• Grèce : raz de marée de droite, effondrement de la gauche. Surprise ou résultat électoral annoncé ?

    Comment expliquer la victoire ou plutôt le triomphe de la droite grecque et la défaite ou plutôt l’effondrement de la gauche de Syriza aux élections du 21 mai ? Comment expliquer le fait que la Nouvelle Démocratie (ND) du premier ministre Kyriakos Mitsotakis fait plus que le double (41%) du score de Syriza (20%) ? Et aussi comment expliquer que la gauche – pratiquement de toute obédience – prédisait jusqu’à la veille des élections, des résultats électoraux qui allaient servir de tremplin pour l’assaut final d’un mouvement populaire grec en plein essor contre le pouvoir d’une droite diminuée et en crise ?

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/05/27/grece-raz-de-maree-de-droite-effondrement-de-l

    #international #grece

  • À bas les #CRA : « Ce matin, nous on pleurait et la police rigolait »
    https://framapiaf.org/@abaslescra@todon.eu/110435771432246425

    « Ce matin, nous on pleurait et la police rigolait »
    Suite à la mort d’un retenu au CRA de Vincennes, nous publions ici un nouveau témoignage d’un retenu.
    « Cela faisait une semaine qu’il était malade, il demandait à aller à l’hôpital. L’infirmerie refusait et lui disait juste de prendre des dolipranes. Ici c’est comme ça, t’es jamais bien soigné. Pour voir un médecin, t’es obligé de gueuler, de te mettre en grève de la faim.
    Les keufs l’ont tapé, tapé. Ils l’ont mis à l’isolement et là tu sais comment cela se passe. Il n’y a pas de caméra et les flics te frappent, te frappent... Puis les flics l’ont ramené dans sa chambre hier et ce matin il est mort.
    Les flics ce sont des racistes, ils font ce qu’ils veulent. Ce matin, nous on pleurait et la police rigolait. Ils ont pris le téléphone du gars qui est mort pour nous empêcher de contacter ses proches. Les flics, ils vont tout faire pour faire croire que c’est pas à cause d’eux. »

    • Mort suspecte au centre de rétention de Vincennes : la police accusée - POLITIS
      https://www.politis.fr/articles/2023/05/mort-suspecte-au-centre-de-retention-de-vincennes-la-police-accusee

      Mort suspecte au centre de rétention de Vincennes : la police accusée

      Un retenu a été retrouvé mort, ce vendredi 26 mai, au centre de rétention administrative de Vincennes. Plusieurs témoins affirment qu’il avait été frappé, la veille, par des policiers, après s’être plaint de ne pas pouvoir être conduit à l’hôpital depuis plusieurs jours.
      Hugo Boursier et Pierre Jequier-Zalc • 26 mai 2023
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      Mort suspecte au centre de rétention de Vincennes : la police accusée
      Le centre de rétention administrative de Vincennes, en septembre 2019.
      © STEPHANE DE SAKUTIN / AFP.

      Un retenu a été retrouvé mort, ce matin du 26 mai 2023, au bâtiment numéro 1 du centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes. L’information, confirmée auprès de Politis par l’Assfam, l’association en soutien aux personnes exilées sur place appartenant au Groupe SOS, a été rendue publique par le collectif À bas les CRA, sur Twitter

      Contactés par Politis, plusieurs retenus ont précisé que la personne, d’une cinquantaine d’années et originaire d’Égypte, était malade depuis au moins une semaine. Il était entré au CRA début mai. « Il voulait être soigné à l’hôpital mais les policiers refusaient », indique l’un d’entre eux, joint par téléphone. Certains de ces retenus affirment qu’il a été frappé par trois policiers, jeudi 25 mai.

      « Il a été tabassé par les flics hier, puis il est rentré dans sa chambre. Et ce matin vers 9 heures y a des gars qui l’ont retrouvé inconscient », rapporte le collectif À bas les CRA, citant un retenu présent au centre.
      Déjà deux morts en 2019

      Une altercation à la suite de laquelle des blessures auraient été constatées au niveau du visage du retenu. « Les policiers lui ont pété une dent, il saignait de partout », décrit, en pleurs, une personne présente. « Liberté, égalité, fraternité, qu’ils disent », ajoute-t-il. Joint, le ministère de l’Intérieur n’est, à ce stade, pas en mesure de commenter l’information.

      Plus grand CRA de France métropolitaine après celui de Mayotte, le centre de Vincennes avait déjà connu deux morts en 2019. Il est régulièrement critiqué pour ses conditions de rétention. D’après À bas les CRA, depuis deux jours, une grève de la faim a été lancée par « une majorité des retenus du bâtiment 2 », pour protester contre les violences policières, la réduction du temps de parloir et la mauvaise qualité de la nourriture. Un rassemblement est prévu, à 19 h 30, ce soir, devant le RER de Joinville-le-Pont.

      Ce soir, la préfecture de Police de Paris annonce à Politis qu’une enquête a été ouverte pour « établir les causes et circonstances du décès ».

  • #écriture_inclusive La sécession des élites Christian Rioux

    Le jugement n’est pas anodin et passera peut-être à l’histoire. Le 11 mai dernier, un tribunal a décidé d’interdire l’utilisation de l’écriture dite « inclusive » dans les documents de l’Université de Grenoble. Le 16 juillet 2020, le conseil d’administration avait en effet décidé de rédiger les statuts de l’institution dans ce nouveau sabir idéologique qui fait fi de certaines des règles élémentaires de la langue française en multipliant les points médians et autres signes inconnus des grammaires.


    On pouvait notamment y lire que « le.la Directeur.trice du Service des Langues est élu.e pour 5 ans au scrutin secret. Il.elle est élu.e au premier tour à la majorité absolue des membres élu.e.s., aux tours suivants, il.elle est élu.e à la majorité relative. » Je vous épargne la suite.

    Le tribunal réagissait ainsi à la plainte déposée par un professeur agrégé d’anglais. Il estimait que ce texte enfreignait la Constitution puisque celle-ci stipule que « la langue de la République est le français ». À la surprise générale, les juges lui donnèrent raison au nom d’une jurisprudence selon laquelle les actes administratifs doivent répondre à un principe de « clarté et d’intelligibilité ». Tout document serait donc tenu d’avoir « un niveau de clarté propre à garantir son accessibilité immédiate ». La démocratie serait à ce prix.

    Dans son jugement, le tribunal s’appuie sur une déclaration de l’Académie française datée du 26 octobre 2017 qui affirme que « la multiplication des marques orthographiques et syntaxiques » de cette écriture « aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité ».

    Les Immortels ne croyaient pas si bien dire. Car au-delà du débat juridique et linguistique, ce jugement met en évidence ce que l’on pourrait désigner comme une forme de sécession de plus en plus manifeste des nouvelles élites intellectuelles et universitaires.

    En effet, les membres du conseil d’administration de l’Université de Grenoble n’ont pas décidé de proposer une réforme linguistique, de convaincre la majorité de leurs idées, d’envoyer un mémorandum au gouvernement ou à l’Académie française. Ils ont décidé d’écrire comme bon leur semble. Qu’on se le tienne pour dit !

    Peu importe que pratiquement personne n’écrive ainsi, que cette langue soit en réalité « excluante » puisqu’elle n’est enseignée nulle part et n’a ni grammaire ni règles connues de tous. Peu importe que, selon un sondage de l’Ifop réalisé en 2021, 63 % des Français en réprouvent l’usage et 42 % n’en aient même jamais entendu parler https://www.ifop.com/publication/notoriete-et-adhesion-aux-theses-de-la-pensee-woke-parmi-les-francais . Au nom de leurs bons sentiments et d’un féminisme dévoyé, ces élites se sont levées un beau matin et ont décidé que la langue commune que parlent plus de 300 millions de francophones dans le monde ne faisait plus leur affaire et qu’il fallait la changer. Comme si elle était leur propriété privée.

