• WATCH: #Hezbollah uses #drones against ISIS in Syria - Syria - Haaretz.com
    http://www.haaretz.com/middle-east-news/syria/1.808225

    Hezbollah deployed the drones to hit Islamic State positions, bunkers and fortifications in the Western Qalamoun area near the border with Lebanon, achieving direct hits, the military media unit said.

    https://www.youtube.com/watch?app=desktop&persist_app=1&noapp=1&v=tPDKdJLGIig

    #Liban

  • Hizbullah’s armoury is growing
    https://www.economist.com/news/middle-east-and-africa/21726109-israel-fears-increasing-strength-party-god-hizbullahs-armoury

    This new political landscape is nowhere more apparent than in the Lebanese border village of Ras Baalbek. Jihadists from Syria infiltrated the Christian enclave in 2014. The local economy suffered as the limestone quarries and hunting lodges closed and the orchards withered. Hizbullah seized the opportunity, sending weapons, night-vision goggles and advisers to help the Christians form a militia to keep the jihadists at bay.

    “Israel caricatures Hizbullah as a terrorist organisation,” says Rifaat Nasrallah, the Christian militia’s leader (and no relation of Hassan). “But the #resistance is not some external force that comes to terrorise us. They are part of our society. They attend our weddings and funerals. They take care of me and I take care of them.” Alliances forged in the furnace of Syria’s war may be hard to break.

    #Hezbollah #Liban #armes

  • « L’autorité de l’État est fragilisée à cause du Hezbollah », déplore Guterres - De notre correspondante aux Nations unies, Sylviane ZEHIL - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1061925/-lautorite-de-letat-est-fragilisee-a-cause-du-hezbollah-deplore-guter

    12/6/2017

    Le secrétaire général de l’ONU, António #Guterres, n’y est pas allé de main morte hier face aux risques que continue de faire peser au Liban et à la paix dans la région le phénomène incarné par le #Hezbollah, insistant notamment, dans le cadre de son rapport cyclique sur la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité (2006), sur la prolifération des armes « non autorisées ».

    « Alors que la situation est restée relativement calme le long de la ligne bleue, les risques sous-jacents posés par la présence d’armes non autorisées et les facteurs d’instabilité régionale ne doivent pas être sous-estimés », indique le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans son nouveau rapport trimestriel. Ce texte, qui détaille la situation qui prévaut au #Liban depuis le 8 mars dernier, fera l’objet de consultations au Conseil de sécurité vendredi prochain, en présence de la coordonnatrice spéciale de l’ONU au Liban, Sigrid Kaag.

    Dans ce nouveau document, le chef de l’#ONU estime que l’autorité de l’État libanais est « fragilisée à cause du Hezbollah et d’autres groupes qui continuent de détenir des armes, en violation des obligations du pays au titre de la résolution 1701 ». António Guterres, qui se dit « préoccupé par la présence continue d’armes non autorisées dans la zone entre le Litani et la ligne bleue », s’est arrêté dans ce cadre sur la tournée que le Hezbollah avait organisée pour des médias le 20 avril dernier. Celle-ci avait été organisée par le parti de Hassan Nasrallah pour montrer aux journalistes « les mesures défensives » prises par #Israël.

    #Antonio_Guterres #comparse

  • #Liban : la grosse bourde de #Donald_Trump
    Le Point, le 26 juillet 2017
    http://www.lepoint.fr/monde/liban-la-grosse-bourde-de-donald-trump-26-07-2017-2146059_24.php

    L’homme le plus puissant du monde n’est sans doute pas le plus éclairé. En tout cas en ce qui concerne l’Orient compliqué. Mercredi soir, en recevant à la Maison-Blanche le Premier ministre libanais, Donald Trump a une nouvelle fois exposé au grand jour sa méconnaissance de la région. Devant Saad Hariri, le président américain a fustigé le « #Hezbollah, une menace pour l’État libanais, le peuple libanais et toute la région ».

    Félicitant l’armée libanaise pour avoir « protégé ses frontières », Donald Trump est allé jusqu’à affirmer que « le Liban était en première ligne dans le combat contre l’EI [organisation État islamique], Al-Qaïda et le Hezbollah ». Problème, le parti de Dieu, soutenu par la République islamique d’Iran, fait partie du gouvernement libanais. Allié au Courant patriotique libre, la formation chrétienne du nouveau président libanais Michel Aoun, le parti islamiste chiite possède deux ministres au gouvernement, et treize députés au Parlement. Engagé en Syrie aux côtés des forces de Bachar el-Assad, le Hezbollah a lancé le 21 juillet dernier une vaste opération à l’est du Liban, autour de la localité d’Aarsal, contre des combattants de Daech et du Front Fatah al-Cham, l’ancienne branche syrienne d’Al-Qaïda.

    Ce n’est pas la première bourde de Donald Trump à propos du Moyen-Orient. Le 12 avril dernier, notamment, au lendemain des frappes chimiques sur la ville syrienne de Khan Cheikhoun, le président américain s’était félicité sur la chaîne américaine FOX Business d’avoir « lancé 59 missiles en direction de l’Irak », avant d’être corrigé par la journaliste. « Euh... [vous voulez dire] en Syrie ? » C’est pourtant bien en Syrie, dans la base militaire d’Al-Chaayrate, qu’ont atterri le 7 avril les 59 missiles Tomahawk américans.

