• Yaneer Bar-Yam (30 janvier 2022) :
    https://twitter.com/yaneerbaryam/status/1487814184104517632

    Merchants of herd death oversold immunity. People are being reinfected immediately again after Omicron infection.

    We have the data: Both laboratory experiments and actual cases.

    Evidence from a study showing immunity based upon “mild" Omicron infection is weak for Omicron reinfection, and limited for cross immunity to Delta infection.

    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.01.25.22269794v1.full.pdf

    Overall, immunity from Omicron infection is much lower than the immunity from Delta infection, correlated with the severity of infection. So unless you get a severe infection with all of its consequences you also don’t get immunity from having another infection.

    And recall even immunity from severe infection wanes rapidly in a few months.

    Summary: “Neutralizing immunity...from Omicron and Delta”

    "We found a significantly smaller rise of neutralization titers associated with milder Omicron breakthrough infection in vaccinated individuals, to only approximately one-third of the rise associated with boosting.

    “We also identified limited cross-variant immunity to Delta.”

    "Thus, breakthrough infection from Omicron may enhance cross-protection against Delta, and vice-versa, [only] inasmuch as there is a sufficiently large increase in baseline neutralizing immunity, which appears to be related to the clinical severity of the infection.

    "Our findings parallel those from another study from our group that demonstrated limited cross-variant immunity after milder Omicron variant infection in unvaccinated individuals in a mouse model and in human patients.

    "Taken together, our results suggest that Omicron-induced immunity may not be sufficient to prevent infection from another, more pathogenic variant, should it emerge in the future.

    Actual cases of reinfection by Omicron are so widespread they are manifest to anyone who is not closing their eyes:

    @DrSalandyinGA: “My latest news is that kids are now getting reinfected within 30 days of their COVID infection...and yes they tested negative in between.”
    https://twitter.com/DrSalandyinGA/status/1486126028200333319
    (See comments in that thread)

    Important addition:
    Anthony Leonardi @fitterhappierAJ has shown that the immune system T-cells are damaged by covid (shades of HIV), potentially undermining not just Covid immunity but immunity to other diseases, and part of Autoimmune dysfunction after covid.
    https://twitter.com/fitterhappierAJ/status/1485965771981430792

    • Le Covid endommagerait les cellules T, celles qui mémorisent le type de défense à mettre en œuvre en cas de réinfection et déclenchent la fabrication des anticorps correspondants si je ne me trompe. J’ai compris ’Shades of HIV’ comme un lien avec le mécanisme du VIH qui s’attaque lui directement aux lymphocytes T. Mais bon dans le cas du HIV les lymphocytes T sont carrément détruits, d’où la nuance.
      Quand on met ça en parallèle avec les Covids longs et le fait que dans certains cas le sars-cov-2 survit dans l’organisme plusieurs mois après l’infection, c’est crédible, et pas très réjouissant.

    • Une mort cellulaire similaire au sida
      https://www.tvanouvelles.ca/2022/02/01/une-mort-cellulaire-similaire-au-sida-1

      (en complément de l’article précité et des explications de @emanuel)

      Une équipe internationale codirigée par un professeur de l’Université Laval a découvert que le virus de la COVID-19 entraîne l’autodestruction de cellules du système immunitaire dont le rôle est justement de lutter contre cette infection.

      Le chercheur Jérôme Estaquier, qui étudie le VIH depuis près de 30 ans, parle même d’un processus de mort cellulaire similaire à ce qui se produit lorsqu’une personne est atteinte du sida.

      Selon lui, la sévérité de la maladie augmente en fonction du taux de mortalité des cellules appelées lymphocytes T.

      « Le résultat est que, dans les deux maladies, les personnes infectées parviennent difficilement à monter une réponse immunitaire adéquate contre le virus. Lorsque la mortalité des lymphocytes devient trop élevée, les défenses immunitaires s’écroulent et tous les organes du malade peuvent être infectés », précise le chercheur.

      Il y aurait un moyen, par contre, de ralentir ce processus. Dans des expériences, l’équipe a réussi à réduire de 60 % cette mort cellulaire en ajoutant une molécule. « Nous espérons maintenant démarrer une étude clinique pour tester l’innocuité et l’efficacité de cet inhibiteur chez des personnes atteintes de COVID-19. »

      Les détails de cette découverte surprenante viennent d’être publiés dans la revue scientifique Cell Death & Differentiation.

      #lymphocytes_T #mort_cellulaire #apoptose

  • En Chine, les migrations du Nouvel An sous le signe du Covid-19
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/31/en-chine-les-migrations-du-nouvel-an-sous-le-signe-du-covid-19_6111707_3244.

    En Chine, les migrations du Nouvel An sous le signe du Covid-19
    Si les autorités n’ont pas voulu annuler les festivités une troisième année d’affilée, les obstacles aux retours sont nombreux alors que le pays maintient sa politique zéro Covid.
    M. Ceng, 50 ans, casquette et veste noires, teint hâlé, s’apprête à rentrer chez lui pour la première fois depuis le début de la pandémie. Un simple sac à dos pour tout bagage, il attend sa femme, abrité de la pluie fine à l’entrée d’une bouche de métro d’où s’écoule un flot continu de voyageurs se dirigeant vers le vaste bâtiment vitré de la gare de Shanghaï. A l’entrée, un haut-parleur leur rappelle de présenter leur « code QR de santé » aux employés enveloppés dans des combinaisons intégrales.
    Originaire de Huainan, dans l’Anhui, à trois heures de TGV au nord-ouest de Shanghaï, M. Ceng, gardien d’immeuble, n’a pas vu sa fille et ses parents depuis deux ans : « L’année dernière, mon employeur ne nous a pas laissés quitter Shanghaï, parce que l’épidémie était plus sérieuse », explique-t-il. A la veille du Nouvel An lunaire cette année, la Chine appelle à la prudence, mais lâche un peu la bride à sa population, malgré des foyers du variant Omicron, sous contrôle pour l’instant.
    Quitte à envoyer des messages parfois contradictoires : certaines villes offrent des centaines de yuans de subventions et de bons d’achat aux ouvriers migrants qui ne retourneraient pas chez eux, notamment au Guangdong et au Zhejiang, deux provinces manufacturières qui attirent chaque année des millions de migrants. Mais beaucoup ont ignoré les appels des autorités et sont rentrés parfois des semaines avant les vacances officielles, qui durent de la veille du Nouvel An, lundi 31 janvier, au 7 février, pour éviter d’éventuelles restrictions.
    D’autres localités imposent des quarantaines de deux semaines à ceux qui rentrent passer les fêtes en famille, pour un simple cas dans leur ville. Le gouvernement appelle à la mesure : « Certaines localités n’autorisent pas les personnes venant de zones à faible risque à rentrer, ou les forcent à passer par des hôtels de quarantaine payants. Cela provoque des réactions fortes de la part du public », a noté Mi Feng, le porte-parole de la Commission nationale de la santé, en conférence de presse, samedi 29 janvier. Il a appelé les autorités locales à « ne pas imposer de restrictions arbitraires, afin que les gens puissent passer une Fête du printemps joyeuse, en paix et en bonne santé ».Mais les autorités locales sont sous pression : en cas de foyer épidémique, ce sont elles qui seront tenues responsables, comme ces vingt-six fonctionnaires à Xi’an, punis fin décembre pour « manque de rigueur dans la prévention et le contrôle de la maladie ». Pour autant, le confinement strict de la ville pendant un mois a suscité un fort mécontentement et des critiques contre une politique sanitaire à l’emporte-pièce. En général, les villes les plus grandes et les plus développées font preuve de plus de mesure dans les restrictions tandis que les zones qui ont moins de moyens tentent de se protéger par des restrictions plus lourdes.
    Pékin est l’exception à cette règle : la capitale, qui accueille les Jeux olympiques d’hiver du 4 au 20 février, refuse les voyageurs de zones à risque moyen et impose plusieurs tests à l’arrivée. Dans ce contexte ambigu, le ministère des transports prévoit cette année 1,18 milliard de voyages pendant les quarante jours qui entourent la Fête du printemps, soit 35 % de plus que l’année dernière, mais beaucoup moins que les trois milliards de trajets effectués en 2019.A la sortie de la gare de Shanghaï, des employés en combinaison blanche se tiennent prêts à contrôler les tests et codes QR à l’arrivée. Ils sont désœuvrés : la plupart des voyageurs quittent les métropoles pour rejoindre leurs familles dans le reste du pays. Sans trop s’inquiéter du virus : « J’avais surtout peur au début, mais maintenant un peu moins. J’ai reçu ma troisième dose la semaine dernière, confie M. Ceng, qui se prépare à cuisiner pour toute la famille, parce que je suis le seul qui cuisine bien », sourit-il.
    La nourriture est évidemment au centre des festivités du Nouvel An, où la coutume veut qu’on rende visite aux différentes branches de la famille en enchaînant les banquets. Certains voyageurs tiennent à la main des boîtes de viande séchée, d’autres d’assortiments de noix. Mme Wang, 27 ans, rapporte des palmiers, spécialité pâtissière de Shanghaï héritée de l’époque coloniale. Elle n’est pas rentrée chez elle depuis trois ans. « Je sais qu’il y a un risque faible, mais je suis prête à le prendre pour voir ma famille. La Fête du printemps, c’est très important pour les Chinois », témoigne la jeune femme qui travaille dans le marketing.Elle aussi a reçu sa troisième dose de vaccin : devant la gare, deux grandes tentes sont prêtes à offrir les vaccins à ceux qui veulent. Dans les rues de Shanghaï, depuis un mois, une campagne de rappel a été lancée. Mais les deux principaux vaccins administrés en Chine, des sérums à virus inactivé développés par Sinovac et Sinopharm, sont peu efficaces face au variant Omicron, et la population chinoise, protégée par la politique zéro Covid, possède un faible niveau d’immunité naturelle.D’où la vigilance des autorités alors que les foyers Omicron se multiplient depuis début janvier. Pour l’instant, malgré une dizaine de foyers en activité, le nombre de cas officiellement déclaré reste faible, à moins d’une centaine par jour. Les mesures alliant tests massifs et confinements étendus semblent garder leur efficacité, au prix de lourds sacrifices : quelques millions de personnes, du Henan, dans le centre, au Heilongjiang, au nord-est, passeront le Nouvel An confinés.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#sante#zerocovid#deplacementinterne#nouvelan#vaccination#immunité#confinement#quarantaine#test#omicron#travailleurmigrant

