L’histoire coloniale derrière la guerre Israël-Palestine - Histoires Crépues
▻https://www.youtube.com/watch?v=iQH22pqOdDQ
#histoire #Palestine #Israël #sionisme #colonialisme #Therodor_Herzl
]]>Le numéro 63 de la revue #Nunatak (version italophone)
La revue est disponible en ligne:
►https://nunatak.noblogs.org/post/2022/03/13/nunatak-n-63-inverno-2022
Je mettrai ci-dessous des mots-clés et citations des articles...
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métaliste des numéros recensés sur seenthis:
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Le numéro 7 de la revue #Nunatak , Revue d’histoires, cultures et #luttes des #montagnes...
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13 mars 1954 : les combattants vietnamiens attaquent le camp retranché de Diên-Biên-Phu
À lire sur cet événement ce #chef_d'oeuvre de la #littérature contemporaine : « Une sortie honorable », d’Eric Vuillard (Actes Sud)
Vuillard, au-delà de l’histoire (par Hugo Pradelle)
Une sortie honorable, le nouveau livre d’#Éric_Vuillard consacré à l’#Indochine française, se lit avec ses autres récits. C’est d’une relation cohérente de ses livres les uns avec les autres qu’émerge une manière singulière, décalée et obstinée de raconter l’histoire et de penser un geste littéraire et moral assurément fort.
▻https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/01/19/vuillard-histoire
« Une sortie honorable », d’Eric Vuillard (par Camille Laurens)
« L’histoire est un roman vrai », disait l’historien Paul Veyne. Une telle assertion, floutant la frontière désormais poreuse entre fiction et non-fiction, pourrait justifier la mention « roman » sur le nouveau livre d’Eric Vuillard, Une sortie honorable. Celui-ci lui a pourtant préféré, comme pour ses précédents ouvrages fondés sur des faits historiques, le mot « récit ». Sans doute est-ce pour souligner à la fois la relative brièveté du texte eu égard à l’ampleur des événements racontés – la guerre d’Indochine –, la place qu’y tient l’auteur et le refus de toute invention. Le récit, loin d’une vaste fresque à la Tolstoï, choisit de mettre en perspective quelques journées et personnages en déplaçant la focale et la lumière sur des moments obscurs, néanmoins décisifs. Congo et 14 juillet (Actes Sud, 2012 et 2016) proposaient déjà ce choix narratif, tout comme L’Ordre du jour (Actes Sud, prix Goncourt 2017), qui montrait l’ascension du pouvoir nazi dans les années 1930 à travers différents épisodes méconnus ou apparemment anecdotiques.
La guerre d’Indochine de 1946 à 1954, rebaptisée « guerre du Vietnam » de 1955 à 1975, très long conflit dans lequel deux grandes puissances mondiales furent vaincues par un tout petit pays, est peu étudiée dans les programmes scolaires. La pédagogie de Vuillard, qu’on sent à l’œuvre – parfois un peu trop –, consiste à expliquer le déroulement des faits en juxtaposant des scènes qui rendent lisibles causes et conséquences. Ainsi, les premières pages décrivent une plantation de caoutchouc en 1928 et la torture de trois coolies, ligotés par un contremaître avec du fil de fer, après avoir tenté d’échapper aux cadences infernales. « C’était une scène d’épouvante », surligne l’auteur. Puis il enchaîne avec la réunion, quelques années plus tard, d’André Michelin et de F. W. Taylor, le théoricien du management industriel. Une troisième scène montre le président de l’Assemblée nationale, Edouard Herriot, rendant hommage à « nos héroïques soldats » en Indochine.
L’efficacité de ce montage est redoutable. Le dispositif repose essentiellement sur une opposition entre nantis et dominés, soutenue par une idée simple et juste : l’histoire bâtit toujours « cet immense édifice qu’est le pouvoir » grâce à la même « immense communauté de poncifs, d’intérêts et de carrières ». Aussi Vuillard présente-t-il tous les puissants – ceux qui savent qu’ils auront « des rues à [leur] nom » – par une sorte de fiche généalogique où les alliances ont quelque chose d’incestueux et où « un bel héritage est pris pour un destin ». L’une des dernières scènes du récit dépeint les membres du conseil d’administration de la Banque de l’Indochine, le « fil d’or » qui les lie à la fin de la guerre après qu’ils ont « spéculé sur la mort » : « On perdait en gagnant et en gagnant prodigieusement », « le dividende était multiplié par trois. Il était rigoureusement proportionnel au nombre de morts. » [...]
Reste que la #guerre, d’être décrite en coulisse plus que sur le terrain, froide mécanique d’intérêts, n’en est que plus terrifiante. Certes, à #Dien_Bien_Phu, « on crève de partout. On recule de trou en trou, on empile des cadavres pour se protéger ». Mais « si l’on veut vraiment connaître l’horreur (…), il faudrait pouvoir pénétrer en silence dans le bureau où causent Eisenhower et Dulles ». Vuillard nous invite à prolonger notre réflexion en mettant son tressage subtil en regard des tragédies contemporaines. Car l’histoire n’est pas du passé, c’est d’ailleurs souvent au présent qu’il nous la raconte. Déjà, La Guerre des pauvres (Actes Sud, 2019) suggérait un parallèle entre le soulèvement des paysans allemands au XVIe siècle et le mouvement des « gilets jaunes ». De même, Une sortie honorable, dont le titre ironique reprend un syntagme figé cher aux politiques et aux militaires, interroge tacitement la façon dont la France négocie son retrait de conflits sanglants – au Mali, en Afghanistan… – au mépris de toutes les valeurs humaines et tout particulièrement de l’honneur. Le récit d’Eric Vuillard, par sa force de conviction, tient allumé en nous « ce petit lampadaire qu’on appelle la conscience ».
▻https://www.lemonde.fr/livres/article/2022/01/13/une-sortie-honorable-d-eric-vuillard-le-feuilleton-litteraire-de-camille-lau
#impérialisme #colonialisme #crétinerie #armée_française #Diên-Biên-Phu
]]>[Vidéos] Le Maquis en Catalogne (1939 - 1963) - PARTAGE NOIR
▻https://www.partage-noir.fr/le-maquis-en-catalogne-1939-1963
Un documentaire, en sept chapitres, qui traite de l’histoire du mouvement de guérilla antifranquiste en Catalogne, de la fin de la guerre civile jusqu’à sa fin dans les années 1960.
#CNT #Catalogne #Guerilla #Antifranquiste #Fédérica_Montsény #Francisco_Sabaté
]]>Un leone, le stragi, la censura e uno schifezzario
Quanto fu infame l’Italia in Libia. Stragista 100 anni fa e poi negli anni ’20-30. Ma infame anche nel nuovo secolo l’Italia di Berlusconi-Frattini con i profughi ma – sarà bene non scordarlo – l’accordo per il respingimento fu bipartisan (pochissimi a sinistra votarono contro).
Il 16 settembre di 81 anni fa viene ammazzato «il leone del deserto»: è una storia che i nostri governanti (di vario colore) ritengono non dovremmo conoscere, dunque io la racconto ogni volta che posso.
Omar Al Mukhtar ha 63 anni quando, nel 1923, diventa il capo della resistenza anti-italiana in Cirenaica, come allora veniva chiamata la Libia. Una vita da insegnante del Corano e poi gli ultimi anni da eroe e genio militare. Infinitamente superiori per numero (oltre 20 mila contro 2-3mila) e per armamento (aerei e gas tossici massicciamente usati) i fascisti ci misero un decennio per piegare la resistenza libica che dalla sua aveva solo l’appoggio della popolazione e la conoscenza del territorio.
A vincere fu il generale Rodolfo Graziani, con massacri e campi di concentramento. Fascisti certo. Ma anche il colonialismo di Giolitti fu sanguinario quando nel 1911 (su fortissime pressioni del Banco di Roma, legato a interessi vaticani) aggredì la Libia: repressione scientifica, deportazioni (migliaia tra Favignana, Ustica e Ventotene ma anche tantissimi schiavizzati nelle grandi fabbriche del Nord Italia) e massacri come quello di Sciara Sciat su cui calò la censura. «Tripoli, bel suol d’amore» si cantava: in realtà suolo di orrore. Fra il 1911 e il ’15 la popolazione della Cirenaica passa da 300mila a 120 mila. Allora la sinistra italiana si opponeva al colonialismo. Forse perché una sinistra c’era.
Un salto avanti nel tempo. Fu dunque Graziani, un criminale di guerra al pari delle Ss, a sconfiggere Omar al Mukhtar. A esempio deportando circa 100mila libici in 13 campi di concentramento: in 40mila vi moriranno. Non erano guerriglieri ma avrebbero potuto dar cibo o rifugio ai nemici dell’Italia.
Nell’estate del ’31 «il leone del deserto» è con soli 700 uomini, pochi viveri e quasi zero munizioni. L’11 settembre è catturato e dopo un processo-farsa impiccato il 16 settembre. Ha 70 anni e sale al patibolo sereno. «Non ci arrenderemo, la prossima generazione combatterà e poi la successiva e la successiva ancora». Da uomo religioso aggiunge: «da Dio veniamo e a Dio torniamo».
Di tutto questo sapremmo in Italia zero se non fosse per il coraggio di Angelo Del Boca e di pochi altri storici. Come si sa, il fascismo non ebbe la sua Norimberga. Una serie di amnistie (assai discutibili e comunque applicate in modo scandaloso) poi procedimenti archiviati, documenti nascosti per anni negli “armadi della vergogna” consentirono la libertà sia agli anelli minori di quella catena criminale che fu il fascismo che ai peggiori assassini e ai capi, compresi boia confessi come Rodolfo Graziani o Valerio Borghese.
Quasi tutti in Italia, compreso Gianfranco Fini, hanno chiesto «scusa» – chi prima e chi molto dopo – agli ebrei per le persecuzioni ma le istituzioni non hanno ricordato e pianto quelli che siamo andati a massacrare in Africa. Anzi passano gli anni e i governi le imprese africane degli italiani – fascisti e non – restano nascoste.
Nei libri e persino nelle sale cinematografiche.
La censura – strisciante, mai dichiarata ma netta – colpisce dagli anni ‘80 sino a oggi Il leone del deserto di Moustapha Akkad, un campione d’incasso in molti Paesi. Un filmone tipico di Hollywood, con tutti i pregi e i difetti delle grandi produzioni, con ottimi attori (Anthony Quinn, Oliver Reed, Rod Steiger, Irene Papas, John Gielgud… ) e nessun falso storico anti-italiano; anzi, notò Del Boca, facciamo miglior figura che nella realtà: nel film alcuni italiani si ribellano a Graziani il che purtroppo non accadde (avvenne invece in Etiopia e in Somalia, pochi anni dopo). Quel film non lo si vide e tuttora non si può vedere. Questioni burocratiche pare; no anzi, è “vilipendio”; rettifica “manca il visto”; anzi no “è il distributore che preferisce non farlo girare”; in ogni modo qua e là arriva la Digos a sequestrarlo; passa solo in un paio di festival minori e in qualche cineclub coraggioso.
