#Basta !
#Proche_Orient/#Moyen_Orient, #Histoire_des_prépuces.
Ça serait #rigolo, sans les #morts ...
#religion #politique #taré #fanatique #Israël #islamiste #monde #guignol #religieux #bienveillance #humanité #tolérance #harmonie #seenthis #vangauguin
:-D :-D :-D
]]>« Wolfgang #Schäuble, le père de l’#Europe de l’#austérité, est mort » #Médiapart
Longue Vie à #Wolfgang ! :-D :-D :-D
#art #musique #universalité #harmonie #politique #épanouissement #mental #social #fraternité #solidarité #seenthis #vangauguin
#Wolfgang #Amadeus #Mozart : #Requiem (#Orchestre_national_de_France / James Gaffigan)
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]]>La #propriété_foncière, une fiction occidentale
Dans la région de la #Volta, la #propriété du #sol n’existe pas, la terre n’est pas l’objet de transactions marchandes mais de #partages. D’où vient alors que, dans nos sociétés, nous considérions comme parfaitement légitime ce droit à s’approprier une partie du territoire ?
#Danouta_Liberski-Bagnoud propose ici un ouvrage d’anthropologie qui entend produire une réflexion générale sur ce que l’on a pris l’habitude d’appeler en sciences sociales, que ce soit en géographie, en anthropologie générale ou en sociologie, « l’#habiter », notion qui renvoie à la façon dont les sociétés se rapportent à l’espace et y composent un monde. Cette notion permet d’éviter toute forme de caractérisation trop précise du rapport des êtres humains à leur lieu de vie.
On comprend assez vite que ce qui intéresse l’auteure est de mettre en question la centralité et l’universalité de l’#appropriation_privative et des fonctionnements de #marché qui se sont imposées au monde entier à partir des pays industrialisés façonnés par les pratiques commerçantes. Bien qu’elle s’appuie sur les données ethnologiques recueillies sur son terrain, la #région_de_la_Volta (fleuve qui traverse le Burkina-Faso, le Ghana, le Mali, le Bénin, la Côte d’Ivoire et le Togo), l’auteure propose une réflexion large sur la propriété foncière et, plus généralement, sur le rapport que les sociétés humaines entretiennent avec la terre.
L’essentiel de sa thèse consiste à contester à la fois les institutions internationales dans leur effort pour imposer la #propriétarisation des #terres au nom d’une conception occidentalo-centrée du #développement, et ceux qui parmi les anthropologues ont pu chercher des formes de propriété dans des communautés humaines où ce concept n’a, en réalité, aucune signification. Elle nous invite ainsi, par la comparaison des pratiques, à une réflexion sur nos tendances ethnocentriques et à penser d’autres types de rapport avec la terre que le rapport propriétaire.
L’ordre dévastateur du marché
L’auteure montre que les perspectives de #développement_économique par la propriétarisation et la #marchandisation du #foncier telles qu’elles ont pu être portées par les institutions internationales comme la #Banque_mondiale, loin d’aboutir aux perspectives d’amélioration souhaitées, ont conduit plutôt à une forme de « #deshabitation du monde » :
"Le forçage en terre africaine de la #propriété_privée (autrefois dans les pas de la colonisation, aujourd’hui dans ceux de l’#accaparement_des_terres, de l’#agro-business et de la #spéculation) emporte avec lui toute la violence du rapport déterritorialisé au sol qu’édicte le concept même de propriété privée." (p. 144)
On peut faire remonter les racines de l’idéologie qui justifie ces politiques à la période moderne en Europe avec #John_Locke qui développa une nouvelle conception de la propriété, les physiocrates qui firent de la terre la source de la richesse et enfin avec le développement de l’#économie_capitaliste qui achève de constituer la terre en une « simple marchandise » (p. 49).
