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Les parapluies du Perthus. La #Retirada et les paradoxes de la #visibilité
Malgré sa force évocatrice, le caractère iconique de l’image documentaire fait parfois ombrage à une partie de la mémoire des événements. Les photographies de l’#exil espagnol en #France à la fin des années 1930 en témoignent, il faut savoir épuiser le visible pour saisir une réalité plus enfouie de cet épisode. L’historienne Marianne Amar se confronte à cet exercice et propose une relecture de quatre images de la Retirada.
Il pleuvait ce jour-là au #col_du_Perthus, mais la #mémoire n’en a rien gardé. Les photographies de l’exil espagnol en France — près de cinq cent mille réfugiés au début de 1939, à la fin de la guerre civile — construisent, par leur abondance, un continent visuel au croisement des #iconographies de la #guerre et de l’exil. Ce territoire sans cesse redessiné par des #images retrouvées, constitue un corpus labile, patiemment édifié par des photographes aux trajectoires multiples. Les uns, comme #Robert_Capa ou #David_Seymour, ont affûté leur vision en Espagne, pendant la guerre. Ils arrivent à la #frontière dans le sillage des #réfugiés, ne restent que quelques jours mais produisent des #icônes. D’autres, comme #Auguste_Chauvin, travaillent à #Perpignan. Ils assistent à l’événement depuis la France et en rendent compte dans la diversité de ses lieux et de ses acteurs. Les derniers, enfin, comme #Augusti_Centelles, photographe de l’armée républicaine espagnole interné à son arrivée, en sont à la fois les protagonistes et les témoins.
Pourtant, en dépit de cette abondance, ce corpus demeure travaillé par l’#invisibilité. Manquent les images « absentes », perdues ou détruites dans la tourmente qui va suivre. Mais l’invisibilité se cache aussi dans les replis de la photographie, qu’il faut questionner et « inquiéter » pour en révéler toute la puissance documentaire. Les images les plus connues de la Retirada fonctionnent comme des icônes, qui construisent un répertoire visuel désormais bien balisé : la « #vague » des réfugiés saisie frontalement au col du Perthus ; l’empilement des armes confisquées aux soldats ; les femmes et les enfants harassés ; les réfugiés encadrés par des gendarmes ; les #camps d’internement improvisés, puis structurés autour des marques de l’ordre — #barbelés, #baraques, #miradors. Autant d’archétypes qui assurent durablement la #mise_en_spectacle du réfugié, mais qu’il faut mettre en doute pour dévoiler ce qui reste invisible. On proposera, pour esquisser une méthode, quatre exercices de relecture.
Le premier constitue une mise en abyme de l’image et de son auteur. Robert Capa arrive à #Argelès, en mars 1939, passablement abattu. Il avait quitté les exilés juste avant l’ouverture de la frontière ; il revient pour un reportage sur les #camps_d’internement. Sa position a changé. Il n’est plus le témoin engagé aux côtés des combattants, mais un visiteur qui doit solliciter autorisations et accréditations. Distance accrue par sa position personnelle : apatride, bientôt « indésirable » pour l’administration française, il pense rejoindre sa famille déjà installée à New York. « Ici, le moral est mauvais et je ne sais pas ce qui va se passer. », a-t-il confié à sa mère début février. Entre Argelès et #Le_Barcarès, Capa prend, à sa manière, congé de l’Espagne et son portrait d’un réfugié, violon à la main, ressemble fort à un autoportrait du photographe, qu’il faut relire au travers de sa biographie, inquiet et d’une infinie mélancolie.