Il vero, solo, indubitabile motivo della censura è che Akkad mostra, in modo documentato, gli orrori italiani in Libia. Il «leone» del titolo era appunto Omar Al Muktar, tuttora notissimo nell’Africa intera (in ogni grande città si trova una via a lui intitolata).
Per riparare a tanta viltà si potrebbe chiedere adesso al nostro ministro della Pubblica istruzione di aprire il prossimo anno scolastico con questo film. Scusate, avevo dimenticato che non abbiamo più una scuola pubblica ma solo macerie dove resistono (questo sì) un po’ di professori, professoresse, studentesse e studenti non asserviti, non rincoglioniti, non domati da manganelli (molti) e carote (poche).
Da questa estate all’ignoranza, alla rimozione, all’auto-assoluzione si aggiunge uno schifezzario: ad Affile (nel Lazio) c’è un sacrario dedicato al boia Graziani che lì era nato. Il cosiddetto sacrario è una doppia vergogna: per l’omaggio a un criminale ma anche per lo sperpero di soldi pubblici. Vi immaginate cosa succederebbe se in Germania si facesse un monumento a Himmler o a Eichmann? Naturalmente la classe politica italiana non si è accorta – prima, durante la costruzione e dopo – dell’omaggio al massacratore (in Africa ma anche altrove). Ben pochi – Zingaretti, Vincenzo Vita, Touadi, Vendola – hanno preso posizione e/o hanno chjesdyo spiegazioni o interventi del governo che “ovviamente” si è fatto di nebbia. La s-governatrice Polverini, prima di dimettersi, ha stanziato altri 20mila euro per il completamento e la video-sorveglianza dello schifezzario che lei chiama sacrario. Se in Italia quasi tutto tace “in alto” (“in basso no: manifestazioni di protesta ci sono state e, se vi interessa saperne di più, ne racconto sul mio blog) fuori dallo stagno italiano il monumento a Graziani è uno scandalo internazionale.
Ovviamente il passato si lega sempre al presente e al futuro. Oggi nel Lazio i gruppi neofascisti vengono aiutati dalle istituzioni: Casa Pound ha avuto in regalo (di nuovo denaro pubblico) un bel palazzo dal sindaco Eia-Eia-Ale-danno. E voi credete che sui molti misfatti di Forza Nuova o sui senegalesi uccisi il 13 dicembre 2011 a Firenze si sia davvero indagato? E che qualche istituzione si sia davvero preoccupata dei feriti, uno dei quali rimarrà del tutto paralizzato? E’ pur vero che alcuni magistrati e poliziotti con coraggio indagano sul neo-nazifascismo e sui suoi complici. Ma che peso volete abbiano nei palazzi dell’Italia che non ha trovato i colpevoli di piazza Fontana e delle altre stragi, che censura un serio film anticolonialista e che non manda subito le ruspe ad Affile?
NOTA CON QUASI SPOT
Se già sapete cos’è il mensile «Pollicino gnus» (quel «gnus» sarebbe «news» all’emiliana) e conoscete la sovversiva Mag-6 (Mutua auto gestione) di Reggio Emilia mi congratulo. Se no… informatevi. Questo qui sopra è l’editoriale del numero di gennaio 2013 dedicato alla Libia. Visto che sono il direttore ir/responsabile della rivista mi hanno chiesto di introdurlo: ho ripreso discorsi perlopiù già fatti in blog, cercando di attualizzarli. Se andate su www.pollicinognus.ittrovate l’indice di questo numero e indicazioni utili (sugli arretrati, su come abbonarsi, sull’info-shop). Di abbonarvi e di capire come funziona la Mag – una piccola, lunga, vincente storia di un modo diverso per rapportarsi al denaro – lo consiglio davvero. (db)
▻https://www.labottegadelbarbieri.org/un-leone-le-stragi-la-censura-e-uno-schifezzario
#mémoire #fascisme #histoire #Italie #Rodolfo_Graziani #Graziani #colonisation #passé_colonial #Italie_coloniale #colonisation #leone_de_deserto #Omar_Al_Mukhtar #Omar_al-Mokhtar #résistance #Libye #Cyrénaïque #résistance_libyenne #camps_de_concentration #massacres #Giolitti #censure #Sciara_Sciat #déportations #amnistie #Valerio_Borghese #Affile #leone_del_deserto #cinéma
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ping @olivier_aubert
]]>Prison N°5
À travers le récit de son #emprisonnement en #Turquie, #Zehra_Dogan, journaliste et artiste, parle de l’histoire et de l’oppression du peuple kurde, mais aussi de solidarité et de résistance de toutes ces femmes enfermées.
Ce livre est le fruit d’une détermination, transformant un emprisonnement en une résistance. Zehra Dogan, artiste kurde condamnée pour un dessin et une information qu’elle a relayés, fut jetée dans la prison n°5 de Diyarbakir, en Turquie. Elle nous immerge dans son quotidien carcéral. Découvrir le passé de ce haut lieu de persécutions et de résistances, c’est connaître la lutte du peuple kurde.
▻https://www.editions-delcourt.fr/bd/series/serie-prison-n-5/album-prison-n-5
#BD #bande_dessinée #livre
#Kurdes #résistance #auto-gestion #syndrome_de_Nusaybin #Kurdistan_turc #guerre #violence #armée_turque #couvre-feu #destruction #Sur #massacres #Cizre #Silopi #villes #PKK #Öcalan #révolte_de_Dersim #révolte_de_Kocgiri #révolte_de_Koçgiri #Cheikh_Saïd #torture #terrorisme #Kenan_Evren #Esat_Oktay_Yildray #assimilation #quartier_35 #Osman_Aydin #résistance #uniforme #tenue_unique #Sakine_Causiz #impunité #discriminations #exil_forcé #IDPs #déplacées_internes #identité #langue #exploitation #enlèvements #enlèvements #Hasan_Ocak #Mères_du_Samedi #montagne #guérilla #Kurdistan #Mères_de_la_paix #paix #violences_policières #ring_bleu #prison_de_Tarse #enfants #femmes
(BD très très dure, mais un document historique incroyable)
]]>La #guerriglia_odonomastica in #Cirenaica
Il 19 febbraio sono apparsi in diversi luoghi della Cirenaica sei cartelli che raccontano brevemente l’origine del rione e la sua doppia anima antifascista e anticolonialista. La guerriglia odonomastica è stata realizzata da #Resistenze_in_Cirenaica cantiere culturale nato all’interno del Vag61 che si occupa di memoria storica e anticolonialismo.
“Il 19 febbraio di 84 anni fa – scrivono – ci fu il massacro di Addis Abeba, uno dei tanti crimini del colonialismo italiano. Una data che in Etiopia è lutto nazionale, ma nel nostro paese che non ha mai fatto i conti con il suo passato, è un giorno qualsiasi. Ma non per tutt*, in molte città si è ricordato Yekatit 12 (l’equivalente del 19 febbraio nel calendario etiope), con azioni di guerriglia odonomastica. In Cirenaica si è voluto ricordare questa giornata, ricordando i crimini del colonialismo italiano, passato e presente, la barbarie del fascismo e la Resistenza che lo ha sconfitto”.
Il rione, costruito a ridosso della guerra italo-turca del 1911-12 che portò alla conquista della Libia, conserva della vecchia odonomastica colonialista solo la sua direttrice principale, via Libia, grazie alla sostituzione nel 1949 della toponomastica originaria con gli eroi della Resistenza (Giuseppe Bentivogli, Sante Vincenzi, Mario Musolesi, Paolo Fabbri, Gianni Palmieri, Massenzio Masia, Ilio Barontini, Gastone Rossi, Francesco Sabatucci).
“In nessun punto della discussione della seduta del consiglio comunale di Bologna del 16 aprile 1949 – scrive, però, Resistenze in Cirenaica -, troverete la critica al colonialismo che oggi siamo in grado di fare. Nondimeno, la decisione fu presa, e su quella decisione oggi noi possiamo fare leva, per andare oltre quelle cautele, quelle circonlocuzioni, quelle frasi pesate col bilancino”.
▻https://zero.eu/en/news/la-guerriglia-odonomastica-in-cirenaica
#guérilla_odonymique #guérilla_toponymique #toponymie #anti-colonialisme #anti-fascisme #Italie #mémoire #Libye #résistance #Bologne #Bologna #Bologna-Portomaggiore #Italie_coloniale #colonialisme_italien
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A Bagnolet, la bergerie qui ne voulait pas transhumer | L’Humanité
▻https://www.humanite.fr/bagnolet-la-bergerie-qui-ne-voulait-pas-transhumer-711859
Rien n’y fait : entre refus de se laisser apprivoiser et crainte de donner du ressort à la gentrification qui pèse sur la ville, les protagonistes s’accrochent à leur carré de ferme. « En dix ans notre sens critique sur la rénovation urbaine s’est aiguisé », reprend Gilles Amar. « Les projets de jardins partagés tels que les voient les villes visent tous le même modèle, productif, propret, squatté par quelques-uns », poursuit le jardinier. « Nous n’avons pas voulu de cela, mais d’un bordel constructif. Ici, c’est le jardin des habitants. Ici, c’est la branche jardinage du hip-hop. »
Surtout, les plans de la nouvelle école, un bâtiment tout en verre et béton prévu sur trois étages, ne siéent ni au berger, ni aux parents d’élèves. « Rien n’est à la dimension d’une école maternelle », assure Sabrina, leur représentante. « L’infrastructure va coûter cher à entretenir et l’encadrement va manquer pour couvrir une telle surface. »
Épaulée d’une architecte, Sors de Terre avance aujourd’hui un projet alternatif. Moins lourd et tout en bois, il serait plus ouvert sur la rue et jouerait avec l’existant plutôt que contre lui.
]]>Plantations sauvages au bout de ma rue, 2 boutures de figuiers et 1 d’abricotier, en espérant qu’elles prennent !
]]>Cartes sensibles ou subjectives
Cartographie sensible ou subjective
Pour Quentin Lefèvre, la cartographie sensible (ou #cartographie_subjective) peut se définir comme un média de restitution de l’#expérience du territoire ou encore comme la "#spatialisation_sensible de données sensibles".
▻http://quentinlefevre.com/cartographie-sensible
Cartographie sensible, émotions et #imaginaire
#Elise_Olmedo cerne les contours théoriques et méthodologiques de la cartographie sensible, en décrit les étapes de création et s’interroge sur ses impacts, son utilité et ses limites, à partir d’une expérimentation faite sur le terrain au Maroc, à Marrakech, au printemps 2010.
►http://visionscarto.net/cartographie-sensible
Cartographier les #interstices de la #ville
En faisant remonter à la surface les éléments du #paysage, l’artiste scénographe #Mathias_Poisson délivre des informations sur l’#ambiance des lieux, qui sensorialisent la carte. Élise Olmedo rend compte de cette #expérience_urbaine subjective dans ce beau billet.
►http://www.strabic.fr/Mathias-Poisson-Cartographier-les-interstices-de-la-ville
Cartes et cartographie des ressentis et représentations d’individus
La cartographie d’objets tels que des #ressentis (une gêne) ou des représentations de l’#espace_vécu (un risque) relatés par des individus mobilise des bagages conceptuels et techniques nombreux, nécessitant une mise au point sémantique et méthodologique. Aurélie Arnaud discute l’état de la recherche dans ce domaine dans la revue M@ppemonde.