Dans ce cadre, la thèse de l’anthropologue Alain Testart fait notamment l’objet d’une longue discussion. Celui-ci entendait montrer, contre la croyance défendue par Morgan, par exemple, dans l’existence d’un #communisme_originel, que la plupart des sociétés traditionnelles connaissaient des formes d’appropriation privative et d’aliénation des terres. L’auteure montre, au contraire, que le concept même de propriété est absent des terrains qui sont les siens et qu’interpréter l’habiter des populations de l’aire voltaïque sous le prisme de la propriété privée revient à trahir et à travestir la façon dont elles vivent et parlent de leur rapport à l’espace et à la terre. En réalité, « il ne fait aucun doute que le rapport au sol d’une communauté villageoise [de cette région] est fondé sur le #partage (et le don) de la terre et l’interdit de la vendre » (p. 189). Aussi, face au « forçage du concept moderne de propriété privée » (p. 111), qui est largement le fait d’une approche occidentalo-centrée, l’auteure propose de faire entendre la voix alternative des sociétés voltaïques.
Le conflit des fictions fondatrices
Plus généralement, l’auteure reproche à bien des anthropologues d’avoir tendance à projeter des représentations qui leur appartiennent sur les sociétés qu’ils étudient. Pensons aux notions d’animisme ou de perspectivisme qui sont appliquées aux sociétés non européennes, alors même que ces notions ne sont pas endogènes. Y compris les anthropologues qui discutent et relativisent les catégories occidentales comme l’opposition nature-culture continuent de leur accorder un rôle structurant, quand ils cherchent, dans les sociétés non européennes, la façon dont celles-ci se dessinent d’une tout autre manière.
Au contraire, une approche comparatiste qui englobe nos représentations « conduit au ras des mots et des gestes, dans le détail des pratiques rituelles et ordinaires […] permet le décentrement épistémologique à l’encontre de la métaphysique occidentale » (p. 94). Il s’agit de revenir aux modes d’habiter pour ce qu’ils sont en les comparant aux nôtres, mais sans jamais les confondre, afin de ne pas en biaiser l’analyse par l’usage de concepts qui leur seraient extérieurs et les feraient voir à partir de fictions fondatrices qui ne sont pas les leurs.
Dans ce cadre méthodologique, le droit de propriété privée foncière relève, selon l’auteure, des fictions juridiques fondatrices proprement occidentales qui ont été importées dans les pays africains avec la colonisation. Or ceux qui voient la terre comme quelque chose qui serait disponible à l’appropriation privative n’ont pas conscience « qu’il s’agit d’une fiction, bien étrange en réalité, car de toute évidence, un terrain n’est pas un objet qui circule, mais un espace indéménageable » (p. 153). Une telle fiction permet de faire comme s’il était possible de séparer un pan de territoire de l’ensemble auquel il appartient, et de le faire circuler par l’échange marchand. Or « la #fiction_économique de la terre marchandise, source de profits financiers, ainsi que la #fiction_juridique d’une terre comme bien privatisable qui est venue la renforcer et la relayer, font assurément figure d’étrangeté hors de la matrice symbolique qui les a engendrées » (p. 260).
L’existence des fictions juridiques fondatrices manifeste le fait que dans toutes les sociétés « la réalité succombe pour être reconstruite de façon légale » (p. 142). Ainsi « l’agir rituel façonne la réalité, il la (re)construit d’une façon légale, bref, il l’institue » (p. 142). Le monde du rite, comme le monde légal fait « comme si » la réalité était le décalque fidèle de la représentation que l’on s’en fait, alors qu’elle n’en est que l’ombre projetée. Or, comme Polanyi l’a déjà montré, la propriété privée de la terre est une fiction fondatrice des sociétés de marché, mais n’a rien d’universel. À l’inverse, les sociétés de l’aire voltaïque disposent de leurs propres fictions pour déterminer leur rapport à la terre ; or « rares sont les études sur le foncier qui ne recourent pas à des modèles, des théories et des concepts forgés dans l’histoire sédimentée des sociétés occidentales pour analyser les ‘pratiques’ du Sud, en les détachant des systèmes de pensée qui les pénètrent » (p. 210).
La souveraineté d’une terre inappropriable
Aussi l’auteure reproche-t-elle à beaucoup d’anthropologues qui ont travaillé sur les sociétés africaines d’avoir projeté des représentations fabriquées en occident sur les sociétés qu’ils étudiaient et aux institutions internationales d’imposer comme une vérité universelle ce qui n’est qu’une fabrication particulière.
