• (à lire à propos de la dette immunitaire qui manque d’étayage scientifique)
    Thread by C_A_Gustave on Thread Reader App – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1590817761697333248.html

    On se dit alors : "c’est quand même étrange ce concept de dette immunitaire qui ne s’épure jamais, malgré déjà 2 vagues d’infections à VRS depuis 2021, dont 1 intense fin 2021, et le retour de tous les virus « saisonniers » depuis près de 2 ans"...

  • #Covid-19 : ce que l’on sait des #réinfections
    https://www.lemonde.fr/sante/article/2022/07/13/covid-19-ce-que-l-on-sait-des-reinfections-en-5-questions_6134644_1651302.ht

    1 - A quoi ces #données correspondent-elles ?

    Les autorités françaises considèrent comme une « réinfection possible » les personnes déclarées positives au moins deux fois à au moins deux mois d’intervalle [bien que des cas à trois semaines existent]. Il faut garder en tête que les données concernant les réinfections demeurent des estimations partielles, avec plusieurs limites :

    ces estimations supposent que les personnes concernées aient effectué un dépistage à l’occasion de chacun des épisodes d’infection, ce qui est de moins en moins le cas ; [patiemment abrutis par le bruit, les approximations et les intox et poussés à se démerder comme ils peuvent] les Français lassés, se testent moins et usent plus d’autotests, dont les résultats de sont pas reportés dans SI-Dep ;

    les données étudiées par SPF s’arrêtent à la mi-juin 2022 ;
    elles n’incluent pas les réinfections de personnes contaminées aux premiers jours de l’épidémie, en raison de l’absence de système d’information spécifique avant mai 2020, mais surtout d’une évolution, au début de 2021, de l’étape de pseudonymisation appliquée aux données des patients testés avant leur transmission aux agences de surveillance comme SPF.

    [...]

    Notons enfin que la probabilité d’une réinfection est d’autant plus importante que la majorité des Français ont été contaminés au moins une fois. Quelque 32 millions de cas ont été recensés dans SI-Dep [si on ne compte pas les enfants et les autotests ]. La moitié d’entre eux concernent des épisodes d’infection survenus pendant les trois premiers mois de 2022, en lien avec l’arrivée et la diffusion d’Omicron.

    #test

    • Claude-Alexandre GUSTAVE, @C_A_Gustave
      https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1547687861352165379

      1/41
      Petit thread pour illustrer à nouveau un point important sur la perception de la « virulence » de SARS-CoV-2, et pourquoi l’#échappement_immunitaire crée un biais+++ qui conduit à la mauvaise stratégie pour la suite...

      (...) En effet, la virulence intrinsèque peut être approchée, en évaluant la sévérité des infections chez les non-vaccinés... à condition qu’ils n’aient pas été immunisés par infection... Qu’on n’a pas documenté dans ~2/3 des cas !

      Avec la sous-estimation de 2/3, la virulence intrinsèque d’Omicron a été en réalité évaluée sur des cohortes considérées comme « immunologiquement naïves » car non-vaccinés, alors qu’une part significative d’entre eux avaient été immunisés par une infection non-documentée...

      L’Imperial College de Londres avait tenté de corriger ce biais dans sa 1ère évaluation de la virulence intrinsèque d’Omicron, sur des cohortes non-vaccinées, en tenant compte de la détection de seulement 1/3 des infections antérieures...

      L’ICL concluait que, comparé à Delta, BA.1 avait une virulence intrinsèque ↘️ de seulement 0 à -30% !
      C’est-à-dire, que sa virulence intrinsèque était soit identique, soit proche de celle de Delta 🤷‍♂️
      https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1474214235311853585?s=20&t=jSbjvNYudvnb948k74OJKw

      Avec cette correction (1/3 des infections réellement détectées), ils estiment que l’immunité acquise via une infection antérieure ↘️ le risque d’hospitalisation de 55 à 70% ; mais que la variation de virulence intrinsèque d’Omicron ne ↘️ ce risque que de 0 à 30% 🤷‍♂️

      Ils expliquaient déjà que la ↘️↘️ observée sur le risque clinique liée à BA.1, était très majoritairement INDÉPENDANTE de sa virulence intrinsèque, mais principalement déterminée par le statut de « réinfection », c’est-à-dire par L’IMMUNITÉ ACQUISE PRÉCÉDEMMENT !

      Ceci a même été expliqué par les épidémiologistes de l’UKHSA 🇬🇧 !!!
      Mais apparemment ça n’est pas parvenu jusqu’aux oreilles des médecins « rassuristes » qui pensent toujours que le virus est devenu intrinsèquement bénin ! 🤦‍♂️

      Vous pouvez le voir dans le thread ci-dessous, en provenance directe des équipes de l’UKHSA 🇬🇧 :
      l’écart entre les points 🟢 clair et 🟢 foncé traduit la ↘️ de virulence intrinsèque estimée = mineur par rapport à la ↘️↘️↘️ du risque clinique ! 🤷‍♂️

      #immunité_acquise

  • Rire & Chansons : La drôle de chronique de #Karine_Dubernet, je me suis convertie au Covidisme

    Notre Pfizer qui est aux cieux,
    Que tes doses soient sanctifiées,
    Que tes actionnaires prospèrent,
    Donne-nous nos trois doses de ce jour,
    Vaccine-nous comme nous vaccinons ceux qui refusent de se vacciner,
    Ne nous laisse pas entrer en réanimation,
    Mais délivre-nous du Covid,

    Au nom du pèze, du fric et du simple d’esprit,
    ARNm.

    https://www.youtube.com/watch?v=AcdADBzetUA

    Attention !
    Ne pas faire confiance à #Pfizer à cause de ses 75 condamnations et 10 193 896 333 $ d’amendes pour charlatanisme, publicité mensongère, corruption de médecins, de fonctionnaire… fait de vous un, une #complotiste.