http://icmigrations.fr/wp-content/uploads/2020/10/PAR75120-739x1024.jpg http://icmigrations.fr/wp-content/uploads/2020/10/LIllustration-OK-002418_014-768x547.jpg Retour à la frontière. Une photographie publiée par L’Illustration en février 1939 montre un groupe sur la route du #col_d’Arès. Deux enfants et un adulte cheminent difficilement, tous trois mutilés, entourés d’un autre homme et d’un adolescent. Rien ne permet alors de les identifier, mais quelle importance ? Cadrés d’assez près, privés de détails contextuels, ils incarnent les « désastres de la guerre » et l’image prend ainsi une portée universelle. Or, deux enquêtes menées dans les années 2000 permettent de la relire autrement. Avancent côte à côte, et sur deux rangs, Mariano Gracia et ses trois enfants. À leurs côtés, marche Thomas Coll, un Français ancien combattant de 14-18, lui aussi mutilé, venu en voisin soutenir et accompagner les réfugiés. S’incarne donc ici, dans le silence de l’image, des gestes ordinaires de solidarité, qui viennent nuancer les représentations d’une France hostile et xénophobe.
Le camp de #Bram, saisi par Augusti Centelles à hauteur d’interné, brouille également les évidences. Autorisé à conserver son matériel et à photographier à l’intérieur des barbelés, il tient boutique dans une baraque, vend ses tirages aux gendarmes et bénéficie de l’aide logistique du commandant. Tous les internés ne furent pas, bien sûr, logés à pareille enseigne. Mais les images de Centelles, leurs conditions de production et les comptes minutieusement tenus dans son journal révèlent que la photographie fut, pour lui, un instrument de survie et contribuent à mettre en lumière, dans une chronologie fine, les sociabilités complexes dans les camps de la République.
À Perpignan, Auguste Chauvin fournit la presse, surtout locale, et, pour des événements d’importance, il tire et vend des séries de cartes postales. Il fera ainsi un « Album souvenir de l’exode espagnole » (sic) légendé en deux langues. Dans sa chronique quotidienne de la Retirada, Chauvin révèle des présences et des moments ignorés : les #soldats_coloniaux, mobilisés pour surveiller les réfugiés, caracolant sur la plage d’Argelès à côté de leur campement ; les forces franquistes arrivées au #Perthus et fêtant leur victoire ; les réfugiés passant la frontière de nuit ; la visite d’Albert Sarraut, ministre de l’Intérieur.
Les photographies de Chauvin n’ont pas la puissance des icônes, mais elles en sont l’indispensable contrepoint. Nulle dimension héroïque dans ses cadrages et ses compositions : Chauvin reste à bonne distance des réfugiés sans jamais faire corps avec l’exil. Mais avec ces images banales, parfois maladroites, il les dépouille, par instants, d’une identité de réfugié et les réintègre dans une vie ordinaire. Attendre devant le bureau de change ou ceux de la douane ; faire halte pour manger, en uniforme, sur le bord de la route ; aller aux nouvelles à l’entrée d’une baraque ; regarder la mer. Et sortir un parapluie pour s’abriter d’une averse au Perthus.
▻http://icmigrations.fr/2020/10/08/defacto-022-04
#photographie #histoire #guerre_d'Espagne
ping @albertocampiphoto
Sur le plancher des vaches IV/II
Symboles (et plus si affinités)
Natalie
▻https://lavoiedujaguar.net/Sur-le-plancher-des-vaches-IV-II-Symboles-et-plus-si-affinites
Paris, le 23 octobre 2019
Amis,
Sans transition, on commencera aujourd’hui par s’intéresser à l’art, et plus particulièrement aux artistes : « Dans les représentations actuelles, l’artiste voisine avec une incarnation possible du travailleur du futur, avec la figure du professionnel inventif, mobile, indocile aux hiérarchies, intrinsèquement motivé, pris dans une économie de l’incertain, et plus exposé aux risques de concurrence interindividuelle et aux nouvelles insécurités des trajectoires professionnelles. Comme si, au plus près et au plus loin de la révolution permanente des rapports de production prophétisée par Marx, l’art était devenu un principe de fermentation du capitalisme. » À cette thèse du sociologue Pierre-Michel Menger, une étudiante répond : « La massification du travail précaire dans le secteur artistique et la flexibilité du travail artistique ne constituent nullement une définition des métamorphoses du capitalisme : ils seraient même plutôt un signe de l’absorption du secteur artistique dans la mondialisation et dans la marchandisation généralisée de la culture. »
Qui de la poule ou de l’œuf ? en somme. Soit, au bout du compte, la grande question alimentaire : est-ce le sujet qui alimente le capitalisme ou le capitalisme qui nourrit le sujet ? (...)