    Voilà bien ce qu’on appelle faire sécession. Si les néoféministes agissent ainsi, pourquoi chacun n’utiliserait-il pas demain ses propres règles linguistiques, qui au nom de l’écologie, qui au nom de l’antiracisme, qui au nom de la simplification de la grammaire ? Quant aux partisans de la paix universelle, ils pourraient écrire en espéranto — certains n’en sont d’ailleurs pas très loin. Quid alors de la langue commune ?

    Au-delà du délire inhérent à ce mode d’écriture abscons et totalement idéologique, l’exemple de l’Université de Grenoble illustre combien nos nouvelles élites « éclairées » vivent de plus en plus dans leur propre univers avec leurs propres références culturelles. Et donc, pourquoi pas leur propre langue ? C’est ce qu’avait décrit avant tout le monde l’historien et sociologue américain Christopher Lasch, décédé en 1994. Ce ne sont plus les masses, le prolétariat ou le peuple qui se révoltent, disait-il, mais les élites instruites, celles qui ont accès à l’université et inondent les médias, qui, au nom du Bien, ont décidé de faire sécession et d’en finir avec ce peuple qui serait de toute façon raciste, sexiste, pollueur et misogyne.

    Contrairement à la vieille bourgeoisie nationale qui s’était résolue à « faire nation », nos nouvelles élites mondialisées se sont « retirées de la vie en commun », a écrit Lasch. Elles ont plus en partage avec les classes favorisées qui vivent à des milliers de kilomètres de là qu’avec les gens qui font leur ménage et ramassent leurs poubelles. Ce séparatisme élitaire explique toute une série de phénomènes étranges qui, autrement, demeureraient incompréhensibles. Qu’on pense aux discours exaltés, irrationnels et parfois même antiscientifiques sur les minorités sexuelles, raciales ou ethniques. Des discours à ce point extrémistes qu’ils dépassent l’entendement de la majorité. Et empêchent donc de faire société.

    Quand on ne veut plus partager la langue du plus grand nombre, cela en dit long sur le degré de dissolution de la société. Récemment, deux professeurs de l’Université Lyon 2, convaincus de leur supériorité morale, n’ont pas hésité à imposer un examen de droit rédigé en sabir « inclusif ». On y trouvait des graphies comme « touz », « als », « appelae » et « reconnux ». À ceux qui s’estimaient lésés par un énoncé « illisible », l’université répliqua que la « liberté pédagogique » était sacrée. Le reste de l’humanité n’avait qu’à aller se rhabiller.

    #racisme #élites #sécession #révolte #racisme #exclusion #France #Grenoble #constitution #bobos #linguistique #discrimination ( de celles et ceux qui n’appartiennent pas à la #bourgeoisie )

    Source : https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/791787/chronique-la-secession-des-elites
     

  • Des plastiques « biodégradables »… qui ne se dégradent pas Philippe Robitaille-Grou

    Les plastiques dits « compostables » ou « biodégradables » sont vendus à la tonne pour redorer le blason écologique des fabricants. Mais il y a un hic. Plusieurs d’entre eux ne se dégradent que dans certains environnements contrôlés, alors que dans la nature, où ils aboutissent, la réalité est tout autre.

    C’est ce que constatent des chercheurs de l’Institut océanographique Scripps à San Diego dans leur article publié mercredi dans la revue PLOS One.

    Des soi-disant “bioplastiques” n’ont pas le moindre signe de biodégradation après avoir passé plus d’un an dans l’océan, montrent les expériences effectuées par les auteurs.


    “C’est du greenwashing”, ou écoblanchiment, dénonce la Québécoise Sarah-Jeanne Royer, autrice principale de l’étude, qui a mené cette recherche dans le cadre de son postdoctorat à l’institut californien. “Beaucoup de gens vont croire qu’en utilisant ces bioplastiques, ils feront un bon geste pour la planète et que le produit va se dégrader s’il se retrouve dans l’environnement, mais pour ça, on a besoin de conditions de compostage très particulières.”

    Recette différente, mêmes résultats
    Vêtements, tapis, autres textiles… La production mondiale de fibres synthétiques continue de croître à un rythme effréné. Elle a atteint 68 millions de tonnes en 2020, selon les données de l’organisme à but non lucratif Textile Exchange, et est composée principalement de polyester, un plastique qui peut demeurer dans l’environnement durant plusieurs siècles.

    Un rapport de la firme Research and Markets prédit d’ailleurs que le marché global de fibres synthétiques connaîtra une croissance de plus de 7 % en quatre ans, de 2021 à 2025. Une vaste partie de ces fibres se retrouve dans les eaux usées, notamment par l’intermédiaire des machines à laver qui ne parviennent pas à les filtrer, et est par la suite acheminée dans les océans.



    La plage de Kamilo, à Hawaï, est reconnue pour la grande quantité de déchets de plastique qui s’y accumule.

    L’acide polylactique (PLA), fabriqué avec de l’amidon végétal, est couramment utilisé comme substitut “plus vert” des plastiques à base de pétrole. La nouvelle étude n’abonde toutefois pas dans ce sens.

    Après 428 jours dans l’eau de mer, les textiles faits de PLA, tout comme ceux formés de polyester, ne présentaient aucun signe de dégradation : le diamètre des fibres n’avait pas diminué et l’empreinte chimique, servant à indiquer la composition moléculaire, ne montrait pas la moindre transformation.

    Le PLA se dégrade seulement s’il est soumis à des températures et à des pressions très élevées, ce qui n’est pas le cas dans les milieux où il aboutit généralement, remarquent les auteurs.

    Ces résultats “soulignent à quel point le langage employé pour qualifier les plastiques est crucial”, estime le biologiste marin Dimitri Deheyn, qui a participé aux travaux.

    Les fabricants devraient avoir à fournir aux clients toute information sur la biodégradabilité de leurs produits, renchérit Sarah-Jeanne Royer. “Lorsqu’on achète une boîte de conserve, on sait exactement tout ce qu’il y a à l’intérieur en raison des lois mises en vigueur, explique-t-elle. Mais au niveau de produits comme le textile, il n’y a pas vraiment de norme environnementale pour bien informer les clients.”

    « On nous trompe. Et ça peut mener à des catastrophes du point de vue environnemental. »
    — Une citation de Sarah-Jeanne Royer, autrice principale de l’étude

    Autres substituts
    D’autres options souvent présentées comme solutions de rechange au plastique traditionnel ont été mises à l’épreuve par les chercheurs.

    Les textiles fabriqués à base de cellulose naturelle ont fait meilleure figure que le PLA. Ils se dégradaient complètement en à peine un mois.

    Les auteurs notent cependant que les matériaux analysés ne contenaient pas d’additifs. Or, les entreprises incorporent souvent des nanomatériaux, entre autres pour améliorer la protection contre l’eau et les rayons ultraviolets. Ces ajouts peuvent rallonger le temps de dégradation des produits, voire les rendre carrément non biodégradables.

    Certains fabricants se targuent plutôt de se servir de mélanges de cellulose naturelle et de plastique. Selon l’étude, seule la partie naturelle de ces mélanges parvient à se biodégrader.

    Réduire à la source
    Les recherches de l’Institut océanographique Scripps ne sont pas les premières à montrer les limites de la production de plastiques prétendument “plus verts”.

    En 2019, des chercheurs de l’Université de Plymouth au Royaume-Uni révélaient que plusieurs sacs de plastique vendus comme “biodégradables” ou “compostables” étaient encore, après trois ans passés dans la nature, en suffisamment bon état pour transporter près de cinq livres de provisions.

