La banalité du bien
▻https://laviedesidees.fr/Tony-Molho-La-gentillesse-des-autres
Récemment publiés en anglais, les souvenirs d’enfance de l’historien de la Renaissance italienne Tony Molho ont été presque immédiatement traduits en de nombreuses langues. Il y raconte ses souvenirs de famille à Salonique, l’occupation allemande et la fuite, perçues à hauteur d’enfant.
#Histoire #Shoah #enfance #guerre_mondiale #Grèce
▻https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/202511_molho_relu_ariel-2.pdf
Dans « la gentillesse des autres », on entend aussi une interrogation non résolue qui traverse le livre : cette définition de l’autre, l’idée d’une frontière en évolution avec « les autres ». Dans un jeune pays où la religion orthodoxe devient rapidement un signe de grécité, Tony Molho tente, avec toujours beaucoup de questionnements, de reconstruire ce qui faisait la judéité de sa famille. Celle de ses parents qui parlaient ladino (judéo-espagnol), français entre eux, mais grec seulement à l’extérieur de la maison, parfois avec un accent reconnaissable. Celle de son père passionné de culture allemande qui évite de parler cette langue après la guerre, mais qui n’accepte qu’à contre-cœur l’émigration aux États-Unis. La sienne enfin, par exemple lorsqu’invité par un camarade d’école à la messe de Pâques après la guerre, il entend un violent sermon à l’encontre des juifs et se retourne pour voir à quels juifs on s’adresse. Très tôt, ses camarades d’écoles l’appellent Tonis « Tony transformé en Tonis – et un enfant ressent de manière différentes sa place, ou son absence de place, dans le monde qui l’entoure ».
Schmarotzer aller Länder !
▻https://www.akweb.de/politik/buergergeld-wird-umbenannt-die-spaltung-der-armen-bleibt-hartz-iv-schmarotzer-
Les changements de l’appelation de l’aide sociales ne changent rien à la reproche que les pauvres sont responsables de leur sort à cause de leur fainéantise et incompétence. La discrimination persiste, les bon bourgeois ont besoin de prétextes pour justifier les injustices qui leur vont très bien.
21.19.2025 von Christian Frings - Das Bürgergeld wird umbenannt, die Idee von »selbstverschuldeter« und »unverdienter« Armut bleibt
Von Christian Frings
Eine »Wohltätigkeitsspeisung« durch die evangelische Kirchengemeinde 1931 in Berlin. Foto: Bundesarchiv, Bild 183-T0706-501, CC BY-SA 3.0
Mit großem Getöse haben CDU und SPD Anfang Oktober die »Abschaffung« des Bürgergeldes verkündet. Regierungsvertreter*innen nannten die beschlossene Reform der Leistungen nach dem Zweiten Sozialgesetzbuch (SGB II) einen Schlag gegen »mafiösen« Bürgergeld-Betrug. Im Vordergrund der Maßnahme steht eindeutig die Übernahme des von der AfD repräsentierten Rassismus, der sich am Bürgergeld austoben kann, weil mittlerweile fast die Hälfte der 5,5 Millionen Bezieher*innen aus dem Ausland stammen – davon etwa 800.000 aus der Ukraine.
Das populistische Reden von einer »Abschaffung« ist indes genauso ein Etikettenschwindel, wie es die Umbenennung von »Hartz IV« in »Bürgergeld« 2023 war. Niemand will ernsthaft das SGB II abschaffen. Zur Aufrechterhaltung des sozialen Friedens an einem der weltweit führenden Produktionsstandorte des globalen Kapitals verspricht der bürgerliche Staat den in diesem Land ausgebeuteten Menschen in seiner Verfassung, dass er niemanden verhungern lassen wird. Der seit dem Ende des 19. Jahrhunderts in Industrieländern eingeführte Sozialstaat war ein konterrevolutionäres Projekt. Er war und ist eine Reaktion auf die Gefahr revolutionärer Klassenkämpfe, die zwangsläufig mit der kapitalistischen Produktionsweise verbunden ist – aber er ist keine »Errungenschaft der Arbeiter*innenbewegung«, als die er in linken Kreisen oft idealisiert wird. Denn seine konkrete Ausgestaltung diente von Anfang an der Aufspaltung des Proletariats in verschiedene Kategorien, die gegeneinander ausgespielt werden können.
Die wichtigste dieser Spaltungslinien war – neben nationalistischen, rassistischen und sexistischen Spaltungen – die zwischen »selbstverschuldeter« und »unverdienter« Armut, rechtlich zementiert in der Unterscheidung zwischen Leistung nach Bedarf und Leistungsansprüchen aus einer Sozialversicherung. Erstere sind mit der moralischen Abwertung als Almosenempfänger*in und »Schmarotzer*in« verbunden, letztere wie die Rente gelten als eine respektable »Treue- und Durchhalteprämie« für lebenslange Lohnschufterei. Beide dienen also der Absicherung des Arbeitszwangs, nur dass erstere mit einem höheren Maß an gezielter Schikane und Repression verbunden sind. Diese werden nun wieder verschärft, nachdem sich die SPD mit der Umbenennung in »Bürgergeld« und einigen Entschärfungen von unangenehmen Erinnerungen hatte freimachen wollen – von den von Wohlfahrtsverbänden geforderten Verbesserungen, insbesondere bei der Höhe der Leistungen, war das schon 2023 weit entfernt.