Pour contrer ces tendances théoriques et politiques, l’auteure se concentre sur la figure des « #gardiens_de_la_Terre » qui sont des dignitaires dont le rôle est de délimiter et d’attribuer des terrains aux familles. Du fait du pouvoir qui est le leur, certains ont voulu décrire cette institution dans le cadre des fictions juridiques européo-centrées en les présentant comme des souverains modernes ou des propriétaires éminents à l’image des seigneurs médiévaux. Face à cela, Danouta Liberski-Bagnoud montre que ces « gardiens de la Terre » n’en sont ni les propriétaires ni les souverains, ils sont, en réalité, garants de son #inappropriabilité et, ce faisant, sont au service de sa #souveraineté propre :
"Dans les sociétés voltaïques […], les hommes n’exercent aucune souveraineté sur la Terre, mais ils sont les sujets de la souveraineté que la Terre exerce sur eux. La Terre n’appartient à personne d’autre qu’à elle-même, nul organe supérieur ne la commande, sa souveraineté ni ne se délègue ni ne se partage entièrement. Cette fiction que construisent les rites et les mythes fonde le régime de partage de la terre. Partage éphémère, non inscrit dans la durée d’un rapport de force, qui tient la durée d’une vie humaine, et répond ainsi à un principe d’#équité, car il empêche toute entreprise qui viserait à l’accumulation de portions de terre, au détriment du reste de la collectivité." (p. 321)
Cependant, il faut se garder de faire de la Terre une souveraine au sens occidental d’une personnalité juridique qui pourrait imposer sa volonté en dernière instance, parce que ce n’est pas une personne.
La Terre n’est ni une personne ni un bien (p. 285). Dans les sociétés voltaïques, la Terre est la source intarissable de la vie dans laquelle toute vie doit trouver sa place, et c’est en ce sens qu’elle exerce son pouvoir sur les hommes. La Terre apparaît comme l’instance qui anime le rapport aux espaces qu’elle contient : le village, la brousse, les lieux sacrés, la délimitation de nouveaux espaces voués à la culture sont autant de lieux qui ne peuvent exister qu’avec l’accord de la terre. Le rôle des « gardiens de la Terre » est alors d’assurer l’#harmonie entre l’ordre de la Terre et ceux qui veulent y trouver place. La Terre, dans ce cadre, ne saurait être un bien, elle « n’appartient qu’à elle-même » et son inappropriabilité apparaît comme « la condition d’un mode de l’habiter en commun » (p. 374-375).
Cette #représentation éloignée de la fiction juridique d’une terre envisagée comme un bien séparable du territoire auquel elle appartient dépend de « la fiction rituelle qui construit la terre comme si elle était la figure de l’autorité suprême, garante du noyau des interdits fondamentaux qui permettent aux sociétés de tenir ensemble » (p. 327-328). En ce sens, la Terre, conçue comme une instance, supporte, ordonne et fait vivre le corps commun de la société et doit être distinguée de la terre conçue comme un simple fonds ; la deuxième est incluse, dépend et ne peut être comprise sans la première. Cette distinction permet ainsi d’opérer un retour critique sur notre civilisation qui aurait ainsi oublié le souci de la Terre dans des fictions qui poussent au contraire à des processus qui favorisent la #déshabitation.
Le geste théorique comparatiste qu’opère Danouta Liberski-Bagnoud permet de prendre un peu de distance à l’égard de nos représentations en nous montrant qu’il peut exister des rapports à la terre sans propriété privée. Ces autres formes de l’habiter produisent d’autres manières de s’approprier la terre non captatrices et ouvertes sur le #commun. Ce faisant, le geste théorique opéré dans l’ouvrage permet de réfléchir, sous un angle anthropologique, à la notion de fiction juridique beaucoup travaillée en droit, en exhibant ce que nos institutions contiennent d’artifices à la fois factices et producteurs de réalité sociale. Il met ainsi en évidence ce que Castoriadis avait nommé l’institution imaginaire des sociétés. Sur ce plan l’ouvrage, dont bien des formulations sont très évocatrices, revêt toute sa pertinence. Il permet d’ouvrir les horizons d’un autre rapport possible à la Terre sans pour autant laisser croire que les sociétés voltaïques seraient plus authentiques ou plus proches de la nature. Elles entretiennent seulement un rapport autre à la nature qui n’a pas besoin du mythe de la #domination du monde et des choses et qui ne la réduit pas à un ensemble de ressources utiles à exploiter. Le grand intérêt de l’ouvrage réside dans l’usage spéculatif qui est fait de la comparaison étroitement menée entre le rapport occidental à une terre de plus en plus déshabitée avec les formes de l’habiter des peuples de la Volta. Il y a, certes, un risque d’idéalisation, mais, à l’issue de la lecture, on se dit qu’à l’aune des résultats spéculatifs qu’il permet d’obtenir, il mérite d’être couru.