▻https://journals-openedition-org/mappemonde/4666
Et si les cartes permettaient aussi d’explorer l’#invisible ?
C’est ce que propose l’atelier pédagogique de la BNF "Les cartes de l’invisible".
▻http://c.bnf.fr/JtG
L’#Otletosphère
Cette cartographie relationnelle des personnalités et institutions liées à #Paul_Otlet cherche à mettre en visibilité la forte implication de l’auteur au sein des organisations pacifistes internationales ainsi qu’au sein des institutions bibliographiques et documentaires.
▻http://hyperotlet.huma-num.fr/otletosphere/117
Pour une pratique féministe de la #visualisation de données
#Donna_Haraway, dans son essai fondateur sur les #savoirs_situés, offre une critique brillante non seulement de la représentation visuelle mais de la préférence extrême et perverse donnée aux yeux sur le corps dans la pensée occidentale.
►http://visionscarto.net/visualisation-donnees-feministe
#feminisme
Nouvelles cartographies – Lettres du #Tout-Monde
Ce projet de création expérimental et ouvert à tou.te.s a été lancé par des artistes et journalistes associés au #Labo_148. Quelle sera la cartographie du monde après la crise sanitaire ? Que redéfinit-elle ? Quelles urgences « à rêver un autre rêve, à inventer d’autres espoirs » s’imposent ? Le “Tout-Monde” selon #Edouard_Glissant, est cette inextricabilité de nos devenirs, et en cela, il invite à une poétique active de la #mondialité, de rencontres des imaginaires. Voir notamment l’expérience de Paul Wamo Taneisi : “Je porterai moi-même ma carte géographique”
▻http://www.labo148.com/category/nouvelles-cartographies
#Cartographies_traverses
« Cartographies traverses » est un dispositif de recherche-création qui regroupe des productions visuelles et sonores traitant des expériences migratoires contemporaines.
►http://visionscarto.net/cartographies-traverses
Re-dessiner l’expérience, art, sciences, conditions migratoires
#Sarah_Mekdjian et #Marie_Moreau utilisent la cartographie avec des migrants "pour un autre partage du sensible". Le projet débouche sur l’élaboration d’une très belle carte sensible (à voir).
▻http://www.antiatlas-journal.net
Cartes de migrants
L’artiste camerounais #Jean_David_Nkot réalise des portraits avec des cartes afin de "représenter les nombreux lieux qui se bousculent dans la tête des migrants" : ►https://wepresent.wetransfer.com/story/jean-david-nkot
Cartes d’ici et d’ailleurs
Favoriser l’inclusion sociale des personnes migrantes en France à travers des ateliers de #cartographie_participative et sensible (CartONG) : tel est l’objectif global du projet “Cartes d’ici et d’ailleurs”, soutenu par la Fondation de France et mis en oeuvre par #CartONG.
▻http://veillecarto2-0.fr/2018/12/21/carte-sensible-un-outil-dinclusion-sociale
#Guerilla_Cartography
L’objectif de Guerrilla Cartography est d’utiliser l’#art pour promouvoir une #cartographie_collaborative et engagée. Le site rassemble plusieurs atlas originaux et artistiques sur l’#eau, la #nourriture, les migrants.
▻http://www.guerrillacartography.org
Plateforme Art & Géo de Cartes Sensibles
Proposé par le polau-pôle des arts urbains et #Crévilles, ce site regroupe des cartes artistiques et géographiques qui rendent compte d’un territoire existant en assumant un regard sensible et/ou subjective. Il est conçu comme un outil de ressource et de partage pour chercheurs, artistes et curieux.
►http://polau.org/pacs
L’art est dans la cARTe
#Ghislaine_Escande est artiste peintre et plasticienne. Avec ses cARTes, elle redessine le Monde et nous fait voyager.
▻http://neocarto.hypotheses.org/10407
Carte sensible du festival de #Glastonbury
Le plan du célèbre festival de musique et d’arts de Glastonbury au Royaume-Uni selon The Word Magazine.
La carte subjective du musicien #Nick_Cave
Il s’agit d’une affiche de 2006 pour le concert de Nick Cave à Manchester en Angleterre. Elle contient plus de 50 énigmes basées sur les paroles de ses chansons. Voir cette vidéo qui revient sur le sens de cette carte subjective.
▻http://www.davidrumsey.com/luna/servlet/s/3ypdis
Médier les récits de vie. Expérimentations de #cartographies_narratives et sensibles
Article de Sarah Mekdjian et Élise Olmedo paru en 2016 sur le site de M@ppemonde.
►http://mappemonde.mgm.fr/118as2
#cartographie_narrative
Cartographier une année de sa vie
#Nicholas_Felton est un artiste designer qui traduit les données de la vie quotidienne en objets et en expériences significatives. Il est l’auteur de plusieurs rapports annuels qui résument les événements de l’année en cartes et graphiques rendant compte de son expérience subjective.
▻http://feltron.com/FAR08.html
Cartographie du #confinement en période d’épidémie
L’artiste britannique #Gareth_Fuller (►https://fullermaps.com/artworks/quarantine-maps) raconte en 14 cartes l’expérience de survie que représente la #quarantaine. Un grand nombre de cartes décrivant différents vécus en mode confiné sur Citylab (www.citylab.com/life/2020/04/neighborhood-maps-coronavirus-lockdown-stay-at-home-art/610018/). Le confinement en croquis, vu de France : géographie politique, sociale et culturelle du monde post-Covid19 par #Jérôme_Monnet (Cybergéo : ▻https://journals.openedition.org/cybergeo/34804). Une manière de décaler le regard sur le monde peut être d’utiliser (et d’admirer au passage) les très belles oeuvres de #street-art (▻https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/street-art/coronavirus-tour-du-monde-des-plus-belles-oeuvres-de-street-art-face-a-) produites dans le contexte de la pandémie. #Virginie_Estève a proposé un projet cartographique à ses élèves de 4e : cartographier leur espace vécu de confinement et aborder le paysage sensible depuis leur fenêtre. La preuve que l’on peut continuer à faire de la géographie et travailler à distance, moyennant quelques aménagements ( voir ce Genialy : ▻https://view.genial.ly/5e80c8155ad5150d93dab237/guide-geographie-du-confinement). Julien Dupont (Kobri), professeur d’histoire-géographie en collège à Vaulx-en-Velin et auteur de fictions radiophoniques et cartographiques, a mis en ligne sur son site Kartokobri (►https://kartokobri.wordpress.com) ses cartes quotidiennes du confinement. #SCOPIC (▻http://www.revuesurmesure.fr/issues/battre-aux-rythmes-de-la-ville/explorations-sensibles-de-notre-1km) s’est interrogée sur l’expérience du kilomètre autour de nos habitats. Pour d’autres liens, consulter le billet "Faire de la géographie en période de confinement" (▻https://cartonumerique.blogspot.com/2020/03/geographie-et-confinement.html).
Maps of Home
"Maps of Home" est une vision nostalgique faite des souvenirs de #Janesville dans le #Wisconsin, où l’auteur a grandi et où il a dû revenir à cause de la pandémie.
▻http://moriartynaps.org/maps-of-home
Suivre ses proches en temps de guerre
Carte dessinée à la main par ma grand-mère pour suivre les mouvements de mes grands-pères pendant la Seconde Guerre mondiale (1943-1945).
▻http://www.reddit.com/comments/be814f
#Nomadways
Le groupe Nomadways a invité 24 artistes, éducateurs et travailleurs sociaux à découvrir et explorer l’espace à partir de leurs #émotions et à créer leurs propres cartes subjectives dans un but de construction et d’inclusion communautaires.
▻http://nomadways.eu/subjective-mapping-2017-france
Cartographie autochtone, activités extractives et représentations alternatives
Le réseau #MappingBack a pour objectif de fournir du soutien cartographique aux membres des communautés autochtones luttant contre les industries extractives sur leur territoire. MappingBack cherche à utiliser la cartographie comme un outil de #résistance.
▻http://mappingback.org/home_fr
#peuples_autochtones #extractivisme
#Native_land, cartographier les voix autochtones
Le site Native Land, mis sur pied en 2015 par #Victor_Temprano, propose un outil cartographique participatif permettant une conceptualisation décoloniale des Amériques, du #Groenland, de l’#Australie et de la #Nouvelle-Zélande. Lire la présentation du site.
►http://native-land.ca
#décolonial
Cartographie et #langues_autochtones
#Marlena_Myles utilise son art pour célébrer sa culture et sa langue autochtones ainsi que pour aider le public (notamment les enfants) à comprendre l’importance des traditions et de l’histoire orales autochtones. Ses cartes racontent le passé, le présent et l’avenir du peuple et de la langue du #Dakota.
▻http://marlenamyl.es/project/dakota-land-map
#histoire_orale
Counter Mapping
#Jim_Enote, agriculteur #zuni traditionnel dans le Colorado (Etats-Unis), collabore avec des artistes pour créer des cartes qui ramènent une voix et une perspective autochtones à la terre. Ces cartes zunis s’inspirent profondément d’expériences partagées de lieux dans une volonté de #réappropriation du territoire par les #Amerindiens.
▻http://emergencemagazine.org/story/counter-mapping
Cartographie personnelle et subjective de #Mary_Jones
Au cours de ses dérives dans la ville de #Des_Moines, Mary Jones observe les lieux et les habitant⋅e⋅s, fait des photos, remplit des carnets d’#esquisses, prend des notes, enregistre parfois aussi des sons. Une masse de matériaux bruts qu’elle assemble ensuite en images hybrides (#collages, #superpositions, #sampling_visuels) qui composent une sorte de cartographie personnelle, subjective, voire intime de la cité et de ses marges.
►http://aris.papatheodorou.net/une-flaneuse-a-la-derive
Cartographier les espaces vécus et les émotions (#Drusec)
La ville telles qu’elle est vécue par les usagè.re.s de drogue marginalisés de #Bordeaux.
▻http://drusec.hypotheses.org/1722
#Queering_the_Map
Queering the Map est un projet de cartographie généré par la communauté #queer afin de géolocaliser des moments, des souvenirs et des histoires par rapport à leur espace physique. En cartographiant ces moments éphémères, Queering the Map vise à créer une archive vivante d’expériences queer.
▻http://queeringthemap.com
Cartographie subjective des Etats-Unis par #Paul_Steinberg
Cette série de vues subjectives des Etats-Unis et du monde a été réalisée par Saul Steinberg pour des couvertures anciennes de magazines (The New Yorker ou autres)
▻http://saulsteinbergfoundation.org/essay/view-of-the-world-from-9th-avenue
La cartographie au service des théories platistes
La théorie de la Terre Plate perdure jusqu’à aujourd’hui. La réalisation de cartes à l’image de la #terre_plate devient un objet de promotion de ces théories.
▻http://veillecarto2-0.fr/2020/09/22/la-cartographie-au-service-des-theories-platistes
Le monde vu de...
Une série de vues du monde à partir de #New_York, #San_Francisco et différentes villes des Etats-Unis (lire notre article sur le monde vu de la Silicon Valley).