    Selon Sarah-Jeanne Royer, ces divers résultats montrent l’importance de tests standardisés pour vérifier si les plastiques dits “biodégradables” le sont véritablement. Mais, outre les normes en place, les efforts devraient à la base se concentrer sur une réduction de la production et de la consommation de plastique, “bio” ou non, martèle la chercheuse.

    “Si on prend l’industrie de la mode, par exemple, c’est la deuxième la plus polluante au monde”, affirme-t-elle. “Il faut acheter moins, et lorsqu’on le fait, il faut être bien renseigné pour pouvoir miser sur des matériaux de qualité.”

    Mme Royer a également décidé de mettre la main à la pâte pour s’attaquer à la pollution plastique déjà présente. Elle fait partie de l’organisme à but non lucratif Ocean Cleanup, qui sillonne les océans pour en extraire les déchets de plastique. Plus de 100 000 kg ont été retirés à ce jour.

    #plastique #polyester #biodégradables #composte #biodégradation #greenwashing #écoblanchiment #fibres_synthétiques #acide_polylactique #PLA #cellulose #nanomatériaux #mode

    Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1981758/bioplastique-compostable-environnement-textiles-ecoblanchiment

  • Once a fringe theory, “#greedflation” gets its due
    https://www.axios.com/2023/05/18/once-a-fringe-theory-greedflation-gets-its-due

    The idea that #profits drove our current bout of #inflation surfaced in the last few years among progressive economists and lawmakers but was waved away by more #mainstream types as a “conspiracy theory.” That changed earlier this year.

  • The deputy defence minister in #Greece visits the border fence at the #Evros river.
    Interesting for me how #Frontex poses there together with the #military.

    https://i.imgur.com/ACIWjCy.png

    https://twitter.com/matthimon/status/1658789440318328833

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    Χαρδαλιάς απ’ τον φράχτη : « Η φύλαξη των συνόρων μας αποτελεί προτεραιότητα, είναι εθνική επιταγή »

    Ο Υφυπουργός Εθνικής Άμυνας Νικόλαος Χαρδαλιάς κατά την επίσκεψη του στον Έβρο την περασμένη Δευτέρα 15 Μαΐου 2023, επισκέφθηκε το Επιτηρητικό Φυλάκιο « ΠΕΤΑΛΟΥ ΠΕΠΛΟΥ » και τον Φράχτη στην περιοχή του ελληνικού προγεφυρώματος Πετάλου.

    Ο κ.Χαρδαλάς, μαζί με τον Ευρωβουλευτή και Αντιπρόεδρο της Κοινοβουλευτικής Ομάδας του Ευρωπαϊκού Λαϊκού Κόμματος στο Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο Ευάγγελο Μεϊμαράκη, ενημερώθηκαν για τα μέτρα επιτήρησης και φύλαξης των ελληνικών και παράλληλα ευρωπαϊκών συνόρων.

    Τον Υφυπουργό Εθνικής Άμυνας συνόδευσαν οι Διοικητές του Δ΄ Σώματος Στρατού Αντιστράτηγος Δημόκριτος Κωνσταντάκος, της XII Μηχανοκίνητης Μεραρχίας Πεζικού Υποστράτηγος Χρήστος Μπακιρτζής και της 31 Μηχανοκίνητης Ταξιαρχίας Ταξίαρχος Λάζαρος Λαζαρίδης.

    Ο κ.Χαρδαλιάς από τον φράχτη στην περιοχή του ελληνικού προγεφυρώματος Πετάλου έκανε την ακόλουθη δήλωση :

    « Η φύλαξη των συνόρων μας αποτελεί προτεραιότητα, είναι εθνική επιταγή. Γιατί πρεσβεύει όλα όσα νοιώθουμε και πιστεύουμε για αυτή την πατρίδα. Και αυτή η πατρίδα πρέπει να είναι θωρακισμένη, να φυλάει τα σύνορά της, και είθε να είναι ασφαλής και πάνω από όλα περήφανη ! ».

    Νωρίτερα είχαν επισκεφθεί το αμερικανικό μεταγωγικό πλοίο “ARC ENDURANCE”, που ελλιμενίζεται στον λιμένα της Αλεξανδρούπολης, όπου τους υποδέχθηκε ο Captain (Κυβερνήτης) Glenn Koshak.

    Κατά την επίσκεψη οι κ.κ. Χαρδαλιάς και Μεϊμαράκης ενημερώθηκαν από τον Κυβερνήτη και το πλήρωμα του θηριώδους πλοίου, για τις μεταφορικές δυνατότητες του και ξεναγήθηκαν στα βασικά διαμερίσματα. Επίσης, ενημερώθηκαν από τον Πρόεδρο του Οργανισμού Λιμένος Αλεξανδρούπολης κ. Κωνσταντίνο Χατζημιχαήλ, για τον γεωστρατηγικό και εμπορικό ρόλο του λιμανιού και για τις δραστηριότητες στο πλαίσιο εφαρμογής της συμφωνίας αμοιβαίας αμυντικής συνεργασίας Ελλάδας – ΗΠΑ και επισκέφθηκαν τερματικό σημείο υποδοχής και προώθησης Αμερικανικών και συμμαχικών στρατευμάτων και στρατιωτικού υλικού στην Κεντρική και Ανατολική Ευρώπη.

    Επιπρόσθετα, οι κ.κ. Χαρδαλιάς και Μεϊμαράκης συναντήθηκαν με αντιπροσωπεία Ιταλών Αξιωματικών του μεταγωγικού πλοίου “SEVERINE”, το οποίο χρησιμοποιεί το λιμάνι της Αλεξανδρούπολης για τη μεταφορά στρατιωτικού υλικού των Ιταλικών Ενόπλων Δυνάμεων, στο πλαίσιο της Βορειοατλαντικής Συμμαχίας.

    https://www.evros-news.gr/2023/05/17/%cf%87%ce%b1%cf%81%ce%b4%ce%b1%ce%bb%ce%b9%ce%ac%cf%82-%ce%b1%cf%80-%cf%8

    #Evros #migrations #réfugiés #frontières #militarisation_des_frontières #Grèce #frontière_terrestre #Turquie #Thraces

  • Zehn Tipps für eine linke Wahlniederlage
    https://www.telepolis.de/features/Zehn-Tipps-fuer-eine-linke-Wahlniederlage-9062895.html?seite=all

    24.5.2023 von Wassilis Aswestopoulos - Erdrutschsieg der konservativen Nea Dimokratia in Griechenland. Die selbst erklärte linke Partei Syriza erleidet schwere Niederlage. Was Linke auch in Deutschland davon lernen können – und sollten.

    Der einstige linke Hoffnungsträger Alexis Tsipras fuhr am Wochenende mit Syriza eine vernichtende Wahlniederlage ein. Sein Gegner war mit Premierminister Kyriakos Mitsotakis ein autokratisch regierender Politiker, in dessen Amtszeit zahlreiche Affären und Skandale für Aufruhr sorgten.

    Eine neue Regierung wird es trotzdem noch nicht geben, weil wegen des geltenden Wahlrechts die Nea Dimokratia keine absolute Parlamentsmehrheit erhalten hat. Das neue Parlament tritt am nächsten Wochenende zu einer konstituierenden Sitzung zusammen, um ein Präsidium zu wählen und sich aufzulösen.

    Die nächsten Wahlen sind für den 25. Juni vorhergesagt. Bis dahin wird eine Interimsregierung das Land führen. Verfassungsgemäß wird der kommende Premier aus den Reihen der obersten Richter berufen. Dieses Mal ist der oberste Richter des Hellenischen Rechnungshof Ioannis Sarmas der Auserwählte.