►https://laviedesidees.fr/Liberski-Bagnoud-souverainete-terre
#livre
Psy et sophrologue, Claire a installé une yourte dans son jardin à Leers Par Anne-Sophie Hourdeaux
▻https://actu.fr/hauts-de-france/leers_59339/psy-et-sophrologue-claire-a-installe-une-yourte-dans-son-jardin-a-leers_4444590
C’est une belle reconversion professionnelle qu’a vécue Claire Lesage-Narguet, 5 ans après un burn-out. Psy et sophrologue, elle vous reçoit dans une yourte à Leers (France)
C’est une belle reconversion professionnelle qu’a vécue Claire Lesage-Narguet, 5 ans après un burn-out. Cette ex-cadre est devenue sophrologue caycédien et psychothérapeute. Sa particularité : à Leers, près de Lille, elle a installé son cabinet dans son jardin et c’est une yourte !
Un havre de paix, c’est ainsi qu’on pourrait résumer la yourte des saisons, le « bébé » de Claire Lesage-Narguet.
C’est en mai 2020, le jour même du déconfinement, qu’elle a lancé ce projet fou. Son but : y proposer des séances de sophrologie et psychothérapie, ainsi que divers ateliers autour de la reconnections à soi.
En bois, c’est un endroit chaleureux, rassurant, qui invite à la sérénité. « J’aime qu’on se trouve au milieu du jardin, mes animaux ne sont pas loin ! »
Après un burn out
Cette yourte est le fruit d’une reconversion professionnelle, une véritable renaissance même pour Claire. Après un master commerce, elle devient cadre chez Auchan. Pendant 12 ans, elle est dans la peau d’un manager. Puis en novembre 2016, celle craque : « J’ai fait un burn-out, un vrai. J’avais eu des signes, mais je n’avais pas écouté mon corps… »
Elle se recentre alors sur elle-même, expérimente l’art-thérapie, se découvre une passion pour la nature et les animaux.
Après un temps de repos, elle décide de reprendre des études, et pas n’importe lesquelles, avec un double cursus. « J’ai rejoint l’école de sophrologie caycédienne à Lille ; et en même temps, j’ai suivi le CERFPA sur la formation en psychologue des profondeurs basée sur Carl Jung ».
Apprendre à s’aimer
Malgré l’épreuve, cette période a été bénéfique, car comme le dit Claire, « j’ai appris à m’aimer ! » sourit-elle. Cette expérience lui a donné envie d’aider les autres.
Aujourd’hui sophrologie et psycho-praticienne, elle propose un accompagnement personnalisé, avec de nombreux outils pour ceux qui le souhaitent.
Car Claire s’intéresse aussi aux pierres, aux fleurs de Bach, aux huiles essentielles, à la naturopathie et même aux voyages sonores. « Je m’adapte à chacun ! On peut être aussi très cartésien et vouloir juste travailler sur l’anxiété, la gestion des émotions liée à un examen… »
Relaxation, émotions, bienveillance
La sophrologie caycédienne « propose des techniques de relaxation dynamiques, et travaille l’harmonie entre le corps et l’esprit ».
Elle veut « renforcer l’agréable dans la vie de la personne à travers le corps. On travaille sur l’accueil des émotions, pour comprendre ce qu’elles peuvent apporter. Il n’y a aucun jugement, que de la bienveillance ».
Les séances sont individuelles ou en petits groupes.
Sophrologie ou psychologie, « on peut choisir l’un ou l’autre, ou encore tester un mix des deux au cours d’une séance ».
Bientôt une tente aussi
A partir de cet automne, elle installera à côté de sa yourte un 2e « cabinet », dans une tente cette fois ! « Ce sera l’espace des cercles des femmes, je crois en l’énergie féminine. Il s’agit plutôt d’un groupe de parole ».