#langage #symbole #art #capitalisme #massification #flexibilité #travail #projet #entreprise #carrière #objectifs #résultats #signature #durable #désir #stratégie #Terre #uniformisation #globalité #gouvernance #norme #genre #corps #Dieu #Genèse #RATP #machines #icônes #France #Rabelais
Gnome : le poids des icônes — aris
▻https://aris.papatheodorou.net/gnome-le-poids-des-icones
Gnome, l’environnement graphique pour systèmes GNU/Linux, viens de sortir une nouvelle version (3.32) comportant d’importantes améliorations au niveau des performances comme de l’ergonomie. Au passage, un nouveau set d’icônes fait son apparition…
Jakub Steiner, salarié de Red Hat et membre de l’équipe de design pour Gnome, avait expliqué en janvier 2019 sur son blog personnel les raisons d’un changement global du design des icônes de l’environnement de bureau, qui n’avait pratiquement pas évolué depuis une quinzaine d’années
#gnulinux #gnome #opensource #libre #interfaces #webdesign #icônes
Icongram
►https://icongr.am
Une sorte de méga #cheatsheet pour plein de packs/fonts d’icones.
La “Marianne” de Mai 68, ou l’effet Disneyland – L’image sociale
►http://imagesociale.fr/6887
par André Gunther
Ce parcours iconographique permet d’interroger les mécanismes de l’usage narratif de l’image d’information. Contrairement à l’idée reçue selon laquelle la photographie serait un document intangible associé au récit de l’information, et doté d’une signification univoque, qu’une analyse sémiologique permettrait de reconstituer, les variations de la lecture de la jeune fille au drapeau montrent que chaque édition construit un récit différent de l’événement et retient des signaux distincts dans l’image.
Rien d’étonnant à ce que les magazines étrangers appliquent une grille de lecture plus distanciée au mouvement français, et privilégient l’analyse historique. De même, il est compréhensible que la vision postérieure des commémorations, dont le rôle est de resituer l’événement dans l’Histoire, adopte à son tour cette perspective. Pourtant, si le sens de la jeune fille au drapeau a fini par se figer dans la chimère historiciste de la Marianne, la diversité initiale de ses lectures témoigne de l’adaptabilité de l’image.
Une autre option, adoptée par Paris-Match à partir de 1978, consistera à réduire la place du drapeau, en centrant l’image sur la jeune femme, et en recadrant – voire en redressant – le cliché. Grâce à une version légèrement inclinée vers la droite, et en coupant près de la moitié de sa surface, la couverture du numéro spécial de 1988 rejette la presque totalité du drapeau hors du cadre (fig. 19-20). Alors qu’ils se rallient à la lecture initiée par le magazine Life, les éditeurs de Paris-Match montrent par cette manipulation qu’ils n’ont pas perdu la mémoire de l’événement, et que faire apparaître la Marianne suppose d’effacer de l’image les signaux qui contredisent le récit.
Paris-Match, mai 1988.
20. Recadrage de l’original.
Quoiqu’elles respectent l’essentiel du motif, ces variations discrètes sont la marque d’un processus d’adaptation du document photographique, qui oriente sa lecture vers le schéma narratif déterminé au préalable par la rédaction. L’ensemble des processus iconographiques, à commencer par la sélection de l’image ou le choix de son format, participent de cette élaboration, où la photographie est utilisée comme un matériau au service d’un récit.
