• Setting up RESTful API Server for #hyperledger Fabric With #nodejs SDK
    https://hackernoon.com/setting-up-restful-api-server-for-hyperledger-fabric-with-nodejs-sdk-a46

    Learn how to setup a NodeJS server for your #blockchain network to allow multiple users to interact with the chain easily.In our previous article, we learnt about writing your first simple Hyperledger Fabric Chaincode in Go and how to set up your development environment for Hyperledger Fabric. This article focuses on how to build a NodeJS Server with ExpressJS for your Hyperledger Fabric Network.PRE REQUISITESBefore I jump in any further into this article, I will assume that you’re familiar with setting up the network with multiple organisations and also assume that there is a network already running on your machine. (If not please follow our previous articles in completing them.)It’s also great if you have prior experience in the following,JavaScript OOP conceptsJavascript PromiseServer (...)

    #dlt #hyperledger-fabric

  • Elorza, la nueva “moneda” local de Apure
    http://www.el-nacional.com/noticias/economia/elorza-nueva-moneda-local-apure_227234

    José Guerra, presidente de la Comisión de Finanzas de la Asamblea Nacional (AN), reportó que la grave crisis de efectivo ha ocasionado la creación de lo que denominó “mini bancos centrales” que emiten “monedas locales”.

    Los “billetes” de 50.000 y 100.000 Elorzas, presuntamente creados por una alcaldía, buscan paliar la falta de efectivo que se sufre en el ámbito nacional.

    Ante la crisis del efectivo, empiezan a circular monedas locales. Acá está el Elorza, emitido en la ciudad de Elorza, estado Apure”, escribió el legislador en Apure.

    Mêmes causes, mêmes effets : l’#hyperinflation et l’effondrement économique du #Venezuela provoque l’éclosion de #monnaie_locale

  • Hydra : Hypermedia-Driven Web APIs
    http://www.markus-lanthaler.com/hydra
    http://www.hydra-cg.com
    http://www.hydra-cg.com/spec/latest/core

    À utiliser avec JSON-LD donc. Je garde pour plus tard… un jour où je devrais refaire une API…

    Hydra is an effort to simplify the development of interoperable, hypermedia-driven Web APIs. The two fundamental building blocks of Hydra are JSON‑LD and the Hydra Core Vocabulary.

    JSON‑LD is the serialization format used in the communication between the server and its clients. The Hydra Core Vocabulary represents the shared vocabulary between them. By specifying a number of concepts which are commonly used in Web APIs it can be used as the foundation to build Web services that share REST’s benefits in terms of loose coupling, maintainability, evolvability, and scalability. Furthermore it enables the creation of generic API clients instead of requiring specialized clients for every single API.

    #hydra #API #json-ld #spécification #développement #web #hyperliens

  • #LesInrocks - Alain #Damasio : “C’est tout le rapport de l’Occident à l’activité qu’il faut repenser”
    https://www.lesinrocks.com/2018/01/24/actualite/alain-damasio-cest-tout-le-rapport-de-loccident-lactivite-quil-faut-repe

    Alain Damasio : “C’est tout le rapport de l’Occident à l’activité qu’il faut repenser”
    24/01/18 18h15
    PAR
    Mathieu Dejean
    Samedi 27 janvier, une journée de débats est organisée à la Bourse du #Travail de Paris sous le titre : “Tout le monde déteste le travail”. Alain Damasio, écrivain de science-fiction engagé, auteur de “La Horde du Contrevent” (2004), nous en dit plus sur cet événement qu’il a co-organisé.
    Au milieu des années 1950, l’Internationale lettriste regroupée autour de Guy Debord annonçait l’esprit de Mai 68 avec un célèbre graffiti : “Ne travaillez jamais”. Cinquante ans après les “événements” de mai, un collectif souffle sur les mêmes braises réfractaires, et organise le 27 janvier à la Bourse du Travail de Paris une journée de débats et de création artistique sous le titre : “Tout le monde déteste le travail - Rencontres pour qui en a, en cherche, l’évite, s’organise au-delà...”.

    Annoncé sur le site lundimatin, proche du #Comité_invisible, l’événement rassemble la fine fleure de la pensée critique dans ce domaine – la sociologue Danièle #Linhart, le professeur de droit Emmanuel #Dockès, l’économiste Frédéric #Lordon, ou encore le journaliste indépendant Olivier #Cyran (auteur de Boulots de merde ! Enquête sur l’utilité et la nuisance sociales des métiers, 2016) -, mais aussi des syndicalistes, des zadistes et des écrivains (le programme complet est ici).

    Le collectif à son origine est aussi celui qui avait organisé la “chasse aux DRH” le 12 octobre dernier, pour empêcher la venue de Muriel Pénicaud au Congrès des DRH. Alain Damasio, écrivain de science-fiction engagé, auteur de La Zone du dehors et de La Horde du Contrevent, qui a co-organisé ce rassemblement, nous en dit plus.

    Quel est l’objectif de cette journée ?

    Alain Damasio – Lors d’une rencontre sur le plateau de Millevaches (Limousin) fin août avec des gens qui gravitent autour du Comité invisible, des artistes, Frédéric Lordon ou encore Julien #Coupat, on s’est dit qu’il fallait lancer une série d’actions pour lutter contre la deuxième loi travail. La première action, c’était la “#chasse_aux_DRH”. La deuxième, c’est cette journée au cours de laquelle nous allons essayer de déployer nos idées, nos visions, de proposer des choses. L’objectif, c’est de répondre à ces questions qui nous traversent tous : Comment dépasser le travail ? Comment sortir de cette fabrique du travailleur comme figure essentielle ?

    Ces rencontres sont réunies sous l’intitulé “Tout le monde déteste le travail”. Ça vous semble si évident que ça ?

    Le titre est une référence au slogan “Tout le monde déteste la police”, il fait la continuité avec les manifestations contre la loi travail. Il a aussi un côté affectif. Frédéric Lordon explique très bien que les mouvements politiques se déploient lorsqu’ils ont un affect commun. En l’occurrence, nous éprouvons la sensation qu’une majorité de gens souffrent au travail, subissent des conditions d’exploitation de plus en plus subtiles, que la pression du chômage les oblige à accepter. C’est pourquoi nous avons décidé de taper sur le travail, conçu comme une activité soumise à salaire et à un système de contrainte très fort.

    C’est aussi une provocation. Des gens vont lire l’affiche et se dire : “C’est pas possible, moi j’aime mon travail !” En fait, on pousse les gens à s’auto-convaincre qu’ils aiment ce qu’ils font. Quand tu subis une exploitation forte, dans un cadre très contraint car tu dois gagner ta vie, c’est une réaction naturelle. Intérieurement tu souffres et tu détestes ce que tu fais, mais tu as aussi une injonction à être à l’aise, à aimer ce travail. C’est aussi contre ce néo-management que nous nous érigeons.

    “Nous avons décidé de taper sur le travail, conçu comme une activité soumise à salaire et à un système de contrainte très fort”

    Nos vies vous semblent-elles de plus en plus réduites à cette seule activité : le travail ?

    J’ai le sentiment qu’on continue en tout cas à nous faire croire que l’horizon peut être le plein-emploi, qu’il suffit d’y mettre le fric, ou de “libérer” le travail pour qu’on recrée de l’emploi. Je suis convaincu qu’il faut au contraire définitivement enterrer cette idée. Pour moi, l’avenir du travail réside peut-être dans le revenu universel, même si le capital peut s’en accommoder. Cette idée ne fait d’ailleurs pas consensus entre nous.

    En effet il y a une version néolibérale du revenu universel... Comment en faire une mesure vraiment émancipatrice ?

    Les positions des participants à cette journée divergent à ce sujet. Ariel Kyrou, que j’ai fait inviter, a énormément défendu le revenu universel dans le cadre de la revue Multitudes. Pour moi, c’est un plancher minimal à partir duquel tu peux te débarrasser de la nécessité de travailler. Je pense que ça peut libérer énormément d’énergie pour créer, militer, organiser un autre type de vie. Ça ouvre la porte à des alternatives. Beaucoup de gens se moquent d’avoir un statut social. C’est ce que j’ai vu à la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. De quoi vivent-ils ? Ils vivent souvent d’un RSA, et de l’autoproduction. En l’occurrence, le plancher du RSA leur permet de faire des choses fabuleuses localement.

    Entendez-vous revaloriser la paresse, l’oisiveté ?

    Je n’aime pas l’idée de paresse, car elle s’articule comme une négativité par rapport au travail. Par contre, étymologiquement, l’oisiveté vient du terme latin otium. Nier l’otium, ça donne le mot negotium, le "négoce", le commerce, et finalement, ce monde capitaliste dans lequel on est. Nietzsche l’écrivait très bien aux alentours de 1870, avant l’arrivée du marxisme, qui a été très pro-travail : pourquoi prôner le travail, alors que la noblesse spirituelle de l’époque était fondée sur une valorisation absolue de la disponibilité, de l’oisiveté, de la présence au monde, de la contemplation ? On a réussit à inverser cette hiérarchie des valeurs pour faire du travail quelque chose d’indispensable, le nec plus ultra.

