• Roswitha Scholz in Paris : Librairie Quilombo et Séminaire Crise & Critique les 12, 13 et 14 mai 2023 (Programme)
    http://www.palim-psao.fr/2023/04/roswitha-scholz-in-paris-seminaire-crise-critique-les-12-13-et-14-mai-202

    Pour les parigos

    Vendredi 12 mai
    Le Sexe du capitalisme. Qu’est-ce que la critique de la valeur-dissociation ? : Rencontre avec Roswitha Scholz

    Séminaire Crise & Critique 13 et 14 mai 2023 – Paris
    Lieu : Le Maltais Rouge 40 Rue de Malte, 75011 Paris

    Samedi 13 mai
    Matinée : 9h30 – 12h30
    « Que les choses continuent comme avant, voilà la catastrophe ». L’actualité de Walter Benjamin : Conférence-débat avec Herbert Böttcher (revue Exit ! – Allemagne)

    Après-midi : 14h-16h30
    Politique d’identité intersectionnelle et politique de classe néo-marxiste. Quelques remarques critiques sur le tabou de l’abstraction à gauche : Conférence-débat avec Roswitha Scholz (revue Exit ! – Allemagne)

    Dimanche 14 mai
    Matinée : 9h30 – 12h30
    Discussion autour des concepts de la Critique de la valeur-dissociation : Rencontre avec Roswitha Scholz et Herbert Böttcher (revue Exit ! – Allemagne)

    Après-midi – 14h-16h30
    La gauche et le problème de la reformulation de l’anti-impérialisme dans le contexte du capitalisme de crise : Echange avec Pierre Madelin (revue Terrestres – France)

    Et donc pour le dernier, qui peut intéresser aussi d’autres que pour la critique de la valeur :

    Depuis maintenant quelques décennies, beaucoup ont constaté à gauche la résurgence de formes dualistes d’internationalisme, poussant de nombreux mouvements ou personnalités dans le rôle de soutien assumé à des dictatures ou mouvements « réactionnaires » pseudo-anti-hégémoniques : l’Irak de Saddam Hussein, la Syrie de Bachar-al-Assad, la Russie de Poutine, l’islamistophilie d’une certaine gauche régressive à l’instar d’un François Burgat, le soutien de certains mouvements pro-palestiniens au Hamas, au Hezbollah et à l’Iran, etc. sans parler de la gauche Maduro/Chavez, de la géopolitique de Mélenchon ou des sorties du Monde Diplomatique et de son directeur de rédaction Serge Halimi.

    Alors que des années 1920 aux années 1970, de nombreux courants anti-impérialistes ont pu soutenir des mouvements anti-hégémoniques de libération ou d’indépendance en apparence progressistes, l’échec des modernisations de rattrapage dans les périphéries et le processus mondial de crise du capitalisme global à partir des années 1980 ont multiplié à n’en plus savoir que faire, les dictatures de modernisation ou les acteurs métapolitiques religionistes qui ne sont qu’un des visages de la barbarisation du capitalisme et d’un état d’exception de plus en plus permanent. Pour autant, dans le nouveau contexte du capitalisme de crise globale, la vieille grille anti-impérialiste de soutien à des Etats qui comportait encore une visée émancipatrice durant la conjoncture des années 1920-1970 a été transposée telle quelle, sans aucune révision de sa compréhension du monde contemporain, sur les pires des régimes de crise ou mouvements fondamentalistes de la période actuelle.

    Pour identifier ce problème persistant, la gauche révolutionnaire a alors parlé de « campisme » ou d’« anti-impérialisme des imbéciles » (Leila Al-Shami) afin de s’en démarquer. Moishe Postone a identifié dès les années 2000 ce problème colossal posé au camp de l’émancipation en évoquant le fait que « les progressistes ont été confrontés à une situation qu’ils auraient dû comprendre comme un dilemme : un conflit entre, d’un côté, une puissance impérialiste mondiale agressive et, de l’autre, un mouvement anti-mondialisation profondément réactionnaire, Al-Qaïda, ou un régime fasciste brutal, celui de Saddam Hussein » (Postone dans « Internationalisme et anti-impérialisme »). Il rajoutait : « il n’y a guère eu de tentatives de problématiser ce dilemme et d’analyser cette constellation de manière à formuler une critique à visée émancipatrice, ce qui semble être devenu extrêmement difficile dans le monde d’aujourd’hui. Pour cela, il aurait fallu développer un internationalisme en rupture avec le dualisme de la Guerre froide, un dualisme qui a trop souvent légitimé comme "anti-impérialistes" des États qui n’étaient pas plus émancipateurs que de nombreux régimes autoritaires et répressifs soutenus par le gouvernement américain. » Aujourd’hui, à gauche, nous sommes loin d’être sortis de ces modèles et attitudes politiques inadéquats et anachroniques.

    #Roswitha_Scholz #critique_de_la_valeur #wertkritik #valeur-dissociation #genre #sexe #capitalisme #Walter_Benjamin #Herbert_Böttcher #impérialisme #anti-impérialisme #campisme

    • La traduction de l’interview avec Roswitha Scholz est horrible cad à peine compréhensible. J’ai retrouvé le texte allemand dans diestandard.at (oui, c’est bien ca ;.) ) qui est très intéressant.

      https://www.derstandard.at/story/1295570613983/queer-hat-sich-ausgelebt

      Scholz: Es ist für mich problematisch, einen so komplexen Zusammenhang in drei Sätzen in einem Interview zusammenzufassen. Ich habe dazu ein ganzes Buch geschrieben. Zentral für mich ist die Geschlechter- problematik, modifiziert mit der Marxschen Theorie und der Kritischen Theorie – auch eine Wertkritik – in Bezug zu setzen. Das heißt, eine Totalitätsperspektive wieder in Augenschein zu nehmen. Wenn der Feminismus einen Beitrag zum Begriff der Krise bringen möchte, müsste viel mehr passieren als jetzt.

      dieStandard.at: Zum Beispiel?

      Scholz: Es müsste tatsächlich etwas Neues kommen. Dieser poststrukturalistische Feminismus oder auch dieses Queer, hat sich im Grunde überlebt. Es müsste da sowohl über den 70er, 80er Jahre Feminismus als auch über die Queer- und Gender-Geschichte hinaus was Neues kommen. Ich versuche da meinen Beitrag zu leisten.

      Bref : il ne faut pas tomber dans le piège des simplifications mais passer à une analyse aprofondie digne de ce nom.