Ces observations invitent à corriger la méthode qui consiste à considérer l’image comme un vecteur d’information autonome, et le photographe comme l’auteur du message. Lorsque la photographie entre dans la composition du récit de l’information, l’auteur de la narration est l’éditeur, qui procède à l’ensemble des choix signifiants – le plus souvent sans en référer au photographe, y compris dans les cas d’altération de l’image. De même, force est de constater que l’unité visuelle à prendre en compte n’est pas la photographie, mais son édition, autrement dit l’ensemble des traits constitutifs de chaque publication, qui forme un produit culturel autonome.
The best Icon Tool - Orion Icon Library
►https://orioniconlibrary.com
Free Flat Icons - FlatIcons
►https://flaticons.net
▻https://framapiaf.org/system/media_attachments/files/000/902/694/original/f9cac165fee1a64e.jpeg
#FlatIcons : une banque de plus de 2500 icônes gratuites et personnalisables (couleur, taille, bordure, fond).
Excusez moi du splash mais où trouve-t-on le format SVG ? Celui qui permet de choisir taille/fond/couleur et forme en gardant toujours son poids léger ?
Pff, je m’interroge sur les capacités du web à se régénérer quand le vectoriel semble y être une notion incongrue.
@touti ça n’a pas l’air d’être très libre, et au-delà de ne pas avoir de ZIP avec tout, même quand tu vas sur une icone précise, ya pas de SVG dans le code, c’est basé sur une appli en PHP derrière qui génère le PNG avec GD, donc il a sûrement les SVG en interne, mais seul lui peut les voir depuis son PHP.
2085 free SVG and PNG icons for your games or apps
▻http://game-icons.net
An ever growing collection of game icons
Dozen new symbols are added weekly and organized in intuitive categories to offer both a comfy browsing and let room for serendipity.
Stay up to date by following the project on twitter, subscribing to the newsletter or just fetching the RSS feed.
Easy styling thanks to SVG
All the images are downloadable in a vector format, so you can easily tweak colors, rotation and adjust effects like blur, bevels or shadows.
Another direct benefit is infinite scaling, it means no size limit for the resulting files which can be used for high resolution interfaces, retina display, logos, stencils etc...
Community oriented
People designing video games or crafting board games have different constraints and needs.
» Seriously, Don’t Use #Icon #Fonts Cloud Four Blog
▻http://blog.cloudfour.com/seriously-dont-use-icon-fonts
Icons are everywhere. These “little miracle workers” (as John Hicks described them) help us reinforce meaning in the interfaces we design and build. Their popularity in web design has never been greater; the conciseness and versatility of pictograms in particular make them a lovely fit for displays large and small.
But icons on the web have had their fair share of challenges. They were time-consuming to prepare for every intended display size and color. When high-resolution displays hit the market, icons looked particularly low-res and blocky compared to the text they often accompanied.
So it’s really no wonder that icon fonts became such a hit. Icons displayed via @font-face were resolution-independent and customizable in all the ways we expected text to be. Sure, delivering icons as a typeface was definitely a hack, but it was also useful, versatile, and maybe even a little fun.
But now we need to stop. It’s time to let icon fonts pass on to Hack Heaven, where they can frolic with table-based layouts, Bullet-Proof Rounded Corners and Scalable Inman Flash Replacements. Here’s why…
#typo #icones #web_design
L’article signale cette ressource intéressante pour les personnes qui utilisent ce genre de typos : ▻https://www.filamentgroup.com/lab/bulletproof_icon_fonts.html
Résumé :
– Quand on utilise la zone Unicode réservée aux trucs privés, si la fonte se charge mal, on a soit des rectangles pourris, soit des icônes n’ayant rien à voir (emojis, etc). Et si les utilisateurs (dyslexiques par ex) forcent une fonte propre à leur besoin, pareil, ça nique tout.
