAL DE LEUR REVENDICATION) !
      ►https://hiya.fr/2020/12/15/exclusif-lequipe-de-graffeurs-revient-sur-sa-performance-avec-une-video-spectac

      Après leur opération remarquée et maintenant adoubés par Shepard Fairey himself, les graffeurs ont partagé aujourd’hui une #vidéo. Elle mêle images de leur action et d’actualité, sur une bande son entêtante accompagnée de la lecture d’extraits de leur texte de revendication. Nous partageons aussi ce manifeste, reproduit tel que nous l’avons reçu (...)

      #manifeste #graph #extincteur

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 15/12/2020

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=W5Tp-poy8ss

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @fil
      Fil @fil 16/12/2020

      Shepard Fairey a.k.a OBEY : « Je suis aux côtés de tous ceux qui protestent contre l’injustice »
      ►https://hiya.fr/2020/12/15/breaking-news-shepard-fairey-aka-obey-giant-je-suis-aux-cotes-de-tous-ceux-qui-

      [l’artiste] soutient la démarche de ses cadets venus actualiser sa création ! « Je suis aux côtés de tou.te.s celles et ceux qui protestent contre l’injustice, si c’est ce que cette action voulait être, je la comprends », écrit-il en ouverture de son message.

      Fil @fil
    • @touti
      touti @touti 16/12/2020

      Ah tiens, ce n’est pas signalé sur la page WP de Shepard Fairey …

      touti @touti
    • @touti
      touti @touti 16/12/2020

      Dans le bureau du Monarc

      https://i.imgur.com/yg0lXAn.jpg

      touti @touti
    • @jacotte
      Jacotte @jacotte 16/12/2020
      @touti

      Je fais le lien avec cette chanson « je cherche un mur pour pleurer » de Anne Sylvestre, que j’ai découverte grace @touti
      ►https://www.youtube.com/watch?v=0wwB-qCEtXI

      Jacotte @jacotte
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  • @sinehebdo
    Dror@sinehebdo @sinehebdo 3/12/2020
    1
    @reka
    1
    @clemencel @reka @albertocampiphoto

    #Clémence_Lehec a passé plusieurs mois en #Palestine pour étudier les #graffitis dans un camp de réfugiés dans le cadre de son doctorat : Une géographie expérimentale de l’art aux frontières. Filmer les graffitis aux frontières du camp de réfugiés palestiniens de Dheisheh
    ▻https://doctorat.univ-grenoble-alpes.fr/fr/actualites/actus-doctorat/clemence-lehec-laureate-du-prix-de-these-academique-202

    La thèse sera disponible ici, mais pas avant l’été prochain.... :
    ▻https://archive-ouverte.unige.ch/unige:124307

    Ce travail vient d’être publié sous le titre Sur les murs de Palestine, préface de Philippe Rekacewicz, photos de Alberto Campi
    ▻https://livre.fnac.com/a15062165/Clemence-Lehec-Sur-les-murs-de-Palestine

    https://static.fnac-static.com/multimedia/Images/FR/NR/54/bc/c0/12631124/1540-1/tsp20201015074650/Sur-les-murs-de-Palestine.jpg

    Ce livre s’accompagne d’un #documentaire coréalisé avec une cinéaste palestinienne, #Tamara_Abu_Laban, intitulé Les murs de Dheisheh (36 mn).
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=oRycAsOIeUE

    On en parlait déjà là :
    ▻https://seenthis.net/messages/834122

    @clemencel @reka @albertocampiphoto

    Dror@sinehebdo @sinehebdo
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 3/12/2020

      Merci Dror !

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/12/2020
      @sinehebdo

      @sinehebdo si tu veux lire sa thèse, je pense qu’il y a moyen de...
      (en attendant un billet qui sera publié, j’espère prochainement, sur visionscarto...)

      CDB_77 @cdb_77
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 5/12/2020

      REPRÉSENTER LE BORDER ART ET LE MUR DE SÉPARATION ISRAÉLO-PALESTINIEN
      Clémence Lehec et Laurent Davin
      Revue n° 25 du Comité Français de Cartographie (2015)
      ▻https://www.lecfc.fr/new/articles/225-article-5.pdf

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 3/11/2020

    Grems, l’interview « 10 Bons Sons » - Le Bon Son
    ▻http://lebonson.org/2020/11/02/grems-linterview-10-bons-sons

    http://lebonson.org/wp-content/uploads/2020/10/Grems-1-768x520.jpeg

    Un rétrospective sérieuse de Grems.

    En perpétuelle mue, Miki Grems a été (et continue d’être) un pionnier à de nombreux égards, que ce soit dans sa technique d’écriture, sa recherche et ses expérimentations en termes de sonorités, ou sa façon de combiner les deux disciplines du hip-hop qu’il exerce depuis ses débuts, le rap et le graffiti. Le revers de la médaille, c’est que les médias, par facilité ou par ignorance, ont vite fait de le cataloguer dans les « inclassables ». Pour ne rien faciliter, Grems a eu divers collectifs, et possède une discographie longue comme le bras, constituée de vingt-cinq projets, et débutée en 2001. Avec lui, nous sommes revenus sur les grandes étapes de son parcours au cours d’un entretien dense, réalisé en deux temps, entre juillet et octobre, près de Biarritz, son port d’attache depuis déjà quelques années. Les interviews de Grems sont rares, merci à lui pour la confiance.

    #musique #rap #rap_français #Grems #hip-hop #graff #interview

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @ant1
    ant1 @ant1 CC BY-NC 17/09/2020
    2
    @simplicissimus
    @rastapopoulos
    2

    À #Paris, #Amazon embauche des gros-bras méchants pour protéger une #publicité illégale | StreetPress
    ▻https://www.streetpress.com/sujet/1600089407-paris-amazon-embauche-des-gros-bras-mechants-proteger-public

    Amazon a illégalement recouvert un #mur réservé aux artistes d’une #pub géante. Pour protéger l’affichage sauvage, la World Company a même embauché des gros bras. La #maire du Xe arrondissement de Paris souhaite porter plainte.

    « Ce sont des méthodes de voyous incroyables. » Au téléphone, la maire socialiste du Xe arrondissement de Paris, Alexandra Cordebard, est en rogne. La première semaine de septembre, le mur d’expression libre de la pointe Poulmarch – à côté du très fréquenté Canal Saint-Martin – a été recouvert par une grande fresque à la gloire d’Amazon Prime Video, le service de streaming vidéo de la firme américaine. Une publicité illégale sur une façade normalement dévolue aux #graffeurs.

    Selon plusieurs témoignages, cette #fresque a été gardée pendant plusieurs jours par des vigiles. Ces derniers ont à plusieurs reprises empêché, en se montrant menaçants, que l’affiche soit retirée.

    Un rapport de force
    Alors que l’affichage sauvage est présent depuis quelques jours, la rumeur enfle dans le milieu du graff : des gros bras font le pied de grue devant le mur. Avec une trentaine d’amis graffeurs, Manoush se rend sur place le 9 septembre. La jeune femme s’approche de l’affiche et commence à la déchirer. « Et là, trois gars me sont tombés dessus, c’est parti en embrouilles », raconte-t-elle. Les vigiles sont agressifs :

    « Ils étaient vraiment chauds pour la baston, ils disaient qu’il fallait leur “passer sur le corps”. »

    Entre les graffeurs et la petite équipe, l’altercation dure plus d’une heure. « À la fin, on a négocié avec eux pour qu’ils laissent l’affiche un jour de moins, ils ont appelé leurs supérieurs », se souvient Manoush. Même s’ils n’admettent pas qu’ils roulent pour Amazon, les #vigiles ne cachent pas qu’ils ne sont pas là par philanthropie. « L’un d’eux nous a expliqué que si l’affiche n’était pas laissée, ils n’étaient pas payés », se souvient la #graffeuse Manoush. Quelques minutes après qu’elle ait déchiré une partie de l’affiche, les gorilles passent un coup de fil. Juste après, une camionnette arrive avec des rouleaux plein le coffre :

    ant1 @ant1 CC BY-NC
    • @ant1
      ant1 @ant1 CC BY-NC 17/09/2020

      oups merci

      ant1 @ant1 CC BY-NC
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  • @val_k
    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 7/06/2020

    Quoi ?
    ▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49980452627

    Flickr

    ValK. a posté une photo :

    #graff #graffiti #tag #écrit

    https://live.staticflickr.com/65535/49980452627_d0184414e1_b.jpg

    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 3/06/2020
    2
    @antonin1
    @reka
    2
    @reka @karine4 @cede @isskein

    Confederate Monuments Are Now Coming Down All Over the South

    Over the last twelve hours, three statues associated with the Confederacy have been removed as protesters continue to demonstrate against police brutality and racial inequality.

    https://img.thedailybeast.com/image/upload/c_crop,d_placeholder_euli9k,h_1687,w_3000,x_0,y_178/dpr_1.5/c_limit,w_1044/fl_lossy,q_auto/v1591120710/GettyImages-835228936_gqusr1#.jpg

    As residents in more than 40 cities have taken to the streets over the last week to engage in both peaceful and destructive protests over the police killing of George Floyd, some have turned their focus on one particular historical wound: Confederate monuments.

    Monday evening, in three Southern states—Florida, Alabama, and Virginia—protesters toppled graffiti-covered statues celebrating the former Confederate government that fought to uphold the institution of slavery, as crowds cheered.

    “With the recent death of many of those across this nation, we say enough is enough. We are done dying, and we’re done being reminded,” William Barnes, president of the Birmingham Urban League, said in a statement calling for an Alabama monument’s removal. “We’re done being reminded of the atrocities against African Americans.”

    https://i.imgur.com/E1IWKdS.png

    ▻https://twitter.com/DrewWilderTV/status/1267797698222096389?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

    On Monday night, a statue of Confederate General Robert E. Lee was toppled from its pedestal in front of his namesake high school in Montgomery, Alabama. As the figure fell, a small crowd cheered and honked before briefly singing: “Hey, he-ey, goodbye.”