    Tsipras Wahlkampftaktik war und ist ein Rezept für eine sichere Niederlage, die auch deutsche Politiker studieren sollten. Für ihn haben alle anderen schuld, auch die Wähler – nur er nicht.

    Ein historisches Ergebnis

    In blanken Zahlen präsentiert sich das Ergebnis wie folgt: Die Wahlbeteiligung lag mit 60,92 Prozent leicht höher als 2019, als 57,78 Prozent verzeichnet wurden. Die Nea Dimokratia (ND) kommt auf 40,79 Prozent der Stimmen und holt das beste Ergebnis seit 16 Jahren.

    Verglichen mit den Wahlen von 2019 bedeutet es einen Zuwachs von 0,95 Prozent. Durch das dieses Mal geltende Verhältniswahlrecht sind es am Ende 146 Parlamentssitze für die Partei, die vorher 158 der insgesamt 300 Sitze innehatte. Bei den nächsten Wahlen gibt es wieder Bonussitze.

    Weit abgeschlagen hinter der ND landet Syriza mit 20,7 Prozent, mit dem schlechtesten Ergebnis seit elf Jahren, also seit der Gründung von Syriza als Partei und der Auflösung des vorher bestehenden Parteienbündnisses. Fast 11,5 Prozent gingen verglichen mit den gut 31 Prozent von 2019 verloren.

    Zum allerersten Mal seit dem Sturz der Militärregierung 1974 wurde „ganz Kreta blau“. Sprich, die konservative Nea Dimokratia konnte alle Wahlkreise auf der größten griechischen Insel holen.

    Punkten konnte auch die sozialdemokratische Pasok, die unter ihrem neuen Parteichef Nikos Androulakis von acht Prozent bei der letzten Wahl auf gut elf Prozent zulegte, und die kommunistische Partei KKE. Die Pasok, einst stolze Regierungspartei, holte sich ihr seit 2012 bestes Ergebnis. Die Kommunisten holten mit rund sieben Prozent fast zwei Prozent mehr als vor vier Jahren.

    Marginal auf gut vier Prozent verbessern konnte sich auch die rechtspopulistische „Griechische Lösung“ von Kyriakos Velopoulos. Alle anderen Parteien, auch MeRA25 von Yanis Varoufakis, schafften es nicht ins Parlament und scheiterten an der Drei-Prozent-Hürde. Stolze 16 Prozent der Wähler sind nicht parlamentarisch vertreten.

    Noch vor Varoufakis, dessen Partei auf 2,6 Prozent kam, liegt die einstige Parteigenossin und Parlamentspräsidentin der ersten Regierungszeit von Tsipras Zoe Konstantopoulou mit ihrer „Plevsi Eleftherias“ und 2,8 Prozent. Auf den sechsten Platz mit 2,9 Prozent kam die neue, pro-russische, religiös geprägte nationalistische Partei Niki

    Mitsotakis träumt von einer Verfassungsänderung

    Mit dem Bonuswahlrecht könnte Mitsotakis bei gleicher Prozentzahl mit rund 170 Sitzen rechnen. Er strebt nun danach, das Ergebnis zu verbessern, um so mit der entscheidenden Zweidrittelmehrheit eine Verfassungsreform in Angriff zu nehmen. Verfassungsänderungen müssen in zwei aufeinanderfolgenden Legislaturen mindestens einmal mit einer Zweidrittelmehrheit bestätigt werden.

    Entscheidend wird auch sein, ob es die kleineren, nun gescheiterten Parteien ins Parlament schaffen. Je mehr Parteien vertreten sind, umso weniger Sitze erhält Mitsotakis.

    Für Mitsotakis günstig ist, dass bei den jetzt feststehenden Neuwahlen, die innerhalb von achtzehn Monaten stattfinden müssen, die Wähler keinen Einfluss auf die Kandidatenauswahl haben. Die Reihenfolge der zu wählenden Parlamentarier wird nicht mit der Vorzugsstimme der Wähler, sondern mit von den Parteichefs bestimmten Listen geregelt. Mitsotakis kann sich eine Regierungskoalition nach seinem Gusto zimmern.

    In ersten Stellungnahmen nach Sondersitzungen der Partei hat Tsipras bereits die Niederlage bei den kommenden Wahlen akzeptiert. Es geht nun darum, mit einem möglichst guten Ergebnis die sich abzeichnende Allmacht Mitsotakis‘ einzuschränken.

    Auch von der Pasok kommt ein ähnliches Signal. Deren Parteichef Nikos Androulakis spürt das Momentum des Aufschwungs und gab als erstes Ziel aus, seine Partei wieder zum Gegenpol und zur Regierungsalternative werden zu lassen. Demensprechend versprach Tsipras „Hard-Rock gegen linke und kommunistische Parteien“, und will im Wahlkampf scharf gegen Parteien aus dem linken Lager vorgehen.

    Selbstkritik? – Fehlanzeige

    Anders als sein Vetter, Giorgos Tsipras, sieht Alexis Tsipras den Grund für die Niederlage bei allen anderen, nur nicht bei seiner Partei. Er übernimmt verbal die Verantwortung, will aber für sich keine personellen Konsequenzen ziehen.

    Er hatte zu keinem Zeitpunkt ein klares Programm, beklagt sich aber, dass keine der anderen Parteien eine Koalition mit ihm als realistisch einstufte. Dabei strotzte der Wahlkampf und das Oppositionsverhalten von Syriza nur so von Fehlern. Zehn davon sind:

    1. Leugnen der linken Identität

    2012 trat Syriza unter dem Namen „Syriza – Koalition der radikalen Linken“ an. Der Ausdruck „radikal“ ist im Griechischen nicht negativ konnotiert. Tsipras wollte sich zum Zentrum öffnen, erlangte Beobachterstatus bei den europäischen Sozialdemokraten.

    Die Partei trat nun als „Syriza – Fortschrittskoalition“ an. Im Streben nach Distanzierung von der linken Vergangenheit ging Tsipras so weit, sich öffentlich mit der Pasok zu streiten, wer der wahre Erbe des Pasok-Gründers und begnadeten sozialdemokratischen Populisten Andreas Papandreou sei.

    Dass die Wähler dann lieber das Original, die Pasok, wählten, dürfte eigentlich niemanden ernsthaft überraschen.

    2. Flüchtlingsfeindlichkeit

    Zu den fundamentalen Themen linker Parteien zählen die Menschenrechte. Bereits frühzeitig bemühte sich Tsipras, die Wähler davon zu überzeugen, dass seine Flüchtlingspolitik dem konservativen Credo der „Festung Europa“ entsprechen würde.

    Syriza befürwortet den Ausbau des Grenzzauns und nimmt die Push-Backs auf dem Meer billigend in Kauf. Das kam bei linken Wählern nicht gut an. Den rechten Wählern, nach denen Tsipras schielte, missfiel, dass Syriza die Befürwortung des Grenzzauns zwischenzeitlich immer wieder kurz in Zweifel zog, um die linken Wähler nicht vollständig zu verprellen.

    3. Rekrutierung rechter Politiker

    Die Nea Dimokratia hatte unter ihrem Premier Kostas Karamanlis von 2004 bis 2009 das Land in die Pleite geführt. Tsipras rekrutierte einen von Karamanlis engsten Vertrauten, den früheren Regierungssprecher Evangelos Antonaros als Parlamentskandidaten.

    Dies blieb kein Einzelfall. So trat in Kilkis im April die Abgeordnete und Zentralratsmitglied Irini Agathopoulou ihre Parlamentskandidatur aus Protest zurück, weil Tsipras in ihrem Wahlkreis einen einst zum rechten Flügel der Pasok gehörenden Kandidaten auf die Wahlliste von Kilkis setzte. Mit Pavlos Tonikidis als Mitkandidaten wollte Agathopoulou aus Gewissensgründen und wegen ihrer linken Ideologie nicht in einem Atemzug genannt werden.

