• TAY : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DEVENUE NAZIE EN 24H SUR TWITTER
    https://www.youtube.com/watch?v=mtpanIOCRQw

    « De même qu’après avoir détruit la planète, exterminé une immense partie des espèces animales et appauvri les neufs dixièmes des êtres humains au profit d’une minorité toujours plus réduite de bénéficiaires, le capitalisme finira nécessairement par se dévorer lui-même, les réseaux sociaux, par nature, ne seront plus un jour peuplés que par deux espèces : les trolls et les agents conversationnels, et ils seront indiscernables. Parce que le danger représenté par l’Intelligence artificielle n’est pas que des machines puissent commencer à penser comme nous.

    Le danger, c’est que nous puissions nous mettre à penser comme elles. Le problème n’est pas que les agents conversationnels soient des cons. Le problème, c’est que, à force de coexister avec eux et de vivre dans un milieu favorable à leur expansion, nous finissions par éteindre notre sensibilité afin de devenir leurs semblables. »

    Chroniqueur : Pacôme Thiellement
    Réalisateur : Mathias Enthoven
    Montage : Camille Chalot
    Images : Ameyes Aït-Oufella
    Son : Baptiste Veilhan
    Graphisme : Adrien Colrat
    Diffusion : Maxime Hector
    Production : Thomas Bornot
    Rédaction en chef : Soumaya Benaissa

    #Tay #troll
    #Intelligence
    #Infernet

  • La connexion sociale virtuelle vire aux liaisons en Métaverse.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4325

    Alors que les législateurs n’ont pas encore affiné les textes régissant Internet, Métaverse pointe sous drapeau de nouvelle socialisation. Les réseaux sociaux du Web ont déblayé le terrain des esprits limités par les frontières, le paysage dont dispose l’humain est un espace d’échanges, de défis, de constats, de dénonciation, de solidarité, de projets et tant d’autres réflexions communes à tous et dans l’intérêt commune. Le nouveau espace de communication que « métaverse » prône donne tribune aux spéculations. Qu’en-est-il ? #TECHNOLOGIE,_INTERNET,_PERFORMANCES_INCLASSABLES

    / facebook, twitter, google+, #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, #IA_:_Intelligence_Artificielle, #Data_-_Données, censure, presse, journaux, dictature, expressions, liberté, Sciences & (...)

    #facebook,_twitter,_google+ #censure,_presse,_journaux,_dictature,_expressions,_liberté #Sciences_&_Savoir

  • A Note About Today’s Wordle Game - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2022/05/09/crosswords/a-note-about-todays-wordle-game.html

    At New York Times Games, we take our role seriously as a place to entertain and escape, and we want Wordle to remain distinct from the news.

    Today’s New York Times Wordle Answer is Fetus
    https://gizmodo.com/new-york-times-apologizes-after-wordle-of-the-day-is-fe-1848898991

    Emotions are running high around the word “fetus” after last week’s news about the possible end to Roe V. Wade and women’s right to safe abortion.

    F-E-T-U-S is also a five-letter word, so some people were more than a little surprised when it ended up as one of the answers to Monday’s Wordle.

    NYT’s Wordle swap part of an ongoing gaming debate
    https://www.axios.com/2022/05/09/wordle-new-york-times-political-games

    The New York Times’ decision to change Monday’s Wordle answer is part of a long-running debate about how politically charged games should be.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #jeu_vidéo_wordle #the_new_york_times #the_new_york_times_games #actualité #politique #mots_croisés #débat #polémique #fœtus #vocabulaire #justice #législation #états-unis #everdeen_mason #naomi_clark #jeu_vidéo_far_cry_6 #jeu_vidéo_call_of_duty #ian_bogost #roe_v_wade

  • L’humeur de la planète sondée grâce aux réseaux sociaux
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/04/26/l-humeur-de-la-planete-sondee-grace-aux-reseaux-sociaux_6123724_1650684.html

    L’humeur de la planète sondée grâce aux réseaux sociaux
    Une vaste étude, portant sur l’état affectif de 11 millions de personnes dans 100 pays pendant le premier confinement, illustre l’émergence de sciences sociales dites computationnelles, aux fondements épistémologiques encore fragiles.
    Par Laure Belot
    Publié le 26 avril 2022 à 12h00 - Mis à jour le 26 avril 2022 à 12h00

    Article réservé aux abonnés

    L’intelligence artificielle va-t-elle devenir un outil banal pour sonder de façon massive et en temps réel les citoyens ? De plus en plus de chercheurs s’y attellent. Ainsi, l’exceptionnelle situation pandémique de 2020, pendant laquelle plus de 4 milliards de personnes ont été confinées, a permis à une équipe pluridisciplinaire de scientifiques du MIT (Etats-Unis), de l’Académie des sciences de Pékin et du Max Planck Institute de Berlin de réaliser une étude inédite : suivre, à l’aide des réseaux sociaux Twitter et son équivalent chinois Weibo, l’état affectif de 11 millions de personnes de 100 pays sur cinq mois, du 1er janvier au 31 mai 2020.
    La publication qui en découle, « Preuve globale de l’altération des sentiments exprimés pendant la pandémie du Covid-19 » (Nature Human Behaviour, 17 mars), représente, mappemondes à l’appui, l’évolution du « bien-être » de ces populations, l’hypothèse étant que ce bien-être est corrélé à ce que l’on exprime en ligne : plus on se plaint, moins on se sent bien dans la vie, et vice-versa. Afin d’éviter la pollution de certaines campagnes politiques, les scientifiques se sont limités, pour constituer cette énorme base de données de 650 millions de messages géolocalisés et anonymisés, à ceux qui ne se référaient pas directement au Covid-19.
    Comme on pouvait s’y attendre, la baisse du moral est nette sur la période étudiée, accentuée notamment après le 11 mars, date à laquelle l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que la crise liée au Covid-19 relevait d’une pandémie. En moyenne, cette plongée est presque cinq fois plus importante en amplitude que le passage « d’un dimanche, journée habituellement la plus heureuse de la semaine, à un lundi », précise Nicolas Guetta-Jeanrenaud, un des auteurs, étudiant-chercheur au MIT. Des pays tels l’Australie, l’Espagne, le Royaume-Uni et la Colombie ont été particulièrement affectés, bien plus que la Tunisie et la Grèce, par exemple. La France se situe dans la moyenne.
    Pour mesurer la capacité de récupération des populations face à ce fléau, les chercheurs ont identifié un indicateur fort disparate, le nombre de jours après lequel le moral revient à mi-parcours. Ce délai est d’à peine 1,2 jour pour les messages géolocalisés en Israël contre 14 en France et 29 en Turquie. Au terme des cinq mois étudiés, d’ailleurs, seuls 18 % des pays n’ont pas récupéré leur niveau de moral exprimé en janvier 2020, 35 % y sont tout juste et 46 % l’ont dépassé. « Ces résultats ne doivent pas être interprétés par la seule résilience émotionnelle des populations », commente l’étude. Dans cette période, où la perspective de trouver un vaccin était encore lointaine, « ces indicateurs reflètent tout autant la sévérité de la pandémie que les mesures de santé publique prises localement ».Enfin, ces économistes, sociologues et data scientists (statisticiens de la donnée) ont cherché à qualifier l’impact du premier confinement sur le moral. La forte hétérogénéité des résultats obtenus « a particulièrement surpris l’équipe, reconnaît Nicolas Guetta-Jeanrenaud. Nous n’avons pas trouvé de différences statistiquement significatives ». A l’échelle d’un pays, les citoyens ont donc exprimé des sentiments contradictoires, allant tout autant du gain de sécurité à la perte de liberté ou à la crainte de voir disparaître un emploi. Par contre, une tendance plus précise est apparue : plus un pays avait des citoyens qui se sentaient malheureux avant la période du Covid-19, plus les réactions au confinement étaient exacerbées.
    Les auteurs soulignent d’emblée les limites de l’étude. « Nous savons que tout le monde n’est pas sur Twitter et Weibo et que le bien-être des citoyens est un concept subjectif, qui ne possède pas de mesure standardisée, reconnaissent-ils. Nous savons également que ce type d’analyse, naissante, ne permet pas encore de faire le lien avec la santé mentale. » Pour autant, estiment-ils, de telles recherches peuvent apporter une aide complémentaire à la décision pour les puissances publiques.
    Au-delà même de ces résultats, que préfigure une telle recherche ? « Nous sommes au tout début d’une nouvelle discipline intitulée “computational social sciences”. Les sciences sociales sous stéroïdes, dopées par les données et les algorithmes », commente le pionnier français Guilhem Fouetillou, à la fois professeur-chercheur au Médialab de Sciences Po et fondateur de Linkfluence, une entreprise qui, depuis quinze ans, décrypte les tendances sur le Web et les réseaux sociaux pour des entreprises ou des institutions.
    Tenter d’analyser les données massives pour donner du sens à ce qui se trouve en ligne n’est pas une nouveauté. « Cela a été initié par des physiciens et sociologues tels Albert-Laszlo Barabasi et Duncan Watts, au tournant du XXIe siècle, pour modéliser le Web, se souvient Guilhem Fouetillou. Les sciences sociales ont essayé de s’en emparer pour avoir un discours sur la société, il y a une décennie. C’est maintenant que ce type d’analyse est technologiquement plus accessible. »Ainsi, les paroles en ligne de ces 11 millions de citoyens écrites posément ou sous le coup de l’émotion pendant ces cinq mois ont pu être analysées par une technique de traitement du langage naturel récente et en accès libre, le Bidirectional Encoder Representation from Transformers (BERT). Il s’agit d’« un réseau de neurones profonds, qui prend en compte la syntaxe globale de la phrase et pas seulement les occurrences de mots positifs ou négatifs », explique Nicolas Guetta-Jeanrenaud. Google a entraîné cette intelligence artificielle sur Wikipédia, entre autres, et l’a rendue publique en 2018. D’où la possibilité de travailler sur des messages en 65 langues. »
    Ce n’est pas tout. Outre la mise à disposition par Amazon, Google et Facebook de plates-formes de traitement, pour entraîner les algorithmes d’apprentissage supervisé (appelé aussi machine learning), certains Gafam proposent de stocker les données sur leur cloud et « même d’acheter du temps de calcul comme un service », précise Guilhem Fouetillou. Ces moyens nouveaux posent désormais à tout chercheur une question centrale, quand il veut manipuler des données : faut-il le faire si c’est faisable ? « Le risque est de pencher vers la quantophrénie [le gigantisme pour le gigantisme des données], poursuit Guilhem Fouetillou. Il y a quelques années, beaucoup d’études ont été réalisées par des data scientists qui ont multiplié les corrélations sans que l’interprétation apporte de la valeur ajoutée, faute de causalité. »En France, plusieurs nouveaux projets de recherche multidisciplinaires se dessinent. Ainsi, le mathématicien Pedro Ramaciotti Morales, chercheur au médialab de Sciences Po et au Learning Planet Institute (ex-CRI), s’apprête, explique-t-il, à diriger « une équipe spécialisée en modèles mathématiques, modèles sociaux et informatiques afin de mener des recherches à large échelle sur le comportement en ligne, les dynamiques d’opinion, la polarisation et les algorithmes de recommandation ». Il va aussi codiriger un projet financé par le McCourt Institute (fondé par Sciences Po et l’université de Georgetown à Washington), « destiné à produire de la recherche applicable à la gouvernance des technologies, dont les grandes plates-formes du Web, comme les Gafam, qui regroupent une partie considérable des dynamiques sociales et politiques ».Aujourd’hui encore, ajoute Guilhem Fouetillou, « tel un macroscope », les approches analytiques utilisées peuvent être parfois déformantes ou posséder des angles morts. « Nous savons bien décrire les données du Web social, mais nous ne savons pas encore en quoi elles décrivent ou non le monde, estime-t-il. Il nous faut construire un véritable cadre interprétatif de ces données. L’épistémologie de la donnée sociale n’est pas encore établie. »

    #Covid-19#migrant#migration#sante#epidemiologie#IA#santementale#pluridisciplinarité#recherche#confinement#emotion

  • Intelligence artificielle : par-delà le bien et le mal ?
    https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/intelligence-artificielle-par-dela-le-bien-et-le-mal

    Pour une fois une émission pas conne sur l’IA.

    Pour une fois on entend vraiment dire que les réseaux de neurones et les techniques d’apprentissage qui vont avec ne sont pas toute l’IA.

    Pour une fois on entend quelqu’un qui reprend l’animateur en lui disant que dire « une intelligence artificielle » c’est juste complètement débile, c’est faire la supposition d’une entité autonome, ce qu’elle n’est pas.

    Pour une fois on entend dire que les réseaux de neurones artificiels c’est bien mignon mais que c’est à peine de la science : ce sont des boîtes noires dont on ne sait pas expliquer les résultats.

    Pour une fois on entend expliquer qu’en fait les problèmes d’éthique et leur modélisation (logiques déontiques, etc) ben on a pas attendu les medias mainstream pour travailler dessus.

    Haaaa, respiration, je me sens moins seul ! Putain de merci ! À Raja Chatila en particulier.

  • What Star Wars: Squadrons can teach us about reviving classic genres
    https://www.gamedeveloper.com/gdc2022/what-star-wars-squadrons-can-teach-us-about-reviving-classic-genres

    Expanding outward, Frazier explained that the UI team engineering the cockpit controls worked with Lucasfilm Limited to both mirror depictions of the different consoles as seen in the films, and make sure they were readable for gameplay. “We were pretending Incom, making X-Wings, or Sienar Systems, making TIE Fighters,” he said. “We also pretended to be Industrial Light and Magic working in 1977.”

    That meant using cathodes, metal plates, and material that all looked like they were stored in the back of a Van Nuys warehouse in the late ’70s to answer questions that the fictional Star Wars engineers might be asking. Frazier called out that the computer screens in the different ships (even ones that weren’t around for the first film) particularly embodied this philosophy. 

