• COVID : les convalescents mieux protégés contre le Delta que les vaccinés – étude Time of Israel
    https://fr.timesofisrael.com/covid-les-convalescents-mieux-proteges-contre-le-delta-que-les-vac

    L’immunité contre le vaccin induite par la guérison est plus longue ; le variant a 27 fois plus de chances de briser la protection Pfizer si elle date d’il y a plus de neuf mois.

    L’immunité naturelle face au coronavirus a offert aux Israéliens une protection plus longue contre le variant Delta que deux doses de vaccin administrées au début de l’année, selon une nouvelle étude israélienne.

    Cette étude, qui a été faite par la caisse d’assurance-maladie Maccabi, s’est penchée sur des individus qui avaient reçu leurs deux doses de vaccin dès la fin février ou qui avaient été testés positifs à la COVID-19 à cette période.

    Elle a comparé 46 035 adhérents de la Maccabi ayant contracté le coronavirus à un moment de la pandémie et le même nombre d’Israéliens doublement vaccinés.


    Les membres de l’équipe de l’hôpital Hadassah Ein Kerem portent des équipements de sécurité alors qu’ils travaillent dans un service de coronavirus, le 01 février 2021. (Crédit : Olivier Fitoussi/Flash90)

    Il s’avère que les personnes ayant reçu deux doses de vaccin avaient eu six fois plus de chance d’attraper le variant Delta que les patients qui n’avaient pas été immunisés mais qui avaient contracté le coronavirus.

    L’étude, qui a été publiée en ligne mais qui n’a pas encore été validée par des pairs, est la plus importante en son genre. Elle ne prend pas en compte les injections de rappel – qui sont aujourd’hui largement administrées au sein de l’État juif – mais dans la mesure où la majorité des pays, dans le monde, délivre encore deux doses seulement, elle est pertinente à l’international.

    Les experts soulignent néanmoins que ces résultats ne doivent pas décourager la vaccination. Cyrille Cohen, immunologue de l’université Bar-Ilan, qui n’a pas été impliqué dans l’étude, affirme que « certaines personnes qui ne souhaitent pas forcément se faire vacciner pourraient se laisser tromper par ces conclusions et penser que cela signifie qu’il vaut mieux, a priori, être malade que de se faire vacciner. Une telle approche est fausse d’un point de vue médical et les résultats de l’étude ne signifient pas que les gens doivent s’exposer délibérément à la maladie et tomber malade. »

    « Comme avec les autres maladies, il est bien plus sûr de se faire vacciner et de prévenir la COVID-19, un virus qui fait courir le risque d’une hospitalisation, d’un décès et de séquelles au long cours. »


    Une femme reçoit une troisième dose du vaccin contre le COVID-19, dans un centre de vaccination Meuhedet à Jérusalem, le 24 août 2021. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

    Dans les deux groupes, il y a eu 748 cas d’infection à SARS-CoV-2 : 640 dans le groupe des personnes vaccinées et 108 dans le groupe des personnes en rémission de la maladie, qui ne s’appuyaient donc que sur l’immunité naturelle.

    Les personnes vaccinées ont eu sept fois plus de chance de développer des symptômes de la maladie, et 6,7 fois plus de chance d’être hospitalisées.

    De plus, un échantillon de 16 215 personnes qui avaient été infectées pendant la troisième vague au sein de l’État juif, au mois de janvier et au mois de février 2021, a été comparé au même nombre de personnes vaccinées au cours de cette période. Le contraste entre ces deux groupes est encore plus net : l’étude a révélé que le variant Delta avait 27 fois plus de chance de briser la barrière de protection assurée par un vaccin administré en janvier-février et d’entraîner des symptômes que de contourner l’immunité naturelle acquise dans la même période en entraînant des symptômes.


    Des employés du Magen David Adom testent des Israéliens à la COVID-19 dans un centre de dépistage antigénique rapide à Glilot, le 12 août 2021. (Crédit : Olivier Fitoussi/Flash90)

    L’étude a aussi montré que lorsque les patients guéris amélioraient leur protection naturelle à l’aide d’une seule dose de vaccin – le protocole recommandé par les autorités sanitaires du pays – cette protection se renforçait considérablement, et qu’ils présentaient 50 % de moins de risque d’attraper le COVID-19 que les autres personnes guéries.

    « Les individus infectés antérieurement par le SARS-CoV-2 et recevant une seule dose de vaccin ont gagné une protection supplémentaire contre le variant Delta », note l’étude.

    « La protection à long-terme assurée par une troisième dose – qui est administrée depuis une date récente en Israël – est encore inconnue ».

    Les auteurs, avec à leur tête le docteur Sivan Gazit, qui est directeur-adjoint du programme de recherche de la Maccabi, ont précisé que leur étude était significative dans la mesure où elle s’étendait sur une période importante et qu’elle s’appuyait sur un grand nombre de données. Ils ont écrit que « notre échantillonnage volumineux – permis par la campagne rapide de vaccination massive en Israël – nous a permis d’enquêter sur les risques d’infection supplémentaire, qu’il s’agisse d’infections chez des individus vaccinés ou de réinfection chez d’autres, et tout cela sur un calendrier bien plus long que cela n’a été le cas d’autres études jusqu’à présent ».

    Cohen a noté que « les données présentées sont importante et elles peuvent indiquer une sorte de hiérarchie dans l’immunité. Des plus protégés au moins protégés, il y a les convalescents vaccinés, les convalescents, puis les personnes vaccinées et ensuite les personnes qui ont choisi de ne pas l’être et qui sont les plus vulnérables ».