– Quand on fait bien les choses et qu’on utilise le bon caractère Unicode correspondant au dessin que l’on veut utiliser : beaucoup de lecteurs d’écran lisent la description du dessin ! Et le seul moyen de l’enlever est d’ajouter du « aria » dans le HTML en plus. Cela peut marcher dans certains cas, mais du coup impossible d’ajouter des icônes uniquement en CSS, dans le thème graphique.
Filament a produit une librairie utilitaire contenant CSS et JS nécessaire pour utiliser des fontes d’icônes de manière accessible :
▻https://github.com/filamentgroup/a-font-garde
Mais dans la solution de Filament, dans TOUS les cas d’utilisations, ils demandent à utiliser du HTML supplémentaire spécifique à l’icône. Donc d’après moi, c’est un peu pourri : impossible de faire le choix des icônes (ou pas) uniquement dans le thème graphique…
Sur le long terme, j’ai l’impression que la solution serait que tous les lecteurs d’écran prennent correctement en compte la propriété speak:none
.
De cette manière, il suffirait :
1) d’utiliser un bon caractère unicode correspondant au mieux au dessin de chaque caractère de notre fonte d’icône (Fontello permet ça par ex), comme ça le fallback visuel serait bon (sauf s’il n’existe pas et dans ce cas faut utiliser la méthode fallback par image de Filament… galère)
2) d’appliquer sur tous les :before
où on veut ajouter une icône, la directive speak:none
Mais actuellement même Caniuse.com ne contient pas les statistiques des propriétés orales de CSS… Il y a un ticket pour voter pour ça ici :
▻https://github.com/Fyrd/caniuse/issues/1515
Voilà, comment est-ce que vous allez faire à l’avenir vous ?
En ce qui me concerne, cela fait de nombreux mois que désormais mon HTML ne contient plus de scories pourries en rapport avec l’aspect graphique, que je n’utilise plus de classes genre « icon », « grid », ou je sais pas quelle merde comme ça, et que j’ajoute tout en CSS grâce aux préprocesseurs (exemple : a.super_lien{ @extend .icon; @extend .icon-super; }
).
Du coup la solution de Filament m’embête vraiment…
#accessibilité #icônes #fontes #fonts #intégration #HTML #CSS
Pour ma part, les pictos sont en SVG inline, tout simplement. Si je devais me préoccuper de fallback (je parle de mes projets perso uniquement), j’utiliserais <picture> avec une source SVG et le fallback en PNG.
Merci @rastapopoulos pour le ping, je pensais l’avoir dans mes propres liens, mais ce n’est pas encore le cas…
Nan mais si c’est un truc avec des couleurs, etc, ben oui c’est une image, on l’utilise comme une image. Les icônes en fonte pour moi c’est clairement pour les pictogrammes : qui justement doivent suivre UNE couleur choisie en CSS (celle du texte courant très souvent, et parfois une autre), et à utiliser pour différencier des liens, des boutons, etc, tout en restant sobre.
[ Éditer ] [ Supprimer ]
versus
[ ✎ Éditer ] [ ✖ Supprimer ]
Et dans ces cas là, le fait d’en vouloir ou pas, et le fait de vouloir tels ou tels pictos : c’est un choix du thème graphique. Donc pour moi c’est entièrement au thème graphique de les activer ou pas, et de choisir quelles images ou pas. Sans RIEN changer au HTML (qui ne contient que des classes permettant de différencier le sens de divers liens par exemple, pas leur aspect : « supprimer », « favoris », « inscription », etc).
Le fait de devoir mettre des <img>
(ou même des <span>
vides) dans le HTML pour afficher des icônes et non des vraies images, c’est totalement carrément plus du hack (comme il dit dans le lien de départ), qu’utiliser des fontes en CSS. Le fait d’avoir ces pictos, c’est une aide visuelle pour aider à mieux distinguer certains éléments pour celleux qui ont des yeux, mais le lien ou bouton lui c’est juste « Éditer » (par ex).