    If you play Squadrons in the highest resolution in VR, you can lean in and see the individual dots creating images in the interface. Similar details were applied elsewhere. Peer closely enough where the canopy and hull meet and you’ll see scuffs in the paint that line up roughly with where a pilot would be repeatedly grabbing the hull to pull themselves in and out of the ship.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #star_wars #jeu_vidéo_star_wars_squadrons #postmortem #gdc_2022 #game_developers_conference_2022 #jeu_vidéo_star_wars_tie_fighter #jeu_vidéo_star_wars_x-wing #ian_frazier #ihm #interface_utilisateur #ux #culture #vr #réalité_virtuelle #ea_motive

  • Hilarant ! : l’intelligence artificielle devrait contribuer pour environ 14.000 milliards d’euros à l’économie mondiale, d’ici à 2030 Par Jean-François Noulet - RTBF

    Proximus lance « ADA » pour miser sur l’intelligence artificielle et la cybersécurité
    https://www.rtbf.be/article/proximus-lance-ada-pour-miser-sur-lintelligence-artificielle-et-la-cybersecurit
    L’intelligence artificielle et la cybersécurité sont au cœur du développement actuel de nos économies. L’intelligence artificielle, ce sont des en quelque sorte des ordinateurs robots, alimentés par des données numériques qui permettent de développer de nouvelles solutions dans de nombreux domaines, tels que la santé, l’énergie, la mobilité, notamment. Cette exploitation de quantités gigantesques données numériques va de pair avec un risque pour la sécurité informatique. La cybersécurité est un enjeu. C’est logique, les risques de cyberattaques augmentent avec l’accroissement de l’utilisation des données numériques. C’est pour se renforcer sur ces deux tableaux et devenir un acteur de premier ordre que Proximus lance « ADA », une filiale dédiée à l’intelligence artificielle et à la cybersécurité.


    Aider la société belge à relever les défis informatiques
    ADA, c’est d’abord un hommage et un clin d’œil à Ada Lovelace, une mathématicienne et écrivaine anglaise de la première moitié du 19e siècle. Elle est considérée comme une pionnière de la programmation informatique.

    Pour créer sa filiale, qui démarrera ses activités le 1er avril, Proximus est parti d’un constat : l’intelligence artificielle et la cybersécurité gagneront en importance dans les années à venir. Que ce soit pour aider à réduire la consommation d’énergie, prédire des erreurs dans les systèmes techniques, améliorer la détection de fraudes, l’intelligence devrait, selon les chiffres cités par Proximus, contribuer pour environ 14.000 milliards d’euros à l’économie mondiale, d’ici à 2030. En Belgique, cela représenterait une contribution de 330 millions d’euros à l’horizon 2024, selon Proximus.

    Parallèlement au développement de cette nouvelle économie numérique, la cybersécurité est essentielle pour lutter contre les cyberattaques et protéger les activités et les données des particuliers et des entreprises.

    Dans ces domaines où les données sont importantes, Proximus estime être « bien placé pour y jouer un rôle de plus en plus important ». Le groupe belge a développé ces dernières années de l’expertise en la matière, tant en Belgique qu’à l’étranger, via certaines de ses filiales. Ainsi, TeleSign, spécialisé dans les services d’identité digitale et des solutions logicielles « est un partenaire de confiance pour 8 des 10 plus grandes entreprises du monde », affirme Proximus. BICS, autre filiale, est un leader mondial dans le domaine des communications digitales.

    La création de Proximus ADA devrait, selon Guillaume Boutin, le CEO de Proximus, « permettre d’accélérer cette position de leader » et « contribuer à faire de la société belge une société prête au futur ».

    Pour permettre à ce projet de se développer, le CEO de Proximus insiste sur la nécessité d’avoir « des réseaux de dernière génération » pour « permettre cette sécurisation des données ». Avoir des réseaux de « très haut débit » est, explique le CEO, essentiel. Il rappelle l’importance du déploiement de la fibre optique. 

    Miser sur les talents belges
    A son lancement, ADA emploiera une cinquantaine de collaborateurs. L’objectif est d’arriver à 150 personnes d’ici trois ans. Ce que recherche Proximus, ce sont des « experts locaux ». L’idée est de nouer « des collaborations avec le tissu éducatif belge », selon Guillaume Boutin pour qui il s’agit de « former et retenir les talents belges » pour renforcer les équipes d’experts de Proximus. Ingénieurs, spécialistes en cybersécurité et autres en formation sont donc dans le viseur des recruteurs du groupe de télécommunication.

    Ce que Proximus espère, c’est placer la Belgique au centre de l’échiquier mondial dans les deux domaines clés de la cybersécurité et de l’intelligence artificielle.

     #intelligence_artificielle #humour #algorithme #surveillance #ia #biométrie #vidéo-surveillance #bigdata #santé #technologie #facial #en_vedette #ai #transhumanisme

  • Appel à témoignages CAF – Changer de cap
    https://changerdecap.net/2022/02/05/appel-a-temoignages-caf

    Appel à témoignages sur l’évolution des pratiques des CAF

    Le Collectif Changer de Cap est alerté par certains de ses membres sur l’utilisation des algorithmes utilisés par les services publics pour le contrôle de nos concitoyens et en particulier des plus précaires. Notre attention se porte sur les contrôles automatisés des CAF (Caisses d’allocations familiales) et le recueil des données des allocataires :

    Pas moins de 1000 données seraient consignées par allocataire, pour 13 millions de foyers représentant 30 millions de personnes (cf. Télérama du 13 octobre 2021).

    Ce fichier est nourri par l’interconnexion à notre insu des fichiers administratifs, bancaires, URSSAF, électricité, etc. auxquels les CAF ont maintenant accès.
    Les données sont manipulées pour établir un « profil » des familles et établir un « scoring de risque ».
    La CNAF elle-même annonce plus de 32 millions de contrôles automatisés en 2020 (voir p. 8 https://www.caf.fr/sites/default/files/cnaf/210617%20DP_résultats%202020%20de%20la%20politique%20de%20prévention%20et%20lutt)
    Le scoring enclenche de façon quasi-automatique un surcontrôle des personnes les plus précaires, en particulier les allocataires des minima sociaux, les familles monoparentales, ou les personnes à faible revenubénéficiant d’allocations sous conditions de ressources (prime d’activité, allocations logement…).

    En parallèle, une numérisation forcée des procédures et de la vie quotidienne impose à tous des démarches par Internet alors que l’on compte 17 % d’exclus numériques dans la population.

    Les premiers témoignages recueillis sont parfois accablants. Il semble que le déclenchement d’un contrôle puisse se traduire par la suspension des versements (allocations familiales, APL, allocation adulte handicapé, etc.). La plupart des décisions ne sont pas motivées, et il est quasiment impossible de trouver un interlocuteur pour rectifier une erreur, car les relations sont assurées par des machines et de nombreux emplois ont été supprimés. Ainsi, la CAF créée à l’origine pour assurer une sécurité aux familles tend à instaurer une insécurité croissante pour les plus modestes d’entre nous et à les enfermer dans la précarité., elle contribue aujourd’hui à l’émergence d’une société inhumaine.

    Notre collectif ne peut pas rester insensible à ce gigantesque espionnage de nos vies et à ce harcèlement des plus précaires. Les associations membres du collectif nous indiquent que certaines populations sont soumises à un véritable harcèlement et souhaitent une action commune.

    C’est pourquoi nous lançons un appel à témoignages afin de recueillir des exemples d’atteintes aux droits, d’absence de dialogue ou de discriminations, montrer en quoi ils sont systématiques et contraires à la loi, aux droits fondamentaux et à la dignité des personnes.

    [...]

    #toctoc #CAF #contrôle #data #précaires #contrôles_automatisés #recueil_de_données #allocataires #droits_sociaux #non_recours #témoignages #arbitraire #minima_sociaux #mères #prime_d’activité #APL #AAH #précarité #dématérialisation #numérisation #droits_fondamentaux

  • Uni Groningen: Dozent muss nach „Unterricht in Verschwörungstheorien“ aufhören
    https://www.heise.de/tp/features/Uni-Groningen-Dozent-muss-nach-Unterricht-in-Verschwoerungstheorien-aufhoeren-

    31.1.2022 von Stephan Schleim - KI-Forscher wollte nach eigenen Angaben „kritisches Denken“ unterrichten

    Etwas Wichtiges vorab: Es geht hier um einen Dozenten meiner eigenen Universität, den ich allerdings nicht persönlich kenne. Im Folgenden stütze ich mich auf Berichte in den niederländischen Medien und stelle ich ein paar eigene Gedanken zur Diskussionsfreiheit an. Ich spreche hier nur für mich, nicht für meinen Arbeitgeber.

    Tjeerd Andringa hat einen Hintergrund in Festkörperphysik (Master, 1991) und promovierte schließlich über Künstliche Intelligenz und Kognition (PhD, 2002). Dabei spezialisierte er sich auf die Erkennung von Sprache und gründete auch das Start-up-Unternehmen „Sound Intelligence“.

    Zurzeit ist er Assoziierter Professor und Leiter einer Forschungsgruppe für auditorische Kognition sowie Dozent am University College der Universität Groningen. Das University College gilt formal als eigene Fakultät und bietet einer kleinen Auswahl von Studierenden aus aller Welt eine breite interdisziplinäre akademische Ausbildung auf hohem Niveau an. Dafür zahlen die Teilnehmer auch doppelte Studiengebühren.
    Folgenreicher Artikel

    Am 26. Januar erschien dann aber die wöchentliche Ausgabe unserer (unabhängigen) Universitätszeitung mit einer beunruhigenden Titelstory: Der Dozent würde Fabeln und Verschwörungstheorien unterrichten und sei sonst auch mit antisemitischen Äußerungen aufgefallen.

    In Windeseile verbreitete sich das Thema in den landesweiten Medien. Zuerst wurde nur das strittige Fach eingestellt, das im Februar wieder hätte beginnen sollen. Jetzt wurde dem Dozenten aber vorläufig die Lehrbefugnis entzogen, bis das Ergebnis einer unabhängigen Untersuchung vorliegt. Was ist da los?

    Im Brennpunkt ist ein Kurs mit dem Namen „Systems View on Life“ – systemisch auf das Leben schauen. Der Dozent verspricht in der Kursbeschreibung, die Studierenden würden lernen, einen wirklich eigenen Standpunkt zu entwickeln. Nur damit, andere Meinungen nachzuplappern, würde man bei ihm keine Punkte verdienen.

    In dem Kurs würde man herausgefordert. Es gehe darum, die Teilnehmenden aus ihrer „Komfortzone“ zu holen. Das könne unangenehm sein. Doch zur Belohnung warte nach der Auseinandersetzung mit „hochqualitativem Inhalt“ ein Verständnis dessen, was einen echten Akademiker ausmacht.
    „Bildung“ kommt von „bilden“

    Das klingt für mich ein bisschen nach einem Seminar zur Selbstfindung. Das muss nicht schlimm sein – immerhin kommt „Bildung“ von „bilden“ und geht es dabei auch um Persönlichkeitsbildung.

    Man wirft den Universitäten oft genug vor, sich im Abstrakten und Theoretischen zu verlieren. Gerade an so einem University College soll natürlich auch mal außerhalb des Bekannten gedacht werden, „out of the box“.

    Der Kurs scheint sich von der ursprünglichen Frage, wie Leben entsteht, in jüngerer Vergangenheit zu einem Potpourri gesellschaftspolitischer Fragen entwickelt haben. Der Artikel der Universitätszeitung, deren Redaktion mit insgesamt zwölf Teilnehmerinnen und Teilnehmern aus mehreren Jahren sprach, nennt vor allem Klimawandel und Impfungen.

    Demnach habe der Dozent hauptsächlich Quellen verwendet, die den (vom Menschen verursachten) Klimawandel bestreiten. Über Impfungen sei behauptet worden, dass sie Autismus verursachen können. Letzteres ist ein auf den inzwischen mit einem Berufsverbot belegten britischen Arzt Andrew Wakefield zurückgehender Mythos.

    Dieser gründet auf einer 1998 in der angesehenen medizinischen Zeitschrift The Lancet veröffentlichten Studie. 2004 publizierten allerdings zehn der zwölf Autoren – ohne Erstautor Wakefield – eine Korrektur. 2010 wurde die Veröffentlichung aufgrund unterschiedlicher Fehler und falscher Angaben dann von der Zeitschrift vollständig zurückgezogen.

    Einer Studentin, die den Zusammenhang zwischen Impfungen und Autismus in Zweifel zog, soll Tjeerd Andringa „Respektlosigkeit“ vorgeworfen haben. Ein Experte in einem Video habe über das Thema immerhin sehr viel länger nachgedacht und mehr darüber geschrieben als sie. Vielleicht müsse sie erst noch etwas „wachsen“. Vom Wissenschaftler in dem Video könne sie noch viel lernen.

    Umgekehrt sei ein Student gelobt worden, der darüber schrieb, wie die Eliten die Menschheit beeinflussen. Beispielsweise würden die Rockefeller Familie oder der Amazon-Milliardär Jeff Bezos in Bildung investieren, um die Menschen hinterher besser manipulieren zu können.

    Der Artikel in der Universitätszeitung kommt zum deutlichen Fazit, dass der Dozent nur vorgeblich kritisches Denken habe fördern wollen. In Wirklichkeit habe er nur eine Wahrheit gelten lassen – nämlich seine eigene.

    Allerdings kommen auch Studierende zu Wort, die Andringa loben. Er sei eloquent und beschäftige sich auch intensiv mit den Ansichten der Teilnehmerinnen und Teilnehmer. Einer meint, durch die offenen Diskussionen habe er erst richtig kritisches Denken gelernt.
    Außerhalb der Uni

    Die Journalisten machten sich auf die Suche danach, wie sich der Wissenschaftler sonst in der Öffentlichkeit äußerte. Dabei stießen sie auf Texte und Interviews, in denen er Gedanken über eine „Kakistokratie“ entwickelt habe: Demnach würde die herrschende Elite systematisch Kinder missbrauchen, damit diese zu gefügsamen Dienern heranwüchsen.

    Sogar Geheimdienste würden höchstwahrscheinlich Sexpartys mit Kindern organisieren, um diese „Kakistokratie“ zu stützen. Und dies würde wiederum von den Regierungen gedeckt. Allerdings gebe es hierfür nur Indizienbeweise.

    Mit Blick auf die Anschläge vom 11. September meine er, dass Regierungen häufiger ihre eigene Bevölkerung angreifen, um die Menschen gefügiger zu machen. Der Dozent betone auch immer wieder die herausragende Bedeutung alternativer Medien.