      #marxisme #féminisme

  • Tomates au four
    https://www.cuisine-libre.org/tomates-au-four

    Coupez les tomates en rondelles dans un plat allant au four. Ajouter l’ail coupé en petits morceaux, des #Herbes_de Provence, saler et poivrer. Badigeonner de moutarde à l’ancienne. Recouvrir de fromage râpé. Mettre au #Four à 200°C pendant 30 minutes environ. #Légumes_rôtis, #Tomate_fraiche, Herbes de Provence / #Végétarien, #Sans viande, #Sans œuf, #Sans gluten, Four

  • #Scones irlandais aux #Herbes
    https://www.cuisine-libre.org/scones-irlandais-aux-herbes

    Cuire les pommes de terre. Pendant ce temps, laver et hacher les herbes. Réduire les pommes de terre en purée. Ajouter la farine, le sel, l’huile et les herbes hachées. Mélanger jusqu’à former une pâte homogène. Sur une table farinée, étaler la pâte et l’abaisser en un disque de 3 à 5 mm d’épaisseur. Découper des parts triangulaires de 7 à 10 cm de large. Frire à la poêle dans l’huile bouillante, des deux côtés, jusqu’à ce que chaque côté soit… Herbes, #Röstis_et galettes, Scones, #Banniques, #Cuisine_irlandaise, #PdT_à chair_farineuse / #Végétarien, #Sans œuf, Végétalien (vegan), #Sans lactose, #Sans viande, #Friture

    #Végétalien_vegan_

  • Promifriedhöfe in Ost-Berlin: Spaziergang mal anders
    https://www.berliner-zeitung.de/ratgeber/spaziergang-mal-anders-promifriedhoefe-in-ostberlin-li.239911

    Ganz besonders wenn es draußen heiß und stickig ist, die Stadt laut und hektisch, freut man sich über ein ruhiges, schattiges Plätzchen. Viele Berlinerinnen und Berliner haben Friedhofs-Spaziergänge für sich entdeckt, werdende Eltern auf Namenssuche spazieren an Gräbern vorbei und hoffen auf Inspiration, andere genießen einfach nur die Abgeschiedenheit, erfreuen sich an der Natur.

    Pietätlos? Keine Spur. Friedhöfe sind öffentliche Orte, genau wie Parks – mit dem Unterschied, dass man die Totenruhe respektieren, sich angemessen verhalten sollte. Selbst die berlineigene Veranstaltungstipps- und Informations-Website visitberlin.de hat einen großen Artikel mit schönen Berliner Friedhöfen veröffentlicht.

    Nun kennt natürlich jeder den Waldfriedhof Zehlendorf, wo unter anderem Schauspielerin Hildegard Knef, Box-Legende Bubi Scholz, Berlins ehemalige Bürgermeister Ernst Reuter, Otto Suhr und Willy Brandt begraben liegen, ebenso der TV-Star Günter Pfitzmann sowie Theatermacher Erwin Piscator. Und der Friedhof St. Matthäus ist Pilgerstätte für alle Fans von Sänger Rio Reiser, der hier in Schöneberg seine letzte Ruhe fand.

    Aber auch im Osten Berlins gibt es Friedhöfe, auf denen die Gräber von Promis und Persönlichkeiten zu besichtigen sind. Welche das sind, verraten wir Ihnen hier.
    Mitte: Dorotheenstädtischer Friedhof

    Kein Ost-Berliner, der diesen Friedhof nicht kennen würde: Der Eingang ein bisschen unscheinbar, fast schon abweisend, von der Chausseestraße aus gesehen vollkommen unspektakulär. Aber sobald man den Friedhof betritt, spürt man eine ganz besondere Atmosphäre. „Im Dorotheenstädtischen Friedhof lesen sich die Grabsteine und Gedenktafeln wie das ‚Who is Who‘ der geistigen Elite Deutschlands“, heißt es auf visitberlin.de sehr treffend.

    Gegründet wurde der Friedhof bereits 1762 und zunächst wurden hier einfache Bürgerinnen und Bürger bestattet. „Da aber Einrichtungen wie die Akademie der Künste, die Singakademie, die Akademie der Wissenschaften, die Bauakademie und die Universität Unter den Linden auf dem Gelände der Kirchengemeinde der Dorotheenstädtische Kirche liegen, verändert sich nach und nach die soziale Zusammensetzung und Belegung auf dem Friedhof“, so visitberlin.de.

    Vor allem zu DDR-Zeiten wurden hier namhafte Berühmtheiten beerdigt. Beim Spaziergang entlang von üppigen Grabdenkmälern und uralten Bäumen, vorbei an verwunschenen Ecken und über schmale Pfade entdeckt man einen großen, mit Berlin verbundenen Namen nach dem anderen: die Theater-Legenden Bertolt Brecht und Helene Weigel, Künstler Hanns Eisler, die Schriftstellerinnen Anna Seghers und Christa Wolf, die Philosophen Georg Wilhelm Friedrich Hegel und Johann Gottlieb Fichte, Schriftsteller und Regisseur Heiner Müller, die Architekten Karl Friedrich Schinkel und Friedrich August Stüler.

    Ebenso auf dem Dorotheenstädtischen Friedhof: die Grabstätte der Industriellenfamilie Borsig, die Schriftsteller Heinrich Mann, Johannes R. Becher und Arnold Zweig sowie Ernst Theodor Litfaß, der eigentlich Druckereibesitzer war, aber durch die Erfindung der nach ihm benannten Litfaßsäule in die Geschichte einging. Auch der 2013 verstorbene Otto Sander, Stiefvater von Meret und Ben Becker, liegt hier begraben. Und der frühere Bundespräsident Johannes Rau hat hier ein Ehrengrab bekommen.

    Auf dem Gelände des Dorotheenstädtischen ist auch der Französische Friedhof beheimatet, auf dem die beliebte und 2006 im Alter von nur 59 Jahren verstorbene Schauspielerin Jenny Gröllmann beerdigt wurde.

    Der Dorotheenstädtische Friedhof ist immer ab 8 Uhr geöffnet. Schließzeiten sind wie folgt: Januar/Dezember 16 Uhr, Februar/November 17 Uhr, März/Oktober 18 Uhr, April/September 19 Uhr, Mai bis August 20 Uhr.

    Die Adresse lautet #Chausseestraße 126, 10115 Berlin. Von der Haltestelle Naturkundemuseum (U6, Tram 12, M5, M8, M10) sind es nur wenige Minuten zu Fuß.

    Weißensee: Jüdischer Friedhof

    So viele wunderschöne, beeindruckende Grabstätten! Wer den Jüdischen Friedhof Weißensee betritt, ist schnell sprachlos, aus zweierlei Gründen: zunächst angesichts solch monumentaler Begräbnisorte, dann aber auch wegen des teilweise beklagenswerten Zustandes einiger Gräberstelen und -platten. Das ändert aber nichts daran, dass man mit Ehrfurcht über diesen Friedhof spaziert. Und vielleicht macht genau das seinen Charme aus.

    Im 19. Jahrhundert war die jüdische Gemeinde Berlins mit rund 65.000 Gläubigen sehr groß (Bevölkerungszahl gesamt Berlin: circa 500.000). Zu groß, als dass der Friedhof an der Schönhauser Allee gereicht hätte. Darum kaufte man 1875 das 40 Hektar große Gelände an der damaligen #Lothringenstraße in #Weißensee, das 1880 schließlich eingeweiht wurde. Es war der vierte jüdische Friedhof in Berlin.

    „Der Jüdische Friedhof in Weißensee spiegelt in besonderer Weise die Geschichte der Juden in Deutschland wider. Diese suchten einerseits gesellschaftliche Anerkennung und mühten sich andererseits, ihre Traditionen zu bewahren. Auf traditionellen jüdischen Friedhöfen wird die Gleichheit der Menschen im Tode durch gleich hohe, schmucklose Grabsteine symbolisiert. Die einfachen Steine bewirken mit ihrer beruhigenden Monotonie eine schlichte Monumentalität als Gesamteindruck“, steht auf der Website des Fördervereins Jüdischer Friedhof Berlin-Weißensee.

