The Hard Work of Remembering. A short story about about names and remembering | by Jer Thorp
▻https://blprnt.medium.com/the-hard-work-of-remembering-e34b8161d519
ça parle d’histoire, de morts, de mémoire, de Stolpersteine et de covid
The Hard Work of Remembering. A short story about about names and remembering | by Jer Thorp
▻https://blprnt.medium.com/the-hard-work-of-remembering-e34b8161d519
ça parle d’histoire, de morts, de mémoire, de Stolpersteine et de covid
#Clémence_Lehec a passé plusieurs mois en #Palestine pour étudier les #graffitis dans un camp de réfugiés dans le cadre de son doctorat : Une géographie expérimentale de l’art aux frontières. Filmer les graffitis aux frontières du camp de réfugiés palestiniens de Dheisheh
▻https://doctorat.univ-grenoble-alpes.fr/fr/actualites/actus-doctorat/clemence-lehec-laureate-du-prix-de-these-academique-202
La thèse sera disponible ici, mais pas avant l’été prochain.... :
▻https://archive-ouverte.unige.ch/unige:124307
Ce travail vient d’être publié sous le titre Sur les murs de Palestine, préface de Philippe Rekacewicz, photos de Alberto Campi
▻https://livre.fnac.com/a15062165/Clemence-Lehec-Sur-les-murs-de-Palestine
Ce livre s’accompagne d’un #documentaire coréalisé avec une cinéaste palestinienne, #Tamara_Abu_Laban, intitulé Les murs de Dheisheh (36 mn).
▻https://www.youtube.com/watch?v=oRycAsOIeUE
On en parlait déjà là :
▻https://seenthis.net/messages/834122
@sinehebdo si tu veux lire sa thèse, je pense qu’il y a moyen de...
(en attendant un billet qui sera publié, j’espère prochainement, sur visionscarto...)
REPRÉSENTER LE BORDER ART ET LE MUR DE SÉPARATION ISRAÉLO-PALESTINIEN
Clémence Lehec et Laurent Davin
Revue n° 25 du Comité Français de Cartographie (2015)
▻https://www.lecfc.fr/new/articles/225-article-5.pdf
Banksy’s ’Girl with a Pierced Eardrum’ gains a coronavirus face mask - Reuters
▻https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-art-banksy/banksys-girl-with-a-pierced-eardrum-gains-a-coronavirus-face-mask-idUSKCN22
#Banksy’s “Girl with a Pierced Eardrum” has been updated for the coronavirus era with the addition of a blue surgical face mask.
The mural, a take on Dutch artist Johannes Vermeer’s “Girl with a Pearl Earring” but with a security alarm replacing the pearl, was painted on a harbourside building in the street artist’s home city of Bristol in west England in 2014.
#Défi_collaboratif « Nos #vitrines parlent à l’heure du #confinement »
Objectifs
Comment parlons-nous du confinement ? Avec quels mots et quelles phrases ? Qui nommons nous comme responsables de la décision de confinement qui nous contraint à rester chez nous et à limiter le plus possible nos déplacements ? Quels documents garderons-nous pour témoigner de cette période dans le futur ?
Le principe du défi collaboratif « Nos vitrines parlent à l’heure du confinement » est, lors de nos brèves sorties autorisées, de prendre de manière la plus systématique possible des #photographies en gros plan et en mode paysage des messages apposés par les #commerçants dans leurs vitrines, par les responsables de lieux publics non-commerçants sur leurs façades ou par les citoyens sur leurs fenêtres privées et de les partager sur les réseaux sociaux (#VitrinesEnConfinement) ou sur la plateforme contributive ►https://vitrinesenconfinement.gogocarto.fr.
Le même projet a été lancé également en italien (▻https://vetrineinquarantena.gogocarto.fr) #VetrineInQuarantera et en anglais (▻https://windowsinlockdown.gogocarto.fr) #WindowsInLockdown
Cette collection permettra de construire une #mémoire_photographique des #quartiers lors du confinement. Ces informations donneront lieu à des analyses scientifiques tandis que les photos constitueront un #fond_photographique qui sera conservé et fera #patrimoine.
Comment ça marche ?
Chaque contribution doit être datée, indiquer l’adresse complète, la nature du lieu (commerce / lieu public non commercial / fenêtre privée / graffiti), l’activité habituellement exercée en ce lieu si ce n’est pas un lieu privé et, si possible, la retranscription du texte de l’affichette.
· PAR LA PLATEFORME CONTRIBUTIVE : ►https://vitrinesenconfinement.gogocarto.fr.
· PAR FACEBOOK : Vous pouvez poster votre photo et les informations liées sur le groupe ►https://www.facebook.com/groups/vitrinesenconfinement
· PAR TWITTER : Vous pouvez tweeter votre photo en insérant #VitrinesEnConfinement
· PAR INSTAGRAM : Vous pouvez poster votre photo en insérant #VitrinesEnConfinement #WindowsInLockdown #VetrineInQuarantera
· PAR FACEBOOK : Vous pouvez poster votre photo et les informations liées sur le groupe ►https://www.facebook.com/groups/vitrinesenconfinement
Toutes les contributions faites sur les réseaux sociaux seront rapatriées sur le site contributif et archivées. Les contributions sur Twitter seront également archivées par l’INA.