    Auf dem Bio-Bauernhof seiner Frau habe Andringa schließlich außeruniversitäre Vorträge organisiert, auf denen die Coronamaßnahmen und die angeblich dominante Position der Juden kritisiert wurden. Ein Student, der daran im Herbst 2020 teilgenommen haben soll, wandte sich dann an eine Vertrauensperson der Universität, die schließlich die Verwaltung einschaltete.
    Qualitätskontrolle

    In Gesprächen zwischen Verwaltung und Dozent habe dieser sich immer wieder geringschätzend über die Bürokratie geäußert, die Meldung des Studenten als „cancel culture“ abgetan und sich mit beinahe kriminellen Äußerungen über das Antisemitismusverbot geäußert. Im Ergebnis erhielt Andringa eine Warnung und der strittige Kurs wurde vorläufig unter Aufsicht gestellt.

    Der Direktor des University College meint nun dazu, dass Dozenten auch außerhalb ihres Fachgebiets im engeren Sinn unterrichten könnten – das sei bei ihrer interdisziplinären Ausbildung ausdrücklich Sinn der Sache. Auch sei kritisches Denken wichtig. Dieses müsse aber innerhalb „ethischer Grenzen“ geschehen.

    Zudem müsse man bestimmte Qualitätsmaßstäbe einhalten. Nach der Untersuchung des Kurses habe man aber festgestellt, dass dieser sich nicht hinreichend verbessern lasse. Daher habe man entschieden, ihn nicht länger anzubieten.

    Wie bereits erwähnt, bleibt es dabei nun aber nicht: Landesweite Medien griffen den Artikel der Groninger Universitätszeitung vom 26. Januar sofort auf, beispielsweise die Tageszeitung NRC Handelsblad oder die Nachrichtenseite NOS.

    Am 28. Januar veröffentlichte die Universität dann eine kurze Mitteilung, dass der Dozent bis auf Weiteres gar nicht mehr am University College unterrichte. Man beginne nun eine unabhängige Untersuchung und warte deren Ergebnis ab.

    Tjeerd Andringa bekam von der Universitätszeitung die Gelegenheit einer Stellungnahme. Meinem Eindruck nach drückt er sich darin sehr kryptisch aus, verweist auf Aristoteles und den Bildungspychologen William Perry.

    Beide hätten sich dahingehend geäußert, ein entwickelter Geist müsse „mit Gedanken spielen, ohne diese zu akzeptieren“. Auf die Berichte in den landesweiten Medien will er diese Woche reagieren.
    Komplexe, aber wichtige Fragen

    Der Fall berührt eine ganze Reihe von Fragen, die für die Demokratie, die akademische Freiheit und die Polarisierung verschiedener Lager in unserer Zeit von enormer Bedeutung sind. Dazu im Folgenden ein paar Gedanken:

    Warum gibt es überhaupt Universitäten? Wenn der Sinn des Bildungssystems ausschließlich wäre, produktive Arbeitskräfte zu erzeugen, dann bräuchte man gar kein öffentliches Bildungswesen.

    Eine marktgerechte Ausbildung könnte man besser der freien Wirtschaft überlassen: Dann gäbe es vielleicht eine Allianz-Akademie für Versicherungswesen, eine BMW-Hochschule für Maschinenbau oder ein Facebook-Institut für Meinungsfreiheit.

    Man kann sich leicht vorstellen, wie „frei“ Diskussionen etwa von Verbraucherschutz, Umweltschutz oder Netz-Zensur an solchen Einrichtungen wären. Der Staat könnte bei Bedarf finanzielle Zuschüsse verteilen und wäre unterm Strich wahrscheinlich immer noch viel günstiger dabei als beim heutigen, größtenteils öffentlichen Bildungswesen.

    Wir wissen aber alle nicht genau, wie die Zukunft aussieht und welche Herausforderungen auf uns zukommen. Allein das verpflichtet uns dazu, nicht nur eingleisig zu fahren. Zudem sind nicht alle Lösungen, die für die Menschen wichtig sind, auch profitabel.

    In der Pharma-Forschung gibt es Beispiele zuhauf. Seltene Krankheiten sind finanziell weniger lukrativ, auch wenn die Folgen für die Betroffenen und ihre Angehörigen enorm sind. Auch spricht nach Marktlogik mehr für die Behandlung chronischer Erkrankungen als für eine einmalige Heilung. Wie wichtig Grundlagenforschung sein kann, für die es zum Zeitpunkt der Entwicklung noch keine Anwendung gibt, haben gerade erst die mRNA-Impfstoffe gezeigt.

    Ein Menschenleben besteht aber nicht nur aus Arbeit und Gesundheit. Wie viel unsere Freiheiten wirklich wert sind, werden viele wohl erst verstehen, wenn sie sie nicht mehr haben.
    Problematische Vorwürfe

    Gerade diejenigen, die heute lautstark meinen, wir würden in einer Diktatur leben, könnten in selbiger ihre Meinung gar nicht äußern: Ihre Chatberichte würden dann wie von Zauberhand verschwinden, wenn nicht gar die Chatprogramme von vorneherein blockiert wären.

    Willkürlich würde die Geheimpolizei an der Haustür klingeln und denjenigen zu einer „intensiven Befragung“ mitnehmen. Wann er oder sie zurückkäme, wäre völlig unbekannt. Manche Leute würden sich dann nach ihrer Rückkehr auffällig regierungstreu äußern.

    Der uns heute so bekannte Reflex aus dem bürgerlichen Lager, unliebsame Meinungen sofort als „Verschwörungstheorie“ abzutun und ihre Überbringer als „Querdenker“, „Trolle“, „Verfassungsfeinde“ oder Ähnliches, ist aber auch sinnlos. Wir sehen seit gut zwanzig Jahren, dass sich die so Ausgegrenzten nur noch lautstärker äußern und dafür auch immer wieder neue Kanäle finden. Bestes Beispiel dafür ist Donald Trump, der es sogar ins Amt des US-Präsidenten schaffte.

    Dabei ist der Verschwörungstheorie-Vorwurf insofern schlimm, als er dem Gegenüber nicht auf der inhaltlichen, sondern auf der emotionalen Ebene eine falsche Wahrnehmung der Realität unterstellt. Die Grenze zur Geisteskrankheit ist dann fließend. Wenn man aber nicht mehr Argumente austauscht, sondern nur noch Beleidigungen, dann kann es auch zu keiner sinnvollen Lösung mehr kommen.

    Tückisch ist an solchem Vokabular, dass die Bedeutung meistens unklar ist: Wo hört berechtigte Regierungs- oder Wirtschaftskritik auf und wo fängt ein irriger Verschwörungsglaube an? Oder wo genau hört beispielsweise Kritik am Staat Israel auf und wo fängt Antisemitismus an?

    Beim Fall von Tjeerd Andringa kommt nun hinzu, dass hier ein Beamter in seiner öffentlichen Funktion problematische Äußerungen getätigt hat. Die Beteiligten scheinen sich zumindest darüber einig zu sein, dass das Lehren und Lernen kritischen Denkens wichtig ist. Doch wie weit darf das gehen?
    Methode, nicht Ergebnis zählt

    Beim Streitthema menschengemachter Klimawandel könnte man durchaus untersuchen, wie die große Mehrheit der Klimaforscher zu ihrem Konsens kommt – und wieso Kritiker diesen anzweifeln. Man könnte dann herausarbeiten, wie die beiden Gruppen aufeinander reagieren: Werden noch Argumente ausgetauscht, das heißt, geht man noch prinzipiell auf den Standpunkt des anderen ein? Oder wird immer nur dasselbe wiederholt?

    Auf welchen Gegebenheiten beruhen die Argumente und welche Interessen könnten für Konflikte sorgen? Wie sicher ist „sicher“ bei den zugrundeliegenden wissenschaftlichen Daten? Wie stark hängt das Ergebnis von Interpretationen ab und wie sehr unterscheiden sich diese?

    Wichtig: Für den Erfolg so einer Unterrichtseinheit muss das Ergebnis weder vorgegeben werden noch am Ende eindeutig feststehen. Wenn die Standpunkte hinterher 99:1, 90:10 oder 80:20 verteilt sind, kann die Demokratie gut damit leben.

    Den selbsternannten Verfechtern der Aufklärung liegt sonst doch auch so viel an Pluralismus. Man muss daraus keinen Meinungskrieg machen und die Gegenseite emotional-psychologisch abwerten; wie wir zur Genüge gesehen haben, löst das gar nichts, sondern eskaliert es die Situation nur weiter.

    Wenn die Standpunkte nach der Diskussion aber nahe bei 50:50 liegen, dann ist das ein starker Hinweis darauf, dass die Daten nicht eindeutig und die Argumente nicht überzeugend sind; oder es handelt sich prinzipiell um einen Streit um Werte, der sich nicht mit Fakten beilegen lässt.

    Dann sollte man offen über diese Werte sprechen. Lässt sich damit immer noch keine Einigung finden, muss man das tolerieren: Bestraft werden in demokratischen Rechtsstaat keine Gedanken oder Meinungen, sondern nur ausdrücklich verbotene Taten.
    Unabhängige Untersuchung

    In dem Fall Andringa wird es nun eine Untersuchung geben. Und so viel ist klar: Das Ergebnis wird die Öffentlichkeit beschäftigen, wie auch schon der Artikel in der Universitätszeitung (im niederländischen Original) rund 200 Kommentare nach sich zog, bis die Redaktion die Funktion deaktivierte. In der Regel wird dort kaum diskutiert.

    Die Universitätsleitung täte also gut daran, den Fall von neutralen Personen untersuchen zu lassen, die den Verdacht einer Beeinflussung von oben erst gar nicht aufkommen lassen. Wenn der Dozent mit dem Ergebnis nicht übereinstimmen sollte, steht ihm wie allen Bürgerinnen und Bürgern der Rechtsweg offen – wo der Konflikt dann in öffentlichen Sitzungen und nach festen Regeln, die eine „Waffengleichheit“ garantieren sollen, ausgetragen würde.

    Die Kommission und später vielleicht die Gerichte werden sich erst einmal damit beschäftigen müssen, was überhaupt in den universitären Sitzungen gesagt wurde. Äußerungen, die Andringa als Privatmann getätigt hat, müssen anders bewertet werden.

    Aber auch hier ist die Toleranz nicht grenzenlos: Der demokratische Rechtsstaat hat das Recht, ja sogar die Pflicht, seine eigene Grundlage zu verteidigen. Auch in Deutschland würde ein Beamter Probleme bekommen, der offen zur Revolution aufruft, um nur ein Beispiel zu nennen. Und der umstrittene Radikalenerlass, der angeblich gefährliche Personen präventiv aus dem Beamtentum halten sollte, feierte gerade sein 50. Jubiläum – und wird immer noch kritisch diskutiert.

    Wie weit kritisches Denken gehen kann, wie unvoreingenommen es sein muss und was akademische Freiheit in unserer Zeit bedeutet – all das sind Fragen, auf die uns der vorliegende Fall Antworten geben kann. Und bevor wir es merken, sind wir vielleicht selbst schon kritische Denker geworden.

    #science #iatrocratie

  • Est-ce qu’il reste encore UN⋅E artiste qui ne soit pas pourri par le confusionnisme ? Et plus encore dans le milieu du rap… Qui comprend ce que veut dire le consensus scientifique ? Qui peut critiquer le gouvernement ET les anti-sanitaire ? Qui raconte pas n’imp sur les traitements et les vaccins ? Qui utilise pas la technique du mille-feuille en mélangeant plein de trucs avérés sur le gouvernement ou bigpharma pour faire passer des débilités sur les connaissances en épidémio et sur le virus ? Est-ce qu’il en reste bordel ?

    Je sais pas ce qu’en pense @mad_meg mais perso pour avoir des connaissances ou suivre des gens dans le monde de la musique et du cirque, j’ai l’impression que c’est une majorité qui s’est complètement perdue, suite à leur vie bouleversée.

    Comme de fait les artistes sont pas des métiers indispensables à la société capitaliste (en tant que travail capitaliste, càd que si d’un coup on arrête tous les concerts, on peut continuer de vivre, de manger, d’habiter, de se soigner, et même de produire de l’art, ce qui n’est pas le cas si les agriculteurs ou les médecins s’arrêtent là entièrement), la vie de plein de gens (artistes et tous ceux qui en dépendent, salles, sons, lumières, roadies, etc) a été totalement bouleversée, leur manière de vivre au quotidien s’est écroulée, et du coup ça a complètement niqué la tête de beaucoup à priori (ou bien… c’est juste que désormais on le voit parce ce qu’ils annoncent leurs idées publiquement, alors qu’avant ils gardaient ça pour eux ?)

    En tout cas j’ai de plus en plus de mal à citer des artistes qui racontent pas des conneries monumentales sur la crise actuelle (tout en le mélangeant, je le répète, à des vérités facile à prouver sur les conneries du gouvernement ou sur l’écologie ou le capitalisme, etc : c’est juste le problème du confusionnisme, c’est mixé avec pas que des conneries et donc ça embrouille).

    https://www.facebook.com/AKHENATON.OFFICIEL/posts/475243533957593

    TRIBUNE LIBRE D’AKHENATON
    LE MAÎTRE ET SES PERROQUETS
    Aujourd’hui, honnêtement, je pourrais me taire, je pourrais me cacher et espérer sortir de cette crise en n’ayant choqué ou déplu à personne, priant que je puisse enfin recommencer à vivre normalement et gagner ma vie… Mais non…

    Et tous ceux et celles qui s’étonnent de mes positions clivantes en se disant « fans » du groupe IAM, vous avez sûrement du vous arrêter à « je danse le mia » mais vous ne semblez pas connaître les positions que nous défendons dans de nombreux textes depuis 30 ans.

    Si mon obsession était de gagner plus d’argent, je serais un perroquet, un bon gros perroquet docile qui répète et imite sans connaître le sens des mots, la voix de son maître. Amis journalistes, docteurs, chercheurs, artistes et citoyens, c’est dans les temps difficiles qu’on affirme ses positions, qu’on prend des risques, ce n’est pas lorsque tout est fini qu’on distille des « Je le savais mais je ne pouvais rien dire ».

    A titre personnel, professionnellement parlant, je n’ai rien à gagner en prenant position, en tant que père, ami et mari, je ne peux pas me taire, c’est une question d’honneur, de bon sens, d’honnêteté et de cohérence avec 30 ans de textes.