▻https://imgur.com/a/XTnSn#0
Le monde vu par les Anciens
Cet atlas de #Karl_Müller de 1874 reproduit "les systèmes géographiques des Anciens" et d’une certaine manière la façon dont ces systèmes de représentation de l’#Antiquité étaient eux-mêmes vus au XIXe siècle.
▻http://geodata.mit.edu/catalog/princeton-r207tq824
L’Europe vue de la Russie
L’Europe vue de Moscou et l’Asie vue d’#Irkoutsk pendant la Guerre froide (1952).
▻https://www.reddit.com/r/MapPorn/comments/epdn4c/europe_from_moscowasia_from_irkutsk_time_magazine
Cartographie et subjectivité chez #Alexander_von_Humboldt
En scrutant minutieusement les différentes cartes réalisées par Alexander #von_Humboldt, on remarque certaines particularités, des mentions qui, à priori, n’auraient pas lieu de s’y trouver tant elles témoignent de la subjectivité de l’auteur.
►http://visionscarto.net/Humboldt-carto-subjective
Le monde sens dessus dessous
Un planisphère renversé montrant la Terre vue depuis l’hémisphère sud (à télécharger en haute résolution). Consulter la page des #projections cartographiques (▻http://cartonumerique.blogspot.com/p/projections-cartographiques.html) pour accéder à d’autres vues renversantes de la Terre.
▻https://www.digitalcommonwealth.org/search/commonwealth:9s161j433
Cartographie ultrapériphérique, et si on changeait de point de vue
Une carte des territoires ultramarins vus depuis l’hémisphère sud.
▻http://www.une-saison-en-guyane.com/extras/carte/carto-ultraperipherie-si-on-changeait-de-point-de-vue%e2%80%89
Projections du futur
Les projections du futur seront probablement centrées sur les océans, comme ces deux cartes du monde en projection Mercator oblique qui représentent les continents tout autour d’un océan unique.
►http://rightbasicbuilding.com/2019/09/09/the-world-maps-of-the-future
Carte subjective de #Paris en 2050
Cette carte imagine Paris en 2050, lorsque les effets du #réchauffement_climatique se seront durement faits ressentir... si rien n’est fait. Voir notre article de présentation : ▻https://cartonumerique.blogspot.com/2019/02/carto-subjective-geo-prospective.html
▻http://www.deuxdegres.net/projects/paris-2050
#changement_climatique
Utiliser des #SIG pour cartographier les #pratiques_spatiales
Des recherches récentes montrent l’intérêt d’utiliser les données fournies par les #réseaux_sociaux pour les cartographier et mettre en évidence des comportements des individus dans l’espace.
▻http://www.gislounge.com/using-gis-to-analyze-peoples-attitudes
Cartographie collaborative
L’objectif de ce site est de développer un ensemble d’usages pour aider à la dissémination des pratiques collaboratives en matière de cartographie, que ce soit pour le citoyen ou au sein de structures (associations, collectivités, milieu scolaire).
▻http://cartographie-collaborative.eu
#Mapquote
Le projet collaboratif Mapquote prend la forme d’une #carte_interactive où chaque utilisateur peut déposer une #citation de #romans où il est question de cartes.
▻http://neocarto.hypotheses.org/6502
L’usage de Google Maps dans « #Netherland »
Netherland est une belle réflexion désabusée sur les lieux et le déplacement, l’#espace et la #séparation, le fait de pouvoir être physiquement dans un lieu et mentalement dans un autre. Google Maps n’intervient que dans deux courts passages au début et à la fin du livre (source : Spacefiction)
▻http://spacefiction.fr/2009/11/01/google-maps-enters-litteraturegoogle-maps-entre-dans-la-litterature
#Hoodmaps
Hoodmaps permet de créer des cartes participatives pour éviter les #pièges_à_touristes et fréquenter les quartiers branchés de la ville. La typologie est assez basique, voire un peu réductrice : entre les “hipsters”, les touristes, les étudiants, les “riches”, les “costards” et les “normaux”, mais permet de rapidement identifier les différents quartiers d’une ville.
▻http://hoodmaps.com
Apprendre sur le territoire en représentant son territoire
Carte sensible élaborée par une classe de 1re ES qui montre la vision de leur lycée. A compléter par l’interview de Sophie Gaujal pour le Café pédagogique : L’approche sensible en cours de géographie, un ingrédient du bonheur ?
►http://hal.archives-ouvertes.fr
Cartographie ton quartier
Les cartes postales géocartographiques permettent d’articuler géographie spontanée et géographie raisonnée. Organisé par Sophie Gaujal, en partenariat avec le Café pédagogique, la Cité de l’architecture et l’IGN, le concours Cartographie ton quartier récompense les cartes postales cartographiques réalisées par des classes.
▻http://blog.ac-versailles.fr/geophotographie
Atelier de cartographie sensible (Ehess)
La plateforme SIG de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, met à disposition des ressources sur la cartographie sensible dans le cadre des ateliers Géomatique et humanités numériques qu’elle organise, notamment sur Gennevilliers.
▻http://psig.huma-num.fr/cartes-sensibles
#Cartes_mentales dans le nord de #Marseille
Ce billet de #Jérémy_Garniaux relate un atelier « cartes mentales » mené à Marseille, dans les 14, 15 et 16e arrondissements, par une plate-forme culturelle hors-les-murs constituée de cinq structures culturelles du Nord de Marseille.
▻http://www.mapper.fr/cartes-mentales-dans-le-nord-de-marseille
Chicago HomeStories Project
Le projet est né à #Chicago et commence à se diffuser dans le monde. Il s’agit d’encourager les citoyens par des #marches_civiques à en savoir plus sur leur quartier.
▻http://www.nationalgeographic.org/projects/out-of-eden-walk/blogs/lab-talk/2021-04-chicago-homestories-goes-global
Concours #cartographie_imaginaire
Cartographier la ville de demain, son quartier dans le futur, son école ou son collège idéal...
▻http://www.concourscarto.com/accueil-cci
Concours de dessin de cartes du monde pour enfants
Le concours #Barbara_Petchenik est un concours biennal de dessin de carte destiné aux enfants. Il a été créé par l’Association cartographique internationale en 1993 dans le but de promouvoir la représentation créative du monde sous forme graphique par les enfants.
▻http://icaci.org/petchenik
Lignes d’erre - Les cartes de #Fernand_Deligny
Pendant des années, Deligny a dessiné et fait dessiner des cartes de ce qu’il appelle leurs #lignes_d’erre, soit les trajets « libres » des #enfants sur leur aire de séjour. Il a perçu, par l’observation, que les autistes avaient une autre façon d’être au monde, une autre manière d’incarner l’humain.
▻http://culture.univ-lille1.fr/fileadmin/lna/lna60/lna60p34.pdf
La carte sensible de #Boulogne-Billancourt
Un projet pédagogique conduit par une équipe d’enseignants du lycée J. Prévert de Boulogne-Billancourt avec des classes de Seconde.
▻http://www.cafepedagogique.net
La "carte du Tendre" de #Nantes
#Gwenaëlle_Imhoff et #Emilie_Arbey, professeures de français et d’histoire géographie au collège Gutenberg de Saint-Herblain ont amené leurs 4èmes à réaliser de nouvelles « Cartes du Tendre » à la manière de Madame de Scudéry pour inventer « une géographie nantaise de l’Amour ». Enjeu de ce travail créatif et collaboratif, visuel et oral : aider les élèves à s’approprier « l’espace urbain proche et pourtant trop souvent lointain ».
▻http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2020/08/31082020Article637344555283464848.aspx
▻http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/lettres/continuite-pedgogique-et-numerique-en-lettres-carte-du-tendre-pr
Cartographier l’#insécurité au collège
Professeure d’histoire-géographie au collège Molière de Beaufort en Anjou, #Anaïs_Le_Thiec lance sa classe de 5ème dans une cartographie sensible du collège. Elle les invite à libérer leur parole via une #storymap.
▻http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/10/18102019Article637069844590338061.aspx
Dans ma ville on traîne
Visite guidée et habitée par le rappeur #Orelsan, qui propose une description de la ville de #Caen. L’intérêt principal est de rappeler qu’un espace géographique, avant d’être un objet d’étude, reste surtout un lieu de vie que l’on habite. Le rappeur énumère ses souvenirs d’enfant, d’adolescent, d’étudiant. Ce faisant, il raconte SA ville. Il associe chaque action passée au lieu où elle s’est déroulée.
►http://lhistgeobox.blogspot.com/2020/10/dans-ma-ville-on-traine-visite-guidee.html
Des lieux où l’on exprime ses sentiments
Carte interactive des lieux où les étudiants ont déclaré avoir pleuré sur le campus de l’université de Waterloo aux Etats-Unis (avec les commentaires). Cela correspondrait-il aux bâtiments de sciences et de mathématiques ?
▻http://www.reddit.com/r/dataisbeautiful/comments/l3t3xx/oc_an_interactive_map_of_where_students_have
Psycho-géographie de la ville de #Gibellina
Quand les artistes essaient de tromper les algorithmes de télédétection. C’est ce qu’a fait l’artiste #Burri avec une oeuvre d’art gigantesque couvrant les ruines de la vieille ville de Gibellina en Italie (à voir dans Google Maps)
▻http://www.archdaily.com/958178/the-psycho-geography-of-the-cretto-di-burri
Lyon-La Duchère 2030 : imaginer des scénarios prospectifs
Ces #scénarios prospectifs sont proposés par des élèves de 2nde du Lycée La Martinière-Duchère concernant le projet d’aménagement urbain #Lyon-La Duchère 2030.
▻http://canabae.enseigne.ac-lyon.fr/spip/spip.php?article1103
#Cartographie_sonore du quartier de l’Union (#Lille - #Roubaix - #Tourcoing)
Réalisé dans le cadre du projet de recherche Géographie et prospective piloté par l’IFE, cette expérimentation pédagogique a permis de découvrir par l’expérience spatiale un projet d’#aménagement_urbain d’envergure (son évolution, ses acteurs et ses enjeux) dans l’environnement proche des élèves, en privilégiant une géographie fondée sur l’expérience du terrain.
▻http://ife.ens-lyon.fr/geo-et-prospective/projet/cartographie-sonore-du-quartier-de-lunion
#Cartophonies
Comment sonne le monde ? Le site « Cartophonies » a pour objectif d’explorer l’#expérience_sonore contemporaine et d’aider a les prendre en compte dans l’avenir et dans les projets de transformation. Il contribue à construire une connaissance des milieux habités, du vécu des espaces et des ambiances contemporaines, celles du passé proche comme celles du futur.
►http://www.cartophonies.fr
#son
Cartes et mise en récit des mobilités
Dans le cadre d’une recherche doctorale, #Sylvie_Joublot-Ferré étudie les spatialités des adolescents en s’appuyant sur la cartographie de leurs déplacements quotidiens enregistrés sous forme de traces GPS et en analysant ces cartes comme des #récits_de_vie.
▻http://www.researchgate.net
▻http://www.radiobus.fm/episode/interview-de-sylvie-joublot-ferre-hepl
Comment les enfants ont perdu le droit de se déplacer
Carte montrant le territoire pratiqué pendant l’enfance sur quatre générations à #Sheffield.