    The Montgomery Police Department said multiple people had been arrested in the incident, which occurred on a state holiday commemorating President of the Confederate States Jefferson Davis, but declined to provide any additional details. The Monday holiday is one of three in Alabama that celebrate the Confederacy.

    “The statue was damaged and there are suspects in custody. Charges are pending,” Montgomery Police Captain Saba Coleman said.

    In Birmingham, demonstrators attempted to take down a Confederate Soldiers and Sailors monument on Sunday evening—a 115-year-old statue that has been at the center of a legal fight between the city and the state attorney general’s office.

    “It used to be a sore. It’s cancer. It’s eating away at the community,” Jefferson County Commissioner Sheila Tyson said Monday during a press conference demanding its removal, adding that it represented hundreds of years of torment. “We cannot grow, we cannot expand with this monster wings over us, choking us, and it’s got to leave.”

    While protesters were unsuccessful in toppling the 52-foot-tall statue, some residents tore down the monument of Charles Linn, one of Birmingham’s founders and a former Confederate Navy officer, that was also in the park. Two other statues on either side of the Confederate memorial—the Spirit of the American Doughboy and the memorial to Spanish American War Veterans—were also defaced with graffiti.

    At around 9 p.m. on Monday, Birmingham Mayor Randall Woodfin stepped in to finish the job protesters started, vowing to remove the Confederate Soldiers and Sailors monument that has stood in Linn Park since 1905.

    “In order to prevent more civil unrest, it is very imperative that we remove this statue,” Woodfin told the Birmingham News. As of Monday evening, demolition crews had already started to dismantle the monument.

    In Florida, a bust of Lee that sat on a pedestal in downtown Fort Myers was removed at the request of Sons of Confederate Veterans, according to the Orlando Sentinel. On Monday evening, protesters were seen surrounding the pedestal—that did not include the bust of the Civil War general—during a protest for Floyd.

    The United Daughters of the Confederacy also took preemptive measures in Alexandria, Virginia, on Tuesday morning, removing the Appomattox statue that has stood in the middle of Old Town since 1889. The bronze statue, which commemorated Confederate soldiers from the area, has been relocated to an undisclosed location amid the ongoing protests and the statue’s pillar will also be removed to avoid any damage.

    “Alexandria, like all great cities, is constantly changing and evolving,” Alexandria Mayor Justin Wilson said on Twitter Tuesday.

    Wilson later told Washingtonian magazine the city has been in discussions with the United Daughters of the Confederacy for some time about removing the statue, but decided to accelerate the process on Monday evening to “ensure there was no drama about it. We did not want to see a repeat of Charlottesville or anything else.”

    The United Daughters of the Confederacy did not immediately return The Daily Beast’s request for comment.

    The push toward eradicating old tributes to the Confederacy has sped up over the last week in several other states. In Richmond, a Robert E. Lee memorial was covered in graffiti Saturday night—as was a Stonewall Jackson statue. Several miles away, the headquarters of the United Daughters of the Confederacy was similarly vandalized with the phrases “police are creepy” and fuck racists” before it was set on fire, according to the Richmond Times-Dispatch.

    The Confederate Defenders statue in Charleston, South Carolina, was also spray painted, the Post and Courier reported. And in North Carolina, a crowd set fire to the Market House in Fayetteville. The National Historic Landmark constructed in 1832 was used as a town hall and a slave market.

    https://i.imgur.com/eDT0Cri.png

    ▻https://twitter.com/DavisABC11/status/1266890829060345862?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

    The protests raging across the nation all center around George Floyd, who died May 25 after Minneapolis police officer Derek Chauvin pressed his knee to the 46-year-old’s neck for more than eight minutes.

    While the county autopsy reports that Floyd died of cardiac arrest and had underlying health issues, an independent report commissioned by his family states that the 46-year-old was in good health and died of strangulation from pressure to his back and neck.

    After a national outcry, the four officers involved in the incident were fired and Chauvin was charged with third-degree murder and second-degree manslaughter. Protesters are now demanding the other three officers be charged for what some are calling a “legalized lynching.”

    ▻https://www.thedailybeast.com/confederate-monuments-are-coming-down-all-over-the-south-as-george-fl

    #monuments #mémoire #colonialisme #colonisation #USA #Etats-Unis #statue #BlackLivesMatter #black_lives_matter #histoire #confédération #destruction #résistance #George_Floyd #Floride #Alabama #Virginia #Robert_Lee #Jefferson_Davis #Charles_Linn #Birmingham #Montgomery #Spirit_of_the_American_Doughboy #Spanish_American_War_Veterans #Confederate_Soldiers_and_Sailors_monument #Linn_Park #Fort_Myers #Appomattox_statue #Richmond #Stonewall_Jackson #graffiti #Confederate_Defenders_statue #toponymie #toponymie_politique #Charleston #Fayetteville #National_Historic_Landmark

    ping @reka @karine4 @cede @isskein

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 4/06/2020
      @antonin1

      All the Monuments to Racism That Have Been Torched, Occupied, or Removed

      https://www.motherjones.com/wp-content/uploads/2020/06/AP_20153578898452_CROPPED.jpg?resize=990,556#.jpg

      For all the handwringing over the “senseless” property destruction that has accompanied the past week of protest, a number of the damaged sites have a perfectly sensible connection to the protesters’ chief grievance: anti-Black racism. Throughout the South, protesters have burned buildings and toppled statues that have stood for years as overt reminders of the country’s history of chattel slavery, racial apartheid, and the war fought to uphold it.

      Most of these Confederate monuments were built not immediately after the Civil War but in the Jim Crow South of the early 20th century, as a part of white Southerners’ cult of the “Lost Cause.” In this relitigation of history, Confederate soldiers were not landed gentry fighting to maintain their right to own other human beings (which they were). Instead they were posited as noble rebels, fighting outmatched against a tyrannical government for a right to “maintain their way of life.” The plaques and obelisks and statues that dotted cities around the South in memory of this myth were designed as points of nostalgic pride for white Southerners and ominous reminders of systemic racial terror for Black Southerners.

      We’ve debated for years about whether these symbols of the Rebel South should continue to exist, but now, perhaps emboldened by the historic moment, people around the country have taken matters into their own hands. Here’s a running list of what’s been hit so far.
      The Daughters of the Confederacy building (Richmond, Virginia)

      The United Daughters of the Confederacy was founded in 1894, dedicated to “the purpose of honoring the memory of its Confederate ancestors” and “protecting, preserving and marking the places made historic by Confederate valor.” In practice, this has meant serving as the standard-bearers of Lost Cause ideology, constructing and defending over 450 Confederate monuments across the South. The Richmond headquarters of the organization was set on fire during protests early Sunday. It was later put out by firefighters.

      ▻https://twitter.com/studentactivism/status/1266954018364035073?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      It appears, however, that some Stonewall Jackson memorabilia inside the building was destroyed before firefighters could get to it. How sad.

      ▻https://twitter.com/chick_in_kiev/status/1267314560886808581?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      Statues along Monument Avenue (Richmond, Virginia)

      Richmond’s Monument Avenue, built explicitly to honor Confederate soldiers at the turn of the 20th century, has frequently been a flashpoint in the nationwide debate about the removal of Confederate symbols. Over the weekend, the statues of Confederate idols Robert E. Lee, Stonewall Jackson, Jefferson Davis, and others were tagged with such phrases as “No More White Supremacy” and “Blood on Your Hands.” In demonstrations Monday, protesters attempted to pull some statues down, according to police. They were met with tear gas.

      ▻https://twitter.com/Brooks182/status/1267111022126661635?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      ▻https://twitter.com/NBC12/status/1267609171270275072?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      Appomattox Confederate Statue (Alexandria, Virginia)

      The government of Alexandria had been planning to move this statue of a southern-facing Confederate soldier for some time now. But apparently the good ol’ gals of the Daughters of the Confederacy who own the statue decided to speed things along and preemptively had it removed on Tuesday.

      ▻https://twitter.com/justindotnet/status/1267768674527727616?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      Confederate Defenders Monument (Charleston, South Carolina)

      Built in 1932, this statue was paid for by—you guessed it—the Daughters of the Confederacy, to honor “the Confederate Defenders of Charleston.” Engraved around the base are the words “Count Them Happy Who for Their Faith and Their Courage Endured a Great Fight.” On Sunday protesters crossed out the word “courage” with spray paint and replaced it with “traitors.” The statue has since been covered up.

      ▻https://twitter.com/Jackson_Live5/status/1266823955161264128?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      I-630 Highway (Little Rock, Arkansas)

      Protesters blocked traffic on I-630 in Little Rock on Saturday. The construction of the highway in 1960s and 1970s cut through a Black community and business district and created a barrier that further segregated the city, just like many, many, many other highways constructed in post-war America.

      ▻https://twitter.com/ennaenieledam/status/1266914812241608705?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      Confederate statue at Ole Miss (Oxford, Mississippi)

      In 1906, Nellie Durham Deupree and her band of Lost Cause ladies commissioned this monument for all the usual Lost Cause reasons. It’s long been decried as a racist symbol by some Ole Miss students, and in March 2019 the student government voted unanimously to have it removed. But in January of this year, the university’s governing board delayed a vote on whether to move it. Over the weekend a man tagged the statue with the words “spiritual genocide.” He was later arrested.