Crédits
Le défi collaboratif « #VitrinesEnConfinement » est porté par une équipe de recherche du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique) et de l’Université Paris Nanterre. Vous pouvez nous contacter sur : vitrinesenconfinement@protonmail.com
Ce projet est piloté par Sarah Gensburger (ISP/CNRS) et Marta Severo (Dicen-IDF/Université Paris Nanterre).
Contact
vitrinesenconfinement@protonmail.com
►https://vitrinesenconfinement.gogocarto.fr
#graffiti #graffitis #messages
Quand les murs parlent des frontières
Compte-rendu de #Clémence_Lehec (@clemencel), Une #géographie_expérimentale de l’art aux frontières. Filmer les graffitis du #camp_de_réfugiés de #Dheisheh, #thèse de doctorat de géographie, sous la direction d’Anne-Laure Amilhat Szary (@mobileborders) et Frédéric Giraut, soutenue à Genève, le 27 juin 2019, 381 pages et un film documentaire.
Résumé
Composée d’un texte de 381 pages structuré en six chapitres et d’un film documentaire collaboratif de 35 minutes, la thèse de Clémence Lehec a pour objet les graffitis des murs du camp de réfugiés palestiniens de Dheisheh, situé au sud de #Bethléem en #Cisjordanie. En documentant et en analysant par l’image (photographique et filmique) ces figures murales, l’auteur entend s’interroger sur les #représentations de la #frontière dans ce contexte marqué par l’#occupation_israélienne. Ce faisant, C. Lehec propose une réflexion théorique sur les #frontières, ainsi que méthodologique et épistémologique sur les façons de faire et d’écrire la recherche en géographie en particulier, et en sciences humaines et sociales en général.
Le chapitre 1 est un état de l’art dédié à la définition et à la discussion des notions mobilisées dans la thèse (frontières, #martyrs), ainsi que des approches dans lesquelles elle s’inscrit (géographie expérimentale, #géographie_de_l’art). A la croisée des arts et des sciences humaines et sociales, l’auteur revendique une démarche expérimentale, collaborative, ancrée dans le terrain et « extradisciplinaire » (p. 64), c’est-à-dire qui entend dépasser les limites entre disciplines et au-delà d’elles. Dans ce cadre, une importance égale est accordée au processus de production des résultats de recherche et aux résultats eux-mêmes.
Le chapitre 2 revient de manière réflexive sur les pratiques et les expériences de terrain de l’auteur. Dans un contexte dit « dangereux » comme le camp de Dheisheh, elle explicite et justifie un certain nombre de choix qui lui ont semblé nécessaires pour trouver sa place dans cet espace d’enquête : habiter à proximité du camp, ce qui pose la question de la peur et de la violence auxquelles la chercheuse est exposée ; accepter de mentir, notamment aux autorités israéliennes, pour pouvoir accéder à son terrain ; travailler de manière indépendante, sans partenariat, ni avec les universités israéliennes, ni avec les ONG, mais en collaboration avec les habitants. Selon C. Lehec, ce sont l’ensemble de ces choix qui lui ont permis non pas de « faire du terrain », mais d’« être au terrain » (p. 100).
Le chapitre 3 est un chapitre méthodologique, consacré à la manière dont l’auteur a constitué et analysé un corpus photographique de graffitis réalisés sur les murs du camp de Dheisheh. Grâce à une collaboration avec un photographe professionnel et un habitant, C. Lehec a produit 1406 photographies. Avec l’aide d’un informateur, elle a ensuite traduit les textes des graffitis, les a classés en fonction de mots-clefs, ce qui lui a permis de n’en retenir que 163 pour l’analyse. S’inscrivant dans la suite des travaux de Gillian Rose (2012) en méthodologie visuelle, C. Lehec envisage les photographies comme un support d’analyse ; elle s’attache à la fois au contenu formel et à la composition des graffitis photographiés.
Le chapitre 4 est dédié à l’analyse du corpus présenté dans le chapitre précédent. En mettant le corpus constitué en regard de travaux réalisés 25 ans plus tôt, C. Lehec met en évidence les motifs figuratifs qui ont gagné en visibilité au cours de cette période (martyrs ou shuhada, Hantala – en référence au personnage du dessinateur palestinien assassiné Naji al-Ali) et ceux qui ont diminué (armes, keffieh, logos des partis politiques, etc.). Elle porte ensuite une attention plus particulière aux représentations de la frontière dans ces graffitis. De cette analyse, l’auteur conclut que les graffitis sont une manière de mettre en scène et de donner une visibilité à la vie du camp dans tous ses aspects (politique, religieux, économique, etc.).