►http://www.dailymail.co.uk/news/article-462091/How-children-lost-right-roam-generations.html
Comment les jeunes géographes ressentent-ils le monde contemporain ?
Un exercice de cartographie sensible proposé à des étudiants de master destinés à s’orienter vers le monde associatif donne un regard sur leurs représentations du monde. Environnement menacé, mobilités généralisées, et questionnements autour de la mondialisation émergent de ces cartes mentales, témoignant des inquiétudes d’une génération.
▻http://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/a-la-une/carte-a-la-une/cartographie-emotions-monde-contemporain
« Mais madame, je n’y suis jamais allé ! »
Un #voyage_virtuel à #La_Réunion à travers la confection de #cartes_postales sensibles par des élèves de lycée professionnel. La #géographie_expérientielle ce n’est pas seulement du vécu, ce sont aussi (et surtout) des représentations (article extrait des Cahiers pédagogique, n° 559 "L’aventure de la géographie".
▻http://www.cahiers-pedagogiques.com/Mais-madame-je-n-y-suis-jamais-alle
Tour de la France par deux enfants (G. Bruno)
Cet ouvrage constitue l’archétype du roman scolaire géographique. Réédité de nombreuses fois depuis sa sortie en 1877, l’ouvrage a connu un énorme succès (plus de 9 millions d’exemplaires), contribuant à façonner une image du territoire national.
▻http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5684551x
Une géographie subjective à travers les romans d’aventure pour la jeunesse
Aurélie Gille Comte-Sponville, Modernité et archaïsme des lieux dans les romans d’enquête et d’aventure pour la jeunesse pendant les Trente Glorieuses en France, thèse soutenue en 2016. L’importance des lieux correspond à la quête d’une #utopie de l’enfance éternelle, qui figerait non seulement les héros dans la perfection de leur âge, mais aussi les lieux, dans une forme d’uchronie idéalisée.
▻http://www.theses.fr/2016ARTO0008
Le #Londres des romans de #John_Le_Carré
#Mike_Hall a été chargé de dessiner pour l’éditeur Penguin Books la carte des personnages, des lieux et des scènes de romans d’espionnage de John Le Carré.
▻http://thisismikehall.com/smileyslondon
La carte de la classe de khâgne
Cartographie subjective de la classe khâgne par Gus (@ecsolius) : quand un khagneux dresse la carte symbolique d’une année en prépa littéraire
▻http://twitter.com/ecsolius/status/1292071140047937536
La carte des mathématiques
La carte du "#Mathematistan" représente les rapports ambigus que l’on peut avoir les #mathématiques. Une région souvent inaccessible ?
▻http://www.reddit.com/r/math/comments/2av79v/map_of_mathematistan_source_in_comments
Cartographie de son appartement
Géographie de mon appartement vu par Thibaut Sardier.
▻http://twitter.com/tsardier/status/1326832393655816192
Cartographie imaginaire du nourrisson
@LittleBigData suit, en infographies et sur les réseaux sociaux, les tourments et les joies de #jeunes_parents (voir cette présentation). Le résultat est un cartographie imaginaire des premiers mois de la vie d’un enfant. Avec une magnifique carte de la première année extraite de l’ouvrage Le Bébégraphe publié par Claire Dealberto et Jules Grandin aux éditions Les Arènes en 2021.
▻http://twitter.com/LittleBigData_/status/1263721598076555265
Carte des #lieux_communs
De "l’usine à gaz" au "terrain d’entente", @LaMineComics passe en revue tous nos lieux communs inspirés de métaphores géographiques.
▻http://twitter.com/LaMineComics/status/1097068721846321152
▻https://cartonumerique.blogspot.com/p/cartes-sensibles.html
#cartographie_sensible #bibliographie #ressources_pédagogiques
ping @visionscarto @odilon @reka
Entretien avec John Gibler
au sujet de son livre L’Évasion d’un guérillero
▻https://lavoiedujaguar.net/Entretien-avec-John-Gibler-au-sujet-de-son-livre-L-Evasion-d-un-guer
Le 1er janvier 1994, l’Armée zapatiste attaque six villes de l’État du Chiapas et proclame son manifeste. Après douze jours de guerre, une trêve est déclarée. L’État et l’armée mexicaine vont désormais gérer une situation de rébellion plus ou moins négociée. Le 28 juin 1995, la police de l’État du Guerrero massacre dix-sept paysans, tous membres d’un syndicat particulièrement teigneux, l’Organisation paysanne de la Sierra du Sud, au gué d’Aguas Blancas. Un an, jour pour jour, plus tard et au même endroit, un nouveau groupe armé fait irruption en public et lit son manifeste écrit en espagnol et nahua. C’est l’Armée populaire révolutionnaire (EPR). Elle n’entre au combat que le 16 juillet suivant en attaquant l’armée fédérale.
Le 25 octobre 1996, l’EPR a invité plusieurs journalistes locaux à une entrevue à Zumpango del Río (Guerrero). Des barbouzes de l’armée interceptent les journalistes et enlèvent un de leurs jeunes guides, Andrés Tzompaxtle Tecpile. C’est l’histoire de sa disparition, de son calvaire et de son évasion inespérée que raconte John Gibler dans son ouvrage L’Évasion d’un guérillero. Écrire la violence. Au-delà d’un témoignage cauchemardesque, c’est toute la stratégie de la terreur d’État qui est narrée à travers les entretiens avec Andrés Tzompaxtle et divers autres protagonistes. Et comme ce thème est à la fois particulier et, de Guantanamo à Damas, terriblement universel, voilà pour Gibler l’occasion de questionner sa pratique, son écriture. Comment rendre compte de l’indicible ? (...)
#Mexique #enquête #John_Gibler #écriture #guérilla #EZLN #répression #Joseph_Andras #Svetlana_Alexievitch #Achille_Mbembe
]]>L’Évasion d’un guérillero
Écrire la violence
Ernest London
▻https://lavoiedujaguar.net/L-Evasion-d-un-guerillero-Ecrire-la-violence
Militant de l’Armée populaire révolutionnaire (EPR), Andrés Tzompaxtle Tecpile, dit Rafael, est enlevé, détenu et torturé par l’armée mexicaine en 1996. Par un récit polyphonique, fruit d’un long travail d’enquête de terrain, le journaliste américain John Gibler dévoile la stratégie contre-insurrectionnelle de l’État mexicain. Il interroge également le processus d’écriture, les rapports de celle-ci avec une supposée objectivité, avec les partis pris, la violence qu’elle impose en voulant témoigner. Adaptant un mot d’ordre zapatiste, il défend la forme d’un écrit qui écoute (escribir escuchando). « Ce livre cherche à utiliser une arme coloniale, l’écriture, pour combattre la violence coloniale. »
S’appuyant essentiellement sur trente heures d’entretien avec Andrés Tzompaxtle Tecpile, mais aussi sur les témoignages des journalistes qui ont assisté à son enlèvement, d’une travailleuse sociale et d’une avocate, membres d’une association de défense des droits de l’homme, sur les articles de presse parus au sujet de cette affaire, il livre un récit polyphonique, notamment de la détention, des séances de torture infligées pendant quatre mois, et de son incroyable évasion, objet de beaucoup de suspicions. Son enfance dans une communauté indigène nahua de la Sierra de Zongolica (Veracruz) est aussi racontée, imprégnée d’un permanent sentiment d’injustice qui le pousse à rejoindre la guérilla. « La violence à la fois ontologique et corporelle de l’invasion est gravée dans ce que nous appelons aujourd’hui l’État, le droit, l’économie. On perpétue le massacre du massacré en se justifiant par cette chose qu’on appelle le droit. » (...)
#Mexique #guérilla #John_Gibler #écriture #écoute #violence #torture #guerre_sale #droit #État
]]>#Police attitude, 60 ans de #maintien_de_l'ordre - Documentaire
Ce film part d´un moment historique : en 2018-2019, après des affrontements violents entre forces de l´ordre et manifestants, pour la première fois la conception du maintien de l´ordre a fait l´objet de très fortes critiques et d´interrogations insistantes : quelle conception du maintien de l´ordre entraîne des blessures aussi mutilante ? N´y a t-il pas d´autres manières de faire ? Est-ce digne d´un État démocratique ? Et comment font les autres ? Pour répondre à ces questions, nous sommes revenus en arrière, traversant la question du maintien de l´ordre en contexte de manifestation depuis les années 60. Pas seulement en France, mais aussi chez nos voisins allemands et britanniques, qui depuis les années 2000 ont sérieusement repensé leur doctrine du maintien de l´ordre. Pendant ce temps, dans notre pays les autorités politiques et les forces de l´ordre, partageant la même confiance dans l´excellence d´un maintien de l´ordre « à la française » et dans le bien-fondé de l´armement qui lui est lié, ne jugeaient pas nécessaire de repenser la doctrine. Pire, ce faisant c´est la prétendue « doctrine » elle-même qui se voyait de plus en plus contredite par la réalité d´un maintien de l´ordre musclé qui devenait la seule réponse française aux nouveaux contestataires - lesquels certes ne rechignent pas devant la violence, et c´est le défi nouveau qui se pose au maintien de l´ordre. Que nous apprend in fine cette traversée de l´Histoire ? Les approches alternatives du maintien de l´ordre préférées chez nos voisins anglo-saxons ne sont sans doute pas infaillibles, mais elles ont le mérite de dessiner un horizon du maintien de l´ordre centré sur un rapport pacifié aux citoyens quand nous continuons, nous, à privilégier l´ordre et la Loi, quitte à admettre une quantité non négligeable de #violence.
▻https://www.dailymotion.com/video/x7xhmcw
#France #violences_policières
#film #film_documentaire #Stéphane_Roché #histoire #morts_de_Charonne #Charonne #répression #mai_68 #matraque #contact #blessures #fractures #armes #CRS #haie_d'honneur #sang #fonction_républicaine #Maurice_Grimaud #déontologie #équilibre #fermeté #affrontements #surenchère #désescalade_de_la_violence #retenue #force #ajustement_de_la_force #guerilla_urbaine #CNEFG #Saint-Astier #professionnalisation #contact_direct #doctrine #maintien_de_l'ordre_à_la_française #unités_spécialisées #gendarmes_mobiles #proportionnalité #maintien_à_distance #distance #Allemagne #Royaume-Uni #policing_by_consent #UK #Angleterre #Allemagne #police_militarisée #Irlande_du_Nord #Baton_rounds #armes #armes_à_feu #brigades_anti-émeutes #morts #décès #manifestations #contestation #voltigeurs_motoportés #rapidité #23_mars_1979 #escalade #usage_proportionné_de_la_force #Brokdorf #liberté_de_manifester #innovations_techniques #voltigeurs #soulèvement_de_la_jeunesse #Malik_Oussekine #acharnement #communication #premier_mai_révolutionnaire #Berlin #1er_mai_révolutionnaire #confrontation_violente #doctrine_de_la_désescalade #émeutes #G8 #Gênes #Good_practice_for_dialogue_and_communication (#godiac) #projet_Godiac #renseignement #état_d'urgence #BAC #brigades_anti-criminalité #2005 #émeutes_urbaines #régime_de_l'émeute #banlieue #LBD #flashball #lanceur_de_balles_à_distance #LBD_40 #neutralisation #mutilations #grenades #grenade_offensive #barrage_de_Sivens #Sivens #Rémi_Fraisse #grenade_lacrymogène_instantanée #cortège_de_tête #black_bloc #black_blocs #gilets_jaunes #insurrection #détachement_d'action_rapide (#DAR) #réactivité #mobilité #gestion_de_foule #glissement #Brigades_de_répression_des_actions_violentes_motorisées (#BRAV-M) #foule #contrôle_de_la_foule #respect_de_la_loi #hantise_de_l'insurrection #adaptation #doctrine #guerre_civile #défiance #démocratie #forces_de_l'ordre #crise_politique
Le numéro 4 de la revue #Nunatak , Revue d’histoires, cultures et #luttes des #montagnes...
métaliste des numéros recensés sur seenthis :
►https://seenthis.net/messages/926433
5 petits gestes pour la #planète
▻http://carfree.fr/index.php/2020/10/12/5-petits-gestes-pour-la-planete
Un nouveau collectif intitulé « La Ronce » vise à démultiplier des #actions directes, anonymes et décentralisées pour le vivant, pour empêcher de fonctionner ceux qui détruisent le vivant, ou a minima Lire la suite...