    4. Querfrontaufbau während der Pandemie

    Während der Pandemie biederte sich Syriza rechten Corona-Kritikern an, machte aber auch das nicht mit letzter Konsequenz. Gleichzeitig wurde die Regierung für ihre Coronapolitik und die Einschränkungen der bürgerlichen Freiheiten kritisiert, aber zugleich angeprangert, dass es zu viele Corona-Tote gäbe.

    Es fehlte bei der Kritik der Ansatz, das – auch von Syriza – kaputtgesparte Gesundheitssystem als entscheidenden Faktor für die im europäischen Vergleich hohe Übersterblichkeit zu erfassen. Das hätte Selbstkritik erfordert.

    Es ist bezeichnend, dass sich Tsipras mit Professorin Athina Linou eine Virologin ins Kandidatenteam holte, die ernsthaft behauptete, der Coronavirus könne wegen des göttlichen Segens nicht während der Heiligen Messe übertragen werden.

    5. Als Atheist den Segen bei homo- und transfeindlichen Bischöfen suchen

    Der Bischof von Piräus Seraphim ist für seine rassistischen Ansichten, seine neofaschistischen Reden und seine Verurteilung homosexueller und Transmenschen bekannt. Tsipras, der sich selbst als Atheisten bezeichnet, hatte nichts Besseres zu tun, als vor den Wahlen einen Fototermin mit Seraphim zu buchen.
    Populismus inklusive Kuscheln mit Nato und Neonazis

    6. Shoot the Messenger

    Frühzeitig zeigten Meinungsforschungsinstitute auf, dass Tsipras gegen „den schlechtesten Premier aller Zeiten“ (O-Ton Syriza) nicht punkten konnte. Letztendlich lagen alle Umfrageinstitute falsch, weil sie zwar die Niederlage von Syriza, nicht aber deren verheerendes Ausmaß vorhersagten.

    Nun entschuldigen sich die Meinungsforscher, sie hätten aus Angst vor den von Syriza angedrohten Klagen die wahren Zahlen nicht ohne „Gewichtung der Ergebnisse“ veröffentlichen wollen. Auch ohne die Erhebungen von Meinungsforschungsinstituten war bei Protesten und Demonstrationen sowie Wahlen von Gewerkschaften und Studentenparlamenten erkennbar, dass Syriza nicht punkten konnte. Auch parteiinterne Kritiker wurden klein gehalten. Das Bild des mächtigen und weisen Parteichefs sollte nicht befleckt werden.

    7. Antikommunismus statt Kapitalismuskritik

    In Studentenparlamenten setzte sich die kommunistische Jugend als stärkste Fraktion durch. Auf der Straße bestimmten die KKE, der parteinahe Gewerkschaftsbund Pame und außerparlamentarische Linke neben Anarchisten das Geschehen.

    Im vom Bürgerkrieg erschütterten Nachkriegsgriechenland gab es die vereinigte Linke, EDA. In ihr waren die verbotene KKE und die Linke vereint. Statt sich auf diese Tradition zu berufen, übte Tsipras antikommunistische Kritik am Wahlspruch der EDA „Plastiras und Papagos sind gleich“.

    General Nikolaos Plastiras hatte in drei Amtszeiten von 1945 bis 1952 als Premier Kommunisten, Linke und Demokraten gejagt, hinrichten lassen, in Straflager gesteckt, gefoltert und verbannt. Trotz internationaler Gnadengesuche, auch von Pablo Picasso, ließ er den Kommunisten Nikos Belogiannis, Zentralratsmitglied der KKE, wegen seiner Gesinnung hinrichten.

    Feldmarschall Alexandros Papagos war Generalstabschef der Rechtsnationalen im griechischen Bürgerkrieg. Er folgte 1952 auf Plastiras als Premier und setzte die streng antikommunistische Politik fort. Heute, im Wahlkampf fand Tsipras die Kritik der EDA an beiden falsch. Es war seine Antwort auf die Kritik aus der KKE, an antikommunistischen Sprüchen aus Reihen von Syriza.

    8. Mitsotakis treuester Helfer

    Syriza ging mehrfach die KKE an. Sie sei Mitsotakis treuester Helfer, wurde behauptet. Tatsächlich hat Syriza im Parlament der Hälfte der Gesetzesvorhaben von Mitsotakis zugestimmt. Übertroffen wird dies nur von den siebzig Prozent der Pasok.

    9. Die Nato in Griechenland

    Anders als in den übrigen europäischen Staaten ist es in Griechenland für Parteien des linken Spektrums nicht angebracht, der Nato unkritisch gegenüberzustehen. Zu sehr war das Verteidigungsbündnis in die Verfolgung Linker, die Militärdiktatur von 1967 bis 1974 sowie in die bis heute bestehende Besetzung eines Drittels von Zypern verwickelt.

    Tsipras hatte nach seinem Schwenk zum Sparkurs nicht nur die vorher verurteilten unsozialen Sparmaßnahmen durchgedrückt. Er sorgte mit seiner Nato freundlichen Politik dafür, dass Griechenland heute über die Stützpunkte wie den Hafen von Alexandroupolis verfügt, über die von der Nato Waffensysteme in die Ukraine gebracht werden.

    Tsipras hatte als Transatlantiker sogar dem umstrittenen US-Präsidenten Donald Trump attestiert, „diabolisch gut“ zu sein. Mitsotakis setzt nur fort, was Tsipras begann.

    10. Werben um Neonazis

    Besonders fatal war in der letzten Wahlkampfwoche der Aufruf Tsipras an potenzielle Wähler der verbotenen neonazistischen Parteien, Syriza zu wählen. Explizit wandte sich Tsipras an das Wählerpotenzial der Goldenen Morgenröte und an die von den Wahlen ausgeschlossene Partei des inhaftierten Neonazis Ilias Kasidiaris. Tsipras stufte die Wähler als antisystemische Menschen ein und meinte, sie würden zu seiner Partei passen.

    Dazu kommt als – von Tsipras nicht zu verantwortender – Grund für die Niederlage, dass die Presse in Griechenland zwar frei berichten kann, von Mitsotakis jedoch die regierungsfreundliche Presse finanziell während der Pandemie gefördert wurde. Das Gesamtbild der Medien in Griechenland hat sich nach rechts bewegt.

    #Grèce #politique #élections #gauche

  • ★ IL N’Y A PAS DE HASARD ! – 🔴 Info Libertaire

    (...) Les révolutions inachevées
    En 1936, c’est le PCF qui appelle à « savoir terminer une grève » et dénonce les anarchistes comme des fauteurs de troubles et les responsables du chaos !
    En 1968, c’est la CGT qui appelle à la reprise du travail contre la volonté des travailleurs. En 2023, c’est l’ensemble des syndicats qui s’emploie à dévoyer la lutte en espaçant la date des manifestations (au nom de l’unité syndicale) et qui préconise « une pause ».
    Ils sont favorables à une rencontre avec le gouvernement de Madame Borne. Alors que, jusqu’à présent, ce dernier les a ignorés et a dit « niet » aux revendications. Ils – CFDT, CGT, FO, CFE-CGC et CFTC – vont s’y rendre en rang d’oignons à cet enterrement de première classe les 16 et 17 mai !

    #révolution #luttes #grèves #syndicats #partis #PCF #CGT #FO #trahisons...
    #Anarchisme #Autogestion #Anticapitalisme...

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    ★ via Le Monde Libertaire
    ▶️ https://monde-libertaire.net/?articlen=7248&article=Il_ny_a_pas_de_hasard_ !

