Histoire de démarrer une recherche plutôt intéressante sur le Webz, un grand tableau impressionnant dans un escalier du musée Fabre : Prisonnières huguenotes à la tour de Constance d’Aigues Mortes, de Michel Maximilien Leenhart
Histoire de démarrer une recherche plutôt intéressante sur le Webz, un grand tableau impressionnant dans un escalier du musée Fabre : Prisonnières huguenotes à la tour de Constance d’Aigues Mortes, de Michel Maximilien Leenhart
La photo chez Kikipédia en ultra-big résolution:
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_Constance#/media/File:Prisonnières_huguenotes_à_la_Tour_de_Constance.jpg
Et donc : Marie Durand
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Durand
Sur ▻http://www.museedudesert.com/article36.html on trouve la liste alphabétique de chacune de ces femmes ce qui permet de « retrouver ces ancêtres protestants » et une brève bio, comme ici
AUGIER ou AUQUIER, Jeanne. Née entre 1676 et 1684, de Clarensac. Veuve de Jean ou Louis Bastide, ménager, laboureur, 5 enfants dont 4 mariés C.A.R. Condamnée en mars 1752 à être rasée et enfermée pour le reste de ses jours à la Tour, ses biens confisqués, déduction faite du tiers pour ses enfants, pour avoir assisté à une assemblée le 13 février 1752 à Clarensac, par l’Intendant de Saint-Priest. Elle a 68 ou 76 ans. Idem pour Suzanne Seguin, Elisabeth Mauméjan, Jeanne Bremond et Marie Picard. Présente sur la liste du boulanger Boulary en 1761, mais « rayée au registre » sur celle de 1763. Sortie entre le 10 mai 1761 et le 30 septembre 1763, ou plus probablement morte en prison. Son fils Jean conteste la validité de la mise en Régie des biens de sa mère, un juriste requis démontre l’illégalité de la saisie des biens ordonnée par les jugements militaires.