Radikale Kämpfe gegen die Schikanen des Sozialstaats – die uns aktuell auch beim Streit um die Krankschreibung, Leistungen der Pflegeversicherung oder eine vor Altersarmut schützende Rente betreffen – werden sich nur entwickeln können, wenn wir nicht mehr von den vom Sozialstaat erst geschaffenen Kategorien der proletarischen Armut an Produktionsmitteln ausgehen, sondern das gesamte System des Arbeitszwangs infrage stellen.
Christian Frings ist Aktivist, Autor und Übersetzer (u.a. von David Harvey).
#Allemagne #mouvement_ouvrier #pauvreté #Bürgergeld #Hartz_IV#allocations_sociales #état_de_providence
Hajer Ben Boubakeur : « Il y a une dimension organisationnelle très claire dans ces révoltes »
▻https://www.bondyblog.fr/podcast/hajer-ben-boubakeur-il-y-a-une-dimension-organisationnelle-tres-claire-dan
20 ans après les #révoltes urbaines de #2005, le Bondy blog donne la parole à des chercheuses et des chercheurs pour éclairer l’histoire de ces révoltes et les nombreux sujets qui y sont liés.
Pour ce premier épisode, nous recevons Hajer Ben Boubaker. Chercheuse indépendante et documentariste radiophonique, Hajer travaille sur l’histoire des luttes ouvrières de l’immigration maghrébine et sur les discriminations raciales et l’histoire coloniale. Elle revient avec nous sur l’histoire des révoltes urbaines.
99 - The Impossible Possibility of ’Home’
▻https://urbanpolitical.podigee.io/99-the-impossible-possibility-of-home
What does it mean to be at ’home’, when ’home’ is the expression of structural forms of violence, at the intersection of anthropocentrism, patriarchy, heteronormativity and racial capitalism? As the COVID-19 pandemic showed, home can be read as a juncture where many of the inequalities of our time come and are held together structurally; yet, at the same time, home maintains an attractive lure to itself, as a place one is called to defend or to work toward, in order to be freed from subjections that seem to render home impossible in the first place. In this talk, the aim is to stay close to this only apparent contradiction, which Michele would like to name the “impossible possibility of home.” With this notion, he interprets the unjust and violent foundations of home not as opposite to, (...)
#home,politics,homelessness,belonging,security,care
▻https://audio.podigee-cdn.net/2198211-m-f25f9a889d5e917ab45a7e49c7c590f8.m4a?source=feed
A Paris, environ 300 migrants évacués de campements dans le 19ᵉ arrondissement
►https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/11/05/a-paris-environ-300-migrants-evacues-de-campements-dans-le-19-arrondissement
A Paris, environ 300 migrants évacués de campements dans le 19ᵉ arrondissement
Le Monde avec AFP
Environ trois cents personnes migrantes ont été évacuées, mercredi 5 novembre au matin, des campements où elles dormaient entre les stations de métro Jaurès, Stalingrad et Porte de la Chapelle à Paris, a constaté une journaliste de l’Agence France-Presse (AFP), ce qu’a confirmé en fin de journée une source policière.
Trois cars à destination de Bourges, Besançon et Toulouse avaient été mobilisés pour transporter les volontaires vers des hébergements temporaires. L’évacuation s’est déroulée dans le calme en présence d’un important dispositif policier et d’agents de la préfecture d’Ile-de-France et de la Ville de Paris.« Environ trois cents personnes, issues majoritairement d’Afghanistan et de la Corne africaine, ont été recensées », a fait savoir une source policière à l’AFP. Ce sont 221 migrants qui ont été pris en charge, à destination de la province ou de l’Ile-de-France et 50 personnes, qui ont refusé toute assistance, ont été éloignées, selon cette source.
Alors que plusieurs personnes sont venues dans l’espoir d’être relogées, des occupants du campement étaient déjà partis avant le début de l’opération, refusant de quitter Paris. C’est le cas de May, 33 ans, qui n’a pas souhaité donner son nom. Cette Soudanaise en situation régulière dort depuis deux semaines dans l’aéroport Charles-de-Gaulle avec sa fille de 11 ans. « On doit rester à Paris parce que ma fille va à l’école, et moi je cherche du travail », a expliqué cette réfugiée à l’AFP.
Les sans-abri, majoritairement des jeunes hommes et quelques familles, ont attendu plusieurs heures, orientés par des membres des associations Médecins du monde, Utopia 56 et France terre d’asile. Trois bus supplémentaires avaient été mobilisés pour transporter vers des hébergements en Ile-de-France les personnes munies d’un contrat de travail dans la région.
