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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 23/01/2023
    2
    @colporteur
    @simplicissimus
    2

    Dans les métropoles françaises, un parc locatif capté par des « particuliers professionnalisés »
    ▻https://metropolitiques.eu/Dans-les-metropoles-francaises-un-parc-locatif-capte-par-des-particu

    Alors que les analyses sur les formes de financiarisation du #logement en France se multiplient, Nordine Kireche rappelle que le parc locatif privé, y compris dans les métropoles, appartient en majorité à des particuliers, dont les investissements ont été favorisés ces dernières années. En dépit de l’appétit croissant des grands investisseurs pour les classes d’actifs résidentiels, les propriétaires particuliers possèdent et gèrent la majorité du parc locatif privé français, y compris au cœur des #Essais

    / habitat privé, logement, #métropole, #politiques_du_logement, #logement_locatif, #investissement

    #habitat_privé
    ▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_kireche.pdf

    Metropolitiques @metropolitiques via RSS
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 23/01/2023

      #logement #rente_foncière

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 16/01/2023
    1
    @vanderling
    1

    La carte postale, une archive des #grands_ensembles
    ▻https://metropolitiques.eu/La-carte-postale-une-archive-des-grands-ensembles.html

    La sélection de cartes postales présentée par Renaud Epstein dans On est bien arrivés propose un regard inattendu sur les grands ensembles d’habitat social et leurs habitants, plus sensible et loin des stéréotypes. Ce livre original met en lumière un objet oublié, voire ignoré, la carte postale du grand ensemble d’habitat social. Le politiste Renaud Epstein y présente un échantillon d’un fonds de 3 000 cartes postales, neuves ou utilisées, qu’il a collectées au cours des trente dernières années lors de #Commentaires

    / #architecture, #banlieue, grands ensembles, #habitat_social, #HLM, #photographie, #urbanisme

    ▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-ballif4.pdf

    Metropolitiques @metropolitiques via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 16/01/2023
      @reka

      https://metropolitiques.eu/local/cache-vignettes/L558xH812/arton1872-c4cfa.jpg?1673368372#.jpg

      #Renaud_Epstein #HLM #archive #cartes_postales
      ce travail qu’adore @reka

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 12/12/2022
    4
    @vazi
    @stephane_m
    @biggrizzly
    @marielle
    4

    Maraîchers, ils vivent en mobile home et risquent l’expulsion
    ▻https://reporterre.net/Maraichers-on-leur-refuse-de-vivre-en-mobile-home

    Leur histoire a débuté en 2018, quand Adrien et Marine se sont installés dans cette commune pour lancer une activité de maraîchage bio, avec vente directe à la ferme. Tout semblait démarrer sous les meilleurs auspices. Ils avaient rencontré le maire de l’époque pour l’informer de leur volonté de vivre dans deux mobile homes, dans leur hangar agricole, situé sur un terrain en zone classée A (agricole). Cela n’avait pas posé de problème. Le couple a consacré les premiers temps de son installation au développement de la ferme, pensant engager plus tard les démarches pour changer la destination de son bâtiment agricole en habitation.

    Mais, en avril 2021, changement d’ambiance. Au cours d’une rencontre informelle, suivie d’une visite sur leur terrain, le nouveau maire de leur commune, Frédéric Rager, leur a fait savoir qu’ils n’avaient pas le droit de vivre dans leurs deux mobile homes. Quelques mois plus tard, l’élu est revenu dresser un procès-verbal. Puis, cet été, il les a mis en demeure sous astreinte de quitter les lieux.

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 12/12/2022

      #habitat_léger #loi_lourde

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 22/11/2022
    8
    @odilon
    @sombre
    @touti
    @marielle
    @alimielle
    @7h36
    @rastapopoulos
    @rezo
    8

    Alternative au béton, l’« habitat léger » est la cible de phobies et d’entraves administratives - Basta !
    ▻https://basta.media/Alternative-au-beton-l-habitat-leger-est-la-cible-de-phobies-et-d-entraves-

    https://basta.media/local/cache-gd2/03/1735440edc3627f70cf2951891d99d.jpg?1669044504

    De nombreux jeunes agriculteurs souhaitent vivre sur leurs exploitations, et s’installent en « habitat léger ». Outre les économies générées, cela permet de ne pas bétonner les parcelles. Ils doivent pourtant faire face à maintes hostilités.

    Depuis le 8 novembre, Adrien Cano et sa famille, jeune couple de maraîchers installé en Vendée, sont redevables de 50 euros par jour à leur commune, soit 1500 euros par mois. Le maire les a mis en demeure pour avoir installé un mobile home sur la ferme où ils travaillent. Le couple a déposé un recours contre l’arrêté. Leur recours était examiné ce 22 novembre au tribunal administratif de Nantes. « On espère la suspension de cette astreinte ridicule de 50 euros par jour, en attendant un jugement sur le fond ou un dénouement autre de cette affaire. » La décision du tribunal devrait être rendue dans quelques jours.

    L’affaire est loin d’être anecdotique. Il y a quelques semaines, un couple d’agriculteurs cultivant du safran dans les Alpes-Maritimes a saisi le tribunal de Nice. La mairie les menaçait de 200 euros d’amende par jour s’ils n’enlevaient pas la tiny house qu’ils ont construite sur leur ferme [1]. « Le tribunal a suspendu l’arrêté pour doute sérieux sur la légalité, c’est une première jurisprudence sur l’habitat léger », se réjouit Paul Lacoste, du réseau Halem (Habitants de logements éphémères ou mobiles) qui renseigne et accompagne juridiquement les personnes en habitat léger [2].

    Le réseau Halem alerte depuis longtemps sur la situation des agriculteurs qui s’installent. « Les habitations légères de type caravane, mobile home, yourte, roulotte, cabane, etc., servent de plus en plus pour une installation progressive agricole en permettant au paysan de se concentrer sur son installation le temps de trouver une solution de logement. Il faut cesser de dire que ces personnes sont un problème, mais bien dire qu’elles ont un problème. Il appartient au législateur d’intervenir pour le résoudre », suggérait-il dans un communiqué cosigné avec la Confédération paysanne en 2013.

    Neuf ans se sont écoulés et les appels de paysans, souvent jeunes et non issus du milieu, voulant s’installer sur de petites surfaces et sans élevage, demeurent réguliers. « Il y a beaucoup de demandes de jeunes agriculteurs pour poser durablement de l’habitat léger et démontable », confirme Béatrice Mesini, chargée de recherche scientifique au CNRS. « Il y a un enjeu à faire de la place aux agriculteurs dans la loi, et à pousser l’installation dans toutes ses formes. »

    #agriculture #habitat #logement #habitat_léger

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @berlico
      berlico @berlico 22/11/2022

      Oui c’est fou....▻https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F620

      berlico @berlico
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 28/11/2022

      Mais du coup ces articles de loi ne définissent que l’interdiction, mais c’est quoi les RAISONS données à la base de ces lois ? Pour qu’il y ait une loi faut toujours une raison non, même si elle est fausse hypocrite ?

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 28/11/2022

      Cependant il y a bien cette définition là : ▻https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000031721187

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 18/11/2022
    @val_k

    Gens du voyage : ma vie au milieu des usines

    Septembre 2019, un incendie dévore l’usine pétrochimique de Lubrizol. Une odeur suffocante envahit la caravane de Vanessa, installée sur l’#aire_d'accueil voisine. Depuis, cette mère se bat pour faire reloger sa famille. Ce film raconte son combat.

    ►https://www.streetpress.com/sujet/1625490543-documentaire-gens-voyage-aire-accueil-usine-lubrizol-discrim

    #gens_du_voyage #Lubrizol #incendie #vidéo #film #documentaire #film_documentaire #pollution #habitat #danger #Rouen #relogement #lutte #résistance

    signalé ici aussi par @val_k :
    ▻https://seenthis.net/messages/921423

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 21/10/2022
    1
    @stephane_m
    1

    Composer un monde en commun. Une théologie politique de l’#anthropocène

    https://ref.lamartinieregroupe.com/media/9782021474404/grande/147440_couverture_Hres_0.jpg

    Comment relever les extraordinaires défis que nous lancent les #crises induites par la #destruction de notre #habitat planétaire ? Faut-il réviser le concept même de #propriété_privée ? Remettre en cause la #souveraineté des #États-nations ? Comment construire ensemble les #institutions_internationales qui permettraient de prendre soin de nos #communs_globaux que sont le climat mais aussi la #biodiversité, la #santé, les #cultures et jusqu’à la #démocratie ?