    #Contagion #immunité #statistiques #coronavirus #covid-19 #santé #santé_publique #covid19 #confinement #pandémie

  • Infection par #SARS-CoV2 malgré la vaccination : quelques éléments pour comprendre par Marion Lagneau, « un médecin qui parle de médecine et du reste. Gastroentérologue, télémédecine, consultante en organisation équipes médicales et télé-médicales ».
    (Source : https://twitter.com/crisetchuchote/status/1432840479859675138)

    1 Thread :
    – pourquoi peut-on être infecté par le #COVID malgré le vaccin ?
    – pourquoi les gens vaccinés et infectés ont des formes non graves et finissent très exceptionnellement en réanimation intubés ventilés.
    =>Je vais tenter de vous expliquer cela avec des concepts simples
    2/ Le principe d’un vaccin, qu’il soit à #ARN ou autre vecteur, est de tromper le corps en lui faisant croire à une attaque de l’ennemi, afin qu’il fabrique des anticorps pour se défendre en cas de véritable attaque ultérieure
    3/ On s’attendrait logiquement à ce que le #Vaccin antiCovid empêche l’infection à #coronavirus , puisque le corps va se défendre dès qu’il va repérer le virus.
    C’est la qu’il faut intégrer un paramètre supplémentaire sur l’immunité.
    4/ Il y a une double modalité d’immunisation contre une maladie
    – l’immunité humorale = des anticorps dans le sang, chargés d’attaquer l’ennemi quand il est dans la maison
    – l’immunité cellulaire = des anticorps dans la paroi muqueuse, chargés de bloquer l’entrée de l’ennemi
    5/ Le Covid entre dans la maison par les voies respiratoires, nez, gorge, puis il descend vers les poumons.
    Pour l’empêcher de se fixer sur les parois du nez et de la gorge, il faudrait que les anticorps de l’immunité cellulaire soient actifs dès que le virus est repéré
    6/ C’est la que ça déconne en réalité : l’immunité cellulaire muqueuse conférée par le vaccin n’est pas bonne. Ce qui veut dire que le vaccin n’empêche pas le Coronavirus de se fixer dans le nez et la gorge des vaccinés
    C’est une des conclusions des essais cliniques fin 2020 :
    7/Aucun des vaccins testés n’a provoqué d’immunité mucosale.... =>possible que les vaccins soient protecteurs contre les formes sévères, mais aucun effet sur la contagiosité de vaccinés qui se contamineraient (et développeraient une forme rhinopharyngée légère, ou asymptomatique)
    8/ Référence ici : https://www.vidal.fr/actualites/25914-vaccins-contre-la-covid-19-un-point-sur-les-essais-de-phase-iii-en-cours
    9/ En revanche, la fixation du virus dans la gorge d’un vacciné active aussi de suite son immunité humorale sanguine.
    Le temps que le virus descende dans les poumons, les anticorps neutralisants ont pu se mettre en ordre de bataille pour lutter contre l’infection
    10/ Donc : Quand le virus arrive au niveau pulmonaire d’un vacciné, le processus immunitaire s’est mis en place, et empêche alors le virus de détruire les alvéoles pulmonaires . L’infection reste bénigne au niveau respiratoire
    11/ J’espère que cette explication vous permet de comprendre la raison finalement assez simple, qui explique qu’on peut avoir une infection nasale et pharyngée à Coronavirus après le vaccin, mais pas une infection pulmonaire grave
    12/ Et que le fait d’être infecté malgré la vaccination n’est pas une raison de rejeter le vaccin, car, s’il n’empêche pas la contamination, il confère néanmoins une protection évidente contre les formes graves pulmonaires, celles qui peuvent tuer ou laisser des séquelles
    13/ La troisième dose a pour objet d’essayer d’augmenter au max cette immunité humorale, pour éviter les formes sévères, mais il est probable qu’elle n’empêchera pas plus l’entrée du virus.
    14/ De nombreux laboratoires travaillent activement sur la recherche d’un vaccin par voie nasale, qui activerait l’immunité cellulaire, bloquant alors de manière forte l’entrée du virus dans le nez et la gorge
    15/ Ainsi, on conférerait une immunité digne de ce nom avec une double combinaison : vaccin par voie intramusculaire pour générer l’immunité humorale + vaccin nasal pour l’immunité cellulaire des muqueuses
    16/ il faut être patient, et faire confiance à la recherche scientifique. En effet, c’est un truc qu’on savait peu ou mal faire jusqu’à présent : développer des vaccins très efficaces contre les virus respiratoires, comme la grippe, qu’on attrape, on le sait bien, malgré le vaccin
    17/ De plus, on l’a vu pour la grippe, on le voit pour le #coronavirus , les virus mutent, rendant encore plus compliquée la lutte des humains contre ces petits organismes infectants, qui nous gâchent la vie
    18/ Le but de tout cela est au final de transformer LE #Covid_19 , infection potentiellement très grave en rhume banal, et on a déjà fait une bonne partie du chemin avec les premiers vaccins.
    19/ Plus tard, un jour, quand cette histoire sera dans les livres d’histoire, on pourra raconter qu’on l’a vécue, qu’on a été les premiers à oser tester de nouvelles modalités de traitement qui auront conduit à une succession de découvertes pour plein d’autres maladies....
    20/ Oui, ce vaccin aura des effets à long terme, indéniablement : il aura fait avancer à vitesse éclair la recherche dans les domaines des infections, mais aussi du cancer. Non, ce vaccin ne donnera pas le cancer ! Il est au contraire précurseur des futurs traitements anticancer !

    Autre lien : https://threadreaderapp.com/thread/1432840479859675138.html

    #Covid-19 #pandémie #vaccination #immunité

  • Predictors of Nonseroconversion after SARS-CoV-2 Infection - Volume 27, Number 9—September 2021 - Emerging Infectious Diseases journal - CDC
    https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/27/9/21-1042_article

    Nombre de personnes testées très faible, 72 au total.

    Not all persons recovering from severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) infection develop SARS-CoV-2–specific antibodies. We show that nonseroconversion is associated with younger age and higher reverse transcription PCR cycle threshold values and identify SARS-CoV-2 viral loads in the nasopharynx as a major correlate of the systemic antibody response.

    […]

    Conclusions

    In summary, we show that patients with low #SARS-CoV-2 viral loads in their respiratory tract are less likely to mount a systemic antibody response. Although we cannot formally exclude false-positive RT-PCR results in some participants, PCR contamination is highly unlikely as an explanation for our findings (Appendix). We also show that clinical illness does not guarantee seroconversion and that laboratories with highly sensitive RT-PCR assays are more likely to detect serologic nonresponders. These results provide an explanation for the puzzling variability of #seroconversion in different cohorts.

    The fact that a considerable fraction of RT-PCR positive persons fail to seroconvert has practical implications. Such persons remain undetected in seroprevalence studies, including in vaccine studies that assess protection from asymptomatic infection by measuring antibodies to antigens not included in the vaccine.

    Seroconverters and nonseroconverters will probably also respond differently to #vaccination. Recent studies revealed that seropositive persons have a heightened antibody response after the first, but not the second, dose of an mRNA vaccine, suggesting that a single dose is sufficient. Serologic nonresponders might not exhibit a similarly heightened anamnestic response, but resemble SARS-CoV-2 naive persons, as was observed for 1 previously infected vaccinee who never seroconverted (14). Finally, RT-PCR positive persons who experienced COVID-19 symptoms might be less inclined to seek vaccination, believing they are protected, but our results caution against this assumption.