Ali, un Afghan de 23 ans en situation régulière vivant sur le campement depuis un mois, espère monter dans un de ces bus : « Je ne peux pas quitter Paris, j’ai un travail ici », a-t-il expliqué. Malgré son emploi de gardien, ses démarches pour trouver un logement n’aboutissent pas : « J’ai vraiment besoin d’un logement, c’est pas possible de vivre comme ça », s’est-il indigné. L’association Médecins du monde a constaté que des tentes s’étaient déjà réinstallées Porte de la Chapelle à midi. « On estime que 150 personnes sont restées sans solution », a fait savoir Paul Alauzy, porte-parole de l’association. « On est proche de la 500e opération similaire depuis 2015, et ça ne fonctionne pas. Il y a des campements ici depuis 2022. Les gens continuent à vivre dans des conditions indignes », a-t-il regretté.
#Covid-19#migration#migrant#france#humanitaire#campement#logement#sante#droit
Le #travail au temps de l’IA
▻https://laviedesidees.fr/Juan-Sebastian-Carbonell-Un-taylorisme-augmente
L’IA redéfinit les contours du travail, en radicalisant encore la parcellisation des tâches. Mais elle n’est pas une fatalité, qu’il faudrait accepter sans aucune critique. Il faut au contraire en appeler à des formes, renouvelées, de résistance.
#Histoire #machine #intelligence_artificielle
▻https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20251106_jarrigeia.pdf
Haïti : La Via Campesina exige une solution urgente à la crise provoquée par les Nations Unies ainsi qu’aux récentes menaces environnementales et sanitaires
Déclaration de solidarité de La Via Campesina avec le peuple haïtien
La Via Campesina condamne la pression politique et militaire, ainsi que le blocus économique imposés contre les pays d’Amérique latine et des Caraïbes. Le gouvernement des États-Unis encourage les tentatives de coups d’État contre les gouvernements populaires en finançant, politiquement et économiquement, les régimes fascistes en place ainsi que les oppositions antidémocratiques, conservatrices et fondamentalistes.
Nous sommes fermement convaincu·e.s que la solution à la crise imposée à Haïti doit venir du peuple lui-même et de ses mouvements sociaux et politiques. Nous soutenons sa souveraineté et saluons ses luttes paysannes et sociales, qui constituent le moteur de la résistance et du changement de ce peuple héroïque.
▻https://viacampesina.org/fr/haiti-la-via-campesina-exige-une-solution-urgente-a-la-crise-provoquee
DDR-Manager und Russlandkenner : Die unglaublichen Lebensgeschichten des Richard Schimko
▻https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/physiker-manager-buerger-wie-es-einem-ossi-gelang-sich-nicht-verzwe
A l’Est rien n’était comme on voudrait nous faire croire. Les choses étaient bien plus absurdes, prèsque autant qu’à l’Ouest, seulement aujourd’hui la situation est pire.
5.11.2025 von Maritta Adam-Tkalec - Geheimnisträger Ost: Richard Schimko, Forschungsdirektor im Werk für Fernsehelektronik, veröffentlicht unglaubliche Geschichten aus seinem Leben. Achtung, witzig!
120 Meter unter Moskau liegt ein geheimes Tunnelsystem, Stalin hatte es zusammen mit der Metro bauen lassen. Zutritt für Außenstehende unmöglich. Schier unglaublich, was der Physiker Prof. Dr. Richard Schimko aus Ost-Berlin in der Moskauer Maulwurfswelt sah, als ihn sowjetische Genossen dorthin führten. Er und seine DDR-Kollegen hatten gerade Nachtsichtgeräte entwickelt („Wir hatten gelernt, im Dunkeln zu sehen“), alles unter strengster Geheimhaltung natürlich, doch „die Sowjetgenossen kannten unser Tun besser als wir selbst“.
Per Draisine ging es kilometerweit bis zu einer Stahltür, wo sich der Chef des Instituts für Optik der UdSSR (und General des KGB) vorstellte. Dahinter eröffnete sich der Blick von einer Galerie in einen riesigen Reinraum, in dem Tausende Mess- und Montierarbeiter saßen. Richard Schimko und ein DDR-Kollege schauten auf einen Teil des Industriekomplexes für Rüstungsgüter, in dem auch die Raumstation MIR entstand.
Zwischen Ukraine, Russland, Osten und Westen
Was für eine Geschichte! Es ist nur eine von 30, die Richard Schimko in seinem soeben in der Edition Ost (Eulenspiegelverlag) erschienenen Buch „Physiker und Kleinkapitalist. Erlebnisse eines Wirtschaftsmanagers aus dem Osten“ erstmals einer größeren Öffentlichkeit erzählt. In einem kurzen Buchtitel ist kein Platz für mehr Auskünfte zur Person. Doch um die Relevanz all seiner unglaublichen Berichte zu verstehen, muss man mehr wissen über den soeben 80 Jahre alt Gewordenen.
Er studierte Physik im ukrainischen Lemberg/Lwow/Lwiw, promovierte im georgischen Tbilisi, ist Inhaber von 33 Patenten, zweifacher Nationalpreisträger (Halbleiter, Mikroelektronik). Von 1970 an wirkte er im Werk für Fernsehelektronik (WF) in Berlin-Oberschöneweide, er war Gründer und Direktor der WF-Forschungsabteilung, in der 400 Wissenschaftler aus Akademie-Instituten mitarbeiteten, Aufbauleiter des Mikrooptoelektronikzentrums Berlin, Professor an der Humboldt-Universität.