      ▻https://twitter.com/annalaurenguiz/status/1266868860856209412?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      Statue of Frank Rizzo (Philadelphia)

      Philadelphia officials on Wednesday removed the statue of former Mayor Frank Rizzo that had previously stood in front of the city municipal building. The statue had been a target of protesters in recent years, and with good reason. Rizzo was an avatar of white reaction, first as a “tough on crime” police commissioner from 1968–71 and then as mayor from 1972–80. As commissioner his policies resulted in a pattern of racist police brutality against Black residents, and as mayor he fought desegregation efforts, blocked public housing, and urged people to “vote white.” In a statement ahead of the removal, which had originally been planned for 2021, current Philadelphia Mayor Jim Kennedy said: “The statue is a deplorable monument to racism, bigotry, and police brutality for members of the Black community, the LGBTQ community, and many others. The treatment of these communities under Mr. Rizzo’s leadership was among the worst periods in Philadelphia’s history.”

      ▻https://twitter.com/billy_penn/status/1268141389944025088?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      Market House building (Fayetteville, North Carolina)

      Today Fayetteville’s Market House is mainly a historical landmark and tourist attraction, but as its name suggests, it was previously a commercial center and site where slave auctions were held. It was burned in protests Saturday, but by Sunday people had come to clean it up.

      ▻https://twitter.com/DavisABC11/status/1266879380329988098?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      State Capitol Confederate monument (Raleigh, North Carolina)

      Raleigh, North Carolina, a capital city in the United States of America, has sitting in front of its state government building a monument to the soldiers of the Confederate States of America, a failed slaveholding republic that resulted from an attempt of treason against the United States government. This monument was spraypainted by protesters over the weekend, presumably violating the 2015 state law that prevents such monuments from being removed, destroyed, or altered.

      ▻https://twitter.com/ashad_hajela/status/1266948066814447617?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      Statue of Charles Linn (Birmingham, Alabama)

      Demonstrators took down a bronze statue of Charles Linn, erected in the center of an eponymous park in honor of a sea captain who volunteered to help the Confederacy in the Civil War. They also attempted to bring down a nearby obelisk monument to Confederate soldiers and sailors until Birmingham Mayor Jermaine Johnson deterred them, saying “allow me to finish the job for you.” Johnson promised that the statue would be removed by Tuesday at noon, and by Monday night it was gone.

      ▻https://twitter.com/RT_com/status/1267345131893489665?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      ▻https://twitter.com/griner/status/1267647744774156290?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12

      ▻https://www.motherjones.com/crime-justice/2020/06/all-the-monuments-to-racism-that-have-been-torched-occupied-or-removed

      via @antonin1

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 11/06/2020

      https://i.imgur.com/DcJC661.jpg

      #dessin_de_presse #caricature

      CDB_77 @cdb_77
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  • @visionscarto
    visionscarto @visionscarto 28/05/2020

    Graffiti - Varsovie, Ciepta Ulitsa, mai 2019
    ▻https://visionscarto.net/graffiti-varsovie-ciepta-ulitsa

    Titre : Graffiti - Varsovie, Ciepta Ulitsa, mai 2019 Lieu : Pologne Mots-clés : #graffiti #art_de_rue #street_art #migrations #asile #résistance #réfugiés #images #photographie Matériel : Photographies Auteur : Philippe Rekacewicz Date : Mai 2019 Ça pouvait arriver. Ça devait arriver. C’est arrivé avant. Après. Ici. Là-bas. À quelqu’un qui n’est pas toi. » Wislawa Szymborska, De la mort sans exagérer, 1996 Alors, remue-toi, balance-toi, cours, file ! Si t’oublies ça, si tu t’arrêtes, il va (...) #Inspirations

    visionscarto @visionscarto
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  • @val_k
    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 22/05/2020

    #Graff'n #Nantes : "Y’EN A MARRE DE TOUT CES FLICS"
    ▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49924262117

    Flickr

    ValK. a posté une photo :
    Le 22 mai 2018, Maxime Peugeot a la main arrachée par une grenade GLI-F4 lancée par un gendarme.

    Déroulé de la journée du 22 mai 2018 sur la zad de Notre-Dame-des-Landes alors que l’Etat tente de faire croire que tout est sous controle et que le gros des opération militaires est terminé :
    11h52 sur radio klaxon : "les flics ont chargé vers l’ouest de la Chat Teigne, ils seraient arrivé vers la marre - un blessé grave : demande de soutien urgent medic entre Bellevue et la Chateigne /// besoin de nourriture au Domaine /// autre intervention avec deux blessés, besoin d’un véhicule pour évacuer /// 100taine GM à pied se déploient autour de la mare à l’ouest de Rohanne"
    12h13 : "la personne blessé grave s’est fait traîner par les flics en guise d’évacuation à la chat teigne"
    12h21 : "les flics sont toujours déployés vers la chat teigne , ils ont embarqué une personne blessé traînée pour l’extraire de la zone// tracto +tracteur+ remorque blanche + quad sur le chemin de suez d’est en ouest."
    14h43 : le compte medic Street Zad confirme qu’il y a plusieurs blessés : ►https://twitter.com/ZadStreet/status/998907326060027908
    Tout sera fait pour empêcher les gens de venir aider et observer les éléments restant encore sur place, tout sera sécurisé pour enlever jusqu’au moindre petit morceau : ►https://twitter.com/Pr0gmaT1k/status/998960579149787136
    15h25 : le Ministère de l’Intèrieur tente, comme à son habitude, de minorer la gravité et retourner la responsabilité contre la victime, l’info est aussitôt démentie mais comme toujours, les medias iront dans son sens : ►https://twitter.com/NONago_NDDL/status/998935841971101697
    18h00 : conférence de presse : Communiqué de l’équipe médic et du groupe de soignant.e.s de la zad : "Suite à l’annonce d’un blessé grave ce matin" : ►https://web.archive.org/web/20180709233153/https://zad.nadir.org/spip.php?article5875 + extrait video : ►https://twitter.com/vescolano/status/998956786823630848
    19h50 : les premiers témoignages démentent totallement la version "officielle" : Maxime était tombé au sol quand la grenade a explosé et n’était absolument pas en capacité de la relancer : ►https://twitter.com/telenantesinfo/status/998984701523255296
    une photo qui circule, sur laquelle on voit son torse et son ventre aussi impactés tendent à acréditer cette version des témoins. Cette photo, avec le visage de Maxime, va très vite circuler partout, mélange d’indignation spontanée et de sensationnalisme assoiffé de sang. Il faudra hélas faire tourner un message d’appel à la décence sur le plus gros réseau social pour que son anonymat soit au moins respecté : ►https://web.archive.org/web/20200522155833/https://www.facebook.com/nonaeroportNotreDamedesLandes/photos/a.204003813041339.41608.119994038108984/1560442664064107
    Témoignage de 2 personnes qui étaient présentes quand la mutilation de M. a eu lieu. : ►https://zad.nadir.org/spip.php?article5896
    Le mercredi 23 mai, une conférence de presse était prévue pour faire un « point juridique » sur l’avancée des plaintes déposées par les manifestants blessés lors des manifestations contre la loi travail. Elles avaient été classées sans suite par le parquet de Nantes, pour « absence de fait qualifiable pénalement ». Elle est hélas dramatiquement modifiée par cette nouvelle mutilation et les questions que ça soulève.

    Retrouver le suivi de radio Klaxon du jour : ►https://web.archive.org/web/https://nantes.indymedia.org/articles/41521 et les principaux tweets de la journée : ►https://twitter.com/search?q=zad%20OR%20zadiste%20OR%20NDDL%20since%3A2018-05-22%20until%3A2018
    Retrouver le suivi des flash infos de la semaine : ►https://web.archive.org/web/20180709194929/https://zad.nadir.org/spip.php?article5870#info2018-05-22-12-55

    Revue de presse et plus
    (côté presse, préférence donnée aux médias libres et aux medias n’ayant pas uniquement servi la sauce "officielle")

    22 mai 2018 :
    A Notre-Dame-des-Landes, un zadiste grièvement blessé par une grenade : ►https://www.liberation.fr/france/2018/05/22/a-notre-dame-des-landes-un-zadiste-grievement-blesse-par-une-grenade_1651

    22 mai 2018 :
    Notre-Dame-des-Landes : le père de Rémi Fraisse dénonce l’usage de grenades : ►https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/notre-dame-des-landes-le-pere-de-remi-fraisse-denonce-l-usage-de-grenades-779349

    Enquête de Nicolas de la Casinière pour Reporterre : Main arrachée à Notre-Dame-des-Landes : la Zad sous le coup de la stupeur : ►https://reporterre.net/Main-arrachee-a-Notre-Dame-des-Landes-la-Zad-sous-le-coup-de-la-stupeur

    "Robin, mutilé par une grenade, écrit à Maxime, qui a perdu sa main sur la Zad « La solidarité est notre arme » : ►https://zad.nadir.org/spip.php?article5884

    24 mai 2018 : Communiqué de l’équipe des soignant.es sur la Zad à propos de la personne blessée à la main : ►https://zad.nadir.org/spip.php?article5893

    24 mai 2018 : communiqué du groupe presse de la zad : Les mensonges de la gendarmerie sur les circonstances du tir de grenade qui a mutilé Maxime. : ►https://zad.nadir.org/spip.php?article5894

    24 mai 2018 : Un manifestant mutilé sur la ZAD - À quoi joue le gouvernement ? : ►https://lundi.am/Un-manifestant-mutile-sur-la-ZAD

    Le 24 mai 2018, l’Etat boucle son appel d’offre pour une commande de grenades lacrymo pour 4 ans, pour un montant 17,5 millions (hors TVA) ; Deux entreprises se partagent le gros du gâteau : Nobel Sport, à hauteur de 68% de la valeur du marché, et Alsetex, à 30%. À elles s’ajoute l’entreprise allemande Rheinmetall Waffe Munition.
    ►https://www.liberation.fr/checknews/2018/05/30/le-gouvernement-a-t-il-commande-des-grenades-lacrymogenes-alors-qu-il-l-a - Trois mois plus tard, en prévision d’une rentrée agitée, c’est une nouvelle commande de 40.000 grenades de « désencerclement », pour un montant de 1,7 million d’euros qui a été passée : ►https://reporterre.net/Le-gouvernement-commande-40-000-grenades