  • Info ou intox | COVID-19, attention aux fausses informations
    https://unric.org/fr/covid-19-info-ou-intox

    Pas besoin de vaccin si j’ai déjà eu la COVID.

    INTOX. Une infection au COVID-19 développe une réponse immunitaire qui varie d’une personne à l’autre. La force et la durée de cette réponse, et la manière dont elle varie selon les personnes, sont toujours à l’étude. 

    Même si l’on a déjà eu la COVID-19, le vaccin agit comme un rappel qui renforce la réponse immunitaire. Il est également arrivé que des personnes soient infectées par le SARS-CoV-2 une seconde fois, ce qui rend la vaccination encore plus importante.

    C’est un des points aveugles des nombreux tableaux qu’on nous montre : on compare systématiquement le nombre de cas graves rapporté aux non vaccinés, aux vaccinés deux doses, et désormais aux vaccinés trois doses. Mais je ne trouve jamais l’évaluation du niveau de protection des gens qui ont fait un Covid (disons depuis moins de six mois) contre les formes graves et les décès.

    Parce que le fait qu’une précédente contamination ne protège pas efficacement contre une re-contamination, ça OK, mais le vaccin non plus, et avec Omicron c’est très clair. En revanche on insiste bien sur le fait que la vaccination protège très efficacement contre les formes graves et le décès. Par contre, quel est le niveau de protection contre ces formes graves et décès que conférerait une précédente contamination, ça je ne le vois jamais.

    • Par exemple, sur la gravité d’Omicron, il a été initialement suggéré plusieurs fois que peut-être qu’Omicron « semblait » moins virulent parce qu’il réinfectait des gens qui avaient déjà eu le virus, et donc étaient ainsi protégés contre les formes graves, dans des pays où les premières vagues avaient circulé assez librement (Afrique du Sud, Grande-Bretagne). Cette idée semble désormais invalidée, mais n’empêche : cela signifie qu’on estime qu’une précédente infection devrait protéger contre les formes graves.

      Mais je ne trouve aucune estimation de l’« efficacité » d’une telle protection, comparée à une vaccination en bonne et due forme. (Je ne parle évidemment pas des risques encourus, ni de l’aspect moral de faire contaminer massivement sa population avec un virus encore totalement inconnu il y a tout juste deux ans.)

    • @monolecte Oui, mais a priori là on parle de « simple » recontamination. Ce que j’aimerais savoir, c’est à quel point ces gens qui ont fait un Delta sont protégés contre les formes graves et le décès d’une nouvelle infection. (De la même façon qu’il est désormais acquis que des gens vaccinés trois doses sont relativement facilement contaminés par Omicron, mais sont très bien protégés contre les formes graves et le décès).

    • Apparemment, le variant B2 est proche d’être majoritaire au Danemark, et les premières publications au sujet des réinfections B2 suite à B1 commencent aussi à dire que ça existe.
      Finalement, c’est pas tous les 6 mois qu’on va se faire réinfecter. Mais peut-être bien tous les deux mois... avec de la « chance ». :-) Ca va être cool. On aura en permanence son pass vaccinal, encore mieux qu’avec la vaccination.
      Il faut vraiment qu’on envisage d’affréter un charter pour la NZ...

    • https://www.mesvaccins.net/web/news/18284-duree-de-l-immunite-anti-covid-des-donnees-de-plus-en-plus-precise

      [30 oct. 2021 donc avant omicron qui change la donne : immunité par infection semble efficace contre formes graves et plus pérenne que par vaccination [edit : évidemment à condition d’avoir échappé au covid long, à l’hosto ou au cimetière]]

      Deux récentes études se sont intéressées à l’immunité persistant chez des personnes ayant présenté une infection par le SARS-CoV-2, qu’elle ait été inapparente ou symptomatique. La première, assez complexe, a suivi des professionnels de santé du CHU de Strasbourg jusqu’à 14 mois après la date de leur infection (1). Elle met en évidence la persistance d’anticorps anti-protéine S du virus (plus précisément contre le domaine de fixation au récepteur, RBD), dont on sait qu’ils contribuent à la protection contre l’infection ou à la guérison, à des taux considérés comme efficaces, chez près de 60 % des personnes suivies un an après l’infection. La diminution du taux de ces anticorps dans le temps est par ailleurs plutôt lente, en comparaison avec celles des anticorps anti-protéine N du virus, plus rapide et importante. L’étude montre par ailleurs une protection effective des personnes immunes contre la réinfection et contre les formes graves d’infection durant l’année qui suit l’infection initiale : l’incidence des infections-réinfections n’a été que de 0,40 pour 100 personnes-années dans le groupe des convalescents, contre 12,22 pour 100 personnes-années dans le groupe des personnes n’ayant pas précédemment été infectées.

    • … d’autant plus difficile à dire sans doute qu’aujourd’hui c’est chaud de trouver des immunités non croisées infection/réinfection/1/2/3 doses et avec différents variants concernés …

      et l’inévitable et désespérant Pr Logos à propos d’omicron le 10 décembre :

      Quand aux croyants dans l’idée que l’immunité naturelle est de bien meilleure qualité que l’immunité induite, il faudrait intégrer que la province de Gauteng est autour de 70% de prévalence.
      https://www.nicd.ac.za/wp-content/uploads/2021/11/SACMC-Fourth-wave-report-17112021-final.pdf

    • Y a des gens qui racontent se faire + tabasser en janvier qu’il ne l’étaient en décembre.

      Il semble aussi que le virus ne s’attaque pas toujours aux mêmes organes selon les gens ou les versions. Où, pourquoi, comment  ? on n’en sait foutre rien. Il y a des cas où il attaque directement le système immunitaire. Je doute que pour ces gens-là, ce soit une protection pour l’avenir.