    Pourtant, faire confiance à Pfizer c’est comme laisser monter son gosse dans la voiture d’Emile Louis, en toute connaissance de cause.

    Karine et la gestion de la crise par not président !
    « Dire que t’es capable d’emmerder des millions de Français, revient à admettre que t’es un immense trou du cul. »

    #Humour #vaccination #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #confinement #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #injustice #populisme

    • Baromètre des médias 2022 : la confiance des Français au plus bas Aude Carasco
      https://www.la-croix.com/Economie/Barometre-medias-2022-confiance-Francais-bas-2022-01-20-1201195923

      Jamais l’intérêt pour l’actualité et la confiance envers les médias n’ont été aussi faibles à la veille d’une présidentielle, relève le 35e Baromètre de confiance dans les médias Kantar-Onepoint pour « La Croix ».

      En cette année d’élection présidentielle, plus aucun média n’obtient une majorité de confiance de la part des Français. Même la radio (à 49 %) qui caracolait seule en tête depuis le lancement, en 1987, de notre Baromètre médias avec une crédibilité encore de 52 % l’an dernier.

      Moins écouté avec le développement du télétravail pendant la crise sanitaire, ce média a été bousculé cette année par la reprise en main éditoriale d’Europe 1 par l’industriel Vincent Bolloré. Or, les Français, toujours selon notre étude, jugent à 91 % « important » ou « essentiel » que les médias soient « indépendants des intérêts et des milieux économiques ». C’est même le cas des 94 % des sondés qui citent la radio comme mode principal d’information.

      En perdant 3 points de crédibilité, ce média de la mobilité et de l’intimité se retrouve au même niveau que la presse écrite (à 49 %, + 1 point). Si la confiance dans la télévision progresse elle aussi (44 %, + 2 points), celle envers Internet (24 %, – 4 points) renoue avec ses plus bas niveaux historiques.

      « On observe une convergence de la crédibilité entre les médias traditionnels, avec un écart qui se creuse avec Internet », relève Guillaume Caline, directeur enjeux publics et opinions chez Kantar Public-Onepoint. Même si les Français se sont un peu moins informés par Internet cette année (32 %, – 2 points) au profit de la télévision (48 %, + 2) et de la presse papier (6 %, + 1), « la tendance guidée par les jeunes (qui privilégient à 66 % Internet, NDLR) ne va pas s’inverser ».

      La pandémie de Covid, un sujet trop traité pour huit Français sur dix
      Cette défiance envers les quatre supports d’information ( #télévision, #radio, #presse papier, #Internet ) incite une partie de plus en plus large de la population à « mettre à distance l’actualité », souligne Guillaume Caline. En pleine campagne, seuls six Français sur dix (62 %, comme en 2018) déclarent s’intéresser « assez » ou « beaucoup » à l’actualité, moins que lors de la précédente présidentielle, où l’actualité était suivie par 64 % des sondés. Mais on n’observait pas en 2017 un tel décrochage auprès des jeunes de 18-24 ans. Ils étaient encore 63 % à porter un intérêt à l’actualité, alors qu’ils ne sont plus que 38 % (– 13 points sur un an) cinq ans plus tard.

      Cette désaffectation des plus jeunes est à rapprocher de leur perception négative du traitement médiatique de sujets qui leur sont chers. Ils sont ainsi 68 % (contre 53 % pour l’ensemble de la population) à estimer que le dérèglement climatique et ses conséquences ont été mal traités. Et seuls 20 % (contre 37 %) ont une perception satisfaisante du travail journalistique sur les violences faites aux femmes.

      Ils se rapprochent davantage de l’avis de leurs aînés pour l’appréciation d’autres sujets, comme la pandémie de Covid-19 qui a saturé l’espace médiatique pour huit Français sur dix (79 %). De même que la candidature d’Éric Zemmour à la présidentielle dont les médias ont trop parlé pour 73 % des sondés. Les plus jeunes se montrent un peu plus cléments sur le transfert de Lionel Messi au Paris Saint-Germain, trop médiatisé pour un Français sur deux (50 %) et 46 % des 18-24 ans.

      De façon plus positive, les Français jugent que les médias ont accordé « la place qu’il faut » à une majorité d’événements soumis à leur appréciation : l’entrée de Joséphine Baker au Panthéon, les élections régionales et départementales, le départ d’Angela Merkel ou encore le procès des attentats du 13 novembre 2015. Une certaine reconnaissance de l’investissement éditorial pour des sujets jugés importants.

  • Why Covid-19 will never become endemic | The Saturday Paper
    https://www.thesaturdaypaper.com.au/opinion/topic/2022/01/15/why-covid-19-will-never-become-endemic/164216520013155

    For most of the pandemic Australia has worked to contain the virus through evidence-based public health measures such as border closures, case finding, contact tracing, quarantine, social distancing, vaccines and, at times, lockdown. Sadly, the weaponisation of lockdown as a pointscoring issue and emotional trigger has led to a conflation of lockdown with all other public health measures, most of which do not impinge on freedoms. Denial is a major theme during the pandemic. Denial of airborne transmission, denial of science, denial of Omicron being serious and denial about what it really means to “live with Covid-19”.

    The denial of the airborne transmission of SARS-CoV-2 was started by experts on the World Health Organization infection control committee and allowed all countries to take the easy way out. If handwashing is all you need, onus can be shifted to “personal responsibility”; if ventilation needs to be fixed, that shifts responsibility to governments and private organisations. Australia only acknowledged airborne transmission after the Delta epidemic in mid-2021, almost a year after the WHO acknowledged it. Globally, 18 months was spent on hygiene theatre and actively discouraging mask use. As a result there is low awareness among the general public of the importance of ventilation and masks in reducing their personal risk.