    #USA

  • Et si le Moyen-Orient ressemblait à ça ? La carte du #Moyen-Orient idéal pour l’armée américaine en 2006 (PHOTOS)

    Si vous pouviez réorganiser les frontières du Moyen-Orient à votre guise, comment procéderiez-vous ? En 2006, l’armée américaine s’est posée précisément cette question.
    Le projet impliquerait une forme de chaos constructif. « L’administration Bush prendrait la destruction créatrice pour décrire le processus par lequel elle souhaite voir émerger le nouvel ordre mondial », analysait alors le professeur #Mark_Levine pour le #think-tank #Global_Research. Il faudrait donc passer par une #tabula_rasa (et ce qu’une telle expression implique en terme de pertes humaines et infrastructurelles) pour pouvoir reconstruire sur des bases différentes. « Et suivant les intérêts et les besoins » américains et israéliens, précisait #Mahdi_Darius_Nazemroaya, également chercheur à Global Research.
    Le Lieutenant-Colonel américain #Ralph_Peters, retraité et enseignant à l’Académie Militaire des Etats-Unis, avait conçu une carte idéale, redessinant les frontières pour un « Nouveau Moyen-Orient ».

    http://www.huffpostmaghreb.com/2013/10/25/moyen-orient-armee-americ_n_4157849.html
    #frontières #USA #Etats-Unis #cartographie #visualisation #morcellement #histoire

    –-> pour archivage

  • The attack in Syria: Israel’s policy of ambiguity is nearing an end

    Strike in Damascus international airport attributed to Israel ■ Why isn’t Russia taking action? ■ defense chief draws a new red line: No Iranian and Hezbollah military presence on the Syrian border

    Amos Harel Apr 28, 2017
    read more: http://www.haaretz.com/middle-east-news/syria/1.786074

    What has been done up to now with a degree of ambiguity, not to say discretion, is now being done for all to see. Syria confirmed on Thursday, in a report from its official news agency, that the Israeli airforce struck a military compound next to the Damascus airport before dawn.

    Intelligence Minister Yisrael Katz implicitly acknowledged Israeli responsibility for the strike when he explained in a somewhat sleepy radio interview from the United States on Army Radio that “the incident totally fits with our policy for preventing weapons transfers to Hezbollah.” And all of this happened while Defense Minister Avigdor Lieberman was away on a visit to Russia, the chief sponsor of the regime of Syrian President Bashar Assad.
    Katz’s comments followed an earlier, first acknowledgement of its kind by Israel, after numerous reports in the Arab media of an Israeli airstrike in Syria in late March. And this past Tuesday, a senior Israel Defense Forces officer told journalists that about a hundred missiles, some intended for Hezbollah, were destroyed in that March airstrike. But it is still not certain that a deliberate decision has been made to abandon the policy of ambiguity that Israel has adhered to for the past five years, neither denying nor confirming its responsibility for such air strikes.
    This policy of ambiguity seems to be based on the idea that Israel’s refusal to comment on these strikes makes them less of an embarrassment for the regime and thus does not whet the Syrians’ appetite for revenge as much. The recent deviations from this policy were likely random occurrences and not the product of long-range strategic thinking.

    The initial reports from Damascus did not specify what types of weaponry was hit. Arab intelligence sources (quoted by an Amman-based reporter for Reuters) claimed that the targets this time were arms shipments from Iran being smuggled on civilian commercial flights via the international airport in Damascus.

    #Syrie #Israël #Hezbollah

  • #seenthis_fonctionnalités : Les mots « flous »

    En ajoutant une étoile à la fin de l’URL de la page d’un thème, on obtient une sélection beaucoup plus large de billets : non seulement les billets avec ce hashtag précis, mais aussi ceux avec des hashtags plus généraux, dont on a déterminé qu’ils revenaient fréquemment à proximité du hashtag qu’on cherche (par exemple : Liban / Syrie / Hezbollah…).

    Par exemple :
    https://seenthis.net/tag/liban*

    Je vois que le squelette n’a pas été totalement maintenu et affiche une erreur, mais apparemment la liste des messages, elle, est correcte.

    Pour comprendre ce principe de « flou », on peut aller sur la page du mot-clé lui-même et regarder la colonne de droite :
    https://seenthis.net/tag/liban
    il y a une liste des « thèmes liés » :

    #liban / country: liban / country: lebanon / #réfugiés / organization: hizballah / #migrations / city: beyrouth / #asile / #syrie / #international / country: syrie / #réfugiés_syriens / #israël / #proche-orient / city: beirut / country: israël / country: syria / country: israel / person: michel aoun / city: alep / person: saad hariri / #beyrouth / #hezbollah / region: proche-orient / #liban / #france / region: moyen-orient / #jordanie / currency: usd / country: états-unis / country: jordan / #israel / country: iran / city: gaza / #crimes / country: russie / #hassan_nasrallah / #michel_aoun / #syrie / #déchets

    On voit que, notamment grâce à la thématisation automatique OpenCalais, c’est plutôt pertinent (oui, pour ceux qui l’ignorent : « #déchets » est tout à fait pertinent ici).

    • Commentaire : certes je n’en ai pas l’usage direct, et la page est un peu cassée sans que personne ne s’en soit formalisé, alors… mais ça me semble une idée à creuser, notamment en lien avec la notion précédente de « Centres d’intérêt/de compétence » :
      https://seenthis.net/messages/589554

      De plus, est-ce que ça vaudrait le coup de pouvoir suivre/s’abonner à ces mots-flous ? Puisque, dans l’exemple précédent, on suivrait « Syrie » et on récupérerait un choix beaucoup large, mais plutôt pertinent par rapport au centre d’intérêt… J’aime bien l’idée de pouvoir s’abonner à un thème, mais la difficulté c’est justement que c’est trop « précis », et qu’un abonnement plus « flou » à un thème pourrait rendre la chose bien plus intéressante.

