The Congo Tribunal
En plus de 20 ans, la #guerre du #Congo a déjà fait plus de 6 millions de victimes. La population souffre de cet état d’#impunité totale, les #crimes_de_guerre n’ayant jamais fait l’objet de poursuites judiciaires. Cette région recèle les gisements les plus importants de #matières_premières nécessitées par les technologies de pointe. Dans son « #Tribunal_sur_le_Congo », Milo Rau parvient à réunir les victimes, les bourreaux, les témoins et les experts de cette guerre et à instituer un #tribunal d’exception du peuple du Congo de l’Est. Un portrait bouleversant de la guerre économique la plus vaste et la plus sanglante de l’histoire humaine.
▻https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/53668_0
#film #documentaire #film_documentaire #extractivisme #tribunal_des_peuples #justice_transformatrice #justice #vérité_et_justice #multinationales #responsabilité #Banro #RDC #massacres #témoignage #Twangiza #massacre_de_Mutarule #mine #extractivisme #Sud-Kivu #or #Banro_Corporation #impunité #crimes #douleur #tribunal #engagement #viols #vérité_et_justice #multinationales #guerre #concessions_minières #ressources_naturelles #pillage #minerai #Mining_and_Processing_Congo (#MPC) #Walikale #Bisie #droits_humains #MCP_Alptamin #Mukungwe #milices #Cheka_Group #groupes_armés #diamants #cassiterite #marché_noir #loi_Dodd_Frank #minerai_critique #Mutarule #MONUSCO #ONU #Nations_Unies
]]>En #RDC, les #groupes_armés font feu de tout #charbon_de_bois – Libération
▻https://www.liberation.fr/international/afrique/en-rdc-les-groupes-armes-font-feu-de-tout-charbon-de-bois-20220902_JUHUSR
Les autorités du parc naturel construisent une seconde centrale hydroélectrique le long de la rivière Rutshuru afin de lutter contre le trafic du charbon de bois, responsable de la #déforestation.❞
]]>Un #rapport de l’ONU s’inquiète de l’augmentation des #violences_sexuelles liées aux #conflits
Malgré une décennie de lutte, l’#ONU constate que les violences sexuelles restent une #arme_de_guerre dans de nombreux conflits et qu’elles continuent d’augmenter sur toute la planète. L’ONU analyse dans son dernier rapport (https://news.un.org/fr/story/2020/07/1073341) les violations constatées dans 19 pays, principalement contre des jeunes #filles et des #femmes.
Les violences sexuelles augmentent dans la plupart des #conflits_armés. C’est ce qui ressort du dernier rapport de l’ONU sur les violences sexuelles liées aux conflits publié en juillet dernier.
Le rapport insiste sur le fait que ce type de violence a un impact direct sur les déplacements en masse de populations, la montée de l’extrémisme, des inégalités et des discriminations entre les hommes et les femmes. Par ailleurs, selon l’ONU, les violences sexuelles sont particulièrement répandues dans des contextes de détention, de captivité et de migration.
Fin 2019, plus de 79 millions de personnes se trouvaient déplacées dans le monde. Cela signifie que près d’un pourcent de la population mondiale a dû abandonner son domicile à cause d’un conflit ou de persécutiosn. L’an denier, le nombre de déplacés a augmenté, tout comme le niveau de violences sexuelles se produisant sur des sites accueillant des déplacés.
Ces violences ont notamment lieu quand des femmes et des filles mineures fuient des attaques. Ce 11ème rapport du Secrétaire général de l’ONU (en anglais) sur ce sujet se penche particulièrement sur les violences sexuelles utilisées comme tactiques de guerre ou comme une arme utilisée par les réseaux terroristes.
Il dresse la situation dans 19 pays, entre janvier et décembre 2019, et se base sur des cas documentés par les Nations unies.
En tout, 2 838 cas de violences sexuelles ont été rapportés dans ces 19 pays. Dans 110 cas, soit environ 4 % des cas, les victimes sont des hommes ou des garçons.