Claire se veut une accompagnatrice, « pour que chacun développe l’amour de soi ». « C’est le plus beau cadeau qu’on peut se faire à soir même et aux autres ! » sourit la psy-sophrologue. Un beau programme !
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#burn-out #reconversion #sophrologie #yourte #psychothérapeute #auchan #art-thérapie #psycho-praticienne #naturopathie #harmonie #Femme
]]>Le jour d’après #VendrediLecture...
Quoi de mieux qu’une explosion de couleurs piquantes comme du polar express quand la ville redevient #Nantes-la-grise ?!
Merci Stephane Pajot 💝
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]]>Je crois que Roux-Blanc a compris que je l’aime bien malgré mes incessants grondements pour éviter qu’il ne s’imprègne de l’humain...
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]]>#VendrediLecture... enfin, si les pigeons m’en laissent l’occasion !
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#LesPetitesPhotos
Reprise de la lecture inachevée de #Ecotopia de Ernest Callenbach, « Carnets de notes et de Rapports de William Weston », roman utopique et dystopique publié en 1975, traduit et réédité par @ruedelechiquier il y a 2 ans (et illustré d’une de mes photos de la série « Que fer ? »)
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]]>Le 20 décembre 2019, je reçois, par mail, ce message de "pub" d’une formation qui nous est proposée dans notre #université (#Université_Grenoble_Alpes) :
L’#UGA nous informe de la mise en place à la formation #communication_assertive et bienveillante dans les relations professionnelles .
Deux sessions au choix sont ouvertes :
Soit les 29 & 30 juin 2020
soit les 03 & 04 décembre 2020
La date limite d’inscription est : j - 15 avant la date de la formation
La formation est placée sous le thème " #efficacité professionnelle ".
Objectifs de la formation :
A l’issue de la formation, les participants seront capables de :
– Décoder leur comportement et celui des autres dans les relations professionnelles
– Communiquer avec #tact et #diplomatie
– Etablir des #attitudes_positives au quotidien
– Développer des relations professionnelles harmonieuses et efficaces
Programme :
1. Prendre conscience de son comportement
– Identifier les raisons de ne pas de comprendre
– Comprendre l’image que l’on renvoie à ses interlocuteurs
– Prendre conscience de l’image de sa communication écrite
– Identifier son comportement dans les situations relationnelles
2. Savoir dialoguer avec tact et souplesse
– Pratiquer l’écoute active et savoir utiliser les 5 types de questions
– Utiliser les 3 techniques de reformulation
– Améliorer sa communication non verbale
– Etre congruent entre son langage verbal et non-verbal
– Ajuster sa communication à son interlocuteur
– Choisir son vocabulaire pour communiquer avec précision et tact à l’écrit
3. Savoir soutenir une position claire et diplomate
– Etre assertif : utiliser la méthode DESC
– Exprimer son avis sans juger l’autre
– Formuler des critiques constructives
– Faire face aux critiques
– Formuler un refus sans provoquer de tension
– Faire et accepter des compliments dans le monde professionnel
Durée : 2 jours
Public : Toute personne souhaitant optimiser sa communication afin d’améliorer ses relations professionnelles
–--------
Sur ce, je réponds à une collègue, en colère :
Plus de moyens, moins de compétition, moins de darwinisme social résoudrait la moitié des problèmes sans formations à la communication bienveillante !
–-> je fais évidemment allusion aux propos tenus par #Antoine_Petit (à la tête du #CNRS) qui a appelé à une loi « darwinienne » pour le financement de la #recherche. « Une loi ambitieuse, inégalitaire — oui, inégalitaire, une loi vertueuse et darwinienne, qui encourage les scientifiques, équipes, laboratoires, établissements les plus performants à l’échelle internationale, une loi qui mobilise les énergies. »
►https://seenthis.net/messages/815560
#formation #bienveillance #communication_bienveillante #travail #relations_professionnelles #inégalités #performance #compétition #attitude_positive #harmonie #hypocrisie #image #tact #souplesse #écoute_active #techniques_de_reformulation #communication #communication_non_verbale #langage_verbal #langage_non-verbal #vocabulaire #méthode_DESC #critiques_constructives
]]>#Agriculture : « Il y a des pratiques inacceptables » dans la grande distribution, estime Laurent Berger | Public Senat
▻https://www.publicsenat.fr/article/politique/agriculture-il-y-a-des-pratiques-inacceptables-dans-la-grande-distributi
À trois mois des élections européennes, Laurent Berger fait part de deux souhaits majeurs pour l’#Union_européenne des cinq prochaines années. À l’heure où les Vingt-huit signent des accords de libre-échange avec des économies importantes sur le globe, il appelle l’Europe à être « moins naïve ». « Il faut que l’Europe soit moins naïve, en n’exigeant pas des agriculteurs des pratiques – que je souhaite pour ma part voir accentuées de productions de plus en plus saines et de plus en plus respectueuses de l’#environnement et du #social – et ne pas l’imposer aux entreprises qui exportent chez nous. »
Citant l’exemple de la main-d’œuvre agricole en Allemagne, le secrétaire général ajoute qu’il faut également réfléchir au « #dumping intra-européen ». Il espère que l’UE se dotera d’une #harmonie_fiscale et de « plus de règles sociales communes ».