    Ce qui m’a motivé à clarifier mes positions une bonne fois pour toutes, c’est la tribune du professeur Grimaldi dans le JDD, qui pense que les non-vaccinés doivent être responsables et signer une attestation de refus de prise en charge en réanimation en cas d’infection due au COVID19.
    Vous êtes docteur monsieur Grimaldi ? Vraiment ? Vous avez prêté serment ? Vous vous rendez compte de ce que vous dites ? Vous êtes diabétologue c’est bien ça ? C’est comme si des personnes qui font du sport et mangent sainement demandaient bêtement à la partie non héréditaire de vos patients qui est diabétique de signer une attestation de non prise en charge en réanimation, car ils ne veulent pas que des gens qui ont mangé et bu de la « merde » prennent leur place en cas de saturation du service. Ce serait au minimum stupide, au maximum criminel.

    Et puisqu’on y est, allez, une attestation à la caisse du bar-tabac pour les fumeurs (150.000 décès en France en 2 ans), une attestation électronique pour ceux qui dépassent 50 km/h en ville, une attestation à la caisse des fast-foods, une attestation pour ceux qui boivent de l’alcool à la maison, en soirée ou au restaurant, lors de vos repas entre collègues (100.000 décès dus à l’alcool en France en 2 ans), une attestation pour les gens inactifs…
    Puisque je suis contribuable, selon votre logique, je peux y prétendre et allons-y, construisons une société où chacun édicte ses propres règles et ses propres lois. Ce n’est pas possible, on va droit dans le mur. Le bon vieux mur du con.

    Il ne faut pas se méprendre, tous ces néo-solidaires qui boivent et recrachent les paroles de monsieur Grimaldi s’en sont toujours foutu des autres, ils ont juste peur de souffrir et de mourir. Le plus gênant ce sont les journalistes qui reprennent ces idées comme des perroquets en banalisant l’extrémisme et la brutalité de ces propos et commandent même des sondages sur le sujet. C’est-à-dire que chacun d’entre nous peut alors désigner la pathologie qui nous dérange et rendre ces malades responsables du naufrage de l’hôpital.
    Monsieur Grimaldi, vous avez, comme une partie du personnel soignant, malheureusement utilisé cette pandémie comme un tremplin terrifiant pour vos revendications légitimes.

    La Peur…. La voilà la pire des pandémies mondiales.

    L’hôpital public est en souffrance depuis une vingtaine d’années, et les conditions de travail du personnel sont très difficiles. L’ATIH (agence technique des informations hospitalières, agence d’état) a publié son rapport 2020 : https://www.atih.sante.fr/.../aah_2020_analyse_covid.pdf pages 2 et 3.
    Quel est le pourcentage de fréquentation hospitalière pour les patients Covid-19 malgré toutes les déprogrammations ? 2 % !! Et 5 % en soins critiques !!

    Je ne minimise absolument pas la maladie, la mortalité est élevée en 2020 mais la réaction d’une partie du milieu hospitalier et médiatique a été démesurée, et les politiques et leurs amis industriels se sont engagés dans la brèche, en occident puis dans le monde entier.

    Pratique, les personnes que vous devriez viser et qui ont étrillé notre système de santé peuvent, grâce à vous, s’acheter un costume de sauveur plein de générosité. Gros, visible, pas de gants, pas grave, personne ne dit rien.

    Monsieur, j’écris cette lettre pas en tant qu’artiste mais en tant que citoyen, du moins en tant qu’excitoyen si l’on en croit Emmanuel Macron.
    Et le plus gros problème est bien là… Depuis le début, les média ont respecté leur logique éprouvée depuis 2001, peur, slogans, peur pour plus de recettes publicitaires ... Ils ne sont plus le quatrième pouvoir depuis longtemps, ils sont LE pouvoir donc ce n’est pas étonnant qu’ils soient la propriété de quelques personnes. L’élection de Trump, la pression de Poutine, de la Chine, de l’Inde et pour finir les week-ends des gilets jaunes ont effrayé profondément les régimes occidentaux, leurs vassaux et surtout le nôtre.

    Malheureusement, la pandémie a été un outil politique pour contrer le phénomène insurrectionnel et qu’a fait le gouvernement français ? Il a choisi de copier les stratégies de désinformation de leurs opposants de l’extrême-droite (surtout Américaine) pour contrer ses adversaires. Et comme cela est née la version du trumpisme bobo-facho made in France, la gauche timide est passée du rose au brun, mensonges irréels répétés, faux chiffres, concitoyens d’outre-mer traités de prêtres vaudous, fausses promesses, fausses nouvelles, vidéos effacées, comptes de réseaux sociaux bloqués, le Monde Diplomatique a d’ailleurs traité le sujet dans un très bon article consacré à notre pays et qui s’intitule « la Chine Occidentale ».
    Tout cela sous le nez de tas de nouveaux fact-checkers qui checkent uniquement ce qui convient à leurs patrons. Ils disent certaines vérités mais ils ne sortent pas des clous, ils vendent parfois notre société en tranches pour garder leur salaire. Ils pourraient par exemple, faire du vrai journalisme d’investigation en enquêtant sur la raison pour laquelle Gilead a obtenu le 25 juin 2020 une autorisation de mise sur le marché conditionnelle de la part de l’agence européenne des médicaments pour le Remdesivir, un médicament coûteux et déclaré inutile par l’OMS quelques mois plus tard.
    La plus grosse erreur dans cette crise a été d’empêcher les médecins généralistes de soigner leurs patients (comme ils l’ont fait entre octobre 2019 car le virus apparemment est présent sur notre territoire depuis ce mois-là et mars 2020), je pense qu’on aurait et qu’on éviterait encore certains décès, surtout qu’il existe un bon nombre de traitements efficaces avec des études sérieuses qui le prouvent. Rien ne remplace les soins de contact, certainement pas les mathématiciens de l’épidémie. En fait, nous faisons face à une crise écologique et sociale due à notre mode de vie qui risque d’engendrer d’autres pandémies à l’avenir, il faut arrêter les bla-bla, il faut agir et vite.

    Alors pour éviter les critiques, le gouvernement, leurs perroquets et une partie du législatif dégainent leur arme absolue : celui qui n’est pas de leur avis est un complotiste, un irresponsable et un sympathisant néo-nazi. Pratique, on met dans un sac unique des gens raisonnables et d’autres moins fréquentables et on secoue, ça permet d’annihiler le débat, comme dans un bon vieux régime autoritaire. Et puis ça permet aux comploteurs de faire croire que leurs manœuvres n’existent pas, qu’ils sont pleins d’empathie et soucieux de nos vies…. Tu parles….

    Personnellement, j’ai le sentiment d’être coincé entre néo-nazis et nazis nouveaux. Pour couronner le tout, j’ai assisté à des tribunaux télévisés ou des « philosophes », des anciens de la télé-réalité ou des consultants santé de chaines d’info ont dénigré des grands docteurs, moqué des psychologues et même des chercheurs et professeurs mondialement reconnus sur le sujet. Est-ce qu’on voit ça avec d’autres métiers ? Jamais, sauf ceux liés au football peut-être… Les grandes émotions engendrent aussi les grandes impostures.

    Les Françaises et Français doivent comprendre une fois pour toute qu’une bonne moitié des métiers de la santé est corrompue par une industrie pharmaceutique qui brasse des milliards d’euros et de dollars. La recherche de nouveaux médicaments, dont les vaccins, est financée en partie par de l’argent public, le médicament une fois commercialisé est vendu aux états qui l’achètent avec…de l’argent public !!!!! On vend un produit aux personnes qui ont financé une partie de sa conception. Quel business model !!! Le rêve capitaliste ultime !

    J’ai donc une question importante, il est maintenant reconnu que le vaccin n’empêche pas la contamination, ni d’être contaminé, il limite apparemment pendant une courte période le risque de forme grave, donc pourquoi, puisque vous êtes si gentils, on ne peut pas se vacciner avec du Sinopharm (vaccin classique à virus inactivé) qui a selon certaines études internationales de meilleurs résultats que nos vaccins sur les risques d’hospitalisation ?
    Une autre : pourquoi les pays les plus vaccinés enregistrent-ils les taux de décès liés au Covid-19 les plus élevés ? Pourquoi la Suède avec une couverture vaccinale de 71% qui n’a pas appliqué beaucoup de mesures restrictives (masques, confinement) et que nos journaux appelaient « le mauvais élève de l’Europe » s’en sort beaucoup mieux que nous à ce jour en terme de mortalité ?? Pourquoi vous renvoyez chez eux les soignants négatifs qui refusent de se faire vacciner alors que selon vos dires l’hôpital est débordé et dans un même temps, vous demandez aux soignants vaccinés positifs asymptomatiques de venir quand même travailler au contact des patients ?

    C’est scientifique ça ? Une dernière ? Pourquoi les variants dominants sont tous apparus dans des pays soit avec une couverture vaccinale importante, soit avec une industrialisation forte, soit les deux ?

    Je me rappelle les mots de messieurs Véran et Castex pour inciter à la vaccination : « le seul moyen de se débarrasser de ce virus, c’est la vaccination ». Eh non… désolé doc… Comme en 1889 lors de l’épidémie de la « grippe russe » qui était en fait un coronavirus (toujours présent de nos jours) et qui est devenu un rhume en 1893 (source : https://www.vidal.fr/.../26269-pandemie-degrippe-russe... ), le Covid-19 va un jour (Dieu sait quand) probablement devenir très contagieux et peu dangereux, ce serait l’évolution naturelle d’un virus ARN. Vous nous épargnerez donc ce jour-là, si vous êtes toujours en poste, le mensonge « c’est grâce à ce vaccin ». Non c’est grâce à la Vie, à l’évolution, à l’immunité naturelle…

    Je le dis et le répète encore une fois pour ceux qui ne comprennent que ce qui épouse leurs préjugés, je ne suis pas ANTI-VAX et lorsque le vaccin à virus inactivé Valneva (Franco-autrichien) arrivera sur le marché en Avril 2022, qui lui a dû passer toutes les étapes pour obtenir une AMM, je réviserai peut-être MA position, seul, comme un grand. Une précision importante, la couverture vaccinale est importante en France, il ne faut surtout pas croire que cela est un plébiscite, une bonne partie des personnes vaccinées l’ont fait pour le boulot, pour pouvoir voyager, pour sortir, pour être libres et non pas parce qu’ils sont d’accord avec la stratégie sanitaire du gouvernement. Vous allez au-devant de grandes désillusions.

    « On peut discuter de tout sauf des chiffres », c’est bien ça qu’affirmait votre spot publicitaire ? L’agence Reuters (équivalent américain de l’AFP qui a repris leur analyse mot pour mot) dit : « Vous ne pouvez pas affirmer que les accidents de 2021 soient dus aux vaccins anti-covid car le VAERS (qui a été crée en 1990 et qui est un observatoire des accidents liés à la vaccination aux USA (tous vaccins confondus) et OpenVAERS qui est un outil qui traduit sous forme de graphiques les résultats du VAERS) répertorie les accidents liés à tous les vaccins confondus et que ces accidents sont signalés par les citoyens eux-mêmes sur la plateforme. » (Source : https://openvaers.com/covid-data/mortality).

    Ils ont raison dans l’absolu. Mais eux et nous savons qu’un seul type de vaccin a inondé le marché occidental en 2021 et que tous les rapports ne peuvent être faux. Le CDC a répertorié 9 décès liés aux vaccins anti-covid aux USA, ça voudrait dire que 21 881 rapports sont des faux, sans compter les personnes qui ne prennent pas la peine de signaler quoique ce soit. Ils jouent avec les mots. Ils jouent avec les maux.

    Alors, je ne vois pas des complots partout mais le roi des complots a un nom : Le Business.

    Et quand Pfizer rachète, le 16 décembre 2021, Arena une firme de cannabis thérapeutique et que le 1 er janvier 2022 on interdit de vendre des fleurs de CBD en France, je me dis que le hasard fait bien leurs choses quand même. Ou alors quand ce gouvernement essaie d’interdire les huiles essentielles en vente libre, quel est le but ? Gros, visible, pas de gants, pas grave, personne ne dit rien.

    Monsieur Macron, j’ai bien noté que vous avez choisi de nous « emmerder », soit, nous sommes un groupe avec des personnes vaccinées et d’autres non, on vit très bien ensemble, on s’entraide et on s’aime. La société française devrait être ainsi. Nous sommes quatre dans l’équipe d’IAM à avoir perdu un de nos parents depuis un an et demi, personne n’a le monopole de la peine, mais tout le monde ici a du bon sens et utilise la raison, selon la situation et les convictions dans le respect des autres.

    Ce qu’il se passe pour la plupart d’entre nous, c’est deux ans avec très peu de revenus, sans aide, dans l’indifférence générale et tout le monde trouve normal qu’on mange et élève nos enfants avec nos économies.
    Pour les restrictions et interdictions, la culture privée, c’est chacun notre tour. Si notre situation était celle de n’importe quel autre métier, la France serait en feu !!!!

    Pendant ce temps, nous sommes traités de sous-citoyens par des personnes politiques, médecins télévisés, ou journalistes serviles qui touchent leur salaire ou leurs salaires (pour vos amis de la politique) sans aucun problème….

    Et l’effort de solidarité où est-il, puisque vous êtes devenus ses nouvelles icônes et ses grands apôtres ?

    Monsieur Le Président, juste une petite idée : emmerdez les gens qui font évader chaque année 100 milliards d’euros au Luxembourg, qui est encore à ce que je sache un pays d’Europe, ou bien les nationaux qui sont cités dans les Pandora Papers, ça vous donnera largement de quoi financer une éducation nationale digne de ce nom pour nos enfants et les enseignants désabusés, un hôpital et un système de santé qui sera digne pour les patients et les soignants, et du coup les citoyens ne se déchireront pas pour un lit de réanimation comme pour du PQ ou de l’essence les lendemains de stress télévisé.

    Je suis particulièrement triste et inquiet quand je vois à quel point notre jeunesse est impactée, stigmatisée et souffre de cette situation, ils sont les moins touchés par les virus et ils sont les plus ciblés par les mesures d’interdiction., beaucoup de gens qui sont aux manettes ont déjà fait une bonne partie de leur vie et ont vécu une insouciante enfance, adolescence et vie de jeune adulte. Empathie ? Non, Individualisme. C’est bien une crise sociale, écologique et politique que nous traversons, l’économie est le moteur du changement, plutôt difficile quand la moitié du CAC 40 a un patron issu des grands corps de l’état…

    Monsieur Le Président, vous êtes en campagne ? Gros, visible, pas de gants, pas grave, personne ne dit rien, surtout pas les perroquets.
    Nous aurions pu bâtir dans la difficulté de cette crise une société plus solidaire, plus empathique et plus unie, vous avez fait de cette période un modèle de division, de haine et d’individualisme.