    “C’est tout un rapport de l’Occident à l’activité en elle-même qu’il faut repenser”

    L’oisiveté, ce rapport au temps libéré, cette disponibilité au monde, à la nature et aux autres m’intéresse. Prendre ce temps me paraît fondamental. C’est tout un rapport de l’Occident à l’activité en elle-même qu’il faut repenser. En écrivant le texte du programme de cette journée avec Julien Coupat, on s’est posé la question du sens de l’activité. On a une telle compulsion au productivisme ! Moi-même, je n’arrive pas à passer à un rapport à l’activité qui ne soit pas auto-aliénant.

    Les technologies numériques semblent contribuer à accentuer l’emprise du travail sur nous, alors qu’on croyait qu’elles allaient nous en libérer. Pensez-vous qu’on peut mieux les maîtriser ?

    Je pense qu’on est dans un état d’adolescence par rapport aux technologies numériques. Il faudra encore une génération pour atteindre un bon niveau de recul, de maîtrise. Je vois très peu de parents capables d’éduquer leurs gamins aux jeux vidéo. Or s’il n’y a pas de transmission sur ce média, d’école pour éduquer aux jeux vidéo, comment voulez-vous que les gamins ne soient pas bouffés, vampirisés par des jeux addictifs ? C’est pareil pour les réseaux sociaux, les mails, etc. On peut passer des journées seulement en interactions avec des interfaces. Ça, c’est flippant.

    “La liberté est un feu : tout le monde a envie de se mettre autour, mais personne ne va prendre le risque de sauter dedans, d’assumer ce qu’être libre veut dire”

    J’ai l’impression qu’il y a un mécanisme humain de fermeture au monde, de régression fusionnelle avec les outils technologiques. Cela crée des effets de bulle. Le psychanalyste Miguel #Benasayag l’a très bien expliqué dans Plus jamais seul. Les gens veulent rester dans un continuum affectif permanent avec leurs proches, ils ne supportent plus le moment où le lien se coupe, et où on se retrouve seul. Pourtant c’est dans l’absence, dans la rupture du continuum que le désir de l’autre se construit.

    On a réussi à faire de la technologie un magnifique vecteur d’auto-aliénation. C’est ce dont je parle dans La Zone du dehors : on est très forts pour le liberticide. La liberté, c’est un feu : tout le monde a envie de s’en approcher, de se mettre autour, mais personne ne va prendre le risque de sauter dedans, d’assumer ce qu’être libre veut dire, parce que ça brûle, ça crame.

    Quelle #philosophie_du_travail défendez-vous collectivement ?

    Un de nos modèles, c’est la ZAD. La manière dont les zadistes conçoivent quotidiennement l’activité est différente. Elle est auto-générée. Pour construire un bâtiment avec du bois de la ZAD, ils constituent un collectif qui réapprend à faire les charpentes, ils réapprennent un artisanat et retrouvent une continuité naturelle avec la forêt. Il y a une autodétermination de bout en bout, corrélée à un territoire. On passe ainsi d’un statut d’ouvrier à un statut d’œuvrier. L’œuvrier décide lui-même de ce qu’il a envie de faire, du projet qu’il a envie de porter, et le fait avec des gens qu’il a choisis. C’est notre vision générale du travail.

  • Récit à 360°. Trois otages de l’Hyper Cacher témoignent
    https://www.mediapart.fr/journal/france/090118/recit-360-trois-otages-de-l-hyper-cacher-temoignent

    © WDR Trois ans après, trois témoins de l’attentat contre l’Hyper Cacher racontent les longues heures de la prise d’otages, qu’ils ont vécue cachés dans une chambre froide ou à la merci du terroriste #Amedy_Coulibaly. Un documentaire à découvrir en 360°.

    #France #Antisémitisme #Attentat #Hyper_Cacher #juifs_de_France #Montrouge #«Charlie_Hebdo»

  • Récit en réalité virtuelle. Trois otages de l’Hyper Cacher témoignent
    https://www.mediapart.fr/journal/france/090118/recit-en-realite-virtuelle-trois-otages-de-l-hyper-cacher-temoignent

    © WDR Trois ans après, trois témoins de l’attentat contre l’Hyper Cacher racontent les longues heures de la prise d’otages, qu’ils ont vécue cachés dans une chambre froide ou à la merci du terroriste #Amedy_Coulibaly. Un documentaire à découvrir en 360°.

    #France #Antisémitisme #Attentat #Hyper_Cacher #juifs_de_France #Montrouge #« Charlie_Hebdo »

  • « Charlie Hebdo », #Hyper_Cacher : Paris commémore sobrement les #attentats_de_janvier_2015
    https://www.mediapart.fr/journal/france/070118/charlie-hebdo-hyper-cacher-paris-commemore-sobrement-les-attentats-de-janv

    Le président de la République Emmanuel Macron, accompagné d’Anne Hidalgo, la maire de Paris, devait se rendre dimanche 7 janvier sur les différents lieux parisiens des attaques, trois ans après les attentats contre #Charlie_Hebdo et l’Hyper Cacher, au cours desquels 17 personnes ont perdu la vie. À cette occasion, nous vous proposons de relire nos enquêtes les plus marquantes.

    #France

  • « Charlie Hebdo », #Hyper_Cacher : Paris commémore sobrement les attentats de 2015
    https://www.mediapart.fr/journal/france/070118/charlie-hebdo-hyper-cacher-paris-commemore-sobrement-les-attentats-de-2015

    Le président de la République Emmanuel Macron, accompagné d’Anne Hidalgo, la maire de Paris, devait se rendre dimanche 7 janvier sur les différents lieux parisiens des attaques, trois ans après les attentats contre #Charlie_Hebdo et l’Hyper Cacher, au cours desquels 17 personnes ont perdu la vie. À cette occasion, nous vous proposons de relire nos enquêtes les plus marquantes.

    #France #attentats_de_janvier_2015

  • En cadeau de Noel : 10 200 salaires annuels !

    Article 260 - Noël - Papa Arnault fait des donations pour plus de 366 M€ et Carrefour vise le moins-disant social

    Bonsoir

    Papa #Arnault a bien fait les choses pour #Noël : chacun de ses 5 enfants a reçu en donation 189 020 titres LVMH et 88 220 titres #Dior. Chaque enfant va donc bénéficier de 73,249 M€ pour son petit cadeau de Noël ; et Papa Arnault a commencé ses donations par un premier paquet de 366,245 M€.

    Début novembre 2017, Linéaires annonçait le passage d’hypers #Carrefour (Arnault est toujours l’un des principaux actionnaires de Carrefour, avec #Ginette-Moulin - #Galeries-Lafayette) en location-gérance. L’avantage clairement annoncé de ces locations-gérances est la baisse du coût salarial, les nouveaux propriétaires ne devant plus « appliquer les accords collectifs de Carrefour #Hypermarché, et pas davantage la politique d’intéressement ou le plan épargne groupe ».

    Les hypers concernés pèsent en moyenne 120 personnes, et ont un chiffre d’affaires annuel qui démarre à 25 M€. La donation Arnault représente donc environ (à 30 M€ en moyenne de CA par an) 12 hypers/an de chiffre d’affaires (et le coût salarial chargé dans un hyper Carrefour est de l’ordre de 14% du chiffre d’affaires). La donation correspond en conséquence à environ 85 hypers en coût salarial annuel pour 120 personnes par hyper ; soit l’équivalent de 10 200 salaires annuels !

    Vive l’égalité, la fraternité ... et la liberté d’exploiter ... #En-marche.

    Benoit Boussemart

  • Escaping the city : The coming rise of #mass_digital_nomadism - Factor
    http://factor-tech.com/connected-world/7909-escaping-the-city-the-coming-rise-of-mass-digital-nomadism

    Cet article date de 2014, je le référence ici pour les archives (oui, je fais du ménage...)`

    In the future many of us will live in nomadic, tech-savvy communities away from urban areas, according to Montreal-based trend forecasting agency Logomachy.

    This will occur because of a dramatic rise in the number of us working as freelancers, coupled with an increase in the cost of living in cities. Urban life will become simply too expensive for many of us to manage, and technology will mean there is no need for us to live in any specific location.

  • Un quart des #salariés français en état d’#hyperstress
    http://www.miroirsocial.com/actualite/15295/un-quart-des-salaries-fran-ais-en-etat-d-hyperstress

    Notons d’abord l’importance du phénomène du stress au travail, avec près d’un quart des individus en état d’hyperstress, dangereux pour leur santé. Les femmes sont un peu plus touchées que les hommes alors que cadres et non-cadres sont également concernés. Les taux d’hyperstress augmentent aussi légèrement avec l’âge. En fait, les plus grandes différences concernant les taux d’hyperstress s’observent en fonction des secteurs d’activité.

    Environ la moitié de ces salariés présente des niveaux élevés d’#anxiété et un salarié sur six est sans doute atteint d’une pathologie anxieuse. Les niveaux dépressifs élevés sont nettement moins fréquents, ne touchant que moins d’un tiers des salariés. Les états dépressifs caractérisés semblent ne toucher qu’un seul salarié sur 15. Les manifestations anxieuses et dépressives sont plus fréquentes chez les femmes, augmentent avec l’âge et varient selon les secteurs d’activité.

    Les sources de stress au travail (les facteurs de risques psychosociaux) sont extrêmement nombreuses et leur grande diversité apparaît dans les résultats de cette étude. Les exigences liées au travail et les changements se détachent nettement, ainsi que le manque d’autonomie et de reconnaissance. Les relations au travail semblent moins responsables du stress des salariés.