    We had effective campaigns on handwashing, but no campaigns of similar effect have been used to empower people to control their own risk with simple measures such as opening a window. People living in apartments are largely unaware of the structural factors that make them high risk for transmission, or of the simple measures to reduce risk. The failure to focus on airborne transmission has hampered the ability to control the spread and has endangered health workers. Correcting it is critical to the long-term sustainability of health, business and the economy. How can restaurants recover without a safe indoor air plan that may prevent a lockdown cycle that disrupts and ruins their business?

    Denial of Omicron being serious suits an exhausted community who just wish life could go back to 2019. Omicron may be half as deadly as Delta, but Delta was twice as deadly as the 2020 virus. Importantly, the WHO assesses the risk of Omicron as high and reiterates that adequate data on severity in unvaccinated people is not yet available. Even if hospitalisation, admissions to intensive care and death rates are half that of Delta, daily case numbers are 20-30 times higher – and projected to get to 200 times higher. A tsunami of cases will result in large hospitalisation numbers. It is already overwhelming health systems, which common colds and seasonal flu don’t. Nor do they result in ambulance wait times of hours for life-threatening conditions. In addition, a tsunami of absenteeism in the workplace will worsen current shortages, supply chain disruptions and even critical infrastructure such as power. The ACTU has called for an urgent raft of measures to address the workforce crisis.

    As for denial of the risk in children, the majority of vaccine-preventable diseases that we vaccinate children against are mild in most children. Only a small percentage suffer serious complications. Polio and measles are examples where well over 90 per cent of children who become infected do not have severe complications, but in a small percentage there are serious and potentially fatal complications. SARS-CoV-2 is similar. Other than long Covid and multisystem inflammatory syndrome, we are only now learning about other longer-term complications of infection. For instance, there is more than double the risk of developing diabetes in children following Covid-19. A study from the United States showed the virus persisting in the brain, heart, lungs, kidneys and almost every other organ after the initial infection. A rare brain inflammation has been described in adults and children. Another study found a significant drop in cognitive function and IQ in survivors. The virus directly kills heart muscle. It is too early to know if Covid-19 will result in early onset dementia or heart failure in a decade’s time, but the evidence warrants a precautionary approach. We know some infections have very long-term complications – measles, for example, can cause a rare and fatal encephalitis about 10 years after the initial infection. We should do everything possible to prevent mass infection of children and adults.

    Denial of the science of epidemiology is widespread, even among “experts”. We are told repeatedly that SARS-CoV-2 will become “endemic”. But it will never be endemic because it is an epidemic disease and always will be. The key difference is spread. As an epidemic disease, SARS-CoV-2 will always find the unvaccinated, undervaccinated or people with waning immunity and spread rapidly in those groups. Typically, true epidemic infections are spread from person to person, the worst being airborne transmission, and display a waxing and waning pattern such as we have already seen with multiple waves of SARS-CoV-2. Cases rise rapidly over days or weeks, as we have seen with Alpha, Delta and Omicron. No truly endemic disease – malaria, for example – does this.

    This is the reason governments prepare for pandemics. The propensity for epidemics to grow rapidly can stress the health system in a very short time. Respiratory epidemic infections follow this pattern unless eliminated by vaccination or mitigated by non-pharmaceutical measures. Natural infection has never eliminated itself in recorded history. Not smallpox, which displayed the same pattern over thousands of years, and not measles, which is still epidemic in many countries.

    There is hope for better vaccines, schedules and spacing of doses, but we must be agile and pivot with the evidence and have an ambitious strategy. The current strategy is focused on vaccines only, with no attention on safe indoor air or other mitigating factors.
    Eradication occurs when a disease no longer exists in the world – the only example of this in humans is smallpox. Elimination is a technical term and means prevention of sustained community transmission. Countries that met WHO measles elimination criteria, including Australia, still see outbreaks of measles imported through travel, but when elimination is achieved, these do not become uncontrollable.

    Unlike for measles, however, current vaccines do not provide lasting protection. Masks and other public health measures are also needed to prevent the recurrent disruption of epidemic waves. There is hope for better vaccines, schedules and spacing of doses, but we must be agile and pivot with the evidence and have an ambitious strategy. The current strategy is focused on vaccines only, with no attention on safe indoor air or other mitigating factors. Instead, we have seen abandonment of test and trace because of failure to plan ahead for the expected explosion of cases. Testing and tracing are pillars of epidemic control, and the WHO has called on countries to strengthen both to deal with Omicron. Australia has done the opposite.

    Without adequate case finding (which relies on testing at scale) and contact tracing, we are on a runaway train coming off the rails. Testing allows us to find infected people and isolate them so they do not infect others. Now, during the Omicron wave, testing is a massive failure. Both the federal and New South Wales governments made a conscious decision to “let it rip”, but failed to plan for adequate TTIQ (test, trace, isolate, quarantine) capacity. Instead, when it was clear testing capacity was exceeded, they restricted testing to a small fraction of people. Very few people are now eligible for a polymerase chain reaction test (PCR), and rapid antigen tests (RATs) are in short supply. While it has improved the optics by hiding the true scale of cases, this has allowed unfettered transmission.

    Contact tracing is routinely used for many serious infections such as tuberculosis, meningococcal disease, measles or hepatitis A. It is conducted because close contacts are at highest risk of becoming infected next, and if they are not identified and quarantined they will go on to infect others and cause exponential epidemic growth. Contacts need to be traced within 24-48 hours to stop them infecting others. A range of digital contact-tracing methods such as apps, QR codes and tracking digital footprints through other means can be used when case numbers are high. Yet NSW has removed and flip-flopped on QR codes.