    27 mai 2018 : appel à Rassemblements dans toutes les villes pour Maxime et pour la suppression des grenades :
    ►https://zad.nadir.org/spip.php?article5908
    Retour des Mobilisations et actions de soutien à Maxime ►https://zad.nadir.org/spip.php?article5937 et suivi sur twitter ►https://twitter.com/i/moments/1002151088768929792
    + mon retour #photo de la Manifestation à Nantes en soutien à Maxime Peugeot et pour l’interdiction des grenades explosives et du flashball : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/albums/72157701571098834
    Depuis, Antoine, mutilé à l’oeil à la fin de la manifestation, a lui aussi porté plainte : ►https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/violence-recurrente-enquete-manifestations-nantes-15357

    6 juin 2018 : Main arrachée sur la ZAD : l’étudiant blessé porte plainte - ►https://www.liberation.fr/france/2018/06/06/main-arrachee-sur-la-zad-l-etudiant-blesse-porte-plainte_1657052

    22 novembre 2018 : Oui, la France est bien le seul pays d’Europe à utiliser des grenades explosives contre les manifestants
    ►https://rmc.bfmtv.com/emission/la-france-seul-pays-au-monde-a-utiliser-des-grenades-explosives-contre-le

    17 janvier 2019 : GLI-F4, LBD 40 : derrière les sigles, une réalité sanglante : ►https://www.liberation.fr/france/2019/01/17/gli-f4-lbd-40-derriere-les-sigles-une-realite-sanglante_1703699

    26 janvier 2020 : Castaner annonce de "l’abandon" de la GLI-f4 ... oui mais :
    Une grenade aussi dangereuse va remplacer celle retirée par le ministère de l’Intérieur
    ►https://www.bastamag.net/retrait-GLIF4-ministere-interieur-christophe-castaner-remplace-par-GM2L-pl

    L’enfumage d’Etat : Castaner retire la GLI F4, ou comment remplacer une grenade par une autre
    ►https://desarmons.net/2020/02/01/lenfumage-commence-castaner-retire-la-gli-f4-ou-comment-remplacer-une-gre

    15 février 2019 : Maxime porte à nouveau plainte : ►https://nantes.indymedia.org/articles/44594

    Lire aussi :

    BROCHURE SUR LES ARMEMENTS ET LE MAINTIEN DE L’ORDRE – Désarmons-les !
    ►https://desarmons.net/2019/04/06/brochure-sur-les-armements-et-le-maintien-de-lordre

    Autopsie de la “grenade assourdissante” GLI F4 : ►https://desarmons.net/2017/08/21/suite-au-15-aout-a-bure-autopsie-de-la-grenade-assourdissante-gli-f4

    Les grenades utilisées dans l’opération militaire de Notre Dame des Landes : ►https://desarmons.net/2018/04/17/les-grenades-utilisees-dans-loperation-militaire-de-notre-dame-des-landes

    .

    Photo : ValK.
    | Série [écrits et chuchotements] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/albums/72157649342411763
    | A propos des cicatrices laissées par la ZAD : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49401140152

    Flickr

    | Ensemble [habiter la ZAD] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157665873574077
    | Ensemble [Notre-Dame-des-Luttes] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157632149210959
    | Ensemble [fil-le-s de luttes] : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/collections/72157632096933304
    .
    toutes mes photos : ►http://frama.link/valk
    toutes mes lectures : ►https://archive.org/details/@karacole
    et pour m’aider à rester bénévole : ►https://liberapay.com/ValK

    https://live.staticflickr.com/65535/49924262117_6ff1ff376c_b.jpg

    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 24/04/2020

    Banksy’s ’Girl with a Pierced Eardrum’ gains a coronavirus face mask - Reuters
    ▻https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-art-banksy/banksys-girl-with-a-pierced-eardrum-gains-a-coronavirus-face-mask-idUSKCN22

    https://s2.reutersmedia.net/resources/r/?m=02&d=20200423&t=2&i=1516179639&w=1200&r=LYNXNPEG3M1HC#.jpg

    #Banksy’s “Girl with a Pierced Eardrum” has been updated for the coronavirus era with the addition of a blue surgical face mask.

    The mural, a take on Dutch artist Johannes Vermeer’s “Girl with a Pearl Earring” but with a security alarm replacing the pearl, was painted on a harbourside building in the street artist’s home city of Bristol in west England in 2014.

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 24/04/2020

      #Banksy #graffiti #graffitis #art_de_rue #coronavirus #covid-19 #masque #masques

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 23/04/2020
    1
    @ericw
    1
    @reka @isskein

    #Défi_collaboratif « Nos #vitrines parlent à l’heure du #confinement »

    https://i.imgur.com/witdiQU.png

    Objectifs

    Comment parlons-nous du confinement ? Avec quels mots et quelles phrases ? Qui nommons nous comme responsables de la décision de confinement qui nous contraint à rester chez nous et à limiter le plus possible nos déplacements ? Quels documents garderons-nous pour témoigner de cette période dans le futur ?

    Le principe du défi collaboratif « Nos vitrines parlent à l’heure du confinement » est, lors de nos brèves sorties autorisées, de prendre de manière la plus systématique possible des #photographies en gros plan et en mode paysage des messages apposés par les #commerçants dans leurs vitrines, par les responsables de lieux publics non-commerçants sur leurs façades ou par les citoyens sur leurs fenêtres privées et de les partager sur les réseaux sociaux (#VitrinesEnConfinement) ou sur la plateforme contributive ►https://vitrinesenconfinement.gogocarto.fr.

    Le même projet a été lancé également en italien (▻https://vetrineinquarantena.gogocarto.fr) #VetrineInQuarantera et en anglais (▻https://windowsinlockdown.gogocarto.fr) #WindowsInLockdown

    Cette collection permettra de construire une #mémoire_photographique des #quartiers lors du confinement. Ces informations donneront lieu à des analyses scientifiques tandis que les photos constitueront un #fond_photographique qui sera conservé et fera #patrimoine.

    Comment ça marche ?
    Chaque contribution doit être datée, indiquer l’adresse complète, la nature du lieu (commerce / lieu public non commercial / fenêtre privée / graffiti), l’activité habituellement exercée en ce lieu si ce n’est pas un lieu privé et, si possible, la retranscription du texte de l’affichette.
    · PAR LA PLATEFORME CONTRIBUTIVE : ►https://vitrinesenconfinement.gogocarto.fr.
    · PAR FACEBOOK : Vous pouvez poster votre photo et les informations liées sur le groupe ►https://www.facebook.com/groups/vitrinesenconfinement

    · PAR TWITTER : Vous pouvez tweeter votre photo en insérant #VitrinesEnConfinement

    · PAR INSTAGRAM : Vous pouvez poster votre photo en insérant #VitrinesEnConfinement #WindowsInLockdown #VetrineInQuarantera

    · PAR FACEBOOK : Vous pouvez poster votre photo et les informations liées sur le groupe ►https://www.facebook.com/groups/vitrinesenconfinement

    Toutes les contributions faites sur les réseaux sociaux seront rapatriées sur le site contributif et archivées. Les contributions sur Twitter seront également archivées par l’INA.

    Crédits

    Le défi collaboratif « #VitrinesEnConfinement » est porté par une équipe de recherche du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique) et de l’Université Paris Nanterre. Vous pouvez nous contacter sur : vitrinesenconfinement@protonmail.com

    Ce projet est piloté par Sarah Gensburger (ISP/CNRS) et Marta Severo (Dicen-IDF/Université Paris Nanterre).

    Contact
    vitrinesenconfinement@protonmail.com

    ►https://vitrinesenconfinement.gogocarto.fr
    #graffiti #graffitis #messages

    ping @reka @isskein

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 18/04/2020
    2
    @simplicissimus
    @ericw
    2
    @isskein @reka

    #Déconfinement_sélectif et #expérimentations_sanitaires : la #colère et le #dégoût

    La décision présidentielle de rouvrir les #écoles, #collèges et #lycées le 11 mai n’a dupé personne, que ce soit parmi les professeurs ou ailleurs : ce dont il s’agit, ce n’est pas de pallier les #inégalités_scolaires qu’engendrerait l’arrêt des cours, ce qui est l’argument officiel, mais tout bonnement de remettre les #parents au #travail. Que cette décision intervienne deux jours après les déclarations du président du #Medef invitant les #entrepreneurs à « relancer l’activité » sans plus attendre n’a sûrement rien d’un hasard du calendrier.

    Selon la méthode désormais classique des interventions présidentielles, le ministre #Blanquer est intervenu le lendemain pour « préciser les modalités » de cette #réouverture. Est alors apparu le caractère fonctionnel de ce qui pouvait n’être qu’un effet de discours parmi d’autres : la réouverture des écoles ne se fera pas d’un seul coup le 11 mai, mais d’abord dans les #quartiers_populaires et les #régions_rurales. La communication ministérielle joue elle aussi sur la corde compassionnelle, voire #humanitaire : « le premier critère est d’abord social, les publics les plus fragiles ».

    C’est donc ces « publics les plus fragiles » qui auront la chance de reprendre le travail en premier. Les autres, les moins fragiles, c’est-à-dire les plus favorisés, c’est-à-dire ceux qui télétravaillent actuellement depuis leur résidence secondaire en Dordogne pourront garder leurs enfants chez eux et rester à l’abri du virus. Entre ces deux catégories, tout un tas de gens se demandent encore à quelle sauce ils vont être mangés.