Ah et faut ajouter (et ça a été écrit dans les commentaires) que les fontes informatiques, avec unicode, ont été faites pour contenir des lettres ET des pictos. Donc ce n’est absolument pas un hack du tout, c’est parfaitement prévu, et donc c’est aux navigateurs (visuels ET auditifs) et aux normes web (CSS), de savoir les gérer comme il faut.
Après pour les interfaces où on a des liens ou boutons qui n’ont QUE l’image/picto, là c’est encore autre chose. Mais pour le coup ça pose encore plus de problème ergonomique avant même l’accessibilité : une image seule, tant qu’on ne connait pas l’appli ou le site, difficile de savoir à quoi ça mène (et maintenant dans tous les trucs tactiles on a pas de bulle de survol puisque pas de survol, mais même pour celleux qui ont une souris, ce n’est pas normal de devoir déplacer sa souris un peu partout sur l’écran pour savoir ce que fait l’interface !), donc sauf cas rare et très précis, c’est pour moi de toute façon une mauvaise pratique.
Pourquoi les pictos devraient-ils n’avoir qu’une seule couleur ?
(oui, je sais, les fontes multicolores arrivent…)
Pour ce point, Fontello fait déjà tout ça pour toi, comme IcoMoon mais en logiciel libre et gratuit. Tu peux importer tes SVG perso, puis les sélectionner comme caractères, et leur assigner un code unicode. Ensuite ça te génère la fonte dans plein de formats, et le CSS qui va avec (comme IcoMoon encore une fois).
Une réponse là ▻http://seenthis.net/messages/435520
Mais qui ne prend pas en compte vraiment les problèmes d’accessibilité (juste utiliser le PUA ne suffit pas, puisqu’il y a le problème des fallbacks, et des polices forcées autrement). Or ce sont ces problèmes dont parlent en priorité l’article de départ.
L’explication plus technique de comment ils fonctionnent chez Cloudfour :
▻http://seenthis.net/messages/457318
Conférence : les figures saintes de l’Islam, de la miniature peinte à l’ère du numérique
Les techniques d’intégration d’icônes-liens - Accessiday 2014
▻http://johanramon.fr/techniques-integration-icones-liens
Étudier des méthodes d’intégration technique d’icônes-liens
Points forts et points faibles d’accessibilité
Techniques de contournement des points faibles
Autres avantages et inconvénients
Une présentation de Johan Ramon (Atalan) aux Accessiday 2014
Pumpipumpe encourage l’interaction sociale entre voisins par le prêt et l’emprunt d’objets que l’on emploie peu souvent.
▻http://www.pumpipumpe.ch/le-projet
Ce projet encourage l’interaction sociale entre voisins par le #prêt et l’emprunt d’objets que l’on n’emploie peu souvent.
(...) Notre projet Pumpipumpe a pour but de rendre ces objets visibles. Et cela non pas via internet, mais grâce à des vignettes collées bien en évidence sur les boîtes aux lettres. Les voisins et habitants du quartier passant chaque jour par là peuvent contacter directement le propriétaire de la pompe à vélo ou de la perceuse désirée. De cette manière, le #voisinage apprend à mieux se connaître et évite d’acheter des objets tout neufs.
Chez Noun project : un troisième projet ouvert et collaboratif de conception d’icônes / #pictogrammes
▻http://thenounproject.com/johncaserta/collection/documentary
Brief :
This collection harkens back to the 1930s pictographic style, when icons were drawn as a type of early documentary photograph – descriptive of everyday actions, but more suitable for reproduction with the coarse printing presses of the era. This realistic (but not without humor, voice or wit) type of drawing is visible in Rudolf Modley and Gerd Arntz’s archive. We can get a sense of the culture by seeing a slightly simplified version of the hair, clothes, mannerisms and industrial objects of the time.