#Fin_de_l'automobile #anti-4x4 #dégonflisme #écologie #guérilla_urbaine #SUV #total #trottinette
]]>100 panneaux publicitaires contre l’automobile
▻http://carfree.fr/index.php/2020/09/14/100-panneaux-publicitaires-contre-lautomobile
Début septembre, une vague de #publicités parodiques pour les voitures est apparue sur les panneaux d’affichage et aux arrêts de bus au #royaume-uni, à Birmingham, Bristol, Cardiff, Exeter, Leeds et Lire la suite...
#Fin_de_l'automobile #actions #affiche #angleterre #constructeurs #guérilla_urbaine #londres
]]>#Guerriglia_odonomastica: una rivolta contro i nomi che abitiamo, per conoscere le nostre città
Cos’è la «guerriglia odonomastica»? Su Giap, negli ultimi anni, abbiamo fatto diversi esempi. Si tratta di azioni e performances il cui scopo è reintitolare dal basso vie e piazze delle nostre città – o aggiungere informazioni ai loro nomi per cambiare senso all’intitolazione.
Una via può essere reintitolata alla luce del sole, durante cortei o altre iniziative pubbliche, oppure col favore delle tenebre, a opera dei «soliti ignoti» o «solite ignote».
I nomi di vie e piazze – tecnicamente, gli «odonimi» – sono simboli, ma spesso sono anche sintomi. Sintomi di malattie che affliggono la memoria pubblica, sindromi causate dalla cattiva coscienza, da rimozioni e ipocrisie, da un mancato fare i conti col passato.
Nelle nostre città e paesi abbondano gli odonimi che celebrano il fascismo e il colonialismo, celebrano crimini politici, coloniali e di guerra. Odonimi razzisti, nomi che omaggiano gli oppressori e glorificano l’oppressione. È su questi che si sono concentrati gli interventi recenti. Su Giap abbiamo raccontato dei progetti Resistenze in Cirenaica (Bologna) e Viva Menilicchi! (Palermo).
Cambiare i nomi che abitiamo è cambiare il modo in cui pensiamo alla città. Attirando improvvisamente l’attenzione sul senso del nome di una via o piazza, la guerriglia odonomastica ci addestra a non dare per scontato il luogo stesso. Non dandolo per scontato, cominciamo a riappropriarcene.
Quanto conosciamo le nostre città?
Uno dei più celebri passi di Furio Jesi è tratto dal suo scritto postumo Spartakus. Simbologia della rivolta, terminato il 12 dicembre 1969 – poche ore prima della strage di Piazza Fontana – e uscito soltanto nel 2000:
«Si può amare una città, si possono riconoscere le sue case e le sue strade nelle proprie memorie più remote e segrete; ma solo nell’ora della rivolta la città è sentita veramente come l’haut-lieu e al tempo stesso come la propria città: propria poiché dell’io e al tempo stesso degli altri; propria, poiché campo di una battaglia che si è scelta e che la collettività ha scelto; propria, poiché spazio circoscritto in cui il tempo storico è sospeso e in cui ogni atto vale di per se stesso, nelle sue conseguenze immediate. Ci si appropria di una città fuggendo o avanzando nell’alternarsi delle cariche, molto più che giocando da bambini per le sue strade o passeggiandovi più tardi con una ragazza. Nell’ora della rivolta non si è più soli nella città.»
Jesi si riferiva tanto alla rivolta spartachista nella Berlino del 1919, di cui ricorreva il cinquantennale, quanto alle sommosse urbane del 1968 e dintorni, che erano parte della sua esperienza.
La pratica del conflitto insegna a non fuggire in modo prevedibile, e quindi a esplorare lo spazio urbano, a scoprire nuovi luoghi e nuovi tragitti. È quello che Belbo insegna a Casaubon nel capitolo 15 de Il pendolo di Foucault di Umberto Eco:
«Mi trovai a fuggire per via Larga […] Sull’angolo di via Rastrelli, Belbo mi afferrò per un braccio: “Per di qua, giovanotto”, mi disse. Tentai di chiedere perché, via Larga mi pareva più confortevole e abitata, e fui preso da claustrofobia nel dedalo di viuzze tra via Pecorari e l’Arcivescovado. Mi pareva che, dove Belbo mi stava conducendo, mi sarebbe stato più difficile mimetizzarmi nel caso che la polizia ci venisse incontro da qualche parte. Mi fece cenno di stare zitto, girò due o tre angoli, decelerò gradatamente, e ci trovammo a camminare, senza correre, proprio sul retro del Duomo, dove il traffico era normale e non arrivavano echi della battaglia che si stava svolgendo a meno di duecento metri […] “Vede, Casaubon,” mi disse allora Belbo,”non si scappa mai in linea retta […] Quando si partecipa a un raduno di massa, se non si conosce bene la zona il giorno prima si fa una ricognizione dei luoghi, e poi ci si colloca all’angolo da dove si dipartono le strade più piccole.”»
Impossibile non pensare a tutto questo vedendo che in Francia, dopo settimane di rivolte, l’intelligenza collettiva ha inventato MediaManif, applicazione per smartphone che si appoggia a OpenStreetMap ed è stata subito chiamata «il Waze degli scontri». Come spiega il sito lundi.am, MediaManif è
«una mappa interattiva del mondo e dunque di ogni città, ogni via, ogni rotatoria sulla quale è possibile segnalare la presenza di gruppi più o meno significativi di gilet gialli, ma anche degli immediati pericoli che ogni cittadino potrà quindi schivare o aggirare. Chi non vorrebbe, in questi tempi agitati, poter attraversare la sua città evitando le nubi di lacrimogeni?»
La cartografia della sommossa e la guerriglia odonomastica hanno in comune l’intento di riscoprire la città a uso del conflitto e dunque della vera vita, oltre la mera sopravvivenza, il tran tran, i tragitti soliti, l’uso passivo dello spazio urbano.
Non è casuale che la guerriglia odonomastica porti a scoprire le rivolte urbane del passato. Il progetto Viva Menilicchi! prende il nome dal grido che socialisti e anarchici lanciarono a Palermo il 2 marzo 1896, durante una protesta contro la guerra d’Abissinia che sfociò in cariche di polizia, scontri e arresti.
Ecco, queste note servono a introdurre un importante testo di Mariana E. Califano, pubblicato sul blog di Resistenze in Cirenaica.
Si intitola Della guerriglia odonomastica ed è la riflessione più approfondita uscita sinora su questi temi.
▻https://www.wumingfoundation.com/giap/2018/12/guerriglia-odonomastica
#guerrilla_toponymique #toponymie #Italie #toponymie_politique #guérilla_odonymique
Roma, la fermata della metro C #Amba_Aradam cambia nome: approvata l’intitolazione al partigiano #Marincola. Il vox tra i cittadini
E’ stata approvata questo pomeriggio la mozione che impegna l’amministrazione capitolina ad intitolare la futura fermata della Metro C Amba Aradam al partigiano italo-somalo #Giorgio_Marincola. Mentre nell’Aula Giulio Cesare l’assemblea capitolina votava la mozione, appoggiata dalla sindaca Virginia Raggi, per cambiare quel nome simbolo del colonialismo italiano e di una delle peggiori stragi compiute dal regime fascista in Africa, i residenti che abitano nel quartiere vicino l’omonima via Amba Aradam, nell’area di San Giovanni, si dividono sull’iniziativa.
C’è chi difende l’iniziativa del Campidoglio. Chi vuole conservare il vecchio nome scelto per la stazione metro C di Roma, ‘Amba Aradam‘, affinché “anche gli errori e le atrocità non vengano dimenticate”. Ma anche chi rivendica che “la storia non si debba cambiare”, quasi ‘nostalgico’ del periodo coloniale di matrice fascista.Lì, dove è in costruzione una nuova fermata della metropolitana (che dovrebbe essere ultimata entro il 2024, ndr) erano state le azioni dimostrative degli attivisti di #Black_Lives_Matter, seguite da appelli della società civile, a porre il problema di quella controversa toponomastica. Chiedendo di sostituire quel nome e di rendere invece omaggio al partigiano Marincola. Figlio di un soldato italiano e di una donna somala, da giovanissimo scelse di combattere per la Resistenza, contro l’occupazione nazifascista, ucciso dalle SS in Val di Fiemme il 4 maggio 1945.
“Una scelta giusta, omaggiare un partigiano di colore può essere un atto di grande valore simbolico”, c’è chi spiega. Altri concordano: “Perché no?”. Una proposta che ha anche permesso di conoscere una storia spesso dimenticata: “Non lo conoscevo, ho letto sui giornali. Ma ora sono convinto che sia giusto dedicargli questo riconoscimento”, spiega una ragazza.
Altri invece sono contrari: “Deve restare il nome ‘Amba Aradam’, si è sempre chiamata così anche la via”. Eppure, tra i sostenitori del vecchio nome (ma non solo), quasi nessuno conosce la storia della strage fascista che si consumò nel massiccio montuoso a nord di Addis Abeba, lungo il Tigre, quando, nel 1936, le truppe del maresciallo Badoglio e l’aviazione italiana massacrarono 20mila etiopi, compresi civili, donne e bambini, usando gas vietati già allora dalle convenzioni internazionali, come l’iprite. Altre centinaia persero la vita tre anni più tardi, all’interno di una profonda grotta dell’area, con le truppe fasciste che fecero uso di gas e lanciafiamme contro la resistenza etiope, per poi murare vivi gli ultimi sopravvissuti.
Una storia che quasi nessuno conosce, anche chi difende il nome ‘Amba Aradam’. Certo, chi concorda con la nuova intitolazione è convinto che, al di là dei simboli, siano necessarie altre azioni concrete sul tema immigrazione, compreso il diritto alla cittadinanza per chi nasce, cresce e studia in Italia: “Ius soli e Ius culturae? Sono favorevole”, spiegano diversi residenti. Ma non solo: “Serve anche ripartire dalle scuole e dalla formazione per debellare il razzismo”.