]]>La #passion_du_monde
« La Passion du Monde » anime le parcours et l’oeuvre de Elisée Reclus, géographe et anarchiste français (1830-1905). Le film de #Nicolas_Eprendre fait le portrait d’une personnalité peu banale, tout à la fois grand voyageur, scientifique reconnu et homme de conviction. Les photographies de Nadar nous transmettent un regard plein de bonhomie et d’acuité. La voix de Carlo Brandt donne vie à des pages qui mêlent poésie et humour, pensée scientifique et politique. Hélène Sarrazin (biographe), Kenneth White (écrivain), Philippe Pelletier et Federico Ferretti (géographes), dressent tour à tour la figure d’un homme qui nous est proche,et dont les analyses font échos aux nôtres en ce début de 21 siècle.
►https://rutube.ru/video/ce25efad21e1675e31526834fc641d87
#Reclus #Elisée_Reclus #géographie #anarchisme #géographie_anarchiste #film #documentaire #votation #droit_de_suffrage #obéissance #vote #trahison #suffrage #agir #ruisseau #eau #Terre #géographie #Kenneth_White #marche #marche_méditative #fleuves #frontière #commune_de_Paris #Bakunine #Fédération_jurasienne #exil #Lugano #anarchisme #esclavage #Suisse #cartographie #Charles_Perron #paysage #justice #droit
Reprise de cette citation de Reclus sur les #frontières :
Frontières = « lignes artificielles imposées par la violence, la guerre, l’astuce des Rois et sanctionnées par la couardise des peuples... »
Extrait de L’homme et la terre (vers min.45) :
« L’homme vraiment civilisé aide la terre au lieu de s’acharner brutalement contre elle. Il apprend, aussi, comme artiste. A donné au #paysage qui l’entoure plus de charme, de grâce, ou de majesté. Devenu la conscience de la Terre, l’homme digne de sa mission assume par cela-même une part de responsabilité dans l’#harmonie et la #beauté de la #nature environnante. »
Kenneth White, min. 47’22 :
« Le mot #monde a chez lui un sens autre que socio-politique. En général, quand on dit le monde aujourd’hui, ça veut dire le monde socio-politique. Chez lui ça veut dire ’un espace où vivre pleinement’. C’est un sens très ancien du monde. (...) Sa géographie universelle c’est d’un côté un panorama puissant et poétique de la Terre, mais c’est aussi une idée du monde. Il a une idée, une conception du monde. (...) »
Kenneth White cite Reclus, tiré d’une lettre à un ami vers la fin de sa vie :
« Vous me dites que mon poème n’est pas réalisable, que c’est un rêve. Ou bien nous pouvons réaliser ce rêve pour la société toute entière. Dans ce cas, travaillons avec énergie. Ou bien nous ne pouvons le réaliser que pour un petit nombre, et dans ce cas là, travaillons encore et toujours ».
ping @reka
“Ce serait mieux si…” (Séance d’écriture-flash n°6, CM2)
Consigne : Je vais taper dans les mains une fois et vous devrez faire silence. Mes instructions seront écrites au tableau et vous n’aurez aucune autre indication. Impossible de me poser des questions, impossible d’en discuter avec vos camarades, le silence doit être complet. Lorsque je frapperai par deux fois dans mes mains, cette contrainte sera levée. Des questions ?