Pictograph Corporation Icons (Rudolf Modley)
I’m asking all of you — wherever in the world you may be — to help build a collection that documents people doing what they do today — whether funny, awkward, honorable or mundane. What I hope to see is a snapshot of contemporary global culture using a timeless pictographic style.
Think of them as documentary icons, akin to the small format photographs taken in the subsequent era by Henri Cartier-Bresson, Robert Frank, Diane Arbus, and Lee Friedlander.
Il y a même des indications pratiques sur comment travailler :
Ohlala, y’a encore du chemin sur les représentations sexuées. La femme est sur les toilettes ou danse le Twerk (parade sexuelle) tandis que monsieur fait du skate ou se promène.
Pour le coup, c’est assez simple de corriger la situation... le projet est ouvert :)
I’m asking all of you — wherever in the world you may be — to help build a collection that documents people doing what they do today — whether funny, awkward, honorable or mundane. What I hope to see is a snapshot of contemporary global culture using a timeless pictographic style.
Avec un peu d’humour, d’absurde et de dérision, on doit pouvoir proposer des pictos/miniatures un peu moins genrés, voire militants.
Vous avez des idées ?
Sérieusement, si vous avez des photos qui pourraient coller, mettez les ici, on peut se partager le boulot ;)
cc @tetue
Icon search engine and market place | Iconfinder
▻https://www.iconfinder.com
Search through 347,128 icons or browse 3,003 icon sets.
jxnblk/geomicons-open
▻https://github.com/jxnblk/geomicons-open
Open Source Icons for the Web
1640 iOS7 Icons for designers & Developers | Streamline Icons
▻http://www.streamlineicons.com/#packs
1640 Icons for Designers & Developers
Ce qui n’empêche pas de les référencer si elles sont de bonne qualité. :)
Mais c’est bien d’avoir les précisions, afin de pouvoir chercher : +icones -payant si on veut uniquement les icônes gratuites (par exemple).
(On remarque au passage, qu’en fait les tags ne servent à peu près à rien du tout car on ne peut pas les combiner dans une requête : dès qu’on veut une combinaison, on se retrouve en fait à faire de la recherche plein texte.)
Générer sa propre webfont à partir d’images SVG, avec codes unicodes personnalisés. Le tout automatisé avec #Grunt.
En gros, on met des fichiers svg dans un répertoire, et des fichiers .eot, .woff, .ttf et .svg sont générés.
L’article expliquant la démarche :
▻http://www.insertafter.com/articles-gruntjs_font_icons.html
Le plugin grunt :
▻https://github.com/nfroidure/grunt-svgicons2svgfont
Merci @nfroidure :)
ca veut dire quoi avec « codes unicodes personnalisés ». c’est à dire que cela met des caractères dans les parties unicodes « non affectées à des caractères » ?
Oui, j’ai l’impression, mais seulement si tu veux. :)
Il faut nommer l’image source svg avec l’unicode souhaité : « uE002-arrow-down.svg » par exemple.
Un autre intérêt de générer ses fontes avec des noms de fichiers d’icônes préfixés avec le caractère Unicode, est de pouvoir utiliser le bon caractère Unicode quand cela fait sens.
Par exemple, si vous avez un icône « plus » permettant d’avoir un icône sur un bouton d’ajout au panier, cela peut être utile d’utiliser le code Unicode du signe « + » (U+002B) plutôt qu’un code faisant parti de la plage des codes réservés à un usage privé.
Utile aussi pour garder un site - utilisant les webfonts pour les icônes ou pictos - utilisable sur des connexions lentes ou dégradées.
@Maïeul C’est même « pire » l’idée est de ne pas avoir de caractères pour cette police particulière que ne servira qu’à afficher des icones.