Foto
Die Brigade „Kurtschatow“ im Werk für Fernsehelektronik: hinten Richard Schimko, neben ihm Dr. Gottfried Müller; Technologiechef und Teamleiter Michael Haubold rechts im Vordergrund, am Mikroskop ein sowjetischer Kollege privat
Der wache Bürger Schimko beförderte das Aufkeimen der Friedlichen Revolution in seinem Betrieb, indem er seine Hand über die „Plattform WF“ hielt, die eine radikale Reformierung der SED verlangte. Aus dem Frühsommer 1989 stammen zwei Berichte, die Ost-Berliner damals für sensationell gehalten hätten: Da geriet Schimko in ein Geheimtreffen, bei dem KoKo-Chef Schalck-Golodkowski eine neue DDR-Wirtschaftspolitik umriss – ein Zusammengehen mit der Bundesrepublik. „Wir verkaufen wir ihnen die Mauer“, lautete dessen Plan. Die andere Geschichte erzählt, wie Günter Schabowski Schimko zum Oberbürgermeister von Ost-Berlin bestimmte und das dann doch nicht gelang – bitte nachlesen!
Ökonomen und Astrologen sind Deuter – und mir als Naturwissenschaftler darum suspekt. Richard Schimko
Richard Schimko saß im Wendeherbst kurze Zeit in der Volkskammer, hörte live Stasi-Mielkes Satz von der Liebe zu allen Menschen. Nicht lange darauf trug er die Verantwortung für die schmerzhafte Überführung des Hightech-Betriebes WF in die Marktwirtschaft und machte dabei exklusive Erfahrungen mit den DDR-Verramschern, die er unter dem Titel „In treuen Händen“ nun öffentlich macht: „Im Januar 1991 erschien bei mir ein Herr Möllemann mit dem Ansinnen, ein Werk in Pankow zu erwerben.
Er bot mir als Kaufpreis eine Million DM und eine weitere halbe Million für mich persönlich, wenn ich dem Kauf zustimmte. Ich gab dem nassforschen Bieter zu bedenken, dass das Mindestgebot bei sieben Millionen liege; ich selbst benötige schließlich für den Kauf der Schweizer Staatsbürgerschaft vier Millionen. Daraus schloss er messerscharf und durchaus zutreffend, dass ich ihn nicht ernst nahm.“ Der Herr Möllemann drohte Schimko, er werde seinen umgehenden Rausschmiss erwirken. Wie das? Jürgen Möllemann, FDP, Wirtschaftsminister und Vizekanzler in Helmut Kohls Deutschland-einig-Vaterland-Kabinett, war der Bruder. Köstlich, wie diese Geschichte dann ausgeht!
Bedrückend erfasst Schimko die DDR-Abwicklung: 8500 Betriebe, vier Millionen Werktätige, das Volkseigentum zu 85 Prozent in westdeutschen Besitz überführt und so fort. Er selbst beschloss, als Kleinkapitalist sein Glück zu versuchen, und wurde zum Mitgründer der Berlin-Oberspree Sondermaschinenbau GmbH (BOS), die wundersame Geräte herstellte wie den Bioradar, der hinter meterdicken Wänden schlagende Herzen entdecken und etwa in Erdbebengebieten Leben retten kann. Wieder öffnete der professionelle Erfolg Türen: Als einziger Ossi zog er ins 16-köpfige Präsidium des Bundesverbandes der Deutschen Industrie (BDI) ein, als „Vorzeige-Kleinkapitalist des Ostens“.
Schimko schreibt über sein Leben im näheren, ferneren und sehr fernen Osten, der bis nach Japan reichte, und weil viele Erlebnisse schier unglaublich sind, hat er sich bei jeweils Beteiligten rückversichert, ob ihn die Erinnerung nicht trügt. Vor die Leserschaft tritt der Naturwissenschaftler/Manager als Spaßmacher. Selbst die böseste seiner Wahrheiten kommt lustig daher. Die eingestreuten Witze, ob aus DDR- oder UdSSR-Quelle, sind auserlesen und grandios.
Foto
Promotion geschafft, Glückwünsche mit Nordhäuser Doppelkorn im WF-Labor, 1975privat
Im Eulenspiegelverlag zu publizieren, passt also bestens. Doch warum schreibt der Verlag: „Schimko erzählt unernste Geschichten“? So witzig, ironisch und selbstironisch die Texte daherkommen, sind sie doch ernst – so ernst, dass einem auch mal das Blut in den Adern erstarrt, wenn man erkennt, dass der Schimko sich das Mäntelchen des Schalks nur umgehängt hat, um nicht gleich auf den ersten Blick als Überbringer unangenehmer Wahrheiten abgewiesen zu werden.