    Comparing race/ethnicity, sex, and symptom severity, we failed to find a significant association with serostatus (Table), although we did observe a trend for increasing antibody positivity with increasing symptom severity (Appendix Figure 2). We also found no significant differences in seroconversion between patients reporting or not reporting various symptoms…

    #anticorps #immunité

    • Rappel :

      Covid-19 : pourquoi une infection par le SARS-CoV-2 n’est pas toujours synonyme d’un test sérologique positif
      https://seenthis.net/messages/895090

      ... théoriquement on peut imaginer que l’organisme parvienne à se débarrasser du coronavirus sans recourir aux anticorps ?

      SF-K : Oui, effectivement. Lorsque nous avons vérifié la réponse des lymphocytes T des partenaires qui avaient eu des symptômes mais étaient séronégatifs, on a constaté que chez plusieurs d’entre eux, elle était du même type que celle de leur partenaire « cas index ». Cela signifie qu’ils ont probablement été exposé au virus. Leur réponse T a peut-être été tellement efficace qu’elle a éliminé le virus, ou qu’ils n’ont eu besoin que de peu d’anticorps pour y parvenir, lesquels sont en quantité si faibles qu’ils n’ont pas pu être détectés ou ont disparu rapidement ensuite.

      Reste le cas des patients symptomatiques qui n’ont ni anticorps, ni réponse cellulaire T significative. Chez eux, on peut imaginer que la réponse immunitaire innée, immédiate, a suffi à éliminer le virus. Ils n’auraient donc pas eu besoin de déclencher le reste du processus.

  • #Suisse : La piqûre, la carotte et le bâton

    Les Suisses ont repris le chemin des #centres_de_vaccination, craignant les nouvelles mesures. On peut ratiociner longtemps sur la #liberté_individuelle et la #responsabilité_collective, mais ce qui marche encore le mieux, c’est de toucher au confort ou au #porte-monnaie.

    L’idée est belle. Assurer la liberté de chacun quant au vaccin, en assumer collectivement les conséquences. Informer, convaincre, être transparent autant que la recherche le permette, appeler à la #raison_sanitaire comme à la #solidarité, et laisser le #libre_arbitre. Le #pari est aussi beau que la société mûre, pensait-on.

    Et pourtant. Cet été, les Suisses ont préféré le soleil des vacances aux ombres du #covid, désertant les centres de vaccination. Et la méchante courbe est repartie à la hausse, menaçant une nouvelle fois les hôpitaux.

    Soudain, voici les belles théories à l’épreuve du feu. Sans qu’il fût nécessaire à Alain Berset de faire œuvre d’#autoritarisme sur le modèle #Macron – une impossibilité, de toute manière, vu le système politique suisse –, il aura suffi de rendre les #tests_payants et d’envisager l’#obligation du sésame sanitaire dans les restaurants ou les salles de sport pour que la vaccination redémarre. D’où il faut tirer cet enseignement : on peut ratiociner longtemps sur la liberté individuelle et la responsabilité collective, mais ce qui marche encore le mieux, c’est de toucher au confort ou au porte-monnaie.

    La liberté des uns vaudra plus que celle des autres

    D’un côté, ce constat est désolant. Car le langage de la carotte et du bâton est évidemment moins glorieux que celui de la responsabilité et du #pragmatisme devant une #pandémie qui joue les prolongations. Mais il a l’avantage de porter, contrairement à la belle idée de liberté. Pourtant, attardons-nous sur ce concept : les réticents au vaccin – nous ne parlons pas ici des #antivax purs et durs envers qui aucun argument d’ordre rationnel ne portera jamais – font valoir que les mesures contrarient leur liberté. C’est exact. Mais si rien n’est entrepris pour que l’#immunité_collective arrive avant la saint-glinglin, la société tout entière va souffrir : les corps et les âmes seront touchés, les liens sociaux de nouveau mis à mal, des secteurs entiers de l’économie refermés. Et la facture sera payée par tous. Les vaccinés assumeront donc les coûts pour une minorité dont la liberté, soudain, vaudra plus que la leur.

    Ce conflit n’est pas près de se résoudre. Il faut donc faire le deuil d’une issue qui satisfasse tout le monde. Les #vaccino-sceptiques ont beau jeu de prétendre qu’ils ne sont en rien les artisans d’un genre de guerre froide menaçant la #cohésion_sociale. Car les vaccinés rétorquent que c’est à eux d’assumer le poids de leur refus, et non à la collectivité. Si, dans ce débat impossible, la pression du politique pouvait servir à convaincre un nombre suffisant pour éviter la crise sanitaire, ce serait un moindre mal. Qui veut encore souffrir de restrictions et de confinement ? Ce n’est pas exactement l’idée qu’on se fait de la liberté.

    https://www.letemps.ch/suisse/piqure-carotte-baton

    #vaccin #vaccination #coronavirus

  • #PassSanitaire [Pass sanitaire] prenez quelques minute pour écouter les arguments de ce manifestant
    https://www.youtube.com/watch?v=5dwCaAUwNPk

    #PassSanitaire [Pass sanitaire] prenez quelques minute pour écouter les arguments de ce manifestant Pendant le cinquième week-end de manifestation, nous avons rencontré un manifestant à Blois dont les arguments méritent une attention Un reportage de Mariam Makeda Traoré Suivez nous sur : Site Web : www.rpmedias.com Page Facebook : https://www.facebook.com/rpmedias Twitter : https://twitter.com/RPMEDIAS?s=09 Instagram : https://www.instagram.com/rpmedias/?hl=fr

    #Pass_sanitaire #Coronavirus

    • Fox news effect : Mississippi officials warn against using ivermectin for COVID-19 amid spike in poisonings
      https://thehill.com/homenews/state-watch/568834-mississippi-officials-warn-against-using-ivermectin-for-covid-amid-s

      Mississippi health officials are warning residents against using ivermectin, a horse dewormer medication, to treat COVID-19 infections at home amid a spike in poisoning calls to the Mississippi Poison Control Center.

      The Mississippi Department of Health sent a letter out to to the MS Health Alert Network on Friday warning health professionals of the spike in poisonings from individuals digesting ivermectin.

      “At least 70% of the recent calls have been related to ingestion of livestock or animal formulations of ivermectin purchased at livestock supply centers,” the letter stated.