    • Il semble même avoir actuellement une certaine homogénéité des sources de stress au travail, touchant de façon finalement assez identique tous les salariés, alors qu’il n’y a pas un même niveau d’homogénéité en ce qui concerne les niveaux de stress ressentis par les salariés. C’est en tout cas ce que montre cette étude.

      J’ai du mal à croire que le stress généré par le harcelement sexuel que subissent les femmes au travail ne soit pas une source de stress particulière et le texte ne parle pas non plus du stress lié au racisme qui doit avoir un impacte sur certain·e·s salarié·e·s. Une source de stress identique entre tous les salarié·e·s ca me semble impossible.

    • à l’abattoir, il n’y a pas que les animaux qui sont stressés. Les cochons finissent en pâté et les salarié.es passent à la moulinette.
      https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/journal-breton-saison-2-58-la-fabrique-du-silence-1-a-labattoir



      https://www.humanite.fr/marre-de-suer-sang-et-eau-pour-engraisser-cooperl-ils-ont-decide-de-parler-

      Commentaire désabusé de Marie-Jeanne Meunier : « En cas d’accident, la direction préfère appeler un taxi. S’ils préviennent les pompiers, la gendarmerie ouvrira nécessairement une enquête sur l’origine de l’accident. » La direction refuse de communiquer les statistiques concernant accidents du travail et maladies professionnelles. Mais les salariés de Lamballe montrent du doigt leur corps amoché. « Épaules, coudes, poignets, on a tous les TMS (troubles musculo-squelettiques) imaginables, soupire une ouvrière. C’est à force de répéter les mêmes gestes, debout à la chaîne, pendant 20 ans… »

      #stress

    • Le compte-rendu radio sur france cul parlait plus précisément de ces états d’hyperstress (pathologique). L’étude les relie visiblement à la numérisation du travail qui provoque des changements incessants dans nombre de métiers. Avec pour conséquences « une perte d’autonomie des salariés » et de « grandes difficultés à imaginer ce que sera leur métier dans plusieurs années, et donc à s’y projeter » (je cite de mémoire).

  • Crise de civilisation : passer d’un monde illimité à un monde en perdition
    https://reflets.info/crise-de-civilisation-passer-dun-monde-illimite-a-un-monde-en-perdition

    L’état des #populations qui composent les grandes démocraties est préoccupant. Lorsque les analystes de tous bords parlent de la « crise de la démocratie » en cours, ou de crise « sociale », « institutionnelle », ce qu’ils ne nomment pas […]

    #France #Tribunes #1982 #beaufs #dichotomie_politique #économie_de_la_croissance #financiarisation #hyperconsommation #hypocrisie #limitation_des_ressources #monde_limité #mondialisation #système_capitaliste

  • Jupiter se mue en Atlas, par Guillaume Berlat Proch et Moyen Orient.ch - Guillaume Berlat - 2 octobre 2017

    http://prochetmoyen-orient.ch/jupiter-se-mue-en-atlas

    « La parole est au peuple. La parole du peuple, c’est le souverain » (Charles de Gaulle). Manifestement, le président de la République est omniprésent sur la scène intérieure et sur la scène internationale, pris d’une boulimie jamais égalée de paroles même à l’époque de Nicolas Sarkozy…1 Pour ce qui est des actes, nous jugerons dans quelques mois. Emmanuel Macron veut transformer la France (Cf. les ordonnances sur la loi travail que nul ne conteste en réalité), changer le monde (Cf. son discours devant la 72e Assemblée générale de l’ONU à New-York le 19 septembre 20172) et aujourd’hui refonder l’Europe (Cf. son discours devant des étudiants venus de toute l’Europe dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne le 26 septembre 2017)3. Alors que l’Union européenne est marquée par un signe d’usure qui compromet son avenir (Cf. mise en route de la négociation sur le « Brexit », désaccord sur la répartition des migrants décidée il y a deux ans, sur l’évolution de la zone euro, mise en cause par la Hongrie et la Pologne du socle des valeurs fondamentales de l’Union et , ce qui est plus grave encore, sur les objectifs du projet européen), le docteur Macron livre urbi et orbi le diagnostic du mal qui frappe l’Europe et le remède miracle qu’il a dans sa trousse à outils4. Dans quel environnement se situe cette intervention ? Quel est son contenu ? Quelle pourrait être la suite de cette intervention ?

    L’ENVIRONNEMENT DE L’INTERVENTION
    Environnement global : il n’y a pas que des bonnes nouvelles
    Hormis, une légère remontée dans les sondages d’opinion, les jours précédant la divine intervention n’ont pas apporté que de bonnes nouvelles. Emmanuel Macron doit encaisser deux mauvaises nouvelles. Sur le plan intérieur, les résultats des élections sénatoriales du 24 septembre sont décevants pour la République en Marche. Surtout, ils augurent mal d’une possible majorité des deux tiers requises pour faire adopter sa réforme constitutionnelle comportant entre autres une réforme de la Justice alors que le président de la République veut exporter le modèle juridique français chez tous les mécréants. Le 28 septembre 2017, il était censé prononcer un important discours sur le thème de la sécurité qu’il annule en dernière minute. Sur le plan extérieur, le résultat des élections législatives en Allemagne du 24 septembre 2017 est pour le moins inquiétants au regard de son projet de réforme de l’Union économique et monétaire5. Le moins que l’on puisse dire est qu’ils ne correspondent pas entièrement au souhait d’Emmanuel Macron pour son projet de refondation de l’Europe6. En particulier, Berlin risque de ne pas suivre Paris sur son projet de réforme de la zone euro7 défendu fort à propos par un des conseillers du président de la République lorsque ce dernier était à Bercy8. Pire encore, son Europe rêvée9, ses ambitions risquent d’être contrariées par l’Allemagne. Il est vrai que nos partenaires européens, qui connaissent la France sur le bout du doigt, attendent des actes après les paroles.

    Environnement européen : la vie continue comme si de rien n’était
    Rappelons qu’après avoir prononcé son auguste intervention, Emmanuel Macron se rend à Lyon pour participer à un sommet franco-italien (27 septembre 2017) avant de s’envoler vers l’Estonie pour participer à un sommet européen sur le numérique (29 septembre 2017). On comprend bien que l’architecte-pompier Jupiter est sur tous les fronts à la fois. Pour ce qui est de sa vision de l’Europe, le sujet n’est pas entièrement vierge. Il l’évoque déjà dans son entretien à l’hebdomadaire Le Point dans lequel il qualifie la France de « phare de l’Europe »10. Mais, surtout, il formule des propositions particulièrement concrètes et détaillées dans des interventions publiques officielles : son discours prononcé lors de la semaine des ambassadeurs (29 août 2017)11 qu’il reprend pour certaines et les approfondissant lors de son intervention sur la colline du Pnyx, face au Parthénon, symbole de la démocratie, à Athènes (7 septembre 2017). « Aujourd’hui la souveraineté, la démocratie, la confiance sont en danger”, lance-t-il au premier jour de sa visite d’Etat en Grèce. « Ce soir, je veux que collectivement nous retrouvions la force de refonder notre Europe, en commençant par l’examen critique sans concession de ces dernières années » Emmanuel Macron réclame la création d’un parlement de la zone euro et indique qu’il faut que « nous puissions pendant six mois organiser des consultations, des conventions démocratiques ». Le ton est donné. Aux grands maux, les grands remèdes. Qu’en est-il de sa prestation à la Sorbonne à l’occasion de laquelle il veut faire la « pédagogie de son action » ?

    LA SUBSTANTIFIQUE MOËLLE DE L’INTERVENTION
    Débuté avant 35 minutes de retard (ne dit-on pas que l’exactitude est la politesse des rois), cette « initiative européenne » de 90 minutes est interminable, parfois lyrique, mystique12, parfois délirante, décousue, technocratique, partant dans tous les sens avec une inflation d’effets d’annonce. Si l’on prend la liberté de reconstruire ce discours, on pourrait l’organiser autour des trois axes suivants.

    Diagnostic notarial : l’Europe va très mal
    L’Europe est une idée ancienne qu’il faut nous réapproprier car les États membres se sont endormis sur leurs lauriers, pris par la langueur et l’habitude et par leur goût immodéré pour la bureaucratie. Ils ont laissé s’installer le doute. Ils ont bâti un édifice à l’abri des peuples en confiant leur sécurité à l’Amérique et leur économie à la mondialisation. Nous avons collectivement ignoré que le passé pourrait revenir. Or, il revient à travers le souverainisme, le repli, le protectionnisme et l’indentitarisme, toutes choses contre lesquelles nous pensions être immunisés. Aujourd’hui, l’Europe est faible, lente et inéquitable. Face aux nombreux défis mondiaux, nous devons préparer l’avenir. L’Europe doit défendre ses intérêts et ses valeurs en recherchant un équilibre dépassant ses divisions internes. Elle doit se fixer un cap autour de quelques principes simples débouchant sur une souveraineté européenne. Tout le discours est émaillé de références aux pères fondateurs (Monnet à Schumann) sans oublier pour les personnalités qui comptent, Jacques Delors. Il prend parfois un ton lyrique, enflammé qui nuit à la pertinence du propos. Le diagnostic revient à tous les endroits du discours, amoindrissant ainsi sa portée. Un hymne à la jeunesse que nous ne devons pas décevoir en lui consacrant la part importante qui lui revient dans nos réflexions et dans nos actions.