En 2019, la Mission d’assistance des Nations unies en Afghanistan (MANUA) a documenté 102 cas de violences sexuelles : 27 étaient liées au conflit qui oppose le pouvoir aux rebelles Talibans, touchant 7 femmes, 7 filles et 13 garçons.
Alors que la plupart des agressions sont attribuées aux Talibans, les forces de sécurité et des milices pro-gouvernementales ont également été impliquées.
https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/3ec20cd10e67fc0b925f342320d40dc7e6914c20.jpeg La Mission des Nations unies en Centrafrique (MINUSCA) a confirmé 322 incidents de violences sexuelles liées aux conflits, affectant 187 femmes, 124 filles, 3 hommes, 2 garçons, et 6 femmes d’âge inconnu. Parmi ces cas, 174 sont des viols ou tentatives de viol et 15 cas sont des mariages forcés.
Le gouvernement de Bangui a signé avec les groupes armés, en février 2019, un accord de paix qui appelle à la fin de toutes formes de violences liées au sexe. Mais les signataires continuent d’utiliser la violence sexuelle comme moyen de terroriser les civils, conclut le rapport de l’ONU.
En 2019, un organisme de l’État venant en aide aux victimes a recensé 356 victimes de violences sexuelles liées aux conflits dans un pays où sévissent de nombreux groupes criminels et armés. Dans quasiment 90 % des cas, il s’agissait de femmes et de filles. Près de la moitié des victimes avaient des origines africaines.
51 cas d’abus ont été commis sur des enfants (31 filles et 20 garçons). Dans au moins une dizaine de cas, les agresseurs présumés appartenaient au groupe rebelle de l’Armée de libération nationale ou à d’autres groupes armés et organisations criminelles.
#RDC
En 2019, la mission de l’ONU en #République_démocratique_du_Congo (MONUSCO), a documenté 1 409 cas de violences sexuelles liées aux conflits, ce qui représente une hausse de 34 % depuis 2018.
Parmi ces cas, 955 sont attribués à des groupes armés. Mais des membres de l’armée congolaise sont eux aussi impliqués dans 383 agressions. Enfin, la police nationale est responsable dans 62 cas.
#Irak
Au cours de l’année 2019, des civils qui étaient détenus par l’organisation de l’État islamique (OEI) en Syrie ont continué à retourner en Irak. Certains sont des survivants de violences sexuelles.
En novembre dernier, le gouvernement régional du Kurdistan irakien a publié des statistiques sur les cas de disparition dans la communauté des Yazidis depuis 2014. Plus de 6 400 Yazidis ont ainsi été enlevés. Parmi eux près de 3 500 ont été libérés, en grande partie des femmes et des filles.
Une commission crée en 2014 par les autorités régionales kurdes pour faire la lumière sur les crimes commis par l’OEI a enregistré plus de 1 000 cas de violences sexuelles liées aux conflits. Ces abus ont en grande partie touché les femmes et filles yazidies.
https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/3c947abccf19d7b80961448024d4a5dbc34ec51e.jpeg La mission de l’ONU en Libye (MANUL) n’a pu vérifier que 7 cas de violences sexuelles qui ont touché 4 femmes, deux filles et un homme activiste pour les droits des LGBTQ.
D’après le rapport, les femmes retenues dans le centre de détention très controversé de #Mitiga n’ont aucune possibilité de contester la légalité de leur détention. Ce centre est contrôlé par la « Force de dissuasion » qui est placée sous la responsabilité du ministère libyen de l’Intérieur.
Quatre prisonnières ont été violées et forcées de se montrer nues. L’activiste pour les droits des LGBTQ a été victime d’un viol en groupe perpétré par des gardiens de la Force de dissuasion.
La MANUL a aussi rapporté des schémas de violences et d’exploitation sexuelles, d’extorsion et de trafic de migrants dans des centres de détention de #Zaouïa, #Tadjourah, #Garian, #Tariq_al_Sikka à #Tripoli et #Khoms qui sont liés aux autorités chargées de la lutte contre la migration illégale.
Certaines femmes et filles migrants sont exposées au risque d’être vendues pour des travaux forcés ou être exploitées sexuellement dans des réseaux criminels internationaux, dont certains sont liés aux groupes armées présents en Libye. A Tariq al-Sikka, deux filles, frappées en public, ont été victimes d’abus sexuels.