    Und: „Weiterhin ist die Grabstätte im jüdischen Glauben unantastbar und wird folglich nicht neu belegt. Auf dem Friedhof in Weißensee besteht ebenfalls ewiges Ruherecht, aber in der Gestaltung der Grabstätten übernehmen die sich assimilierenden Juden die zu Wilhelminischen Zeiten auf deutschen Friedhöfen übliche, überladene Gestaltung. Traditionelle schlichte Grabsteine stehen neben prachtvollen Grabstätten aus geschliffenem und poliertem Stein.“

    Es ist also ein kulturhistorisch spannender Rundgang, der einen erwartet. Heute befindet sich am Eingang des Friedhofs zudem ein Rondell, das an die Millionen Jüdinnen und Juden erinnern soll, die im Holocaust ermordet wurden.

    Zu den Prominenten, die auf dem Jüdischen Friedhof ihre letzte Ruhe fanden, gehören der Publizist und Sozialpolitiker Max Hirsch, der Maler Lesser Ury, die Verleger Samuel Fischer und Rudolf Mosse, aber auch der hebräische Schriftsteller Micha Josef Bin Gorion. Darüber hinaus der Journalist Theodor Wolff, der Schriftsteller Stefan Heym, KaDeWe-Gründer Adolf Jandorf, Zigarettenfabrikant Josef Garbaty-Rosenthal (den kennen vor allem Pankower), Warenhausbesitzer Herrmann Tietz sowie Brauereibesitzer Oswald Berliner.

    Der Jüdische Friedhof #Weißensee ist von April bis September montags bis freitags ab 7.30 Uhr geöffnet, donnerstags ist ab 17 Uhr und freitags bereits ab 14.30 Uhr geschlossen. Sonntags ist von 8 bis 17 Uhr geöffnet. In der Zeit von Oktober bis März sind die Öffnungszeiten wie folgt: montags bis donnerstags von 7.30 Uhr bis 16 Uhr, freitags 7.30 Uhr bis 14.30 Uhr uns donnerstags von 8 bis 16 Uhr.

    Die Adresse lautet #Herbert-Baum-Straße 45, 13088 Berlin. Zu erreichen ist der Friedhof von der Haltestelle Weißer See (Tram 12, M4, M13, Bus 255) aus binnen weniger Minuten.

    Hinweis: An Schabbat, also samstags, sowie an jüdischen Feiertagen ist der Friedhof geschlossen. Männliche Besucher müssen eine Kopfbedeckung tragen. Am Eingang im Blumenladen kann man sich eine Kippa leihen.

    Lichtenberg: Zentralfriedhof Friedrichsfelde

    Einmal im Jahr ist der Zentralfriedhof Friedrichsfelde in den Schlagzeilen: Und zwar immer Mitte Januar, wenn der Ermordung #Rosa-Luxemburgs und #Karl_Liebknechts gedacht wird und unzählige Menschen, allen voran Linke-Politikerinnen und -Politiker, zum Friedhof pilgern, um Blumen (hauptsächlich rote Nelken) an deren Gräbern abzulegen. Die beiden Kommunistenführer und Politiker wurden am 15. Januar 1919 von Freikorps-Soldaten erschossen.

    Auch Liebknechts Vater Wilhelm, seines Zeichens Sozialdemokrat, ist hier beerdigt worden. Aufgrund der alljährlichen Aufmerksamkeit im Januar wird der Friedhof auch Sozialisten-Friedhof genannt (und so lautet übrigens auch die Web-Adresse!); die Tradition des Blumenniederlegens gab es schon zu DDR-Zeiten, es war ein wahrer Staatsakt.

    Aber auch andere große Namen sind auf dem Zentralfriedhof zu finden, wie etwa die der Schriftsteller Erich Weinert, Friedrich Wolf und Willi Bredel. Zudem liegt die Schriftstellerin Käthe Kollwitz hier begraben und der Filmregisseur Konrad Wolf. Unweit der Feierhalle, rechts vom Hauptweg, finden Sie außerdem das Grab des Astronomen Friedrich Archenhold, Namensgeber und Begründer der Sternwarte in #Treptow.

    Der Zentralfriedhof #Friedrichsfelde ist von Februar bis November täglich von 7.30 Uhr bis zur Dämmerung sowie in der Zeit von Dezember bis Januar ab 8 Uhr bis zur Dämmerung geöffnet.

    Die Adresse lautet #Gudrunstraße 33, 10365 Berlin. Zu erreichen ist der Zentralfriedhof gut vom U- und S-Bahnhof #Lichtenberg (U5, S5, S7, S75) oder vom S-Bahnhof Friedrichsfelde-Ost (S5, S7, S75) aus. Sie brauchen je nach Schrittgeschwindigkeit zehn bis 15 Minuten.

    Und wo liegen andere berühmte Menschen begraben?

    Nicht jeder Friedhof bietet eine hohe Promidichte. Aber für manch einen Namen lohnt sich auch eine Reise auf einen sonst eher normalen Friedhof, beispielsweise für Theodor Fontane. Der in Neuruppin geborene Dichter starb 1898 hier in Berlin, und wurde in der Domgemeinde St. Hedwig in Mitte (Liesenstr. 8) beigesetzt. Ganz in seiner Nähe ist der Hotelier Lorenz Adlon begraben.

    Auf dem Waldkirchhof# Mahlsdorf (#Rahnsdorfer_Straße 30) liegt Charlotte von Mahlsdorf, Schriftstellerin und Gründerin des nach ihr benannten Gründerzeitmuseums. Carl Mampe, der Spirituosen-Erbe und Sohn des „Mampe bittere Tropfen“-Erfinders, wiederum ruht auf dem Friedhof der Sophiengemeinde in Mitte (Bergstr. 29).

    Gruftkirche des Berliner Doms

    P.S.: Falls Sie royale Grabstätten bestaunen wollen, müssen Sie in die Gruftkirche des Berliner Doms gehen (Karl-Liebknecht-Str./Lustgarten; direkt an der Museumsinsel). Zwar kein Friedhof, aber auch schattig und kühl. Die Fürstengruft des Geschlechts der Hohenzollern ist eine der bedeutendsten sogenannten Grablegen Europas und beeindruckt mit Prunksarkophagen aus den zurückliegenden Jahrhunderten. Hier liegt unter anderem König Friedrich I. von Preußen sowie Königin Sophie Charlotte. Seit dem 1. März 2020 ist die Gruft für drei Jahre wegen dringend notwendiger Sanierungen geschlossen.

    #Berlin #Tourismus #Geschichte

  • Comment #Julius_Maggi a conquis les cuisines

    Arôme liquide, cubes de #bouillon ou soupes en poudre : la marque Maggi est une success story qui a débuté il y a plus de 150 ans dans le canton de Zurich. L’aromate a révolutionné les habitudes culinaires dans le monde entier.

    Quand, en 1869, Julius Maggi, alors âgé de 23 ans, reprend la minoterie de son père à Kemptthal, dans le canton de Zurich, la branche de la meunerie est en crise. Avec l’#industrialisation, les bateaux à vapeur et les chemins de fer, de plus en plus de céréales étrangères bon marché arrivent en Suisse. Julius Maggi doit imaginer quelque chose de neuf.


    Il invente d’abord la « #Leguminose » : une #farine_de_soupe à base de légumineuses riches en protéines, censée améliorer l’#alimentation du peuple et offrir des repas nourrissants aux ouvriers. Ces nouvelles « #soupes_artificielles » trouvent cependant peu d’écho auprès du public cible. Pour l’heure, les classes inférieures en restent aux patates et à la chicorée. La bourgeoisie, quant à elle, boude ce fade repas de pauvres au drôle de nom.