– Prenez une feuille de classeur et un crayon.
– Écrivez votre prénom.
– Écrivez une phrase ou un court texte commençant par « Ce serait mieux si… ».
– Je chronomètre 3 minutes à l’horloge et je relève les feuilles.
Productions des élèves (1er jet, orthographe et syntaxe corrigées par moi)
– Ce serait mieux si chez moi il y avait deux salons et des animaux de compagnie et une PS4, et aussi une télé.
– Ce serait mieux si on avait une habitation, une famille, de la nourriture. Ce serait mieux si on vivait sans problèmes.
– Ce serait mieux s’il n’y avait plus de problèmes. Et si on n’arrêtait de se disputer. Et si on n’arrêtait de m’embêter et qu’on arrêtait de parler derrière mon dos.
– Ce serait mieux si on avait une maison au lieu d’un immeuble et aussi si j’avais un frère. Ça changerait un peu : il n’y aurait pas que des filles à la maison. Il y aurait peut-être plus de bêtises et aussi plus de joie. Mon père ne dirait plus : « Allez les gars, c’est l’heure d’aller au lit. »
– Ce serait mieux si je vivais dans un château avec ma famille, avec une piscine et un jacuzzi.
– Ce serait mieux s’il n’y avait plus de pollution, plus de pauvreté ni de faim dans le monde. Ce serait mieux s’il n’y avait plus de racisme.
– Ce serait mieux si Maître Coutil passait une journée dans notre classe, si on faisait moins de Picot.
– Ce serait mieux si on allait à Paris voir la Tour Eiffel.
– Ce serait mieux si je parlais quand on m’interroge parce que quand on m’interroge, je ne parle pas beaucoup.
– Ce serait mieux si personne ne se disputait et que tout le monde était amies.
– Ce serait mieux si on pouvait voler dans les airs et aussi voir à travers les murs comme ça la maîtresse pourrait voir ceux qui font des bêtises. À côté, ce serait mieux si notre mère ne mourrait pas et puis aussi si j’avais tout ce que je voulais.
– Ce serait mieux si dans ce monde il n’y avait plus jamais de problèmes ou de disputes et mieux encore si on s’acceptait : couleurs de peau ou pas, fille ou garçon.
– Ce serait mieux si on allait tout le temps au cinéma.
– Ce serait mieux si un jour un monsieur passait. Il serait au téléphone et dirait : « Bon bébé, je te laisse, je dois travailler ». Et là un monsieur viendrait et dirait : « Mais c’est quoi ce menteur ! Arrête de mentir ! »
– Ce serait mieux si j’avais une grande maison, on aurait plus d’espace et un grand jardin et si avec mes amies on s’était amusées.
– Ce serait mieux s’il faisait beau, je veux du soleil !
– Ce serait mieux si l’école ouvrait à 10h, comme ça on pourrait dormir plus longtemps.
Les avatars du télémarketing
▻http://www.rslnmag.fr/post/2013/12/26/Les-avatars-du-tele.aspx
Les combinaisons entre #homme-machine sont parfois très ingénieuses. Et c’est dans le #télémarketing que l’on trouve aujourd’hui les exemples les plus probants. Quatre entreprises sont spécialisées dans ce qu’on appelle la semi-automatisation des #call-centers : Avatar Technologies, CallAssistant, PerfectPitch et Kombea.
Leur #technologie ? Il s’agit d’une table d’#harmonie où le représentant commercial interagit avec le #client en sélectionnant le bon #fichier_audio des réponses pré-enregistrées. Par exemple pour la table d’harmonie de l’entreprise CallAssistant, actionner le signe « égal », permet d’adresser la réponse pré-scriptée « exactement ». L’objectif est la « #neutralisation des #accents » pour que le client ne fasse plus de différence entre la #voix_numérisée et la #voix_naturelle.
]]>Spider-Godounov 2 - The Djac Baweur attitude
►http://djac.baweur.over-blog.com/article-spider-godounov-2-68422655.html
Très drôle et très pédagogique. Bonnes idées pour la compo.
]]>Bobby McFerrin en grande forme
►http://vimeo.com/5917285
A partir de 1m51s, du grand Bobby McFerrin !
#Bobby_McFerrin #chant #harmonie #musique #geste #mouvement #conférence #gp:links
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