Nehmen wir als Beispiel einen Witz. Darin findet die der Sowjetgesellschaft innewohnende Gewalt ein Bild. Hier, sträflich verkürzt, die „sowjetphilosophische Anekdote“: Streiten ein Amerikaner, ein Brite und ein Russe (Deutsche kommen in solchen Witzen nicht vor) darüber, wer den besten Gummi der Welt herstelle. Der Ami gibt an, sein Hosenträger habe beim Sturz aus dem Empire State Building sein Leben gerettet. Der Franzose legt eins drauf: Sein Hosenträger habe ihn bei der Zugfahrt von Paris nach Lyon wieder zurück befördert. Alles nichts, sagt der Russe: Auf dem Spasski-Turm am Roten Platz sei „einer unserer vaterländischen Monteure“ beim Lampenaustausch abgestürzt. Dank seiner Galoschen, der russischen Gummischuhe, flog er „runter, hoch, runter, hoch“. Was tun? „Wir mussten ihn abschießen. Aber die Galoschen waren wie neu.“ Ist das unernst?
Ein Deutscher! Ein Feind! Großartig!
Schimkos Spezialität ist das pointierte Beschreiben komischer Situationen, die entstanden, weil er als Deutscher im Sowjetland unterwegs war und sich auf Land und Leute einließ. So geschehen in der Nacht „am Kursker Bogen“: Studentenvertreter Schimko hatte gelegentlich zu reisen, was „dank unzähliger Verspätungen wegen des Wetters, der Technik, der Anfälligkeit sowjetischer Piloten für gewisse Getränke lange Wartezeiten auf Flugplätzen“ mit sich brachte. Als Ausländer durfte er das „Zimmer für Abgeordnete“ benutzen.
In einem solchen Warteraum traf er an einem Nebel-und-Schneesturm-Abend auf dem Kiewer Inlandflughafen zwei ebenfalls gestrandete Generäle a.D., einen Armenier, einen Russen, Veteranen des Großen Vaterländischen Kriegs gegen die „verfluchten Faschisten“: „Die Freude, einem Vertreter des ehemaligen Feindes zu begegnen, war echt und herzlich. Sie beschlossen, mit mir die Schlacht am Kursker Bogen vom Juli 1943 nachzustellen.“ So geschah es: „Nach unserer Schlacht lagen auf dem Tisch umgestoßene Gläser unterschiedlicher Größen, Teller und vertrocknete Sakuski. Das waren Armeen, Divisionen, Bataillone, Kompanien.“
Die Kunst, sich etwas vorzumachen, habe ich früh erlernt. Richard Schimko
Nach der Neuaufführung einer der größten Schlachten des Zweiten Weltkriegs gratulierten die Generäle einander und auch Schimko „als unterlegenem Gegner“ zum Ausgang: „Alle waren der Meinung, dass ich mir – stellvertretend für das seinerzeitige deutsche Volk – hinter die Ohren schreiben sollte, nunmehr den Krieg zu beenden.“ Damals hatten die Deutschen noch zwei schreckliche Jahre weitergekämpft, obwohl die Niederlage unausweichlich war. Ihm selber sei es „nach diesen für mich ungeheuren Zahlen, Fakten, Namen und der mir trotz allem entgegengebrachten Freundlichkeit furchtbar schlecht“ gegangen. Ihm war bewusst geworden, wie wenig er wusste; seinen ostfronterfahrenen Vater hatte er aus Feigheit nie befragt. Nun fragt er sich: Wer waren „die Nazis“? „Das waren doch Männer wie mein Vater gewesen.“
Die heiter-erhellenden Jugendgeschichten spielen ganz überwiegend in Lwow (im Studentenwohnheim, an der Uni, im Geselligen) und in Kiew, Moskau, Tbilisi. Tatorte sind Schlafwagen, Straßenbahn oder Blumenrabatten. Als zentrales Agens (fast) immer dabei: Alkohol in allen Formen, vom Selbstgebrannten (Samogon) über Nordhäuser zum edlen Kognak. Schimko entwickelt hier die Kunst, Klischees zugleich zu be- und zu widerlegen.
Apropos widerlegen: Eine ungeheuerliche Information streut er ganz nebenbei ein: Ende August 1968 fuhr Student Schimko im Zug zum Studienort. Die Strecke führte über Prag nach Moskau, sodass er zum Augenzeugen eines Teils des Prager Aufstandes wurde: „Der Zug war voller verwundeter sowjetischer Offiziere. Sie erzählten mir von zwei verwirrenden Einsatzbefehlen: Erstens sollten sie die sozialistische Ordnung in der Tschechoslowakei bedingungslos wiederherstellen und zweitens dabei aber keine Gewalt anwenden. Die meisten hatten Kopfwunden und Brandverletzungen davongetragen. Die einen waren von Pflastersteinen und die anderen von Molotow-Cocktails getroffen worden. Die Gewaltlosigkeit schien also ziemlich einseitig gewesen zu sein.“ Man bekommt die Geschichte sonst anders erzählt.