    Car c’est elle qui, aujourd’hui, est menacée par notre refus d’inscrire des limites à la toute-puissance de la #personnalité_juridique, des techniques extractivistes et de la #marchandisation du monde. Où trouverons-nous les ressources politiques, culturelles et spirituelles pour inventer ces limites et en faire une chance plutôt qu’une insupportable privation de liberté ?

    Un tel projet exige de refonder l’#utopie des #Lumières. Et pour cela, de puiser à la source du #christianisme, qui constitue l’une de ses matrices historiques. Il implique donc une révision de la manière dont le christianisme se comprend lui-même : expérience stylistique du retrait d’un Dieu qui s’efface pour nous ouvrir à un horizon démocratique qu’il nous revient d’imaginer ensemble ? Ou #religion d’un Christ glorieux qui légitimerait une souveraineté politique autoritaire, carnivore, phallocratique et colonialiste ? Telles sont quelques-unes questions que pose ce livre.

    Apprendre à y répondre participe peut-être de ce que les traditions bibliques nomment la sainteté.

    ▻https://www.seuil.com/ouvrage/composer-un-monde-en-commun-gael-giraud/9782021474404

    #livre #Gaël_Giraud #communs #commons #Etat-nation #extractivisme #colonialisme #autoritarisme

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/10/2022

      Gaël Giraud : « Il y a urgence à quitter le monde du mâle blanc, urbain et privilégié »

      La #théologie peut-elle sauver une planète mal en point et une humanité en sursis ? Éléments de réponse avec l’économiste et prêtre jésuite Gaël Giraud.

      Gaël Giraud est économiste, prêtre jésuite, ancien chef économiste de l’AFD (Agence française de développement), directeur de recherches au CNRS, directeur du programme de justice environnementale à l’université de Georgetown aux États-Unis et professeur à la McCourt School of Public Policy.

      Il publie aux éditions du Seuil un ouvrage intitulé Composer un monde en commun. Une théologie politique de l’anthropocène. Cette somme issue de sa thèse traverse de nombreux domaines allant de l’exégèse biblique à la patristique, de la théologie contemporaine à la philosophie du droit, de l’économie à l’anthropologie. Elle revient sur les figures de Thomas d’Aquin, de Baruch Spinoza ou du jésuite allemand Karl Rahner. Elle nous mène aussi sur des territoires plus inattendus allant des Variations Goldberg de Bach interprétées par Glenn Gould jusqu’aux Vélib’ parisiens…

      L’ensemble de l’ouvrage est traversé par la question de savoir en quoi le christianisme peut nous orienter au moment où l’humanité se situe à la croisée des chemins. Discussion politique et théologique.

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=wDzuLsANis4&feature=emb_logo


      ▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-et-idees/201022/gael-giraud-il-y-urgence-quitter-le-monde-du-male-blanc-urbain-et-privileg

      CDB_77 @cdb_77
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 21/10/2022

      Tout le cynisme de l’homme blanc urbain et privilégié qui monopolise la parole pour vendre sa camelote sexiste de faux culs.

      mad meg @mad_meg CC BY
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 27/10/2022

      Philippe Marlière @PhMarliere
      ▻https://twitter.com/PhMarliere/status/1585724048922681344

      Selon Gaël Giraud [sur la chaîne YouTube ThinkerView dont il est un habitué], David de Rothschild “a un grand projet eschatologique qui est la privatisation absolue du monde”. Macron serait le “porte-flingue de Rothschild, un garçon qui exécute un programme qui lui est dicté par d’autres, notamment de Rothschild”.
      Oh dear, oh dear… 🤢

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @arno
      ARNO* @arno ART LIBRE 27/10/2022

      Ça rejoint ce que j’avais trouvé « assez tangent » ici :
      ▻https://seenthis.net/messages/878490

      ARNO* @arno ART LIBRE
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  • @deun
    deun @deun CC BY-NC 13/10/2022
    6
    @rastapopoulos
    @olaf
    @monolecte
    @ericw
    @7h36
    @vazi
    6

    Carolyn Steel : « L’habitat idéal pour un animal politique est d’avoir un pied en ville et l’autre à la campagne »

    ▻https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/06/30/carolyn-steel-l-habitat-ideal-pour-un-animal-politique-est-d-avoir-un-pied-e

    J’aurais aimé lire l’interview en entier, si jamais ^^

    #lien-ville-campagne #alimentation

    deun @deun CC BY-NC
    • @metroet_
      métroet+ @metroet_ 13/10/2022

      Un pied en ville, mais dans les beaux quartiers.

      métroet+ @metroet_
    • @olaf
      Olaf @olaf 13/10/2022

      #paywall

      Olaf @olaf
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 14/10/2022

      par chance, je l’ai trouvé là ▻https://justpaste.it/9qn4c

      #ville #écologie #habitat #nourriture #cité-jardin #propriété_foncière #possession #manger

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @deun
      deun @deun CC BY-NC 14/10/2022

      Merci :)

      deun @deun CC BY-NC
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 16/10/2022

      #Sitopia. How Food Can Save the World

      https://static.wixstatic.com/media/593fb9_7dd44886f293422597a498531a432926~mv2.jpg/v1/fill/w_280,h_419,al_c,q_80,usm_0.66_1.00_0.01,enc_auto/Sitopia%20cover%20final.jpg

      Sitopia is the sequel to Hungry City. It explores the idea, first developed in Hungry City, that food shapes our lives, and asks what we can do with this knowledge in order to lead better ones. In essence, it is a practical, food-based philosophy.

      Food is the most powerful medium available to us for thinking in a connected way about the numerous dilemmas we face today. For countless millennia, food has shaped our bodies, lives, societies and world. Its effects are so widespread and profound that most of us can’t even see them; yet it is as familiar to us as our own face. Food is the great connector – the staff of life and its readiest metaphor. It is this capacity to span worlds and ideas that gives food its unparalleled power. Food, you might say, is the most powerful tool for transforming our lives and world that we never knew we had.

      While Hungry City explored how the journey of food through the city has shaped civilisations over time, Sitopia starts with a plate of food and travels out to the universe. Its structure thus consists of a series of overlapping scales, in which food is always central. Food animates our bodies, homes and societies, city and country, nature and time – seven scales that form the chapters in the book. This idea came from a drawing I did in 2011, in order to understand food’s place in our world. The drawing showed me how food’s effects at various scales interact in myriad interconnected ways. From the cultural norms into which we are born spring personal tastes and preferences that affect our individual health and pleasure, but also the vibrancy of local economies, global geopolitics and ecology. This interconnectivity made the book tricky to write, since every chapter overlapped with every other. As I wrote, however, a hidden structure began to reveal itself: as well as radiating out from food like ripples from a pond, the chapters, I realised, were mirrors of one another, so that Chapter 1 (Food) was mirrored by Chapter 7 (Time), in the sense that the former dealt primarily with life, while the latter was concerned with mortality. Similarly, Chapter 2 (Body) explores how out of synch with our world we have become, while Chapter 6 (Nature) offers a solution: to re-engage with the natural world. Chapter 3 (Home) examines our relative lack of a sense of belonging, while Chapter 5 (City and Country) shows how by rethinking the ways we inhabit land, we can regain our sense of home. It is not insignificant that this mirroring effect should have revolved around the central Chapter 4 (Society), which I came to realise was indeed pivotal, since the manner in which we share is key to all the rest.

      These two drawings – the original sketch exploring the scales of food and the chapter structure – were key to the creation of Sitopia. The first was the direct inspiration for the book and the second, drawn about half-way through the writing process, became pivotal to my understanding, not just of the book’s narrative structure, but of the way in which it echoes that of our experienced world. The Allegory of Sitopia, which illustrates many of these themes, was kindly drawn for me by the wonderful artist Miriam Escofet and forms the frontispiece of the book.

      ▻https://www.carolynsteel.com/sitopiabook
      #livre #alimentation #nourriture

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 16/10/2022

      Carolyn Steel : « L’habitat idéal pour un animal politique est d’avoir un pied en ville et l’autre à la campagne »

      Dans son nouveau livre, l’architecte urbaniste britannique plaide pour une réorganisation de la #ville à partir des besoins en alimentation.

      Architecte urbaniste britannique, Carolyn Steel voit dans la nourriture « la clé de la ville » mais constate que « nous n’en parlons pas, nous ne voyons pas d’où elle vient ». Paru en mars 2020, Sitopia. How Food Can Save the World (« Sitopie. Comment la nourriture peut sauver le monde », Chatto & Windus, non traduit) invite à repenser villes, multinationales, écologies et relations humaines. Ambitieux projet qu’elle justifie en écrivant que « la nourriture, le support omniprésent de la civilisation, a toujours façonné le monde, pas toujours pour le mieux ».