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    ⏩ Lire l’article complet…

    ▶️ https://www.infolibertaire.net/il-ny-a-pas-de-hasard

  • Nos fêtes seront leur défaite | Le Club
    https://blogs.mediapart.fr/guillaume-goutte/blog/140523/nos-fetes-seront-leur-defaite

    [Notes sur la bataille des retraites 3] Depuis janvier, le pays vit au rythme de la contestation contre la réforme des retraites, pour laquelle le gouvernement a choisi le passage en force, à l’Assemblée comme dans la rue, avec une répression brutale des manifestations. Après un 1er-Mai historique, il est l’heure d’un premier bilan, car si l’horizon est incertain, la victoire s’éloigne.

    Ce billet de Guillaume Goutte, correcteur de presse, syndicaliste à la CGT du Livre vaut d’être lu pour l’analyse proposée sur les carences de la mobilisation (actuelle, passée ?) contre la réforme des retraites. Si je partage totalement son point de vue sur la grève par procuration (notamment), je serais toutefois beaucoup plus pessimiste concernant la capacité du syndicalisme à générer autre chose que ce qu’il est.

    #syndicalisme #grève_par_procuration

  • At the Evros border, the bodies mount up

    Migrants continue to risk their lives trying to cross the Evros River separating Turkey and Greece. Many of them die in the attempt to enter the EU – last year more bodies than ever were recovered, a documentary film by the German broadcaster ARD has revealed.

    Along the Evros river, at the border between Greece and Turkey, a 5-meter-high steel wall has been increasing in length since construction began in 2020. The barrier, designed to keep migrants out of the EU, is now at least 38 kilometers long. But thousands of people continue to risk their lives attempting to cross into Greece. It’s not known exactly how many die in the process, but on the Greek side of the river alone, more than 60 people lost their lives last year.

    Identifying the dead remains a difficult challenge, according to forensic pathologist Pavlos Pavlidis, whose job is to conduct autopsies on the bodies found in the water and surrounding forest. Most of the dead do not carry any form of ID. In an interview in October 2021, Pavlidis told InfoMigrants how the deceased body is altered by being in the water for a long time.

    More bodies than ever

    More than a year later, the pathologist is still carrying out autopsies – in a recent short documentary shown on Germany’s state broadcaster ARD, he said that over the past 22 years he had seen around 600 bodies on the Greek side alone. He assumes that there is roughly the same number on the Turkish side. “So we’re talking about 1,200 to 1,500 people, but we receive a lot more search requests than that from relatives.”

    The bodies are often recovered from the forest by the local undertakers. ARD films two of them, one armed with a simple shovel, finding what looks like a blanket and human remains in a shallow grave, possibly dug by other migrants. “Didn’t he have any shoes?,” one of the men asks as they wrap the partly decomposed remains in plastic. “No, the other migrants often take them,” the other replies.

    The chief undertaker tells ARD that recovering dead bodies from the border makes up a large part of his work. On one occasion he brought 35 of them to the morgue after they drowned in the Evros.

    If it is possible to identify the dead, he says that the families often come from Europe to pay their last respects. “It’s very hard, they’re all crying,” he explains. “Can you imagine, they travel so far to either pick up the body of a dead relative or to bury them here.” Sometimes, he takes the bodies of migrants to Turkey to be transported home from there.

    Some families cannot afford to have the body of their loved one repatriated, so the migrants are buried in a local Greek cemetery for Muslims. Their names and their countries of origin – Somalia, Afghanistan, Syria – are inscribed on their graves. There are people of all ages and it appears that a lot of the graves are fresh.

    But many more bodies are simply never identified, leaving family members in limbo. These are buried in a graveyard for unidentified migrants, their tombstones marked only with numbers.

    ’It would be better than not knowing’

    In the Germany city of Hanover, Kurdish refugee Sivar Qassim is living with this horrible uncertainty. Qassim fled to Germany in 2015 after war broke out in Syria. The rest of his family escaped to Iraq, along with his younger brother, Mohammed.

    “He was very good in school, and we wanted to offer him a better life. That was also what I wanted,” Qassim told ARD. “I have a lot of friends but still it’s nothing like being brothers. No matter who you’re friends with, family is always number one. I was really looking forward to him coming, but…” Qassim doesn’t continue.

    Life was difficult for the family in Iraq, so in Autumn, 2021, they decided to send 14-year-old Mohammed to Germany, via the Evros route: “just like everyone else, with a people smuggler […] and illegally, because it’s not possible to do it legally. We didn’t have any documents in Syria anyway,” his older brother explains.

    In October 2021 a call came from the people smugglers. “They said that something had happened and that Mohammed had fallen into the water. They said they waited but couldn’t find him. That was a lie. We found out that they hadn’t waited and simply carried on. They were frightened because what they were doing was illegal.”

    From Germany, a desperate Qassim flew to Greece to look for his brother, but despite having his DNA registered, he found nothing. He had even sent a photo of Mohammed to Pavlos Pavlidis, the pathologist. But Pavlidis says he would have remembered a child of that age.

    Back at home Qassim also looks for his brother on Facebook and search platforms for missing migrants, but in vain. He says he would almost prefer to hear that Mohammed’s body had been found. “Of course it wouldn’t be easy but it would be better than not knowing. If we knew that he had died and could bury him then it would be clear, it is something we’d have to accept, but this uncertainty, I find that really, really awful.”

    https://www.infomigrants.net/en/post/48783/at-the-evros-border-the-bodies-mount-up

    #Evros #Thrace #migrations #asile #réfugiés #frontières #morts_aux_frontières #décès #mourir_aux_frontières #Grèce #Turquie #identification #cimetière #Pavlos_Pavlidis

  • Nécro(techno)logie : Claude Lorius n’a rien vu en Antarctique
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?article1831

    Toujours en librairie : Le Règne machinal (la crise sanitaire et au-delà). Voir ici

    Le glaciologue Claude Lorius est mort le 21 mars. Nous ne sommes pas du genre à gifler les cadavres, comme le firent les surréalistes à la mort d’Anatole France en 1924. Quoique la main vous démange à la lecture de la presse éplorée. Le Figaro salue le « pionnier de la climatologie moderne », Le Daubé le « lanceur d’alerte précoce », Libération le « géant des glaces », Le Monde le « héros légendaire ». Qu’a donc fait Claude Lorius (à part mourir) pour mériter de telles louanges ? Il a établi, en 1987, le lien entre la teneur en gaz à effet de serre dans l’atmosphère et l’évolution climatique. D’un point de vue scientifique, s’entend. Ses études ont vérifié les observations des montagnards : « ils ont détraqué les saisons ». Ce (...)

    #Nécrotechnologies
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/lorius_n_a_rien_vu.pdf

    • Lorius prétend nous livrer la cause du désastre en reprenant le terme d’Anthropocène, forgé au début des années 80 par le biologiste Eugène Stoermer. Celui-ci le popularise en 2002 dans un article de Nature corédigé avec Paul Crutzen, prix Nobel de Chimie 1995. Pardon de rabâcher, mais les nécrologies servent aussi à ça. Stoermer et Crutzen ne font pas remonter les causes du bouleversement géo-climatique à l’apparition de l’anthropos – à « l’ère des humains », comme le prétend Lorius - voici trois millions d’années, ni même à l’émergence du capitalisme. Ils situent le début de cette ère en 1784, année du perfectionnement de la machine à vapeur11 . C’est-à-dire le début de l’usage des énergies fossiles : la révolution thermo-industrielle. Leur terme englobant d’Anthropocène est abusif et commode pour dissimuler la vraie rupture, celle du Technocène. La société industrielle, motorisée par les progrès technoscientifiques, a détruit les équilibres climatiques et écologiques. Point.