Le chapitre 5 envisage un autre aspect méthodologique de la thèse portant sur le film documentaire. L’auteur dresse un historique de l’utilisation de la vidéo en géographie. Elle souligne à quel point la réalisation d’un film documentaire dans le contexte d’enquête choisi soulève des questions qui sont à la fois d’ordre éthique et politique, notamment concernant le financement d’un tel projet. C. Lehec justifie en outre le choix de réaliser un film collaboratif avec des professionnels palestiniens. Elle considère ainsi le film comme un « dispositif créateur de situations » (p. 243), qui révèle et affecte le réel, notamment en redéfinissant les relations de pouvoir entre enquêteur et enquêtés.
A partir des 22 entretiens semi-directifs et du film réalisés, le chapitre 6 dresse une typologie croisée des acteurs et des formes de graffitis présents dans le camp. L’auteur distingue : les artistes qui mettent leur savoir-faire au service de la société et/ou du politique ; les individus qui graffent en signe de résistance à l’occupation mais sans revendication artistique ; les groupes ou individus qui produisent des œuvres non explicitement politiques. Dans tous les cas, les graffitis apparaissent comme une prérogative des habitants du camp. A cet égard, ils peuvent être envisagés comme des « objets-frontières » en ce qu’ils sont potentiellement le lieu d’affrontement de deux visions du monde : celle de ceux qui les peignent et celle de ceux qui les regardent (en particulier lorsqu’il s’agit de soldats israéliens).
En conclusion, C. Lehec insiste sur le fait que les murs du camp peuvent être appréhendés comme des révélateurs des frontières multiples (matériels, symboliques, corporelles, etc.) qui traversent cet espace. Elle réaffirme l’importance d’une démarche de recherche engagée et expérimentale, tout en appelant de ses vœux une géographie politique féministe dont l’auteur se revendique.
Débutant par une scène de réalisation de graffitis la nuit dans le camp de Dheisheh, le film documentaire « Les murs de Dheisheh » co-réalisé par Tamara Abu Laban et Clémence Lehec nous plonge immédiatement dans cet univers dont elles interrogent le sens en dialogue avec des habitants du camp de diverses générations et sensibilités politiques. Ce faisant, elles questionnent également la dimension vécue, relationnelle, voire identitaire des frontières qui traversent et travaillent aussi bien le camp, que le corps de ses habitants.
Positionnement scientifique
Sur le plan théorique, la thèse de C. Lehec se situe à la croisée de la géographie politique (notamment féministe), des border studies et de la géographie de l’art. A cet égard, elle s’inscrit dans la filiation des travaux de ses directeurs de thèse, et en particulier d’Anne-Laure Amihat-Szary sur la dimension esthétique et performative des frontières (2015), tout en leur offrant une perspective féconde et originale liée à la méthodologie employée et au cas étudié (un camp de réfugiés palestiniens). Ce faisant, cette thèse participe également au développement de la géographie de l’art dans des espaces extra-occidentaux.
Sur le plan méthodologique, C. Lehec s’inscrit dans le champ des études visuelles, ouvert notamment par Gillian Rose (2012), que ce soit en termes d’analyse ou de production d’images (y compris en mouvement). Il est toutefois important de souligner que, dans son travail, la théorie et la méthodologie ne sont pas pensées comme séparées mais bien comme s’informant l’une l’autre, dans une perspective qui relève de la grounded theory (Charmaz, 2006).
Par la production d’un film co-réalisé, cette thèse participe en outre à l’essor de l’utilisation de la vidéo dans les travaux de recherche. En adoptant une démarche réflexive sur l’usage de la caméra et plus largement le rapport au terrain des chercheurs, C. Lehec engage également une réflexion éthique et politique sur les manières contemporaines de faire de la recherche avec et non sur les enquêtés.
Evaluation argumentée de la thèse
Comme évoqué précédemment, l’une des principales originalités de la thèse de C. Lehec est de reposer sur un rendu à la fois textuel et filmique. Alors que le nombre de thèses s’appuyant sur un support filmique est encore limité en géographie française, un tel travail ouvre des perspectives quant aux possibilités offertes par un tel support. C. Lehec n’en cache pas pour autant les difficultés (techniques, financières, éthiques, etc.) que soulève la réalisation d’un projet de ce type, en particulier lorsqu’il pousse à son terme la démarche collaborative jusqu’à être réalisé en partenariat.
Le travail de C. Lehec frappe d’ailleurs par l’honnêteté intellectuelle dont fait preuve son auteur : elle aborde ainsi de front la dimension concrète, et parfois crue, de la réalisation de la recherche (de la peur de la chercheuse sur son terrain à la recherche de financement, en passant par la question de l’usage plus ou moins licite de visas touristiques), qui fait souvent partie des non-dits de la recherche. A ce titre, cette thèse est particulièrement utile pour tous les chercheurs en géographie, et plus largement en sciences humaines et sociales, qui s’intéressent de manière réflexive aux pratiques de terrain, ainsi qu’à tous les chercheurs en formation qui sont confrontés pour la première fois à ces questions.