      Votre travail vous a fait découvrir ce que vous appelez le « #paradoxe_urbain ». Qu’entendez-vous par là ?

      J’ai étudié l’architecture, où nous parlions sans arrêt des villes et de l’#urbanisation croissante sans jamais aborder les enjeux liés à la #campagne, soit l’autre face du phénomène. C’est là qu’a lieu la #production_agricole sans laquelle nous n’existerions pas.

      Aristote souligne notre dualité fondamentale en disant que nous sommes des animaux politiques. Nous avons besoin de la société et de nourriture provenant du milieu naturel. Les villes produisent le côté politique, mais pas ce qui nous rend heureux et nous permet de prospérer en tant qu’animaux. Voilà le paradoxe urbain.

      L’habitat idéal pour un animal politique est d’avoir un pied en ville et l’autre à la campagne. Les riches ont toujours fait ça. C’est bien entendu ce que nous voulons tous mais la plupart d’entre nous n’en ont pas les moyens. Ça devient un problème de design : comment on peut concevoir un environnement dans lequel les animaux politiques peuvent s’épanouir et apprendre. En reconnaissant le paradoxe, nous pouvons transformer notre manière de concevoir les espaces dans lesquels nous vivons.

      Comment expliquez-nous qu’on ne prête pas davantage attention à la manière de nourrir nos villes ?

      La nourriture pâtit d’un gros problème d’invisibilité. Jadis, les animaux étaient conduits jusqu’en plein centre. Les marchés renforçaient la relation entre villes et campagnes de manière vivante.

      Mais nous avons perdu tout ça avec les chemins de fer qui ont rendu possible le transport de nourriture rapidement et sur de longues distances. Pour la première fois, on pouvait construire des villes loin des côtes et des rivières. Cela a marqué le début de l’urbanisation massive. Les gens ignoraient de plus en plus d’où provenait leur alimentation.

      Nos ancêtres savaient que le contrôle de la nourriture constituait une forme de pouvoir. Aujourd’hui, une poignée de multinationales en a plus que certains Etats-nations. La conséquence la plus grave est l’illusion que la nourriture créée par l’industrialisation peut être « bon marché ».

      Cela engendre une #catastrophe_écologique. Nous traitons les animaux avec cruauté et les travailleurs agricoles presque comme des esclaves (parfois littéralement). La production industrielle de nourriture, facteur de déforestation, est responsable pour un tiers de l’émission des gaz à effet de serre.

      Vous développez ces points dans votre premier livre, Ville affamée. Avec Sitopia que vous venez de publier, vous allez plus loin. Qu’entendez-vous par « économie sitopienne » ?

      L’idée de Sitopie, du grec sitos, « nourriture », et topos, « lieu », m’est venue à la fin de Ville affamée. J’ai réalisé que nous vivions dans un monde façonné par la nourriture, mais mal façonné. Elle est la meilleure connexion entre nous et nous rapproche aussi du monde naturel. La traiter comme un bien de peu de prix et en externaliser les coûts met nos valeurs sens dessus dessous. Je propose d’aller vers un système de nourriture fondé sur sa valeur réelle. Premier gain, si nous répercutions à nouveau ses coûts réels sur son prix, les produits artisanaux et écologiques nous sembleraient de véritables aubaines, puisque ce sont les seuls qui internalisent de tels coûts.

      Ensuite, nous nous rendrions compte qu’une partie de la population n’a pas les moyens de se nourrir. C’est pourquoi je propose le contrat social « sitopien » : je mange bien, tu manges bien aussi. Mon image d’une bonne société est celle où nous nous asseyons et mangeons ensemble autour d’une table. C’est reconnaître que manger, c’est ce qui nous unit aux autres et à l’ensemble du système écologique. Construire notre société autour du partage d’un bon repas tous les jours, telle est l’idée de base.

      Ça n’est pas une idée entièrement nouvelle…

      Elle s’inspire en effet du concept de cité-jardin, inventé en 1898 par Ebenezer Howard à l’issue d’une crise agricole provoquée, en Grande-Bretagne, par des importations à bas coûts de céréales américaines. Comme le Brexit auquel je m’oppose.

      L’idée était de construire de nouveaux centres urbains, petits et compacts sur des terres agricoles achetées à bas prix du fait de la dépression. Ce ne serait pas le propriétaire qui s’enrichirait (comme à la ville), mais la ville qui achèterait les terres agricoles pour la communauté et les mettrait à disposition de ses membres moyennant une rente foncière. A mesure qu’elle augmenterait – c’est inévitable si vous construisez une nouvelle ville au milieu de nulle part –, l’argent serait utilisé pour financer les transports publics, la santé, etc. Une sorte d’Etat-providence à l’échelle d’une ville.

      Valoriser la nourriture mènerait, selon vous, à une renaissance rurale. Comment voyez-vous le futur des villes ?

      Il y a, d’abord, l’aspect spatial. Plus les villes grandissent, plus les campagnes s’éloignent pour ceux qui vivent en leur centre. Je propose de rétablir la relation entre la ville et sa région, et d’introduire l’espace de production de nourriture dans la ville. L’Europe est pleine d’espaces inefficaces structurés par le béton, qui pourraient devenir productifs. Nombre de terrains pourraient être convertis en jardins, vergers, fermes communaux. Bien entendu, cela ne pourra jamais nourrir la ville dans sa totalité mais ça peut redonner aux gens accès à la nature.

      Comment voyez-vous l’impact du Covid-19 sur le système alimentaire que vous dénoncez ?

      Il y a eu un aspect positif. Dans les pays riches, on a redécouvert le plaisir de manger. Les gens ont disposé de plus de temps. Ils se sont mis à cuisiner avec leurs enfants mais aussi pour leurs voisins. Ils ont veillé au bien-être de la dame âgée en bas de la rue. La nourriture a retrouvé son pouvoir de rassemblement.

      Mais le négatif est peut-être plus important. La pandémie est venue exacerber les inégalités et beaucoup de gens ont dû se rabattre sur les banques alimentaires.

      Par ailleurs, de nouvelles connexions se sont créées entre consommateurs et producteurs mais personne ne veut faire les récoltes en Grande-Bretagne (ce qui fait ressortir la fragilité du pays). Nous sommes une société qui refuse littéralement de se nourrir. Si vous payez 30 livres par heure pour récolter des carottes, je peux vous dire que vous en trouverez des gens ! Une fois de plus, la valeur est biaisée.

      Quelles conséquences tout cela pourrait-il entraîner ?

      De nombreux petits producteurs, petites entreprises alimentaires et petits restaurants indépendants ne survivront pas au profit des Starbucks, McDonald’s, Amazon et Google. Cela m’attriste et me bouleverse, mais c’est presque inévitable.

      J’espère, par contre, sincèrement – c’est plus un souhait qu’autre chose – que les Sitopiens qui comprennent la valeur de la nourriture et son pouvoir utiliseront le Covid-19 pour dire : nous avons découvert ce qui compte vraiment dans la vie, avoir un emploi décent, de quoi manger et un toit sur la tête. Nous avons les moyens d’assurer ça.

      Le New Green Deal [« nouvelle donne verte »] va dans ce sens. Il y a là une chance unique de bien faire les choses.
      Vous incitez à accepter la complexité pour comprendre le rôle essentiel de la nourriture, mais vous en faites une voie unique pour comprendre le monde. N’est-ce pas contradictoire ?

      Vous avez mis le doigt sur ce que j’aime le plus avec la nourriture. Elle est à la fois la chose la plus simple – si simple qu’on peine à la voir – et la plus complexe. Un outil, un moyen et une manière de penser et d’agir. Toutes ces questions reviennent à bien se traiter les uns les autres, à être dans une société égalitaire.

      Pour y parvenir, vous faites appel aux anarchistes et à une conception différente de la taxe foncière…

      Ils ont eu une grande influence sur Ebenezer Howard et sa proposition de cité-jardin. L’idée de base – elle vient de Proudhon – consiste à distinguer la « propriété individuelle privée » (proprietorship), qui permet de dire « c’est ma terre à perpétuité, elle n’appartient à personne d’autre », et la « possession » de la surface dont j’ai besoin pour cultiver et/ou pour vivre… mais qui appartient, en dernière instance, à la société. C’est une conception différente de la propriété foncière qui ouvre la porte à un nouveau type d’imposition, notamment pour les villes.