#Mali
En 2019, la force onusienne au Mali (MINUSMA) a enquêté sur 27 cas de violences sexuelles liées aux conflits, commis contre 15 femmes, 11 filles et un homme. Des accusations d’esclavage sexuel, de mariages forcés, de castration et de grossesses forcées ont également été rapportées.
L’absence de responsabilité pour des violences sexuelles perpétrées contre la minorité musulmane #Rohingyas reste de mise.
Une mission d’enquête sur les violences sexuelles en Birmanie a montré que ce genre d’agressions étaient une marque de fabrique de l’armée birmane lors des opérations qu’elle a menées en 2016 et 2017.
De plus, comme le rappelle le rapport de l’ONU, les abus sexuels commis contre les femmes et filles Rohingyas étaient une #tactique_de_guerre qui avait pour objectif d’intimider, de terroriser et de punir les populations civiles.
https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/b595de5ed66359f02b09bbf203bbfcd6324a361a.jpeg La mission de l’ONU en Somalie (ONUSOM) a confirmé près de 240 cas de violences sexuelles liées aux conflits, dont l’immense majorité contre des mineures. Elles sont en majorité attribuées à des hommes armés non identifiés, au groupe des #Shebabs somaliens, mais aussi à des forces de #police locales et à l’armée somalienne. Près de la moitié de ces abus ont été commis dans l’État de #Jubaland, dans le sud-ouest du pays.
La mission onusienne de maintien de la paix au Soudan du Sud (MINUSS) a documenté 224 cas de violences sexuelles liées aux conflits, touchant 133 femmes, 66 filles, 19 hommes et 6 garçons.
Soudan
En 2019, l’opération de l’ONU au #Darfour (MINUAD) a constaté 191 cas de violences sexuelles contre des femmes et des filles. Les viols et tentatives de viol ont constitué près de 80 % des cas.
Les agressions ont été attribuées à des nomades armés, des membres de l’#Armée_de_libération_du_Soudan et à des miliciens. Les forces de sécurité du gouvernement, dont les forces armés soudanaises et la police ont également été impliquées.
En 2019, l’ONU a recensé 826 allégations de violences sexuelles liées aux conflits, dont des viols et des #mariages_forcés.
La quasi-totalité de ces cas sont attribués à des #groupes_armés, dont #Boko_Haram et la #Civilian_Joint_Task_Force, une #milice d’autodéfense. Les forces de sécurité de l’État sont impliquées dans 12% des cas.
https://scd.infomigrants.net/media/resize/my_image_big/dcf178ef0b0d1afabfb932131d5425d1814ceae6.jpeg Les efforts de l’ONU restent vains
En avril 2019, une résolution (https://www.un.org/press/fr/2019/cs13790.doc.htm) adoptée par le Conseil de sécurité des Nations unies reconnait le besoin d’une approche centrée sur les survivants pour informer et mettre en place des mesures pour lutter contre les violences sexuelles liées aux conflits.
La #résolution ne peut que constater que « malgré le condamnation répétées des violences, dont les violences sexuelles contre des femmes et des enfants dans des situations de conflit, et malgré l’appel à toutes les parties prenantes dans les conflits armés pour qu’elles cessent ce genre d’actes, ces derniers continuent de se produire. »
Le rapport conclut en rappelant que l’#impunité accompagne souvent les #abus et que les efforts des parties impliquées dans un conflit à suivre les résolutions de l’ONU restent très faibles.
https://www.infomigrants.net/fr/post/26635/un-rapport-de-l-onu-s-inquiete-de-l-augmentation-des-violences-sexuell
#guerres #guerre #viols
ping @odilon
Niger : 100 000 nouveaux réfugiés et déplacés
L’ONU tire à nouveau la sonnette d’alarme au Niger, pays en proie à l’#insécurité où les activités des #groupes_armés, notamment #Boko_Haram, sont à l’origine de nombreux déplacements de populations. L’ONU estime ainsi que cette année, quelque 2,3 millions de personnes, soit 10,4% de la population, auront besoin d’une assistance humanitaire. Un constat établi jeudi lors d’une réunion entre agences de l’ONU, des représentants d’ONG et des partenaires.