      Only one person was told to seek further help due to the amount of the ivermectin ingested and 85 percent of callers had mild symptoms.

      Some of the symptoms individuals can experience are rash, nausea, vomiting, abdominal pain, neurologic disorders, and sometimes severe hepatitis.

      There have been no hospitalizations reported to the department yet from someone ingesting ivermectin to cure the coronavirus.

      “Animal drugs are highly concentrated for large animals and can be highly toxic in humans,” the letter signed by state epidemiologist Paul Byers stated. “Patients should be advised to not take any medications intended to treat animals and should be instructed to only take ivermectin as prescribed by their physician.”

      The increase in ivermectin use comes as Mississippi is struggling to deal with an increase in coronavirus cases as the state has the second-lowest vaccination rate in the U.S.

      “traitement” promu par #fox_news

  • Durability of mRNA-1273 vaccine–induced antibodies against #SARS-CoV-2 #variants | Science
    https://science.sciencemag.org/content/early/2021/08/11/science.abj4176.full

    SARS-CoV-2 #mutations may diminish vaccine-induced protective immune responses, particularly as antibody titers wane over time. Here, we assess the impact of SARS-CoV-2 variants B.1.1.7 (Alpha), B.1.351 (Beta), P.1 (Gamma), B.1.429 (Epsilon), B.1.526 (Iota), and B.1.617.2 (Delta) on binding, neutralizing, and ACE2-competing antibodies elicited by the vaccine mRNA-1273 over seven months. Cross-reactive neutralizing responses were rare after a single dose. At the peak of response to the second vaccine dose, all individuals had responses to all variants. Binding and functional antibodies against variants persisted in most subjects, albeit at low levels, for 6-months after the primary series of the mRNA-1273 vaccine. Across all assays, B.1.351 had the lowest antibody recognition. These data complement ongoing studies to inform the potential need for additional boost vaccinations.

    #immunité #vaccins #vaccination

  • David Benkeser sur Twitter [fil] :

    Excited to finally share our results of the immune correlates of protection of the Moderna vaccine.

    […]

    Here we see that neutralizing antibody activity was lower in vaccinated individuals who had a breakthrough infection (green/orange) vs. those who did not (purple). This was true for both post dose 1 (left) and post dose 2 (right) responses." / Twitter
    https://twitter.com/biosbenk/status/1425164080805986312

    […]

    Here we show the incidence of COVID-19 breakthroughs among vaccinated (green) individuals. Risk is MUCH lower than placebo (gray), but decreases further the higher the antibody response (solid green = lowest response; dotted green = highest response).

    #vaccination #immunité #anticorps #réinfection

  • L’#Islande enregistre un nombre important de nouveaux cas de Covid-19
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-islande-enregistre-un-nombre-important-de-nouveaux-cas-de-covid-19?id=

    Malgré plus de 70% d’habitants vaccinés (#vaccination complète)
    https://www.ledauphine.com/sante/2021/08/04/quels-sont-les-pays-les-plus-vaccines-de-l-ue-et-ceux-en-retard

    Pas d’#immunité_collective mais peu de formes graves : ce que dit la nouvelle vague de contaminations en Islande | Monde | 7sur7.be
    https://www.7sur7.be/monde/pas-d-immunite-collective-mais-peu-de-formes-graves-ce-que-dit-la-nouvelle-vag

    Selon Þórólfur Guðnason, le #variant #Delta est devenu dominant en Islande et il est devenu évident que les personnes vaccinées peuvent contracter et transmettre le #Covid-19. Le nombre total de cas actifs sur l’île atteint le chiffre record de 1.304.

    “Le séquençage nous a montré que la plupart des infections peuvent être attribuées à des événements de groupe tels que des sorties en boîte de nuit dans le centre-ville de Reykjavík ou des voyages de groupe à l’étranger. Nous devrons attendre et voir si les restrictions actuelles suffiront à endiguer la vague actuelle”, a estimé l’épidémiologiste. Un rapport a été envoyé au gouvernement par les spécialistes pour faire part de leurs inquiétudes concernant la pression exercée sur le système de santé.

    Nouvelles restrictions
    Les autorités ont décidé d’offrir à ceux qui ont reçu le vaccin Janssen, principalement les jeunes, une injection de rappel de Pfizer. Selon Guðnason, le vaccin prévient cependant bien des formes graves. Environ 24 personnes ont dû être hospitalisées au cours de cette vague, soit un peu plus de 1 % des contaminés. Lors des vagues précédentes, ce chiffre était de 4 à 5 %. Environ la moitié des personnes hospitalisées ont été vaccinées. Les deux personnes qui ont été placées en soins intensifs ne sont pas vaccinées.

    L’Islande avait levé toutes ses restrictions à la fin du mois de juin après 15 mois de distance sociale, de port du masque et d’autres mesures sanitaires. Mais de nouvelles restrictions ont été à nouveau décrétées il y a quelques jours. Les bars et les clubs doivent fermer à minuit et les événements sont limités à 200 participants. En outre, le port du masque à l’intérieur est obligatoire, de même qu’une distance d’au moins un mètre.

  • à propos de « l’immunité collective », le Pr. Fischer récidive, C_A_Gustave – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1422176525894524929.html

    1/23
    Après ses 1ères déclarations du mois de juin à propos de « l’immunité collective », le Pr. Fischer récidive ce matin en évoquant l’atteinte d’immunité collective à l’automne, quand 90% de la pop aura été immunisée, par vaccination ou par infection...
    2/23
    Décidemment, nos autorités sanitaires n’en finiront pas de malmener l’immunologie et la notion « d’immunité collective » !

    Commençons par un rappel sur ce qu’est l’immunité grégaire (oui, c’est le terme exact puisque c’est une notion issue de la médecine vétérinaire)...
    3/23
    L’immunité grégaire est un concept permettant de calculer le % de bêtes à immuniser au sein d’un troupeau afin de protéger l’ensemble du cheptel.
    Ce concept dépend directement du R-eff et vise à le rendre <1 pour empêcher la circulation virale dans le troupeau...
    4/23
    Quand le % critique d’immunité grégaire est attient dans un troupeau, une bête ne peut plus transmettre le virus à >1 autre bête.
    Autrement dit, l’épidémie s’éteint spontanément.
    Mais cela nécessite des conditions qui ne peuvent pas être réunies pour la COVID...
    5/23
    Tout d’abord, l’immunité acquise doit être « stérilisante » = un immunisé ne doit plus être ni contaminé, ni contaminant.
    Ainsi, dans un modèle épidémiologique, chaque immunisé est exclu de la population exposée/susceptible au virus...
    6/23
    Pour SARS-CoV-2, cette 1ère condition n’est pas obtenue, ni par l’immunité naturelle (post-infection), ni par l’immunité vaccinale.
    Les réinfections restent possibles.
    La transmission reste possible.