      La variabilité des configurations fait que tu ne peux juste pas généraliser. Ce qui est avantageux pour Tartampion est potentiellement mortel pour Bidule. Devant ce degré d’instabilité et d’incertitude, je maintiens le cap  : échapper à cette merde whatever the cost .
      Parce que rien ne te dit que ce qui a fait éternuer une fois ta voisine ne va pas te crever en moins d’un mois.

    • Toujours signalé par le même, à propos de l’immunité acquise contre d’autre variants après infection par omicron (BA.1) :

      We found high neutralizing antibody titers against all variants for vaccinated individuals after BA.1 breakthrough infection or for individuals after infection with a pre-omicron variant followed by BA.1 infection. In contrast, samples from naive unvaccinated individuals after BA.1 infection mainly contained neutralizing antibodies against BA.1 but only occasionally against the other variants.

      https://doi.org/10.1101/2022.02.01.22270263

    • Pourquoi la vaccination protégerait-elle mieux que l’immunité « naturelle » (par infection) contre les formes graves de covid :

      https://www.nature.com/articles/s41586-022-04702-4

      Claude-Alexandre Gustave
      https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1512192709666160647

      Le problème est que SARS-CoV-2 est un virus à ARN dont le brin d’ARN est à « polarité positive ».
      En clair, ça signifie que son brin d’ARN peut être directement utilisé par nos cellules comme un ARNm permettant la création de nouveaux virions complets et fonctionnels 😬... 7/17

      Ainsi, en présence de ces anticorps non-neutralisants (capables de se fixer sur le virus sans l’empêcher de proliférer), SARS-CoV-2 accède à tout un panel de nouvelles cellules qu’il ne pourrait pas infecter seul.
      Les macrophages sont une cible+++... 8/17

      En permettant l’infection de ces macrophages, le mécanisme dépendant des FcGammaR pourrait être une des causes menant à la survenue de covid sévère via une dérégulation de la réponse inflammatoire à partir de ces macrophages infectés... 10/17

      Petite précision : la vaccination s’oppose à ce phénomène pour une raison simple... Elle n’immunise que contre Spike, avec donc quasiment que des anticorps neutralisants qui empêchent la prolifération virale quand ils se fixent au virus... 11/17

      Au contraire, l’infection induit la production de nombreux anticorps NON-neutralisants, dirigés contre les protéines M, N... qui sont non seulement incapables de bloquer l’invasion virale, mais qui peuvent aggraver la maladie... 12/17

  • Rire & Chansons : La drôle de chronique de #Karine_Dubernet, je me suis convertie au Covidisme

    Notre Pfizer qui est aux cieux,
    Que tes doses soient sanctifiées,
    Que tes actionnaires prospèrent,
    Donne-nous nos trois doses de ce jour,
    Vaccine-nous comme nous vaccinons ceux qui refusent de se vacciner,
    Ne nous laisse pas entrer en réanimation,
    Mais délivre-nous du Covid,

    Au nom du pèze, du fric et du simple d’esprit,
    ARNm.

    https://www.youtube.com/watch?v=AcdADBzetUA

    Attention !
    Ne pas faire confiance à #Pfizer à cause de ses 75 condamnations et 10 193 896 333 $ d’amendes pour charlatanisme, publicité mensongère, corruption de médecins, de fonctionnaire… fait de vous un, une #complotiste.

    Pourtant, faire confiance à Pfizer c’est comme laisser monter son gosse dans la voiture d’Emile Louis, en toute connaissance de cause.

    Karine et la gestion de la crise par not président !
    « Dire que t’es capable d’emmerder des millions de Français, revient à admettre que t’es un immense trou du cul. »

    #Humour #vaccination #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #confinement #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #injustice #populisme

    • Baromètre des médias 2022 : la confiance des Français au plus bas Aude Carasco
      https://www.la-croix.com/Economie/Barometre-medias-2022-confiance-Francais-bas-2022-01-20-1201195923

      Jamais l’intérêt pour l’actualité et la confiance envers les médias n’ont été aussi faibles à la veille d’une présidentielle, relève le 35e Baromètre de confiance dans les médias Kantar-Onepoint pour « La Croix ».

      En cette année d’élection présidentielle, plus aucun média n’obtient une majorité de confiance de la part des Français. Même la radio (à 49 %) qui caracolait seule en tête depuis le lancement, en 1987, de notre Baromètre médias avec une crédibilité encore de 52 % l’an dernier.

      Moins écouté avec le développement du télétravail pendant la crise sanitaire, ce média a été bousculé cette année par la reprise en main éditoriale d’Europe 1 par l’industriel Vincent Bolloré. Or, les Français, toujours selon notre étude, jugent à 91 % « important » ou « essentiel » que les médias soient « indépendants des intérêts et des milieux économiques ». C’est même le cas des 94 % des sondés qui citent la radio comme mode principal d’information.

      En perdant 3 points de crédibilité, ce média de la mobilité et de l’intimité se retrouve au même niveau que la presse écrite (à 49 %, + 1 point). Si la confiance dans la télévision progresse elle aussi (44 %, + 2 points), celle envers Internet (24 %, – 4 points) renoue avec ses plus bas niveaux historiques.

      « On observe une convergence de la crédibilité entre les médias traditionnels, avec un écart qui se creuse avec Internet », relève Guillaume Caline, directeur enjeux publics et opinions chez Kantar Public-Onepoint. Même si les Français se sont un peu moins informés par Internet cette année (32 %, – 2 points) au profit de la télévision (48 %, + 2) et de la presse papier (6 %, + 1), « la tendance guidée par les jeunes (qui privilégient à 66 % Internet, NDLR) ne va pas s’inverser ».

      La pandémie de Covid, un sujet trop traité pour huit Français sur dix
      Cette défiance envers les quatre supports d’information ( #télévision, #radio, #presse papier, #Internet ) incite une partie de plus en plus large de la population à « mettre à distance l’actualité », souligne Guillaume Caline. En pleine campagne, seuls six Français sur dix (62 %, comme en 2018) déclarent s’intéresser « assez » ou « beaucoup » à l’actualité, moins que lors de la précédente présidentielle, où l’actualité était suivie par 64 % des sondés. Mais on n’observait pas en 2017 un tel décrochage auprès des jeunes de 18-24 ans. Ils étaient encore 63 % à porter un intérêt à l’actualité, alors qu’ils ne sont plus que 38 % (– 13 points sur un an) cinq ans plus tard.

      Cette désaffectation des plus jeunes est à rapprocher de leur perception négative du traitement médiatique de sujets qui leur sont chers. Ils sont ainsi 68 % (contre 53 % pour l’ensemble de la population) à estimer que le dérèglement climatique et ses conséquences ont été mal traités. Et seuls 20 % (contre 37 %) ont une perception satisfaisante du travail journalistique sur les violences faites aux femmes.

      Ils se rapprochent davantage de l’avis de leurs aînés pour l’appréciation d’autres sujets, comme la pandémie de Covid-19 qui a saturé l’espace médiatique pour huit Français sur dix (79 %). De même que la candidature d’Éric Zemmour à la présidentielle dont les médias ont trop parlé pour 73 % des sondés. Les plus jeunes se montrent un peu plus cléments sur le transfert de Lionel Messi au Paris Saint-Germain, trop médiatisé pour un Français sur deux (50 %) et 46 % des 18-24 ans.

      De façon plus positive, les Français jugent que les médias ont accordé « la place qu’il faut » à une majorité d’événements soumis à leur appréciation : l’entrée de Joséphine Baker au Panthéon, les élections régionales et départementales, le départ d’Angela Merkel ou encore le procès des attentats du 13 novembre 2015. Une certaine reconnaissance de l’investissement éditorial pour des sujets jugés importants.

  • Why Covid-19 will never become endemic | The Saturday Paper
    https://www.thesaturdaypaper.com.au/opinion/topic/2022/01/15/why-covid-19-will-never-become-endemic/164216520013155

    For most of the pandemic Australia has worked to contain the virus through evidence-based public health measures such as border closures, case finding, contact tracing, quarantine, social distancing, vaccines and, at times, lockdown. Sadly, the weaponisation of lockdown as a pointscoring issue and emotional trigger has led to a conflation of lockdown with all other public health measures, most of which do not impinge on freedoms. Denial is a major theme during the pandemic. Denial of airborne transmission, denial of science, denial of Omicron being serious and denial about what it really means to “live with Covid-19”.