      CDB_77 @cdb_77
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 26/08/2022
    4
    @odilon
    @colporteur
    @cdb_77
    @stephane_m
    4

    Les bidonvilles, un livre de Thierry Paquot

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2022/08/9782348074066.jpg

    Thierry Paquot a rédigé un livre, bienvenu et très important, sur les bidonvilles, dans la collection Repères des Editions La Découverte. Il s’intéresse à la question majeure de l’urbanisation dans le monde actuel. Les bidonvilles sont la forme majeure de l’urbanisation aujourd’hui. Un milliard de bidonvillois en 2005, ils seront deux milliards en 2030 et seraient probablement trois milliards en 2050, soit près de 30% de la population mondiale.

    Le bidonville, le slum, est un ensemble d’habitations disparates, bricolées, illégalement installées sur un terrain squatté, ne disposant d’aucun confort, d’aucun équipement de base que sont les toilettes, l’eau l’électricité, un espace sans voirie, sans adresse, sans ramassage des ordures, sans éclairage public, sans desserte d’un quelconque transport collectif. Le bidonville naît de l’occupation illégale d’une terre par une population démunie.

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2022/08/26/les-bidonvilles-un-livre-de-thierry-paquot

    #international #urbanisation #bidonville

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 27/08/2022

      #Thierry_Paquot #livre #bidonvilles #urbanisation #slums #urban_matters #TRUST #master_TRUST #habitat

      CDB_77 @cdb_77
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  • @topophile
    Revue Topophile @topophile via RSS 25/06/2022

    Présentation de la foncière citoyenne Communs
    ▻https://topophile.net/rendez-vous/presentation-de-la-fonciere-citoyenne-communs

    https://topophile.net/app/uploads/2022/06/Communs-affiche-reunion-29-juin-2022-scaled.jpg

    Réunion de présentation du projet de foncière citoyenne ’Communs’. Ce projet vise à construire un nouvel acteur de l’immobilier coopératif et solidaire pour permettre une réappropriation citoyenne des questions immobilières. Aujourd’hui, le foncier et l’immobilier sont devenus des produits financiers. Les logements à Paris et dans les grandes métropoles sont inabordables pour la plupart des... Voir l’article

    Revue Topophile @topophile via RSS
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 25/06/2022

      ►https://www.communs.cc

      #foncière_citoyenne #habitation #logement #immobilier

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @topophile
    Revue Topophile @topophile via RSS 1/06/2022
    1
    @rastapopoulos
    1

    Reconstruire des communs : pour une foncière citoyenne
    ▻https://topophile.net/savoir/reconstruire-des-communs-pour-une-fonciere-citoyenne

    https://topophile.net/app/uploads/2022/06/Reconstruire-des-communs-01-Kong-Topophile.jpg

    « À vendre les habitations et les migrations, sports, féeries et conforts parfaits » — Arthur Rimbaud, « Soldes », Les Illuminations, 1873-1875. Le marché de l’immobilier se porte bien, les agences annoncent chaque année de nouveaux records de transactions. Les salons professionnels MIPIM et SIMI se félicitent du « retour des investisseurs », fonds et brokers... Voir l’article

    Revue Topophile @topophile via RSS
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 25/06/2022

      ►https://www.communs.cc

      #foncière_citoyenne #habitation #logement #immobilier

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @marclaime
    Marc Laimé @marclaime 23/04/2022
    1
    @monolecte
    1

    Qui habite vraiment les HLM ?

    ▻https://www.banquedesterritoires.fr/qui-habite-vraiment-les-hlm-la-federation-des-oph-apporte-son-e

    Marc Laimé @marclaime
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 23/04/2022

      #HLM #OPH #habitat #urbanisme

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 23/04/2022

      Invisibilisation — une fois de plus — des mères solos qui ne peuvent payer la surface nécessaire pour loger les enfants, même en HLM, sans compter celles qui hébergent leurs enfants majeurs.

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 15/04/2022
    2
    @monolecte
    @sombre
    2
    @chezsoi

    Geneviève Pruvost, Changer d’échelle : penser et vivre depuis les maisonnées, 2021
    ▻https://www.terrestres.org/2022/01/05/changer-dechelle-penser-et-vivre-depuis-les-maisonnees
    ▻https://sniadecki.wordpress.com/2022/04/15/pruvost-maisonnees

    Lors des rencontres Reprises de terres, qui ont eu lieu sur la Zad de Notre-Dame-des-Landes en août 2021, la sociologue Geneviève Pruvost a proposé une intervention nourrissant les discussions et les réflexions entamées lors de cette semaine de rencontres. Ce texte, qui fait écho à la parution de son ouvrage Quotidien politique. Féminisme, écologie et subsistance (La Découverte, 2021) est la trace écrite et légèrement remaniée de son intervention estivale.

    Qui travaille sans parvenir à toucher le SMIC, ne compte pas ses heures, même si la reconnaissance n’est pas au rendez-vous et ne peut faire autrement que de faire ce qu’il y a à faire, parfois le couteau sous la gorge, sinon personne ne mange ? Une première réponse à cette énigme pourrait être : les paysans. Mais cela pourrait tout aussi bien désigner les femmes, assignées au travail domestique. Paysans, paysannes, travailleurs, travailleuses de l’ombre dans les foyers, même combat ?

    Il s’agit de repenser la reprise de terres, qu’elles soient urbaines ou rurales, à partir de la cuisine, pour reprendre ici la formule de la féministe marxiste révolutionnaire Silvia Federici pour qui le travail ménager est le point zéro de toute révolution [1]. Le mouvement féministe l’a martelé sur tous les tons possibles : il faut porter le féminisme dans les mouvements sociaux, dans les lois, mais aussi au cœur des maisonnées. C’est de ce dernier levier, plus invisible, plus silencieux dont il sera question ici.

    […]

    il ne s’agit, certes, pas de savoir tout faire en vertu d’un modèle paysan fantasmatique d’autosubsistance accomplie (qui est en réalité toujours entre-subsistance avec d’autres maisonnées et interdépendance avec d’autres régions), mais de relancer des circuits denses d’interconnaissance active en prise avec un milieu de vie. Encore faut-il avoir à disposition un écosystème, riche de matières transformables et renouvelables. L’enjeu n’est ainsi pas seulement de favoriser l’augmentation du nombre de candidat.e.s aux métiers paysans et artisanaux, mais de proposer une réforme foncière d’ampleur qui donne accès à tout le monde à des parcelles de terre arable.

    #Geneviève_Pruvost #habitat #urbanisme #subsistance #autonomie #féminisme @chezsoi

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 15/04/2022

      du refus du travail à sa glorification

      #artisanat

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 16/04/2022

      plutôt du refus du travail à la glorification de l’automatisation et la « liberté comme délivrance »
      VS la glorification de la subsistance, càd la « liberté comme autonomie »

      tout cela étant (très) détaillé dans le dernier livre d’Aurélien Berlan, très simple d’accès
      ▻https://seenthis.net/messages/939023
      ▻https://seenthis.net/messages/945679

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @rezo
    Rezo @rezo via RSS 18/12/2021
    14
    @rastapopoulos
    @monolecte
    @ericw
    @biggrizzly
    @jeanmarie
    @7h36
    @alimielle
    @ktche
    @sombre
    @line_d_
    @odilon
    @mad_meg
    @jacotte
    @tintin
    14

    Habiter sans posséder, tel est l’antidote | Corinne Morel Darleux
    ▻https://reporterre.net/Habiter-sans-posse%CC%81der-telle-est-l-antidote

    Loin du pesant climat actuel, une initiative singulière fait son chemin : la foncière Antidote. Ce fonds de dotation permet d’habiter sans posséder ni se soumettre. De quoi favoriser les communs et l’expérimentation, raconte notre chroniqueuse. Source : Reporterre

    Rezo @rezo via RSS
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 18/12/2021

      #Antidote #foncier #société_foncière #fond_de_dotation #autogestion #propriété_d'usage #habitat

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 19/12/2021

      #logement

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @marclaime
      Marc Laimé @marclaime 19/12/2021

      Une nouvelle ruse du capital, avec de nouveaux détenteurs de la rente foncière habillés en vert...

      Marc Laimé @marclaime
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 19/12/2021

      Des preuves concrètes de ça ou de la médisance gratuite ?

      Ces réflexions sont en grande partie issues des échanges qui ont eu lieu au lancement de la foncière Antidote aux Laboratoires d’Aubervilliers, le 12 novembre, en présence de nombreux collectifs et invité·es, animés par Jade Lindgaard avec les interventions de Sarah Vanuxem et Isabelle Stengers.

      Habiter sans posséder est le titre de l’ouvrage édité par la maison d’édition Les Presses du Faubourg, qui fait partie du collectif Ancrage à Nancy. Il réunit les actes de rencontres tenues en 2018 à Dijon avec des contributions de Florence Gauthier, Jérôme Baschet, Longo Maï, le Mietshäuser Syndikat allemand, Aurélien Berlan ou encore la revue Panthère Première.