La dimension expérimentale, collaborative, engagée et « extradisciplinaire » de ce travail se révèle donc stimulante aussi bien sur le plan méthodologique, que théorique et épistémologique. Elle permet en effet de discuter des manières de produire un savoir légitime aujourd’hui en géographie et en sciences humaines et sociales.
Liste des sources ou corpus mobilisés dans la thèse
Textes ayant servi de références pour l’évolution de la présence des graffitis dans les camps de réfugiés palestiniens des années 1990 à nos jours :
– Culcasi K., 2016, “Engaging in the boycott, divestment, and sanctions (bds) debate”, Geographical Review, 106 (2), p. 258‑263.
– Le Troquer Y. et Nammar I., 1993, « Reflets d’une imagerie palestinienne », Annuaire de l’Afrique du Nord, tome XXXII, p. 193‑214.
– Steinberg P. et Oliver A.-M., 1990, The graffiti of the Intifada. A brief survey, PASSIA (Palestinian Academic Society for the Study of International Affairs), Jerusalem.
Sources des images mobilisées dans le film documentaire :
– Photographies de Dheisheh dans les années 1950, archivées par l’association palestinienne IBDAA du camp, auteurs et dates inconnus.
– Tony Kandah (réalisateur et producteur), 1990, Stolen Freedom : Occupied Palestine.
(1) Sources et données primaires
La réalisation de cette thèse s’est appuyée sur :
– cinq séjours à proximité du camp de Dheisheh d’une durée totale de six mois effectués entre 2015 et 2017.
– un corpus de 1406 photographies de graffitis présents sur les murs du camp, réalisées par l’auteure de la thèse avec l’aide d’un photographe professionnel et d’un habitant du camp.
– 22 entretiens semi-directifs avec des habitants du camp.
▻https://ltshs.hypotheses.org/709
#réfugiés_palestiniens #graffiti #graffitis #art_et_politique #Palestine
Ce travail est maintenant publié :
▻https://seenthis.net/messages/889432
We are a multidisciplinary team with roots in #graffiti art. Born in late 2001, Madrid, Spain. We develop our work mainly in the public space. We have carried out projects in South Africa, USA, UK, Brazil, Mexico, Georgia, Chile, Algeria, Norway, Kenya, China, Serbia or Panamá. We were 15 years old when we first met, while painting the walls of our neighborhood. We became friends since then. Our headquarter is in Madrid, but we spend the day from here to there, living among paint buckets, computers and ping-pong matches. We love what we do. We understand our work, as a tool to transform the street and to create bonds between people. We feel a responsibility with the city and time we are living in.
▻http://www.boamistura.com/#/project/te-comeria-a-versos
#art_et_politique #art #art_de_rue #street-art #détournement #espace_public #graffitis #art_de_rue #Boa_Mistura #passages_piétons
ping @visionscarto
« Les colleuses », reportage sonore avec celles qui recouvrent les murs contre les féminicides - Rebellyon.info
▻https://rebellyon.info/Les-colleuses-reportage-sonore-avec-21277
Elles sont féministes et elles luttent. Alors que le gouvernement organise un « Grenelle contre les violences conjugales », elles s’approprient les rues pour alerter sur les féminicides. Depuis début septembre 2019, des groupes de femmes recouvrent les murs de plusieurs villes de messages qui rendent hommage aux femmes assassinées et dénoncent le patriarcat et ses complices. De la peinture des messages dans un appartement à leur collage sur les murs de Lyon, plongée sonore avec les colleuses.
#audio #violences_conjugales #violences_masculines #Lyon #féminisme #féminicide
#Tags et #graffitis #anti-touristes à #Athènes, en #Grèce
Photos prises en juillet 2019
Dear tourist, enjoy your AirBnB.
A futur homeless
Immigrants welcome
Tourists fuck off
AirBnB tourists leave
AirBnB tourists, time to leave
AirBnB tourists leave
Don’t be an asshole, don’t do AirBnB
AirBnB does not include breakfast
#AirBnB #tourisme #art_de_rue #street_art
Ajouté à la métaliste:
▻https://seenthis.net/messages/745557#message808994
v. aussi :
▻https://seenthis.net/messages/808996#message809138
ajouté par @fil
#graffitis à #Athènes, en #Grèce. Juillet 2019
Ajouté à la métaliste sur les graffitis :
►https://seenthis.net/messages/745557
Athènes, 07.07.2019
From ancient to modern times... who controls money?
Talk to me. But I don’t know what to say
Burn your local rapist
Riots not diets:
Je rêve
Stop EU-Turkey deal. Open the borders
Shit on your whole mortifying imaginary, and symbolic theater
My body is not your business
And don’t forget to burn the #police
Feminist queen
Et cette série de femmes qui sont un peu partout...