      […]

      Remonter à la racine des maux signifie regarder en arrière. Les causes, par définition, sont dans le passé. Lorius le savait bien, qui lisait dans ses carottes de glaces polaires les différentes étapes des dégâts industriels sur notre biotope. Mais ses conclusions, 30 ans plus tard, étaient celles d’un aveugle : « Comment encourager la croissance qui est nécessaire, en respectant l’environnement ?14 »
      La croissance de quoi ? Des températures ? Du niveau des mers ? De la sécheresse ? Bref, Lorius n’avait rien vu dans l’Antarctique. C’était bien la peine d’aller si loin et de brûler tant de kérosène.
      Il est trop tard pour les glaciers. Et pour nous, simples anthropoïdes ?

      #anthropocène #capitalocène #technocène #climat #réchauffement_climatique #écologie #technocratie #Grenoble #science #recherche #Claude_Lorius #glaciers

    • Finalement, les héros légendaires sont des scientifiques comme les autres.

      Oui, et la connaissance de la nature ne garantit pas d’avoir des idées politiques particulièrement intéressantes.

      Qu’a donc fait Claude Lorius (à part mourir) pour mériter de telles louanges ? Il a établi, en 1987, le lien entre la teneur en gaz à effet de serre dans l’atmosphère et l’évolution climatique. D’un point de vue scientifique, s’entend. Ses études ont vérifié les observations des montagnards : « ils ont détraqué les saisons ». Ce que chacun constatait en levant le nez,

      D’un point de vue scientifique… Quel autre point de vue y aurait-il ? Le montagnard qui lève son nez a-t-il accès à des centaines de milliers d’années d’évolution du climat ? Renifle-t-il des concentrations de co2 ? Sa peau sent-elle des augmentations moyennes de température sur le globe ? Ses oreilles détectent-elles des changements d’orbite de la Terre ?

  • Dette publique : l’autre crise qui menace | Le Journal Lutte Ouvrière
    https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/04/19/dette-publique-lautre-crise-qui-menace_622602.html

    Le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, a déclaré mardi 18 avril qu’il allait « accélérer le rythme du #désendettement de la France ».

    En d’autres termes, il a annoncé que pour rembourser les créanciers de l’État, à savoir la haute finance, il va faire payer la population, soit en augmentant les impôts, soit en taillant dans les budgets des services publics… et sûrement les deux.

    La #dette de l’État français dépasse les 3 000 milliards d’euros. L’an dernier, pour boucler son #budget, l’État a dû emprunter 200 milliards. D’un côté, l’État emprunte de l’argent aux banques et aux fonds d’investissement privés à qui il verse des intérêts et, de l’autre, l’essentiel de cet argent sert à financer tous les allègements d’impôts et autres facilités octroyées aux grandes entreprises. Ce tour de passe-passe est un des principaux moyens d’enrichissement de la classe capitaliste.

    Mais, depuis un an, les banques centrales qui gèrent l’émission de la monnaie, comme la #BCE pour l’euro, ont régulièrement remonté leurs #taux_d’intérêt, ce qui a entraîné une hausse des taux auxquels l’État français emprunte. Ceux-ci sont passés en quelques mois de presque 0 % à plus de 3 %. Alors que la #dette_publique était plus ou moins stable ces dernières années, elle s’est donc remise à augmenter, ainsi que les remboursements de l’État à ses créanciers.

    Le gouvernement, qui doit veiller à la ­#solvabilité de l’État français pour le compte de la bourgeoisie, craint un emballement de la dette. Celle-ci se creusant, des spéculateurs peuvent en profiter pour faire monter les taux d’intérêt auxquels devra emprunter l’#État_français.

    Il y a quelques années, la Grèce avait connu une telle spirale du surendettement. Les taux d’intérêt avaient monté jusqu’à dépasser les 20 %, au point qu’en 2015 l’État grec fut complètement étranglé. Les institutions européennes étaient intervenues pour empêcher que cette crise grecque se propage à d’autres États européens et fasse s’effondrer l’euro. Elles ont alors joué le rôle d’huissiers auprès de l’État grec pour le compte des spéculateurs, en imposant à la population une #austérité catastrophique : le #chômage et la misère ont explosé, les services publics se sont effondrés, les hôpitaux n’ayant plus les moyens de soigner leurs malades.

    La #Grèce est un État bien plus pauvre que la France mais, à l’époque, les spéculateurs avaient aussi ciblé l’État italien, pourtant bien plus riche, et il s’en est fallu de peu que celui-ci ne soit entraîné dans la même spirale. En réalité, tous les États sont endettés jusqu’au cou et aucun n’est à l’abri du #surendettement. Pour ne pas être la première cible des spéculateurs, chaque gouvernement fait payer sa population afin d’accélérer le désendettement, comme dit Bruno Le Maire. Mais, évidemment, aucun ne fera payer la classe capitaliste, à qui profite cette #spéculation sur la dette des États.

    #lutte_de_classe

  • Appel à la Grevilla – Solidaires Informatique
    https://solidairesinformatique.org/2023/04/20/appel-a-la-grevilla

    Cet appel à la grève commence dès aujourd’hui et vaut jusqu’au 31 décembre 2027.

    Le gouvernement s’oppose à la démocratie sociale, nous forçant à adopter des stratégies syndicales innovantes, des stratégies de rupture.
    Cet appel n’est pas en soit un appel à une grève reconductible sur plusieurs années, mais vise à soutenir les grévistes isolé·es ou les salarié·es militants·es solitaires dans leurs entreprises.
    Il s’appuie sur ces principes garantis par le Code du Travail

    #toctoc #grève

  • Harcèlement sexuel, brûlures, insultes : les étudiants d’une célèbre école hôtelière en grève depuis trois semaines - La Libre
    https://www.lalibre.be/international/europe/2023/04/18/harcelement-sexuel-brulures-insultes-les-etudiants-dune-celebre-ecole-hoteli

    Harcèlement sexuel, propos homophobes, insultes : une promotion entière d’étudiants en management hôtelier de la célèbre école hôtelière Vatel est en grève depuis trois semaines, pour dénoncer « l’inaction de la direction » face au comportement de certains professeurs.

    Créé il y a 42 ans par Alain Sebban et son épouse, Vatel qui se présente comme le 1er groupe mondial de l’enseignement du management de l’hôtellerie avec 52 écoles dans 32 pays et un chiffre d’affaires de 90 millions d’euros, se targue de transmettre un « esprit Vatel » alliant « savoir-faire » et « savoir-être » à ses 42.000 diplômés, actifs dans le tourisme et l’hôtellerie.

    Mais depuis le 27 mars, la soixantaine d’élèves de troisième année de Bachelor de l’école parisienne sont en grève, refusant d’aller en cours de cuisine, pour dénoncer le comportement de certains professeurs du restaurant d’application ouvert au public, où ils apprennent les métiers de la cuisine et de la salle.

  • Posez le crayon
    https://lundi.am/Posez-le-crayon

    Si un supérieur vous questionne, dites que vous êtes épuisé, que votre corps et votre esprit souffrent. Et que pour faire deux ans de plus, vous devez adapter votre rythme et vous préserver. Puis passez à l’attaque : demandez des jours de repos, plus de pauses, des aménagements, du télétravail, plus de rotations (pas d’augmentations car on vous en demandera plus), à rencontrer un psychologue, le médecin du travail. Et le lendemain qu’un collègue demande la même chose ! Puis un autre. Vous n’obtenez rien de cela ? Nul ne s’étonnera que vous soyez encore plus lent.

    On vous demande de faire quelque chose de nouveau ? Dites que vous ne préférez pas car vous devez vous préserver pour votre retraite.