      Est-ce qu’il y a ne serait-ce qu’un élément quelconque permettant d’affirmer que tous ces collectifs et personnes clairement impliquées depuis longtemps dans l’autogestion et l’autonomie aient quoi que ce soit à voir avec « le capital déguisé en vert » ?

      Bon courage. :D

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @marclaime
      Marc Laimé @marclaime 19/12/2021

      Il ne suffit pas d’aligner des patronymes plus ou moins célèbres et d’exalter des micro-intiatives isolées pour mettre à bas le capitalisme et le sacro-saint « droit de propriété », toujours les mêmes maladies infantiles, se faire plaisir dans l’entre-soi et soigner sa visibilité à l’heure où nous sommes tous condamnés à devenir les « entrepreneurs de nous mêmes »...

      Marc Laimé @marclaime
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 19/12/2021

      Inversement, il ne suffit pas de râler acerbement sans argument pour mettre à bas les initiatives d’autonomie et d’utilisation du droit tel-qu’il-est-sur-le-moment pour se réapproprier des biens en collectif.

      En gros tu rages parce que là c’est des collectifs autonomes et pas des collectivités étatiques/régions/services publics ?

      Tu ne dis toujours pas pourquoi (et/ou ce que tu préférerais en comparaison).

      (Personne ne voit le rapport entre tenter de recréer des biens communs à la fois non marchands et non étatiques en utilisant telle ou telle possibilité juridique du moment et « être entrepreneurs de nous-mêmes »…)

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @marclaime
      Marc Laimé @marclaime 19/12/2021

      Imaginer de mini-enclaves libérées de toute contrainte qui « changeraient la vie » est au mieux, se baigner d’illusion, et toujours jouer les idiots utiles, avec des initiatives immédiatement récupérées par le Moloch. Voir la bande à Hidalgo, le Grand Paris et leurs parrains promoteurs... Tout cela sonne comme un renoncement à affronter l’infrastructure économico-juridique qui perpétue la dévastation de tout ce qui bouge encore.

      Marc Laimé @marclaime
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 19/12/2021

      Je crois que Marc souhaite nous dire que les réformateurs sont au mieux inutiles, et que si solution il doit y avoir, c’est par la mise à bas du capitalisme.

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @marclaime
      Marc Laimé @marclaime 20/12/2021

      Merci, je ne saurais mieux dire :-)

      Marc Laimé @marclaime
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 20/12/2021

      Je n’ai toujours absolument pas compris le rapport entre cet article qui parle uniquement d’un point précis (supprimer justement la propriété privé qui est une des bases, loin d’être la seule, du capitalisme, sur des biens et des terrains) et le capitalisme vert, Hidalgo et le Grand Paris, etc.

      Comme d’hab à parler de grands soirs où on mettrait à bas « tout le capitalisme » (d’un coup d’un seul ?), on ne fait strictement rien de concret… On en est encore là en 2022 à opposer grands mouvements nationaux/internationaux (qui de fait n’existent à peu près pas et n’ont à peu près pas de poids) et actions locales ? Lol. Surtout que toutes les personnes et actions citées ici sont clairement des actions collectives, et qui s’entraident et se coordonnent ensemble et non pas des robinsonades chacunes dans leur coin (genre « avec ma ptite famille on cultive des potirons dans le Larzac et si chacun faisait pareil le monde changerait »).

      Comme l’explique brillamment Aurélien Berlan dans son dernier livre Terre et Liberté, pour « mettre à bas le capitalisme », une des bases obligatoire c’est la reprise en main collective (toujours collective) de la subsistance. Donc arracher des lieux et des terres à la propriété privé en fait partie, et ça ne peut se faire pareil dans tous les pays, comme disent les zapatistes, chacun doit lutter à sa manière en son lieu et en son temps. Eux l’ont fait par les armes dans les années 90 après plus de 20 ans de préparation : en France cette méthode ne peut clairement fonctionner, donc ici on doit remettre des bâtiments et des terres en propriété collective d’autres manières, en utilisant forcément d’autres mécanismes. Et de nombreuses personnes pensent que propriété collective et gestion des biens communs = à faire au maximum en dehors des instances de l’État (donc pas appartenant à l’État, ni la Région, ni le Département, etc).

      Bref, je ne vois toujours pas le rapport avec la choucroute d’Hidalgo (mettre sur le même plan Hidalgo et Longo Mai, Baschet, Berlan, c’est très audacieux).

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 20/12/2021
      @marclaime

      @marclaime

      détenteurs de la rente foncière

       ?

      En quoi Antidote serait-il un nouvel avatar du capitalisme vert ?

      ▻https://reporterre.net/Le-fonds-de-dotation-une-breche-dans-la-conception-francaise-de-la-propr

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @marclaime
      Marc Laimé @marclaime 20/12/2021

      « Arracher des lieux et des terres à la propriété privée », même pas en rêve ! Admettons qu’un collectif quelconque fasse une acquisition foncière, construise qq chose, etc. , qu’est-ce qui garantit que quelques générations plus tard, les descendants du collectif initial, ou quelques uns bazardent tout, ça se voit tout le temps, et je sais de quoi je parle :-)

      Ce qui me chagrine c’est que la promotion de ce genre de trucs fait hélas l’économie de tout ce qui se passe, et de pire en pire, dans le monde réel.

      On bricole une petite survie dans son petit coin en fermant les yeux sur les mécanismes en oeuvre partout ailleurs.

      Aucun rêve d’un grand soir là dedans. Juste rappeler qu’il est aussi important d’ouvrir la boite noire des grands méchants loups, ce qui est valable dans tous les domaines de la vie.

      Marc Laimé @marclaime
    • @ktche
      ktche @ktche CC BY-NC-SA 20/12/2021

      Aucun rapport effectivement. Pour moi, l’intervention de Marc Laimé est dans le même registre que le « Delenda Carthago » que Caton assénait dans tous ces discours. Dans l’absolu, il montre la permanence d’une certaine vigilance dont on peut se désoler qu’elle s’émousse, par ailleurs, de plus en plus. Mais en l’espèce, il montre que celle-ci se manifeste sans égard pour les contenus qui lui sont soumis. Et si ce n’est peut-être pas sans rapport avec le fait d’être éloigné de ces contenus particuliers, le manque de retenu est tout aussi fautif que le manque d’opiniâtreté.

      ktche @ktche CC BY-NC-SA
    • @ktche
      ktche @ktche CC BY-NC-SA 20/12/2021

      je sais de quoi je parle

      Et donc ces expériences passées (qui ne sont pas ignorées par les propositions d’Antidote, bien au contraire) invalident en soi, toutes les réflexions et les tentatives nouvelles qui sont faites pour, justement, ne pas les reproduire ?

      Bon... c’est un peu la mécanique du #mansplaining, ça !

      ktche @ktche CC BY-NC-SA
    • @ktche
      ktche @ktche CC BY-NC-SA 20/12/2021

      Admettons qu’un collectif quelconque fasse une acquisition foncière, construise qq chose, etc. , qu’est-ce qui garantit que quelques générations plus tard, les descendants du collectif initial, ou quelques uns bazardent tout.

      Rien ne garantit que « tout soit bazarder », mais en tout cas, la proposition d’Antidote c’est que les conséquences du « grand bazar » se limitent à la dispersion du collectif, pas à la possibilité d’un usage collectif pérenne (et non marchand) du foncier. Évidemment, pour saisir cela (et éventuellement critiquer la solution proposée pour l’accomplir) il faut aller au delà du « delenda carthago ».

      Je précise que j’ai moi-même des objections sur la solution proposée

      ktche @ktche CC BY-NC-SA
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 20/12/2021

      Ce qui me chagrine c’est que la promotion de ce genre de trucs fait hélas l’économie de tout ce qui se passe, et de pire en pire, dans le monde réel.
      On bricole une petite survie dans son petit coin en fermant les yeux sur les mécanismes en oeuvre partout ailleurs.

      C’est un peu « à la serpe » ce genre de prise de position. Qu’est-ce qui empêchera les parties prenantes du projet de se pencher (et de lutter) contre ces mécanismes de domination que tu dénonces ?

      Ce que je retiens aussi, c’est que le fonds de dotation s’accompagne d’un bail « emphytéotique » de 99 ans. On va dire trois générations grosso-modo.
      Maintenant, le fait que ces fonds fonctionnent sur le don (d’argent, de foncier ou autre) est aussi un avantage car le don n’est pas un investissement. Par contre, si des tractations occultes interviennent entre les donateurs et les fonds, alors on est dans la corruption. Évidemment, la vigilance et la transparence restent indispensables.