Et ces graffitis sur #Petrou_Ralli
Tear down Petrou Ralli
Pour rappel, Petrou Ralli, ici pris en photo par Alberto Campi :
Et cette vidéo que j’ai réalisée avec Alberto :
▻https://vimeo.com/130416045
Athènes, 09.07.2019
Burn the police
Fuck NGOs charity
Class solidarity
Make nazis burn again:
Athènes, 10.07.2019
SLOW GEOGRAPHY!
There is no first or third world
We are all one world
Athènes, 11.07.2019
We will not be silent
Capitalism ruins everything around me
Athènes, 13.07.2019
#Berlin is the new Athens ?
Blood, sweat and tears
Athènes, fin octobre 2019
@fil : pour AirBnB, j’ai fait un fil à part :
►https://seenthis.net/messages/808999
#Roche_de_Rame, dans le #Briançonnais... des #graffitis
Bar fantôme
Boucherie fantôme
#art_de_rue #street-art #village-fantôme #ghost-town #abandon #France
Ajouté à cette métaliste :
►https://seenthis.net/messages/745557#message767753
Répression anti-Bahaïs en Iran et Street art à #Naplouse
Le ministre iranien de l’Éducation a rappelé que l’interdiction de scolarité qui frappe les étudiants qui se déclarent d’une religion non reconnue, cela vise essentiellement les #Bahaïs, nous dira Ehsan Manoochehri, responsable de la rédaction persane de RFI.
À Naplouse, des artistes du monde entier et des artistes palestiniens sont actuellement en train de peindre des #fresques murales dans le #camp_de_réfugiés de #Balata en périphérie de la ville. C’est un projet lancé par un Américain qui a des origines palestiniennes pour faire vivre l’#art dans une zone défavorisée, où les peintures présentes sur les murs rappellent le conflit israélo-palestinien. Reportage de Guilhem Delteil.
▻http://www.rfi.fr/emission/20190928-iran-repression-bahais-street-art-naplouse-balata?ref=tw
#street-art #art_de_rue #graffitis #Palestine #réfugiés_palestiniens
Des tribunes aux murs des kampung indonésiens : quand les ultras marquent le territoire
▻https://neotopo.hypotheses.org/2199
Dr. Jean-Baptiste Bing, Directeur de la Maison du Patrimoine Oral de Bourgogne, Géographe, Conteur Les supporters d’une équipe de football sont assez logiquement à leur place dans un stade ; dans le cas des groupes...
NO ZES, NO VELENI
Ajouté à la métaliste des graffitis en Italie :
▻https://seenthis.net/messages/745557#message767755
Des « mystérieux » tag tapissent Grenoble et plus précisément le quartier de Saint-Bruno :
#faire_monde
#graffitis #art_de_rue #street-art #Grenoble #paix #violence
Ajouté à la métaliste sur les tags de Grenoble :
►https://seenthis.net/messages/745557#message767753
ping @cede
#Papeteries (il fut un temps) de #Pont_de_Claix (dans les alentours de #Grenoble).
Quelques photos, vu que j’ai eu la possibilité de les visiter, avec des collègues dans le cadre d’un projet de recherche...
#archéologie_industrielle #papeterie #industrie_du_papier
ping @reka
Les papeteries de #Pont_de_Claix : un #patrimoine méconnu
A l’occasion des Journées européennes du patrimoine qui se dérouleront les 14 et 15 septembre prochains, la ville de Pont-de-Claix organise une exposition sur la mémoire des papeteries et des papetiers.
Le site industriel des papeteries a fermé ses portes le 1er juillet 2008 suite à une liquidation judiciaire. Ce fut un important drame social puisque des centaines de personnes se sont retrouvées sans emploi. C’est également une page de l’histoire qui se tourne pour la commune de Pont-de-Claix, car à bien des égards, les papeteries sont un site important. L’entreprise d’origine familiale est la première à s’être installée sur le territoire Pontois. De surcroît, cette industrie est à l’origine de la création et de la structuration de la commune.
187 ans d’Histoire et d’activités industrielles
Le Pont-de-Claix est une commune récente : cette année, la ville fête son 141ème anniversaire. Elle tire son nom du pont qui surplombe le Drac, construit entre 1608 et 1611 à l’initiative de François de Bonne, futur Duc de Lesdiguières.
Cependant, la construction de ce pont n’est pas à l’origine de la fondation de la commune. Il faut savoir que jusqu’à la fin du XIXe siècle le hameau du Pont-de-Claix dépendait de la ville de Claix, canton de Vif, et de Champagnier, canton de Vizille. Ce n’est qu’en 1872 que les Pontois, de plus en plus nombreux suite à l’établissement des papeteries, ont exprimé le souhait de l’autonomie du bourg. La fondation de la commune est étroitement liée à l’implantation de la première société industrielle, les papeteries de Pont-de-Claix.