    La percée a lieu en 1886, avec l’invention d’un #extrait_de_bouillon qui deviendra célèbre dans le monde entier sous le nom d’#Arôme_Maggi. Grâce à cet #arôme au goût de viande mais à base végétale, les soupes se vendent aussi nettement mieux. Julius Maggi n’est pas seulement un inventeur passionné : « Il comprend en outre l’importance du #marketing », souligne l’historienne Annatina Tam-Seifert, qui a étudié les débuts de l’industrie alimentaire suisse. « Comme on ne peut ni toucher, ni sentir les produits finis, l’emballage joue un rôle essentiel dans leur diffusion. » Julius Maggi est un pionnier à cet égard. Il conçoit lui-même la bouteille de l’arôme liquide avec son étiquette jaune et rouge. Un design qui n’a pas beaucoup changé depuis.

    Un poète chargé de la #publicité

    Julius Maggi est l’un des premiers à créer un service de publicité et à utiliser de nouveaux formats – affiches, pancartes, systèmes de cumul de points avec primes à la clé, images à collectionner ou dégustations. Au début, le chef d’entreprise rédige lui-même les textes des réclames. À la fin de l’année 1886, il engage pour ce faire le poète #Frank_Wedekind, alors encore inconnu. Celui-ci crée les rimes qu’on lui demande, par exemple : Das wissen selbst die Kinderlein : Mit Würze wird die Suppe fein. Darum holt das Gretchen munter, die Maggi-Flasche runter [Même les enfants le savent : grâce à l’Arôme, la soupe est bonne. Gretchen, ainsi, n’hésite pas, à tenir la bouteille Maggi la tête en bas.] Mais le jeune poète salarié démissionne après huit mois, car il a l’impression « de s’être vendu corps et âme », comme il l’écrit dans une lettre à sa mère. Les manuscrits originaux des textes publicitaires Maggi rédigés par Frank Wedekind sont aujourd’hui conservés à la bibliothèque cantonale d’Argovie.

    À l’époque déjà, des « influenceurs » participent à la publicité : bientôt, des recettes de cuisine recommandent l’Arôme Maggi pour épicer les plats, notamment celles de l’icône allemande des livres de cuisine, Henriette Davidis. La recette de l’Arôme, elle, reste un secret bien gardé jusqu’à ce jour. Ses ingrédients de base sont des protéines végétales, de l’eau, du sel et du sucre, plus des arômes et de l’extrait de levure. Il ne contient pas de livèche, que beaucoup associent pourtant à son goût. Au point que cette herbe aromatique est communément appelée « #herbe_à_Maggi ».

    Maggi inspire aussi les artistes : ainsi, Joseph Beuys utilise la bouteille d’arôme liquide en 1972 dans son œuvre « Ich kenne kein Weekend » [Je ne connais pas de week-end]. Pablo Picasso immortalise quant à lui le cube de bouillon iconique en 1912 dans son tableau « Paysage aux affiches ». Maggi commercialise ce cube en 1908, qui devient lui aussi un best-seller mondial.

    Le plus grand propriétaire foncier

    Julius Maggi doit convaincre non seulement les consommatrices des atouts de ses produits finis, mais aussi les paysans, fournisseurs des matières premières. « Il a de la peine à trouver assez de légumes pour ses produits dans la région », raconte l’historienne. Les paysans doivent d’abord se faire aux nouvelles méthodes mécanisées de culture, et ils sont sceptiques vis-à-vis de l’industrie alimentaire. Finalement, Julius Maggi prend lui-même en main la culture des matières premières.

    Il achète du terrain à de petits agriculteurs, en leur offrant souvent un emploi au sein de la ville-usine de #Kemptthal, qui s’agrandit rapidement. Riche de plus de 400 hectares de surface agricole, Julius Maggi est même, au début du XXe siècle, le plus grand propriétaire foncier privé de Suisse. En même temps, il ouvre des usines et des réseaux de distribution en Allemagne, en Autriche, en Italie et en France.

    Julius Maggi meurt en 1912, à 66 ans. Après sa mort, l’entreprise devient une holding, avec des filiales dans différents pays. Pendant la Seconde Guerre mondiale, sa filiale allemande est le plus grand producteur de produits alimentaires du Reich et un fournisseur majeur de l’armée d’Hitler. L’usine de Singen, « entreprise modèle national-socialiste », emploie également des travailleurs forcés.

    Depuis 1947, Maggi appartient au groupe alimentaire #Nestlé. L’Arôme Maggi s’exporte dans 21 pays du monde. Des sites de production ont même été créés en Chine, en Pologne, au Cameroun, en Côte d’Ivoire et au Mexique.

    https://www.swisscommunity.org/fr/nouvelles-et-medias/revue-suisse/article/comment-julius-maggi-a-conquis-les-cuisines

    #Maggi #cuisine (well...) #mondialisation #globalisation

  • Arboulastre (omelette verte)
    https://www.cuisine-libre.org/arboulastre-omelette-aromatique

    Omelette médiévale verte, aromatique, aux fines #Herbes. Rincez vos herbes à l’eau froide puis égouttez-les bien avant de les ciseler finement. Broyez le gingembre au mortier en incorporant les herbes progressivement. Ajoutez les œufs battus et mélangez. Le mélange prend une belle couleur verte. Séparez en deux parts égales, pour cuire deux omelettes. Beurrez et chauffez votre poêle à feu vif. Lorsqu’elle est bien chaude, versez la première moitié d’œufs battus et tournez avec une spatule en bois.…

    #Œufs, Herbes, #Omelettes_et tortillas / #Sans viande, #Sans gluten

  • 20210323 :: : Patience et résilience...
    https://www.flickr.com/photos/valkphotos/51066134416

    Flickr

    ValK. a posté une photo :
    Aujourd’hui personne n’a tué Remi Fraisse.
    Aujourd’hui des gens que j’aime se sont pris une lourde opération militaire dans la tronche pour avoir défendu la Terre.
    Aujourd’hui d’autres gens que j’aime passent en procès pour avoir défendu la Nature.
    Aujourd’hui d’autres gens que j’aime sans même les connaître passent en procès pour avoir manifesté le droit d’accéder aux transports... et resteront en bas des marches du Palais.
    Aujourd’hui je sais que nous sommes de plus en plus nombreux-ses à résister aux profitueurs et les procès le prouveront 💚
    Nantes, le 23 mars 2021.
    .
    ♧ série Resilience : frama.link/valk-resilience
    ¤ autres photos : frama.link/valk
    ¿ infos : twitter.com/valkphotos
    ○ audios : frama.link/karacole
    ☆ oripeaux : frama.link/kolavalk
    ♤ me soutenir : liberapay.com/ValK
    .
    #résilience #resilience #resiliencia
    #pousse #sprout #brote
    #herbe #grass #hierba
    #plante #plant #planta
    #syncrétisme #syncretism #sincretismo

  • Pousser avec détermination. Se nourrir de chaque rayon. Occuper chaque brèche. #Resilience :green_heart :
    https://www.flickr.com/photos/valkphotos/50576242361

    Flickr

    ValK. a posté une photo :

    [#LesPetitesPhotos] . #graine #seed #semilla #germe #germ #germen #herbe #grass #hierba #jardin #garden #jardín #soleil #sun #sol #nature #naturaleza #automne #autumn #fall #otoño #confinement #confinamiento . ☆ autres photos : frama.link/valk ☆ serie Resilience : frama.link/valk-resilience ☆ infos / audios : frama.link/karacole ☆ oripeaux : frama.link/kolavalk ☆ me soutenir : liberapay.com/ValK

  • The World Geo-Graphical Atlas

    http://www.codex99.com/design/the-world-geographical-atlas.html

    #Herbert_Bayer (5 Apr 1900 – 30 Sep 1985) began his career studying archirecture under Georg Schmidthammer and later painting at the Darmstadt Artists’ Colony. Inspired by Walter Gropius’ Bauhaus manifesto, he enrolled in the Weimar Bauhaus and studied painting under Wassily Kandinsky, Paul Klee and László Moholy-Nagy. After passing his journeymans exam Gropius appointed him as the junior master of the newly-created typography workshop. Bayer spent three years on faculity at Dessau before starting his own design firm in Berlin.1

    Bayer was among the last of the Bauhaus faculty to emigrate from Germany, leaving for New York only after his work was singled out by the Nazis in their infamous 1937 Degenerate Art Exhibition.