    7/23
    Deuxièmement, le virus ciblé ne doit pas être capable d’échapper à l’immunité acquise.
    Cela implique 2 conditions :
    A] l’immunité doit être pérenne et ne pas s’atténuer avec le temps
    B] le virus ne doit pas subir de dérive antigénique (échappement immunitaire)...
    8/23
    La condition A est déjà caduque vis-à-vis de SARS-CoV-2, pour lequel on note déjà une ↘ de la réponse immunitaire à distance de l’immunisation, mais aussi une ↘ de la protection clinique :

    9/23
    La condition B est également caduque puisque de nouveaux variants émergent continuellement et se caractérisent notamment par une résistance partielle et ↗ à la neutralisation par nos anticorps, voire par un échappement à la reconnaissance par nos lymphocytes T...

    #covid-19 #immunité_de_troupeau #immunité #immunité_collective #Grande-Bretagne

  • #Covid-19 Breakthrough Infections in Vaccinated Health Care Workers | NEJM
    https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2109072

    La constatation importante est la corrélation avec le titre d’#anticorps neutralisant ; si c’est confirmé une troisième dose ne serait nécessaire* qu’en-dessous d’une valeur seuil qui resterait à définir.

    (* d’autant plus nécessaire que 19% des infectés ont quand même eu des symptômes persistant)

    Neutralizing antibody titers in case patients during the peri-infection period were lower than those in matched uninfected controls (case-to-control ratio, 0.361; 95% confidence interval, 0.165 to 0.787). Higher peri-infection neutralizing antibody titers were associated with lower infectivity (higher Ct values). Most breakthrough cases were mild or asymptomatic, although 19% had persistent symptoms (>6 weeks).

    #vaccination #immunité

  • #Covid 19 : l’#immunité laissée par l’#infection et surtout par la #vaccination serait bien de longue durée - MesVaccins.net
    http://www.mesvaccins.net/web/news/17596-covid-19-l-immunite-laissee-par-l-infection-et-surtout-par-la-vacc

    Depuis le début de l’épidémie de covid 19, on s’interroge sur la durée et l’efficacité de l’immunité qui se développe lors de l’infection, et de celle que l’on peut obtenir par la vaccination. Initialement, des données et observations parfois contradictoires ont fait craindre que cette immunité soit de courte durée, incapable de protéger d’une nouvelle infection quelques mois ou années après son établissement. Les études se sont souvent basées sur des techniques détectant les anticorps dirigés contre le virus, qui ont souvent montré une baisse rapide des concentrations de ces anticorps dans le sang des individus immunisés.

    Le temps passant, on dispose de plus en plus de recul sur cette immunité, et les données qui s’accumulent sont plutôt rassurantes. [...]

    [...]

    Ces [données] permettent d’espérer que l’acquisition d’une immunité contre le SARS-CoV-2 assurera une protection de bon niveau contre des réinfections et qu’il ne sera peut-être pas nécessaire d’envisager des rappels vaccinaux fréquents, au moins chez les personnes jeunes et en bonne santé possédant un système immunitaire parfaitement fonctionnel. De nouvelles observations ne manqueront pas de compléter nos connaissances, particulièrement sur l’efficacité de cette protection contre les variants du virus (à ce propos, on remarque que l’étude de Ellebedy et coll., réalisée avant le mois de mars, n’a pas inclus le variant Delta indien – ndr), la nécessité de rappels chez certaines personnes, en fonction de leur état ou de leurs antécédents, ou sur la possibilité, redoutée, que l’immunité devienne dans quelques cas facilitante et ne favorise des infections plus graves.

  • #COVID-19 : Les #anticorps durent au moins 9 mois [chez les personnes infectées par le #sars-cov2]| santé log
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-les-anticorps-durent-au-moins-9-mois

    Étude d’une « équipe de virologues de l’Université de Padoue et de l’Imperial College London, » publiée dans « Nature Communications »

    À Vo’ en Italie, un PCR « de masse » est effectué en Février et mars 2020, puis en mai 2020 sont pratiqués chez 86% de la population une sérologie à l’aide de 3 tests différents + 1 PCR.

    Les personnes PCR positif en février et mars et celles avec au moins une sérologie positive en mai ont eu une nouvelle sérologie (3 tests différents toujours) en novembre.

    Tous les types d’anticorps ont baissé avec le temps écoulé depuis l’infection, ici, entre mai et novembre, cependant l’analyse constate que :
     
    – 98,8% des personnes infectées en février/mars présentent toujours des niveaux détectables d’anticorps en novembre ;

    aucune différence de niveaux d’anticorps n’est constatée entre les personnes qui avaient présenté des symptômes de COVID-19 et celles qui avaient développé une forme asymptomatique

    – il existe des cas d’augmentation des niveaux d’anticorps chez certaines personnes, suggérant des réinfections possibles ayant stimulé le système immunitaire ;

    [...]

    les niveaux d’anticorps varient cependant et parfois de manière marquée, selon le test utilisé . Cela signifie qu’il faut être prudent lorsque l’on compare les estimations des niveaux d’infection dans une population obtenues dans différentes parties du monde avec différents tests et à différents moments.

    Source : SARS-CoV-2 antibody dynamics and transmission from community-wide serological testing in the Italian municipality of Vo’ | Nature Communications
    https://www.nature.com/articles/s41467-021-24622-7

    #immunité

  • Coronavirus (#COVID-19) Infection Survey, antibody and vaccination data, UK - Office for National Statistics
    https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/healthandsocialcare/conditionsanddiseases/bulletins/coronaviruscovid19infectionsurveyantibodyandvaccinationdatafortheuk/7july2021

    Estimation de la #séroprévalence #sars-cov2 de la semaine du 14 au 21 juin chez les adultes du #royaume-uni

    Main points

    In England, it is estimated that around 9 in 10 adults, or 89.8% of the adult population (95% credible interval: 88.2% to 91.3%) would have tested positive for antibodies against coronavirus (COVID-19) - SARS-CoV-2 - on a blood test in the week beginning 14 June 2021, suggesting they had the infection in the past or have been vaccinated.