    Akhenaton
    Shurik’n Dj Daz Imhotep Dj Kheops

    #covid #santé #confusionnisme #IAM #Akhenaton #antivax ("mais non seulement ceux à ARN") #exemplarité #artiste

  • BioNTech and AI start-up develop tool to predict high-risk coronavirus #variants | Financial Times
    https://www.ft.com/content/dc8f8040-c9ce-43be-9b6c-c276930064d4

    Thread by FLAHAULT on Thread Reader App – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1481379139391217679.html

    1/10 - “A new early warning system can predict the highest-risk coronavirus variants simply from their genetic code, alerting health authorities and vaccine developers to the potential risks months before they spread, according to a study.”
    ft.com/content/dc8f80…

    2/10 - “The AI-based program, developed by BioNTech and north African AI start-up InstaDeep, identified more than 90% of VOCs, including the highly transmissible #Omicron strain, on average two months before their designation by the WHO.”

    3/10 - “The results from the study show that the program can evaluate the risks of new variants from their spike proteins within minutes, and monitor them as they evolve nearly in real time.”

    […]

    #IA

  • Jonathan sur twitter à propos des 180000 vols à vide de la #Lufthansa

    Tout le monde RT ce tweet avec un petit commentaire sarcastique du style : « Et surtout n’oubliez pas de fermer le robinet pendant que vous vous brossez les dents ! ».

    Sauf que ce ne sont pas les règles européennes qui sont aberrantes, c’est le détournement qu’en fait Lufthansa.

    Les ubuesques décollages à vide pour ne pas perdre les créneaux aériens
    https://video.twimg.com/amplify_video/1478991506602090496/vid/640x360/ssSa1csdQlWOVsdE.mp4?tag=14

    Le nombre de pistes étant limité dans les #aéroports, un certain nombre de créneaux de décollage / d’atterrissage (slots) sont mis à disposition de chaque compagnie. En Europe ces slots ne sont pas vendus, ils sont attribués en fonction de critères différents dans chaque pays.

    La réglementation européenne impose en revanche qu’un slot attribué à une compagnie soit utilisé à au moins 80 % de sa capacité. En dessous de ce seuil, le slot revient à son gestionnaire (la #Cohor en France), qui le réattribuera à une compagnie concurrente en manque de slots.

    C’est à mon avis (je ne suis pas un professionnel du secteur) la façon la plus juste et efficiente de gérer ces slots. Cela évite que certaines compagnies les monopolisent en vue d’un usage futur, cherchent à évincer un concurrent d’un aéroport, ou qu’elles se livrent à des « trafics » de slots (c’est quand même le cas dans les faits pour ce point, mais ça reste négligeable).

    Une chose à savoir : le fait de programmer un vol sur un slot puis de l’annuler compte comme une utilisation du slot.

    L’idée derrière sûrement est que la compagnie n’est pas responsable des aléas (météorologiques notamment). J’ai cru comprendre que l’annulation d’un vol à la dernière minute n’entraînait pas la facturation du slot par son gestionnaire, mais je n’en ai pas trouvé de confirmation.

    Pour vous donner une idée de la criticité des slots pour les compagnies aériennes : il arrive régulièrement qu’une petite compagnie soit rachetée par une plus grosse pour… ses slots.
    Pas de slots, pas de décollage, pas billets à vendre.

    Pendant la crise du #COVID, le #trafic_aérien ayant été fortement réduit, l’#Europe a abaissé le seuil de 80 % à 50 %, notamment pour éviter que les compagnies effectuent des vols à vide, des vols sans passagers dont le but est uniquement d’utiliser un slot afin de ne pas le perdre.

    Contrairement à ce qu’on lit ici et là, le seuil est TOUJOURS à 50 %.

    Mais alors quel est le problème qui force la Lufthansa à effectuer des vols à vide ? Ou plutôt à annoncer à grand renfort de tambours et trompettes (oui je parle comme un vieux) qu’elle va faire voler des avions à vide ?

    Il fait comprendre une chose : #Lufthansa_Group, la maison mère de Lufthansa, est un monstre. Troisième plus grosse compagnie aérienne du monde, 36 milliards de dollars de CA en 2019 (vs 27 pour le groupe Air France-KLM), 140 000 employés, autour de 600 appareils (j’ai compté à l’arrache). Pour une boîte de cette taille les slots sont CRUCIAUX et la moindre secousse économique / sanitaire peut faire très mal.

    Niveau européen, le trafic aérien ayant plus ou moins retrouvé un niveau normal, des discussions sont en cours pour savoir si le seuil doit être relevé, et à quel niveau.
    Et Lufthansa cherche simplement à faire pression sur ces discussions, via l’opinion publique, via les médias.

    À l’ère de l’écologie et des réseaux, quoi de mieux que d’annoncer 18 000 vols à vide dans le ciel européen à des citoyens consternés devant la bêtise de cette règle de la méchante Europe ?

    Encore une règle inventée par une bande de bureaucrates complètement déconnectés des réalités de la vie.

    Sauf que Lufthansa se fout un peu de notre gueule : en plus de l’abaissement du seuil d’utilisation des slots, il existe une règle de non-utilisation justifiée des créneaux qui s’applique sur demande de la compagnie pour tout ce qui est durcissement des règles sanitaires (confinements, quarantaines…), même pour les cas de baisse de fréquentation d’une ligne en raison du contexte sanitaire.

    Ce que veut Lufthansa c’est bien évidemment conserver un maximum de slots sans pour autant effectuer un maximum de vols, mais aussi éventuellement créer un petit électrochoc dans l’opinion publique afin que le seuil ne soit jamais remonté, ou pas aussi haut.

    Et ça à la limite, ça ne me choque pas. C’est leur business, ils font du #lobbying, très bien pour eux.

    Ce qui est très énervant en revanche, c’est les médias qui ont quasiment TOUS relayés la #communication_anxiogène et simpliste de Lufthansa sans aucune once de recul, sans jamais se demander si peut-être par hasard ce ne serait pas de l’esbroufe pour faire pression sur la #commission_européenne et l’#IATA (aéroports). C’est ce genre de chose qui crée de l’#europhobie, tout le monde le sait depuis 25 ans, mais rien à faire, ça ne change pas.

    Je ne vous parle même pas du ministre des transports belge, manifestement incompétent, qui joue le jeu de Lufthansa en demandant un changement des règles européennes (qu’il ne maîtrise visiblement pas).

    https://twitter.com/TehHarry/status/1479399461147262982

  • With drones and thermal cameras, Greek officials monitor refugees

    Athens says a new surveillance system will boost security, but critics raise alarm over its implications for privacy.

    “Let’s go see something that looks really nice,” says Anastasios Salis, head of information and communications technology at the Greek Migration and Asylum Ministry in Athens, before entering an airtight room sealed behind two interlocking doors, accessible only with an ID card and fingerprint scan.

    Beyond these doors is the ministry’s newly-installed centralised surveillance room.

    The front wall is covered by a vast screen. More than a dozen rectangles and squares display footage from three refugee camps already connected to the system.

    Some show a basketball court in a refugee camp on the island of Samos. Another screen shows the playground and another the inside of one of the containers where people socialise.

    Overhead, lights suddenly flash red. A potential threat has been detected in one of the camps. This “threat” has been flagged by Centaur, a high-tech security system the Greek Migration Ministry is piloting and rolling out at all of the nearly 40 refugee camps in the country.

    Centaur includes cameras and motion sensors. It uses algorithms to automatically predict and flag threats such as the presence of guns, unauthorised vehicles, or unusual visits into restricted areas.

    The system subsequently alerts the appropriate authorities, such as the police, fire brigade, and private security working in the camps.

    From the control room, operators deploy camera-equipped drones and instruct officers stationed at the camp to rush to the location of the reported threat.

    Officers carry smartphones loaded with software that allows them to communicate with the control centre.

    Once they determine the nature and severity of the threat, the control room guides them on the ground to resolve the incident.

    Video footage and other data collected as part of the operation can then be stored under an “incident card” in the system.

    This particular incident is merely a simulation, presented to Al Jazeera during an exclusive tour and preview of the Centaur system.

    The aim of the programme, according to Greek officials, is to ensure the safety of those who live inside the camps and in surrounding communities.

    “We use technology to prevent violence, to prevent events like we had in Moria – the arson of the camp. Because safety is critical for everyone,” Greek Migration Minister Notis Mitarachi told Al Jazeera at the November inauguration of a new, EU-funded “closed-controlled” refugee camp on Kos island, one of the first facilities to be connected to the Centaur system.

    ‘Dystopian’ surveillance project

    Nearly 40 cameras are being installed in each camp, which can be operated from the control room.

    There will also be thermal cameras, drones, and other technology – including augmented reality glasses, which will be distributed to police and private security personnel.

    “This was not to monitor and invade the privacy of the people [in the camps],” said Salis, one of the architects of Centaur. “You’re not monitoring them. You’re trying to prevent bad things from happening.”

    Greek authorities headline this new surveillance as a form of security but civil society groups and European lawmakers have criticised the move.

    “This fits a broader trend of the EU pouring public money into dystopian and experimental surveillance projects, which treat human beings as lab rats,” Ella Jakubowska, policy and campaigns officer at European Digital Rights (EDRi), told Al Jazeera. “Money which could be used to help people is instead used to punish them, all while the surveillance industry makes vast profits selling false promises of magical technology that claims to fix complex structural issues.”

    Recent reporting, which revealed Centaur will be partly financed by the EU COVID Recovery fund, has led a group of European lawmakers to write to the European Commission with their concerns about its implementation.

    Homo Digitalis, a Greek digital rights advocacy group, and EDRi said they made several requests for information on what data protection assessments were carried out before the development and deployment of Centaur.

    Such analysis is required under the EU’s General Data Protection Regulation (GDPR). They have also asked what data will be collected and how long it will be held by authorities. Those requests, they said, have gone unanswered.

    The Greek Migration Ministry did not respond to Al Jazeera’s query on whether an impact assessment was completed, and on policies regarding data retention and the processing of data related to children.

    In Samos, mixed feelings

    Advocates in Samos told Al Jazeera they raised concerns about camp residents being adequately notified about the presence of these technologies.

    But Salis, at the control centre, said this has been achieved through “signs – a lot of signs”, in the camps.

    The system does not currently incorporate facial recognition technology, at least “not yet”, according to Leonidas Petavrakis, a digital software specialist with ESA Security Solutions S.A., one of the companies contracted for the Centaur project.

    The potential use of facial recognition in this context is “a big concern”, said Konstantinos Kakavoulis of Homo Digitalis.

    Facial recognition systems often misidentify people of colour and can lead to wrongful arrests and convictions, according to studies. Human rights organisations globally have called for their use to be limited or banned.

    An EU proposal on regulating artificial intelligence, unveiled by the European Commission in April, does not go far enough to prevent the misuse of AI systems, critics claim.

    For some of those living under the glare of this EU-funded surveillance system, the feeling is mixed.

    Mohammed, a 25-year-old refugee from Palestine living in the new Samos camp, said that he did not always mind the cameras as he thought they might prevent fights, which broke out frequently at the former Samos camp.

    “Sometimes it’s [a] good feeling because it makes you feel safe, sometimes not,” he said but added that the sense of security came at a price.

    “There’s not a lot of difference between this camp and a prison.”

    https://www.aljazeera.com/news/2021/12/24/greece-pilots-high-tech-surveillance-system-in-refugee-camps
    #Grèce #réfugiés #asile #migrations #surveillance #complexe_militaro-industriel #drones #caméras_thérmiques #Samos #îles #camps_de_réfugiés #Centaur #algorythme #salle_de_contrôle #menace #technologie #EU_COVID_Recovery_fund #reconnaissance_faciale #intelligence_artificielle #AI #IA

    –—

    sur ces nouveaux camps de réfugiés fermés (et surveillés) dans les #îles grecques notamment :
    https://seenthis.net/messages/917173

    ping @etraces

    • Greece plans automated drones to spot people crossing border

      The Greek Migration Ministry announced it would use EU-funded drones with “Artificial Intelligence” to track people seeking refuge at the border. Promises that they will also improve search and rescue operations ring hollow.

      At the opening of the Thessaloniki International Trade Fair this September, Greek migration minister Notis Mitarakis – otherwise known for dismissing the ongoing evidence of Greek border guards’ brutal and illegal pushbacks of asylum seekers as “fake news” – made national headlines when he introduced his ministry’s latest project: €3.7m funding for drones with “innovative algorithms” that can “automatically identify defined targets of interest” at the Greek border.

      What did he mean? In a demo video, two men – one in sunglasses and a red shirt, another blurred – walk next to a line drawn through a field, with boxes marking them as “person”. As the guy in sunglasses walks closer towards the line, he gets labeled as “person of interest”. He starts running, jumps over the line, runs, lies down on a bench, disappearing from view. When he gets up, the box keeps tracking him.

      EU funding for Greek security projects

      “I actually recognize people from my department in this video”, one IT researcher told us, chuckling, at the Greek Ministry for Migration’s stall at the Thessaloniki Trade Fair on 13 September.

      His department – the Information Technologies Institute at the Center for Research and Technology Hellas (CERTH) – is in a quiet building in the outskirts of Thessaloniki. Here, researchers work on 27 different projects, mostly funded by the European Commission.

      The first time CERTH got funding for a security project was in 2017, when the European Union’s research and innovation program Horizon 2020 paid them to coordinate “ROBORDER”, an €8m project which aimed to develop and pilot “a fully autonomous border surveillance system” where, researchers said, robots will be able to identify humans and independently decide if they represent a threat. These days, the CERTH researcher says, there is a lot of interest from European institutions for funding “security projects”.

      REACTION

      Now, REACTION, or “Real-Time Artificial Intelligence for Border Surveillance” will also be CERTH-coordinated and funded by the European Commission’s Migration and Home Affairs Fund. It is set to start in November 2022, and run for 36 months.