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @ktche
      ktche @ktche CC BY-NC-SA 20/12/2021

      Surtout que « les mécanismes en oeuvre partout ailleurs » est une formule posée comme si ceux-ci avaient une évidence incontestable. Si ça se trouve, on n’est pas du tout d’accord sur les ressorts des mécanismes en question.

      ktche @ktche CC BY-NC-SA
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 20/12/2021

      qu’est-ce qui garantit que quelques générations plus tard, les descendants du collectif initial, ou quelques uns bazardent tout,..

      Rien n’est jamais garantie pour les générations plus tard et heureusement que les générations plus tard aurons le choix de changé ce qui aura été fait dans une autre époque avec un autre contexte et d’autres besoins. Imaginons que le grand soir arrive et que des changements profonds soient faits, ca serait horrible de figé les générations suivantes pour leur imposé cet instant du grand soir éternellement. Alors ne rien faire au prétexte que peut être dans le future les génération prochaines pourraient défaire ce qu’on a fait me semble absurde. Ca serait une sorte de dictature étérnelle.

      Aussi je pense pas que ce collectif ne luttte pas aussi contre le grand paris et tout et le fait de chercher et d’expérimenté des choses à l’échelle locale n’empêche pas d’agir aussi au niveau globale simultanément. Perso j’ai du mal à imaginé qu’un mouvement mondial d’abolition de la propriété surgisse tout à coup partout de la meme facon au meme instant. Forcement il y aura des initiatives locales, même au niveau d’un pays ou d’un continant qui abolirait la propriété ca resterait une initiative locale.

      mad meg @mad_meg CC BY
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 20/12/2021

      Je crois que Marc souhaite nous dire que les réformateurs sont au mieux inutiles, et que si solution il doit y avoir, c’est par la mise à bas du capitalisme.

      Les anticapitalistes, «combien de divisions ?» :-))

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 8/10/2021

    Le centre-ville à tout prix ? #Marseille, parcours de délogés
    ▻https://metropolitiques.eu/Le-centre-ville-a-tout-prix-Marseille-parcours-de-deloges.html

    Que sont devenus les habitants des immeubles évacués à la suite des effondrements de la #rue_d'Aubagne à Marseille ? Apolline Meyer a reconstitué le parcours des occupants d’un #immeuble, marqué par une tension entre quête de centralité urbaine, résistance à la #relégation_spatiale et besoin d’un #logement de qualité. 5 novembre 2018, deux immeubles s’effondrent rue d’Aubagne, en plein centre de Marseille. Bilan : huit morts. Plus qu’un drame isolé, ces effondrements ont provoqué une « crise du logement » sans #Terrains

    / centralité, Marseille, #habitat dégradé, logement, immeuble, relégation spatiale, rue d’Aubagne, (...)

    #centralité #habitat_dégradé
    ►https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_meyer.pdf

    Metropolitiques @metropolitiques via RSS
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  • @hlc
    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 7/10/2021
    1
    @monolecte
    1

    J’habite une tiny house : mini toit, maxi liberté ?
    ▻https://www.telerama.fr/debats-reportages/jhabite-une-tiny-house-mini-toit-maxi-liberte-6917865.php

    https://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/968x546/public/ref_30.jpg?itok=PByX_B8e

    DRÔLES DE PASSIONNÉS 2/4 – Leur tiny house, minimaison transportable, est pour eux la clé d’une vie libre et écolo. À force de se serrer les coudes, les “tinystes” ont tissé un réseau d’entraide très actif sur le Net. Récupérer l’eau de pluie, optimiser l’espace, choisir le bon matériau… Leurs idées fusent et inspirent designers et architectes.

    #Habitat #Culture_numérique #Entraide #Micro-réseaux

    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
    • @arno
      ARNO* @arno ART LIBRE 7/10/2021

      Je l’ai déjà écrit : je ne suis vraiment pas à l’aise avec cet emballage romantique du fait d’être pauvre et de ne pas pouvoir se loger convenablement.

      ARNO* @arno ART LIBRE
    • @hlc
      Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 7/10/2021

      Oui, mais ce que je mets ici n’est pas forcément ce avec quoi je suis d’accord, mais aussi ce qui peut me servir quand j’écris (de plus en plus rarement malheureusement) ou fait des cours. Ici, ce qui m’intéresse, c’est la notion de mini-groupes spécialisés sur Internet pour l’échange de conseils, tuyaux,...

      Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 7/10/2021

    Le centre-ville à tout prix ? #Marseille, parcours de délogé·e·s
    ▻https://metropolitiques.eu/Le-centre-ville-a-tout-prix-Marseille-parcours-de-deloge-e-s.html

    Que sont devenus les habitants des immeubles évacués à la suite des effondrements de la #rue_d'Aubagne à Marseille ? Apolline Meyer a reconstitué le parcours des occupants d’un #immeuble, marqué par une tension entre quête de centralité urbaine, résistance à la #relégation_spatiale et besoin d’un #logement de qualité. 5 novembre 2018, deux immeubles s’effondrent rue d’Aubagne, en plein centre de Marseille. Bilan : huit morts. Plus qu’un drame isolé, ces effondrements ont provoqué une « crise du logement » sans #Terrains

    / centralité, Marseille, #habitat dégradé, logement, immeuble, relégation spatiale, rue d’Aubagne, (...)

    #centralité #habitat_dégradé
    ►https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_meyer.pdf

    Metropolitiques @metropolitiques via RSS
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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 23/09/2021
    4
    @vanderling
    @ericw
    @monolecte
    @kaparia
    4

    La mémoire au coin du #bidonville
    ▻https://metropolitiques.eu/La-memoire-au-coin-du-bidonville.html

    Dans le roman Rue des Pâquerettes, Mehdi Charef propose une mémoire des bidonvilles à hauteur d’enfant. Cette mémoire montre à la fois les effets néfastes de la ségrégation et de la précarité, et les ressources invisibles que recèle cet espace pour s’en sortir. Publié en 2018 dans la collection « Littératures » des éditions Hors d’atteinte, Rue des Pâquerettes s’inscrit dans la lignée des textes et films que Mehdi Charef a consacrés aux bidonvilles et cités de transit de l’après-guerre en France, #Commentaires

    / #littérature, bidonville, #Nanterre, #enfants

    ▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_delon3.pdf

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 23/09/2021

      #Rue_des_Pâquerettes

      https://www.horsdatteinte.org/wp-content/uploads/2019/01/rue-des-paquerettes-2018-600x999.jpg

      Mon père va la trouver, la pépite ! C’est bien pour cela qu’il s’époumone dans l’odeur âcre du goudron brûlant, qu’il s’esquinte à creuser au plus profond. Il ne le dit pas, surtout à ma mère qui serait capable de se moquer de lui. Mais il y croit dur comme fer quand il enfourche son Solex, son lourd bleu sur les épaules, avec ses bottes lacées, ses gants larges sur le guidon. On leur a dit, à lui et à d’autres chercheurs d’or venus aussi de pays lointains, que la sueur des hommes qui ont travaillé là s’était polie avec le temps pour devenir pépite. Un jour, mon père fracassera d’un coup de pioche la pierre qui l’abrite.

      La pépite rira aux éclats, scintillera, clignotera… Sans alerter ses collègues, il n’est pas fada mon père, il lâchera sa pioche, le souffle coupé, la main tremblante. Entre ses doigts aux ongles cassés, il la saisira, si fine, une goutte d’eau, la posera délicatement dans le creux calleux de sa paume.

      Elle bouge, s’étire. On dirait une larme.

      ▻https://www.horsdatteinte.org/produit/rue-des-paquerettes-2
      #bidonville #France #roman #livre #logement #habitat #mémoire #Mehdi_Charef #précarité #ségrégation #cités_de_transit

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 20/08/2021
    15
    @colporteur
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    @cdb_77
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    15

    La clim écolo a été inventée il y a 3.000 ans | Slate.fr
    ▻http://www.slate.fr/story/214317/rester-au-frais-la-mode-perse-attrape-vent-badgir-rechauffement-climatique-hau

    http://www.slate.fr/sites/default/files/styles/1200x680/public/1024px-img_.9463_1600x1200.jpg

    À Yazd, dans le désert iranien, de nombreux bâtiments sont surplombés par de petites cheminées bien différentes de celles que nous connaissons. De toutes formes et tailles, ces tourelles sont des bâdgirs ou attrape-vents, une forme de climatisation écologique très efficace et adaptée au climat aride.