    The denial of the airborne transmission of SARS-CoV-2 was started by experts on the World Health Organization infection control committee and allowed all countries to take the easy way out. If handwashing is all you need, onus can be shifted to “personal responsibility”; if ventilation needs to be fixed, that shifts responsibility to governments and private organisations. Australia only acknowledged airborne transmission after the Delta epidemic in mid-2021, almost a year after the WHO acknowledged it. Globally, 18 months was spent on hygiene theatre and actively discouraging mask use. As a result there is low awareness among the general public of the importance of ventilation and masks in reducing their personal risk.

    We had effective campaigns on handwashing, but no campaigns of similar effect have been used to empower people to control their own risk with simple measures such as opening a window. People living in apartments are largely unaware of the structural factors that make them high risk for transmission, or of the simple measures to reduce risk. The failure to focus on airborne transmission has hampered the ability to control the spread and has endangered health workers. Correcting it is critical to the long-term sustainability of health, business and the economy. How can restaurants recover without a safe indoor air plan that may prevent a lockdown cycle that disrupts and ruins their business?

    Denial of Omicron being serious suits an exhausted community who just wish life could go back to 2019. Omicron may be half as deadly as Delta, but Delta was twice as deadly as the 2020 virus. Importantly, the WHO assesses the risk of Omicron as high and reiterates that adequate data on severity in unvaccinated people is not yet available. Even if hospitalisation, admissions to intensive care and death rates are half that of Delta, daily case numbers are 20-30 times higher – and projected to get to 200 times higher. A tsunami of cases will result in large hospitalisation numbers. It is already overwhelming health systems, which common colds and seasonal flu don’t. Nor do they result in ambulance wait times of hours for life-threatening conditions. In addition, a tsunami of absenteeism in the workplace will worsen current shortages, supply chain disruptions and even critical infrastructure such as power. The ACTU has called for an urgent raft of measures to address the workforce crisis.

    As for denial of the risk in children, the majority of vaccine-preventable diseases that we vaccinate children against are mild in most children. Only a small percentage suffer serious complications. Polio and measles are examples where well over 90 per cent of children who become infected do not have severe complications, but in a small percentage there are serious and potentially fatal complications. SARS-CoV-2 is similar. Other than long Covid and multisystem inflammatory syndrome, we are only now learning about other longer-term complications of infection. For instance, there is more than double the risk of developing diabetes in children following Covid-19. A study from the United States showed the virus persisting in the brain, heart, lungs, kidneys and almost every other organ after the initial infection. A rare brain inflammation has been described in adults and children. Another study found a significant drop in cognitive function and IQ in survivors. The virus directly kills heart muscle. It is too early to know if Covid-19 will result in early onset dementia or heart failure in a decade’s time, but the evidence warrants a precautionary approach. We know some infections have very long-term complications – measles, for example, can cause a rare and fatal encephalitis about 10 years after the initial infection. We should do everything possible to prevent mass infection of children and adults.

    Denial of the science of epidemiology is widespread, even among “experts”. We are told repeatedly that SARS-CoV-2 will become “endemic”. But it will never be endemic because it is an epidemic disease and always will be. The key difference is spread. As an epidemic disease, SARS-CoV-2 will always find the unvaccinated, undervaccinated or people with waning immunity and spread rapidly in those groups. Typically, true epidemic infections are spread from person to person, the worst being airborne transmission, and display a waxing and waning pattern such as we have already seen with multiple waves of SARS-CoV-2. Cases rise rapidly over days or weeks, as we have seen with Alpha, Delta and Omicron. No truly endemic disease – malaria, for example – does this.

    This is the reason governments prepare for pandemics. The propensity for epidemics to grow rapidly can stress the health system in a very short time. Respiratory epidemic infections follow this pattern unless eliminated by vaccination or mitigated by non-pharmaceutical measures. Natural infection has never eliminated itself in recorded history. Not smallpox, which displayed the same pattern over thousands of years, and not measles, which is still epidemic in many countries.

    There is hope for better vaccines, schedules and spacing of doses, but we must be agile and pivot with the evidence and have an ambitious strategy. The current strategy is focused on vaccines only, with no attention on safe indoor air or other mitigating factors.
    Eradication occurs when a disease no longer exists in the world – the only example of this in humans is smallpox. Elimination is a technical term and means prevention of sustained community transmission. Countries that met WHO measles elimination criteria, including Australia, still see outbreaks of measles imported through travel, but when elimination is achieved, these do not become uncontrollable.

    Unlike for measles, however, current vaccines do not provide lasting protection. Masks and other public health measures are also needed to prevent the recurrent disruption of epidemic waves. There is hope for better vaccines, schedules and spacing of doses, but we must be agile and pivot with the evidence and have an ambitious strategy. The current strategy is focused on vaccines only, with no attention on safe indoor air or other mitigating factors. Instead, we have seen abandonment of test and trace because of failure to plan ahead for the expected explosion of cases. Testing and tracing are pillars of epidemic control, and the WHO has called on countries to strengthen both to deal with Omicron. Australia has done the opposite.

    Without adequate case finding (which relies on testing at scale) and contact tracing, we are on a runaway train coming off the rails. Testing allows us to find infected people and isolate them so they do not infect others. Now, during the Omicron wave, testing is a massive failure. Both the federal and New South Wales governments made a conscious decision to “let it rip”, but failed to plan for adequate TTIQ (test, trace, isolate, quarantine) capacity. Instead, when it was clear testing capacity was exceeded, they restricted testing to a small fraction of people. Very few people are now eligible for a polymerase chain reaction test (PCR), and rapid antigen tests (RATs) are in short supply. While it has improved the optics by hiding the true scale of cases, this has allowed unfettered transmission.

    Contact tracing is routinely used for many serious infections such as tuberculosis, meningococcal disease, measles or hepatitis A. It is conducted because close contacts are at highest risk of becoming infected next, and if they are not identified and quarantined they will go on to infect others and cause exponential epidemic growth. Contacts need to be traced within 24-48 hours to stop them infecting others. A range of digital contact-tracing methods such as apps, QR codes and tracking digital footprints through other means can be used when case numbers are high. Yet NSW has removed and flip-flopped on QR codes.

    Denial of the reality of “living with Covid-19” has seen us rush headlong into letting it rip in a largely unboosted population, with kids aged five to 11 unvaccinated, without any planning for increased testing, tracing or even procurement of promising new drugs to face the numbers that will come. The booster program has not been expedited, with on Friday less than 17 per cent of the population aged 18 and over having had a third dose, and two doses barely protective against symptomatic infection with Omicron. So Omicron has caused business and hospitality to suffer mass cancellations. Mass absenteeism has crippled supply chains, affecting food, diesel, postal services and almost every other industry. The first serious impacts will be in regional and remote Australia. We saw it in July, when vaccine supplies slated for remote towns were diverted to Sydney, leaving Wilcannia, in the far west of NSW, a sitting duck for the epidemic to come.

    Many do not understand “public health” and equate it with provision of acute health care in public hospitals or confuse it with primary care. Public health is the organised response by society to protect and promote health, and to prevent illness, injury and disability. It is a core responsibility of government.

    Public health comprises three components. The first is “health protection”, such as the banning of smoking in public places, seatbelt legislation or emergency powers that allow pandemic control measures such as lockdowns. “Health promotion” refers to the process by which people are enabled to improve or control their health, through the promotion of mask use, for instance. The third component – “disease prevention and early detection” – includes testing, surveillance, screening and prevention programs. Vaccination programs are an example of disease prevention.

    During the pandemic we have seen resources committed to surge capacity for clinical medicine, but there has been a lack of understanding of the need for public health surge capacity, including TTIQ. The price was paid in the Victorian second wave in 2020. Now, with the abandonment of contact tracing and restrictions on testing during the Omicron wave, we are seeing what happens when this capacity is ignored by government.