Depuis le mois de janvier, plus de 100 000 nouveaux #réfugiés et déplacés ont été recensés au Niger, alors que le pays en abritait déjà quelque 300 000. Et les inquiétudes sont localisées. À #Diffa notamment, dans le sud-est, région frontalière de l’État nigérian de #Borno, les groupes armés tels que Boko Haram ont provoqué le mouvement d’environ 25 000 personnes.
Toujours près de cette frontière nigériane, mais plus à l’ouest, dans la région de #Maradi, ce sont ici environ 20 000 Nigérians qui ont fui les #violences de leur pays.
Il y a aussi les zones proches des #frontières maliennes et burkinabè, dans les régions de #Tahoua et #Tillabéry. Des zones très instables selon l’ONU qui ont vu l’arrivée de 70 000 personnes.
Pour faire face à cette situation, il faut de l’argent. Pourtant, les Nations unies déplorent un manque de ressources. Pour 2019, les besoins humanitaires sont chiffrés à 383 millions de dollars, mais sur cette somme, seuls 15% ont pu être mobilisés à l’heure actuelle.
Centrafrique : HRW dénonce la tuerie d’au moins 27 civils par des rebelles à #Bria
Au moins 27 civils sont tués par les rebelles de la #Séléka et des #Anti-Balaka depuis juin 2018 à Bria. C’est ce qu’a dénoncé dans un communiqué l’organisation de défense des Droits de l’Homme Human Rights Watch (HRW).
Les violences à Bria ont connu un pic depuis 2017 et ont repris en 2018 malgré plusieurs messages et menaces de la #Minusca contre les #bandes_armées qui écument cette région. Ce rapport est publié quelques jours après une scène de #réconciliation entre des factions Anti-Balaka et Séléka dans le contexte où les principaux leaders des #groupes_armés ont signé le 28 aout dernier à Khartoum une entente pour cesser les #violences contre les civils et acteurs humanitaires.
« Le 6 septembre 2018, des rebelles de la Séléka ont capturé et exécuté au moins neuf civils, dont sept femmes », a déclaré Human Rights Watch dans un communiqué.
Ces exécutions ont été perpétrées aux abords de la ville de Bria, dans la préfecture de la #Haute-Kotto, près de deux semaines après les meurtres de 11 civils par le même groupe armé à l’issue d’un affrontement avec une milice rivale des Anti-Balaka.
« Ces #exécutions et #assassinats sont des #crimes_de_guerre flagrants commis par des combattants qui se sentent libres de tuer à volonté, malgré la présence des soldats de la paix de l’#ONU », a déclaré Lewis Mudge, chercheur senior auprès de la division Afrique de Human Rights Watch.
Pour Lewis Mudge, « les #Casques_bleus, qui sont autorisés à recourir à la force pour protéger les civils, devraient chercher à anticiper ces attaques et à intervenir rapidement. Les combattants des #FPRC ne craignent apparemment pas les soldats de la paix, et des Anti-Balaka se trouvent à l’intérieur du camp », déplore-t-il.
Selon le communiqué, Human Rights Watch a également recueilli des preuves de #meurtres d’au moins huit autres civils dans la région depuis juin dernier, tous tués par des groupes Anti-Balaka.
Les tensions entre les deux #milices connaissent une escalade depuis 2017 dans cette région riche en minerais, se soldant par des meurtres de part et d’autre. Mais es deux groupes nient avoir attaqués des civils.
CAPITAL OF MILITIAS. Tripoli’s Armed Groups Capture the Libyan State
Since the arrival of the UN-backed Government of National Accord (GNA) in Tripoli in March 2016, four large local militias have gradually divided up the capital between themselves. Though nominally loyal to the government, they now exert a degree of influence over state institutions and resources that is unprecedented in post-Qaddafi Libya. This Paper examines the rise of a militia cartel in Tripoli, and concludes that the situation is untenable, as it risks provoking a major new conflict over Tripoli fought by those who have been excluded from access to the state and impedes efforts to establish a meaningful unity government.