      Autre possibilité : plutôt que de travailler avec un algorithme lourdingue (trouver les hashtags qui reviennent dans les messages qui ont le hashtag-flou, puis refaire une sélection de messages), est-ce qu’il ne serait pas plus simple de faire une bête recherche dans Sphinx ? (Et est-ce qu’il y a un outil pour « élargir » selon ce principe de « flou » et de proximité dans Sphinx, ça serait top…)

    • Sur les pages des articles de type « documentation officielle » de Seenthis, il y a en haut de page un bandeau défilant (ces pages sont très moches, d’ailleurs) avec des mots-clés :
      https://seenthis.net/fran%C3%A7ais/article/c-est-quoi-seenthis

      Je ne sais plus trop comment c’est fait aujourd’hui, mais il me semble bien qu’initialement, ça essayait de calculer des « mots flous » pour faire ressortir des thèmes d’actualité d’une façon un peu large.

      J’ai l’impression que ce n’est plus le cas (il y a des thèmes très redondants, ce qui n’est pas censé arriver avec des « mots flous »), mais encore une fois, c’est une piste pas inintéressante.

    • Et sinon, ya aucun lien nulle part vers ce genre de page, donc c’est inconnu et même si on l’a connu un jour, 2 mois plus tard on ne sait plus.

      Sur le même principe, tu n’en parles pas là mais vu que c’est pareil on va en parler dans le même seen, il y a la liste du tag exact avec le caractère « $ » à la fin (je crois… là encore ya aucun lien). Il me semblait à un moment que c’était cassé d’ailleurs.

      Je pense que sur la page d’un tag classique, il faudrait vraiment deux liens avec un label explicite, quelque part sur le côté, avec « Ce thème et thèmes associés », et un autre « Ce thème uniquement ». Qui permettrait à tout le monde d’accéder à ces deux pages, en naviguant normalement.

    • RastaPopoulos met le doigt dessus : que le dollar fixe ou l’étoile relaxe un terme n’est pas acquis d’avance, un double lien serait plus user-friendly.

      Voir même, mais là c’est plus compliqué en terme de développement informatique : un mode débutant et un mode expert. Dans le premier on affiche les dits liens, dans le second non.
      Cette fonctionnalité s’étend à toutes les fonctionnalités d’ailleurs.

  • Craignant pour son monopole sur le trafic de la drogue le Hezbollah se substitue à l’état pour éliminer ses concurrents

    Le défilé militaire de la banlieue sud ou les nouveaux embarras du Hezbollah - Sandra NOUJEIM - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1044440/le-defile-militaire-de-la-banlieue-sud-ou-les-nouveaux-embarras-du-he

    En effet, selon des sources chiites indépendantes, le parti souhaiterait moins combattre la criminalité dans le souci d’assainir le quotidien de sa base populaire que combattre ceux qui « lui font de la concurrence ». Il chercherait ainsi à asseoir « son monopole sur le trafic de drogue, comme il l’avait fait quelques années auparavant pour le Captagon ». Le fait qu’« aucun baron du Captagon n’ait été arrêté lors des poursuites récentes menées conjointement par le Hezbollah et les services de l’État » ne serait donc pas le fruit du hasard. En revanche, auraient été effectivement poursuivis des trafiquants de drogue « autonomes, la plupart issus de tribus, comme les Moqdad ». Cette sélectivité ne sera pas, selon ces sources, sans « créer de nouvelles tensions entre le parti et les tribus », qu’il n’a pu d’ailleurs domestiquer que par la force dans les années 80. Le déploiement d’éléments du Hezbollah à Bourj Brajneh renverrait donc un message d’intimidation à ceux qui, parmi ses propres gens, auraient des raisons d’être mécontents. D’autres « affaires internes » au Hezb en lien avec les résultats des récentes élections au sein du parti sont également évoquées par des milieux informés.

    #hezbollah #trafics #captagon

  • L’Université américaine de Beyrouth sanctionnée pour « soutien matériel » à des groupes proches du Hezbollah - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1042920/luniversite-americaine-de-beyrouth-penalisee-pour-soutien-a-des-group

    La prestigieuse Université américaine de Beyrouth (AUB) va devoir payer 700.000 dollars de pénalité après avoir été accusée par la Justice américaine d’avoir apporté un « soutien matériel » à des groupes proches du Hezbollah, ont rapporté des responsables américains.

    L’AUB a indiqué vendredi dans un communiqué qu’elle allait payer cette somme à la suite d’une procédure judiciaire l’accusant d’avoir violé les conditions d’octroi d’un financement de la part de l’Agence américaine pour le développement et l’aide internationale (USAID).

    Le bureau du procureur des Etats-Unis à Manhattan (New York) avait annoncé l’arrangement jeudi, indiquant que l’AUB devra payer au gouvernement américain 700.000 dollars (environ 650.000 euros) et réviser sa politique interne pour s’assurer qu’elle respecte la loi américaine.

    #hezbollah #aub #beyrouth

  • En #Syrie, « on laisse de nouveau la place aux plus fanatiques »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190217/en-syrie-laisse-de-nouveau-la-place-aux-plus-fanatiques

    À quelques jours d’un nouveau round de négociations sur la Syrie à Genève, #Abdelahad_Astepho, un des principaux responsables de l’opposition syrienne, évoque les difficultés de son mouvement après la chute d’Alep, face aux groupes djihadistes revigorés, une diplomatie russe agressive et un département d’État américain aphone pour cause de séisme présidentiel.