    Denial of the reality of “living with Covid-19” has seen us rush headlong into letting it rip in a largely unboosted population, with kids aged five to 11 unvaccinated, without any planning for increased testing, tracing or even procurement of promising new drugs to face the numbers that will come. The booster program has not been expedited, with on Friday less than 17 per cent of the population aged 18 and over having had a third dose, and two doses barely protective against symptomatic infection with Omicron. So Omicron has caused business and hospitality to suffer mass cancellations. Mass absenteeism has crippled supply chains, affecting food, diesel, postal services and almost every other industry. The first serious impacts will be in regional and remote Australia. We saw it in July, when vaccine supplies slated for remote towns were diverted to Sydney, leaving Wilcannia, in the far west of NSW, a sitting duck for the epidemic to come.

    Many do not understand “public health” and equate it with provision of acute health care in public hospitals or confuse it with primary care. Public health is the organised response by society to protect and promote health, and to prevent illness, injury and disability. It is a core responsibility of government.

    Public health comprises three components. The first is “health protection”, such as the banning of smoking in public places, seatbelt legislation or emergency powers that allow pandemic control measures such as lockdowns. “Health promotion” refers to the process by which people are enabled to improve or control their health, through the promotion of mask use, for instance. The third component – “disease prevention and early detection” – includes testing, surveillance, screening and prevention programs. Vaccination programs are an example of disease prevention.

    During the pandemic we have seen resources committed to surge capacity for clinical medicine, but there has been a lack of understanding of the need for public health surge capacity, including TTIQ. The price was paid in the Victorian second wave in 2020. Now, with the abandonment of contact tracing and restrictions on testing during the Omicron wave, we are seeing what happens when this capacity is ignored by government.

    Another outcome of these failures are the unscientific theories being pushed in many countries – such as the argument for “herd immunity by natural infection”, which has become a household narrative during the pandemic despite four pandemic waves providing little protection to date. The same people who peddled herd immunity by natural infection had no ambition to achieve herd immunity by vaccination. Instead they tell us “we have to live with Covid-19” and fall back on negative, defeatist messaging.

    The least ambitious goal of vaccination is to prevent us from dying, and that is the low bar set in Australia. This has reduced policy outcomes to a false binary of dead or alive. There is no concern in this for First Nations people, the disabled, people with chronic medical conditions, people in remote Australia or even children, who are being sent back to school at the peak of the pandemic while primary-schoolers are largely unvaccinated. The hundreds of aged-care outbreaks pass without comment in what essentially has become survival of the fittest and richest.

    The vaccine game is dynamic and ever-changing. Some countries have used ambitious, determined, organised strategies for vaccination and adapted quickly as the evidence has changed. We know the mRNA vaccines can greatly reduce transmission, but current vaccines were developed against the original Wuhan strain and, even after two doses, efficacy wanes. Omicron-matched boosters are in the wind, a seed of hope and a reason to be ambitious, but that will require agile vaccination policy.

    There is a massive vaccine and drug development effort, so it is almost certain we will have better vaccine options, including ones that are variant-proof. But what the past month has shown us is we cannot live with unmitigated Covid-19. Vaccinations will not be enough. We need a ventilation and vaccine-plus strategy to avoid the disruptive epidemic cycle, to protect health and the economy, and to regain a semblance of the life we all want.

    https://seenthis.net/messages/942135

    #covid-19 #contagion_respiratoire #airborne #déni (s) #dénégation #endémie #épidémie #immunité_collective #santé_publique

  • Is Omicron Reinfection Possible ? Here’s What Experts Want You to Know
    https://www.yahoo.com/lifestyle/omicron-reinfection-possible-experts-want-172900558.html

    Can you get Omicron twice?

    “Yes, you can get Omicron twice,” says Stanley Weiss, M.D., professor at the Rutgers New Jersey Medical School and the Department of Epidemiology at the Rutgers School of Public Health. He cites a recent lecture he attended from a virologist in South Africa, where Omicron first emerged, who said that doctors in the country had seen several people who had Omicron reinfections. 

    “Omicron is highly contagious and it would appear to not induce fantastic protective immunity,” Dr. Weiss says.

    (Alors c’est pas l’étude statistique la plus sérieuse du monde mais, n’est-ce pas, « on n’a pas à l’abri d’une bonne surprise ».)

  • (1) Claude-Alexandre GUSTAVE sur Twitter : "1/18 Juste un petit thread pour illustrer la petite musique qui monte ("il faut laisser Omicron diffuser dans la population, on aura l’immunité collective", « il faut vivre avec de toute façon »)..." / Twitter
    https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1481650539309920261

    Juste un petit thread pour illustrer la petite musique qui monte ("il faut laisser Omicron diffuser dans la population, on aura l’immunité collective", « il faut vivre avec de toute façon »)...

  • Alors, on te voit plus aux soirées ? Pour une santé communautaire. - Paris-luttes.info
    https://paris-luttes.info/alors-on-te-voit-plus-aux-soirees-15592

    Parce que la forme pandémie n’est pas simplement naturelle, mais fortement impactée par l’organisation sociale, je m’oppose à toute méthode qui consisterait à « laisser faire la nature », à « faire confiance à son corps » et « booster son immunité naturelle ». Pire encore, l’idée qu’« il faut bien mourir de quelque chose ». L’immunité naturelle et collective, pour autant qu’elle soit atteignable (ce qui n’est pas certain), a un coût humain. Et, ce coût humain est d’abord payé par les plus fragiles (que ce soit une fragilité naturelle ou créée par le monde dans lequel on vit), ce qui n’est rien d’autre qu’un nouvel eugénisme dégueulasse.
    Je dois t’avouer que j’ai été effaré de la porosité de nos milieux aux discours niant la dangerosité du virus et aux scientifiques "alternatifs" (pour ne pas dire escrocs). Pourtant, tu sais à quel point je suis sensible à un certain nombre d’arguments techno-critiques ou anti-industriels… Mais, dans le champ étroit du médical et de la lutte contre le virus (traitements, vaccins, moyens de prévention), qui d’autre que les experts ? Questionner ces experts, c’est par exemple les interpeller sur les mystérieux « covid longs », construire des groupes patient-e-s/médecins, plutôt que leur opposer des chiffres manipulés ou des scientifiques alternatifs (eux aussi en blouse blanche et poursuivant également un business personnel très lucratif…). Quant à nous, quelques séances d’éducation populaire sur la thématique de l’immunité nous seraient sans doute fortement bénéfiques !!

    enfin des textes comme ça bordel.