    Un temps remplacées par des systèmes modernes de ventilation et climatisation, ces tours attrape-vents sont aujourd’hui davantage étudiées par les architectes et ingénieurs en recherche de solutions pour nous garder au frais avec la hausse globale des températures.

    Ne nécessitant ni électricité, ni énergie, la technologie paraît presque miraculeuse quand on sait qu’en moyenne, l’utilisation de l’air conditionné et de ventilateurs représente environ 10% de la consommation d’électricité dans le monde.

    Comment fonctionnent ces tours ? D’abord, le vent s’engouffre à la verticale par les ouvertures de la tour, il descend ensuite naturellement à travers le conduit de la cheminée jusqu’à la partie la plus basse du bâtiment et la plus fraîche. L’air chaud, plus léger, remonte et emprunte un deuxième conduit de la cheminée dans le sens inverse –rafraichissant au passage l’#habitation. Parfois, on complète ce système avec un bassin d’eau ou une fontaine située à la base de la tour qui va permettre de baisser davantage la température de l’air. Le dimensionnement des #bâdgirs dépend de la taille du bâtiment et de son volume intérieur.

    #ventilation #aération

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @george
      George @george CC BY 20/08/2021

      Dans le golfe avant la découverte du mazout les maisons étaient construite de cette façon. Aujourd’hui, il ne reste qu’une seule a Dubai : la maison du grand père du potentat du coin transformée en musée, et tout le monde vit dans des cages en verre.

      George @george CC BY
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 20/08/2021

      #architecture #habitat #climatisation #climat #réchauffement_climatique

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 22/08/2021

      #changement_climatique #Yazd #désert #tours #Perses #ventilation

      CDB_77 @cdb_77
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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 14/07/2021

    Les Zoocities et le #voisinage multispéciste : des barrières à la bonne distance ?
    ▻https://metropolitiques.eu/Les-Zoocities-et-le-voisinage-multispeciste-des-barrieres-a-la-bonne

    Et si les #animaux sauvages s’installaient massivement dans nos villes ? Les zones urbaines procurent déjà un #habitat à de multiples espèces animales. Dans Zoocities, Joëlle Zask réfléchit aux formes de leur potentielle coexistence avec les humains. Au départ de l’enquête. Un grand retournement Et si les animaux sauvages s’installaient massivement dans nos villes ? C’est l’expérience de pensée que propose Joëlle Zask dans son ouvrage Zoocities (Zask 2020). Prenant pour point de départ le confinement du #Commentaires

    / #philosophie, #écologie, animaux, voisinage, habitat

    ▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_beaute2.pdf

    Metropolitiques @metropolitiques via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 14/07/2021

      Le livre a été signalé ici :
      #Zoocities. Des #animaux_sauvages dans la #ville

      https://seenthis.net/local/cache-vignettes/L526xH700/zoocities20p2619-32d23.jpg

      ▻https://seenthis.net/messages/919382

      CDB_77 @cdb_77
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  • @ericw
    EricW @ericw CC BY-SA 7/07/2021
    1
    @kassem
    1

    Habitat indigne à Marseille : prison ferme et fortes amendes pour deux propriétaies
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/07/07/habitat-indigne-a-marseille-prison-ferme-et-fortes-amendes_6087396_3224.html

    Une habitante de la région parisienne marchant difficilement avec une canne, un professionnel de santé ayant pignon sur rue à Marseille : deux profils différents, mais qui, aux yeux des juges, partagent un même « appât du gain au mépris de leurs locataires ». Le tribunal correctionnel de Marseille a ainsi condamné ces deux personnes mercredi 7 juillet (pour mise en danger d’autrui, notamment) à des peines de prison ferme ainsi qu’à de fortes amendes. Des jugements perçus comme un message de sévérité lancé aux marchands de sommeil, deux ans et demi après l’effondrement de deux immeubles rue d’Aubagne (survenu le 5 novembre 2018), qui avait fait huit morts.

    #paywall

    #marseille #habitat #habitat_indigne #profiteurs

    EricW @ericw CC BY-SA
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 2/07/2021

    Extreme heat is killing people in Arizona’s mobile homes - The Washington Post
    https://www.washingtonpost.com/climate-environment/2021/07/02/arizona-mobile-home-deaths/?itid=hp-top-table-main
    https://www.washingtonpost.com/wp-apps/imrs.php?src=https://arc-anglerfish-washpost-prod-washpost.s3.amazonaws.com/public/YY2KVTWZXII6XDEHVVXSPEMMPA.jpg&w=1440

    The mobile homes under study were built before 1976, when the U.S. Department of Housing and Urban Development (HUD) updated construction and safety standards for manufactured housing. HUD updated energy efficiency standards in the 1990s. (The term “manufactured homes” replaced “mobile homes” in the 1990s.)

    To be “mobile,” mobile homes were intentionally built “light,” and time and the elements have rendered them even more fragile and dangerous.

    Pre-HUD code mobile homes present a list of threats. The old aluminum wiring deteriorates quickly and creates serious risk of fire. It’s also inadequate for powering a modern air-conditioning unit, unless the structure can be completely rewired.

    Insulation is practically nonexistent. The sun beats down on the metal rooftops, which are sometimes covered in a thin coat of white sealant to prevent water leaks. Tar holds it together, but falls apart in heat, and the roof starts leaking.

    An aged mobile home can be rife with toxic VOCs, including formaldehyde. Airborne asbestos fibers compete with mold. Fixing an aging mobile home could easily cost more than it’s worth — if the structure could survive the renovation.

    “They are not energy compliant in any way,” said J.J. Swinney, chief production officer at Habitat for Humanity Tucson. Mobile home residents call its emergency hotline repeatedly to beg for help with homes that are falling apart and mobile home parks that don’t care.

    He finds it unconscionable that low-income people are forced into living conditions like these “just because that’s what they can afford.”

    “It breaks my heart,” said Swinney, who grew up in a mobile home. There isn’t much that Habitat Tucson can do. “It could cost $30,000 to make them safe,” he said. “They aren’t worth $30,000.”

    In Tucson, mobile homes and modern manufactured housing represent more than 10 percent of the housing units in the city of 550,000, more than Los Angeles and Phoenix combined. Of that, 17,000 structures were built pre-1976.

    The danger extends well beyond Arizona. Of the 6.5 million manufactured homes in the United States, mostly located in the Sun Belt, from California to Florida, one-third match the deadly substandard profile, research shows.

    #habitat #mobile_home

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @tintin
    gwyneth bison @tintin 18/06/2021

    Living in a Car on $800 a Month - YouTube
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=b0EoyTzcFOI

    Today we meet Dee, who is living in her car on $800 a month. She tried renting an apartment but found it impossible. After paying rent, she had so little money left over her quality of life was tragically low. But, by living in her car, all that money is available for her to live and thrive on so she isn’t just surviving and enduring life. She’s done a brilliant job of making the car livable by taking out some seats, let’s see how...

    #Nomadisme #crise #habitat #cheap #nomadland #retraite #loyer #récession #camping #lifestyle

    gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      la chaîne YT :

      ▻https://www.youtube.com/channel/UCAj7O3LCDbkIR54hAn6Zz7A

      Welcome to the CheapRVliving YouTube Channel, we’re very glad you’re here!! We’re people who are tired of living the rat race and a life filled with hyper-consumerism—always buying things looking for contentment, but never finding it. Instead, we are returning to our original, truly human roots of tribal nomadism. We’ve adopted lives of travel and adventure by living in a vehicle like a car, van, RV or tiny house and living lives of simplicity and even minimalism.

      If what you see in the videos on this channel intrigue and inspire you, then perhaps you should consider joining us part-time—or even full-time—by following your dreams and taking steps to join our nomadic tribe!

      #van #vanlife #camion #survie

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      je viens de voir le film :

      ▻https://youtu.be/txby7_WvQGA

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      ce qui est cool avec la fin du monde, c’est qu’#Amazon fourni le matos.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      ▻https://youtu.be/CdhWVdYpQKk

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      ▻https://youtu.be/MNz7ar7CUYc

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      #amis #communauté

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      ▻https://youtu.be/vn9F0fxnicc

      #parking_furtif

      Dianna
      il y a 1 an
      Just so mad the system makes it so hard for people to survive and just live

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=UC7Kwx0_ry8

      #douche #retraités

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/06/2021

      #wallmart

      gwyneth bison @tintin
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  • @simplicissimus
    Simplicissimus @simplicissimus 27/05/2021
    4
    @rastapopoulos
    @monolecte
    @colporteur
    @02myseenthis01
    4

    Ile-de-France : un rapport mesure l’emprise de la location touristique au détriment du logement des Franciliens
    ▻https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/05/27/ile-de-france-un-rapport-mesure-l-emprise-de-la-location-touristique-au-detr

    https://img.lemde.fr/2021/05/17/291/0/3500/1750/1440/720/60/0/df5243b_fw1-usa-stocks-airbnb-0517-11.JPG

    A Paris, les efforts de création de nouveaux logements sont anéantis par le développement des locations de type Airbnb.