    Il est intéressant de noter que ce sont précisément ces « #publics_les_plus_fragiles » qui se trouvaient déjà être au travail, que c’est parmi ces « publics » que se trouvent ceux pour lesquels la période du confinement n’aura jamais signifié un arrêt de l’activité. La différence est qu’il s’agit là de poser les condition d’une réouverture générale de cet indispensable vivier de #main-d’œuvre bon marché que sont les quartiers populaires, de remettre tout le monde au travail.

    C’est donc encore une fois sur les plus pauvres que la #politique_compassionnelle toute particulière du gouvernement va venir s’abattre, comme un fléau supplémentaire.

    Cette politique peut et doit se lire à plusieurs niveaux, puisque ce qui caractérise toute crise véritable de la totalité capitaliste c’est son existence simultanée à tous les niveaux de cette totalité. Ici, il s’agit d’une #crise_sanitaire qui existe dans ses effets comme dans la gestion de ceux-ci aux niveaux politique, économique, social, etc.

    Les considérations d’ordre purement sanitaires sont alors intégrées à la chaîne des décisions politiques, à leur niveau particulier, et conditionnées à la logique d’ensemble de ces décisions, qui est d’ordre économique et social. La #recherche_scientifique elle-même intervient à son niveau dans la production des savoirs permettant de formuler les doctrines, les thèses étant sélectionnées non tant en raison de leur rigueur que de leur utilité pratique dans les décisions qui fondent l’action de l’Etat. Le but étant de préserver l’ordre économique et social, c’est-à-dire prioritairement, dans le cas qui nous concerne, de relancer l’#activité_économique sur laquelle repose l’ensemble social.

    Mais s’il s’agit bien, d’un point de vue économique, de remettre les gens au travail, et en particulier les plus pauvres, qui sont aussi ceux dont le travail ne peut se faire par internet, qui doivent mettre les mains à la pâte et au mortier, cette remise au travail n’est pas dépourvue d’arrière-pensées d’ordre sanitaire, qui ne sont pas sur la vie des prolétaires d’un meilleur effet que les considérations purement économiques.

    Ces arrière-pensées ne sont pas mises en avant dans les discours du gouvernement, puisque le discours public reste aujourd’hui celui de « la santé d’abord », ce que tout le monde entend comme la santé de chacun. Le problème est que la « santé » qui est contenue dans le terme « sanitaire » n’a pas le même sens pour nous en tant qu’individus que pour l’Etat qui se trouve être en charge de sa gestion : il s’agit alors de « santé publique », ce qui est d’un tout autre ordre que la santé tout court, celle que l’on se souhaite pour la nouvelle année. Dans cette optique, la santé publique est une chose toute différente de l’activité qui a pour finalité de soigner des gens. Les soignants font l’expérience quotidienne de cette différence. Pour eux comme pour les malades, et pour tous ceux qui doivent travailler quotidiennement au risque de contracter et transmettre le virus, ce sont tout autant les défaillances bien réelles de la gestion sanitaire de la crise qu’il nous faut redouter, que la pleine prise en charge de cette même gestion.

    En l’occurrence, pour l’Etat français, la doctrine officielle reste celle mise en œuvre par l’Etat chinois (qui s’embarrasse moins de discours compassionnels), qui est aussi préconisée par l’OMS et par son propre Conseil scientifique : celle du confinement des populations. Le virus circulant à travers les contacts individuels, il s’agit de limiter ces contacts. L’autre doctrine est celle de l’immunité collective, qui reste cependant valable, mais à condition de disposer des vaccins nécessaires, comme pour une grippe ordinaire ; on vaccine les plus fragiles, on laisse le virus courir dans le reste de la population, qui finit par s’immuniser à son contact répété. En revanche, sans vaccin ni traitement efficace, si on laisse courir le virus en espérant obtenir une immunité de masse, il faut s’attendre selon les projections, à un bilan de 40 à 80 millions de morts à l’échelle planétaire, ce qui est insoutenable en termes économiques, sanitaires, et sociaux.

    Cependant, l’activité économique ne peut pas cesser totalement en attendant qu’on dispose des traitements et vaccins nécessaires. Il faut donc pour l’Etat qui est en charge de cette crise trouver des solutions intermédiaires, qui combinent les nécessités sanitaires et les nécessités économiques.

    Actuellement, le niveau de contamination dans la population française est environ de 10%, pour obtenir une immunité collective il faudrait atteindre un seuil de 60%, on voit qu’on est loin du compte.

    En revanche, les « publics les plus fragiles » sont ceux qui ont été le plus touchés par le virus, et ce non pas seulement en raison d’une surmortalité liée à des cofacteurs tels que problèmes cardio-vasculaires et autres pathologies qui se retrouvent parmi des populations dont l’état sanitaire est déjà dégradé, voire aux problèmes liés au mal-logement, etc., mais d’abord parce que ces populations n’ont jamais véritablement cessé de travailler. En clair, s’ils ont été les plus frappés c’est qu’ils ont été les plus exposés. Mais, outre d’en faire un « public » particulièrement frappé, cela crée aussi des zones sociales où le niveau de contamination dépasse largement les 10% nationaux.

    C’est pour cela qu’on peut se demander si le gouvernement ne serait pas en train de mener sur ces territoires (en gros, sur les banlieues) une expérimentation socio-sanitaire in vivo, c’est-à-dire à tenter d’obtenir une immunité de masse, ou en tout cas de voir si cette immunité est possible, dans quelles conditions et à quel coût sanitaire, et ce sur les dos des plus pauvres. On voit ici que cette expérimentation est rendue à la fois possible par les seuils de contamination induits par la pauvreté dans ces zones, et nécessaire par la demande pressante de reprendre la production, et donc de libérer de la main-d’œuvre.

    C’est la doctrine du stop and go, alternative au pur et simple laisser-faire cher aux libéraux qui est ici testée sur les habitants des quartiers populaires : une fois passé le premier pic épidémique et les capacités de soin désengorgées, on fait redémarrer l’activité, en sachant que des recontaminations vont avoir lieu, et qu’un nouveau pic épidémique va se produire, et on renouvelle l’opération jusqu’à absorption du virus par la population. Il faut simplement souligner que cette méthode est uniquement théorique, et qu’elle repose sur l’hypothèse que ce virus réagisse comme ceux sur lesquels on l’a bâtie. Et que donc, on ne sait pas si cela va fonctionner, d’où le caractère expérimental de la chose.

    Par ailleurs, avant même d’avoir des réponses sur la possibilité d’obtenir une immunité de masse à un coût sanitaire acceptable, la réouverture des écoles en milieu rural revient à ouvrir la vanne du virus sur des régions qui ont été jusqu’ici peu touchées, en espérant que la protection par masques et gel et le fait de maintenir les plus fragiles en confinement (personnes âgées et personnes souffrant de pathologies entraînant une surmortalité) suffira à limiter la casse.

    On assiste donc ici à un zonage socio-sanitaire de l’extension du virus. Ce zonage suit une logique à la fois sanitaire, politique et économique. On voit ici à quel point la logique sanitaire ne recouvre pas celle de la santé des individus, ni même une logique scientifique relevant d’une gestion épidémiologique de cette crise. La logique ici à l’œuvre est celle de la gestion de la population par l’Etat, et si on voit à quel point cette gestion convient aux impératifs économiques dont l’Etat est le garant, il faut aussi comprendre les a priori sociaux qui se cachent derrière cette gestion. Il apparaît ici qu’en cas d’un deuxième pic épidémique, l’Etat a choisi de placer en « première ligne » des populations qu’on peut qualifier de son point de vue d’expendable, et vis à vis desquelles au cas où le déconfinement donnerait lieu à des mouvements de protestation comme c’est déjà le cas un peu partout, une réponse autoritaire serait facile à justifier et à mettre en œuvre, puisqu’on la mène déjà au quotidien. Le caractère expérimental de ce déconfinement sélectif intègre la possibilités des révoltes comme une variable supplémentaire.

    On ne détaillera pas ici à quel point ce sont les plus « fragiles socialement » qui ont été le plus touchés par les conséquences de l’épidémie de Covid-19, avec quelle perversion logique le désastre s’articule chez les plus pauvres pour devenir plus désastreux encore, ni à quel point les conséquences se sont pour eux fait sentir à tous niveaux : pour les femmes, par l’accroissement des violences conjugales et la responsabilité accrue de la reproduction familiale occasionnée à l’échelle mondiale par le chômage, le manque de ressources, la maladie, pour les racisés (on connaît l’effrayante disproportion raciale des décès liés au Covid-19 aux Etats-Unis), pour les prisonniers et les réfugiés, pour les travailleurs les plus précaires, etc. Il faudra y revenir par ailleurs. Il nous fallait dire ici, contre ceux qui veulent « sauver le système de santé », que la sollicitude sanitaire de l’Etat est aussi terrible pour les prolétaires que ses défaillances, et que cette fameuse économie censée être source de tous les maux.

    Tout cela devra être précisé. Pour l’heure on se contentera de dire ce que l’utilisation de cette « fragilité » aux fins d’un retour à la normale qui est lui-même ce qui engendre et justifie ces « fragilités », nous inspire de colère et de dégoût.