    (aaaaaah une #piqûre)

  • Pourquoi peut-on attraper le Covid plusieurs fois ? Pierre-Yves Boëlle
    https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/pourquoi-peut-on-attraper-le-covid-plusieurs-fois

    Deux ans bientôt après l’apparition des premiers cas de covid 19, on sait que les cas de réinfections sont possibles, dans quelles proportions ? Comment s’expliquent-ils ? Pourquoi les personnes vaccinées peuvent-elles aussi être infectées ?

    Pour l’anecdote, ma cousine deux fois, un ami d’enfance trois fois.

    • à l’auditeur de conclure de lui même quant au maintien des gestes barrières après infection ou vaccination. on nous joue un remake de la science désintéressée. et l’animateur, Guillaume Erner (bon toutou), de conclure par une note rassuriste.

      ni dramatisation, ni édulcoration. si nous étions « en guerre », le cahier des charges de ce genre de bobino public prévoirait d’armer les auditeurs pour en faire plus encore des « agents de santé » amateurs dans leur entourage (ce ressort est présent de manière immanente, même si il n’est pas travaillé par les institutions), avec au moins un point concret argumenté et applicable à promouvoir

      #immunité_collective (en rêve)

  • Thread très intéressant de “OSS 117 : Helsinki se révolte”. Je vous mets la partie qui m’a intéressée, concernant l’immunité de groupe :
    https://twitter.com/OSS117_Helsinki/status/1434954780443615238

    […]

    Et il faut revenir sur le sketch que l’on nous fait sur l’immunité de groupe.

    NON, LES SCIENTIFIQUES NE SE SONT PAS TROMPÉS SUR L’IMMUNITÉ DE GROUPE.

    Faut arrêter avec ça aussi.

    Déjà, l’immunité de groupe, par concept, est un taux pour lequel les non-vaccinés sont protégés par les vaccinés. Si vous êtes vaccinés, l’immunité de groupe, vous vous en moquez.

    A 100% de vaccinés, l’immunité de groupe ça n’existe pas.

    Donc les antivax qui ricanent sur l’absence d’immunité de groupe, en fait, c’est dommage pour vous car ça veut dire qu’il faudra vous faire vacciner car les vaccinés ne pourront pas compenser votre bêtise.

    Vous riez encore ?

    L’immunité de groupe était atteignable (atteinte ?) avec la souche ancestrale. Là les scientifiques ont vu juste.

    Possiblement, elle l’était aussi avec les variants SudAf, britannique et brésilien. Pas avec l’indien

    Et vous savez quoi ? Les scientifiques ne lisent pas l’avenir.

    Quand le vaccin a été fabriqué, le variant indien n’existait pas. Ce n’est pas pour rien qu’on vous dit que c’est une course contre la montre et qu’il faut se faire vacciner pour empêcher l’apparition des variants. Sinon, on aura un train de retard à chaque fois.

    On demande donc au vaccin aujourd’hui d’être efficace sur un variant pour lequel il n’a pas été positionné. C’est du repositionnement en quelque sorte 😈 (Mode troll activé).

    En attendant, les vaccins multivalents arrivent qui eux seront positionnés sur les variants. Là, il sera possible que l’on reparle à nouveau d’une immunité de groupe pour les non-vaccinés.

    Conclusion : pour l’instant, les vaccinés ne peuvent pas protèger les non-vaccinés avec un vaccin ciblant la souche ancestrale, à cause du variant delta. Les politiques de santé publique visent donc le 100% de vaccinés.

    Avec les multivalents, ces politiques pourrait être révisées

  • #Suisse : La piqûre, la carotte et le bâton

    Les Suisses ont repris le chemin des #centres_de_vaccination, craignant les nouvelles mesures. On peut ratiociner longtemps sur la #liberté_individuelle et la #responsabilité_collective, mais ce qui marche encore le mieux, c’est de toucher au confort ou au #porte-monnaie.

    L’idée est belle. Assurer la liberté de chacun quant au vaccin, en assumer collectivement les conséquences. Informer, convaincre, être transparent autant que la recherche le permette, appeler à la #raison_sanitaire comme à la #solidarité, et laisser le #libre_arbitre. Le #pari est aussi beau que la société mûre, pensait-on.

    Et pourtant. Cet été, les Suisses ont préféré le soleil des vacances aux ombres du #covid, désertant les centres de vaccination. Et la méchante courbe est repartie à la hausse, menaçant une nouvelle fois les hôpitaux.

    Soudain, voici les belles théories à l’épreuve du feu. Sans qu’il fût nécessaire à Alain Berset de faire œuvre d’#autoritarisme sur le modèle #Macron – une impossibilité, de toute manière, vu le système politique suisse –, il aura suffi de rendre les #tests_payants et d’envisager l’#obligation du sésame sanitaire dans les restaurants ou les salles de sport pour que la vaccination redémarre. D’où il faut tirer cet enseignement : on peut ratiociner longtemps sur la liberté individuelle et la responsabilité collective, mais ce qui marche encore le mieux, c’est de toucher au confort ou au porte-monnaie.