Vom Mainstream abweichend, dafür gesättigt von Erfahrungen mit Russen, West- und Ostukrainern, vermittelt Schimko seine Sicht auf den gegenwärtigen Krieg. Er erinnert zum Beispiel daran, wie der Ukrainer Nikita Chruschtschow 1954 Kraft seines Amtes als Chef der Kommunistischen Partei der Sowjetunion in Feierlaune die geopolitisch zu Russland gehörige Halbinsel Krim an die Ukraine verschenkte – und damit gleich doppelten Verfassungsbruch beging.
Von Schimkos Erlebnissen als Ost-Feigenblatt unter den BDI-Bossen von 1998 bis 2002 war schon eingangs die Rede. Es ist bei allem Ulk ein bitteres Kapitel, persönlich wie gesellschaftlich. In jenen Jahren sei von den Ossis Dankbarkeit verlangt worden, zum Beispiel für die vom Westen geleistete Hilfe zur Menschwerdung, nachdem die Ostendeutschen in der DDR durch „Verzwergung“ „unbrauchbar“ gemacht worden seien. Schimko sagt: „Ich war einer von diesen Zwergen.“ Seine Erkenntnis nach den Sitzungen: Es ist alles so, wie wir es gelernt haben. Es geht im Kapitalismus um die Interessen der Großkonzerne.
Foto
Richard Schimko: „Quantenmechanik gehört zu jenem Teil der Wissenschaft, den man so lange studiert, bis man überzeugt ist, man habe ihn erfunden.“Benjamin Pritzkuleit/Berliner Zeitung
Der Mann weiß, wovon er spricht. Solch eine Authentizität als Quelle erlangen wenige. Millionen DDR-Bürger werden wissend nicken, wenn sie zum Beispiel die „Geschichte von der Ahnung des Untergangs“ lesen, in der Schimko von Glanz und Elend seiner Branche, der Mikroelektronik in der DDR, berichtet.
Richard Schimkos wunderbare Miniaturen kann man nun im Stillen lesend genießen, aber die Texte eignen sich auch wunderbar für das Vorlesen in geselliger Runde. Wetten, dass sie lebhafte Gespräche nach sich ziehen? Jeder und jede, der oder die ein Stück Leben im Osten verbrachte, wird sich wiederfinden. Sie und alle anderen werden Zeile für Zeile lernen.
Das Buch
Autor: Richard Schimko, geb. 1945
Titel: „Ich bin Physiker und Kleinkapitalist. Die Erlebnisse eines Wirtschaftskapitäns aus dem Osten“
Verlag: soeben erschienen im Verlag Edition Ost, einem Imprint der Eulenspiegel-Verlagsgruppe
Umfang: 256 Seiten, broschiert, mit Fotos
Preis: 22 Euro
#Allemagne #DDR #RDA #histoire #capitalisme
A Few Things About the Anchor Element’s #href You Might Not Have Known | CSS-Tricks
▻https://css-tricks.com/a-few-things-about-the-anchor-elements-href-you-might-not-have-known
<a href="#"> <!-- Scrolls to the top of a document -->
<a href=""> <!-- Reloads the current page, preserving the search string but removing the hash string (if present). -->
<a href="."> <!-- Reloads the current page, removing both the search and hash strings -->
<a href="?"> <!-- Reloads the current page, removing both the search and hash strings (keeps `?`) -->
<a href="data:"> <!-- Link to data URLs, like text fragments -->
<a href="video.mp4#t=10,20"> <!-- Links to specific parts of a media file -->#html
#How_To Enable Ubuntu amd64v3 Packages on Ubuntu 25.10
▻https://www.omgubuntu.co.uk/2025/11/how-to-enable-amd64v3-packages-ubuntu-25-10
Want to try Ubuntu’s amd64v3 packages? Here’s how to checkin your CPU supports them, enable them via APT, and revert if things go wrong. You’re reading How to Enable Ubuntu amd64v3 Packages on Ubuntu 25.10, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.
RADIO #kebab 29\10\25 #halloween Spezial !
▻https://radioblackout.org/podcast/radio-kebab-291025-halloween-spezial
vi sentite più hallo-win o hallo-loose?
#punk
Holofiction (Official Trailer)
▻https://vimeo.com/1101989868
HOLOFICTION (Official Trailer 2)
▻https://vimeo.com/1126167375
Essayistic Documentary/Experimental film / approx. 102 Min
“Holofiction”
Germany/Austria 2025 • 102 min
An essayistic documentary/experimental film by Michal Kosakowski • Music by Paolo Marzocchi
Supported by Medienboard Berlin-Brandenburg, Lower Austria Film Commission and the Future Fund of the Republic of Austria.
The film explores the visual representation of the Holocaust through a montage of thousands of excerpts from fictional films and television series produced between 1938 and the present. Drawing from an extensive archive of over 3,000 narrative works the film critically examines how Holocaust imagery has been codified and reproduced in cinema across decades. Inspired by Claude Lanzmann’s skepticism toward visual representations of historical trauma, the film questions the possibility and implications of depicting such an atrocity in fictional cinema.