    Another outcome of these failures are the unscientific theories being pushed in many countries – such as the argument for “herd immunity by natural infection”, which has become a household narrative during the pandemic despite four pandemic waves providing little protection to date. The same people who peddled herd immunity by natural infection had no ambition to achieve herd immunity by vaccination. Instead they tell us “we have to live with Covid-19” and fall back on negative, defeatist messaging.

    The least ambitious goal of vaccination is to prevent us from dying, and that is the low bar set in Australia. This has reduced policy outcomes to a false binary of dead or alive. There is no concern in this for First Nations people, the disabled, people with chronic medical conditions, people in remote Australia or even children, who are being sent back to school at the peak of the pandemic while primary-schoolers are largely unvaccinated. The hundreds of aged-care outbreaks pass without comment in what essentially has become survival of the fittest and richest.

    The vaccine game is dynamic and ever-changing. Some countries have used ambitious, determined, organised strategies for vaccination and adapted quickly as the evidence has changed. We know the mRNA vaccines can greatly reduce transmission, but current vaccines were developed against the original Wuhan strain and, even after two doses, efficacy wanes. Omicron-matched boosters are in the wind, a seed of hope and a reason to be ambitious, but that will require agile vaccination policy.

    There is a massive vaccine and drug development effort, so it is almost certain we will have better vaccine options, including ones that are variant-proof. But what the past month has shown us is we cannot live with unmitigated Covid-19. Vaccinations will not be enough. We need a ventilation and vaccine-plus strategy to avoid the disruptive epidemic cycle, to protect health and the economy, and to regain a semblance of the life we all want.

    https://seenthis.net/messages/942135

    #covid-19 #contagion_respiratoire #airborne #déni (s) #dénégation #endémie #épidémie #immunité_collective #santé_publique

  • Is Omicron Reinfection Possible ? Here’s What Experts Want You to Know
    https://www.yahoo.com/lifestyle/omicron-reinfection-possible-experts-want-172900558.html

    Can you get Omicron twice?

    “Yes, you can get Omicron twice,” says Stanley Weiss, M.D., professor at the Rutgers New Jersey Medical School and the Department of Epidemiology at the Rutgers School of Public Health. He cites a recent lecture he attended from a virologist in South Africa, where Omicron first emerged, who said that doctors in the country had seen several people who had Omicron reinfections. 

    “Omicron is highly contagious and it would appear to not induce fantastic protective immunity,” Dr. Weiss says.

    (Alors c’est pas l’étude statistique la plus sérieuse du monde mais, n’est-ce pas, « on n’a pas à l’abri d’une bonne surprise ».)

  • (1) Claude-Alexandre GUSTAVE sur Twitter : "1/18 Juste un petit thread pour illustrer la petite musique qui monte ("il faut laisser Omicron diffuser dans la population, on aura l’immunité collective", « il faut vivre avec de toute façon »)..." / Twitter
    https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1481650539309920261

    Juste un petit thread pour illustrer la petite musique qui monte ("il faut laisser Omicron diffuser dans la population, on aura l’immunité collective", « il faut vivre avec de toute façon »)...

  • Alors, on te voit plus aux soirées ? Pour une santé communautaire. - Paris-luttes.info
    https://paris-luttes.info/alors-on-te-voit-plus-aux-soirees-15592

    Parce que la forme pandémie n’est pas simplement naturelle, mais fortement impactée par l’organisation sociale, je m’oppose à toute méthode qui consisterait à « laisser faire la nature », à « faire confiance à son corps » et « booster son immunité naturelle ». Pire encore, l’idée qu’« il faut bien mourir de quelque chose ». L’immunité naturelle et collective, pour autant qu’elle soit atteignable (ce qui n’est pas certain), a un coût humain. Et, ce coût humain est d’abord payé par les plus fragiles (que ce soit une fragilité naturelle ou créée par le monde dans lequel on vit), ce qui n’est rien d’autre qu’un nouvel eugénisme dégueulasse.
    Je dois t’avouer que j’ai été effaré de la porosité de nos milieux aux discours niant la dangerosité du virus et aux scientifiques "alternatifs" (pour ne pas dire escrocs). Pourtant, tu sais à quel point je suis sensible à un certain nombre d’arguments techno-critiques ou anti-industriels… Mais, dans le champ étroit du médical et de la lutte contre le virus (traitements, vaccins, moyens de prévention), qui d’autre que les experts ? Questionner ces experts, c’est par exemple les interpeller sur les mystérieux « covid longs », construire des groupes patient-e-s/médecins, plutôt que leur opposer des chiffres manipulés ou des scientifiques alternatifs (eux aussi en blouse blanche et poursuivant également un business personnel très lucratif…). Quant à nous, quelques séances d’éducation populaire sur la thématique de l’immunité nous seraient sans doute fortement bénéfiques !!

    enfin des textes comme ça bordel.

    (aaaaaah une #piqûre)

  • Pourquoi peut-on attraper le Covid plusieurs fois ? Pierre-Yves Boëlle
    https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/pourquoi-peut-on-attraper-le-covid-plusieurs-fois

    Deux ans bientôt après l’apparition des premiers cas de covid 19, on sait que les cas de réinfections sont possibles, dans quelles proportions ? Comment s’expliquent-ils ? Pourquoi les personnes vaccinées peuvent-elles aussi être infectées ?

    Pour l’anecdote, ma cousine deux fois, un ami d’enfance trois fois.

    • à l’auditeur de conclure de lui même quant au maintien des gestes barrières après infection ou vaccination. on nous joue un remake de la science désintéressée. et l’animateur, Guillaume Erner (bon toutou), de conclure par une note rassuriste.

      ni dramatisation, ni édulcoration. si nous étions « en guerre », le cahier des charges de ce genre de bobino public prévoirait d’armer les auditeurs pour en faire plus encore des « agents de santé » amateurs dans leur entourage (ce ressort est présent de manière immanente, même si il n’est pas travaillé par les institutions), avec au moins un point concret argumenté et applicable à promouvoir

      #immunité_collective (en rêve)

  • https://theconversation.com/why-vaccine-doses-differ-for-babies-kids-teens-and-adults-an-immuno

    Human beings are born pretty helpless, with a lot of developing to do. And just as you must learn such skills as how to walk, so must your immune system learn to defend against infections. As time passes, your immune system matures through different stages, much the way you advanced from crawling to standing, walking and running.

    This process is one of the reasons scientists study the immune response to a vaccine in different age groups, and why, for example, the COVID-19 vaccines need to be tested separately in children ages 5-11 and those 12-16. Doctors want to use the vaccine dose that provides the best protection with the fewest side effects. And that’s going to depend on how the immune system is working based on how developed it is – something you can’t really tell from the outside.

    #Covid #vaccination #immunité

  • COVID outbreak in party town shows how the pandemic could end | The Seattle Times
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-11-17/what-a-weekend-in-p-town-can-tell-us-about-our-future-with-covid

    He and colleagues studied the immune responses of 35 vaccinated people tested for COVID in the Provincetown outbreak.

    Those who got a breakthrough infection had a dramatic increase in levels of virus-blocking antibodies and virus-killing T cells, including 34-fold higher neutralizing antibody levels against the delta variant, compared with those who weren’t infected.

    An infection five-to-six months after vaccination jolted the body’s immune memory into gear to generate potent, delta-specific antibodies and T cells that helped clear the virus before it caused severe illness or had the chance to spread.

    “We think that this is likely the reason why vaccinated people who get breakthrough infections generally have a mild course of disease in the vast majority of cases, because they have a rapid onset of very potent antibody and T cell responses that likely control the virus,” Barouch said over Zoom. “It is likely that those individuals will have high levels of immunity for a prolonged period of time.”

    He’s planning to follow the people who had a breakthrough infection to understand the duration of their immunity.

    “Do those responses maintain themselves at that high level, or do they then go down over time?” Barouch asked. “That’s a very important question to address.”

    […]

    It’s expected that the severity of disease and the propensity for onward transmission will decline as each exposure trains the immune system to recognize and respond to the coronavirus faster, including current and future variants.

    Over time, SARS-CoV-2 will likely cease being a public health menace and resemble something akin to the coronaviruses that cause the common cold, said University of Auckland’s Petousis-Harris.