    Remèdes conceptuels : les six clés de la souveraineté européenne
    La construction d’une Europe forte passe par les six clés de la souveraineté européenne : (1) défendre notre sécurité (capacité européenne autonome de défense) ; (2) assurer notre souveraineté en maîtrisant nos frontières et en préservant nos valeurs (traiter humainement les vrais réfugiés et renvoyer les autres, travailler à la stabilisation des pays d’origine de l’immigration) ; (3) développer une politique étrangère en partenariat avec l’Afrique ; (4) préparer la transition écologique en développement un modèle économique et alimentaire nouveau (sécurité et souveraineté alimentaire) ; (5) préparer la révolution numérique (définir un cadre juridique approprié qui protège les libertés individuelles) ; faire de l’Europe une puissance économique et industrielle (à travers le développement d’une union économique et monétaire). Le président de la République marque son attachement à la culture, l’éducation, au triangle souveraineté/unité/démocratie, au respect de l’état de droit de manière décousue.

    Remèdes concrets : un inventaire à la Prévert de propositions
    À suivre l’exposé jupitérien, l’auditeur attentif est pris d’une sorte de tournis, bombardé qu’il est d’initiatives qui partent dans tous les sens sans la moindre hiérarchisation et sans le moindre chiffrement : initiative européenne d’intervention ; académie européenne du renseignement ; parquet européen contre la criminalité organisée et le terrorisme ; office européen de l’asile ; police des frontières européenne ; force européenne de protection civile ; aide publique européenne au développement financée par une taxe européenne sur les transactions financières13 ; budget européen de la zone euro, ministre des finances de la zone euro ; taxe carbone européenne ; fonds européen d’enquête de lutte contre les fraudes alimentaires ; marché européen de l’énergie ; expertise scientifique européenne indépendante (Cf. le scandale des glyphosates14) ; agence européenne de l’innovation numérique ; universités européennes ; harmonisation et reconnaissance des diplômes universitaires et secondaires ; Erasmus élargi ; obligation de parler deux langues européennes ; commission réduite à 15 membres ; élargissement de l’Union européenne à tous les pays respectant des valeurs (Balkans en particulier), voire demain au Royaume-Uni ; institution d’une Europe à plusieurs vitesses ; communautarisation des élections européennes en deux temps (2019 et 2024) ; lancement de conventions démocratiques sur l’avenir de l’Europe ; procureur commercial européen ; nouveau partenariat avec l’Allemagne (traité franco-allemand à l’occasion du 75e anniversaire du traité de l’Élysée) ; lancement immédiat d’un groupe de la refondation européenne….

    Que peut-on imaginer pour l’avenir proche et lointain de cette refondation de l’Union européenne qui va au-delà d’un mini-compromis15 ?

    LA SUITE DE L’INTERVENTION
    À l’évidence, comme souvent dans ses interventions, le discours de la Sorbonne pose problème dans sa méthodologie que dans son contenu.

    Méthodologie jupitérienne : la com’ d’abord et avant tout
    On peut tout d’abord s’étonner que les principales propositions contenues dans le discours du président de la République (déjà évoquées à Paris et à Athènes) se retrouvent dans les principaux médias plusieurs heures avant son prononcé. Du bon travail de l’équipe de communication de l’Élysée pour qui l’important n’est pas tant dans le contenu que dans l’annonce ! En raison de la politique de l’essuie-glace, cet évènement est destiné à être remplacé par un autre dans les heures qui suivent. Un discours éphémère pour une durée de vie éphémère. On peut ensuite, du point de vue de nos partenaires européens, au premier rang desquels les Allemands qui se trouvent dans une période délicate de composition d’un gouvernement de coalition, se poser la question de savoir s’ils apprécient cette méthode qui se trouve à l’opposé de la méthode communautaire et de la confiance minimale entre Berlin et Paris. Dans le langage courant, on appelle cela mettre quelqu’un au pied du mur. Encore une fois, Emmanuel Macron est pris à son propre jeu. À Berlin, on évoque en termes pudiques « une bonne base de travail ». Ce qui signifie, tout est à revoir en termes moins diplomatiques.

    On ne peut dans le même temps stigmatiser les souverainistes et s’inspirer de leur démarche pour jouer perso comme dans certains sports collectifs. Cela s’appelle une contradiction dans les termes. Pour renforcer sa main dans la construction européenne, la meilleure méthode est la persuasion dans la discrétion pour créer un momentum en sa faveur. La pire des méthodes est l’arrogance dans l’ostentation. Forcer la main conduit le plus souvent à braquer ses partenaires ! Telle est la principale leçon que tirent les diplomates ayant une bonne pratique de la diplomatie multilatérale. Prendre date en proposant sa vision de l’Europe est une chose, respecter ses partenaires en est une autre. Emmanuel Macron a tendance à confondre ces deux démarches pour forcer le destin. Nous ne sommes pas certains que cela ne soit pas perçu comme une forme d’arrogance à la française, venant d’un pays qui n’est pas un parangon de vertu, en particulier sur la question des déficits budgétaires. Le risque est grand que tout son édifice ne se délite au fil des semaines et des mois comme un vulgaire château de cartes. Notons au passage que le lendemain de ce discours, le premier ministre présente son projet de loi de finances 2018 qui fait apparaître les gagnants (Défense, écologie, justice, éducation, sécurité et asile) mais également les perdants au premier rang desquels figure le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (moins de crédits, moins d’emplois) qui est censé porter ce projet pharaonique. Où se situe la logique de cet exercice au pays de Descartes ?16 On peine à la trouver surtout pour un ministère régalien comme le Quai d’Orsay. Finie les déclarations d’amour de la semaine des ambassadeurs.

    Contenu irréaliste : la stratégie n’est pas au rendez-vous
    À lire et à relire l’interminable discours d’Emmanuel Macron, on peine à trouver un cap clair avec quelques objectifs précis et quelques mesures susceptibles de remettre l’Europe sur les bons rails dans un avenir rapproché. C’est une logorrhée à jet continu. L’exercice oral auquel s’est livré le président de la République, devant un parterre d’étudiants européens, relève de la parole ou de la prophétie auto-réalisatrice. Pas plus qu’à l’ONU, la semaine précédente, la saturation en propositions européennes – qui pour la plupart d’entre elles ont peu de chance d’être retenues – ne constitue la méthode pour avancer dans la bonne direction même s’il y a urgence. Il faut malheureusement donner du temps au temps pour construire la confiance. Les premières réactions allemandes sont pour le moins distantes surtout au moment où Siemens avale Alstom17. Au pays du pragmatisme, on quantifie les propositions et on prend ses distances. On ne peut critiquer l’approche structurelle et la pratiquer à outrance en proposant la mise en place de toute une série de structures. Commençons par faire mieux fonctionner celles qui existent par un effort de rationalisation et travaillons à la mise en place d’un multilatéralisme efficace. Le reste suivra forcément. Si les partenaires sont enclins à réformer l’Europe, nul ne donne son aval aux propositions concrètes, c’est que l’on qualifie « d’accueil poli »18. Tout le monde sait à Bruxelles que le diable est dans les détails. Le « macronisme », fondé sur du bricolage fait de bric et de broc19 ne semble pas être la meilleure approche pour répondre à des questions existentielles qui sont au cœur de la construction européenne, de sa survie à l’avenir. Il n’est pas aussi la meilleure manière de traiter nos amis allemands dont l’économie n’a jamais été aussi florissante20. Or, qu’en est-il aujourd’hui de la réalité du couple franco-allemand ? Le couple franco-allemand est un leurre. La France et l’Allemagne n’ont plus les mêmes intérêts convergents dans la construction européenne21.

    À Emmanuel Macron qui fait état d’un « consensus commun » (pléonasme, ou bien il y a consensus ou bien il n’y en a pas) entre Européens sur la nécessité de refonder l’UE au lendemain d’un dîner informel à Tallinn où ses propositions pour l’avenir de l’Europe ont reçu un « accueil poli mais prudent », la présidente lituanienne, Dalia Grybauskaite, sur Twitter, avant le dîner, a ainsi mis en garde ses partenaires : « Attention à éviter les mirages dans le désert ». Tout est dit en peu de mots.

    « L’hyperinformation et l’hypercommunication n’apportent pas de lumière dans l’obscurité »22. Transparence et pouvoir sont difficilement compatibles. Qui sème l’indécision, récolte l’incompréhension ! Aller encore plus loin en prônant un saut fédéraliste qui ne dit pas son nom (toujours plus d’Europe alors qu’on critique son inertie), c’est faire un cadeau en or à ceux qui rêvent de voir l’Union européenne exploser en vol. Alors, on fait des annonces de réforme pour donner le change, pour pouvoir dire que l’Europe continue et se transforme. Mais cette frénésie d’annonces risque surtout de masquer l’impuissance de l’Europe à se ressaisir et, par voie de conséquence, de la France à peser dans le débat. Car cela ne changera pas grand-chose23. « Vox clamantis in deserto ». Finalement, l’Europe a deux ennemis : ceux qui ne l’aiment pas et ceux qui l’aiment mal24. Emmanuel Macron aura peut-être, sans le vouloir, réussi le tour de force de réconcilier les deux extrêmes. La seule question important à laquelle ne répond pas Emmanuel Macron est de savoir si les 27/28 États membres voudront ou non, un jour prochain s’interroger sur la raison d’être de l’Europe au XXIe siècle et sur quelques objectifs simples unanimement partagés. Faute de quoi, il y a fort à parier que toutes les mesures proposées par le chef de l’État à la Sorbonne soient de nature à enrayer la crise de l’euro, à contrecarrer les forces centrifuges qui sont de plus en plus fortes, à enrayer l’absence de solidarité entre États membres, à empêcher la dislocation des règles européennes et cela en dépit de la mue récente de Jupiter en Atlas voulant porter l’Europe à lui tout seul.