    #International #Astana #Front_Fatah_al-Cham #Hezbollah #Iran #Moyen-Orient #Russie #turquie

  • Les habits neufs du #Hezbollah
    https://www.mediapart.fr/journal/international/130217/les-habits-neufs-du-hezbollah

    Le parti chiite, à la fois milice combattante impliquée en #Syrie et organisation confessionnelle implantée au #Liban, est devenu la principale force politique du pays et, au-delà, une véritable puissance régionale. Il se sert aujourd’hui de cette force pour passer des alliances avec ses anciens ennemis et garantir les intérêts iraniens. Mais le Hezbollah s’interroge déjà sur l’après-Syrie…

    #International #chiites #chrétiens #Hassan_Nasrallah #Israël #Michel_Aoun #Parti_de_Dieu #Proche-Orient #Saad_Hariri #sunnites

  • Le #Hezbollah, géant gêné
    https://www.mediapart.fr/journal/international/130217/le-hezbollah-geant-gene

    Le parti chiite, à la fois milice combattante impliquée en #Syrie et organisation confessionnelle implantée au #Liban, est devenu la principale force politique du pays et, au-delà, une véritable puissance régionale. Il se sert aujourd’hui de cette force pour passer des alliances avec ses anciens ennemis et garantir les intérêts iraniens. Mais le Hezbollah s’interroge déjà sur l’après-Syrie…

    #International #chiites #chrétiens #Hassan_Nasrallah #Israël #Michel_Aoun #Parti_de_Dieu #Proche-Orient #Saad_Hariri #sunnites

  • An unprecedented, symbiotic security relationship between the Lebanese Army, Hizbullah and the CIA
    https://mideastwire.wordpress.com/2017/01/23/an-unprecedented-symbiotic-security-relationship-between-the-

    Today’s piece in El-Nashra:

    http://www.elnashra.com/news/show/1070179/الثلاثية-الأمنية-تضرب-بقوة-الجيش-والمقاومة-CIA
    “…Likewise, the Army Intelligence apparatus was able to arrest Bilal Ch. in Tripoli, a suicide bomber who also intended to detonate himself… At this level, the source revealed that cooperation between the Lebanese security bodies was an important factor in securing these accomplishments. But he pointed to another type of cooperation which deserved to be addressed, i.e. the CIA’s cooperation with Lebanese security. Indeed, he indicated that the current stage was witnessing an exceptional cooperation that had led to the paralysis of the terrorist activities, though he did not wish to tackle the nature and causes of this cooperation, especially since war on terrorism was ongoing. He assured nonetheless: “The #CIA, #Hezbollah security apparatus and the Army Intelligence constitute the main source of information in the face of terrorism…”

    #Liban #ISIS

  • Quelles relations entre Moscou et Téhéran dans le conflit syrien ? - Moyen-Orient - RFI
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20161220-quelles-relations-entre-moscou-teheran-le-conflit-syrien

    L’#Iran et la #Russie, deux alliés du président syrien Bachar el-Assad, partagent une base en #Syrie pour coordonner leur aide aux forces du régime, a indiqué un haut responsable de la sécurité à Téhéran Ali Shamkhani, mardi 20 décembre. Aucune précision n’a été donnée sur l’endroit où se trouve cette base.

    #Hezbollah #coopération_militaire

    • Le Hamas accuse le Mossad du meurtre en Tunisie de l’un de ses cadres
      http://www.lemonde.fr/international/article/2016/12/18/le-hamas-accuse-le-mossad-de-l-assassinat-en-tunisie-de-l-un-de-ses-cadres_5

      Si l’implication du Mossad dans l’assassinat de Mohamed Zouari devait s’avérer exacte, elle ne marquerait pas la première implication d’Israël en Tunisie. Le 16 avril 1988, Khalil Al Wazir, plus connu sous le nom d’Abou Jihad, alors numéro deux de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) , était assassiné dans sa résidence de Sidi Bousaïd, au nord de Tunis, où il avait trouvé refuge. Deux ans et demi plus tôt, le 1er octobre 1985, c’est une intervention militaire d’une toute autre nature qui avait détruit dans la banlieue de Tunis l’état-major de l’OLP, qui s’y était exilé après avoir dû évacuer Beyrouth en 1982. Baptisé par les Israéliens « Jambe de bois », le raid aérien avait coûté la vie, selon les autorités de Tunis, à 68 personnes (50 Palestiniens et 18 Tunisiens).

  • « Le conflit en #Syrie a ramené la guerre au #Liban »
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/141016/le-conflit-en-syrie-ramene-la-guerre-au-liban

    Alors que les militants du #Hezbollah sont engagés auprès du régime de Bachar al-Assad dans l’écrasement de la rébellion à #Alep, la chercheuse #Erminia_Chiara_Calabrese publie un ouvrage sur les militants de ce parti réputé pour son opacité, et examine leur rapport à l’engagement, au Liban comme en Syrie.

    #Culture-Idées #Essais #Hassan_Nasrallah #Israël

  • Le Hezbollah, une force contre-révolutionnaire
    http://www.contretemps.eu/interventions/hezbollah-force-contre-r%C3%A9volutionnaire
    http://www.contretemps.eu/sites/default/files/images/liban-manifs.large.jpeg

    Le Hezbollah a été et reste l’objet de débats vigoureux parmi les chercheurs et entre les différents courants de « gauche » au Moyen Orient et à travers le monde. Certains considèrent encore et toujours le mouvement fondamentaliste islamique libanais comme « anti-impérialiste », estimant qu’il représente une variante arabe de la « théologie de la libération » (qui s’est développée en Amérique latine), en visant une plus grande justice sociale et une réaffirmation de l’identité nationale libanaise face à « l’invasion des valeurs étrangères ».

    Cette vision, soutenue principalement au Moyen Orient par les mouvements de la gauche traditionnelle issues du stalinisme, et certains issus de courants maoistes ou du nationalisme arabe, a été de plus en plus remis en question au fil des années, et surtout après le début des soulèvements populaires dans la région du Moyen-Orient et Afrique du Nord (MOAN). Cet article de Joseph Daher vise à montrer que le Hezbollah est devenu une force contre-révolutionnaire en raison de son opposition à tout changement radical et progressiste au Liban mais aussi au-delà, en particulier en Syrie, en participant à la répression du mouvement populaire syrien aux côtés du régime d’Assad.