    […]

    “An expectation for many diseases is that periodic low-grade exposure, resulting in either no infection or asymptomatic infection, boosts immunity and memory,” said Shane Crotty, a professor in the Center for Infectious Disease and Vaccine Research at San Diego’s La Jolla Institute for Immunology. “If that’s observed for #SARS-CoV-2 with asymptomatic breakthrough infections, that will be clear evidence of the same phenomenon.”

    #immunité

  • The Flawed Science of Antibody Testing for #SARS-CoV-2 Immunity | Infectious Diseases | JAMA | JAMA Network
    https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2785530

    […] some tests detect antibodies the immune system likely produces only after natural infection with the virus. Depending on the assay, people who weren’t previously infected could test negative for antibodies despite having vaccine-induced immunity.

    […]

    […] the laboratory tests haven’t been standardized. “That’s a problem when people say, ‘Okay, I want to go see if I should get a booster or not,’” Theel said. Some SARS-CoV-2 serology assays simply give a positive or negative result, without antibody values. Those that are quantitative use varying methods, detect different antibody classes, and report values using different units of measurement.

    According to Theel, if and when correlates and thresholds of protection are determined, the tests will need to be standardized and calibrated, as has been done with antibody tests for other vaccine-preventable diseases, including tetanus, diphtheria, and measles. So far, only one commercially available SARS-CoV-2 antibody test, from Ortho-Clinical Diagnostics, has been calibrated to the World Health Organization’s reference standard, she said.

    #immunité #anticorps #vaccination #sérologie

  • Does infection with or #vaccination against SARS-CoV-2 lead to lasting immunity ? - The Lancet Respiratory Medicine
    https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(21)00407-0/abstract

    Présentation des données sur l’#immunité post-vaccinale ou post infection #SARS-CoV-2 et sur la #réinfection ou infection post vaccinale jusqu’au 26 juillet 2021.

    Conclusions and future outlook

    In this Personal View, we have evaluated evidence on the adaptive immune response to SARS-CoV-2 infection and vaccination, and discussed the relative contributions of humoral and cell-mediated immunity in providing protection against reinfection. Although the immune correlates of protection are ill-defined, neutralising antibodies and functional T-cell responses are often used to infer the robustness of the immune response to SARS-CoV-2 challenge.

    Upon natural infection, the T-cell-mediated response appears to be targeted across a larger variety of epitopes than the humoral response, and hence might be more durable to genetic changes in key immunogenic viral epitopes. Nonetheless, the neutralising antibody response also comprises a key aspect of protection against reinfection. Coordination between the two types of adaptive immune response is likely to be important to mitigate the most severe consequences of infection. Populations of specific memory B cells and T cells remain stable or even increase in size many months after SARS-CoV-2 exposure, which might reduce the likelihood of severe disease upon reinfection. The available evidence suggests that reinfection could occur within 5–12 months of a primary infection and is more likely in individuals who are seronegative for IgG antibodies. Interventions to inhibit transmission of SARS-CoV-2 might be required even in places where the herd immunity threshold has been reached naturally or artificially, and observed increases in severity and transmissibility will further drive the imperative for localised or national non-pharmaceutical interventions.

    Compared with the immune response to natural infection, vaccination elicits a response of greater magnitude and higher specificity, largely focused on the RBD. Increasing evidence of reduced neutralisation and vaccine effectiveness against emerging variants, alongside emerging data on breakthrough infections, suggests that vaccines will need to be updated in the short-to-medium term. Such updates will be greatly aided by further investigation of vaccine immune correlates of protection. Since completing our literature search on July 26, 2021, several key reports have been published that encourage cautious optimism. For instance, a prospective cohort study of the Scottish population (2·57 million people) showed that during the winter of 2020–21 (the peak of the pandemic), among individuals who had received one dose of either BNT162b2 or ChAdOx1 nCoV-19 vaccine, only 1196 were admitted to hospital or died due to SARS-CoV-2 infection (<0·1% of the cohort). These findings agree with those from a large study of US health records, which showed that two-dose vaccine (BNT162b2) effectiveness against hospital admission following infection with the delta variant remains at 93% up to 6 months after second-dose vaccination, despite waning effectiveness against infection (from 88% in the first month after the second dose to 47% after 5 months). New data also show that the odds of having long-lasting symptoms (≥28 days post-infection) is halved among those who received their second dose of either BNT162b2, ChAdOx1 nCoV-19, or mRNA-1273 at least 28 days previously, compared with unvaccinated individuals (odds ratio 0·51).

    Ultimately, the duration of protective immunity from natural infection and from vaccination will determine the frequency of outbreaks (eg, annual, biennial, or more sporadic) and the burden on health-care systems of symptomatic disease, and in turn shape the public health policies of nations around the world in the years to come.

  • La Kinésithérapeute EnMarche est plus qualifiée qu’un médecin avec 30 ans d’expérience. 1500 patients, elle s’en fout (France3 Région)
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/oise/noyon/covid-19-a-noyon-une-medecin-refuse-d-etre-vaccinee-c-e

    Véronique Rogez, médecin généraliste à Noyon dans l’Oise, ne pourra plus exercer son métier à partir du 15 septembre si elle refuse toujours de se faire vacciner. Atteinte du Covid l’an dernier, elle estime qu’elle est suffisamment immunisée et préfère fermer son cabinet plutôt que de céder.

    Rien ne pourra lui faire changer d’avis. Pas même ce courrier de l’agence régionale de santé (ARS) qu’elle a reçu le 19 août dernier. Si elle ne se fait pas vacciner contre le Covid, Véronique Rogez, médecin généraliste à Noyon dans l’Oise, va devoir cesser son activité à partir du 15 septembre.

    Car selon la loi relative à la gestion de la crise sanitaire du 6 août 2021, le personnel soignant est désormais dans l’obligation de se faire vacciner. À défaut, ceux qui ne justifient pas d’avoir reçu au moins une dose seront suspendus sans rémunération. "Je l’avais lue la loi, je savais, mais je ne pensais pas que les médecins généralistes allaient être aussi rapidement contrôlés", se défend Véronique Rogez.

    Médecin depuis une trentaine d’années, elle se dit choquée par le courrier qui lui est personnellement adressé. "Je pensais que c’était un courrier généraliste, mais non. L’État est allé vérifier que je n’étais pas vaccinée, je ne sais pas où est passé le secret médical. Ce n’est pas possible qu’un état écrive ça à un médecin. On n’a pas un « merci », on n’a pas un mot de compassion. On vous dit : vous arrêtez le 15 sinon vous avez des sanctions pénales, c’est-à-dire 6 mois d’emprisonnement et 10 000 euros d’amende", nous dit-elle, interloquée.

    « Je ne suis pas du tout anti-vaccin, ça fait 30 ans que j’en fais »
    Mais alors pourquoi un tel parti-pris ? Véronique Rogez finit par se justifier, sans trop le vouloir. "Je ne devrais pas avoir à le dire parce que c’est secret médical", sourit-elle. Ayant attrapé le Covid l’an dernier, la médecin affirme qu’elle a développé suffisamment d’anticorps pour être immunisée. "J’en ai toujours. Les anticorps, il suffit de vérifier s’ils sont toujours là, vous faites une sérologie tous les trois mois.  On a toujours appris en médecine que quand on a des anticorps contre une maladie, on ne se fait pas revacciner derrière" , avance-t-elle. 

    De même, la médecin, par ailleurs déléguée nationale à la santé dans le parti Debout la France et candidate aux dernières élections départementales, assure qu’il ne s’agit pas ici de considérations idéologiques. "Je ne suis pas du tout anti-vaccin, ça fait 30 ans que j’en fais. C’est un argument médical, pas pour faire de la résistance complotiste. Je ne suis pas du tout là-dedans. Parce qu’on est vite catalogué. Je vois bien que ce genre d’événement, depuis le début de la crise, divise tout le monde. Moi je suis là pour faire de la médecine."