    #atlas #cartographie #géographie #otto_neurath #isotype

  • Maudits gazons - Le Monolecte
    https://blog.monolecte.fr/2019/06/30/maudits-gazons

    Je ne crois pas qu’il existe quelque chose de plus stupide qu’une tondeuse à gazon. En dehors d’une piscine individuelle. Ou d’une voiture (encore que…). Le genre d’engin qui coute un bras à l’achat, qui ne sert à rien 99 % du temps, qui ne t’apporte aucun plaisir à l’usage et qui est prévu pour te pourrir la vie jusqu’à te claquer dans les pattes de la manière la plus contrariante possible.

  • Cervelle de canut
    https://cuisine-libre.fr/cervelle-de-canut

    Faisselle aux #Herbes, typique de la cuisine lyonnaise. Démouler le #Fromage_blanc dans un saladier. Effeuiller toutes les fines herbes et les mélanger. Les ciseler finement (mais ne pas les passer au mixer). Peler et hacher la gousse d’ail et les échalotes. Verser le vinaigre sur le fromage blanc, mélanger, saler et poivrer, puis incorporer l’huile en battant la préparation. Ajouter l’ail, l’échalote et les fines herbes. Goûter et rectifier l’assaisonnement. Mettre au frais 1 heure au moins avant de …

    Herbes, #Estragon, #Cerfeuil, Fromage blanc, #Tartinades / #Végétarien, #Sans_œuf, #Sans_gluten, #Sans_viande, (...)

    #Marinade/Saumure

  • L’#Autriche et le #Danemark présentent leur projet de #centre_de_déportation pour demandeurs d’asile #déboutés

    La semaine dernière, le Danemark et l’Autriche ont présenté conjointement à Vienne un projet pour réformer le système de l’asile au sein de l’Union européenne. Ce projet prévoit d’établir un centre de déportation basé hors de l’UE pour les demandeurs d’asile refoulés.

    La ministre danoise de la migration, #Inge_Støjberg, s’était rendue à Vienne jeudi, où elle a rencontré le ministre de l’Intérieur autrichien, #Herbert_Kickl, membre du parti d’extrême droite autrichien, le FPÖ.

    Støjberg est membre du parti libéral du Danemark (Venstre), et depuis juin 2015, elle occupe le poste de ministre de l’Immigration et de l’Intégration dans le gouvernement du Premier ministre Lars Løkke Rasmussen.

    Un projet qui n’est pas nouveau

    Leur projet vise à fournir un hébergement aux réfugiés déboutés du droit d’asile plus proche de leur pays d’origine, tout en perturbant les activités des activités de trafiquants.

    La création de centres d’accueil hors de l’Europe, des “#plate-formes_de_retour”, pour accueillir les migrants déboutés du droit d’asile en Europe, en attendant leur retour dans leur pays d’origine, est une idée chère à M. Kickl. Elle avait déjà été proposée cet été, mais jusqu’à présent, aucun pays situé hors de l’UE n’a accepté de se porter candidat pour ouvrir de tels centres sur son territoire. L’#Egypte, le #Maroc, la #Tunisie, l’#Algérie, l’#Albanie, et la #Macédoine ont tous décliné l’invitation jusqu’ici.

    Quant à Mme Støjberg, l’année dernière, elle envisageait d’adopter un projet de l’extrême-droite danoise consistant à exiler les demandeurs d’asile déboutés par son pays sur une ou plusieurs des 300 îles inhabitées au large de la côte danoise.

    Un centre d’accueil hors de l’UE pour décourager les migrants d’entreprendre le voyage

    « Nous maintenons que [les réfugiés] devraient réclamer le droit d’asile dans le premier pays où ils arrivent, plutôt qu’on leur permette de voyager dans toute l’Europe », a affirmé Mme Støjberg. « De notre côté, nous nous engageons à augmenter les capacités d’accueil [des pays voisins des zones de conflit pour gérer les arrivées de demandeurs d’asile]. Cela peut signifier des choses telles que les soins de santé, l’éducation, les gardes-frontières, et un système pour gérer les demandeurs d’asile », a-t-elle ajouté.

    Selon la ministre danoise, un centre d’accueil situé hors de l’UE réduirait la tentation des migrants de se rendre en Europe pour y trouver l’asile. « Si vous pouvez voir à quelle vitesse vous pouvez être renvoyé, il n’y a plus de raison de dépenser votre argent et de risquer votre vie pour vous rendre là-bas », a-t-elle dit.

    Selon elle, le projet respecte les conventions de l’Union européenne en matière de droit des réfugiés, et elle a exhorté les autres pays membres à soutenir le projet.

    Des contours encore très flous

    Néanmoins, le site choisi et le calendrier pour l’ouverture de ce centre n’ont pas été révélés. M. Kickl s’est montré optimiste quant aux perspectives d’aboutissement ce projet, mais n’a pas voulu donner plus de détails.

    Reste à savoir si ce projet sera accepté par les collègues européens de Mme Støjberg et M. Kickl. L’idée de la création de centres de déportation hors de l’UE avait déjà été évoquée cet été, notamment lors d’une réunion des ministres de l’Intérieur des pays membres de l’UE à Innsbruck en Autriche au mois de juillet, et n’avait pas été bien accueillie par un certain nombre d’officiels européens.

    https://fr.express.live/2018/10/09/lautriche-et-le-danemark-presentent-leur-projet-de-centre-de-deportatio

    #centre_d'expulsion #expulsions #renvois #asile #migrations #réfugiés #externalisation #UE #EU #île #îles #plate-forme_de_retour

    • Les Danois veulent loger les demandeurs d’asile déboutés sur une #île_déserte

      La ministre danoise de l’Immigration Inger Støjberg (photo) songe à adopter un projet de l’extrême-droite, qui consisterait à exiler les demandeurs d’asile déboutés sur une ou plusieurs des 300 îles inhabitées au large de la côte danoise. À l’heure actuelle, près d’un millier de demandeurs d’asile déboutés au Danemark attendent leur expulsion.

      Støjberg est membre du parti libéral du Danemark (Venstre), et depuis juin 2015, elle occupe le poste de ministre de l’Immigration et de l’Intégration dans le gouvernement du Premier ministre Lars Løkke Rasmussen.

      « Je suis toujours prête à écouter les bonnes idées pour le suivi des demandeurs d’asile », dit-elle dans le journal Berlingske.