Shifting relationships, growing threats: Who’s who of insurgent groups in the Sahel
In the six years since a separatist rebellion broke out in northern #Mali in January 2012, armed groups in West Africa’s Sahel region have grown considerably in both number and the complexity of their ever-evolving relationships with one another.
Quand les femmes s’engagent dans la rébellion : le cas des ex-combattantes ivoiriennes - Noria Research
►http://www.noria-research.com/ex-combattantes-ivoiriennes
À travers l’exemple des femmes engagées dans la rébellion en #Côte_d’Ivoire entre 2002 et 2011, cet article illustre la complexité de l’engagement féminin dans les #groupes_armés. Il propose une analyse des trajectoires de femmes enrôlées dans le #conflit ivoirien dans différentes régions et à différentes périodes de la #rébellion. Quelle a été l’implication des #femmes dans le conflit ivoirien ? Quelles logiques ont présidé à leur #engagement et, une fois engagées, quelles ont été leurs activités ? Comment peut-on comparer leur engagement dans la rébellion à celui des hommes ?
pas encore lu
]]>RD Congo : Le nouveau ‘Baromètre sécuritaire du Kivu’ cartographie les violences dans l’est | Human Rights Watch
▻https://www.hrw.org/fr/news/2017/12/07/rd-congo-le-nouveau-barometre-securitaire-du-kivu-cartographie-les-violences-da
▻https://www.hrw.org/sites/default/files/styles/open_graph/public/multimedia_images_2017/201712africa_drc_kst_french_0.png?itok=IaE3uoMq
Le nouveau #Baromètre_sécuritaire du #Kivu cartographiera les #violences exercées par les #groupes_armés et les forces de #sécurité étatiques congolaises dans les provinces du Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo, ont fait savoir aujourd’hui Human Rights Watch et le Groupe d’étude sur le Congo de l’Université de New York. Le projet conjoint rendra compte des pires violences commises dans les provinces du Nord et du Sud Kivu à l’aide de cartes, de graphiques et de rapports analytiques.
Selon les premiers résultats du Baromètre, de juin à novembre 2017, au moins 526 civils ont été tués dans les Kivus, au moins 1 087 personnes ont été enlevées ou kidnappées pour obtenir une rançon, et il y a eu au moins 7 incidents de viols massifs.
« Alors que les civils font l’objet d’attaques alarmantes dans l’est de la RD Congo, le Baromètre sécuritaire du Kivu fournira aux décideurs politiques, aux journalistes, aux activistes et autres personnes concernées un nouvel outil innovant permettant de mieux comprendre les violences », a déclaré Ida Sawyer, directrice pour l’Afrique centrale à Human Rights Watch. « Nous espérons que le Baromètre sera utilisé pour s’attaquer plus efficacement aux causes profondes du conflit en RD Congo, pour soutenir les communautés affectées et demander des comptes aux responsables. »
]]>Libye : Les gouvernements européens complices de violations des droits humains des migrants - La Libre
▻http://www.lalibre.be/actu/international/libye-les-gouvernements-europeens-complices-de-violations-des-droits-humains
Amnesty International publie un rapport accablant pour les gouvernements européens.
Selon l’organisation, ceux-ci se rendent complices de #violations des #droits_humains des #réfugiés et des migrants en #Libye. En vue d’empêcher les #migrants de traverser la #Méditerranée, les gouvernements européens soutiennent activement un système complexe d’abus et d’exploitation des réfugiés et des migrants qui implique les garde-côtes libyens, les services de détention et les passeurs. C’est ce que rapporte Amnesty International dans l’un de ses rapports « Libya’s dark web of collusion ».
Les politiques entreprises par certains des Etats membres, notamment l’#Italie qui, par une série de mesures, ferme les routes migratoires traversant la Méditerranée, sont remises en cause en regard des conséquences pour les personnes prises au piège à l’intérieur des #frontières libyennes.