▻https://www.ilfattoquotidiano.it/2020/08/04/roma-la-fermata-della-metro-c-di-via-amba-aradam-sara-intitolata-al-partigiano-marincola-il-vox-tra-i-residenti-sulliniziativa-del-campidoglio/5889280
#toponymie #toponymie_politique #Italie #colonialisme #Rome #partisans #métro #station_de_métro #colonialisme_italien #passé_colonial #mémoire #guerre_d'Ethiopie #Ethiopie #massacre #Badoglio
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ajouté à la métaliste sur le colonialisme italien:
►https://seenthis.net/messages/871953
ping @isskein @albertocampiphoto
« Guérilla greffeurs » #Greffe secrètement des #branches_fruitières sur des #arbres_de_ville #stériles - #Go_Jardin
►https://gojardin.fr/idees-vertes/documentaires/guerilla-greffeurs-greffe-secretement-des-branches-fruitieres-sur-des-arbre
Un groupe de combattants de la liberté alimentaire se faufilent au milieu de la nuit (et parfois en plein jour) ; greffant des membres producteurs de fruits sur des arbres urbains stériles.
Connue sous le nom de « guérilla Grafters », leur mission est de fournir des aliments sains et gratuits. Là où ils sont le plus nécessaire , par exemple dans les déserts alimentaires urbains.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi aucun des arbres des grandes villes ne produisent pas quelques choses d’utiles ; comme des noix ou autres fruits ? Selon la #Guérilla_greffeurs, c’est parce qu’ils sont cultivés intentionnellement.
Les urbanistes sélectionnent spécifiquement des variétés stériles, comme de nombreux arbres fruitiers communs :(#pommes, #poires, #prunes, #cerises). En raison de leur beauté pour décorer les rues.
Mais ils ne veulent pas être tenus responsables de tout gâchis. Quand les fruits tombent, ils pourraient créer potentiellement des trottoirs glissants dans la ville ; ou attirer toutes sortes d’animaux ( Abeilles, guêpes, oiseaux, écureuils).
Vous pouvez imaginer à quelle vitesse la faune pourrait devenir un problème dans la jungle de béton. Mais c’est peut-être le problème avec les villes. Elles ne sont pas assez sauvages. C’est du moins ce que pensent les #Greffeurs_de_Guérilla.
]]>#Palermo, nella notte cambiano i nomi alle strade: la «guerriglia odonomastica» - 1 di 1 - Palermo - la Repubblica
▻https://palermo.repubblica.it/cronaca/2020/03/06/foto/palermo_nella_notte_cambiano_i_nomi_alle_strade_la_guerriglia_odonomastica_-250456533/1
#sicile #toponymie #colonialisme #Éthiopie #
@cdb_77 #indro_montanelli #montanelli
Sous la montagne, les braises
Petul
▻https://lavoiedujaguar.net/Sous-la-montagne-les-braises
En vingt-quatre heures, ces images ont frappé le monde de stupeur. Le 1er janvier 1994, dans le sud-est du Mexique, pays réputé pour sa (toute relative) stabilité, des milliers de combattants indigènes réalisent une action à faire pâlir de jalousie toutes les guérillas latino-américaines : l’occupation de cinq villes de l’État du Chiapas dont son centre touristique, San Cristóbal de Las Casas (80 000 habitants environ à l’époque). Plusieurs semaines de guerre civile vont suivre avant l’établissement d’une fragile trêve. Mais les questions qui hantent les esprits sont principalement que veut cette armée de gueux ? Et surtout d’où sortent-ils ? De quelle nuit ?
Une des premières phrases de leur manifeste lu sur les stations radio investies ou affiché sur les murs proclame : « Nous sommes le produit de cinq cents années de lutte. » Cette déclaration est signée EZLN (Armée zapatiste de libération nationale) Front du Sud-Est, détail qui passera un peu trop vite à la trappe, l’EZLN signant tout simplement EZLN au bout de quelques jours.
S’il serait un peu vain et prétentieux d’affirmer que tout cela était pourtant prévisible, nous nous contenterons d’examiner le processus qui a amené à cette situation dans la dizaine d’années précédentes. Ou comment les braises qui couvaient sous la montagne et la forêt ont allumé l’incendie. (...)
#Mexique #Chiapas #EZLN #zapatistes #origines #histoire #Guatemala #Mayas #paysans #guérillas #Samuel_Ruiz #Église #syndicalisme
]]>Migrations : #affrontements à Lesbos et Chios entre policiers et habitants
Des affrontements ont eu lieu mardi entre des centaines d’habitants de Lesbos et de Chios et des #forces_anti-émeutes, qui ont fait usage de #gaz_lacrymogènes sur fond de controverse autour de nouveaux #camps_fermés pour les migrants sur ces îles de la mer Egée.
Des affrontements ont eu lieu mardi entre des centaines d’habitants de Lesbos et de Chios et des forces anti-émeutes, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes sur fond de controverse autour de nouveaux camps fermés pour les migrants sur ces îles de la mer Egée.
Habitants et autorités locales se sont rassemblés sur les ports de ces îles et dans des villages situés à proximité des terrains désignés pour la construction de nouveaux camps pour protester contre l’arrivée d’environ un millier de policiers des forces anti-émeutes en provenance de Grèce continentale pour renforcer la #sécurité sur ces îles, selon une source policière.
Des gaz lacrymogènes et des #grenades_assourdissantes ont été lancés par les forces de d’ordre contre des groupes de personnes qui leur jetaient divers objets, selon un photographe de l’AFP.
Deux femmes ont été hospitalisées pour des problèmes respiratoires après ces incidents, selon la même source.
Le gouvernement a de nouveau réitéré mardi sa détermination à construire ces nouveaux camps fermés pour remplacer les camps insalubres et surpeuplés sur les îles.
« Les nouveaux camps seront construits, les vieux camps débordés (de demandeurs d’asile) vont fermer », a affirmé Stelios Petsas, lors de son point presse hebdomadaire.
Le gouvernement avait tenté à plusieurs reprises de convaincre les autorités locales de la nécessité de ces nouveaux camps mais ces dernières y sont opposées.
« Le dialogue avec les autorités locales ne peut pas servir d’alibi pour ne pas continuer les travaux (...) nous demandons aux habitants de nous faire confiance », a souligné Stelios Pepas.
– « Pas de retour en arrière » -
Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis avait récemement indiqué que le projet de construction des nouveaux camps serait mis en oeuvre malgré l’opposition qu’il suscite dans la population des îles.
« Les travaux vont commencer immédiatement et seront menés à bien. Il n’y aura pas de retour en arrière », avait-il déclaré.
Plus de 38.000 migrants sont actuellement entassés dans des camps installés sur les îles de Lesbos, Samos, Chios, Leros et Kos en mer Egée dont la capacité totale officielle est de 6.200.
Les travaux de construction de nouveaux camps sur Lesbos et Chios, avec une capacité officielle de 7.000 personnes chacun, doivent débuter cette semaine.
Autorités locales et habitants ont fait savoir qu’après cinq ans en première ligne de la crise migratoire qui affecte l’Europe, ils ne sont plus disposés à accepter sur leurs îles des milliers de demandeurs d’asile.
Des habitants ont menacé de bloquer l’accès des sites des futurs camps pour entraver leur construction.
Le gouvernement conservateur arrivé au pouvoir en juillet 2019 a annoncé que les camps existant à #Lesbos, #Samos et #Chios seraient fermés dans le courant de 2020 et remplacés par de nouvelles installations.
L’objectif est de diminuer la #surpopulation sur les îles en transférant des milliers de migrants vers d’autres parties de la Grèce, mais actuellement le gouvernement est dans l’impasse car sur le continent les communautés locales s’opposent aussi à cette mesure.
Le Haut commissaire de l’ONU pour les réfugiés Filippo Grandi a appelé vendredi à des actions urgentes pour remédier à la situation « choquante et honteuse » dans laquelle les migrants doivent vivre dans les centres d’accueil actuels sur les îles.
Le HCR a également appelé le gouvernement à transférer les demandeurs d’asile, qui ont droit, en Grèce continentale.
▻https://www.mediapart.fr/journal/fil-dactualites/250220/migrations-affrontements-lesbos-et-chios-entre-policiers-et-habitants
#résistance #hotspot #Grèce #île #Lesbos #asile #migrations #réfugiés #Chios
–-> Commentaire reçu via la mailing-list Migreurop :
Des véritables scènes de #guérilla ont lieu sur les îles et plus particulièrement à Lesbos et Chios où la population locale s’affronte aux #CRS envoyés sur place pour dégager les routes des #barricades et permettre ainsi que la construction des centres fermés pour les nouveaux arrivants – des #CRA qui ont été présentés par le gouvernement Mitsotakis tantôt comme des centres de #détention complétèrent fermés, tantôt comme des centres partiellement fermés avec autorisation de sortie possible dans la journée. La #violence des affrontements et la détermination de la population de mettre en échec le plan gouvernemental est telle que le président de la commune de #Karava – où le centre fermé de Lesbos devrait être construit- a parlé d’une véritable #guerre.
–-----
voir aussi les affrontements d’une semaine auparavant (début février 2020) :
▻https://seenthis.net/messages/823843
Salvador : des ex-guérilleros protègent la forêt qui leur avait donné refuge - GoodPlanet MAG’
▻https://www.goodplanet.info/2020/01/19/salvador-des-ex-guerilleros-protegent-la-foret-qui-leur-avait-donne-ref
Une #forêt qui a servi de refuge à la guérilla durant la sanglante guerre civile au #Salvador est aujourd’hui au centre d’un projet #éco-touristique monté par d’anciens #guérilleros qui ont dû « réinventer » leur vie lors de la signature des accords de paix le 16 janvier 1992, après 12 années de combats.
Les 5.000 hectares de la forêt de #Cinquera, située à 70 km au nord-est de San Salvador, comptent plus de 500 essences d’arbres et d’arbustes ainsi qu’une rivière alimentant des étangs et des chutes d’eau.
« Lorsque la guerre a pris fin, nous nous sommes dit : si la forêt nous a sauvé la vie, maintenant c’est à nous de la protéger », explique Rafael Hernandez, un ancien membre de la #guérilla marxiste du Front Farabundo Marti de libération nationale (#FMLN), âgé aujourd’hui de 57 ans. [...]
Les vestiges de la guerre marquent le paysage de la localité et sont devenus des attractions touristiques.
Deux énormes bombes trônent en face de l’église du village d’environ 1.900 habitants survivant essentiellement grâce à leurs cultures de maïs et de haricots.
Des fusils M-16, AR-15 et Ak-47 servent aussi d’ornement à la grille d’une place voisine, où la queue d’un hélicoptère de l’armée, abattu par la guérilla en 1991, témoigne de la violence des combats à Cinquera.
]]>Suite mexicaine (VI)
Georges Lapierre
▻https://lavoiedujaguar.net/Suite-mexicaine-VI
La guerre sociale au Mexique
Deuxième partie : les résistances
En el corazón de la montaña
Durant le mois d’août de l’année 2019, je me suis rendu à Tlapa, ville de l’État du Guerrero qui se trouve au cœur de la montagne tlapanèque. Le Centre des droits humains Tlachinollan fêtait son vingt-cinquième anniversaire. Pendant un quart de siècle, le Centre Tlachinollan a inlassablement défendu la population victime des abus commis par les forces de l’État, armée ou police. J’ai connu son directeur, Abel Barrera, il y a vingt ans, en 1999. Depuis je m’efforce de le rencontrer au moins une fois tous les ans par sympathie.