    ►https://carbureblog.com/2020/04/16/deconfinement-selectif-et-experimentations-sanitaires-la-colere-et-le-d
    #déconfinement #confinement #France #11_mai #classes_sociales #inégalités #télétravail #santé_publique #gestion_sanitaire #défaillances #vaccin #immunité_de_groupe #immunité_collective #banlieues #expérimentation #stop_and_go #pic_épidémique #zonage_socio-sanitaire #géographie #gestion_de_la_population #pauvres #fragilité
    via @isskein et @reka

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 18/04/2020
      @davduf

      https://i.imgur.com/u5xO9W2.jpg

      #graffiti #street-art #art_de_rue

      vu sur la chronique de confinement de @davduf :
      ►http://www.davduf.net/corona-chroniques-jour33

      CDB_77 @cdb_77
    • @kassem
      Kassem @kassem CC BY-NC-SA 23/05/2020

      #vaccins

      Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 25/03/2020
    2
    @reka
    @sinehebdo
    2
    @clemencel @mobileborders @nepthys @reka

    Quand les murs parlent des frontières

    https://ltshs.hypotheses.org/files/2020/03/Lehec-p166.png

    Compte-rendu de #Clémence_Lehec (@clemencel), Une #géographie_expérimentale de l’art aux frontières. Filmer les graffitis du #camp_de_réfugiés de #Dheisheh, #thèse de doctorat de géographie, sous la direction d’Anne-Laure Amilhat Szary (@mobileborders) et Frédéric Giraut, soutenue à Genève, le 27 juin 2019, 381 pages et un film documentaire.

    Résumé

    Composée d’un texte de 381 pages structuré en six chapitres et d’un film documentaire collaboratif de 35 minutes, la thèse de Clémence Lehec a pour objet les graffitis des murs du camp de réfugiés palestiniens de Dheisheh, situé au sud de #Bethléem en #Cisjordanie. En documentant et en analysant par l’image (photographique et filmique) ces figures murales, l’auteur entend s’interroger sur les #représentations de la #frontière dans ce contexte marqué par l’#occupation_israélienne. Ce faisant, C. Lehec propose une réflexion théorique sur les #frontières, ainsi que méthodologique et épistémologique sur les façons de faire et d’écrire la recherche en géographie en particulier, et en sciences humaines et sociales en général.

    Le chapitre 1 est un état de l’art dédié à la définition et à la discussion des notions mobilisées dans la thèse (frontières, #martyrs), ainsi que des approches dans lesquelles elle s’inscrit (géographie expérimentale, #géographie_de_l’art). A la croisée des arts et des sciences humaines et sociales, l’auteur revendique une démarche expérimentale, collaborative, ancrée dans le terrain et « extradisciplinaire » (p. 64), c’est-à-dire qui entend dépasser les limites entre disciplines et au-delà d’elles. Dans ce cadre, une importance égale est accordée au processus de production des résultats de recherche et aux résultats eux-mêmes.

    Le chapitre 2 revient de manière réflexive sur les pratiques et les expériences de terrain de l’auteur. Dans un contexte dit « dangereux » comme le camp de Dheisheh, elle explicite et justifie un certain nombre de choix qui lui ont semblé nécessaires pour trouver sa place dans cet espace d’enquête : habiter à proximité du camp, ce qui pose la question de la peur et de la violence auxquelles la chercheuse est exposée ; accepter de mentir, notamment aux autorités israéliennes, pour pouvoir accéder à son terrain ; travailler de manière indépendante, sans partenariat, ni avec les universités israéliennes, ni avec les ONG, mais en collaboration avec les habitants. Selon C. Lehec, ce sont l’ensemble de ces choix qui lui ont permis non pas de « faire du terrain », mais d’« être au terrain » (p. 100).

    Le chapitre 3 est un chapitre méthodologique, consacré à la manière dont l’auteur a constitué et analysé un corpus photographique de graffitis réalisés sur les murs du camp de Dheisheh. Grâce à une collaboration avec un photographe professionnel et un habitant, C. Lehec a produit 1406 photographies. Avec l’aide d’un informateur, elle a ensuite traduit les textes des graffitis, les a classés en fonction de mots-clefs, ce qui lui a permis de n’en retenir que 163 pour l’analyse. S’inscrivant dans la suite des travaux de Gillian Rose (2012) en méthodologie visuelle, C. Lehec envisage les photographies comme un support d’analyse ; elle s’attache à la fois au contenu formel et à la composition des graffitis photographiés.

    Le chapitre 4 est dédié à l’analyse du corpus présenté dans le chapitre précédent. En mettant le corpus constitué en regard de travaux réalisés 25 ans plus tôt, C. Lehec met en évidence les motifs figuratifs qui ont gagné en visibilité au cours de cette période (martyrs ou shuhada, Hantala – en référence au personnage du dessinateur palestinien assassiné Naji al-Ali) et ceux qui ont diminué (armes, keffieh, logos des partis politiques, etc.). Elle porte ensuite une attention plus particulière aux représentations de la frontière dans ces graffitis. De cette analyse, l’auteur conclut que les graffitis sont une manière de mettre en scène et de donner une visibilité à la vie du camp dans tous ses aspects (politique, religieux, économique, etc.).

    Le chapitre 5 envisage un autre aspect méthodologique de la thèse portant sur le film documentaire. L’auteur dresse un historique de l’utilisation de la vidéo en géographie. Elle souligne à quel point la réalisation d’un film documentaire dans le contexte d’enquête choisi soulève des questions qui sont à la fois d’ordre éthique et politique, notamment concernant le financement d’un tel projet. C. Lehec justifie en outre le choix de réaliser un film collaboratif avec des professionnels palestiniens. Elle considère ainsi le film comme un « dispositif créateur de situations » (p. 243), qui révèle et affecte le réel, notamment en redéfinissant les relations de pouvoir entre enquêteur et enquêtés.

    A partir des 22 entretiens semi-directifs et du film réalisés, le chapitre 6 dresse une typologie croisée des acteurs et des formes de graffitis présents dans le camp. L’auteur distingue : les artistes qui mettent leur savoir-faire au service de la société et/ou du politique ; les individus qui graffent en signe de résistance à l’occupation mais sans revendication artistique ; les groupes ou individus qui produisent des œuvres non explicitement politiques. Dans tous les cas, les graffitis apparaissent comme une prérogative des habitants du camp. A cet égard, ils peuvent être envisagés comme des « objets-frontières » en ce qu’ils sont potentiellement le lieu d’affrontement de deux visions du monde : celle de ceux qui les peignent et celle de ceux qui les regardent (en particulier lorsqu’il s’agit de soldats israéliens).

    En conclusion, C. Lehec insiste sur le fait que les murs du camp peuvent être appréhendés comme des révélateurs des frontières multiples (matériels, symboliques, corporelles, etc.) qui traversent cet espace. Elle réaffirme l’importance d’une démarche de recherche engagée et expérimentale, tout en appelant de ses vœux une géographie politique féministe dont l’auteur se revendique.

    Débutant par une scène de réalisation de graffitis la nuit dans le camp de Dheisheh, le film documentaire « Les murs de Dheisheh » co-réalisé par Tamara Abu Laban et Clémence Lehec nous plonge immédiatement dans cet univers dont elles interrogent le sens en dialogue avec des habitants du camp de diverses générations et sensibilités politiques. Ce faisant, elles questionnent également la dimension vécue, relationnelle, voire identitaire des frontières qui traversent et travaillent aussi bien le camp, que le corps de ses habitants.
    Positionnement scientifique

    Sur le plan théorique, la thèse de C. Lehec se situe à la croisée de la géographie politique (notamment féministe), des border studies et de la géographie de l’art. A cet égard, elle s’inscrit dans la filiation des travaux de ses directeurs de thèse, et en particulier d’Anne-Laure Amihat-Szary sur la dimension esthétique et performative des frontières (2015), tout en leur offrant une perspective féconde et originale liée à la méthodologie employée et au cas étudié (un camp de réfugiés palestiniens). Ce faisant, cette thèse participe également au développement de la géographie de l’art dans des espaces extra-occidentaux.

    Sur le plan méthodologique, C. Lehec s’inscrit dans le champ des études visuelles, ouvert notamment par Gillian Rose (2012), que ce soit en termes d’analyse ou de production d’images (y compris en mouvement). Il est toutefois important de souligner que, dans son travail, la théorie et la méthodologie ne sont pas pensées comme séparées mais bien comme s’informant l’une l’autre, dans une perspective qui relève de la grounded theory (Charmaz, 2006).

    Par la production d’un film co-réalisé, cette thèse participe en outre à l’essor de l’utilisation de la vidéo dans les travaux de recherche. En adoptant une démarche réflexive sur l’usage de la caméra et plus largement le rapport au terrain des chercheurs, C. Lehec engage également une réflexion éthique et politique sur les manières contemporaines de faire de la recherche avec et non sur les enquêtés.
    Evaluation argumentée de la thèse

    Comme évoqué précédemment, l’une des principales originalités de la thèse de C. Lehec est de reposer sur un rendu à la fois textuel et filmique. Alors que le nombre de thèses s’appuyant sur un support filmique est encore limité en géographie française, un tel travail ouvre des perspectives quant aux possibilités offertes par un tel support. C. Lehec n’en cache pas pour autant les difficultés (techniques, financières, éthiques, etc.) que soulève la réalisation d’un projet de ce type, en particulier lorsqu’il pousse à son terme la démarche collaborative jusqu’à être réalisé en partenariat.

    Le travail de C. Lehec frappe d’ailleurs par l’honnêteté intellectuelle dont fait preuve son auteur : elle aborde ainsi de front la dimension concrète, et parfois crue, de la réalisation de la recherche (de la peur de la chercheuse sur son terrain à la recherche de financement, en passant par la question de l’usage plus ou moins licite de visas touristiques), qui fait souvent partie des non-dits de la recherche. A ce titre, cette thèse est particulièrement utile pour tous les chercheurs en géographie, et plus largement en sciences humaines et sociales, qui s’intéressent de manière réflexive aux pratiques de terrain, ainsi qu’à tous les chercheurs en formation qui sont confrontés pour la première fois à ces questions.