      Computer scientist Stathes Hadjiefthymiades, who is part of the REACTION team, said they want to combine the research from ROBORDER and “AIDERS” – another EU-funded project aimed at processing data from drones, sensors and cameras to “improve emergency responses” in case of a fire, flood or shipwreck. The aim, he says, is to bring the technologies – “or goodies”, as he calls them – into the hands of the police, who want drones (as well as thermal sensors, motion detectors and cameras already installed at the Greek border) to alert them of border crossings.

      Once alerted, law enforcement will “not necessarily” stop people from crossing into Greece, Mr Hadjiefthymiades said. They could also be arrested or brought to camps and be instructed on how to apply for asylum. He added that pushbacks, which Amnesty International describes as “Greece’s de facto border policy”, are “in the news” but he does not believe that Greek border guards are pushing boats of asylum seekers back to Turkey.

      “Innovative algorithms”

      In his speech at the Thessaloniki Trade Fair, migration minister Mr Mitarakis said REACTION’s “use of artificial intelligence” will allow drones to identify and monitor “targets of interest”. However, one young man from the research consortium told us that “[the Migration Ministry] do not really know anything about what we are doing”, because they are “in a different field” and are “end users”.

      At the Thessaloniki Trade Fair, three drones were on display at the Greek Migration Ministry’s stall. Two were from the Chinese commercial drone maker DJI. The third was wrapped in wires and was, a presenter explained, trained to do what Mr Mitarakis said: scan an area, and, if it spots something “more interesting”, like a person crossing a border, independently change its course to track this person. However, the presenter told us, it is the only drone they have that can do this, because “on-board processing” is very expensive and requires a lot of energy.

      Mr Hadjiefthymiades confirmed that they were “dealing with reduced-size drones with limited on-board power. We are struggling to do on-board intelligence with off-the-shelf drones.”

      In the brochure for REACTION, the Greek migration ministry says that one of the project’s aims is “to use the funding to buy equipment needed for the border project.”

      Search and Rescue

      After police are alerted about a person or vehicle crossing the Greek border, “they will go see what is happening”, the young man from the research consortium told us. A woman, overhearing this, said angrily, “I will tell you what they do, they will either come with guns to shoot, or they will beat them”. Later, the young man admitted, “For me, the one thing is, I don’t know exactly what the police will do to the migrants after we alert them.” He grimaced. “But what can I do,” he said.

      When asked about REACTION’s claim that it will be used for “search and rescue”, the young man said he believed that people at the “Multimedia Knowledge Lab” at CERTH are training an algorithm to spot if someone is injured at the border. But Yiannis Kompatsiaris, a senior researcher there, told us that his lab is not currently training such an algorithm.

      In recent years, the Greek Coast Guard, like other European authorities, was repeatedly accused of delaying rescue operations. Earlier this month, Deutsche Welle published a report which showed that Greek authorities left a group of 38 asylum-seekers stranded on an islet on the Evros river, which marks most of the border between Greece and Turkey, despite a nearby pylon with heat sensors and cameras, which should have been able to immediately locate the group.

      Since 2017, open-source researcher Phevos Simeonidis tracks local and EU-funded border surveillance projects in Greece. So far, he says, “this ever-increasing apparatus always seems to fall short of assisting search and rescue, and also evidently turns a blind eye when footage or data could help individuals substantiate claims that they have been victims of human rights violations.”

      https://algorithmwatch.org/en/greece-plans-automated-drones

      #AI #IA #intelligence_artificielle #Real-Time_Artificial_Intelligence_for_Border_Surveillance #REACTION #ROBORDER #AIDERS #CERTH

  • A New Year’s Letter from the President | SQUARE ENIX HOLDINGS
    https://www.hd.square-enix.com/eng/news/2022/html/a_new_years_letter_from_the_president_2.html

    Another term that gained quick currency in 2021 was “NFT” or “non-fungible token.” The advent of NFTs using blockchain technology significantly increased the liquidity of digital goods, enabling the trading of a variety of such goods at high prices and sparking conversations the world over. I see 2021 not only as “Metaverse: Year One,” but also as “NFTs: Year One” given that it was a year in which NFTs were met with a great deal of enthusiasm by a rapidly expanding user base.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #square_enix #business #blockchain #nft #vœux #ai #intelligence_artificielle #ia #nouvel_an

  • Hypermarchés, la chute de l’empire

    Le modèle de l’hypermarché a-t-il fait son temps ? Ce concept révolutionnaire du « tout sous le même toit », popularisé en 1963 par Carrefour, a conquis le monde entier. Aujourd’hui pourtant, le pionnier français, comme ses concurrents, a un genou à terre. En cause notamment, la crise du gigantisme, associé à une déshumanisation du commerce et à la surconsommation, pointée du doigt à l’heure des grands défis écologiques, mais aussi la concurrence du e-commerce. Désormais, tout le secteur cherche à sauver ce qui peut l’être, quitte à verser dans des pratiques à la limite de la légalité. Pour obtenir des prix toujours plus bas, sans lesquels elles seraient désertées, les grandes enseignes mettent les fournisseurs de plus en plus sous pression.

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/19158_1

    #film #film_documentaire #documentaire
    #consommation #grande_distribution #Amazon #hypermarchés #hypermarché #Marcel_Fournier #Carrefour #consommation_de_masse #prix #crise #guerre_des_prix #fournisseurs #omerta #RCD #rétorsions #justice #distributeurs #coopernic #CWT #AgeCore #Horizon_International #Suisse #accords_internationaux #Genève #Nestlé #pratiques_commerciales_abusives #Carrefour_Franchising #franchising #illégalité #Whole_Foods #secteur_alimentaire #Amazon_Fresh #JD.com #robotisation #Agriculture_Brain #industrie_agro-alimentaire #intelligence_artificielle #AI #IA #Slovaquie #Amazon_Prime #concurrence #e-commerce #automatisation #centre-ville #Carrefour_City #technologie

  • Moindre intéret, mais sujet qui nous touchera tous un jour, alors je suis :

    Le futur cadre juridique européen sur l’IA passé à la loupe
    https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-le-futur-cadre-juridique-europeen-sur-l-ia-passe-a-la-loupe

    Ce texte, actuellement en discussion au Parlement européen et au Conseil de l’Union européenne, constituerait, s’il est adopté, une première mondiale, répondant à l’objectif de faire de l’Union européenne « un acteur mondial de premier plan dans le développement d’une intelligence artificielle sûre, fiable et éthique »

    #ia #ai #it #droit

  • Des chercheurs israéliens contournent la reconnaissance faciale grâce à l’IA
    https://fr.timesofisrael.com/des-chercheurs-israeliens-contournent-la-reconnaissance-faciale-gr

    Des chercheurs israéliens ont trouvé une méthode apparemment simple pour tromper les logiciels de reconnaissance faciale – en appliquant du maquillage conventionnel sur des zones spécifiques du visage selon un modèle déterminé par un programme d’intelligence artificielle.

    L’étude, menée à l’université Ben Gurion de Beer Sheva, a montré que, lorsque l’on applique le motif de maquillage généré par l’ordinateur sur les sujets testés, les systèmes sont contournés avec un taux de réussite proche de 100 %.


    Une image illustrant l’intelligence artificielle et les technologies de reconnaissance faciale. (Crédit : KENGKAT ; iStock by Getty Images)

    Vingt volontaires (10 hommes et 10 femmes) se sont vu appliquer du maquillage sur les zones du visage les plus identifiables selon la carte thermique générée par le logiciel, ou du maquillage aléatoire, et enfin pas de maquillage du tout.

    Les sujets ont ensuite été confrontés à un environnement réel en marchant dans un couloir équipé de deux caméras et de diverses conditions d’éclairage.

    Avec le modèle de maquillage conçu par le logiciel, les sujets n’ont été correctement identifiés que dans 1,22 % des cas, contre 33,73 % des cas avec un maquillage aléatoire et 47,57 % des cas sans aucun maquillage.

    « J’ai été surpris par les résultats de cette étude », a déclaré Nitzan Guetta, l’un des principaux auteurs de l’étude, au site américain Motherboard.


    Le système de reconnaissance faciale est incapable d’identifier le sujet une fois le maquillage généré par l’IA appliqué. (Autorisation de l’université Ben Gurion et de l’université Cornell)

    « [La maquilleuse] n’a pas fait trop d’astuces, elle a juste vu le modèle de maquillage de l’IA et a ensuite essayé de le copier. Ce n’est pas une copie parfaite. Il y a des différences, mais ça marche quand même », a-t-elle ajouté.

    L’étude a été menée en utilisant des palettes de couleurs neutres pour obtenir un look naturel et des techniques de maquillage conventionnelles, ce qui signifie qu’elle peut techniquement être reproduite par n’importe qui. Cependant, l’inconvénient de la méthode est que l’on est toujours très reconnaissable par les autres humains.


    Un participant avec un modèle de maquillage recommandé par le programme d’IA qui a pu tromper un système de reconnaissance faciale. (Autorisation de l’Université Ben Gurion et de l’Université Cornell)

    #IA #reconnaissance_faciale #biométrie #facial #surveillance #algorithme #reconnaissance #vidéo-surveillance #discrimination #smartphone #police #maquillage #surveillance #vidéo-surveillance #vidéosurveillance #caméras #reconnaissance

  • Pourquoi s’obstiner à numériser l’école ?
    https://reporterre.net/Mais-pourquoi-s-obstiner-a-numeriser-l-ecole

    « Pourquoi river les enfants à des machines dès leur plus jeune âge ? », écrit l’auteur de cette tribune. Il ne s’agit pas d’être technophobe mais de faire preuve de « techno-discernement » face au tout numérique à l’école et à ses néfastes effets sanitaires et écologiques.
    Philippe Bihouix est ingénieur et auteur d’essais sur les questions environnementales. En 2016, il publiait avec Karine Mauvilly Le désastre de l’école numérique — Plaidoyer pour une école sans écrans, aux éditions du Seuil, qui reparaît aujourd’hui en poche.


    Des enfants utilisent une application d’aide à l’apprentissage de la lecture dans une école marseillaise, en 2018. - © Bertrand Langlois / AFP

    Il y a cinq ans, nous publiions, avec Karine Mauvilly, Le désastre de l’école numérique. Ce livre se voulait un cri d’alerte, au titre provocateur sans doute, à la suite de l’annonce du Plan numérique pour l’éducation lancé deux ans auparavant par le président François Hollande. Nous voulions ouvrir le débat, comprendre, contextualiser, prévenir, interroger et mobiliser enseignants, syndicats, élus, parents et citoyens sur une évolution plus que contestable : celle d’une généralisation de l’enseignement sur écran.

    En termes d’innovation – et de fascination – « technopédagogique », l’école n’en était pas à son coup d’essai. Depuis cent cinquante ans, à l’apparition de chaque nouveau médium (lanterne magique, cinéma, radio, télévision, machines électromécaniques… mini puis micro-informatique), les pédagogues se sont emballés pour les formidables opportunités qui s’ouvraient, séduits, souvent, par des fournisseurs de matériel promettant monts et merveilles. Il est frappant de constater à quel point les mêmes arguments, à travers les âges, ont été brandis… jusqu’à aujourd’hui.


    Les miracles de l’école numérique n’ont été corroborés par aucune étude scientifique. Flickr / CC BY-SA 2.0 / Lucélia Ribeiro

    Les promoteurs du numérique à l’école parlent de motivation et de concentration accrues, d’amélioration des performances, de possibilités de travail collectif, de pédagogies actives ou ludiques, d’adaptation au rythme de chaque enfant… On a hâte de voir les résultats. Ces miracles n’ont été corroborés par aucune étude scientifique – aucune. Pourquoi alors river les enfants à des machines dès leur plus jeune âge ?

    Les preuves des effets délétères de la surexposition aux écrans sur la jeunesse s’accumulent
    L’école numérique soulève par ailleurs d’énormes questions sanitaires et écologiques, entre autres.

    • Sanitaires, d’abord, car les preuves des effets délétères de la surexposition aux écrans sur la jeunesse s’accumulent : phénomènes d’addiction, de dépression, d’agitation, difficultés de concentration, troubles de l’attention, troubles cognitifs, intolérance à la frustration, baisse de l’empathie, violence… Et que fait l’école numérique ? Elle augmente le temps global d’écran des enfants, et, en demandant aux élèves de se connecter après l’école pour faire leurs devoirs, elle légitime auprès des parents l’usage des écrans.

    • Écologiques, ensuite, car l’empreinte du numérique est forte, loin de l’illusion d’immatérialité. Évidemment, il ne viendrait à personne l’idée de contester les avancées technologiques dans d’autres domaines, la médecine par exemple, de dénoncer les appareils électroniques chez les dentistes ou dans les hôpitaux, au prétexte qu’on opérait mieux les patients avant ! Mais, dans le domaine éducatif, la course en avant technologique est bien loin d’avoir démontré une quelconque utilité.

    Cinq ans après la parution de notre livre, où en sommes-nous ? À son arrivée, en 2017, le nouveau ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a commencé par prendre une posture officielle plutôt distanciée avec le numérique. Le « grand plan » a été discrètement remisé : il s’agissait maintenant de bâtir « l’école de la confiance ». Le téléphone portable a même été interdit dans les écoles et les collèges pour la rentrée 2018 – effet d’annonce, car de fait, il l’était déjà…

    Jean-Michel Blanquer n’est pas technophobe, il est au contraire tout à fait fan des possibilités offertes par les « EdTechs » (educational technologies), des start-up qui innovent au service de l’éducation – et notamment avec l’intelligence artificielle (IA). Lors de l’inauguration du « Lab 110 bis » en juin 2018 — un « espace dédié à l’innovation et favorisant l’intelligence collective » logé dans les bureaux du ministère — Jean-Michel Blanquer mentionnait les axes désormais prioritaires du numérique à l’école : « L’IA pour personnaliser les parcours, améliorer l’efficacité de l’enseignement, permettre au professeur de se concentrer sur l’essentiel, notamment par l’aide à l’évaluation ; le traitement massif des données pour permettre une meilleure orientation des étudiants, proposer des formations pros plus pertinentes et améliorer l’employabilité ; la robotique et les objets connectés pour permettre l’inclusion des plus fragiles. »

    Décryptons ce jargon : l’IA pour « personnaliser les parcours » et décharger le professeur du fardeau de l’évaluation consistera à coller l’élève devant son écran, et à mener des tests par QCM (questionnaires à choix multiple) vaguement améliorés sans doute, grâce à un peu de machine learning (l’apprentissage par les machines) ; le « traitement massif des données » pour l’orientation, cela signifie que les parents et les futurs bacheliers n’ont pas fini de souffrir face à l’opacité du logiciel Parcoursup ; quant à la « robotique pour les plus fragiles », mystère !