C’est un long voyage, presque initiatique, dans l’État du Guerrero où se mêlent dans un réseau inextricable des forces et des courants contraires : les séquelles d’une guérilla qui a connu une forte présence et une forte activité dans les années 1970 avec Lucio Cabañas et le Partido de los Pobres (Parti des pauvres), mais qui est loin d’être réduite au silence, dans le jeu de massacre auquel se livre sans aucune retenue le pouvoir (...)
#Mexique #Guerrero #Ayotzinapa #Lucio_Cabañas #Genaro_Vázquez #guérilla #armée #narcotrafic #État
]]>En #Colombie, des dissidents des #FARC se lancent dans une guerre hasardeuse
▻https://lemediapresse.fr/international/en-colombie-des-dissidents-des-farc-se-lancent-dans-une-guerre-hasarde
Des figures de l’ex-guérilla ont déserté le processus de paix, invoquant la violation des accords de paix par l’État et la nécessité de fédérer les luttes clandestines contre l’« oligarchie corrompue ». Ce nouveau groupe, minoritaire dans le paysage du conflit armé, peine à trouver ses alliés, mais est à la source de nouvelles tensions entre le gouvernement et le Venezuela voisin.
#International #Amérique_du_Sud #Gauche #Guérilla #Lutte_armée
]]>En #Colombie, des #leaders_sociaux tombent sous les balles par centaines
▻https://lemediapresse.fr/international/en-colombie-des-leaders-sociaux-tombent-sous-les-balles-par-centaines
Les assassinats de ces paysans, activistes et militants hantent le premier anniversaire du gouvernement droitier d’Iván #Duque, opposé à l’accord de paix entre l’ex-guérilla des #FARC et l’État.
#International #Amérique_du_Sud #Amérique_Latine #bogota #Guérilla #Marxisme #marxiste #Révolution
]]>Régis Debray, Revolution in the Revolution ? Armed Struggle and Political Struggle In Latin America
▻https://www.freedomarchives.org/Documents/Finder/Black%20Liberation%20Disk/Black%20Power!/SugahData/Books/Debray.S.pdf
Régis Debray - Révolution dans la révolution Lutte armée et lutte politique en Amérique Latine (1967)
▻https://framadrop.org/r/siBue1l1nF#aZPkG/eG0mtggbCGCQJiTksNXaDNQXS+SHc7KUWqYA0=
Le numéro 1, un très beau numéro de la revue
#Nunatak , Revue d’histoires, cultures et #luttes des #montagnes...
Sommaire :
Une sensation d’étouffement/Aux frontières de l’Iran et de l’Irak/Pâturages et Uniformes/La Banda Baudissard/
À ceux qui ne sont responsables de rien/Des plantes dans l’illégalité/Conga no va !/Mundatur culpa labore
La revue est disponible en pdf en ligne (►https://revuenunatak.noblogs.org/numeros), voici l’adresse URL pour télécharger le numéro 1 :
▻https://revuenunatak.noblogs.org/files/2017/03/Nunatak1HiverPrintemps2017.pdf
Je mettrai ci-dessous des mots-clés et citations des articles...
–—
métaliste des numéros recensés sur seenthis :
►https://seenthis.net/messages/926433
Deux ans après la paix, le nouveau combat des #FARC
▻https://lemediapresse.fr/international/deux-ans-apres-la-paix-le-nouveau-combat-des-farc
En #Colombie, au cœur du Guaviare, une zone naturelle longtemps préservée mais aujourd’hui menacée, les membres de la #Guérilla communiste ont déposé les armes en juin 2017. Leur retour à la vie civile est ralenti par l’effet des années d’isolement et les positions vindicatives de la droite au pouvoir. Reportage.
]]>The Rebel Contraband Dataset - James Igoe Walsh Dataverse
▻https://dataverse.harvard.edu/dataset.xhtml?persistentId=doi:10.7910/DVN/COQ65B
Data, codebook, and notes and sources for the Rebel Contraband Dataset. (2019-01-24)
]]>Je commence ici la suite du fil sur les #graffitis à #Grenoble.
Elle continue celle-ci :
►https://seenthis.net/messages/628739
#art_de_rue #street-art #graffitis #France
Et ici la métaliste :
►https://seenthis.net/messages/745557
La Rébellion zapatiste
Ernest London
▻https://lavoiedujaguar.net/La-Rebellion-zapatiste
Jérôme Baschet analyse comment le zapatisme est une critique, un dépassement du guévarisme. Il raconte le processus de transformation d’un groupe d’avant-garde révolutionnaire en un mouvement indigène de résistance. L’EZLN est une guérilla qui s’est transformée en armée régulière en surmontant son extériorité avec la population paysanne, en passant d’une lutte politico-militaire à une lutte plus politique que militaire, en rupture avec la tradition latino-américaine. « Le zapatisme est la guérilla de la fin de la guérilla. »
Le zapatisme est également une critique du léninisme dans le sens où il refuse la prise du pouvoir, militaire comme électorale, mais construit une nouvelle forme de pouvoir politique par en bas, une organisation politique construite depuis la société elle-même, dans une logique d’autonomisation et d’auto-organisation. Même si l’origine marxiste du « cocktail zapatiste » n’est jamais niée, le zapatisme revendique le droit à l’indéfinition et apparaît comme « une critique en acte des expériences révolutionnaires du XXe siècle ». (...)
#Jérôme_Baschet #essai #Mexique #zapatisme #EZLN #guérilla #critique #léninisme #recension
]]>#Colombie. #Tourisme : vis ma vie d’ancien #FARC
D’anciens membres de la #guérilla colombienne proposent aux touristes de découvrir ce qu’était la vie quotidienne des combattants. Leur promesse : des sensations fortes, mais en toute sécurité, dans des zones longtemps inaccessibles à cause des combats.
Welcome to a new kind of war: the rise of endless urban conflict
The traditional security paradigm in our western-style democracies fails to accommodate a key feature of today’s wars: when our major powers go to war, the enemies they now encounter are irregular combatants. Not troops, organised into armies; but “freedom” fighters, guerrillas, terrorists. Some are as easily grouped by common purpose as they are disbanded. Others engage in wars with no end in sight.
What such irregular combatants tend to share is that they urbanise war. Cities are the space where they have a fighting chance, and where they can leave a mark likely to be picked up by the global media. This is to the disadvantage of cities – but also to the typical military apparatus of today’s major powers.
Irregular combatants are at their most effective in cities. They cannot easily shoot down planes, nor fight tanks in open fields. Instead, they draw the enemy into cities, and undermine the key advantage of today’s major powers, whose mechanised weapons are of little use in dense and narrow urban spaces.
Nor do contemporary urban wars even prioritise direct combat. Rather, they produce forced urbanisation and de-urbanisation. In many cases, such as Kosovo, displaced people swell urban populations. In other cases, such as Baghdad, ethnic cleansing expels people – in that case the “voluntary” departures of Sunnis, Christians and other religious groups, all of whom had long co-existed in Iraq’s large cities.
Indeed, warring forces now often avoid battle. Their main strategy is to gain control over territory, through the expulsion of “the other” – often defined in terms of ethnicity, religion, tribal membership or political affiliation. Their main tactic is the terror of conspicuous atrocities, such as in South Sudan, home to a brutal and bloody war with no end in sight fought between two strongmen (and former collaborators), or the Congo, where irregular armies fighting for control of mining wealth have killed millions.
The western military is learning. The US now has training camps featuring imitation “Arab” urban districts, and has picked up the Israeli practice of entering a dense neighbourhood not via the street, but by crossing through homes – a parallel pathway to the street, running from one interior room to another by carving holes in contiguous walls, and dealing with the inhabitants as they come across them.
Global media certainly have an easier time reporting on major cities than on villages and fields. But even when those “remote” deaths are invoked, the shock and the engagement is not as strong as it is with terrorist attacks in cities. This engagement with the urban goes beyond attacks on people: when a major historic building or work of art is destroyed, it can generate huge responses of horror, pain, sadness, sense of loss – but 6 million killed in Congo? Nothing.
We have gone from wars commanded by hegemonic powers that sought control over sea, air, and land, to wars fought in cities – either inside the war zone, or enacted in cities far away. The space for action can involve “the war”, or simply specific local issues; each attack has its own grievances and aims, seeking global projection or not. Localised actions by local armed groups, mostly acting independently from other such groups, let alone from actors in the war zone – this fragmented isolation has become a new kind of multi-sited war.
In the old wars, there was the option of calling for an armistice. In today’s wars, there are no dominant powers who can decide to end it. Today’s urban wars, above all, are wars with no end in sight.
cc @albertocampiphoto @reka @isskein @tchaala_la @fil @ville_en
Remember #Aaron_Swartz.
Génie généreux poussé au suicide il y a 5 ans.
« La différence entre Jobs, Gates et Aaron, c’est que lui voulait rendre le monde meilleur, pas gagner de l’argent »
▻https://youtu.be/jGOCQongiuI
/ data <3 @The_LSN et merci pour la tonne d’infos en description de la video
« Il nous faut tenir et dominer Athènes »
La crise économique a ravivé de vieux souvenirs en Grèce. D’abord, celui de l’Allemagne, qui a occupé, massacré et pillé durant les sombres années de la seconde guerre mondiale. Ensuite, celui des ingérences alliées, comme en 1944, lorsque le Royaume-Uni préféra écraser la Résistance locale et collaborer avec les milices d’extrême droite plutôt que de voir le pays échapper à sa domination.
►https://www.monde-diplomatique.fr/2012/07/FONTAINE/47975
#Armée #Histoire #Fascisme #Guérilla #Communisme #Répression #Extrême_droite #Seconde_guerre_mondiale #Grèce #Balkans #Royaume_Uni #Méditerranée #Churchill #guerre_civile
]]>If you build it, they will ride: pop-up bike lanes prove that demand exists
▻http://bicycletimesmag.com/if-you-build-it-they-will-ride-pop-up-bike-lanes-prove-that-demand- #bicycling #vélo #guerilla_urbanism #pistes_cyclables #urbanisme
Camilo Torres
▻https://www.monde-diplomatique.fr/mav/151/A/57070 #st
Prêtre colombien et militant de gauche, Camilo Torres fut aussi sociologue, une discipline qu’il étudia dans les années 1950 en Belgique. En août 1965, le réalisateur Bruno Muel filme un entretien avec l’animateur du Frente Unido. Dans ce document sans équivalent, il explique — en français — son cheminement. Torres rejoint un maquis de l’Armée de libération nationale (ELN) en novembre 1965 avant d’être tué par les troupes gouvernementales.
▻http://zinc.mondediplo.net/messages/53276 via Le Monde diplomatique
]]>The Most Secret Place On Earth The CIAs Covert War In Laos 2008 - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=NNwi90uUNDA
The Most Secret Place on Earth is a 2008 film by German director Marc Eberle, dealing with the secret operation waged by the CIA throughout the sixties and early seventies against communist guerrillas in Laos, particularly in the city of #LongCheng.
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