    In Wales, it is estimated that 9 in 10 adults, or 91.8% of the adult population (95% credible interval: 90.1% to 93.3%) would have tested positive for antibodies against SARS-CoV-2 on a blood test in the week beginning 14 June 2021, suggesting they had the infection in the past or have been vaccinated.

    In Northern Ireland, it is estimated that close to 9 in 10 adults, or 87.2% of the adult population (95% credible interval: 84.2% to 90.2%) would have tested positive for antibodies against SARS-CoV-2 on a blood test in the week beginning 14 June 2021, suggesting they had the infection in the past or have been vaccinated.

    In Scotland, it is estimated that over 8 in 10 adults, or 84.7% of the adult population (95% credible interval: 82.4% to 86.9%) would have tested positive for antibodies against SARS-CoV-2 on a blood test in the week beginning 14 June 2021, suggesting they had the infection in the past or have been vaccinated.

    Across all four countries of the UK, there is a clear pattern between vaccination and testing positive for COVID-19 antibodies but the detection of antibodies alone is not a precise measure of the immunity protection given by vaccination .

    #anticorps #immunité

  • Spike-antibody waning after second dose of BNT162b2 or ChAdOx1 - The Lancet
    https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)01642-1/abstract

    (#Vaccins Pfizer et AZ)

    A significant trend of declining S-antibody levels was seen with time for both ChAdOx1 (p<0·001) and BNT162b2 (p<0·001; figure; appendix), with levels reducing by about five-fold for ChAdOx1, and by about two-fold for BNT162b2, between 21–41 days and 70 days or more after the second dose. This trend remained consistent when results were stratified by sex, age, and clinical vulnerability [..,]

    […]

    Across both vaccine types, women had higher initial S-antibody levels than men at 21–42 days after complete vaccination; also ending with higher levels at 70 days or more (appendix). Similarly, those aged 18–64 years had higher levels at 21–42 days compared to those aged 65 years and older, with correspondingly higher levels at 70 or more days (appendix).

    […]

    This analysis should be repeated with a larger number of participants to allow better adjustment for potential confounding, and with longitudinal follow-up of antibody dynamics in individuals over 6–12 months to establish plateau levels, or time to seroreversion.

    Higher antibody levels are possibly associated with greater protection against variants that can partially evade immunity, which could explain the observed higher efficacy (partly preliminary) of BNT162b2 compared to ChAdOx1 against the Delta variant (B.1.617.2). Disparity in peak antibody levels between vaccine types, and to a lesser extent between population groups, might therefore be important if antibody levels in some groups drop below ( as yet undefined) thresholds of protection earlier than in others.

    There is, however, accumulating evidence suggesting the importance of T-cell-mediated immunity, particularly in individuals with weak or absent antibody responses, so it is possible that T-cell responses compensate to some extent as antibody responses wane.

    In the context of recent advice in support of booster vaccinations from the UK’s Joint Committee on Vaccination and Immunisation, and given the potentially rapid S-antibody decline suggested by these data, heterologous regimens, which preliminary data suggest elicit stronger antibody and T-cell responses,, might provide more durable immunity and greater protection against emerging variants.

    However, the ultimate effect of different dose intervals and various heterologous combinations on clinical outcomes remain important unanswered questions . Principally, the ethical basis for universal booster dose deployment in high-income settings should be carefully considered in the context of widening global vaccine inequities. Data on disparities in peak antibody levels and rates of decline might therefore inform targeted and equitable booster deployment.

    #immunité #anticorps #sars-cov2 #covid-19

  • Frontiers | Reactive T Cells in Convalescent #COVID-19 Patients With Negative #SARS-CoV-2 Antibody Serology | Immunology
    https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fimmu.2021.687449/full

    […] in our cohort, a lack of specific antibody response does not correlate with differences in reactive T cells to HCoVs, arguing against a role in facilitating the mounting of SARS-CoV-2 antibody responses.

    Overall, our findings provide evidence that seronegative convalescent individuals have mounted a SARS-CoV-2 T cell response comparable to seropositive.

    #anticorps #immunité

  • Scientists identify breakthrough cases of SARS-CoV-2’s delta variant in fully vaccinated individuals
    https://www.news-medical.net/news/20210705/Scientists-identify-breakthrough-cases-of-SARS-CoV-2e28099s-delta-vari

    In the current study, the scientists have described the transmission of delta variants among family members who were attending a wedding ceremony with 92 guests. The wedding events were held outside in a large open-air tent, and all guests were fully vaccinate.

    [...]

    La possibilité d’une absence d’#immunité anti-#sars-cov2 après le #vaccin a été écartée :

    Six vaccine breakthrough cases identified in the study highlight the notion that antibodies elicited by Pfizer/BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273, and Covaxin BBV152 may not be sufficient to provide full protection against the delta variant. Although some people fail to develop adequate immunity in response to vaccination, none of the patients identified in the study had a history of vaccine failure. 

    As mentioned by the scientists, mutations in three antigenic regions of the spike receptor-binding domain (450–469 IDf, 480–499 IDg, and 522–646 IDh) could potentially reduce the susceptibility of delta variant to antibody-mediated neutralization.

    #vaccins #covid-19

  • Impact of #SARS-CoV-2 variants on the total CD4+ and CD8+ T cell reactivity in infected or vaccinated individuals: Cell Reports Medicine
    https://www.cell.com/cell-reports-medicine/abstract/S2666-3791(21)00204-4

    #VARIANTS #COVID-19 : Nos #lymphocytes_T sont nos meilleurs alliés | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/variants-covid-19-nos-lymphocytes-t-sont-nos-meilleurs-allies

    En pratique, si le virus submerge les anticorps, les cellules T peuvent probablement encore arrêter la variante et prévenir une forme sévère de la maladie.

    #immunité_cellulaire #immunité

  • Structure-guided T cell vaccine design for #SARS-CoV-2 variants and sarbecoviruses
    https://www.cell.com/cell/pdf/S0092-8674(21)00797-2.pdf?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fr

    #COVID-19 : Le #vaccin qui parie sur les #lymphocytes_T | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-le-vaccin-qui-parie-sur-les-lymphocytes-t

    311 épitopes du #SRAS-CoV-2 sont identifiés comme susceptibles d’être à la fois contraints par la mutation et reconnus par les cellules T CD8+.
     