L’avantage étant que ces icones auront un beau rendu quelle que soit la taille …
200 Foodie Pack : A Free Set Of Food Icons | Smashing Magazine
▻http://www.smashingmagazine.com/2013/06/17/foodie-icons
The 200 Foodie Pack includes 200 customized icons available in PNGs (32×32px, 64×64px, 128×128px), as well as in AI, EPS and vector format. Perfect for any projects around gourmet, food, restaurant, gastronomy and the like. Enjoy!
ben dis donc, le site m’es forbidenn ! je vais être obligé de proxité fouloulou
C’est n’importe quoi, du coup, évidemment par curiosité je regarde un peu le site... et la... ben j’y trouve vraiment aucune raison de me l’interdire.
Oui ce matin ça faisait du 403 depuis Seenthis. Mais ça marchait en y allant directement. Bizarre.
du côté d’Allemagne il n’y a pas de problème aussi depuis Seenthis
De L’extrême « visibilité » que sont aujourd’hui les icônes top-models et leurs corps glorifiés par un trop-plein de lumière jusqu’ à l’aveuglement.
A propos du livre « Corps glorieux de la top-modèle » de Véronique Bergen par #Jean-Clet_Martin
▻http://strassdelaphilosophie.blogspot.fr/2013/05/corps-glorieux-de-la-top-modele.html
C’est en effet la transparence du modèle qui l’emporte sur la copie, le brillant d’une diagonale intelligible capable de fournir le carré d’une figure que nul ne peut voir autrement que par les yeux de l’esprit. Et pourtant, les formes pures ne cessent d’emprunter aux strass et aux parures le jeu de leur gloire, le brillant de leur assise stellaire. On tiendra, au titre d’un argument sévère et exigeant, que l’Idée ajuste son fard et sa poudre étoilée à la gloire d’un corps, celui qui va au turbin de la lumière, monte sur le podium essentiel d’un découpage scénique fort calculé. Preuve en est l’intérêt dont Degas, Mallarmé autant que Valéry témoignent à l’aspect, à la spectralité évanouie des scènes les plus obscènes.
La patine de l’Idée ne serait rien sans ce modèle qu’elle ignore, ce modèle offert aux regard les plus indiscrets, celui que la poursuite ronde de la lumière découpe, déchiquette, trucide en un carré scénique, un top d’une minute, d’un instant de rien du tout, simple éclat de vie qui abolit sa durée, l’éternise jusqu’au suicide. Le top modèle est le Christ inversé de l’Idée, sa gloire vampirisée par les éléments d’Euclide, par les partitions Platoniciennes qui arborent la perfection dure des schèmes mathématiques. Gloire des apparences diaphanisées par la splendeur des Idées épurées, épreuve de la superficie dont la nudité n’est que celle des Vérités les moins incarnées en apparence.
#Icônes #Tops_models #Mode #Femme #Glorification #Mythe #transparence #Philosophie #Foucault #Platon #Ontologie #Littérature #livre
Maki | A clean point of interest icon set
▻http://www.mapbox.com/maki
Pixel-perfect icons for web cartography
Maki is a clean point of interest icon set made for web cartography. It includes 93 different symbols at 3 sizes each for a total of 279 icons and growing.
#graphisme #icones #UI #interfaces
J’aime bien ce #template : ▻http://somerandomdude.com/2012/04/03/introducing-frank
#adaptive et tout
et ce projet qui lui est associé :
Iconic is an open source icon set consisting of 171 marks in raster, vector and font formats.
Charte de confidentialité : des #icônes pour informer | Geoffrey Dorne
►http://owni.fr/2012/12/14/charte-de-confidentialite-des-icones-pour-informer
Personne - ou presque - ne lit les politiques de confidentialité. Pour simplifier les choses et rendre compréhensible ce que fait chaque site avec vos données, designers, citoyens et experts soutenus par la fondation Mozilla ont mis en place une liste d’icônes. Tour d’horizon de l’initiative.
#Chronique #Cultures_numériques #Graphisme #Art #CGU #création #design #graphisme #icone #picto #pictogramme #vendredi-graphism #vie_privée