A Film by Michal Kosakowski
Music by Paolo Marzocchi
About — Kosakowski Films
▻https://www.kosakowskifilms.com/about
#film #vidéo #histoire #holocauste
La statue du sergent Blandan, le fantôme colonial de mon père - Se libérer de nos fantômes coloniaux
Dorothée-Myriam Kellou
Enfant, Malek, réalisateur algérien exilé en France, allait à #Boufarik, en #Algérie, pour manger des oranges. Il y croisait la statue d’un soldat en armes, juchée sur son piédestal à plus de 7 mètres 50 de haut. C’était la statue du sergent Blandan, héros de la #conquête_coloniale_de_l'Algérie, érigée à Boufarik à la fin du XIXème siècle et « rapatriée » en France, à #Nancy.
C’est là que par hasard, un matin neigeux de 1990, Malek a retrouvé le fantôme de son enfance. Le refoulé colonial a soudain ressurgi. Il a raconté sa rencontre effrayante à sa fille, qui à son tour décide de partir sur les traces de ce fantôme, en France et en Algérie. Mais à mesure qu’elle s’approche de lui, elle est à son tour hantée. Comment se libérer du fantôme colonial qui fait corps avec la statue du sergent Blandan, héros de la conquête de l’Algérie ?
▻https://www.arteradio.com/son/la-statue-du-sergent-blandan
▻https://cdn.arteradio.com/permanent/arteradio/sites/default/files/4le_fantome_du_sergent_blandan_lq_fr.mp3
►https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Pierre_Hippolyte_Blandan
Voir aussi la mémoire de ce sergent à Lyon d’où il était originaire.
#travail pressé, travail gâché ? : épisode du podcast Les tyrannies de l’urgence | France Culture
▻https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/avec-philosophie/travail-presse-travail-gache-7923082
— Permalink
#oeuvre #labeur #action #urgence #emploi #autonomie #solitude #isolement #éthique #aliénation #RPS #souffrance #santé #santémentale #individualisme #management #temps #sociologie #HannahArendt #gorz
24 556 expulsions locatives en 2024 : le député Renaissance Guillaume Kasbarian « assume le record » et provoque la colère de la gauche
L’ancien ministre du Logement s’est attiré les critiques de plusieurs députés en affirmant qu’il faudrait « aller plus loin dans le respect de la propriété privée et la rapidité des expulsions », alors que des milliers de personnes vivent sans domicile fixe en France.
Par Ariel Guez - Le 2 novembre 2025 à 15h06 - Le Parisien
▻https://www.leparisien.fr/politique/24-556-expulsions-locatives-en-2024-le-depute-renaissance-guillaume-kasba
▻https://www.leparisien.fr/resizer/4i9qdXAye8aHcxSO-uf2vc-9Yuo=/1200x675/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/leparisien/BLDQZUZ4MVEWJMJSQFHU62YLKM.jpg
Soixante-sept expulsions par jour en moyenne. En 2024, 24 556 ménages ont été expulsés de leur logement avec le concours de la force publique, un record. Invité sur franceinfo ce samedi pour réagir à cette actualité et au début de la trêve hivernale, Christophe Robert, directeur général de la Fondation pour le logement des défavorisés, a évoqué la « fragilité de beaucoup de nos concitoyens à payer leurs loyers et leurs charges » et « l’augmentation du coût du logement ». Il a aussi indiqué que la loi Kasbarian-Bergé pouvait expliquer en partie un tel chiffre.
Avec ce texte, aussi appelé loi « antisquat », on a « une logique plus sécuritaire que préventive. On a passé un cap (…) Ça a conduit à une accélération des expulsions locatives, y compris parfois pour quelques centaines d’euros » d’impayés, a-t-il déploré. « Ce qui n’est pas acceptable (…) Il y a des personnes de plus de 60 ans, des femmes seules avec enfant qui se retrouvent sans rien ! » (...)
Prime de Noël : « La générosité qu’on a connue est peut-être arrivée à son terme », déclare le ministre du Travail
▻https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-du-mardi-04-novembre-2025-1651870
« Il faut comprendre l’état des comptes de la Sécurité sociale, ce qui explique certaines mesures un peu agressives », lance Jean-Pierre Farandou, à propos d’une éventuelle suppression de la prime de Noël pour le #RSA et les #chômeurs en fin de droit, lorsqu’elles sont sans enfants, soit environ 150 euros. « Je n’ai pas de problème à remettre en question » cette proposition, « mais je serai attentif à ce qu’on me dise quelle est l’économie ou la recette qui va avec », dit-il. « Je ne suis pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale, je pense qu’il faut accepter un recentrage, cette idée que peut-être la générosité qu’on a connue pendant des décennies est peut-être arrivée à son terme », assume le ministre.
Dans les coulisses d’ « Histoire et conscience de classe » de Georg Lukács - CONTRETEMPS
▻https://www.contretemps.eu/lukacs-histoire-conscience-classe-marxisme
2023 fut l’année du centenaire de la parution d’Histoire et conscience de classe de #Georg_Lukács, sans que cela ne suscite de réjouissances particulières dans les régions francophones. En Allemagne toutefois, la parution de l’ imposant ouvrage de Karl Lauschke, Die Gegenwart als Werden erfassen – soit « Saisir le présent comme un devenir » – a marqué cet anniversaire. Le sous-titre du livre, (« Contenu, contexte politique et réception d’Histoire et conscience de classe de Georg Lukács ») indique bien l’intention de l’auteur qui entend rompre avec une interprétation purement philosophique de l’ouvrage et lui redonner sa dimension d’écrit politique, historiquement situé.