    « On peut comparer la structure d’un virus à la conception d’une maison. La stabilité d’une maison dépend de quelques éléments vitaux, comme les fondations et des poutres, qui soutiennent le reste de la maison. En termes biologiques, ces poutres de support seraient contraintes par mutation c’est-à-dire que tout changement important de taille ou de forme mettrait en danger l’intégrité structurelle de la maison et pourrait facilement conduire à son effondrement. Des mutations dans ces épitopes sont donc peu probables car elles compromettraient la capacité du virus à survivre".

    53 épitopes sont finalement sélectionnés car présents en plus grande quantité, chacun représentant une cible en puissance pour un vaccin largement protecteur.
     
    Des réponses des cellules T à ces épitopes en cas d’infection par les différents variants : les chercheurs confirment en effet, sur un échantillon de patients préalablement infectés par les différents variants que la moitié présentent des réponses des lymphocytes T à des épitopes hautement interconnectés parmi les épitopes identifiés. Cela confirme que ces épitopes identifiés sont bien capables d’induire une réaction immunitaire, ce qui en fait des candidats prometteurs pour une utilisation dans de futurs vaccins.
     
    La preuve avec les différents variants : l’équipe a obtenu des séquences des variantes préoccupantes B.1.1.7 Alpha, B.1.351 Beta, P1 Gamma et B.1.617.2 Delta SARS-CoV-2 en circulation et comparé ces séquences avec celles de la souche originale de SRAS-CoV-2. De toutes les mutations identifiées chez ces variants, seules 3 s’avèrent affecter des épitopes identifiés comme cibles possibles.
     
    Si les vaccins actuels offrent une forte protection contre le COVID-19, concluent les chercheurs dans leur communiqué, « il n’est pas clair que ces vaccins pourront fournir une protection aussi forte contre les variantes préoccupantes. Développer un vaccin qui appelle des réponses des cellules T permettrait d’assurer cette protection contre les futures variantes du SRAS-CoV-2 ».

    #variants #immunité_cellulaire

  • Comment la Chine a administré plus de 1 milliard de doses de vaccin contre le Covid-19
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/06/28/comment-la-chine-a-administre-plus-d-un-milliard-de-doses-de-vaccin-contre-l

    Comment la Chine a administré plus de 1 milliard de doses de vaccin contre le Covid-19
    Après des débuts poussifs, la mobilisation de tous les moyens de l’Etat et le retour de quelques foyers épidémiques ont permis à la Chine d’arriver à une cadence de 18 millions d’injections par jour.
    La Chine a franchi la barre du milliard de doses injectées le 21 juin pour atteindre 1,12 milliard jeudi 24 juin, soit plus du tiers des doses administrées dans le monde (2,8 milliards). Après un début de campagne vaccinale poussif, les autorités ont su déployer des moyens importants pour atteindre aujourd’hui un rythme de croisière impressionnant : 18 millions de doses quotidiennes en moyenne, avec un record à 23 millions de doses injectées le 18 juin. De quoi vacciner la France en trois jours ! Avec 1,4 milliard d’habitants, l’entreprise s’annonce un peu plus longue pour la Chine, d’autant que les zones rurales, moins denses, seront plus longues à couvrir.
    (...)Malgré les progrès de cette campagne à grande échelle, la réouverture des frontières chinoises pourrait prendre plus longtemps que prévu.
    L’efficacité des vaccins développés par la Chine contre les infections, qui varie de 51 % pour Sinovac à 78 % pour Sinopharm, ou encore à 65 % pour Cansino, ne rassure pas les autorités, qui ont jusqu’ici adopté une politique « zéro cas ». Leur efficacité serait plus élevée contre les cas graves, à plus de 90 % selon les fabricants. Mais plusieurs exemples de nouvelles vagues épidémiques dans des pays largement vaccinés avec des vaccins chinois, tels que le Chili ou la Mongolie, montrent que baisser trop tôt la garde s’avère risqué.A plus long terme, la stratégie de tolérance zéro paraît difficile à tenir. A Foshan, dans le Guangdong, plusieurs habitants ont protesté après que leur résidence a été soumise à plus de vingt jours de confinement à cause d’un foyer de contaminations comptant officiellement 168 cas pour une population totale de 115 millions d’habitants dans la province.« La politique de tolérance zéro, cela veut dire que, tant qu’il y a un cas, le gouvernement doit mobiliser toutes ses capacités, tester massivement, fermer des quartiers, des villes entières… On voit qu’un retour à une vie normale n’est pas possible, estime Huang Yanzhong, du CFR. Pour sortir de ce dilemme, il faut à un moment passer de l’endiguement de la maladie à son atténuation. Cela suppose aussi d’éduquer la population, car si l’on continue à présenter le virus comme une menace à éradiquer, les gens ne vont pas accepter la réouverture des frontières. »

    #Covid-19#migrant#migration#chine#vaccination#immunitecollective#circulation#frontiere#variant#confinement#cluster#confinement#contamination

  • Re-infection with #SARS-CoV-2 in Patients Undergoing Serial Laboratory Testing
    https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab345/6251701

    #COVID-19 : Un taux de #réinfection inférieur à 1% après une forme sévère
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-un-taux-de-reinfection-inferieur-1-apres-une-forme-severe

    Et chez les 0,7% de personnes réinfectées…

    … [l’]#immunité naturelle est suffisamment forte […] pour réduire considérablement le risque de complications et de décès.

    Pas de différences entre femmes et hommes et pas d’influence de l’âge.

  • New Evidence Suggests #COVID-19 Vaccines Remain Effective Against #Variants
    https://www.npr.org/sections/health-shots/2021/06/09/1004738276/new-evidence-suggests-covid-19-vaccines-remain-effective-against-variants

    “What we showed is that the neutralizing antibodies are reduced about fivefold to the B.1.351 variant,” says Dan Barouch, director of the Center for Virology and Vaccine Research at Beth Israel Deaconess Medical Center in Boston. Under the new nomenclature proposed by the World Health Organization, B.1.351 is now called Beta. It first appeared in South Africa.

    “That’s very similar to what other investigators have shown with other vaccines,” he says. “But what we also showed is that there’s many other types of immune responses other than neutralizing antibodies, including binding antibodies, FC functional antibodies and T-cell responses.”

    And it’s that last immune response, the T-cell response, that Barouch says is critically important. Because T cells, particularly CD8 T cells, play a crucial role in preventing illness.