    Prendre en compte le bénéfice-risque
    Selon la médecin, quand l’on parle de vaccination, il est nécessaire d’analyser le bénéfice-risque. "Ceux qui ont un risque d’attraper le Covid en forme grave, ils ont un bénéfice à se faire vacciner. Mais ce qui n’ont aucun risque, je ne vois pas l’intérêt. Par exemple les jeunes, je ne le comprends pas, indique-t-elle. Sans parler des effets secondaires et du fait que les vaccins n’ont pas encore fait preuve de leur innocuité car trop récents."

Une position que ne partage absolument pas  Carole Bureau-Bonnard députée LREM de la 6e circonscription de l’Oise et masseuse-kinésitérapeute de métier. "Pour moi c’est irresponsable d’avoir ce type de discours et de réaction. On sait très bien malheureusement que même une personne qui n’a pas de comorbidité peut se retrouver hospitalisée ou dans un service de réanimation et peut en mourir. Est-ce qu’on se rappelle du nombre de décès ? C’est ça qu’il faut avoir en tête et la seule solution c’est ce vaccin. Il me semble extrêmement important de donner un message sur la possibilité de se faire vacciner et expliquer pourquoi, plutôt que l’inverse", réagit-elle.

    Véronique Rogez, elle, n’en démord pas. Le 15 septembre, son cabinet restera fermé. 1 500 patients se retrouveront sans médecin. "J’en suis désolée, réagit Carole Bureau-Bonnard. Mais il n’y a pas de chantage à avoir. Ce n’est pas parce qu’il y a 1 500 patients d’un côté qu’on doit dire à Madame Rogez qu’elle a raison."
. . . . . . .

    #crise_sanitaire #EnMarche #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale

  • #Covid-19 : étude sur l’efficacité de la mémoire immunitaire après #vaccination ARNm pour reconnaître les variants du #SARS-CoV2 – Salle de presse | Inserm
    https://presse.inserm.fr/covid-19-etude-sur-lefficacite-de-la-memoire-immunitaire-apres-vaccination-arnm-pour-reconnaitre-les-variants-du-sars-cov2/43817

    Cette étude démontre que les patients infectés lors de la première vague maintiennent une réponse mémoire stable jusqu’à 12 mois, et développent, après une dose de vaccin, une excellente mémoire sérologique et cellulaire capable de reconnaitre et de neutraliser les #variants Beta et Delta du SARS-Cov-2.

    Chez les patients « naïfs » de toute infection, c’est à dire n’ayant jamais été infectés par le virus, la qualité de la réponse sérologique est initialement moins efficace vis-à-vis de ces variants. Néanmoins le pool de cellules à mémoire généré après la vaccination s’améliore au cours du temps et surtout contient des cellules capables de reconnaître et de neutraliser les variants actuels du SARS-CoV-2.

    Source : mRNA vaccination of naive and COVID-19-recovered individuals elicits potent memory B cells that recognize SARS-CoV-2 variants : Immunity
    https://www.cell.com/immunity/abstract/S1074-7613(21)00396-4

    #immunité

    Le problème est qu’il n’y a pas eu une étude de corrélation entre le taux d’infections/#réinfections ( et leur sévérité ) et ces données biologiques.

  • Thread très intéressant de “OSS 117 : Helsinki se révolte”. Je vous mets la partie qui m’a intéressée, concernant l’immunité de groupe :
    https://twitter.com/OSS117_Helsinki/status/1434954780443615238

    […]

    Et il faut revenir sur le sketch que l’on nous fait sur l’immunité de groupe.

    NON, LES SCIENTIFIQUES NE SE SONT PAS TROMPÉS SUR L’IMMUNITÉ DE GROUPE.

    Faut arrêter avec ça aussi.

    Déjà, l’immunité de groupe, par concept, est un taux pour lequel les non-vaccinés sont protégés par les vaccinés. Si vous êtes vaccinés, l’immunité de groupe, vous vous en moquez.

    A 100% de vaccinés, l’immunité de groupe ça n’existe pas.

    Donc les antivax qui ricanent sur l’absence d’immunité de groupe, en fait, c’est dommage pour vous car ça veut dire qu’il faudra vous faire vacciner car les vaccinés ne pourront pas compenser votre bêtise.

    Vous riez encore ?

    L’immunité de groupe était atteignable (atteinte ?) avec la souche ancestrale. Là les scientifiques ont vu juste.

    Possiblement, elle l’était aussi avec les variants SudAf, britannique et brésilien. Pas avec l’indien

    Et vous savez quoi ? Les scientifiques ne lisent pas l’avenir.

    Quand le vaccin a été fabriqué, le variant indien n’existait pas. Ce n’est pas pour rien qu’on vous dit que c’est une course contre la montre et qu’il faut se faire vacciner pour empêcher l’apparition des variants. Sinon, on aura un train de retard à chaque fois.

    On demande donc au vaccin aujourd’hui d’être efficace sur un variant pour lequel il n’a pas été positionné. C’est du repositionnement en quelque sorte 😈 (Mode troll activé).

    En attendant, les vaccins multivalents arrivent qui eux seront positionnés sur les variants. Là, il sera possible que l’on reparle à nouveau d’une immunité de groupe pour les non-vaccinés.

    Conclusion : pour l’instant, les vaccinés ne peuvent pas protèger les non-vaccinés avec un vaccin ciblant la souche ancestrale, à cause du variant delta. Les politiques de santé publique visent donc le 100% de vaccinés.

    Avec les multivalents, ces politiques pourrait être révisées

  • #Suisse : Des médecins romands sanctionnés pour avoir découragé leurs patients de se faire vacciner
    https://www.letemps.ch/suisse/medecins-romands-sanctionnes-decourage-leurs-patients-se-faire-vacciner

    D’un simple blâme à une amende de 20 000 francs, des sanctions sont prises par certains cantons à l’encontre de médecins réfractaires à la vaccination. Plusieurs instructions sont ouvertes en Suisse romande.

    « L’un des droits du patient est d’avoir accès à une information claire, notamment sur la vaccination. Si nous entendons que ce n’est pas le cas, nous pouvons ouvrir une instruction et sanctionner. » L’avertissement est clair. A Neuchâtel, le médecin cantonal Claude-François Robert a déjà ouvert plusieurs instructions contre des médecins qui décourageaient leurs patients de se faire vacciner. La sanction ? « Elle dépend du cas et peut aller du simple avertissement au blâme ou à une amende de maximum 20 000 francs. »

    #pass_sanitaire #Contagion #immunité #statistiques #coronavirus #covid-19 #santé #santé_publique #covid19 #confinement #pandémie

  • Waning Immunity Is Not a Crisis, Right Now - The Atlantic
    https://www.theatlantic.com/science/archive/2021/09/waning-immunity-not-crisis-right-now/619965

    Doser les #anticorps chez les vaccinés (ou anciens infectés) en dehors d’une période de contact avec le virus donne un faux aperçu du statut immunitaire :

    Checking someone’s #SARS-CoV-2 antibody levels when there’s no virus around can be a bit deceptive, […]. In the absence of a threat, immune cells are quiescent. But the capacity for protection remains intact: When new invaders arrive, they’ll reawaken our defenses. That’s why post-vaccine infections, when they do happen, tend to be milder, shorter, and less likely to spread to other people. When the new threat resolves, levels of antibodies and active immune cells decrease again. “You could call that ‘waning,’” Pepper, of the University of Washington, told me. “But that’s just how it works.”

    Mais il arrive un moment où l’immunité finit quand même par disparaître :

    Immune memories don’t last forever. Eventually, even the grizzled B and T cells in the body’s reserves might permanently retire. That’s when protection against disease and death could start to take a tumble, and when experts start to get worried.

    Pour certains experts il faudrait multiplier les rappels de #vaccins pour empêcher cet épuisement :

    Some officials, including CDC Director Rochelle Walensky, have suggested that upticks in post-vaccine coronavirus infections are a sign of what’s to come, and that giving people extra shots could be a way to jog the immune system’s memory before it fades away.

    The same rationale applies to many multi-dose vaccines: The first shot introduces the body to the notion of a threat; the ones that follow clinch the concept that the danger is real and worth taking seriously. A triple-jab regimen is already built into several well-established vaccines, including the ones that block HPV and hepatitis B; others require four or five inoculations before they take.