    Guillaume Berlat 2 octobre 2017
    1 Grégoire Poussielgue, Macron n’entend laisser aucun temps mort, Les Échos, 25 septembre 2017, p. 3.

    2 Guillaume Berlat, Un prédicateur à Manhattan, www.prochetmoyen-orient.ch , 25 septembre 2017.

    3 Erik Emptaz, Europe Hop Hop !, Le Canard enchaîné, 27 septembre 2017, p. 1.

    4 Discours du président de la République, Emmanuel Macron sur la refondation de l’Europe, Sorbonne, 26 septembre 2017, www.elysee.fr , 27 septembre 2017.

    5 Dominique Quinio, L’Allemagne dans l’Europe, La Croix, 25 septembre 2017, p. 25.

    6 Bqstien Bonnefous/Cédric Pietralunga/Solenn de Royer, Un long dimanche de contrariétés pour Macron, Le Monde, 20 septembre 2017, p. 10.

    7 Cécile Ducourtieux/Jean-Pierre Stroobants, Berlin risque d’être plus réticent à la réforme de la zone euro, Le Monde, 26 septembre 2017, p. 6.

    8 Shahin Vallée/Pierpaolo Barbieri, « Il faut un budget pour la zone euro », Le Monde, 26 septembre 2017, p. .21.

    9 Éditorial, L’Europe rêvée d’Emmanuel Macron, Le Monde, 28 septembre 2017, p. 24.
    
10 Guillaume Berlat, Jupiter fait le point, www.prochetmoyen-orient.ch , 11 septembre 2017.

    11 Guillaume Berlat, Zeus a rendez-vous avec Hermès : vers une diplomatie de la transformation ?, www.prochetmoyen-orient.ch , 4 septembre 2017.

    12 Bastien Bonnefous/Solenn de Royer, Macron un président très spirituel, Le Monde, 24-25 septembre 2017, p. 8.

    13 Kemal Dervis, Une refonte de l’aide au développement pour réguler les flux de migrants, Le Monde, 28 septembre 2017, p. 7.

    14 Stéphane Foucart, Glyphosate : la France en pleine cacophonie, Le Monde, 27 septembre 2017, p. 7.

    15 Collectif, L’Europe mérite mieux qu’un mini-compromis, Le Monde, 28 septembre 2017, p. 7.

    16 Service international, Planète et société, Défense, écologie, éducation… les gagnants, Le Monde, 28 septembre 2017, p. 10.

    17 Martine Orange, Alstom-Siemens, un nouveau bradage industriel, www.mediapart.fr , 27 septembre 2017.

    18 Cécile Ducourtieux, L’accueil poli des Européens aux idées de Macron, Le Monde, 30 septembre 2017, p. 6. 

    19 Jean-Pierre Robin, Le « macronisme », du bricolage fait de bric et de broc, et fier de l’être, www.lefigaro.fr , 24 septembre 2017.

    20 Allemagne : Macron a la « trouille », Le Canard enchaîné, 27 septembre 2017, p. 2.

    21 Cécile Ducourtieux/Solenn de Royer, Macron détaille sa vision de l’Europe en ménageant Merkel, le Monde, 28 septembre 2017, p. 3.

    22 Byung-Chul Han, La société de transparence, PUF, 2017, p. 76.

    23 Martine Orange, « Le couple franco-allemand est un leurre », www.mediapart.fr , 26 septembre 2017.

    24 Jack Dion, La folle complainte des eurolâtres, Marianne, 22-28 septembre 2017, pp. 50-51.

    Articles repris par Les Crises https://www.les-crises.fr/jupiter-se-mue-en-atlas-par-guillaume-berlat
    #macron #discours #pensée #communication #médias #hypercommunication #union_européenne

    • Bonjour @alain1 Alain

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      Tu devrais trouver un titre d’émission qui te permettra de me reconnaitre.
      Il y a moyen d’envoyer un mail.

      Sinon, par l’intermédiaire de « Poser une question » ou de contact sur le site de la Radio.

      Cela peut te paraitre compliqué, mais mettre une adresse mail en direct sur le web, c’est se faire spamer.

      Amicalement,
      André

  • Le procureur de Lille fait appel dans l’affaire Hermant LVDN - Lakhdar Belaïd - 19 Octobre 2017

    Après les débats en septembre puis le délibéré rendu le 9 octobre dernier, le procureur de Lille fait appel dans l’affaire Hermant.

    Le 9 octobre dernier, le tribunal de Lille condamnait Claude Hermant, 54 ans, à sept ans de prison. Sa femme, Aurore Joly, écopait de cinq années, dont trois avec sursis. Le premier est une ancienne figure de l’ultra-droite identitaire régionale. Il est resté incarcéré. Son épouse a conservé la liberté. Avec huit autres prévenus, ils avaient comparu pour des achats ou des ventes d’armes de guerre importées de Slovaquie.


    Condamné à sept ans de prison
    Contre Hermant, le parquet avait réclamé dix ans de détention et une très forte amende. L’homme avait finalement été puni de sept années et de 30.000 € d’amende. Gestionnaire d’un snack à Lille, sa femme avait reçu une peine aménageable hors détention. Les deux procureurs de l’audience avaient réclamé six ans «  secs ».

    Soupçonné d’avoir servi d’intermédiaire entre le réseau Hermant et le tueur de l’Hyper Cacher Amedy Coulibaly, le Roubaisien Samir Ladjali a lui été condamné à cinq ans de détention. Le ministère public en avait réclamé six. Enfin, il y a Sébastien L. Ce douanier était jugé pour un achat d’arme à titre personnel. Tablant sur une relaxe, il avait finalement été condamné à huit mois avec sursis. Pour lui aussi, le procureur de la République réclame un retour dans le prétoire. Dans ce dossier, Hermant a toujours assuré avoir agi en infiltré de la gendarmerie.

    http://www.lavoixdunord.fr/249333/article/2017-10-19/le-procureur-de-lille-fait-appel-dans-l-affaire-hermant

    A propos de cette affaire, sur SeenThis
    https://seenthis.net/messages/630556
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    https://seenthis.net/messages/577558

    #claude_hermant #extréme_droite #armes #Amedy_Coulibaly #Hyper_Cacher #attentats #police #douane #gendarmerie #indicateurs #balance #ultradroite_lilloise #Trevidic #identitaires #Lille #troisième_voie #Hervé_Rybarczyk #Ashtones #gendarmes #douaniers #La_citadelle #collusion #etat_d’urgence #charlie_hebdo #Facholand

  • Digitization Won’t Provide the Predicted Revolution in Container Shipping, Says Alphaliner – gCaptain
    http://gcaptain.com/digitization-wont-provide-the-predicted-revolution-in-container-shipping-s

    Predictions that the current crop of disruptive digital start-ups will revolutionize container shipping has been disputed by a leading liner analyst.

    Alphaliner this week suggested that, despite the considerable hype and hundreds of millions of dollars raised by freight and logistics start-ups in Silicon Valley and elsewhere, evidence suggests that the container shipping industry is peculiarly resistant to being radically transformed.

    Since the first generation of shipping portals was launched in 2000, the container shipping market has not seen any transformative change in the way business is conducted,” it said.

    The three main multi-carrier shipping platforms, INTTRA, GT Nexus and CargoSmart, provide only basic software service solutions to handle cargo bookings, shipping instructions, track and trace and exception management and reporting.

    It added that attempts by carriers to create freight e-commerce platforms and marketplaces had “flopped”, while the partnership between Chinese e-commerce platform Alibaba with a number of carriers since last year “have generated very little volumes, despite the initial fanfare”. And a logistics cooperation with China Shipping was launched in 2014, but was “silent within its first year”.

    Alphaliner further argued that the award of an NVOCC license to Amazon to book freight on the China-US transpacific route triggered “a stream of speculations on how Amazon could potentially revolutionize the shipping industry”.

    But, it said: “More than a year after Amazon’s entry, its actual shipping volumes remain very small and the company has failed to produce any disruptive breakthroughs in the shipping market.

    However, investors and tech analysts alike have put their money behind a slew of projects, while bankers have eagerly arranged huge loans for would-be acquirers to consolidate their position in the sector.

    #disruption vs #hype

    #transport_maritime #containers

  • Disparition des terres agricoles : enquête sur un business qui rapporte - France 3 - 27 septembre 2017 - En replay
    http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-3/pieces-a-conviction/pieces-a-conviction-du-mercredi-27-septembre-2017_2381690.html


    Ce soir sur France 3

    Les #terres_agricoles sont en danger : l’équivalent d’un département disparaît tous les cinq ans. Et le prix de ces terres ne cesse d’augmenter : + 35% en dix ans, trop cher pour les jeunes agriculteurs qui n’ont plus les moyens de s’installer.

    Pourquoi les prix s’envolent-il ? D’abord à cause de la puissance financière des promoteurs qui achètent des terres au prix fort pour y construire #hypermarchés, #autoroutes, lignes de train à grande vitesse, #aéroports, #stades

    #tgv #développement #gpii

  • Tiers-lieux, hyper-ruralité, télétravail : la Fédération des PNR fait de la géographie — Géoconfluences

    http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/veille/tiers-lieux-pnr

    Un rapport de la Fédération des Parcs naturels régionaux illustre plusieurs notions utiles à l’étude des espaces ruraux et périurbains en France.