    La liberté des uns vaudra plus que celle des autres

    D’un côté, ce constat est désolant. Car le langage de la carotte et du bâton est évidemment moins glorieux que celui de la responsabilité et du #pragmatisme devant une #pandémie qui joue les prolongations. Mais il a l’avantage de porter, contrairement à la belle idée de liberté. Pourtant, attardons-nous sur ce concept : les réticents au vaccin – nous ne parlons pas ici des #antivax purs et durs envers qui aucun argument d’ordre rationnel ne portera jamais – font valoir que les mesures contrarient leur liberté. C’est exact. Mais si rien n’est entrepris pour que l’#immunité_collective arrive avant la saint-glinglin, la société tout entière va souffrir : les corps et les âmes seront touchés, les liens sociaux de nouveau mis à mal, des secteurs entiers de l’économie refermés. Et la facture sera payée par tous. Les vaccinés assumeront donc les coûts pour une minorité dont la liberté, soudain, vaudra plus que la leur.

    Ce conflit n’est pas près de se résoudre. Il faut donc faire le deuil d’une issue qui satisfasse tout le monde. Les #vaccino-sceptiques ont beau jeu de prétendre qu’ils ne sont en rien les artisans d’un genre de guerre froide menaçant la #cohésion_sociale. Car les vaccinés rétorquent que c’est à eux d’assumer le poids de leur refus, et non à la collectivité. Si, dans ce débat impossible, la pression du politique pouvait servir à convaincre un nombre suffisant pour éviter la crise sanitaire, ce serait un moindre mal. Qui veut encore souffrir de restrictions et de confinement ? Ce n’est pas exactement l’idée qu’on se fait de la liberté.

    https://www.letemps.ch/suisse/piqure-carotte-baton

    #vaccin #vaccination #coronavirus

  • #PassSanitaire [Pass sanitaire] prenez quelques minute pour écouter les arguments de ce manifestant
    https://www.youtube.com/watch?v=5dwCaAUwNPk

    #PassSanitaire [Pass sanitaire] prenez quelques minute pour écouter les arguments de ce manifestant Pendant le cinquième week-end de manifestation, nous avons rencontré un manifestant à Blois dont les arguments méritent une attention Un reportage de Mariam Makeda Traoré Suivez nous sur : Site Web : www.rpmedias.com Page Facebook : https://www.facebook.com/rpmedias Twitter : https://twitter.com/RPMEDIAS?s=09 Instagram : https://www.instagram.com/rpmedias/?hl=fr

    #Pass_sanitaire #Coronavirus

    • Fox news effect : Mississippi officials warn against using ivermectin for COVID-19 amid spike in poisonings
      https://thehill.com/homenews/state-watch/568834-mississippi-officials-warn-against-using-ivermectin-for-covid-amid-s

      Mississippi health officials are warning residents against using ivermectin, a horse dewormer medication, to treat COVID-19 infections at home amid a spike in poisoning calls to the Mississippi Poison Control Center.

      The Mississippi Department of Health sent a letter out to to the MS Health Alert Network on Friday warning health professionals of the spike in poisonings from individuals digesting ivermectin.

      “At least 70% of the recent calls have been related to ingestion of livestock or animal formulations of ivermectin purchased at livestock supply centers,” the letter stated.

      Only one person was told to seek further help due to the amount of the ivermectin ingested and 85 percent of callers had mild symptoms.

      Some of the symptoms individuals can experience are rash, nausea, vomiting, abdominal pain, neurologic disorders, and sometimes severe hepatitis.

      There have been no hospitalizations reported to the department yet from someone ingesting ivermectin to cure the coronavirus.

      “Animal drugs are highly concentrated for large animals and can be highly toxic in humans,” the letter signed by state epidemiologist Paul Byers stated. “Patients should be advised to not take any medications intended to treat animals and should be instructed to only take ivermectin as prescribed by their physician.”

      The increase in ivermectin use comes as Mississippi is struggling to deal with an increase in coronavirus cases as the state has the second-lowest vaccination rate in the U.S.

      “traitement” promu par #fox_news

  • L’#Islande enregistre un nombre important de nouveaux cas de Covid-19
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-islande-enregistre-un-nombre-important-de-nouveaux-cas-de-covid-19?id=

    Malgré plus de 70% d’habitants vaccinés (#vaccination complète)
    https://www.ledauphine.com/sante/2021/08/04/quels-sont-les-pays-les-plus-vaccines-de-l-ue-et-ceux-en-retard

    Pas d’#immunité_collective mais peu de formes graves : ce que dit la nouvelle vague de contaminations en Islande | Monde | 7sur7.be
    https://www.7sur7.be/monde/pas-d-immunite-collective-mais-peu-de-formes-graves-ce-que-dit-la-nouvelle-vag

    Selon Þórólfur Guðnason, le #variant #Delta est devenu dominant en Islande et il est devenu évident que les personnes vaccinées peuvent contracter et transmettre le #Covid-19. Le nombre total de cas actifs sur l’île atteint le chiffre record de 1.304.

    “Le séquençage nous a montré que la plupart des infections peuvent être attribuées à des événements de groupe tels que des sorties en boîte de nuit dans le centre-ville de Reykjavík ou des voyages de groupe à l’étranger. Nous devrons attendre et voir si les restrictions actuelles suffiront à endiguer la vague actuelle”, a estimé l’épidémiologiste. Un rapport a été envoyé au gouvernement par les spécialistes pour faire part de leurs inquiétudes concernant la pression exercée sur le système de santé.

    Nouvelles restrictions
    Les autorités ont décidé d’offrir à ceux qui ont reçu le vaccin Janssen, principalement les jeunes, une injection de rappel de Pfizer. Selon Guðnason, le vaccin prévient cependant bien des formes graves. Environ 24 personnes ont dû être hospitalisées au cours de cette vague, soit un peu plus de 1 % des contaminés. Lors des vagues précédentes, ce chiffre était de 4 à 5 %. Environ la moitié des personnes hospitalisées ont été vaccinées. Les deux personnes qui ont été placées en soins intensifs ne sont pas vaccinées.