    Mais, pour la plupart des experts et pour différentes raisons, cela semble incertain sinon douteux pour le sars-cov2 :

    But according to most of the experts I spoke with for this story, the immunological argument for a COVID-19 booster this early is shaky at best.

    To start with, the recent numbers on vaccine effectiveness aren’t really that alarming. Vaccinated people are indeed getting infected with SARS-CoV-2 more frequently than they were a few months ago. But these breakthroughs remain fairly uncommon. Recent reports from the CDC show that the Moderna and Pfizer-BioNTech vaccines were blocking infection at rates of up to about 90 percent in the spring, when the vaccines had barely begun their rollout en masse; now those stats are hovering around the 60s and 70s, still a remarkable feat. (That doesn’t mean that 30 to 40 percent of vaccinated people are getting infected; rather, immunized people are 60 to 70 percent less likely than unimmunized people to be infected if they’re exposed.) Numbers from other studies look to be in a similar ballpark. And these stats might even undersell the vaccines’ benefits: Many “infections” are found simply through the detection of viral genetic material—with no guarantee that this material is active, infectious, or anything more than the carnage left behind from a victorious immune attack.

    The outlook is even better when you consider symptomatic cases of post-vaccine COVID-19. Early reports, including Moderna’s and Pfizer’s original study estimates, put the vaccines’ efficacy against symptomatic illness in the range of 90 to 95 percent. More recent studies now document rates in the 80s, even when facing off against Delta—a variant for which the vaccines weren’t originally formulated.

    Certaines constatations en faveur d’une multiplication des rappels seraient biaisées :

    Some reports from Israel appear to paint a more dire portrait: A few preliminary numbers released by the country’s Ministry of Health suggested that vaccine effectiveness against both infection and symptomatic disease had dipped to about 40 percent. But Çevik, of the University of St. Andrews, told me that these and other data reporting heftier declines are messy and might actually overestimate the problem. Across countries, early vaccine recipients tended to be older, in slightly worse health, and in higher-risk professions than those who got injected later on. That alone could make the protection that they got seem less impressive in comparison. Also, when initial effectiveness numbers were calculated, people were adhering more to physical distancing and masks. Measured these days, amid more lax behavior, risk of infection would rise. And as more of the unvaccinated have been infected, their collective immunity has grown, making them, too, less susceptible to the virus—which could make the effectiveness of vaccines look lower.

    Il faut distinguer #protection contre l’infection de protection contre l’hospitalisation et la mort ;

    “The point isn’t to protect you from getting even a tiny amount of virus in your body,” she said. We’re not out to eradicate positive test results: “That’s not what vaccines do.”

    Si l’utilité de la multiplication des rappels est incontestable dans certains cas… :

    As for boosters, the pros and cons will vary by context. For people who never responded well to their first vaccines, including people who are moderately or severely immunocompromised, additional shots will be very important, Omer said. Their third jabs don’t provide an extraneous “boost” so much as they help complete the original inoculation schedule.

    … cette utilité est incertaine dans les autres cas :

    For the rest of us, though, the perks are harder to visualize. In someone with a fully functional immune system whose defenses were already substantially shored up by their first shots, more doses would probably increase antibody production. That, in turn, could further cut down on infection and transmission, Gommerman told me. Very early data hint that this may be happening in Israel, which is already boosting widely. But it’s not clear how long that preventive bump would last . Ellebedy, of Washington University in St. Louis, said boosters would have “real gain” only if they expanded on the body’s capacity to manufacture antibodies long term, instead of just fueling a temporary boom-and-bust . It’s especially unclear whether that would happen with yet another injection of the original vaccine recipe, delivered to the arm—as opposed to, say, a nasal spray with Delta-specific ingredients.

    En conclusion, en l’état actuel de la pandémie et des connaissances, la multiplication non sélective des rappels se ramène à verser de l’eau dans un verre déjà bien rempli… :

    Right now, some forms of vaccine effectiveness are slipping, but the most important ones aren’t. Unless that changes, widespread boosters in already vaccinated countries are likely to provide diminishing returns, like topping off a drink that’s already on the verge of spilling over.

    … et pire encore à favoriser l’émergence de nouveaux variants en privant les pays pauvres de lots de vaccins :

    In the meantime, billions around the globe have yet to take a sip at all.

    #immunité

  • Pfizer ‘#variant hunters’ race to stay ahead of the #Covid-19 pandemic - STAT
    https://www.statnews.com/2021/08/30/inside-pfizer-labs-variant-hunters-race-to-stay-ahead-of-pandemic-2

    Monitoring the virus so closely has yielded some surprises, including calling into question old assumptions about vaccines: Recipients have protection before the vaccines have generated a significant antibody response , for example, a finding that is leading researchers to devise new methods of evaluating future vaccine candidates.

    #immunité #sars-cov2

    • A l’arrière des combines
      On vaccine
      On interdit la chloroquine
      Et une poignée d’autres remèdes
      Livrés aux lions
      Ils font la pluie et le butin
      Derrière vos masques blêmes
      Soit disant pour sauver nos vieux
      A qui vous prenez la vie
      Surveillez l’autre
      Evitez tout contact
      Jamais sortir
      Juste faire hennir les chiffres du Covid
      Osez, osez Joséphine
      Osez, osez Chloroquine
      Quand tout s’oppose à la vie
      Rien ne justifie
      A l’arrière de la foule
      On opine
      Face à ces incohérences
      Juste une peur de voir en face
      Leurs manigances
      Ils sont les rois, ils sont les médias
      Allons donc Joséphine
      Jusqu’à quel point les laisserez-vous ?
      Vous prendre votre vie
      Privés de tout De sorties, de restos
      Jamais l’ouvrir Juste faire hennir la farce du Covid
      Osez, osez Joséphine
      Osez, osez Chloroquine
      Quand tout s’oppose à la vie
      Rien ne justifie
      Usez, vos souliers
      Sortez et riez
      Et qu’on s’amuse !
      Et que ne durent que les moments
      C’est quoi 135€ ?
      Devant la vie
      Et quel avenir laisserez-vous ?
      Dites-moi que laisserez-vous ?
      A vos enfants
      Osez, osez Joséphine
      Osez, osez Klorokine
      Quand tout s’oppose à la vie …

    • C’est vrais que j’avais presque oublié que les mêmes qui veulent sauver les vieux à coups de vaccins (obligatoire) sont aussi les mêmes qui ont mit en place le système de gestion des vieux en EHPAD et EPAD considérés très souvent comme des atteintes aux droits aux libertés et a la dignité humaine.

      Hummm

  • #MDR : Vu le faible nombre d’inscriptions, la Slovaquie lève l’interdiction des non-vaccinés pendant la visite papale
    https://www.rtbf.be/info/dossier/epidemie-de-coronavirus/detail_vu-le-faible-nombre-d-inscriptions-la-slovaquie-leve-l-interdiction-des-

    La Slovaquie a changé samedi sa décision de n’autoriser que les personnes vaccinées contre le Covid-19 à assister à des rassemblements lors de la prochaine visite du pape François, suite au faible nombre d’inscriptions.

    « Un test négatif ou une preuve d’avoir surmonté le Covid-19 au cours des 180 derniers jours seront suffisants pour obtenir un ticket » d’entrée, a déclaré la conférence des évêques de l’Église catholique slovaque (SBC), dans un communiqué.


    L’interdiction des personnes non vaccinées avait créé controverse dans ce pays où seulement 49,5% des adultes sont pleinement vaccinés, contre plus de 70% dans l’ensemble de l’UE.

    La Slovaquie a été particulièrement touchée par la pandémie au début de l’année, enregistrant par moments des taux de contagion et de mortalité par habitant les plus élevés d’Europe.

    Jusqu’à présent, seuls les fidèles entièrement vaccinés pouvaient envisager d’assister à des manifestations relatives à la visite papale, du 12 au 15 septembre. Aussi le nombre d’inscrits s’est-il avéré bien inférieur aux prévisions..
    . . . . . . .
    #Contagion #immunité #statistiques #coronavirus #covid-19 #santé #santé_publique #covid19 #confinement #pandémie #Slovaquie #religion #pape