Les papeteries de Pont-de-Claix se sont installées au Hameau du Pont, sur la terre de Marcelline du Drac en 1821. Le pharmacien grenoblois, Etienne Breton, passionné de chimie, et ses fils Jules et Paul Breton sont les fondateurs de ces papeteries. A la mort de son père et de son frère, Paul Breton dirige l’entreprise avec son cousin Paul Bon et madame Vve Breton. Paul Breton est un personnage important pour la ville de Pont-de-Claix car il n’est autre que le premier maire de la commune. Il a joué un rôle majeur pour l’autonomie du petit bourg pontois obtenue en 1873. L’industrie est donc à l’origine de la fondation de la commune.
Ce site a traversé 187 années d’Histoire de France et a lutté contre les différentes crises rencontrées jusqu’en 2008. Pendant la Première Guerre mondiale par exemple, un dispensaire de 60 lits a été aménagé dans les papeteries pour soigner les soldats blessés et du papier macule goudronné [ndlr : papier d’emballage renforcé] a été envoyé au front pour isoler les tranchées du froid. L’histoire forte de cette bâtisse est intimement liée à l’histoire des pontois. C’est toute une histoire de la papeterie française et d’un savoir-faire qui s’est terminée en 2008.
Les papeteries aujourd’hui
Actuellement, le site est en cours de démolition. Seuls des bâtiments datant du XIXe siècle, la Villa Sombardier et le château seront conservés. Afin de ne pas perdre une partie importante de l’Histoire, la ville de Pont-de-Claix a mis en place un comité de travail pour la mémoire des papeteries.
Ce groupe de mémoire des papeteries est composé de différents services de la ville tels que les centres sociaux, l’urbanisme, la bibliothèque, la communication, la maison de l’Habitant, les archives et enfin la culture. Pour mener à bien ce projet de mémoire, nous sommes à la recherche de témoignages, de documents photos / vidéos, d’archives et d’objets qui sont en lien avec les papeteries et la vie sociale des papetiers et leurs familles.
▻https://www.echosciences-grenoble.fr/articles/les-papeteries-de-pont-de-claix-un-patrimoine-meconnu
Et voilà le #projet_d'aménagement de la #métro...
Projet d’aménagement des Papeteries de #Pont-de-Claix
Une entrée stratégique : Le projet de réaménagement des « Papeteries » doit permettre de valoriser le positionnement stratégique du site en tant que porte d’entrée pour le sud de l’agglomération.
Développer l’activité économique et la création d’emplois : Avec ce projet, les partenaires entendent conforter le positionnement de Pont-de-Claix comme un pôle économique majeur de la Métropole. Pour ce faire, le projet des « Papeteries » mêlera emplacement pour des entreprises et nouveaux logements dans un « projet mixte ».
Penser à l’existant : Ces nouvelles constructions devront permettre une bonne transition avec les quartiers d’habitat voisins, la Métropole veillera à apporter un traitement architectural et paysager élevé.
Préserver l’histoire : Les Papeteries de Pont-de-Claix sont une trace importante de l’histoire de notre territoire. La Métropole tachera de valoriser ce site historique et son patrimoine bâti.
L’avenue des maquis de l’Oisans qui traverse le site, sera requalifiée afin de s’adapter aux nouveaux usages.
Des #graffitis photographiés sur le site des papeteries :
« Moudi » vie tes rêves
Ajouté à la métaliste :
►https://seenthis.net/messages/745557#message767753
#Graffitis photographiés à #Bolzano, en mai 2019 (oui, j’ai un peu de retard...)
Chi ama la libertà odia la #Lega_Nord
Et une #affiche féministe
#art_de_rue #street-art #Italie
Ajouté à la métaliste sur les graffitis :
►https://seenthis.net/messages/745557
L’arte muore ogni volta che non la vedi
#graffitis #graffiti #street-art #art_de_rue #Italie
Sur la route entre Udine et #Tarvisio :
Eterna guardia alla frontiera
Photos prises le 09.05.2019
Ajouté à cette métaliste sur les graffitis :
►https://seenthis.net/messages/745557
A #Gorizia... des graffitis, pas vraiment très à gauche...
E #Vlade accarezza la tigre
NARO
Ettore, RIP, if you only knew...
#graffitis #graffiti #street-art #art_de_rue #Italie
Photos prises le 08.05.2019
Ajouté à cette métaliste sur les graffitis :
►https://seenthis.net/messages/745557
#Sacrario_militare #Redipuglia
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Cimeti%C3%A8re_militaire_de_Redipuglia
Quelques photos prises le 08.05.2019:
Un monument impressionnant, très très imposant:
Et cette liste infinie de noms... avec cette inscription à gros caractères PRESENTE ("présent"):
Ne nous oubliez pas!
Quelques #chiffres des #pertes de vies humaines
Non curiosità di vedere
ma proposito di ispirarvi
vi conduca
Agli invitti
che diedero per la Patria
tutto il sangue
solo è degno di accostarsi
chi ha nel cuore la Patria
Et des #graffitis de #guerre dont on peut voir les photos dans le musée...