    La dimension expérimentale, collaborative, engagée et « extradisciplinaire » de ce travail se révèle donc stimulante aussi bien sur le plan méthodologique, que théorique et épistémologique. Elle permet en effet de discuter des manières de produire un savoir légitime aujourd’hui en géographie et en sciences humaines et sociales.
    Liste des sources ou corpus mobilisés dans la thèse

    Textes ayant servi de références pour l’évolution de la présence des graffitis dans les camps de réfugiés palestiniens des années 1990 à nos jours :
    – Culcasi K., 2016, “Engaging in the boycott, divestment, and sanctions (bds) debate”, Geographical Review, 106 (2), p. 258‑263.
    – Le Troquer Y. et Nammar I., 1993, « Reflets d’une imagerie palestinienne », Annuaire de l’Afrique du Nord, tome XXXII, p. 193‑214.
    – Steinberg P. et Oliver A.-M., 1990, The graffiti of the Intifada. A brief survey, PASSIA (Palestinian Academic Society for the Study of International Affairs), Jerusalem.
    Sources des images mobilisées dans le film documentaire :
    – Photographies de Dheisheh dans les années 1950, archivées par l’association palestinienne IBDAA du camp, auteurs et dates inconnus.
    – Tony Kandah (réalisateur et producteur), 1990, Stolen Freedom : Occupied Palestine.
    (1) Sources et données primaires

    La réalisation de cette thèse s’est appuyée sur :
    – cinq séjours à proximité du camp de Dheisheh d’une durée totale de six mois effectués entre 2015 et 2017.
    – un corpus de 1406 photographies de graffitis présents sur les murs du camp, réalisées par l’auteure de la thèse avec l’aide d’un photographe professionnel et d’un habitant du camp.
    – 22 entretiens semi-directifs avec des habitants du camp.

    ▻https://ltshs.hypotheses.org/709

    #réfugiés_palestiniens #graffiti #graffitis #art_et_politique #Palestine

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    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 3/12/2020

      Ce travail est maintenant publié :
      ▻https://seenthis.net/messages/889432

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 2/02/2020
    @visionscarto

    #Boamistura

    We are a multidisciplinary team with roots in #graffiti art. Born in late 2001, Madrid, Spain. We develop our work mainly in the public space. We have carried out projects in South Africa, USA, UK, Brazil, Mexico, Georgia, Chile, Algeria, Norway, Kenya, China, Serbia or Panamá. We were 15 years old when we first met, while painting the walls of our neighborhood. We became friends since then. Our headquarter is in Madrid, but we spend the day from here to there, living among paint buckets, computers and ping-pong matches. We love what we do. We understand our work, as a tool to transform the street and to create bonds between people. We feel a responsibility with the city and time we are living in.

    http://www.boamistura.com/wordpress/wp-content/uploads/2017/10/01-boa-mistura-madrid-te-comeria-a-versos.jpg http://www.boamistura.com/wordpress/wp-content/uploads/2017/10/03-boa-mistura-madrid-te-comeria-a-versos.jpg http://www.boamistura.com/wordpress/wp-content/uploads/2017/10/04-boa-mistura-madrid-te-comeria-a-versos.jpg http://www.boamistura.com/wordpress/wp-content/uploads/2017/10/06-boa-mistura-madrid-te-comeria-a-versos.jpg http://www.boamistura.com/wordpress/wp-content/uploads/2017/10/09-boa-mistura-madrid-te-comeria-a-versos.jpg http://www.boamistura.com/wordpress/wp-content/uploads/2017/10/00-boa-mistura-madrid-te-comeria-a-versos-1.gif

    ▻http://www.boamistura.com/#/project/te-comeria-a-versos

    #art_et_politique #art #art_de_rue #street-art #détournement #espace_public #graffitis #art_de_rue #Boa_Mistura #passages_piétons

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    CDB_77 @cdb_77
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  • @albertocampiphoto
    albertocampiphoto @albertocampiphoto CC BY-NC-SA 26/01/2020

    Handala

    Wikiradio del 29/08/2016 - Rai Radio 3 - RaiPlay Radio
    ▻https://www.raiplayradio.it/audio/2016/07/Handala---Wikiradio-del-29082016-0b9bdd25-2ea3-4314-bd49-2066271fe2ed.h

    https://www.rai.it/cropgd/640x320/dl/img/2016/07/1469814101563handala_1.jpg

    Il 29 agosto 1987 , il creatore di Handala, #NajiAlAli, colpito qualche giorno prima da un proiettile alla tempia, muore in un ospedale di Londra
    con Mauro Pompili

    Repertorio
    – frammento della voce di #Naji_AL_Ali

    – due frammenti dal programma Profughi arabi, a cura di S.G.Borgio del 15/06/1960, voce narrante di Enrico Altavilla - Archivi Rai

    – Salvatore Piscicelli presenta il film Kafr Kassem diretto dal libanese Borhan Alaouie all’inaterno del programma Cineteca Politica - Dov’è la Palestina, a cura di Guido Gianni, 21/02/1977 - Archivi Rai

    – frammento dal reportage di TV7 Il sogno del ritorno, 13/12/1968 - Archivi Rai

    – notizia della morte di Vittorio Arrigoni, dal Gr2 del 15/04/2004

    – sulla sigla frammento di un’intervista realizzata nel campo profughi palestinese in Libano di Ain al-Hilweh, tratto dal programma televisivo Trentaminuti giovani, 13/05/1980 - Archivi Rai

    Brani musicali

    – Kyrie Eleison, Bachar Mar-Khalifé
    – Ya Balad, Bachar Mar-Khalifé

    #podcast #wikiradio #RaiRadio3 #handala #Palestine #BD #dessin #icône #symbole #graffiti #journalisme #dessindepresse #presse #homicide

    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/79/Vittorio_Arrigoni_draw.jpg/1200px-Vittorio_Arrigoni_draw.jpg

    albertocampiphoto @albertocampiphoto CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 26/01/2020

      #audio #dessin_de_presse

      CDB_77 @cdb_77
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  • @val_k
    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 23/01/2020

    [portrait] "RECUPEREM LA TERRA !" -Guy Yoyotte-Husson, Fillols, aoû 2006
    ▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49429394613

    Flickr

    ValK. a posté une photo :

    #guyyoyottehusson #photographe #politique #valk #graff #graffiti #portrait #slogan #streetart #tag

    https://live.staticflickr.com/65535/49429394613_1ccecc7578_b.jpg

    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @val_k
    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 31/12/2019
    1
    @vanderling
    1

    0 SOS en 2020 : Nous n’attendons plus rien.
    « SPOILER : ON GAGNE A LA FIN »
    ▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49307136477

    Flickr

    ValK. a posté une photo :
    Après-manif à Nantes, le 23 février 2019.
    .
    photo (cc) ValK
    série « écrits & chuchotements » : ►https://www.flickr.com/photos/valkphotos/albums/72157649342411763
    + de photos : ►https://frama.link/valk
    me soutenir : ►https://liberapay.com/ValK

    #manifestation #politique #banque #capitalisme #economie #giletsjaunes #graff #graffiti #liberalisme #peur #planque #repartition_des_richesses #revolte #social #streetart #tag #taxes #usure #paysdelaloire #france

    https://live.staticflickr.com/65535/49307136477_f9cba84ec1_b.jpg

    ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @antonin1
    Antonin @antonin1 CC BY-NC-SA 22/11/2019

    « Les colleuses », reportage sonore avec celles qui recouvrent les murs contre les féminicides - Rebellyon.info
    ▻https://rebellyon.info/Les-colleuses-reportage-sonore-avec-21277

    https://rebellyon.info/IMG/arton21277.jpg?1572259852

    Elles sont féministes et elles luttent. Alors que le gouvernement organise un « Grenelle contre les violences conjugales », elles s’approprient les rues pour alerter sur les féminicides. Depuis début septembre 2019, des groupes de femmes recouvrent les murs de plusieurs villes de messages qui rendent hommage aux femmes assassinées et dénoncent le patriarcat et ses complices. De la peinture des messages dans un appartement à leur collage sur les murs de Lyon, plongée sonore avec les colleuses.

    #audio #violences_conjugales #violences_masculines #Lyon #féminisme #féminicide

    Antonin @antonin1 CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 22/11/2019

      #résistance #lutte #art_et_politique #rues #espace_public #tags #graffitis #art_de_rue #messages #patriarcat #dénonciation #peinture #collage #Lyon #colleuses

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

    #Tags et #graffitis #anti-touristes à #Athènes, en #Grèce
    Photos prises en juillet 2019

    Dear tourist, enjoy your AirBnB.
    A futur homeless

    https://i.imgur.com/7g69tIL.jpg

    #SDF #sans-abris

    Immigrants welcome
    Tourists fuck off

    https://i.imgur.com/1ipLaOM.jpg

    AirBnB tourists leave

    https://i.imgur.com/7s8XTGM.jpg

    AirBnB tourists, time to leave

    https://i.imgur.com/k1am3pb.jpg

    AirBnB tourists leave

    https://i.imgur.com/k9AUDdc.jpg

    Don’t be an asshole, don’t do AirBnB

    https://i.imgur.com/WjCdJIe.jpg

    AirBnB does not include breakfast

    https://i.imgur.com/qoyGaE1.jpg

    #AirBnB #tourisme #art_de_rue #street_art

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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

    #graffitis à #Athènes, en #Grèce. Juillet 2019

    Ajouté à la métaliste sur les graffitis :
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    • @cdb_77
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      Athènes, 07.07.2019

      From ancient to modern times... who controls money?