« Des centaines de milliers de réfugiés et de migrants, pris au piège en Libye, sont à la merci des autorités, des #milices, des #groupes_armés et des #passeurs, qui travaillent souvent en bonne entente par appât du gain. Des dizaines de milliers de migrants sont maintenus en détention pour une durée indéterminée dans des centres surpeuplés où ils sont soumis à des violations systématiques de leurs droits », déclare John Dalhuisen, directeur pour l’Europe à Amnesty International.
]]>#migrants : une milice empêcherait les départs de #libye
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/230817/migrants-une-milice-empecherait-les-departs-de-libye
Des migrants dans un centre « officiel » de détention à Tajoura, en Libye, le 6 août 2017 © Reuters Les routes migratoires via la Méditerranée sont en pleine redéfinition depuis cet été. La baisse inattendue des arrivées en Italie s’accompagne d’une hausse des débarquements en Espagne. Un groupe armé libyen pourrait contribuer à réduire les départs depuis la Libye.
]]>Conflits et déplacements de population en Indonésie
▻http://visionscarto.net/conflits-deplacement-population
Titre : Conflits et déplacements de population en Indonésie. Mots-clés : #Indonésie #Asie #Asie_du_Sud-Est #Conflits #Réfugiés #Déplacés #Religions #Violence_politique #Guerre #Groupes_armés Auteur : Philippe Rekacewicz Date : 2015 (et 2006 pour la première version) Philippe Rekacewicz, 2015. Une première version de cette carte - conçue de manière un peu différente - a été publiée en 2006 (...)
]]>Le problème des rebelles sud-soudanais au Congo
La dernière chose dont l’est du Congo a besoin, c’est de davantage de #groupes_armés. L’arrivée de centaines de #rebelles sud-soudanais dans cette région sujette aux #violences est donc source d’inquiétude.
La multiplication des rébellions pétrolières au Nigeria complique toute négociation
▻http://www.voaafrique.com/a/la-multiplication-des-rebellions-petrolieres-au-nigeria-complique-toute-negociation/3483708.html
Lorsque les Vengeurs du Delta du Niger (NDA) ont annoncé qu’ils acceptaient de négocier avec le gouvernement d’Abuja, certains se sont pris à espérer en un retour à la paix dans le Sud pétrolifère du Nigeria.
C’était oublier une myriade d’autres groupes armés qui se refusent, eux, à s’assoir autour d’une table.
Certes, les attaques des NDA, sophistiquées et stratégiques, ont été les plus importantes et les plus médiatisées. Mais ces rebelles actifs depuis février ne sont pas seuls à occuper criques et mangroves.
]]>Dans l’est du Congo, les viols comme armes de guerre
►http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/07/16/dans-l-est-du-congo-les-viols-comme-armes-de-guerre_3448206_3212.html
« L’#enfer se trouve dans le #Kivu », résume une femme, le regard fixe, hanté par des images d’horreur qu’elle n’a encore osé décrire qu’à son « sauveur », le docteur #Denis_Mukwege, directeur de l’#hôpital de Panzi, à Bukavu.
Plus de 40 000 #femmes violées ont été opérées à Panzi depuis lors, sur les 500 000 #victimes répertoriées en #RDC depuis 1996. « Rien à voir avec des agissements individuels, ou un fait culturel congolais ! affirme le #médecin. Les #viols sont planifiés, organisés, mis en scène. Ils correspondent à une stratégie visant à traumatiser les familles et détruire les communautés, provoquer l’exode des populations vers les villes et permettre à d’autres de s’approprier les #ressources_naturelles du pays. C’est une arme de #guerre. Formidablement efficace. »
Et puis, constatant la généralisation des viols, pratiqués par à peu près tous les #groupes_armés – rebelles #hutu et combattants #maï-maï, #soldats #rwandais, insurgés du #M23 et forces congolaises – il a alerté les #ONG, la #Maison_Blanche, le #Conseil_de_l'Europe, les chancelleries. Il s’est exprimé à la tribune de l’#ONU, a brandi des chiffres, des photos, des témoignages.
Rien de décisif n’a suivi
#violence #inaction #afrique #enfance #maltraitance
#plo
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