    Puis vint la crise sanitaire… La grande accélération numérique provoquée par la pandémie de Covid-19 aurait pu être l’occasion de relancer le débat sur la place de ces outils à l’école. Et ce d’autant plus que l’expérience de l’enseignement à distance, malgré l’effort à saluer de nombreux enseignants pour maintenir le lien avec leurs élèves, s’est révélée pitoyable. Mais le débat a surtout porté, dans les premiers temps, sur les inégalités d’équipement des élèves, tous n’ayant pas un ordinateur ou une tablette pour suivre les cours et rendre les devoirs à distance. Et si le contenu pédagogique pendant cette période n’a pas été à la hauteur, c’est l’argument du manque de préparation, d’adaptation (voire d’implication) des enseignants qui a été brandi. Ainsi va la transformation numérique à marche forcée : si elle ne tient pas ses promesses, c’est qu’on n’a pas encore pris la pleine mesure de son potentiel pédagogique.

    La crise a permis un « boom sans précédent du numérique éducatif » — titre d’un article publié dans le Figaro — notamment dans l’enseignement à distance pour les entreprises. Pour ce qui est de l’éducation, c’est moins clair, car, en France, « certains freins subsistent ». Pour Marie-Christine Levet, cofondatrice du fonds Educapital, start-uppeuse des EdTechs — et interrogée dans le même article —, s’il y a des progrès à faire, c’est dans « le grand chantier [de] la digitalisation de notre éducation, de l’école primaire à l’enseignement supérieur. C’est là que nous avons le plus de retard ».

    Il ne s’agit pas de prôner le retour à l’école d’antan mais de faire preuve de « techno-discernement »
    Retard sur quoi, sur qui ? Peu importe ! C’est le principe même du progrès technologique : comme l’explique la Reine rouge dans la suite des Aventures d’Alice au pays des merveilles de Lewis Caroll, ne pas avancer (mais vers où ?), ce n’est pas faire du surplace, c’est reculer : « Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu’on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça. Allons, allons, plus vite, plus vite ! »

    Le débat n’a toujours pas eu lieu. Il ne s’agit pas d’être technophobe, passéiste ou conservateur, mais de regarder les faits le plus objectivement possible. D’ailleurs, pourquoi la charge de la preuve a-t-elle été inversée, pourquoi est-ce aux « détracteurs » du numérique de démontrer que celui-ci a plus d’effets nuisibles que positifs ? Pourquoi acceptons-nous, collectivement, de prendre pour argent comptant les balivernes des vendeurs de matériel et de logiciel ? Ou celles de leurs chercheurs inféodés, un petit cercle d’acteurs qui font carrière dans le secteur public ou le secteur privé (voire les deux) sur les projets « innovants » autour du numérique ?

    Certes, la crise de l’école n’est pas née avec sa numérisation. Il ne s’agit aucunement de prôner le retour à l’école d’antan, avec tableau noir et règle en bois, mais de faire preuve de « techno-discernement », d’oser questionner la doxa technopédagogique, et d’admettre que l’alternative non numérique est, dans la plupart des cas, meilleure.

    #Enfants #Ecole #éducation #france #enfants #inégalités #travail #education #enseignement #écoles #IA #intelligence_artificielle #numérique #cultures_numériques #internet #google #algorithme #politique #bigdata #france #pouvoirs #data #smartphone #technologisme #surveillance ne l’oublions pas

  • La psychiatrie refoulée des Assises de la santé mentale, MATHIEU BELLAHSEN, PIERRE DARDOT
    https://blogs.mediapart.fr/mathieu-bellahsen-et-pierre-dardot/blog/240921/la-psychiatrie-refoulee-des-assises-de-la-sante-mentale

    Dans les prochains jours se tiendront les Assises de la santé mentale et de la psychiatrie. Or, la psychiatrie est la grande absente de ces Assises. Refoulée à l’arrière-plan, ses problématiques seront reléguées dans l’opacité des cabinets ministériels. Il est de notre devoir de citoyen de remettre au centre de la psychiatrie l’accueil de la personne souffrante, sa famille, ses rêves, ses petites et ses grandes histoires.

    Dans les prochains jours se tiendront les Assises de la santé mentale et de la psychiatrie. Si cette dernière est reléguée au deuxième plan de l’intitulé, cela correspond à vingt ans d’un travail acharné pour aller « de la psychiatrie vers la santé mentale »i et faire « de la santé mentale l’affaire de tous »ii.

    Santé mentale qui n’a désormais que peu à voir avec les souffrances et les soins car elle se concentre désormais sur « le bien-être » et « la qualité de la vie ».

    Si la santé mentale est en apparence liée à la santé, en réalité elle s’est instituée depuis le milieu des années 2000 comme une des pièces maîtresses du dispositif économique : « avoir une population en bonne santé mentale pour remplir les objectifs stratégiques de l’Union Européenne »iii expliquait le Livre Vert de 2005. Faire de « la santé mentale positive » un enjeu rappelait le commissariat d’état à l’économie numérique en 2009iv.

    Depuis, cette poussée s’est accentuée. Le covid aura permis de renforcer le brouillage des pistes en parlant de la « mauvaise santé mentale » des français, des étudiants et d’autres populations fragilisées. La société s’est remise à croire en une santé mentale liée aux soins à laquelle il faudrait son lot de dispositif d’accompagnements, de soins, de numéros verts et de télé-consultations.

    Or, mieux vaut parler de souffrances psychiques ou de santé psychique que de santé mentale car la santé mentale induit deux processus.

    Le premier est d’identifier les souffrances à un problème mental ce qui correspond dans l’imaginaire de l’époque à un problème cérébral. Le cerveau est devenu le lieu privilégié d’intervention transformant la psychiatrie en cérébrologie. L’effet sur les pratiques est le délaissement progressif et de plus en plus violent des personnes malades, de l’écoute nécessaire et du temps jamais prévu par avance qu’il s’agit de leur accorder.

    La conclusion qu’en tirent les cérébrologues est toujours la même : demander un financement accru de la recherche sur le cerveau en espérant que les découvertes de laboratoire se transposeront sur le terrain. Cet engloutissement de l’argent public ne peut que nourrir de faux espoirs car il part d’un postulat oubliant que les troubles psychiatriques sont aussi une affaire humaine, existentielle. Le lien de l’individu avec son milieu, la société dans laquelle il vit, sont tout aussi importants, voire plus surdéterminant que les potentiels marqueurs cérébraux des troubles individuels.

    Le deuxième processus est d’articuler la santé mentale aux coûts pour la société, ce qui est entretenu en permanence par les tenants du santé-mentalisme : « la santé mentale coûte chère », « 3 à 4 % du PIB ».

    Le coeur du problème est de réduire ces coûts (pour la société et pour l’économie) tout en créant des dispositifs lucratifs.

    #psychiatrie #souffrance_psychique #Mathieu_Bellahsen

  • Le problème de la conduite autonome est-il technologique ou humain ?
    https://www.numerama.com/vroom/736047-le-probleme-de-la-conduite-autonome-est-il-technologique-ou-humain.

    Même Elon Musk, pourtant connu pour son optimisme, a rétropédalé sur la conduite autonome. « La conduite autonome généralisée est un problème compliqué, puisqu’il faut composer avec l’intelligence du monde réel. Je ne m’attendais pas à ce que ça soit si dur, mais le challenge est évident en y repensant. Rien n’a plus de degré de liberté que la réalité », soufflait-il en juillet 2021, après des années à promettre des délais trop compliqués à tenir. En 2015, le même Elon Musk annonçait « de la conduite autonome d’ici 3 ans ». Soit en 2018. Soit il y a 3 ans.

    #ia #cars

  • Lockdown oder Triage ?
    https://www.heise.de/tp/features/Lockdown-oder-Triage-6189729.html

    Voilä un texte qui explique le fonctionnement du triage de patients dans le contexte du lsystème médical allemand actuel. On peut en retenir deux affirmations principales :
    – D’abord le triage, le fait de refuser un tratement fait pour sauver sa vie à un patient est toujours la décision d’un médecin.. Il n’y a pas de loi qui lui imposerait des critères pour sa décision. Le triage est l’expression pure et simple du pouvoir de décision sur ma vie et ma mort d’un médecin particulier. Il n’y a rien d’abstrair ici.
    – Puis cette décision est prise dans un contexte où le pouvoir en place refuse de fournir assez de moyens pour sauver la vie de chaque patient.
    Autrement dit nous vivons sous un régime qui nous autorise uniquement ä vivre tant que nous sommes en assez bonne forme pour nous faire exploiter. Les malades sont sacrifiés et exterminés tout en servant de cobayes pour l’expérimentation médicale et comme ressource pour l’élaboration de statistiques qui dans l’ensemble ne constituent effectivement que la preuve de la suprématie du pouvoir médical..

    11.9.2021, von Christoph Jehle - Die Debatte zur Priorisierung der Covid- gegenüber den Nicht-Covid-Patienten und die Not: die Pflegekapazität

    Gebannt stellt man fest, dass die Zahl der Hospitalisierungen von Covid-Patienten gegen Ende des Sommers wieder zunimmt. Nachdem die Inzidenzen als Grundlage der Coronamaßnahmen von den Hospitalisierungsinzidenzen abgelöst wurden, hofft die Politik, zumindest etwas Zeit gewonnen zu haben. Der Preis dafür ist das Risiko, dass man die Auslastung der Krankenhäuser nicht mehr vorhersagen kann, weil erst die Fakten zählen.

    Die Hospitalisierungsinzidenz ist die aktuelle Messlatte für Maßnahmen zur Kontaktbeschränkung. Man hat damit die Beurteilung der aktuellen Situation auf der Zeitschiene nach hinten verlegt, in der Hoffnung, dass viele Geimpfte nicht oder nicht symptomatisch erkranken.

    Da die Anzahl der in der Region freien Krankenhausbetten künftig für die Entscheidung über regionale Kontaktbeschränkungen die relevante Größe darstellt, werden schlecht versorgte Gebiete auch schneller mit Maßnahmen bis zum Lockdown rechnen müssen. Die in der Vergangenheit geforderte Gleichbehandlung für alle Bundesländer wird dadurch von einer deutlich kleinteiligeren Differenzierung abgelöst. Berücksichtigt werden dabei alle für Covid-19-Patienten geeigneten Isolierstationen und nicht nur Intensivbetten.

    Die Intensivstationen könnten schnell wieder an ihre Belastungsgrenze kommen, bevor der Auslöser für Kontaktbeschränkungen erreicht werde, so die Befürchtung.

    Wann ist eine Intensivstation an der Grenze zur Maximalauslastung?

    Die Zahl der Intensivbetten ist keine Größe, die man ausreizen kann. Stephan Jakob, Chef der Intensivmedizin am Berner Inselspital, betont nachdrücklich, dass eine Intensivstation nie zu 100 Prozent ausgelastet werden darf. 70 Prozent aller Patienten in der Klinik kämen als Notfälle, für diese müsse man Kapazitäten freihalten.

    Die Auslastung einer Intensivstation dürfe bei maximal 75 Prozent liegen. Und diese Betten können nicht zu 100 Prozent für Corona-Patienten freigehalten werden, weil dadurch andere Intensivpatienten von der benötigten Versorgung ausgeschlossen würden. Die Intensivstation im Berner Inselspital sei derzeit mit 27 Patienten zu 95 Prozent belegt, so der Intensivmediziner vor ein paar Tagen. Davon seien sieben Covid-Patienten, alle ungeimpft.

    „Im Vergleich zu früheren Wellen sind die Patientinnen und Patienten sehr schwer krank. Drei von ihnen benötigen eine künstliche Lunge, viele leiden unter Multiorganversagen“, so Jakob gegenüber der Berner Zeitung.

    Die Pflegekapazität setzt die entscheidenden Grenzen

    Am Anfang der Corona-Pandemie war die technische Ausstattung mit Beatmungsgeräten und anderem technischen Equipment der wichtigste begrenzende Faktor bei der Kapazität zur Behandlung von Corona-Patienten. Die inzwischen erfolgte Aufrüstung und Erfahrung bei der Behandlung dieser Patientengruppe hat gezeigt, dass letztlich die Pflegekapazität die entscheidenden Grenzen setzt, da diese Gruppe einen erhöhten Pflegebedarf hat.

    Wenn jetzt die Ausbildung von mehr Pflegern gefordert wird, sollte man auch berücksichtigen, dass die Pflegeschüler in manchen Bundesländern noch immer teils dreistellige Summen pro Monat selbst bezahlen müssen. Wer schon eine Stelle als Pfleger hat, kann bei großen Kliniken eine kostenfreie berufsbegleitende Weiterbildung zum Intensivpfleger belegen.

    Für Pfleger anderer Einrichtungen schlägt diese Weiterbildung mit etwa 5.000 Euro zu Buche. Auch wenn die Bezahlung sich in der klinischen Pflege zuletzt deutlich verbessert hat, sind die Arbeitszeiten wenig familienfreundlich und die häufigen Wechselschichten gehen zulasten der eigenen Gesundheit.

    So werden die qualifizierten Pfleger schnell knapp. Das für die Intensivpflege qualifizierte Pflegepersonal müsste dann aus anderen Abteilungen abgezogen werden und die dortigen Kapazitäten reduzieren. Patienten mit anderen Vorfällen könnten somit nicht im üblichen Umfang behandelt werden. Was faktisch einer Triage zum Nachteil der Nicht-Corona-Patienten gleichkommt.

    Debatte über Priorisierung

    Unterstützt wurde die Priorisierung der Versorgung von Covid-Patienten auch über die sogenannten Freihaltepauschalen, die in der Praxis dafür gesorgt haben, dass andere Patienten nötige Untersuchungen und Eingriffe zu spät bekommen hätten. Eine gesellschaftliche Debatte über die Priorisierung der Covid- gegenüber den Nicht-Covid-Patienten hat bislang nicht stattgefunden und auch über die legitimen Interessen der solcherart zurückgestellten Patienten spricht kaum jemand.

    Jetzt aber zu behaupten, die Krankenhaus- und speziell die Intensivbetten seien nie knapp gewesen, ist eine bedauerliche Missinterpretation der vorhandenen Zahlen.
    Welche Entscheidungskriterien gelten bei einer Triage?