Avec cette introduction:
Se un giorno gli uomini taceranno.
Se l’ingratitudine ucciderà ogni ricordo
grideranno le pietre
#mémoriel #musée #WWI #première_guerre_mondiale #monument #Italie #guerre
ping @reka
#graffitis #graffiti #street-art #art_de_rue #Italie
Photos prises le 07.05.2019
Ajouté à cette métaliste sur les graffitis :
►https://seenthis.net/messages/745557
Vertical social segregation in Athenian apartment buildings
Athens grew very dynamically in the first three post-war decades, during which its population more than doubled (from 1,500,000 in 1951 to 3,500,000 in 1981).
The city’s increasing population was housed in two main ways: a) individual privately-owned housing in the city’s outskirts, characterised by poor construction standards and b) housing in modern apartments built through the flats-for-land (antiparochi) system that mainly covered the needs of the middle and working-class social strata.
J’ai qualifié Athènes d’"ingentrifiable" (Alexandri and Maloutas). Comme Paris autrefois, la ville connaît une ségrégation verticale, mais dans l’autre sens. Les plus riches vivent dans les étages élevés et les plus pauvres ou les immigrés dans les étages inférieurs (Maloutas et Karadimitriou, 2001 ; Maloutas et Spyrellis, 2017).
▻http://www.dionyversite.org/Docus/P8-4p_Gentrification.pdf
#gentrification
#Graffiti in Cyprus paints a rich and complex picture of this divided society
All too often, graffiti is categorised as either art or vandalism, when in fact it’s so much more than that. When read with special attention, graffiti can offer deep insights into societies experiencing rapid social and political change – especially those marred by recent conflict.The walls of a city give communities and individuals who may not have a formal platform space to share their feelings and opinions, and challenge dominant beliefs or ideals.
As researchers interested in societies recovering from disaster or conflict, we recently took a trip to explore graffiti in Cyprus. Cyprus and its capital, Nicosia, have remained divided since 1974, following the Turkish invasion and ensuing conflict.
The Turkish-Cypriot state in the north (recognised only by Turkey) is separated from the internationally-recognised Republic of Cyprus in the south by a UN-controlled buffer zone.
Crossings between the two sides are only permitted through closely monitored checkpoints, leaving the Cypriot people physically, politically and culturally divided.
In places like this, graffiti can both reflect and shape community attitudes at a grassroots level. By seriously examining graffiti as a cultural product of such societies, we can better understand these divisions and work towards peacebuilding.
The power of graffiti
Graffiti encompasses a wide variety of motivations and styles: anything from tagging to more artistic forms of expression like murals. Research has investigated how graffiti can be a channel for political participation and informal education. It’s a medium widely associated with urban subcultures formed around punk, hip-hop and skateboarding along with many other social movements over the decades.
Views about the value of graffiti can vary just as widely. Authorities, artists and members of the public tend to take different stances, which can also depend on context, content and style. Graffiti has sometimes been linked to social disorder and decline, but it can also add cultural value or in some cases lead to “artwashing” and gentrification. Certainly, it has the power to influence the character of a place, and change urban landscapes over time.
When searching for meaning in graffiti, we must look at its form and content. For example, pieces of plain writing may initially seem quite simple, but things like language choices can be telling.
In Nicosia, Turkish and Greek messages were painted with meaning for each respective “inside” group, while English was used to address a wider, international audience. So language choice is indirectly related to the ethno-nationalist conflict, and acts as an informal commentary on people’s experiences of the city.
Inevitably, we saw many references to division and conflict in the graffiti of Nicosia. But we also saw pieces related to local gang tags, local politics, anti-sexism and the patriarchy, racism, migrant worker rights, refugees, consumerism, veganism and LGBTIQ+ inclusion – among other topics.
This suggests local people are seeing beyond the past conflict in their daily lives. But it also suggests existing formal platforms for these issues to be addressed may not be effective or leave some feeling disillusioned. So people turn to city walls.
Making a statement
Larger scale murals across Cyprus are beautifully and skilfully painted – and equally interesting. In war-torn, damaged urban landscapes, they can be seen as an attempt to make the spaces more aesthetically appealing or to make a larger statement. These are often commissioned, and are even incorporated into official peacebuilding initiatives, art festivals and tourism strategies.
A mural in the southern city of Limassol, depicting a Nepali woman and her child, was painted shortly after the 2015 earthquake; unrelated to the Cypriot conflict itself, it affirms that Cypriot artists are outward-looking and aware of turmoil beyond their own borders (not always common in conflict zones).
Symbols are commonly used in street art across the world to deliver powerful political statements instantly. Internationally recognised symbols make a visual connection to transnational communities, ideologies and movements.