      La proposition d’exil des demandeurs d’asile déboutés vient du parti populiste d’extrême droite danois « parti du peuple danois » (Dansk Folkeparti, ou DF). Ce parti soutient la coalition au gouvernement, mais n’en fait pas partie.

      Pourtant, selon Støjberg, le projet est intéressant mais pas immédiatement réalisable. « Il pourrait y avoir des obstacles pratiques et juridiques pour établir un centre de déportation dans un endroit très isolé, et ce sont des choses qu’il faut prendre en compte », a-t-elle déclaré.
      Dansk Folkeparti : loger les demandeurs d’asile déboutés « dans des containers, ou des tentes »
      La plupart des demandeurs d’asile déboutés résident actuellement dans une ancienne #prison d’état dans le centre du pays. Mais les résidents locaux se sont plaints de vols à l’étalage et affirment qu’ils ne se sentent pas en #sécurité en raison de la présence de ces migrants à proximité.

      Selon le DF, le coût ne devrait pas être un obstacle. « Peut-être que nous pouvons trouver une île sur laquelle il y a déjà des constructions, mais sinon, le centre pourrait être établi à partir de n’importe quoi : de #containers dans lesquels les gens pourraient vivre, ou de #tentes ». C’est ce qu’a déclaré le porte-parole du parti, Martin Henriksen.

      Le DF est très attaché à la politique d’asile du gouvernement. L’année dernière, il a suggéré la possibilité que la police impose une #assignation_à_résidence aux demandeurs d’asile mineurs qui se seraient mal comportés.

      Cette proposition faisait suite à la mise en cause que 5 garçons âgés d’entre 14 et 17 ans du centre d’asile de #Tullebølle. Ils avaient été accusés d’#agressions_sexuelles et de #viol commis sur des visiteuses du festival Langeland, sur l’île de Funen.

      https://fr.express.live/2017/12/08/danemark-demandeurs-dasile-deboutes-exil

      #géographie_du_vide #géographie_du_plein

    • Denmark Plans to Isolate Unwanted Migrants on a Small Island

      Denmark plans to house the country’s most unwelcome foreigners in a most unwelcoming place: a tiny, hard-to-reach island that now holds the laboratories, stables and crematory of a center for researching contagious animal diseases.

      As if to make the message clearer, one of the two ferries that serve the island is called the Virus.

      “They are unwanted in Denmark, and they will feel that,” the immigration minister, Inger Stojberg, wrote on Facebook.

      On Friday, the center-right government and the right-wing Danish People’s Party announced an agreement to house as many as 100 people on #Lindholm_Island — foreigners who have been convicted of crimes and rejected asylum seekers who cannot be returned to their home countries.

      The 17-acre island, in an inlet of the Baltic Sea, lies about two miles from the nearest shore, and ferry service is infrequent. Foreigners will be required to report at the island center daily, and face imprisonment if they do not.

      “We’re going to minimize the number of ferry departures as much as at all possible,” Martin Henriksen, a spokesman for the Danish People’s Party on immigration, told TV 2. “We’re going to make it as cumbersome and expensive as possible.”

      The deal allocates about $115 million over four years for immigrant facilities on the island, which are scheduled to open in 2021.

      The finance minister, Kristian Jensen, who led the negotiations, said the island was not a prison, but added that anyone placed there would have to sleep there.

      Louise Holck, deputy executive director of The Danish Institute for Human Rights, said her organization would watch the situation “very closely” for possible violations of Denmark’s international obligations.

      The agreement was reached as part of the annual budget negotiations. Each year, the Danish People’s Party demands restrictions on immigrants or refugees in return for its votes on a budget.

      In Denmark, as in much of Europe, the surge in migration from the Middle East and Africa in 2015 and 2016 prompted a populist, nativist backlash.

      The government has vowed to push immigration law to the limits of international conventions on human rights.

      Legal experts said it was too early to tell whether the Lindholm Island project would cross those boundaries, constituting illegal confinement. They said it resembled an Italian government project that was struck down in 1980 by the European Court of Human Rights.

      The Lindholm Island plan furthers the government’s policy of motivating failed asylum seekers to leave the country by making their lives intolerable.

      Asylum seekers with criminal records are not allowed to work in Denmark. Rejected asylum seekers who cannot be deported are given accommodations, where they cannot prepare their own meals, food and an allowance of about $1.20 per day, which is withheld if they fail to cooperate with the authorities.

      A former immigration minister, Birthe Ronn Hornbech, called the island project “a joke” and a blunder comparable to a soccer player scoring a goal for the opposing team.

      “Nothing will become of this proposal,” she wrote in her newspaper column.

      Many foreigners who have been denied asylum cannot be deported to their home countries for fear of abuse or persecution, or simply because those countries refuse to take them back.

      Hundreds lingering in two deportation centers refuse to leave — a challenge for a government that has promised to get rid of those who have no legal right to remain in Denmark.

      Some have held out for more than a decade despite a steady deterioration in living conditions. An independent study by a former prison director now working for the rights group Helsinki Citizens’ Assembly found conditions in one of the deportation centers to be comparable to those in some prisons, or worse.

      Prime Minister Lars Lokke Rasmussen said last month that the government’s aim in receiving refugees would no longer be to integrate them, but to host them until they can return to their countries of origin.

      “It’s not easy to ask families to go home, if they’ve actually settled,” he told a meeting of his party. “But it is the morally right thing. We should not make refugees immigrants.”

      This summer, a ban on face coverings was introduced and quickly nicknamed “the burqa ban” as it followed a debate on the Islamic garment seen by some as “un-Danish.” This month, Parliament is expected to pass legislation requiring immigrants who want to obtain citizenship to shake hands with officials as part of the naturalization ceremony — though some Muslims insist that they cannot shake hands with someone of the opposite sex.

      The government contends that hand shakes are “a basic Danish value.”


      https://www.nytimes.com/2018/12/03/world/europe/denmark-migrants-island.html
      #Lindholm #mer_Baltique

    • La Danimarca confinerà i migranti su un’isola con gli animali infetti. Così l’Europa muore.

      C’è del marcio in Danimarca. Senza scomodare Amleto e i rimandi shakespeariani, bisogna constatare l’ennesima trovata discriminatoria quanto disumana di un Paese del “civile e ordinato” Nord Europa. Le normative internazionali non consentono l’espulsione di alcuni richiedenti asilo: secondo l’articolo 33 della Convenzione di Ginevra: “Nessuno Stato Contraente espellerà o respingerà, in qualsiasi modo, un rifugiato verso i confini di territori in cui la sua vita o la sua libertà sarebbero minacciate a motivo della sua razza, della sua religione, della sua cittadinanza, della sua appartenenza a un gruppo sociale o delle sue opinioni politiche”. Tali leggi non si possono ignorare, ma evidentemente si possono aggirare. Dunque il governo danese ha pensato bene non di espellere questi immigrati, ma di relegarli su un’isola-prigione.

      Per la precisione si tratta dell’isola di Lindholm, con una superficie di sette ettari. Pressoché deserta, viene usata esclusivamente come luogo per ricerche veterinarie, e vi soggiornano diversi medici che studiano la peste suina e la rabbia canina. Adesso cani e maiali dovranno cedere il posto agli immigrati, che qualcuno, vista la deriva che sta prendendo il pianeta sotto il profilo dei diritti umani, sembra non considerare tanto dissimili.