      https://i.imgur.com/gBAZoED.jpg

      #argent

      Talk to me. But I don’t know what to say

      https://i.imgur.com/PLxcK01.jpg https://i.imgur.com/kZJlkkz.jpg

      Burn your local rapist

      https://i.imgur.com/bZgqnxY.jpg

      #viol #sorcière #sorcières

      https://i.imgur.com/umNnnIQ.jpg

      Riots not diets:

      https://i.imgur.com/CH1d7F8.jpg

      Je rêve

      https://i.imgur.com/ZIbXVQR.jpg

      Stop EU-Turkey deal. Open the borders

      https://i.imgur.com/Zwt5YlM.jpg

      #accord_UE-Turquie #asile #migrations #réfugiés #frontières

      Shit on your whole mortifying imaginary, and symbolic theater

      https://i.imgur.com/gVYn1Iq.jpg

      My body is not your business

      https://i.imgur.com/8o308Gu.jpg

      #corps

      https://i.imgur.com/aiwlSix.jpg https://i.imgur.com/FfsV5GY.jpg https://i.imgur.com/rRUXtrz.jpg https://i.imgur.com/9oDKz95.jpg

      And don’t forget to burn the #police

      https://i.imgur.com/dcs2ldc.jpg

      Feminist queen

      https://i.imgur.com/XqeFl3l.jpg

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

      Et cette série de femmes qui sont un peu partout...

      https://i.imgur.com/on2DUcf.jpg https://i.imgur.com/Q7Q3T0n.jpg https://i.imgur.com/nBxEGsq.jpg https://i.imgur.com/XkFJm45.jpg https://i.imgur.com/O7OkKtr.jpg https://i.imgur.com/qzZpDz6.jpg https://i.imgur.com/1yHgV1r.jpg https://i.imgur.com/JwpZtl4.jpg https://i.imgur.com/7hshfrk.jpg https://i.imgur.com/6723xWq.jpg https://i.imgur.com/NVN6QwP.jpg https://i.imgur.com/6abZPK0.jpg https://i.imgur.com/UgGXSNg.jpg https://i.imgur.com/ejbcePi.jpg https://i.imgur.com/JxcIo3F.jpg https://i.imgur.com/i89ieI5.jpg https://i.imgur.com/XBlqLbo.jpg https://i.imgur.com/N3C5SYh.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

      Et ces graffitis sur #Petrou_Ralli

      https://i.imgur.com/GBUxD7Y.jpg https://i.imgur.com/GBUxD7Y.jpg

      Tear down Petrou Ralli

      https://i.imgur.com/krMd9mk.jpg https://i.imgur.com/PGidYbW.jpg https://i.imgur.com/ryuToz5.jpg

      Pour rappel, Petrou Ralli, ici pris en photo par Alberto Campi :

      https://visionscarto.net/local/cache-vignettes/L1024xH683/20300636993_efd1-2dcfd.jpg?1504814346#.jpg https://visionscarto.net/local/cache-vignettes/L1024xH683/20839563460_3f2e-b529a.jpg?1504814348#.jpg https://visionscarto.net/local/cache-vignettes/L1024xH683/20148747943_53fc-338f5.jpg?1504814349#.jpg

      Et cette vidéo que j’ai réalisée avec Alberto :
      ▻https://vimeo.com/130416045


      ►https://visionscarto.net/a-athenes-survivre

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

      Athènes, 08.07.2019

      Know your enemy
      Fight the power
      Beat the fascists

      https://i.imgur.com/wFPjPTu.jpg

      #pouvoir #fascisme #ennemi

      https://i.imgur.com/U0vLthT.jpg

      Stop #Assad

      https://i.imgur.com/cX3Yx8h.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

      Athènes, 09.07.2019

      Burn the police

      https://i.imgur.com/qdlx8lx.jpg https://i.imgur.com/v9bmpvm.jpg

      Fuck NGOs charity
      Class solidarity

      https://i.imgur.com/AA6ovpf.jpg

      #solidarité #solidarité_de_classe #NGO #associations #charité

      Make nazis burn again:

      https://i.imgur.com/RQ60y4L.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

      Athènes, 10.07.2019

      SLOW GEOGRAPHY!

      https://i.imgur.com/TTKvDal.jpg

      #slow_geography

      There is no first or third world
      We are all one world

      https://i.imgur.com/fDh9EuR.jpg

      #Tiers-monde

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/11/2019

      Athènes, 11.07.2019

      We will not be silent

      https://i.imgur.com/mDq2FYM.jpg

      #silence

      https://i.imgur.com/VVpHdcV.jpg

      #Justice for #Zak

      https://i.imgur.com/TJOVpTK.jpg

      #Zak_Kostopoulos

      https://i.imgur.com/t8xs0ZV.jpg

      Capitalism ruins everything around me

      https://i.imgur.com/0t6kH3W.jpg

      #capitalisme

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 2/11/2019

      Athènes, 13.07.2019

      https://i.imgur.com/39GRXZj.jpg https://i.imgur.com/W6P0HdH.jpg https://i.imgur.com/GsAyECV.jpg

      #Berlin is the new Athens ?

      https://i.imgur.com/FCsUWfa.jpg https://i.imgur.com/iZlXtfS.jpg https://i.imgur.com/ipMu4VH.jpg https://i.imgur.com/z7wv5IS.jpg https://i.imgur.com/ScEw7z2.jpg https://i.imgur.com/wkGRcDR.jpg

      Blood, sweat and tears

      https://i.imgur.com/vkVOtZv.jpg

      CDB_77 @cdb_77
    • @fil
      Fil @fil 2/11/2019

      Athènes, fin octobre 2019

      https://tagsathenes-hcl39neri.now.sh/Sans%20titre.jpg https://tagsathenes-hcl39neri.now.sh/Sans%20titre%202.jpg https://tagsathenes-hcl39neri.now.sh/Sans%20titre%203.jpg https://tagsathenes-hcl39neri.now.sh/Sans%20titre%204.jpg https://tagsathenes-hcl39neri.now.sh/Sans%20titre%205.jpg https://tagsathenes-hcl39neri.now.sh/Sans%20titre%206.jpg

      #Airbnb #Rojava #réfugiés

      Fil @fil
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 2/11/2019
      @fil

      @fil : pour AirBnB, j’ai fait un fil à part :
      ►https://seenthis.net/messages/808999

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 20/10/2019
    7
    @kent1
    @vanderling
    @reka
    @bce_106_6
    @la_feuille
    @peweck
    @sodaa
    7

    #Roche_de_Rame, dans le #Briançonnais... des #graffitis

    Bar fantôme

    https://i.imgur.com/CQu9JRp.jpg https://i.imgur.com/Cj0O3aO.jpg

    Boucherie fantôme

    https://i.imgur.com/rZjDnjG.jpg https://i.imgur.com/8SA2zgH.jpg https://i.imgur.com/GhbmGuJ.jpg

    #art_de_rue #street-art #village-fantôme #ghost-town #abandon #France

    Ajouté à cette métaliste :
    ►https://seenthis.net/messages/745557#message767753

    CDB_77 @cdb_77
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  • @rezo
    Rezo @rezo 14/10/2019
    2
    @sinehebdo
    @vanderling
    2

    Nouveau récapitulatif automnal : six mois d’inscriptions murales | Yves Pagès
    ►http://www.archyves.net/html/Blog/?p=7825

    Sale coup pour la sempiternelle convergence des buts (sinon des luttes), on a vu la semaine dernière les gentils organisateurs d’Extinction/Rébellion s’ingénier à effacer à l’acétone tags et graffitis sur le Pont au Change occupé, près du Châtelet. Comme s’il leur fallait tout à la fois scénographier la désobéissance collective et en faire disparaître toute trace de contamination textuelle, hors la marque déposée de leur logo. Source : Pense-bête

    Rezo @rezo
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 16/10/2019

      http://www.archyves.net/html/Blog/wp-content/uploads/2019/10/19-05-01-GRAFFITI-ParisV-bdStMarcel-photoarchyves.jpg

      #AI #intelligence_artificielle #graffiti #photo #Yves_Pagès

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 1/10/2019

    Répression anti-Bahaïs en Iran et Street art à #Naplouse

    http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/aefimagesnew/imagecache/rfi_16x9_1024_578/sites/images.rfi.fr/files/aefimagesnew/aef_image/orient_hebdo_28092019_ok_0.jpg

    Le ministre iranien de l’Éducation a rappelé que l’interdiction de scolarité qui frappe les étudiants qui se déclarent d’une religion non reconnue, cela vise essentiellement les #Bahaïs, nous dira Ehsan Manoochehri, responsable de la rédaction persane de RFI.
    À Naplouse, des artistes du monde entier et des artistes palestiniens sont actuellement en train de peindre des #fresques murales dans le #camp_de_réfugiés de #Balata en périphérie de la ville. C’est un projet lancé par un Américain qui a des origines palestiniennes pour faire vivre l’#art dans une zone défavorisée, où les peintures présentes sur les murs rappellent le conflit israélo-palestinien. Reportage de Guilhem Delteil.

    ▻http://www.rfi.fr/emission/20190928-iran-repression-bahais-street-art-naplouse-balata?ref=tw
    #street-art #art_de_rue #graffitis #Palestine #réfugiés_palestiniens

    CDB_77 @cdb_77
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  • @neotoponymie
    Neotoponymie @neotoponymie 10/09/2019
    1
    @cdb_77
    1

    Des tribunes aux murs des kampung indonésiens : quand les ultras marquent le territoire
    ▻https://neotopo.hypotheses.org/2199

    Dr. Jean-Baptiste Bing, Directeur de la Maison du Patrimoine Oral de Bourgogne, Géographe, Conteur Les supporters d’une équipe de football sont assez logiquement à leur place dans un stade ; dans le cas des groupes...

    #Notes_de_recherche

    Neotoponymie @neotoponymie
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 10/09/2019

      https://f.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1732/files/2019/09/Fig.1.1.jpg https://f.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1732/files/2019/09/Fig.1.2.jpg

      #Indonésie #ultra #graffitis #art_de_rue #street-art #foot #football #sport

      CDB_77 @cdb_77
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