In Nicosia, common symbols included the Communist hammer and sickle, the Anarchist symbol, the peace sign, doves, gender signs and even swastikas. These symbols have broad, universal meanings attached to them so that no matter where the audience is from (Cyprus receives more than 3m tourists per year), the message is understood.
Location matters
Where graffiti is painted also tells a significant story: we saw that location influenced both the amount and the content of graffiti. The old city of Nicosia has lots of buffer zone walls and barriers, and a border crossing on the main shopping thoroughfare.
The areas closest to crossings contained mostly English language messages, explicitly about the conflict. Further away from the buffer zone, we observed less graffiti, and the messages become more varied.
We can speculate, then, that the division might have a greater influence on daily life, the closer people are to the dividing wall. This highly contextual insight has the potential to enhance our understanding of the unique experiences of local people in conflict-affected zones.
Our early investigations of graffiti have already told us much about life in conflict-affected Cyprus. Clearly, the importance of graffiti should not be overlooked: it can open a window into the lives and minds of many people, who might otherwise lack a voice.
▻https://theconversation.com/graffiti-in-cyprus-paints-a-rich-and-complex-picture-of-this-divide
#Chypre #graffitis #art_de_rue
3,800 Volunteers Have Joined an Artist to Challenge Trump’s Idea of a “Big, Beautiful Wall” on the US–Mexico Border
With the help of thousands of volunteers, #Enrique_Chiu is creating a large-scale mural on Mexico’s side of the border to spread a message of peace.
Et la question qui notamment Anne-Laure Amilhat Szary se pose... en invitant des artistes à rendre le mur "joli"... ne réifie-t-on pas le mur ? N’est-ce pas une démarche contre-productive ?
Ca me fait penser aux artistes occidentaux qui décorent le Mur en Palestine, ce qui ne plaît pas beaucoup à de nombreu.se.x Palestinien.ne.s qui ne veulent pas qu’on embellisse cette horreur...
Anne-Laure Amilhat Szary devrait se taire car sa belle voie pourrait rendre agréable d’écouter ce qu’elle dit.
@mad_meg peux-tu m’expliquer ton commentaire ? Comprends pas ce que tu veux dire...
L’expression des artistes est qualifié de jolie par Anne-Laure Amilhat Szary. Ca me fait le même effet d’entendre reproché à une cause d’être porté par une belle voix.
C’est ma manière de répondre par l’absurde à ce reproche qui me semble absurde.
En fait, Anne-Laure qualifie peut-être de « joli » l’expression des artistes, mais justement pour dénoncer l’effet pervers que ça induit... Pour connaître bien son travail, c’est vraiment quelqu’un qui a dès le début dénoncer l’effet pervers des actions artistiques sur les murs frontaliers.
Je ne sais pas quel est le travail de cette personne, mais le fait qu’elle dénonce depuis longtemps les artistes qui essayent d’attiré l’attention sur ce mur ne la rend pas plus interessante.
Elle dit notamment cela :
▻https://halshs.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/809322/filename/Amilhat_que_montrent_les_murs.pdf
et ça :
Partout où les frontières se ferment, des formes de border art surgissent. Le border art, c’est à la fois l’art de la frontière, l’art à la frontière et l’art sur la frontière. Les murs-frontières où le border art s’est le plus illustré sont les murs les plus médiatiques : Israël / Palestine, Etats-Unis / Mexique, Berlin et puis les deux autres cas qui ont été beaucoup mobilisés : Belfast et Chypre. Les murs-frontières sont un catalyseur extrêmement fort du border art et le border art est un catalyseur de ce que les murs-frontières nous disent.
▻https://www.franceculture.fr/video/border-art-signe-de-fermeture-du-monde
#border_art
Elle met en évidence l’ambiguïté du border art, qui réifie ce qu’ils essaient de dénoncer...
Citation :
« Ces images fonctionnent comme des prophéties autoréalisatrices : une fois investis des millions dans la construction d’une barrière dont les clichés seront régulièrement présentés dans les médias, il devient évident pour le destinataire de cette communication que le danger contre lequel la barrière devait le prémunir est réel. Selon un syllogisme fallacieux, l’immigrant illégal voit sa dangerosité confirmée par l’ampleur du dispositif mobilisé pour le combattre ».
Amilhat Szary, 2015, Qu’est-ce qu’une frontière aujourd’hui ?
Vu dans le #Vercors, le 30.03.2019
A #Villars-de-Lans...
#Macron = #Neron
#Castaner = #Himmler
Vercors, tu dors
Et à #Autrans :
Croire en ses rêves
#graffitis #art_de_rue #street-art #France
ajouté à la métaliste graffiti :
►https://seenthis.net/messages/745557
#Graffiti à #Briançon... On ne lit pas bien, mais...
"#Brisons_les_murs, les #prisons, les #frontières"
« #Anti-atlas_des_frontières »
Photo prise par #Nils_Labar qui fait un mémoire sur les réseaux de solidarité à Briançon
Ajouté à la métaliste sur les graffitis
►https://seenthis.net/messages/745557