    Für einen Lockdown kann der Gesetzgeber klare Grenzwerte anhand von Inzidenzen oder Hospitalisierungsinzidenzen festlegen, diese veröffentlichen und auch die jeweils getroffenen Maßnahmen der Öffentlichkeit bekannt geben. Wenn er mit diesen Entscheidungen zu spät kommt und die Betten auf den Isolierstationen ihre Kapazitätsgrenze erreichen, ist der Gesetzgeber außen vor, denn für das Instrument der Triage gibt es aus systematischen Gründen keine gesetzlichen Vorgaben und auch keine Veröffentlichungspflicht.

    Der Gesetzgeber darf hierzu keine Festlegungen treffen und die Entscheidung, wer aufwendig kurativ und wer palliativ behandelt wird, haben die verantwortlichen Ärzte im jeweiligen Einzelfall zu treffen.

    Dabei wird sich dann auch die Frage stellen, welche Bedeutung der Impfstatus des Patienten haben könnte. Die Zürcher Gesundheitsdirektorin Natalie Rickli hat sich mit ihrer Aussage - „Wer Impfgegner ist, der müsste eigentlich eine Patientenverfügung ausfüllen, worin er bestätigt, dass er im Fall einer Covid-Erkrankung keine Spital- und Intensivbehandlung will“ -, auch unter Schweizer Kollegen starken Widerspruch eingehandelt. Die Politik hat es vorgezogen, dieser Frage auszuweichen und fürs Erste die liberalen Coronamaßnahmen zurückzunehmen und vertritt nun eine härtere Gangart.

    Das Thema Triage hat übrigens nicht nur bei Intensivpflegeplätzen eine zunehmende Bedeutung bekommen, sondern auch bei der Zuteilung von Spenderorganen in der Transplantationsmedizin. Im Grund muss bei allen knappen Gütern die Entscheidung gefällt werden, welches Leben soll man retten.

    In der aktuellen Pandemiesituation hat sich deutlich gezeigt, dass unser Gesundheitssystem im Grunde ein „Krankheitssystem“ ist. Aus den Krankenkassen wurden trotz aller Namenskosmetik keine Gesundheitskassen, weil nur die Krankenheilung monetarisiert wird. Für ein echtes Gesundheitssystem müsste deutlich mehr Wert auf die Erhaltung der Gesundheit gelegt werden. Aber das ist ein eigenes Thema.

    #maladie #iatrocratie #pandémie #triage #covid-19 #corona #épidémiologie

  • Joel Burgess sur Twitter :

    Among Skyrim players, you’ll occasionally see this tip: if you see a wild fox, follow it and you’ll be led to treasure.

    Sometime shortly after shipping, we saw this going around online, and an informal investigation started. Who made foxes do this?!

    https://twitter.com/JoelBurgess/status/1428008043556622336

    Des joueurs ont découvert que suivre les renards dans le jeu vidéo Skyrim permettait de découvrir des trésors. Or, personne au sein de l’équipe de développement n’avouait avoir codé un tel comportement. Un fil Twitter sur le gameplay émergeant spontanément des règles du jeu édictées pour d’autres raisons.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #jeu_vidéo_skyrim #jeu_vidéo_pnj_renard #jeu_vidéo_npc #jeu_vidéo_développement #jeu_vidéo_gameplay #jeu_vidéo_jouabilité #gameplay #jouabilité #gameplay_émergeant #jeu_vidéo_gameplay_émergeant #ai #ia #intelligence_artificielle

  • Data et nouvelles technologies, la face cachée du contrôle des mobilités

    Dans un rapport de juillet 2020, l’#Agence_européenne_pour_la_gestion_opérationnelle_des_systèmes_d’information_à_grande_échelle (#EU-Lisa) présente l’#intelligence_artificielle (#IA) comme l’une des « #technologies prioritaires » à développer. Le rapport souligne les avantages de l’IA en matière migratoire et aux frontières, grâce, entre autres, à la technologie de #reconnaissance_faciale.

    L’intelligence artificielle est de plus en plus privilégiée par les acteurs publics, les institutions de l’UE et les acteurs privés, mais aussi par le #HCR et l’#OIM. Les agences de l’UE, comme #Frontex ou EU-Lisa, ont été particulièrement actives dans l’expérimentation des nouvelles technologies, brouillant parfois la distinction entre essais et mise en oeuvre. En plus des outils traditionnels de #surveillance, une panoplie de technologies est désormais déployée aux frontières de l’Europe et au-delà, qu’il s’agisse de l’ajout de nouvelles #bases_de_données, de technologies financières innovantes, ou plus simplement de la récupération par les #GAFAM des données laissées volontairement ou pas par les migrant·e·s et réfugié∙e∙s durant le parcours migratoire.

    La pandémie #Covid-19 est arrivée à point nommé pour dynamiser les orientations déjà prises, en permettant de tester ou de généraliser des technologies utilisées pour le contrôle des mobilités sans que l’ensemble des droits des exilé·e·s ne soit pris en considération. L’OIM, par exemple, a mis à disposition des Etats sa #Matrice_de_suivi_des_déplacements (#DTM) durant cette période afin de contrôler les « flux migratoires ». De nouvelles technologies au service de vieilles obsessions…

    http://migreurop.org/article3021.html

    Pour télécharger la note :
    migreurop.org/IMG/pdf/note_12_fr.pdf

    #migrations #réfugiés #asile #frontières #mobilité #mobilités #données #technologie #nouvelles_technologies #coronavirus #covid #IOM
    #migreurop

    ping @etraces

    voir aussi :
    Migreurop | Data : la face cachée du contrôle des mobilités
    https://seenthis.net/messages/900232

    • European funds for African IDs: migration regulation tool or privacy risk?

      The first person you meet after you land at Blaise Diagne Airport in Dakar is a border guard with a digital scanner.

      The official will scan your travel document and photograph and take a digital print of your index fingers.

      It’s the most visible sign of the new state-of-the-art digital biometrics system that is being deployed in the airport with the help of EU funding.

      The aim is to combat the increasingly sophisticated fake passports sold by traffickers to refugees.

      But it also helps Senegal’s government learn more about its own citizens.

      And it’s not just here: countries across West Africa are adopting travel documentation that has long been familiar to Europeans.

      Passports, ID cards and visas are all becoming biometric, and a national enrolment scheme is underway.

      In Europe too, there are proposals to create a biometric database of over 400 million foreign nationals, including fingerprints and photographs of their faces.

      The new systems are part of efforts to battle illegal migration from West Africa to the EU.

      ‘Fool-proof’ EU passport online

      Many are still plying the dangerous route across the Sahara and the Mediterranean to reach Europe, but a growing number are turning to the criminal gangs selling forged passports to avoid the treacherous journey over desert and sea.

      There’s a burgeoning market in travel documents advertised as ‘fake but real”.

      Prices vary according to the paperwork: an EU Schengen transit visa costs €5,000, while a longer-stay visa can be twice as high.

      Some forgers have even mastered the ability to incorporate holograms and hack the biometric chips.

      “Morphing” is an image processing technique that merges two people’s photographs into a single new face that appears to contain entirely new biometric data.

      Frontex, the EU’s border guard agency, says 7,000 people were caught trying to enter the Schengen area in 2019 carrying such documents — but it admits the true figure could be much higher.

      Sending migrants back

      Last year, the largest number of travellers with fake documents arrived via Turkish and Moroccan international airports.

      Many were caught in Italy, having arrived via Casablanca from sub-Saharan countries like Ghana, Mali, Nigeria and Senegal.

      A Frontex team responsible for deporting migrants without the correct paperwork was deployed this year at Rome’s Fiumicino Airport.

      It’s the first sign of a new European Commission regulation expanding the agency’s role, which includes access to biometric data held by member states, according to Jane Kilpatrick, a researcher at the civil liberties think-tank Statewatch.

      “The agency’s growing role in the collection of data, it links overtly to the agency’s role in deporting individuals from the EU,” she said.

      Over 490,000 return decisions were issued by member states last year, but only a third were actually sent back to a country outside the EU.

      There are multiple reasons why: some countries, for example, refuse to accept responsibility for people whose identity documents were lost, destroyed or stolen.

      Legally binding readmission agreements are now in place between the EU and 18 other countries to make that process easier.
      There are no records

      But a bigger problem is the fact that many African countries know very little about their own citizens.

      The World Bank estimates the continent is home to roughly half of the estimated one billion people on the planet who are unable to prove their identities.

      An absence of digitisation means that dusty registers are piling up in storage rooms.

      The same goes for many borders: unlike the scene at Dakar’s airport, many are still without internet access, servers, scanners and cameras.

      That, the Commission says, is why EU aid funds are being used to develop biometric identity systems in West African countries.

      The EU Trust Fund for Africa has allotted €60 million to support governments in Senegal and Côte d’Ivoire in modernising their registry systems and creating a national biometric identity database.

      Much of the funding comes through Civipol, a consulting firm attached to France’s interior ministry and part-owned by Milipol, one of the most important arms trade fairs in the world.

      It describes the objective of the programme in Côte d’Ivoire as identifying “people genuinely of Ivorian nationality and organising their return more easily”.
      Data security concerns

      European sources told Euronews that the EU-funded projects in West Africa were not designed to identify potential migrants or deport existing ones.

      A Commission spokesperson insisted no European entity — neither Frontex, nor member states, nor their partners — had access to the databases set up by West African countries.

      But the systems they are funding are intimately connected to anti-migration initiatives.

      One is the Migrant Information and Data Analysis System (MIDAS), a migration database that can send automatic queries to Interpol watchlists to detect travel documents and people possibly linked to organised crime, including human trafficking.

      Connections like these, and the role of French arms giants like Thales in the growing biometric market, has led data protection experts to become worried about possible abuses of privacy.
      World’s newest biometric market

      As Africa becomes the coveted market for biometric identification providers, the watchdog Privacy International has warned it risks becoming a mere testing ground for technologies later deployed elsewhere.

      So far 24 countries on the continent out of 53 have adopted laws and regulations to protect personal data.

      A letter by Privacy International, seen by Euronews, says EU must “ensure they are protecting rights before proceeding with allocating resources and technologies which, in absence of proper oversight, will likely result in fundamental rights abuses.”

      It has published internal documents tracking the development of Senegal’s system that suggest no privacy or data protection impact assessments have been carried out.

      Civipol, the French partner, denies this: it told Euronews that the Senegalese Personal Data Commission took part in the programme and Senegalese law was respected at every stage.

      Yet members of Senegal’s independent Commission of Personal Data (CDP), which is responsible for ensuring personal data is processed correctly, admit implementation and enforcement remained a challenge — even though they are proud of their country’s pioneering role in data governance in Africa.

      For the Senegalese cyber activist Cheick Fall, the charge is more serious: “Senegal has sinned by entrusting the processing of these data to foreign companies.”

      https://www.euronews.com/2021/07/30/european-funds-for-african-ids-migration-regulation-tool-or-privacy-risk

      #biométrie #aéroport #Afrique #étrangers #base_de_données_biométrique #empreintes_digitales #passeports #visas #hologramme #Morphing #image #photographie #Frontex #EU_Trust_Fund_for_Africa #Trust_Fund #Civipol #Milipol #armes #commerce_d'armes #Côte_d’Ivoire #Afrique_de_l'Ouest #Migrant_Information_and_Data_Analysis_System (#MIDAS) #Interpol #Thales #Sénégal #Senegalese_Personal_Data_Commission #Commission_of_Personal_Data (#CDP)

    • EU Watchdog Finds Commission Failed to Protect Human Rights From its Surveillance Aid to African Countries

      The European #Ombudsman has found that the European Commission failed to take necessary measures to ensure the protection of human rights in the transfers of technology with potential surveillance capacity supported by its multi-billion #Emergency_Trust_Fund_for_Africa

      The decision by the EU’s oversight body follows a year-long inquiry prompted by complaints outlining how EU bodies and agencies are cooperating with governments around the world to increase their surveillance powers filed by Privacy International, Access Now, the Border Violence Monitoring Network, Homo Digitalis, International Federation for Human Rights (FIDH), and Sea-Watch.

      The complainants welcome the decision by the European Ombudsman and call on the Commission to urgently review its support for surveillance in non-EU countries and to immediately implement the Ombudsman’s recommendations in their entirety. 

      The inquiry, which investigated the support of projects across Africa aimed at bolstering surveillance and tracking powers and involved extensive evidence-gathering from the Commission and complainants, found that “the Commission was not able to demonstrate that the measures in place ensured a coherent and structured approach to assessing the human rights impacts”.

      It recommends that the Commission now require that an “assessment of the potential human rights impact of projects be presented together with corresponding mitigation measures.” The lack of such protections, which the Ombudsman called a “serious shortcoming”, poses a clear risk that these surveillance transfer might cause serious violations of or interferences with other fundamental rights. 

       

      Ioannis Kouvakas, Senior Legal Officer at Privacy International, commenting on the decision:

      “This landmark decision in response to our complaint marks a turning point for the European Union’s external policy and sets a precedent that will hopefully protect the rights of communities in some of the most vulnerable situations for the years to come.”

      An FIDH Spokesperson said:

      “Indeed, this decision warns once again the European Commission about its failure to comply with its human rights obligations. The decision makes clear that the EU has to better develop its processes to effectively put the protection of human rights at core of the design and the implementation of its policies and external activities. All human rights and all activities are at stake.”

      Marwa Fatafta from Access Now said:

      “We welcome the Ombudsman’s decision which scrutinises the EU’s failure to protect and respect the human rights of people living off its shores. The EU’s ongoing surveillance transfers to authoritarian regimes in Africa and elsewhere cannot continue business as usual. We hope this decision will help hold the EU accountable to its values overseas, and protect the rights and freedoms of vulnerable communities from intrusive tracking and government surveillance.”

      Homo Digitalis said:

      “The shortcomings that the Ombudsman has identified prove that the Commission is not able to demonstrate that the measures in place ensure a coherent and structured approach to assessing the human rights impacts of #EUTFA projects. This is an important first step, but we need specific accountability mechanisms in place to address violations of rights and freedoms in EUTFA projects. This cannot be ensured via just some revised templates.”

      https://privacyinternational.org/press-release/4992/eu-watchdog-finds-commission-failed-protect-human-rights-its-s
      #EUTF_for_Africa