    […]

    “Those are the killer T cells,” Barouch says. “Those are the types of T cells that can basically seek out and destroy cells that are infected and help clear infection directly.”

    They don’t prevent infection; they help keep an infection from spreading.

    “The T-cell responses actually are not reduced — at all — to the variants,” Barouch says. It’s not just the Beta variant, but also the Alpha and Gamma variants.

    That may help explain why the Johnson & Johnson vaccine prevented serious disease when tested in volunteers South Africa, where worrisome variants are circulating.

    “The data is very solid,” says Alessandro Sette, an immunologist at the La Jolla Institute for Immunology. “Dan Barouch’s data really show very nicely that there is no appreciable decrease in [CD8 T-cell] reactivity.”

    Sette’s lab has had similar results with the Pfizer-BioNTech and Moderna COVID-19 vaccines. So has Marcela Maus at Massachusetts General Hospital. Although it will take studies in people to be certain the vaccines will work against variants, “Anything that generates a T-cell immune response to the #SARS-CoV-2, I would say has promise as being potentially protective,” Maus says.

    What’s not clear yet is how long the T-cell response will last, but several labs are working to answer that question.

    #immunité_cellulaire #vaccins

  • #Covid-19, un an après : persistance des #anticorps protecteurs et réduction significative du risque de #réinfection
    https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-apres-persistance-anticorps-protecteurs-reduction-significative-du-

    [...] l’équipe du CHU de Strasbourg a suivi [1309 personnels hospitaliers] dont 393 [...] ayant eu une forme légère du Covid-19 jusqu’à 422 jours après le début des symptômes. [...] -

    [70] nouvelles infections [sont apparues] dont [une seule], asymptomatique, [parmi] le groupe anciennement infecté par le SARS-CoV-2. Cela indique que le risque de réinfection a été réduit de 96,7% chez les personnes anciennement infectées.

    [...]

    [...] les résultats ont révélé une correspondance entre les taux d’anticorps anti-S (mesurés par un test quantitatif commercial) et celui des anticorps neutralisants (mesurés par neutralisation de virus vivants) qui serait d’une grande aide pour l’interprétation des résultats sérologiques et pour la détermination future d’un taux protecteur.

    [...]

    [L’étude] démontre [...] une persistance à long terme des titres d’anticorps anti-S qui peuvent protéger les patients convalescents Covid-19 contre la réinfection par le virus sauvage et le variant anglais.

    En augmentant les taux d’anticorps neutralisants, le #vaccin contre le SARS-CoV-2 peut renforcer leur capacité protectrice, en particulier contre les #variants hébergeant des mutations d’échappement d’anticorps comme le variant sud-africain.

    Source : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.07.21256823v2.full.pdf

    #immunité #vaccination #vaccins

  • We Need To Get Real About How the Pandemic Will End - Insight
    https://www.theinsight.org/p/we-need-to-get-real-about-how-the

    If you look at a chart of deaths from AIDS, one of the greatest moral stains from our history jumps out. More people died of AIDS after we got the triple combination drug in 1995 that turned #HIV into a chronic condition for those who had access to it—but almost all the deaths happened outside the few wealthy countries that could afford it. Not until the mid-2000s, following much loss and activism, campaigns and pressure, did things finally change and drug access expand.

    The latest news from the United Kingdom, which has better genomic surveillance than almost any other country and thus can allow us to disentangle causes of outbreaks better, is not good. The B.1.617.2 variant, first identified in India, looks to be substantially more transmissible compared with even B.1.1.7, which was bad enough. The data is preliminary, and I really hope that the final estimate ends up as low as possible. But coupled with what we are observing in India and in Nepal, where it is rampant, I fear that the #variant is a genuine threat.

    In practical terms, to put it bluntly, it means that the odds that the pandemic will end because enough people have immunity via getting infected rather than being vaccinated just went way up. 

    We seem to be holding onto the comforting fiction that we will eventually get around to vaccinating people in countries that have so far either had success keeping out the pandemic completely, or have had small outbreaks before, while they just keep up mitigating a little longer. I do not believe that the story we tell ourselves is realistic.

    First, these countries can only hold the virus at bay for so long. Even quarantining all people arriving, and greatly limiting who comes in can only work for so long. See what’s happening in Taiwan: it takes only one slip-up plus a few amplifying events for a country to see its case load quickly rise. 

    Second, if a variant is more transmissible, all our “non-pharmaceutical” interventions will be much less able to hold them at the same level. Something even more transmissible than B.1.1.7 may be very, very hard to stop outside of vaccination (or, yes, immunity through mass infection).

    Three, some places have already been keeping out the virus for more than a year—that success can’t last forever.

    Four, those countries which lack both widespread prior immunity from previous outbreaks (like us!) and widespread vaccination (also like us!) are sitting ducks. Something like this variant can burn through such populations like a firestorm.

    #covid-19 #immunité #immunité_de_groupe #variants #transmission #vaccination #mortalité

  • Un ancien conseiller révèle que le plan d’immunité collective du gouvernement Johnson prévoyait 800.000 décès au Royaume-Uni - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/fr/articles/2021/05/26/rucv-m26.html

    Des décès à plus grande échelle encore étaient activement envisagés à Downing Street. Dans le tweet 31, Cummings révèle : « Il y a eu un exercice PHE appelé Exercice NIMBUS dans un futur hypothétique le 14/4/20 avec des diapositives COBR simulées ».

    Le tweet indique qu’il y aurait une semaine supposée de pic le 13 mai 2020 et 33 millions de cas de Covid-19 dans la population sur une « vague de 16 semaines ». Il déclare à propos de ce scénario que les hôpitaux seraient pleins dès le 14 avril 2020 et qu’il y aurait plus de « 800K morts » et « les écoles devaient rester ouvertes (!!) » L’exercice s’est déroulé en mars 2020, dit-il, c’est-à-dire avant ou autour du moment où le gouvernement a été contraint d’imposer un confinement.

    Cummings cherche sans doute à prendre ses distances avec une politique d’immunité collective meurtrière dans laquelle il est impliqué et affirme maintenant que pratiquement aucun décès n’aurait eu lieu en Grande-Bretagne avec des « personnes compétentes aux commandes ». Le Sunday Times avait rapporté en mars 2020 que quelques semaines avant, fin février, Cummings avait exposé la stratégie du gouvernement lors d’une réunion privée. Un observateur a décrit la politique comme suit : « immunité collective, protéger l’économie et si cela veut dire la mort de quelques retraités, tant pis ».