    L’Islande avait levé toutes ses restrictions à la fin du mois de juin après 15 mois de distance sociale, de port du masque et d’autres mesures sanitaires. Mais de nouvelles restrictions ont été à nouveau décrétées il y a quelques jours. Les bars et les clubs doivent fermer à minuit et les événements sont limités à 200 participants. En outre, le port du masque à l’intérieur est obligatoire, de même qu’une distance d’au moins un mètre.

  • à propos de « l’immunité collective », le Pr. Fischer récidive, C_A_Gustave – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1422176525894524929.html

    1/23
    Après ses 1ères déclarations du mois de juin à propos de « l’immunité collective », le Pr. Fischer récidive ce matin en évoquant l’atteinte d’immunité collective à l’automne, quand 90% de la pop aura été immunisée, par vaccination ou par infection...
    2/23
    Décidemment, nos autorités sanitaires n’en finiront pas de malmener l’immunologie et la notion « d’immunité collective » !

    Commençons par un rappel sur ce qu’est l’immunité grégaire (oui, c’est le terme exact puisque c’est une notion issue de la médecine vétérinaire)...
    3/23
    L’immunité grégaire est un concept permettant de calculer le % de bêtes à immuniser au sein d’un troupeau afin de protéger l’ensemble du cheptel.
    Ce concept dépend directement du R-eff et vise à le rendre <1 pour empêcher la circulation virale dans le troupeau...
    4/23
    Quand le % critique d’immunité grégaire est attient dans un troupeau, une bête ne peut plus transmettre le virus à >1 autre bête.
    Autrement dit, l’épidémie s’éteint spontanément.
    Mais cela nécessite des conditions qui ne peuvent pas être réunies pour la COVID...
    5/23
    Tout d’abord, l’immunité acquise doit être « stérilisante » = un immunisé ne doit plus être ni contaminé, ni contaminant.
    Ainsi, dans un modèle épidémiologique, chaque immunisé est exclu de la population exposée/susceptible au virus...
    6/23
    Pour SARS-CoV-2, cette 1ère condition n’est pas obtenue, ni par l’immunité naturelle (post-infection), ni par l’immunité vaccinale.
    Les réinfections restent possibles.
    La transmission reste possible.

    7/23
    Deuxièmement, le virus ciblé ne doit pas être capable d’échapper à l’immunité acquise.
    Cela implique 2 conditions :
    A] l’immunité doit être pérenne et ne pas s’atténuer avec le temps
    B] le virus ne doit pas subir de dérive antigénique (échappement immunitaire)...
    8/23
    La condition A est déjà caduque vis-à-vis de SARS-CoV-2, pour lequel on note déjà une ↘ de la réponse immunitaire à distance de l’immunisation, mais aussi une ↘ de la protection clinique :

    9/23
    La condition B est également caduque puisque de nouveaux variants émergent continuellement et se caractérisent notamment par une résistance partielle et ↗ à la neutralisation par nos anticorps, voire par un échappement à la reconnaissance par nos lymphocytes T...

    #covid-19 #immunité_de_troupeau #immunité #immunité_collective #Grande-Bretagne

  • Impact of #SARS-CoV-2 variants on the total CD4+ and CD8+ T cell reactivity in infected or vaccinated individuals: Cell Reports Medicine
    https://www.cell.com/cell-reports-medicine/abstract/S2666-3791(21)00204-4

    #VARIANTS #COVID-19 : Nos #lymphocytes_T sont nos meilleurs alliés | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/variants-covid-19-nos-lymphocytes-t-sont-nos-meilleurs-allies

    En pratique, si le virus submerge les anticorps, les cellules T peuvent probablement encore arrêter la variante et prévenir une forme sévère de la maladie.

    #immunité_cellulaire #immunité

  • Structure-guided T cell vaccine design for #SARS-CoV-2 variants and sarbecoviruses
    https://www.cell.com/cell/pdf/S0092-8674(21)00797-2.pdf?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fr

    #COVID-19 : Le #vaccin qui parie sur les #lymphocytes_T | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-le-vaccin-qui-parie-sur-les-lymphocytes-t

    311 épitopes du #SRAS-CoV-2 sont identifiés comme susceptibles d’être à la fois contraints par la mutation et reconnus par les cellules T CD8+.
     
    « On peut comparer la structure d’un virus à la conception d’une maison. La stabilité d’une maison dépend de quelques éléments vitaux, comme les fondations et des poutres, qui soutiennent le reste de la maison. En termes biologiques, ces poutres de support seraient contraintes par mutation c’est-à-dire que tout changement important de taille ou de forme mettrait en danger l’intégrité structurelle de la maison et pourrait facilement conduire à son effondrement. Des mutations dans ces épitopes sont donc peu probables car elles compromettraient la capacité du virus à survivre".

    53 épitopes sont finalement sélectionnés car présents en plus grande quantité, chacun représentant une cible en puissance pour un vaccin largement protecteur.
     
    Des réponses des cellules T à ces épitopes en cas d’infection par les différents variants : les chercheurs confirment en effet, sur un échantillon de patients préalablement infectés par les différents variants que la moitié présentent des réponses des lymphocytes T à des épitopes hautement interconnectés parmi les épitopes identifiés. Cela confirme que ces épitopes identifiés sont bien capables d’induire une réaction immunitaire, ce qui en fait des candidats prometteurs pour une utilisation dans de futurs vaccins.
     
    La preuve avec les différents variants : l’équipe a obtenu des séquences des variantes préoccupantes B.1.1.7 Alpha, B.1.351 Beta, P1 Gamma et B.1.617.2 Delta SARS-CoV-2 en circulation et comparé ces séquences avec celles de la souche originale de SRAS-CoV-2. De toutes les mutations identifiées chez ces variants, seules 3 s’avèrent affecter des épitopes identifiés comme cibles possibles.
     
