@sinehebdo Plutôt 60’ semble-t’il :
Au tournant des années 60, la révolution musicale qui accompagne les soubresauts de la jeunesse en pleine rébellion ne touche pas que les sociétés européennes et américaines. Dans plusieurs régions du monde, l’aspiration à une liberté universelle s’exprime de mille manières. Au Soudan, l’indépendance des esprits passe par une relecture audacieuse de l’#Haqiba, un art vocal populaire qui connaîtra une seconde jeunesse grâce au chanteur Sharhabil Ahmed dont les enregistrements d’hier sont aujourd’hui ressuscités dans une anthologie intitulée The King of Sudanese Jazz dont la valeur patrimoniale mérite une attention toute particulière.
▻https://musique.rfi.fr/jazz/20200715-le-jazz-joe-sharhabil-ahmed
“I started out by learning to play the #oud and traditional Sudanese music, and got a diploma from the music institute of Khartoum University. But my ambition was to develop something new. For this, the guitar seemed like the best instrument. Western instruments can approximate the scales of Sudanese music very well. After all, a lot of Western music is originally from Africa. I have absorbed different influences, from traditional Sudanese rhythms to #calypso and #jazz, and I hold them together in my music with no difficulty.”
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Sharhabil_Ahmed
Il me plait de plus en plus cet album !