On sait, au moins depuis les Romains, que les livres ont leur propre destin. Celui d’Histoire et conscience de classe du philosophe hongrois György Lukács (dont le prénom sera le plus souvent germanisé en Georg) est assez singulier. À sa parution, en 1923, il est considéré comme un brûlot gauchiste par la direction de l’Internationale communiste de Grigori Zinoviev, qui le condamne pour son « révisionnisme théorique ». Attaqué par une partie des futurs servants du culte « marxiste-léniniste » instauré par Staline, il sera bientôt renié par son auteur. Il disparaît alors dans les abysses de l’oubli pour ressurgir, contre la volonté de Lukács, à la fin de années 60.
[...]
Les essais réunis dans Histoire et conscience de classe (abregé ci-dessous en HCC) fustigeaient à sa parution la conception fossilisée du #marxisme de la IIe Internationale, reprise ensuite par une partie de la IIIe, inspirée par le #positivisme et un déterminisme politique nourrissant une attente passive de l’accomplissement des grandes lois historiques. Le regain d’intérêt des années 1970 est, lui, au service de la critique du « #marxisme-léninisme » orthodoxe, tout aussi momifié et pétri de #scientisme. (...)
« Je vis sur un bateau, donc je me contente de peu » : Thierry Marx dévoile sa péniche de 120 m² avec vue sur la tour Eiffel - Pleine vie
▻https://www.pleinevie.fr/loisirs/celebrites/je-vis-sur-un-bateau-donc-je-me-contente-de-peu-thierry-marx-devoile-sa-pe
Plutôt qu’un appartement haussmannien, Marx a opté pour une péniche amarrée au pied de la dame de fer. Une décision à contre-courant qui résume bien sa vision de la vie : simple, dépouillée, authentique.
#grammaire et intelligence artificielle générative - Luigi Rizzi
▻https://youtu.be/KqGAeiyZH04
— Permalink
#linguistique #langage #LLMs #cognition #intelligenceartificielle #hiérarchie #coréférence #déplacement #apprentissage #induction
L’IA, entre technologie intellectuelle et déraison computationnelle - Anne Alombert
▻https://youtu.be/t3s8aH4-Gp4
— Permalink
#intelligenceartificielle #generativeai #dépendance #uniformisation #manipulation #anthropomorphisation #prothèse #mémoire #écriture #imagination #norme #langage #pharmakon #technique #stiegler #capacitation #contribution #réflexion #collectif #bestoftechnologie #intelligence #machine #capacité #algorithme #problème #dispositif #interprétation #recommandation #texte #logiciel #utilisateur #contenu #donnée #humain #sophiste #calcul
L’exil et le village
▻https://laviedesidees.fr/L-exil-et-le-village
Quelle place attribuer au prénom dans la détermination sociale d’un individu ? Pour l’immigré, il porte la double marque du pays quitté et du pays d’accueil, de l’exil douloureux et de l’intégration difficile.
#Histoire #immigration #sociologie #Algérie #économie_sociale_et_solidaire
▻https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20251103_prenom.pdf
Linux App Release Roundup (October 2025)
▻https://www.omgubuntu.co.uk/2025/11/linux-app-release-roundup-october-2025
Read on for a recap of smaller Linux app releases in October 2025, including updates to #BleachBit, #bazaar, #Calibre, #digikam, Resources and more! You’re reading Linux App Release Roundup (October 2025), a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.
#News #App_Updates #Haruna #LRR
BASTIONI DI ORIONE 30/10/2025 – HALLOWEEN MOSTRA IL TRIONFO DELLA NECROPOLITICA GENOCIDIARIA : LA DISUMANIZZAZIONE DELL’AVVERSARIO PASSA DAL #Darfur, TRANSITA DALLE FAVELAS CARIOCA E DALLA WAR ON DRUG E SEGUE IL TRAFFICO DI ARMI TURCHE@0
▻https://radioblackout.org/podcast/bastioni-di-orione-30-10-2025-halloween-mostra-il-trionfo-della-necro
In questa puntata di Bastioni cercando di renderci conto dell’entità reale dell’orrore attorno a El-Fasher e in generale di quanto è stato prodotto negli ultimi 3 anni dalla rapacità emiratina sul territorio del #Sudan, ci siamo fatti accompagnare da Matteo Palamidesse in quel deserto di umanità ai confini con il Ciad; per poi spostare la […]
#Conaie #dagalo #fasher #favela #hemedti #Maduro #milei #monroe #noboa #patio.tracero #rio_de_janeiro #rsf #stoprsf #sudangenocide #tawila #Trump #vermelho #warondrugs #yankees_go_home #zamzam
▻https://radioblackout.org/wp-content/uploads/2025/11/El-Fasher-la-malebolgia-del-Darfur-esibita-dai-carnefici.mp3