    #Hezbollah #moyen-orient #Liban #contre-révolution #Syrie #Assad

    • Je ne trouve pas ça très bon (mais je suppose que ce n’est pas très surprenant)…

      (1) L’auteur (Joseph Daher) tient un blog sur la Syrie :
      https://syriafreedomforever.wordpress.com
      que je n’ai jamais trouvé bien intéressant. Notamment depuis un article de légitimation de l’« opposition armée » en Syrie que j’avais trouvé particulièrement naïf à l’époque (septembre 2012) :
      https://syriafreedomforever.wordpress.com/2012/09/19/nature-role-et-place-de-la-resistance-armee-en-syrie
      Pour rappel, deux mois plus tôt, on avait déjà des choses très claires telles que ceci :
      https://seenthis.net/sites/141310

      Mais l’idée principale ici est que l’auteur se positionne comme un révolutionnaire syrien et part donc de la dénonciation du rôle du Hezbollah dans la répression en Syrie. Le fait qu’il extrapole cette position à une analyse politique du rôle du Hezbollah au Liban le fait, à mon avis, largement passer à côté du sujet. Le titre condense cette difficulté : considérant que le Hezbollah est une force « contre-révolutionnaire » en Syrie de par son rôle en faveur du régime dans la crise syrienne, l’auteur extrapole à « force contre-révolutionnaire » tout court, c’est-à-dire politiquement, socialement et économiquement au Liban. C’est une généralisation qui existe à gauche depuis l’implication du Hezbollah en Syrie (par exemple Fawwaz Traboulsi), et pourquoi pas, mais ça me semble important de le préciser ici, parce que ça amène une certaine forme de « démonstration ».

      (2) Je l’ai déjà écrit dans un article de 2006 :
      http://tokborni.blogspot.fr/2006/12/des-ides-trop-simples-pour-les.html
      Personnellement je n’ai jamais rencontré de gauchiste libanais (mais je ne connais pas tous les gauchistes libanais…) qui soutienne que le Hezbollah serait réellement un force progressiste. Même le PCL (qui, je suppose, rentre dans la catégorie de ce que l’introduction de l’article qualifie d’« issue du stalinisme »), cité en 2006, abordait explicitement la question et son rapport critique. Et je pense que depuis 2006, sa position est encore plus « distanciée » quand à ses espoirs que le Hezbollah soit une force de progrès social. (Mais il ne faut pas non plus nier certains aspects caractéristiques de développement social et de sérieux dans la reconstruction, ni les réduire à de pures considérations sectaires.)

      L’introduction de l’article prétend d’ailleurs qu’il y aurait des mouvements de gauche qui admireraient dans le Hezbollah « une réaffirmation de l’identité nationale libanaise face à “l’invasion des valeurs étrangères”. » Je serais vraiment curieux de savoir qui sont ces mouvements progressistes au Liban qui attendraient réellement que le Hezbollah (islamiste et réactionnaire) s’occupe de la question des « valeurs » dans la société…

      (3) Il y a une malhonnêteté logique dans l’article : il est reproché au Hezbollah de ne pas être ce qu’il n’est pas (un parti socialement progressiste), en occultant ce qu’il est avant tout (la principale composante de la Résistance libanaise à Israël). Si on prend les soutiens de gauche au Hezbollah, l’adhésion vient très clairement de son rôle de résistance ; pas de son côté force de progrès social (ce qui relèverait d’une naïveté sidérante).

      (4) Le premier développement (Le Hezbollah, une base sociale en mutation) n’est pas intéressant, mais surtout très tordu du point de vue logique. En gros, prétendre que le Hezbollah s’embourgeoise parce qu’il est remporte des élections professionnelles chez les pharmaciens. Mais si l’on accepte que le motif de soutien au Hezbollah est d’être la Résistance, et non son (très hypothétique) positionnement anti-capitaliste, ça n’a rien de surprenant. Ce n’est pas un parti de lutte des classes (c’est un parti islamiste, come on…), c’est un parti dont l’identité et la communication sont toutes entières basées sur la résistance, notion qui traverse toutes les classes sociales.

      Cette dénonciation de l’embourgeoisement serait plus pertinente s’il parvenait à expliquer que la popularité du Hezbollah est en baisse dans les classes populaires (ce qui constitue plutôt le fond de commerce d’un Lokman Slim), mais évidemment ce n’est pas le cas.

      Sauf à tordre carrément les citations pour faire leur faire dire n’importe quoi :

      Ces caractéristiques de l’évolution de la représentation politique et de la base sociale du Hezbollah indiquent que même si l’organisation continue d’attirer le soutien de personnes issues de toutes les couches de la société, ses priorités sont de plus en plus orientés vers les plus hautes strates de celle-ci. Le député Ali Fayyad a reconnu cette tendance en 2010, quand il a fait remarquer que « le Hezbollah n’est plus un petit parti, c’est une société entière. Il est le parti des pauvres, oui, mais en même temps il y a beaucoup d’hommes d’affaires en son sein, nous avons beaucoup de gens riches, certains issus de l’élite »

      Je ne vois pas en quoi la déclaration « reconnaît » le changement de « priorités vers les plus hautes strates ».