    Demandez, multipliez les réunions, les entretiens avec vos supérieurs pour faire ralentir la machine.

    Posez le crayon !

    « Ne pas faire » est paradoxalement une action. Et très dangereuse de surcroît. Devenez une armée de résistants. Dans l’ombre. Devenez le nombre. Rester invisibles, furtifs, insaisissables, c’est beaucoup plus inquiétant que proférer des menaces non mises à exécution. La police ne peut rien contre un ennemi fantôme.

    Pourquoi rester loyal à l’égard d’un système qui ne vous rend plus le moindre service public ? Qui vous maltraite ? Et qui ne vous laisse aucune perspective de retour à meilleure fortune puisque la France est en faillite sur sa dette sociale à votre égard, et en incapacité d’exécuter sa part du contrat social. Alors pourquoi exécuter la nôtre ?

    Mettez l’Économie à genoux sans perdre votre salaire, vos congés. Et en améliorant votre qualité de vie.

    Posez les crayons, c’est reprendre la main !

  • #Canada : Une militante écologiste vandalise le bureau du premier ministre justin trudeau La Presse canadienne à Ottawa

    Deux personnes ont été accusées de méfait après qu’une femme eut lancé de la peinture contre l’immeuble abritant le bureau du premier ministre justin trudeau.

    Elle s’était ensuite attachée à l’immeuble. L’homme qui l’avait accompagnée et l’avait filmée avait également été arrêté.

    La police n’a pas confirmé l’identité des deux personnes accusées. Toutefois, un groupe de défense du changement climatique affirme que l’une d’entre elles est celle qui était montée en mars sur scène les seins nus lors du gala des prix Juno.


    On2Ottawa a publié sur son compte Twitter des photos et une vidéo montrant la femme en train de jeter un seau de ce qui semble être de la peinture rose sur l’entrée, puis poser seins nus pour une photo à côté d’une pancarte disant « Exigeons des mesures climatiques maintenant ».

    Casey Hatherly, qui se fait appeler Ever, a attiré l’attention du pays le mois dernier lorsqu’elle est montée sur la scène de la cérémonie des prix Juno pendant que la chanteuse Avril Lavigne faisait une performance.

    Elle était torse nu et les messages écrits sur le haut de son corps comprenaient « land back » et « save the Greenbelt », en référence à la décision prise par l’Ontario l’année dernière de rendre une zone protégée accessible à la construction de logements.

    #activisme #justin_trudeau #rose #trudeau #femmes #climat

    Source : https://www.ledevoir.com/politique/canada/789182/une-militante-ecologiste-vandalise-le-bureau-du-premier-ministre

    • Les Trudeau en vacances chez de riches donateurs de la Fondation Trudeau Daniel Leblanc - Louis Blouin - Radio Canada

      Le premier ministre Justin Trudeau et sa famille ont célébré le Nouvel An avec des membres d’une famille de donateurs à la Fondation Pierre-Elliott-Trudeau lors d’un voyage qui a coûté plus de 160 000 $ aux contribuables, a appris Radio-Canada.
      . . . .

      Voyage coûteux
      Le séjour de la famille Trudeau dans ce petit paradis terrestre a coûté au moins 162 000 $ aux contribuables canadiens, selon des documents déposés en Chambre en réponse à des questions de députés. Cette somme n’inclut pas les coûts liés à l’utilisation de l’avion Challenger de la Défense nationale pour transporter les Trudeau.


      La GRC a engagé plus de 115 000 $ de frais pour assurer la sécurité du premier ministre et de sa famille. Le corps de police fédéral indique d’ailleurs que d’autres coûts qui n’ont pas été comptabilisés pourraient s’ajouter.

      Une somme de plus de 47 000 $ s’ajoute pour couvrir les dépenses des membres d’équipage des Forces armées canadiennes et d’employés du Bureau du Conseil privé.
      . . . . .
      Les vacances du premier ministre ont souvent défrayé la manchette depuis son arrivée au pouvoir, en 2015. Son séjour familial sur l’île de l’Aga Khan en 2016 lui avait valu un blâme du commissaire aux conflits d’intérêts et à l’éthique. Ce voyage avait coûté 215 000 $ aux contribuables canadiens.
      . . . . .
      Plus récemment, le premier ministre a été vivement critiqué pour avoir loué une luxueuse suite à grands frais (6000 $ la nuit) lors de sa participation aux funérailles de la reine Élisabeth II à Londres.
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      Famille #green #corruption #vacances #prévarication piquer dans la #caisse ( comme en le font les élus français ).

      Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1972328/jamaique-voyage-decembre-green-ethique

  • 🛑 La colère est toujours là, après 12 journées nationales de mobilisation... - Rapports de Force

    Ce jeudi 13 avril, l’intersyndicale appelait à une nouvelle journée interprofessionnelle de grèves et manifestation, à la veille de la décision du Conseil constitutionnel sur la réforme des retraites. Même en repli, avec moins de manifestants sur l’ensemble du territoire, la mobilisation reste alimentée par une colère qui ne faiblit pas (...)

    🛑 ✊ #Retraites #Anticapitalisme #RéformedesRetraites #NonALaReformeDesRetraites #grèves #GrèveGénérale #GreveGeneraleIllimitee... #Grève13avril

    ⏩ Lire l’article complet…

    ▶️ https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/la-colere-est-toujours-la-apres-12-journees-nationales-de-mobilisati

  • L’explosion sociale de mai-juin 1968
    https://lutte-ouvriere.org/publications/brochures/lexplosion-sociale-de-mai-juin-1968-107027.html

    #archiveLO | 13 avril 2018

    Sommaire :

    Les prémices de Mai 1968  : la France des années soixante
    ➖ L’intensification de l’exploitation
    ➖ La montée du chômage et des attaques contre les travailleurs
    ➖ La politique des bureaucraties syndicales et de la gauche
    ➖ Des grèves emblématiques
    ➖ «  Les temps changent  »  : la politisation de la jeunesse

    De Nanterre au Quartier latin  : la jeunesse produit l’étincelle et ouvre la voie
    ➖ Le monde étudiant en 1968
    ➖ Les débuts du mouvement dans la jeunesse
    ➖ L’attitude du Parti communiste
    ➖ L’occupation de #la_Sorbonne et la «  nuit des barricades  »

    La grève ouvrière et les occupations d’usine
    ➖ La journée du 13 mai
    ➖ Les premières occupations
    ➖ Le virage de la CGT et du PC
    ➖ L’extension maximale de la grève
    ➖ L’encadrement des grévistes et les limites du mouvement
    ➖ Le pouvoir reprend la main
    ➖ Les #accords_de_Grenelle
    ➖ Les tentatives de Mendès France et de Mitterrand
    ➖ En avant vers les élections...
    ➖ La reprise imposée par les appareils syndicaux

    Paul Palacio (ouvrier à Renault Billancourt en 1968)

    Jean-Louis Gaillard (ouvrier chez Roussel-Uclaf à Romainville en 1968)

    Georges Kvartskhava (ouvrier à l’usine Peugeot Sochaux de Montbéliard en 1968)

    Que reste-t-il de Mai 1968  ?
    ➖ Des transformations sociétales...
    ➖ ... inachevées et déjà remises en cause
    ➖ Un renouveau politique  ?
    ➖ Le renforcement des bureaucraties syndicales...
    ➖ ... et des illusions dans la gauche
    ➖ Du côté de l’extrême gauche
    ➖ La faillite du #maoïsme et du gauchisme
    ➖ Reconstruire un parti communiste révolutionnaire

    #mai_68 #PCF #CGT #stalinisme #grève_générale #extrême_gauche #répression #de_Gaulle #classe_ouvrière #lutte_de_classe