    Les chiffres inédits, publiés jeudi 27 mai, par l’Institut Paris Région, établissent de façon indiscutable ce que les plates-formes de locations saisonnières de type Airbnb ont toujours nié : leur impact massif sur le basculement du parc parisien de résidences principales au profit des touristes et au détriment des habitants.

    A la demande de la région Ile-de-France, cet institut d’urbanisme a mesuré précisément cette offre dans toutes les communes en se basant sur deux banques de données, l’américaine AirDNA, concentrée sur Airbnb et Abritel-HomeAway, et la française Trackeet qui ausculte les annonces publiées sur douze sites, les deux leaders mais aussi Booking, TripAdvisor, Leboncoin, SeLoger, PAP… Trackeet montre, au passage, le poids écrasant d’Airbnb qui truste environ 80 % des annonces (76 % à Paris, 84 % en petite couronne), devant Abritel-HomeAway (11,5 %) ou Booking (7 %).

    L’étude confirme l’explosion spectaculaire, en quelques années, du phénomène de la location touristique à Paris et dans sa région. Entre 2011, date d’arrivée d’Airbnb en France, et 2019, avant la pandémie, l’offre est, en effet, passée de 20 000 à 88 000 appartements rien qu’à Paris – 120 000 pour la région entière.

    « Une offre illégale »
    Selon les auteurs, 29 % de ces logements sont loués plus de 120 jours par an, durée au-delà de laquelle la loi impose une autorisation et un changement d’usage – qui doit passer d’« habitation » à « commercial » – dans les communes qui ont adopté cette réglementation, telle Paris. Cette part des locations quasi professionnelles monte à 35 % dans les Hauts-de-Seine et 31 % dans le Val-de-Marne.

    Or, dit le rapport, « si l’on considère les difficultés auxquelles un bailleur doit faire face en théorie pour proposer une offre légale de ce type dans la capitale, [puisqu’il doit] en particulier, compenser la surface d’habitation perdue, voire le double (…) dans les quartiers centraux, tout laisse donc à penser qu’une majorité de ces locations saisonnières parisiennes relèvent tout simplement d’une offre illégale. »

    #paywall

    Simplicissimus @simplicissimus
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 27/05/2021

      #urbanisme #habitation #logement #Paris #tourisme #airbnb

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 27/05/2021

      De 2011 à 2017, selon les chiffres du recensement Insee, la capitale a, certes, gagné 26 700 logements mais a, pour la première fois, perdu 23 900 résidences principales au profit de #résidences_secondaires ou occasionnelles qui ont, elles, crû de 50 600 unités dans la même période. L’étude estime que 40 % de la baisse du nombre de résidences principales est imputable à la location touristique qui capte, désormais, 6 % des logements parisiens, une proportion qui grimpe à 18 % dans le 2e arrondissement, 16 % dans le 3e, 13 % dans le 4e et plus de 9 % dans les 8e, 9e et 10e arrondissements.

      « La région Ile-de-France estime qu’il faut construire 70 000 logements par an pour accueillir les 50 000 nouveaux habitants et renouveler le parc, un chantier qui mobilise beaucoup de fonds publics mais, dans le même temps, ces efforts sont contrecarrés par l’hémorragie de logements existants vers la location touristique » , remarque Martin Omhovère, directeur du département habitat et société de l’Institut Paris Région.

      Un effet centrifuge

      Par un effet centrifuge, le phénomène Airbnb s’étend à l’Ile-de-France. De nombreuses communes des Hauts-de-Seine affichent des centaines d’annonces de location de plus de 120 jours par an : pas moins de 410 sur les 1 672 de Boulogne-Billancourt ; 161 sur 654 à Issy-les-Moulineaux ; 226 sur 874 à Courbevoie ; 169 sur 764 à Neuilly-sur-Seine…

      « Les réglementations, renforcées depuis la loi pour l’Accès au logement et à un urbanisme rénové [loi Alur du 24 mars 2014] puis la loi pour une République numérique [du 7 octobre 2016] et la loi pour l’Evolution du logement, de l’aménagement et du numérique [loi Elan, du 23 novembre 2018], ont tenté de réguler ce far-west de la location de courte durée, analyse Emmanuel Trouillard, géographe et coauteur de l’étude. Mais, retardées par des recours judiciaires jusque devant la Cour européenne de justice, elles n’ont pas encore pu démontrer leur efficacité et leur impact reste incertain », juge-t-il.

      Outre Paris, dix-huit communes parmi les plus impactées ont instauré l’autorisation de changement d’usage et une télédéclaration obligatoire de meublé touristique, dont Boulogne-Billancourt, Levallois-Perret, Neuilly-sur-Seine ou Versailles. « Là où ces dispositions ont été mises en place dès 2017 ou 2018, on constate une légère décrue du nombre total de locations saisonnières », rapporte l’étude.

      Des effets positifs

      La « airbnbisation » a, selon les auteurs, des effets positifs dans les communes qui manquent d’hébergements touristiques économiques, le prix moyen, par lit et par nuitée, étant de 46 euros. Autour de Disneyland-Paris (Marne-la-Vallée) où se pressent, chaque année, en temps normal, 18 millions de visiteurs, cette offre correspond aux besoins des familles. Versailles et son château attirent huit millions de visiteurs par an et la location touristique y complète la capacité d’hôtels locaux plutôt haut de gamme, comme à Auvers-sur-Oise (300 000 visiteurs par an), à Provins, à Fontainebleau (500 000 visiteurs).

      Des appartements à louer en courte ou moyenne durée ont aussi leur utilité près des hôpitaux, pour accueillir patients et familles, comme c’est le cas près de l’Hôpital américain, à Neuilly, ou de l’hôpital Gustave-Roussy à Villejuif (Val-de-Marne).
      « Lors de grandes compétitions sportives, le nombre de locations touristiques est décuplé autour du lieu de l’événement, observe Marion Tillet, coautrice de l’étude en tant que géographe spécialiste du tourisme. A Guyancourt [Yvelines], la Ryder Cup de golf, par exemple, a, en septembre 2018, multiplié le nombre de ces locations, passé de 104 à 444. On peut s’attendre au même effet pour la Coupe du monde de rugby, en 2023, puis les Jeux olympiques et paralympiques, en 2024. »

      #immobilier #meublés #profytasion

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @topophile
    Revue Topophile @topophile via RSS 21/05/2021
    2
    @reka
    @hassan_nya
    2

    Proto-habitat : fabriquer autrement, du prototype à l’habiter | Arc-en-rêve
    ▻https://topophile.net/rendez-vous/proto-habitat-fabriquer-autrement-du-prototype-a-lhabiter-arc-en-reve

    https://topophile.net/app/uploads/2021/05/Proto-habitat-01.jpg

    Habiter un espace construit pour se loger et/ou travailler, est un sujet ouvert à la réflexion et au renouvellement des pratiques. Les défis à relever sont exigeants, pour la conception architecturale, la fabrication urbaine, ou encore l’appropriation par les habitants. Habiter un espace construit pour se loger et/ou travailler, est un sujet ouvert à la... Voir l’article

    Revue Topophile @topophile via RSS
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 21/05/2021

      #urban_matter #habitat

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @metropolitiques
    Metropolitiques @metropolitiques via RSS 27/04/2021
    1
    @vanderling
    1

    Réinterroger nos pratiques de développement urbain à travers les modes de vie nomades
    ▻https://metropolitiques.eu/Reinterroger-nos-pratiques-de-developpement-urbain-a-travers-les-mod

    Le #nomadisme, subi ou choisi, demeure à la marge des projets de développement urbains. Nina Lemahieu interroge la façon dont ce mode de vie en pleine expansion pousse les communes de toutes tailles à repenser leurs aménagements. Relégué dans le champ de la marginalité, associé à la précarité, le nomadisme est plus souvent qu’on ne le pense un mode de vie choisi, en phase avec les valeurs de certains, adapté à la profession des autres. Plusieurs ingrédients sont réunis pour que le nomadisme 2.0 puisse #Essais

    / #habitat, #aménagement, mobilité, nomadisme, #habitat_alternatif

    #mobilité
    ▻https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-lemahieu.pdf

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