      (5) Autre difficultés de cette partie :

      1. occulter le fait que la lutte contre le Hezbollah se fait, de manière tout à fait ouverte, avec la volonté de punir économiquement les populations suspectées de le soutenir (et ceci de manière tout à fait confessionnelle : les chiites et les chrétiens) ; parler de l’embourgeoisement des soutiens au parti dans ces conditions relève à mon avis de la rigolade…

      2. ne pas évoquer les sanctions économiques contre les soutiens au Hezbollah, la traque internationale contre ses financements, et les règles draconiennes imposées aux banques libanaises ; ce qui pose deux difficultés logiques : (a) mettre au même niveau l’embourgeoisement du 14 Mars et du Hezbollah, dans ces conditions, relève à nouveau de la rigolade ; prétendre que la « fraction chiite de la bourgeoise » soutiendrait désormais le parti parce qu’elle y trouverait un intérêt financier direct est du plus haut comique ; (b) évoquer les « affaire des corruption » quand, de fait, toute forme de financement de la Résistance libanaise est considérée comme criminelle, bon…

      (6) La partie « L’État confessionel et bourgeois » est un peu plus pertinent, mais pas transcendant non plus. Le Hezbollah est fondamentalement un parti islamiste chiite, je ne vois pas qui – surtout à gauche – irait croire qu’il ne serait pas confessionnel.

      Une fois qu’on a écrit ceci :

      À la lumière de ces développements, il est évident que le Hezbollah ne constitue pas et d’aucune manière, cela depuis un certain temps désormais, un défi pour le système confessionel et bourgeois libanais. »

      je ne vois pas ce qu’il y aurait à ajouter (en dehors du fait que la tournure « à la lumière de ces développements » est d’une remarquable naïveté : parce qu’« avant », ce n’était pas déjà clairement le cas (en réalité, beaucoup pensent, ou espèrent, qu’avec Nasrallah et certaines déclarations suite à la guerre de 2006, toute une partie de la rhétorique du Hezbollah a progressé dans le sens de l’acceptation des orientations politiques de ses alliés).

      Je ne sais pas ce qu’un lecteur pourra comprendre de la citation de Mehdi Amel sur les « couches non hégémoniques » cherchant à occuper des « positions hégémoniques ». Le lecteur pourra avantageusement se référer à la source de cette citation :
      http://revueperiode.net/de-lantifascisme-au-socialisme-strategie-revolutionnaire-dans-la-guerr
      Ce que je suppose (parce que vraiment j’ai rarement vu une utilisation aussi obscure d’une citation totalement jargoneuse), c’est que le Hezbollah reste un parti visant à « rééquilibrer » le confessionnalisme libanais, et non à le supprimer. Si c’est ça, je suis d’accord, mais il me semble assez évident qu’un parti confessionnel est, dans la lutte contre le confessionnalisme politique, bien plus du côté du problème que du côté de la solution.

      Cependant, en reprochant au Hezbollah de ne pas avoir soutenu certains mouvements (« You Stink » en 2015, les mouvements syndicaux précédemment, les difficultés de Charbel Nahas au gouvernement, etc.), je pense qu’il entre à nouveau dans des difficultés. Certes je ne doutes pas que le Hezbollah soit une force socialement et économiquement peu progressiste, mais on ne doit pas non plus occulter que :

      1. le Hezbollah étant « en politique » avec pour souci premier d’être une force politique qui « protège les armes de la Résistance », il devrait être assez évident qu’il aura énormément de mal à soutenir des mouvements qui ne mettent pas clairement en avant leur soutien ouvert à la Résistance (et sinon, oui, par ailleurs je pense qu’il a parfois une tendance paranoïaque dans son approche des mouvements qu’il ne contrôle pas directement) ;

      2. le Hezbollah étant un parti religieux, conservateur, et pas tellement progressiste sur la plupart des questions de gauche (et c’est évident dès ses origines), non seulement il me semble très naïf de lui reprocher ce qu’il n’est pas, mais surtout je trouve très dangereux d’exiger de lui, notamment pour les mouvements de gauche, qu’il s’implique plus en politique et qu’il se mêle de valeurs et d’économie. Les gens de gauche que je fréquente au Liban, pour la plupart, se réjouissent de l’existence d’une telle Résistance, mais pour le reste préfèrent que le Hezbollah ne se mêle pas trop de politique, en dehors de soutenir ses alliés qui protègent le rôle de la Résistance.

      (7) Toute la partie « Idéologie » me semble peu intéressante, en ce qu’elle prétend expliquer des évidences absolues pour les mouvements de gauche libanaise.

      Ainsi :

      La lutte contre la détérioration des conditions d’existence du peuple libanais a toujours été subordonnée à la reconnaissance de la légitimité de la structure armée du Hezbollah, et c’est la raison pour laquelle le Hezbollah a appelé Saad Hariri – à plusieurs reprises – à rechercher des collaborations conjointes et une participation à un gouvernement fondé sur les accords que le parti avait conclus avec son père, Rafiq Hariri. Cela était compris de la manière suivante : le Hezbollah s’occupe de la « résistance » à Israël et Hariri prend en charge les politiques économiques et sociales du pays, chacun n’interférant pas dans les affaires de l’autre27.

      mais à nouveau, le fait que le Hezbollah est une Résistance armée et que sa participation politique au Liban devrait uniquement se préoccuper de protéger l’existence de cette résistance (dans un pays où des milliards de dollars sont injectés pour détruire militaire, économique et politiquement, cette résistance), ne devrait pas chagriner des gens de gauche (qui, eux, devraient se charger du progrès social). Vouloir à tout prix que des islamistes notoirement conservateurs soient le fer de la lance du progrès social au Liban me semble une idée totalement farfelue.

      (8) La partie du texte sur le rapport du Hezbollah aux processus révolutionnaires n’est pas transcendant, surtout qu’il s’agit d’arriver à ceci :

      La prétention du Hezbollah à exprimer sa solidarité avec les opprimés du monde entier est en grande partie basée sur les intérêts politiques propres du Hezbollah, qui sont eux-mêmes étroitement liés à ceux de l’Iran et du régime d’Assad en Syrie. Voilà pourquoi la confrontation militaire entre le Hezbollah et Israël, qui a été au cœur de son identité, a été subordonné aux intérêts politiques du parti et de ses alliés régionaux. L’armement du Hezbollah a été de plus en plus orienté vers des objectifs autres que la lutte militaire contre Israël, selon les contextes et les périodes, y compris des attaques militaires contre d’autres partis politiques à l’intérieur du Liban ou la prévention de tout acteur de résistance autre que le Hezbollah au Sud-Liban.