    Serge Jamgotchian et Pierre André, Les Parcs naturels régionaux, des territoires d’innovations pour le développement des tiers-lieux, étude de la Fédération des Parcs naturels régionaux, avril 2017. (pdf)

    La notion de tiers-lieu est ainsi définie comme les « environnements sociaux se distinguant des deux principaux que sont la maison et le travail ». Elle renvoie au glissement de mobilités longtemps décrites comme pendulaires à des mobilités triangulaires.

    L’étude aborde également d’autres phénomènes comme l’uniformisation des pratiques entre urbains et ruraux ou l’émergence du coworking et du télétravail. Elle commet toutefois un contresens sur l’hyper-ruralité en citant un extrait du rapport Bertrand qui ne rend pas justice aux travaux de son auteur, lesquels alertaient les pouvoirs publics sur les contraintes fortes pesant sur les espaces ruraux les plus isolés.

    Ce document donne un autre regard sur les espaces ruraux et les Parcs naturels régionaux, présentés comme territoires d’innovation, certes dans une tonalité parfois proche du marketing territorial.

    #france #environnement #parc_naturels #hyper_lieux #tiers_lieux

  • Un policier soupçonné d’avoir transmis des informations à un suspect des attentats de Bruxelles et Paris RTBF avec Agences - 21 Septembre 2017
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_arrestation-d-un-policier-soupconne-de-partager-des-donnees-d-un-dossier

    Un agent de police de la zone Bruxelles Nord a été placé sous mandat d’arrêt lundi pour violation du secret professionnel et corruption. Il est soupçonné d’avoir révélé des données confidentielles à des personnes impliquées dans un dossier de terrorisme, selon les informations de La Dernière Heure, publiées également jeudi dans Het Laatste Nieuws.

    D’après la VRT, il aurait partagé via WhatsApp des informations avec Yassine Atar, inculpé depuis juin pour assassinats terroristes etparticipation aux activités d’un groupe terroriste en qualité de dirigeant, en lien avec le dossier belge des attentats de Paris. Le frère de celui-ci, Oussama Atar, est suspecté d’être le commanditaire des attentats du 22 mars à Bruxelles. Les frères Atar sont également les cousins des frères El Bakraoui, qui se sont fait exploser à Zaventem et Maelbeek. La prise de contact daterait d’avant les attentats. Le contenu des conversations n’est pas connu.

    Enquête du comité P depuis plusieurs semaines.
    L’agent de police en question, un ancien employé de la Stib, travaillait au sein du dispatching de la police de la zone Nord (Schaerbeek, Evere, Saint-Josse). Il faisait l’objet d’une enquête du comité P depuis plusieurs semaines.

    Une juge d’instruction bruxelloise spécialisée dans les affaires terroristes est descendue en personne l’arrêter lundi et a procédé à une perquisition dans la foulée. L’individu a été placé en cellule à la prison de Saint-Gilles et il devrait comparaître devant la chambre du conseil de Bruxelles fin de cette semaine, voire début de la suivante, lundi au plus tard.

    #Attentats #Police #Bruxelles #Paris

  • La défense torpille les certitudes de l’accusation et plaide la relaxe envers l’« indic » Claude Hermant
    http://www.lavoixdunord.fr/219140/article/2017-09-16/la-defense-torpille-les-certitudes-de-l-accusation-et-plaide-la-relaxe-

    Pour l’avocat de Claude Hermant, un « indic » des douanes puis des gendarmes poursuivi pour trafic d’armes en bande organisée, dont six ont servi à Amedy Coulibaly dans l’attentat de l’Hyper Cacher, a plaidé samedi à Lille la relaxe de son client. Le jugement a logiquement été mis en délibéré. Décision dans trois semaines.

    Claude Hermant, 54 ans, figure de l’extrême droite identitaire lilloise, en détention provisoire depuis janvier 2015, est le principal mis en cause dans cette méandreuse affaire comptant dix prévenus et portant sur quelque 500 armes , jugée en correctionnelle après deux ans et demi d’instruction.

    Sept heures de plaidoirie sans pause déjeuner : le dernier jour du procès de Claude Hermant et de ses présumés complices a connu un épilogue étonnant. Ce n’est pas la seule raison pour laquelle les conseils de la défense ont avoué être restés sur leur faim. Non.

    « C’était le bal des faux culs »

    C’est plutôt sur la qualité des débats et, notamment, de la déposition des gendarmes entendus à huis clos. « C’était le bal des faux culs, ils nous ont pris pour des truffes » , a ainsi résumé en termes colorés Me Maxime Moulin, l’avocat de Claude Hermant, lequel a toujours affirmé avoir travaillé pour la gendarmerie à infiltrer le milieu. « Quand on ment sous serment, ça s’appelle un parjure », a grondé Me Chérifa Benmouffok, avocat de Samir Ladjali, accusé d’être le maillon entre Hermant et Coulibaly, l’auteur de l’attentat de l’Hyper Casher.

    Me Muriel Cuadrado pouvait bien sourire. « C’est la première fois dans ma carrière, qui est pourtant longue, que je vois la police téléphoner à un présumé gros trafiquant d’armes de guerre pour qu’il se présente le lendemain de lui-même dans leur service ! En fait, il s’agissait surtout de prévenir Claude Hermant pour qu’il s’enfuit le plus loin possible. Au Congo, par exemple. C’est clair qu’on a voulu protéger l’institution après la tuerie. »

    « Qu’on m’apporte une preuve »
    Sinon, l’accusation en a pris pour son grade dans des proportions aussi larges que celles des épaules de Claude Hermant. « Cette affaire, a torpillé Me Benmouffok, est une insulte à notre démocratie, à notre constitution, à notre code et à nos valeurs. » C’était dit. Dès l’heure du petit-déjeuner, Me Pascal Leroy avait planté le décor : « Qu’on m’apporte une preuve, une seule preuve, il n’y a rien, que des estimations. » Ce à quoi Chérifa Benmouffok ajoutait : « je n’ai vu et entendu que des sous-entendus, c’était truffé de contradictions, absurbe et ubuesque. » Conseil d’Aurore Joly, la compagne d’Hermant, Me Guillaume Ghestem s’interrogeait lui-aussi : « j’aurais aimé qu’on me démontre où se trouve l’association de malfaiteur ? »

    Premier avocat à être entré dans ce dossier il y a près de trois ans et dernier à plaider ce samedi, Maxime Moulin a, comme ses confrères, entraîné le tribunal sur le terrain du doute. Et principalement sur celui des armes de son client qu’il qualifiait « d’objets juridiques non identifiés. »

    Ce très long plongeon dans les abysses du droit communautaire aura-t-il été efficace ? Marc Trévidic et ses assesseurs le diront lundi 9 octobre à 14 h.
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    Dix ans de prison requis contre Claude Hermant
    http://www.lavoixdunord.fr/218486/article/2017-09-15/dix-ans-de-prison-requis-contre-claude-hermant

    « Manipulation, immense escroquerie, mensonges… » Il s’agit d’un procès pour trafic d’armes. Claude Hermant, ancien animateur du lieu de vie identitaire la Maison Flamande, est soupçonné d’en avoir importé au moins 250 armes entre 2013 et 2015.
    . . . . .
    Le Lillois a, dit-il, été un indicateur de la gendarmerie. Fort de ce statut, le prévenu a fourni des armes à des membres de la pègre afin de mieux infiltrer celle-ci. « Il y aurait donc déni de la collaboration de Claude Hermant à l’œuvre de justice », ironise le magistrat.
    . . . . .
    près de soixante vidéos de rencontres avec des enquêteurs auraient été réalisées. « Au final, il n’y en a qu’une » , rappelle le procureur. Celle-ci représente un douanier filmé à son insu, également poursuivi pour avoir acquis une arme à « titre personnel », ayant utilisé Hermant comme informateur.
    . . . . . .
    « Hermant a été aviseur des douanes de 2010 à 2012, rappelle Jean-Philippe Navarre. Pour combien d’affaires ? Zéro. »
    . . . . .
    il a été indicateur très actif de la gendarmerie, laquelle l’aura finalement lâché par peur des ricochets des attentats de Paris de janvier 2015. Au moins cinq armes passées par le système nordiste ont, estiment les enquêteurs, atterri dans les mains d’Amedy Coulibaly.
    . . . . .
    Selon Hermant, les gendarmes lui ont donné un accord pour « travailler sur Samir L. », également dans le box. « Dans les rapports de contact (rédigés par les militaires), dans les mails (échangés par les enquêteurs et leur indicateur), le nom de Samir L. n’est pas cité une seule fois »
    . . . . .
    Hermant, un infiltré ? « De la poudre de perlimpinpin !
    . . . . .
    dix ans de prison demandées contre Claude Hermant.
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    Claude Hermant, au fil des audiences
    http://www.lavoixdunord.fr/218720/article/2017-09-15/claude-hermant-au-fil-des-audiences
    . . . . . .
    À 54 ans, Claude Hermant présente un CV aussi impressionnant que sa carrure d’Hercule. Le patron de la Frite rit, rue Solférino, assure avoir été mercenaire. Pour avoir guerroyé en Croatie dans les années 1990 ou encore au Zaïre (actuel République démocratique du Congo). Le Lillois se présente également comme un ancien du DPS, le service d’ordre du Front national. Enfin, cet ancien animateur du lieu de vie identitaire la Maison Flamande est fiché S
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    Incarcéré depuis début 2015, cet étrange prévenu au casier judiciaire vierge assure avoir été lâché par la section de recherche de la gendarmerie. Hermant jure avoir travaillé avec ses enquêteurs. Mission : faire venir de Slovaquie des armes de guerre démilitarisées pour les revendre à des truands.
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    Une partie de cet arsenal atterrira entre les mains d’Amedy Coulibaly. Et là, grosse panique chez les gendarmes qui lâchent Hermant. Voilà la version hurlée par ce dernier depuis son interpellation.