      L’idea scellerata è della coalizione di governo che comprende i Conservatori e il Dansk Folkeparti. Quest’ultimo, il Partito popolare danese, è noto per la perenne caccia all’immigrato, tanto veemente da far sembrare Matteo Salvini un misto tra Nicola Fratoianni e il Papa. Sull’isola verrà costruito, entro il 2021, un centro di espulsione dove i migranti – un massimo di 125 persone, che hanno compiuto un reato e ai quali è stata rifiutata la richiesta d’asilo – saranno costantemente sorvegliati dalla polizia. Potranno lasciare l’isola solo dopo aver ottenuto permessi speciali, per qualche ora durante la giornata, ma con l’obbligo di tornarvi la sera. E il biglietto del traghetto dovranno pagarselo da soli, a un prezzo inaccessibile per la loro condizione economica. D’altronde, il governo non ha alcuna intenzione di ammorbidire il loro soggiorno, e lo scopo è proprio quello di non permettere loro di lasciare l’isola-prigione. Di tutti i modi escogitati per camuffare una detenzione, questo pare di certo il meno credibile.

      Suonano paradossali anche le precisazioni della sezione danese di Amnesty International, che spiega come la misura riguarderà i soli richiedenti asilo con precedenti penali. Quindi quelli che hanno già scontato una pena in una prigione reale, e che si ritroveranno nuovamente in stato di detenzione, stavolta senza colpe e senza processi, è giusto, secondo un’organizzazione che dovrebbe tutelare i diritti umani, che ne scontino una nuova. Il clima di ostilità nei confronti dei migranti è così accentuato che la misura, palesemente in conflitto con i più basilari principi di tutela delle libertà, ha generato addirittura festeggiamenti sui social. In particolare, è un video a rendere chiaro il sentimento di molti, diffuso in rete dal Dansk Folkeparti: si tratta di un cartone animato dove un uomo di colore, con abiti da musulmano, viene scaricato su un’isola deserta. Il testo di accompagnamento alle immagini recita: “Gli stranieri criminali non hanno motivo di stare in Danimarca. Finché non riusciremo a liberarcene, li trasferiremo sull’isola di Lindholm”. Come cani e maiali, appunto.

      L’isola sarà trasformata in una prigione grazie a un investimento di 100 milioni di dollari che servirà a smantellare i laboratori e le stalle dell’istituto di veterinaria e a costruire la struttura con i dormitori per gli immigrati. Sarà pronta entro il 2021, salvo improbabili ripensamenti o interventi da parte della comunità europea. Inger Støjberg, ministra dell’immigrazione in quota Venstre, partito di destra della coalizione, ha usato Facebook per lanciare un messaggio che suona come un lapidario avvertimento: “Alcuni migranti si accorgeranno di non essere i benvenuti”. In pratica la versione danese di “È finita la pacchia”.

      Già in passato la Danimarca si era distinta per il pugno duro contro i migranti, sino al punto di minare la loro libertà e addirittura privarli dei loro effetti personali. Il Parlamento danese ha infatti approvato nel 2016 una legge tesa a scoraggiare le richieste d’asilo, che conferisce alle autorità il potere di perquisire vestiti e bagagli dei migranti per confiscare beni superiori a 10mila corone (circa 1.350 euro) e usarli per contribuire al loro mantenimento. Eppure la Danimarca, così come gran parte dei paesi del Nord Europa e tutta l’area scandinava, viene dipinta come l’espressione massima del “Paese civile”. Questa definizione a quanto pare si riferisce all’ordine e alla pulizia di una nazione, mentre si chiudono entrambi gli occhi sulle politiche disumane e dal sapore fascista – dove “ordine e pulizia” assumono un altro significato.

      Il governo, intanto, continua a ripetere che quella che verrà realizzata non sarà una prigione, perché non ci saranno vere e proprie celle. Si potrebbe comunque fare un paragone con il regime carcerario, considerando le condizioni nelle quali verseranno gli “ospiti” dell’isola. I danesi hanno probabilmente preso spunto dalla politica sull’immigrazione australiana. L’isola di Nauru, nell’Oceano Pacifico, è il luogo dove il governo “scarica” i richiedenti asilo: per dirla alla Toninelli, i migranti restano a Nauru “per mesi, al massimo anni”. Ci sono intere famiglie, bambini che vengono seguiti dalla polizia anche quando vanno a scuola, mentre gli adulti vengono vessati quotidianamente dalle guardie e vivono in condizioni precarie. Il Guardian Australia ha denunciato abusi su minori e violenze sessuali sulle donne. Ovviamente, in Italia, c’è chi ha lodato il No Way australiano e la detenzione dei migranti a Nauru. È un politico di spicco. Sì, proprio lui.

      Matteo Salvini, durante lo stallo della nave Diciotti, ha dichiarato: “Il mio obiettivo è il No Way australiano. Nessun migrante soccorso in mare mette piede in Australia”. Nel 2015, sulla sua pagina Facebook, si era spinto oltre, parlando proprio di Nauru: “In Australia per me fanno bene! Che dite, affittiamo un’isola anche noi?”. Salvini, invece di gongolare di fronte alle sirene australiane e danesi, dovrebbe semplicemente ripassare la nostra storia. Mandare al confino gli “indesiderati”, cacciandoli su un’isola per allontanarli dalla civiltà, era una prerogativa di Mussolini. Forse il ministro dell’Interno non ha mai sentito parlare di Ventotene o delle isole Tremiti.

      Dopo le leggi speciali del 1926, gli individui ritenuti pericolosi per lo Stato e per l’ordine pubblico venivano spediti in queste isole. È bene sottolineare che, quasi cento anni fa, venivano considerati pericolosi anche gli omosessuali, gli avversari politici, i credenti di fede diversa, come i testimoni di Geova, o i lettori di libri considerati sovversivi. Durante il fascismo vennero emesse 12mila ordinanze dalle commissioni Provinciali, e le isole si riempirono. Una volta giunti in quei luoghi, ai confinati venivano sottratti i documenti personali, non potevano interagire con gli isolani o superare zone di confine sorvegliate da guardie armate. Sulla carta era vietato anche ascoltare la radio o parlare di politica, mentre era permesso l’invio di una sola lettera alla settimana, non più lunga di 24 righe. Da Ventotene passò anche Sandro Pertini, che poi divenne uno dei più amati presidenti della Repubblica. Quando Salvini si lancia in azzardati inviti ad affittare isole, ricordiamoci quanto ci hanno trasmesso i libri di storia.

      È proprio per la memoria storica ancora pulsante, da preservare il più a lungo possibile, che proposte come quella del governo danese dovrebbero mettere in allarme le democrazie europee, che sono sotto attacco anche per questo e non solo per gli attacchi terroristici di individui radicalizzati e riempiti di odio esattamente come i sostenitori di simili politiche.