      La défense de l’ « axe de la résistance » et de l’appareil armé du parti a été utilisée par le Hezbollah comme un outil de propagande pour justifier la politique et les actions du parti, le dernier exemple étant son intervention militaire en Syrie sous le prétexte de défendre la « résistance » contre le « projet américano-israélien-Takfiri ».

      Tout cela est, dans la littérature pro-rebelles en Syrie, d’une banalité absolue. (Le phrase « des attaques militaires contre d’autres partis politiques à l’intérieur du Liban ou la prévention de tout acteur de résistance autre que le Hezbollah au Sud-Liban » est tellement orientée et fausse que c’en est un peu effrayant.)

      Ramené au Liban (sujet central de l’article), un aspect de cette rhétorique revient à reprocher au Hezbollah ne pas être en guerre ouverte contre Israël depuis 2006. Une position que je trouve bien dangereuse…

      (9) Grosso modo, le Hezbollah n’est pas « anti-impérialiste » et pas tellement la « résistance », tout ça c’est un alibi. C’est juste qu’Israël, les États-Unis, les pays européens quand ils s’alignent sur la droite israélienne, les pétromonarchies du Golfe… dépensent des milliards de dollars, de manière continue, pour tenter de le faire disparaître. (L’occulation des impératifs stratégiques et géopolitiques dans la région est une constante de ce genre de littérature.)

      (10) Une importante occultation dans ce texte (là encore très classique), est de reprocher les slogans et les comportements sectaires du Hezbollah, sans évoquer une situation géopolitique dans laquelle l’excitation sectaire anti-chiite est une des armes centrales et permanentes déchaînées par les médias du Golfe, les prédicateurs salafistes, le 14 Mars libanais, les propagandistes de la rébellitude syrienne, etc.

      Alors certes le sectarisme c’est mal, mais ne pas replacer l’évolution du discours du Hezbollah, depuis 2011, dans un environnement d’agitation sectaire généralisée, et qu’il perçoit comme spécifiquement dirigée contre la Résistance, c’est passer à côté d’une partie du problème.

      Autre aspect : n’extraire que les détails sectaires, et détournés de leur sens (par exemple l’explication, par Nasrallah, de l’intervention pour protéger le sanctuaire de Zaynab, en occultant le fait qu’il l’avait justifiée pour éviter une réaction sectaire incontrôlable des chiites), en occultant les efforts permanents de Nasrallah, dans ses discours, pour éviter les dérives sectaires dans sa propre base.

      (Et pour mémoire, l’auteur de l’article, plusieurs semaines après la bataille d’Alep en 2012, fantasmait encore sur la nature résolument révolutionnaire et démocratique des groupes armés en Syrie. Ce qui fait qu’on est là encore dans une logique très classique, à la Burgat/Caillet.)

      (11) Du charme des considérations théoriques : la Palestine aux calendes grecques :

      La libération de la Palestine et de ses classes populaires est liée de manière étoite à la libération et à l’émancipation des classes populaires dans la région, contre leurs classes dirigeantes et les divers forces impérialistes et sous-impérialistes agissant dans le cadre régional.

      L’auteur est d’ailleurs assez friand du verbiage ultra-daté sur le thème de « la route de Jérusalem passe par… ». En 2014 :
      https://syriafreedomforever.wordpress.com/2014/11/21/voix-de-yarmouk-syrie-et-palestine-une-lutte-commune-

      La libération de Jérusalem commence par la libération de Damas, je le dis en tant que Palestinien qui a grandi en Syrie et à moitié syrien par ma mère.

      ou, encore mieux, en 2013 :
      https://syriafreedomforever.wordpress.com/2013/11/22/le-peuple-syrien-ne-se-soumettra-pas-ni-face-au-regim

      Cela n’empêche pas de soutenir la résistance du peuple palestinien, mais son destin est lié à ceux des peuples la région. La route de la libération de Jérusalem passe par Damas, Beyrouth, Amman, le Caire, Tunis…

      (12) Et pour finir : y a qu’à, faut qu’on… (ou : je viens de me merder ma belle révolution en Syrie, je vais t’expliquer comment la réussir au Liban).

      En termes plus positifs, il faut chercher à construire un grand mouvement liant les questions démocratiques et sociales, s’opposant à toutes les forces impérialistes et sous-impérialistes, tout en favorisant des politiques progressises, une transformation sociale par en bas par la construction de mouvements dans lesquels les individus sont les véritables acteurs de leur émancipation.

  • Are Twitter Bots on Yemen and Bahrain Hashtags linked to News Broadcaster Saudi 24? | Marc Owen Jones
    https://marcowenjones.wordpress.com/2016/07/12/are-twitter-bots-on-yemen-and-bahrain-hashtags-linked-to-ne

    This morning, some fellow Tweeps alerted me to the use of similar bots on the #Yemen hashtag, so I did some preliminary tests. Sure enough, the same bots on the #Bahrain hashtag are using the Yemen hashtag to promote the idea of Iranian influence in Yemen, a common trope in Gulf politics. The accounts are indeed the same, and some have changed from Tweeting about Bahrain to tweeting about Yemen. Many still continue to tweet on the #Bahrain hashtag. The most common Tweets on the Yemen hashtag are;

    العوين:مجئ الخوميني هو بداية الشر و اشعال الحروب في المنطقة https://t.co/wkYWbGT3eG#الشيخ_عيسي_قاسم #ايران #Iran #حزب_الله #yemen #Iraq

    (translation: The appearance of Khomeini was the beginning of evil and the spread of wars in the region #Shaykh_Isa_Qasim, #Hezbollah, #Yemen, #Iraq, #Iran

    توجيهات خادم الحرمين بايصال رسالة المملكة للعالم كله ومنها برنامج الإمامة في الخارج https://t.co/QZif2VH3PP#ايران #Iran #حزب_الله #yemen (The custodian of the holy mosques sends a message to the whole world….)