    Quand il prend enfin la parole face à un enquêteur ayant été son officier traitant, c’est (surprise !) pour défendre un douanier (également poursuivi) qu’il aura filmé (à son insu) manipulant une arme de guerre. « À une époque, je me méfiais de lui, lance le prévenu aux juges. Ce n’est plus le cas. Je m’aperçois qu’il était malmené par sa hiérarchie. » Douanier ou gendarmes, ses ex-agents traitants sortent secoués de leur interrogatoire.
    . . . . . .
    « Je suis un spécialiste de l’infiltration », insiste Hermant. Et de donner l’exemple d’un trafic d’armes qu’il aurait aidé à démanteler il y a quinze ans. D’extrême droite, Hermant ? « J’ai infiltré des réseaux nazis pour les casser, assure le Lillois. L’idéologie nazie, je la vomis. L’idéologie d’extrême droite, je la vomis. L’idéologie d’extrême gauche, je la vomis ! » On passe de la nébuleuse au brouillard.

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    #claude_hermant #extréme_droite #armes #Amedy_Coulibaly #Hyper_Cacher #attentats #police #douane #indicateurs #balance #ultradroite_lilloise #Trevidic #identitaires #Lille #troisième_voie #Hervé_Rybarczyk #Ashtones #gendarmes #douaniers #La_citadelle #collusion #etat_d’urgence #charlie_hebdo #Facholand

  • Procés claude hermant à Lille, 13 & 14 Septembre.

    Un colonel de gendarmerie décrypte la gestion des « indics » devant le tribunal de Lille 13 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/217326/article/2017-09-13/un-colonel-de-gendarmerie-decrypte-la-gestion-des-indics-devant-le-trib

    Soupçonné d’avoir importé des centaines d’armes de guerre, Claude Hermant, ancien animateur du lieu de vie identitaire La Maison flamande, face à ses juges depuis lundi, assure avoir agi en tant qu’informateur de la gendarmerie. Celle-ci jure que non. Devant le tribunal, un colonel de la section de recherche de Lille s’est acharné, ce mercredi matin, à dynamiter sa version.

    L’homme est raide dans son costume gris. Le cheveu coupé en brosse et le ton martial, le colonel X. rappelle l’histoire des indics. Soulignant que Vidocq, grand flic originaire du Nord, en était friand. Puis la loi, toute la loi, rien que la loi. La loi Perben II du 13 mars 2004 autorise et encadre l’utilisation des « aviseurs » par les services d’enquête. Sur le plan plus local, le colonel X. est formel. La section de recherche (SR) du Nord-Pas-de-Calais, qu’il dirige depuis 2014, a toujours respecté ce cadre, y compris les circulaires affinant son application. Interpellé pour avoir importé des armes de Slovaquie, soupçonné d’en avoir fourni de grandes quantités à un Roubaisien censé alimenter des réseaux de gangsters, Claude Hermant, 54 ans, assure avoir agi en concertation avec des gendarmes de la SR de Lille.

    Le chef de ce service est, lui, formel. Les directives gendarmerie interdisent de nombreuses actions. Comme l’infiltration, la provocation à la commission d’infractions ou la non-dénonciation de délits et de crimes. « La SR de Lille applique scrupuleusement les directives de la direction centrale, martèle le colonel X. J’ai déjà personnellement lancé des procédures judiciaires contre des sources, y compris de mes propres services, car elles avaient commis des infractions. »

    Le cas spécifique Claude Hermant ? L’officier admet que la figure de l’ultradroite lilloise a été recrutée par son service en mars 2013. Le patron du snack lillois la Frite Rit sera finalement définitivement radié le 3 avril 2015. « J’ai fait le choix de le désinscrire de la liste des sources et de le blacklister, complète le colonel X. J’ai également personnellement appuyé la demande de déclassification des rapports concernant Hermant. » Et d’insister sur le cadre réglementaire : chaque rencontre avec un « indic » est suivie d’un rapport. « M. Hermant a fait l’objet de douze échanges, suivis de douze compte rendus, martèle l’officier. Ils ont tous été déclassifiés. » Si Claude Hermant, fiché S, a trafiqué des armes, ce n’est pas avec l’aval, y compris occulte, de gendarmes espérant ainsi faire tomber des groupes mafieux. Certainement pas.

    Deux bémols cependant soulevés par le président Marc Trevidic. Les rapports déclassifiés comportent souvent des parties largement noircies avant livraison aux juges d’instruction. Il existe visiblement un fichier national des sources blacklistées. Et ce afin d’éviter qu’un service d’enquête récupère un aviseur considéré comme peu fiable par un autre. Selon les débats, la douane est censée avoir blacklisté Claude Hermant en 2012. Cela n’a pas empêché la gendarmerie de le recruter un an plus tard. Emmanuel Riglaire, avocat d’un douanier poursuivi dans ce dossier, rappelle que Claude Hermant n’a pas été blacklisté par la douane.

    Trois enquêteurs de la SR de Lille doivent être entendus ce mercredi par le tribunal. À huis clos.

    Des gendarmes sérieusement malmenés à l’audience 13 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/217675/article/2017-09-13/des-gendarmes-serieusement-malmenes-l-audience

    En ce troisième jour du procès Hermant, trois gendarmes étaient invités à témoigner. Les enquêteurs ont été les agents traitants de la figure de l’ultra-droite régionale recrutée comme indicateur. Au même moment, Hermant importait des d’armes de guerre. Un très mauvais moment face aux juges…

    Ancien animateur du lieu de vie identitaire La Maison flamande, Claude Hermant assure avoir importé des armes de guerre démilitarisées entre 2013 et 2015. L’arsenal provient des stocks d’AFG, une société slovaque. Depuis son interpellation, en janvier 2015, Hermant revendique une couverture offerte par la gendarmerie. Mis en cause dès l’arrestation d’Hermant, les gendarmes jurent n’avoir jamais autorisé une telle activité à « Claude », comme l’appelle l’un des trois militaires convoqués à la barre.

    Hermant a été recruté comme indicateur de gendarmerie en 2013. En 2014, la section de recherche démantèle un trafic d’armes. Nom de code du dossier : « Armes 62 ». Le patron du snack lillois la Frite rit les aide également à faire tomber un trafic de cannabis indoor.

    Une bonne recrue, Hermant ? Fait troublant, à la barre, deux militaires se souviennent avoir entendu le suspect citer le nom d’AFG en février 2014. Le colosse leur expliquera également que des « gens des quartiers cherchent comment s’approvisionner en armes ». Enfin, les militaires rapportent un épisode où Hermant leur a exhibé une arme présentée comme « démilitarisée », mais facile à remettre en état. Pour le premier militaire, il s’agit d’un « pistolet ». Pour l’autre, d’un « petit pistolet-mitrailleur ». Tout ça un an avant que n’éclate l’affaire Hermant.

    Les avocats de la défense peuvent se mettre à hurler. « Et à ce moment-là, vous ne vous dites pas, au moins, qu’Hermant peut être l’organisateur ? », s’emporte Cherifa Benmouffok. « Nous travaillons alors sur le dossier Armes 62 », riposte l’enquêteur. Hasard du calendrier, dans cette affaire, quatre personnes ont été condamnées mardi à Lille.

    Défenseur de Claude Hermant, Maxime Moulin pose, lui aussi, le doigt partout où ça fait mal. Les contradictions, les oublis, les erreurs, les mélanges de détails, les incohérences. Et, avec ces trois militaires, il y en a beaucoup. Dans le box, Hermant peut ricaner. Lui qui assure avoir été lâché après les attentats de Paris en 2015.

    L’un des trois gendarmes a connu Hermant par l’intermédiaire d’un douanier. Poursuivi lui aussi, ce fonctionnaire est assis juste derrière le militaire. Ce dernier lance un œil dans le prétoire et annonce : « Je ne vois pas, ici, l’homme qui m’a présenté Hermant. » L’arme que le principal suspect a un jour montré aux enquêteurs ? « Je pensais qu’Hermant voulait la recycler pour le paintball », explique le témoin. Stupeur dans la salle… Et quelques beaux moments de malaise.

    Après les gendarmes « fusillés », le douanier « crucifié » 14 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/218153/article/2017-09-14/apres-les-gendarmes-fusilles-le-douanier-crucifie

    Ce mercredi, trois gendarmes venus témoigner au procès Hermant sont repartis secoués. Leur gestion d’une « source » nommée Hermant, a été décriée par plus d’un avocat. Ce jeudi, le douanier ayant présenté le leader de l’ultra-droite aux militaires a subi un sort analogue. Le peloton d’exécution étant fourni par le parquet.