      Nessun uomo è un’isola, scriveva il poeta John Donne. Rivisitando i suoi versi, auspichiamo “nessun uomo su un’isola”, se viene intesa come prigionia e azzeramento dei diritti fondamentali dell’uomo. Che sia in Danimarca, nel profondo Sud dell’Oceania o in qualche nostalgia malsana di un politico nostrano che strizza troppo spesso l’occhio a un passato nero che non dovrebbe ripetersi.

      https://thevision.com/politica/danimarca-migranti-isolamento

    • Rick Roderick on Marcuse - One-Dimensional Man [full length] | 45 Min.

      https://www.youtube.com/watch?v=WNAKr1TQ0xc

      This video is 4th in the 8-part video lecture series, The Self Under Siege: Philosophy in the Twentieth Century (1993). Lecture Notes:

      I. Marcuse became a pop figure, the philosopher of the 60s. He expressed a key contradiction in modernity. Modernity is “enlightenment”, the end of myth and dogma, the power of reason; but it is also the rise of technology, capitalism, specialization, instrumental reason and the return of myth and dogma. The enlightenment built an intellect powerful enough to surrendering dogmatically before the powers of technology. This is the “Dialectic of Enlightenment” as analyzed by Herxheimer and Adorno and popularized by Marcuse. II. Instrumental rationality, information-based individual reason, leads to irrational outcomes. Individual monologic rationality is not rational in the totality of overall system. How did the force of the love of reason become itself unreasonable? The self cannot escape siege under the sway of instrumental reason alone, it drains the world of meaning and leads to the entwinement of myth and enlightenment. The film “Dr. Strangelove” is one long example of the contradictions outlined by Marcuse. III. Instrumental reason is the product of a one-dimensional society that produces one-dimensional human beings. Marcuse criticizes our society along at least two dimensions. First, the inner dimension: anxiety, despair, nausea and a massive industry in drugs to deal with these pathologies. A society of addicts. Second, the outer social world: alienation (separation from the subject and the object and the self in Marx’s sense); rationalization (bureaucracy and technical action in Weber’s sense). These produce a one-dimensional culture or banality which reduces human suffering and human desire to trivia and image.

      IV. Such humans have by now become deeply skeptical and cynical about almost everything; in particular, the government and the culture industry. Beyond that, we are becoming skeptical about our history, our meaning, our purpose and the general fate of the species.

      V. Marcuse’s method of criticism is called internal critique which measures a society against its own historically accumulated concepts and ideals in order to point out the gap between the actual social practices and the principles.

      VI. Marcuse also never lost faith in the human species to reconstruct itself, to begin anew. This hope of liberation transcended the field of economics and standard Marxism, as well as the achievements of the so-called free and democratic world of today. He also rested his hope in the possibility of that the self could be won against the odds. Today, unfortunately, this view will seem to many quaint.

      For more information, see http://www.rickroderick.org

    • #lumières #raison #rationalité #séparation #addiction #aliénation #banalisation #complexité #démocratie #désillusion

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      https://fr.wikipedia.org/wiki/Herbert_Marcuse

      #Herbert_Marcuse, né le 19 juillet 1898 à Berlin et mort le 29 juillet 1979 à Starnberg (Bavière), est un philosophe, sociologue marxiste, américain d’origine allemande, membre de l’École de Francfort avec Theodor Adorno et Max Horkheimer.

      [...]

      Il est notamment l’auteur et de L’Homme unidimensionnel (1964), qui veut démontrer le caractère inégalitaire et totalitaire du capitalisme des « Trente Glorieuses ». Ces affirmations lui valurent des critiques, notamment celle qui proclamerait la tolérance envers toutes les opinions sauf les opinions « qui perpétuent la servitude », malmènent l’autonomie au profit du statu quo répressif et protègent « la machine de discrimination qui est déjà en service »4. Pour Marcuse, la tolérance envers des idées qui servent le système de domination et d’oppression est une dénaturation du concept de tolérance : Marcuse oppose la vraie tolérance, qui est nécessairement émancipatrice, à une perversion opportuniste de l’idée de tolérance, qu’il qualifie de « tolérance répressive ». Selon Marcuse, c’est la « tolérance répressive » qui a autorisé la prise du pouvoir par le parti nazi en Allemagne5. Pour Marcuse, « une des réalisations de la civilisation industrielle avancée est la régression non-terroriste et démocratique de la liberté – la non-liberté efficace, lisse, raisonnable qui semble plonger ses racines dans le progrès technique même ».

      [...]

  • Arboulastre
    http://www.cuisine-libre.fr/arboulastre

    Quiche aromatique médiévale aux #Herbes. Préchauffer le #Four à 190°C. Mélanger ensemble la crème fraîche, le lait, les oeufs battus, le fromage râpé et un peu de sel et une pointe de muscade. Broyer les feuilles de sauge, hacher les herbes et le gingembre ou les broyer au mortier. Mélanger à la préparation précédente. Étaler la pâte dans un plat à tarte et la piquer. Y verser la préparation aux herbes. Cuire au four une quarantaine de minutes en surveillant toutes les 5 minutes à partir de 30 …
    #Moyen-Âge

  • Éloge des mauvaises #herbes
    http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-%C3%89loge_des_mauvaises_herbes-9791020906427-1-1-
    #liens_qui_liberent

    Pour la première fois des intellectuels et des écrivains prennent partis pour la ZAD de #Notre_Dame_des_Landes. Ils expliquent que la « #zone_à_défendre » est bien plus qu’un bout de #bocage. Dans un monde où tout doit être normé, catalogué, mesuré, homogénéisé, s’y inventent de nouvelles formes de vies et de liberté. C’est un carré de #mauvaises_herbes dans un paysage artificialisé, calibré, et bétonné.

    Sur la #ZAD, on existe en commun et on cohabite avec la nature. On partage des rêves et des outils. On sort de l’emprise du marché en construisant sa cabane en terre-paille. On redonne du sens au travail en élevant des vaches et en prenant soin de la forêt. On échappe au couperet de l’Etat en cultivant les solidarités et l’accueil. On lutte en dormant et on prépare les alternatives en occupant des terres. Ce n’est pas une utopie, c’est notre réalité de demain qui prend formes sous nos yeux.

    Ont contribué à cet ouvrage : Olivier Abel, Christophe Bonneuil, Patrick Bouchain, Alain #Damasio, Virginie #Despentes, Amandine Gay, John Jordan, Bruno #Latour, Wilfried Lupano, Geneviève Pruvost, Nathalie #Quintane, Kristin Ross, Pablo Servigne, Vandana Shiva et Starhawk.

    Les recettes des ventes de ce livre iront aux activités développées sur la ZAD.

  • Zacatechichi , l’herbe aux rêves perdus

    Fabrice Kilanovic

    https://lavoiedujaguar.net/Zacatechichi-l-herbe-aux-reves-perdus

    Accéder à l’au-delà par le rêve, voilà une croyance qui remonte aux premiers âges de l’humanité. Au Mexique comme dans d’autres parties du monde, les peuples originaires ont développé plus d’une mythologie à ce sujet. Cependant, la consommation de plantes sacrées pour y parvenir n’est pas une pratique très répandue. Certaines recherches affirment que c’est le cas des Chontales des Hautes Terres avec Zacatechichi. Qu’en est-il donc du mystérieux pouvoir de l’Herbe des rêves ?

    Zacatechichi (Calea Ternifolia ou Calea Nelsonii pour les botanistes) est une plante sylvestre de la famille des Asteraceae qui pousse au Mexique, dans les États de Morelos, Michoacán, San Luis Potosí et Oaxaca, au niveau des zones humides et ensoleillées inférieures à 300 mètres d’altitude sur des arbustes ramifiés allant de 50 centimètres à 3 mètres. Son nom provient de la langue náhuatl. Ses feuilles rugueuses, aux bords dentelés et au dos finement poilu, ont une forme ovale et pointue (...)

    #Mexique #Oaxaca #Chontales #Zacatechichi #plante_sacrée #Herbe_des_rêves