    Of the 11,541 Tweets pulled from the Twitter API over an approximately 48 hour period, around 2,493 appear to be from bot accounts. In the sample, there were approximately 1172 individual bot accounts engaged in polluting the Yemen hashtag with the above tweets. You can see the spreadsheet data here. I have used the same methodology as in previous posts, but have not got into it here (happy to answer questions though)

    The role of Saudi24?
    What is interesting about virtually all the videos analysed on the #Bahrain and Yemen hashtag is that they contain links almost exclusively to the YouTube channel Saudi 24. Saudi 24 is a satellite channel that I am still trying to find more information on. Their Twitter account was set up in July 2012, before the automated Twitter activated seemed to begin. Their live link can be found here. Their website can be found here. The email address given on their Twitter bio is Info@saudi24.tv. They joined YouTube in January 2015, after many of the bot account had been created (On Youtube they have 12,501 subscribers and over 3,743,929 views ). This appears to be the Twitter account of the main presenter, Mohammad Rashid. Their rhetoric seems loosely aligned with state rhetoric. They are anti Islamic State, but antagonistic towards Iran, and sectarian towards the Shia. At the moment the link is speculative, but it does seem unusual that the bots should almost exclusively choose news clips from Saudi 24, when there are plenty to choose from that broadcast a particularly anti-Shia, anti-Iran, sectarian agenda.

  • Hajj Hassan mise déjà sur la reconstruction en #Syrie - P. H. B. - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/983736/hajj-hassan-mise-deja-sur-la-reconstruction-en-syrie.html

    Cette conférence de presse intervient alors que plusieurs pays et organisations internationales ont manifesté ces derniers mois leur volonté de se positionner pour participer à la reconstruction syrienne, qui nécessiterait 180 milliards de dollars sur dix ans, selon la Banque mondiale (BM). Dans son dernier rapport sur l’économie de la zone Mena publié le 13 avril, la BM a également estimé que ce chantier permettrait au #Liban de doper sa croissance à moyen terme – à défaut, cette dernière ne devrait pas dépasser 2,5 % d’ici à 2018.
    Aussi alléchantes soient-elles, « ces perspectives restent toutefois conditionnées à l’établissement d’une paix durable en Syrie », a déclaré à L’Orient-Le Jour M. Hajj Hassan, membre du #Hezbollah, dont la milice combat aux côtés du régime syrien.

  • Pourquoi le Hamas et le Hezbollah restent quand même alliés.
    http://orientxxi.info/magazine/pourquoi-le-hamas-et-le-hezbollah-restent-quand-meme-allies,0831

    Il serait particulièrement tentant d’opposer, depuis 2012, le Hezbollah libanais au Hamas palestinien. La crise syrienne les a incontestablement divisés : la direction du Hamas a depuis trois ans quitté Damas, où certains de ses cadres résidaient, coupant les ponts avec Bachar Al-Assad. C’est une ligne de rupture avec les années 2000. Le Hezbollah s’est quant à lui installé dans une continuité stratégique : celle qui l’unit à Damas et à Téhéran depuis plus de vingt ans. L’opposition entre les deux mouvements est cependant relative.

    #Hamas #Hezbollah #Syrie #sunnites #chiites

  • Les Hariri impliqués dans un réseau de blanchiment d’argent au profit du Hezbollah ? - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/982850/les-hariri-impliques-dans-un-reseau-de-blanchiment-dargent-au-profit-

    Le quotidien Le Parisien rapporte, dans son édition de dimanche, que les services américains et français ont démantelé un vaste réseau de blanchiment de l’argent de la drogue de Colombie, « via un système de commerce de montres et de voitures de luxe destinées au Liban ». Selon l’enquête, le réseau bénéficiait au Hezbollah. mais le nom des Hariri est également cité dans l’enquête. La famille Hariri a démenti tout lien avec l’affaire

    Le #Hezbollah, la #drogue, les #hariri du #liban, hum hum...

  • Echec d’une tentative saoudienne de faire passer une résolution contre le #Hezbollah à l’Onu (As-Safir)
    http://www.lorientlejour.com/article/981069/echec-dune-tentative-saoudienne-de-faire-passer-une-resolution-contre

    L’#Arabie_saoudite a tenté de convaincre les membres du Conseil de sécurité des Nations unies de faire passer une résolution sanctionnant le Hezbollah, mais ses efforts ont été contrecarrés par la Russie et la Chine, rapporte vendredi le quotidien local As-Safir.

    Citant des sources de pays du Golfe, As-Safir explique que les Etats-unis, qui considèrent le Hezbollah comme une organisation terroriste, a également « ignoré » le projet de résolution saoudien.

    En mars, les pays du Golfe, emmenés par l’Arabie saoudite, avaient déclaré le Hezbollah « organisation terroriste ». Cette decision était intervenue alors que les relations entre l’Iran et l’Arabie saoudite, les deux puissances régionales, sont au plus bas. Pour l’Arabie saoudite, le Hezbollah, poids lourd du gouvernement libanais, sert de tête de pont à l’Iran pour s’ingérer dans les affaires des pays arabes.

    L’Arabie saoudite a suspendu en février une aide de 2,6 milliards d’euros au Liban et demandé à ses ressortissants de quitter ce pays. D’autres pays du Golfe ont arrêté et expulsé des citoyens libanais en les accusant de liens avec le Hezbollah.