    La scène est un classique des séries TV américaines. Le FBI planque une caméra pour confondre des gangsters récupérant des matières illégales. Dans la vraie vie, ici : la cible du piège est un douanier. Le cinéaste amateur ? Un « aviseur ». En clair, un indic nommé Claude Hermant. En 2013, cet ex-animateur du lieu de vie identitaire Maison flamande invite l’officier de renseignement. « Je m’en méfiais, assure aujourd’hui Hermant. Il me demandait de prendre de plus en plus de risques. »

    Le leader de l’ultra-droite lilloise planque alors une caméra dans une boîte estampillée Dora l’exploratrice et, à l’arrivée de S. L., 42 ans aujourd’hui, pose une Kalachnikov sur la table. La vidéo dépeint le douanier manipulant largement le joujou.

    Aujourd’hui, S. L. est poursuivi pour avoir acquis une Kalachnikov « à titre personnel ». Il s’est même rendu chez les enquêteurs de la PJ de Lille pour l’admettre. Au président Marc Trevidic, cet homme, maintenant en arrêt maladie pour « burn-out », explique n’avoir jamais acheté d’armes, mais avoir subi des pressions de la part de sa hiérarchie pour passer aux aveux. Pas le choix, la PJ aurait en main une vidéo présentant cet achat.

    Dorénavant, et sans image crédible au dossier, rétropédalage à la barre. Comme le glissait lundi l’avocate Cherifa Benmouffok, un parfum de barbouzerie flotte sur le prétoire. En 2012, la douane écarte Claude Hermant de sa liste d’aviseurs. S. L. le présente alors à la gendarmerie. Tout en continuant de travailler avec lui. Hermant, « source » chez les militaires, « correspondant » pour un douanier désormais défendu par Emmanuel Riglaire.

    Sur leur perchoir, les procureurs Cyndra Celino et Jean-Philippe Navarre remontent leurs manches. S’ils ont été compréhensifs avec les gendarmes, ces deux-là seront sans pitié avec S. L. Il veut se reconvertir dans la formation de douaniers ? Les magistrats l’interrogent sur… la déontologie. Seuls les douaniers professionnels sont autorisés à pratiquer des infiltrations.

    Et, à la barre, S. L. décrit comment il a noyauté un trafic de tabac à chicha à Anvers. Dans le rôle du cheval de Troie : Claude Hermant, maintenant soupçonné d’avoir importé des armes par centaines. Le président Trevidic part alors dans une longue mise en garde sur les dérapages, s’attardant lourdement sur les récentes affaires de douaniers ripoux. Malaise… Sauf pour un acteur majeur. Claude Hermant semble le seul à tenir debout sur cette toile d’araignée où plus d’un paraît s’engluer.

    Christophe, l’homme parti lui-même acheter ses armes de guerre 14 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/218188/article/2017-09-14/christophe-l-homme-parti-lui-meme-acheter-ses-armes-de-guerre

    Christophe D. a, un temps, travaillé à la Frite rit de Claude Hermant. Finalement en froid avec la grande gueule de l’ultra-droite régionale, cette armoire à glace a pris sa voiture pour, lui-même, acheter des armes de guerre en Slovaquie. Quelques semaines à peine après les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher.

    Quand il croise les mains dans le dos, le public peut se poser une question très simple. Comment la police parvient-elle à menotter ce prévenu dans le dos ? Entre des bras ultra-musculeux et des trapèzes hypertrophiés, la manœuvre semble impossible. Avec Claude Hermant, cinquante-quatre ans, et Samir L., un Roubaisien de trente-deux ans, Christophe D. est le troisième prévenu du dossier Hermant à être en détention provisoire. Sept autres comparaissent libres. Cet ancien videur de cinquante et un ans a été interpellé le 10 juin 2016 à sa descente d’avion. Le Lillois arrivait de République Tchèque, où il venait de passer quatorze mois… en prison.

    Comme d’autres acteurs de ce dossier tentaculaire, Christophe D. a, un temps, travaillé à la Frite rit, rue Solferino. Ce snack où Claude Hermant est soupçonné d’avoir stocké des armes de guerre venues d’Europe de l’Est. L’ancien responsable du lieu de vie identitaire la Maison flamande est suspecté d’avoir inondé la pègre sous un arsenal allant de 150 à 250 armes. Christophe D., crâne rasé à la barre, fricote avec une tête de l’extrême droite qu’il accusera finalement de l’avoir « exploité ». Dans le prétoire, il donne le sentiment d’avoir été le parfait « go between » entre les marchands lillois de pistolets mitrailleurs et quelques caïds du boulevard de Metz. Pas vraiment la même couleur (politique). « Mon client a connu des personnes de ce quartier par le biais de son métier de videur », élude Faustine Broulin, l’avocate du suspect. Christophe D. serait donc un (très solide) pilier de la vie nocturne lilloise. La légende veut qu’il a empêché le kidnapping d’un patron de boîte de nuit, l’arrachant du coffre de voiture où ce commerçant avait été jeté.

    « Avez-vous mis Claude Hermant en relation avec Samir L. ? », interroge le président Trevidic. La question n’est pas anodine. Le trafic reproché au patron de la Frite rit est censé « exploser » avec l’arrivée du Roubaisien dans le circuit. Certaines de ces armes atterrissant, semble-t-il, entre les mains d’Amedy Coulibaly, le tueur de l’Hyper Cacher, à Paris, en janvier 2015. Pataud, confus, Christophe D. répond par des bougonnements. On peut prendre cela pour des dénégations. À la barre, le prévenu consacre du temps à se plaindre de Claude Hermant.

    Sous le regard noir de son ex-employeur, Christophe D. évoque également la police à plusieurs reprises, chez qui il va largement s’épancher. Au point d’agacer le président. « Bon, votre commissaire-psychiatre P… », le mouche le magistrat.

    Reste ce voyage en Slovaquie. En 2015, Christophe D. déboule chez AFG, l’entreprise qui, un temps, envoyait des armes par colis en France. Elle s’y refuse désormais. Le Lillois débarque en Slovaquie. À la frontière tchèque, contrôle. « Ils n’ont pas cru que j’étais français », s’offusque le contrevenant. L’homme part en prison. Selon la police tchèque, Christophe D. a reconnu vouloir revendre ses emplettes une fois rentré. Face aux juges lillois, il proteste et soulève « une erreur de traduction ». « C’était pour moi », martèle dorénavant le prévenu.

    Au tour de Murielle Cuadrado de se lever. « Vous avez expliqué avoir une technique, relève l’avocate. Vous dites : « Je me fais passer pour un babache »… » Son vis-à-vis approuve. « Ici aussi, vous jouez au babache ? », assène l’une des défenseures de Samir L.

    #claude_hermant #extréme_droite #armes #Amedy_Coulibaly #Hyper_Cacher #attentats #police #douane #indicateurs #ultradroite_lilloise #Trevidic

  • Frieden’s Next Act : Heart Disease and Preparing for New Epidemics - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2017/09/12/science/tom-frieden-heart-disease-epidemics.html

    After running the Centers for Disease Control and Prevention for eight years under President Obama, Dr. Thomas R. Frieden is starting a global health initiative that will focus on two big areas: heart health and epidemic preparedness.

    Called #Resolve, it is funded with $225 million over five years by Bloomberg Philanthropies, the Chan Zuckerberg Initiative and the Bill and Melinda Gates Foundation. The program will be based at Vital Strategies, a public health nonprofit in New York, the city where Dr. Frieden served as health commissioner under Mayor Michael Bloomberg.
    […]
    The top priority
    Hands down, blood pressure control is the most important thing you can do in health care. Globally, we’re at 14 percent control. U.S. is about 54, 55 percent. At the C.D.C. we did a couple of pilots; Malawi went from 0 to 35 percent in 15 months.

    You can have big improvements, but you’ll only do that if you simplify treatment, if you decentralize it so people close to the patient can do it and if you use an information system that tells you how you’re doing.

    All the medicines are generic. The costs that people are paying and that governments are paying are probably well over twice as much as they need to be.

    If you decided as a country or a state or a province or a world, we’re going to use these four drugs, your costs would come down many many fold.

    Of the 1.5 billion today people with #hypertension 1.1 billion don’t have it controlled.

  • Understanding #hyperemesis_gravidarum
    http://www.theaustralian.com.au/news/latest-news/understanding-hyperemesis-gravidarum/news-story/5add1a2c90d0d8794717133dcac26103

    (avec un peu de grec et de latin, ça se comprend tout seul…)

    WHAT IS IT?
    A severe form of nausea and vomiting affecting pregnant women that can put the mum and baby at risk because the woman can’t retain and utilise food and fluids.

    SYMPTOMS
    Constant nausea and severe vomiting that can lead to dehydration and cause an imbalance in electrolytes. Women can lose more than five per cent of their body weight as well as suffer headaches, fatigue, confusion, fainting and jaundice.

    HOW COMMON IS IT?
    It’s estimated to affect about one per cent of pregnant women.

    WHEN DOES IT START?
    Usually between the first four to six weeks and symptoms don’t usually improve until between 15 and 20 weeks but can last the entire pregnancy.

    TREATMENT
    Women with milder forms are advised to change diet, rest and take antacids. With more severe forms women are hospitalised so they can have their food and liquids closely monitored and usually require an intravenous drip.

    CAUSES
    Experts still don’t fully understand the causes but experts describe it as a complex physiological disease with multiple causes. They say aggressive care early in pregnancy is vital to prevent life-threatening complications such as central pontine myolinolysis or Wernicke’s encephalopathy.