    Si les vaccins actuels offrent une forte protection contre le COVID-19, concluent les chercheurs dans leur communiqué, « il n’est pas clair que ces vaccins pourront fournir une protection aussi forte contre les variantes préoccupantes. Développer un vaccin qui appelle des réponses des cellules T permettrait d’assurer cette protection contre les futures variantes du SRAS-CoV-2 ».

    #variants #immunité_cellulaire

  • New Evidence Suggests #COVID-19 Vaccines Remain Effective Against #Variants
    https://www.npr.org/sections/health-shots/2021/06/09/1004738276/new-evidence-suggests-covid-19-vaccines-remain-effective-against-variants

    “What we showed is that the neutralizing antibodies are reduced about fivefold to the B.1.351 variant,” says Dan Barouch, director of the Center for Virology and Vaccine Research at Beth Israel Deaconess Medical Center in Boston. Under the new nomenclature proposed by the World Health Organization, B.1.351 is now called Beta. It first appeared in South Africa.

    “That’s very similar to what other investigators have shown with other vaccines,” he says. “But what we also showed is that there’s many other types of immune responses other than neutralizing antibodies, including binding antibodies, FC functional antibodies and T-cell responses.”

    And it’s that last immune response, the T-cell response, that Barouch says is critically important. Because T cells, particularly CD8 T cells, play a crucial role in preventing illness.

    […]

    “Those are the killer T cells,” Barouch says. “Those are the types of T cells that can basically seek out and destroy cells that are infected and help clear infection directly.”

    They don’t prevent infection; they help keep an infection from spreading.

    “The T-cell responses actually are not reduced — at all — to the variants,” Barouch says. It’s not just the Beta variant, but also the Alpha and Gamma variants.

    That may help explain why the Johnson & Johnson vaccine prevented serious disease when tested in volunteers South Africa, where worrisome variants are circulating.

    “The data is very solid,” says Alessandro Sette, an immunologist at the La Jolla Institute for Immunology. “Dan Barouch’s data really show very nicely that there is no appreciable decrease in [CD8 T-cell] reactivity.”

    Sette’s lab has had similar results with the Pfizer-BioNTech and Moderna COVID-19 vaccines. So has Marcela Maus at Massachusetts General Hospital. Although it will take studies in people to be certain the vaccines will work against variants, “Anything that generates a T-cell immune response to the #SARS-CoV-2, I would say has promise as being potentially protective,” Maus says.

    What’s not clear yet is how long the T-cell response will last, but several labs are working to answer that question.

    #immunité_cellulaire #vaccins

  • We Need To Get Real About How the Pandemic Will End - Insight
    https://www.theinsight.org/p/we-need-to-get-real-about-how-the

    If you look at a chart of deaths from AIDS, one of the greatest moral stains from our history jumps out. More people died of AIDS after we got the triple combination drug in 1995 that turned #HIV into a chronic condition for those who had access to it—but almost all the deaths happened outside the few wealthy countries that could afford it. Not until the mid-2000s, following much loss and activism, campaigns and pressure, did things finally change and drug access expand.

    The latest news from the United Kingdom, which has better genomic surveillance than almost any other country and thus can allow us to disentangle causes of outbreaks better, is not good. The B.1.617.2 variant, first identified in India, looks to be substantially more transmissible compared with even B.1.1.7, which was bad enough. The data is preliminary, and I really hope that the final estimate ends up as low as possible. But coupled with what we are observing in India and in Nepal, where it is rampant, I fear that the #variant is a genuine threat.

    In practical terms, to put it bluntly, it means that the odds that the pandemic will end because enough people have immunity via getting infected rather than being vaccinated just went way up. 

    We seem to be holding onto the comforting fiction that we will eventually get around to vaccinating people in countries that have so far either had success keeping out the pandemic completely, or have had small outbreaks before, while they just keep up mitigating a little longer. I do not believe that the story we tell ourselves is realistic.

    First, these countries can only hold the virus at bay for so long. Even quarantining all people arriving, and greatly limiting who comes in can only work for so long. See what’s happening in Taiwan: it takes only one slip-up plus a few amplifying events for a country to see its case load quickly rise. 

    Second, if a variant is more transmissible, all our “non-pharmaceutical” interventions will be much less able to hold them at the same level. Something even more transmissible than B.1.1.7 may be very, very hard to stop outside of vaccination (or, yes, immunity through mass infection).

    Three, some places have already been keeping out the virus for more than a year—that success can’t last forever.

    Four, those countries which lack both widespread prior immunity from previous outbreaks (like us!) and widespread vaccination (also like us!) are sitting ducks. Something like this variant can burn through such populations like a firestorm.

    #covid-19 #immunité #immunité_de_groupe #variants #transmission #vaccination #mortalité

  • Un ancien conseiller révèle que le plan d’immunité collective du gouvernement Johnson prévoyait 800.000 décès au Royaume-Uni - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/fr/articles/2021/05/26/rucv-m26.html

    Des décès à plus grande échelle encore étaient activement envisagés à Downing Street. Dans le tweet 31, Cummings révèle : « Il y a eu un exercice PHE appelé Exercice NIMBUS dans un futur hypothétique le 14/4/20 avec des diapositives COBR simulées ».

    Le tweet indique qu’il y aurait une semaine supposée de pic le 13 mai 2020 et 33 millions de cas de Covid-19 dans la population sur une « vague de 16 semaines ». Il déclare à propos de ce scénario que les hôpitaux seraient pleins dès le 14 avril 2020 et qu’il y aurait plus de « 800K morts » et « les écoles devaient rester ouvertes (!!) » L’exercice s’est déroulé en mars 2020, dit-il, c’est-à-dire avant ou autour du moment où le gouvernement a été contraint d’imposer un confinement.

    Cummings cherche sans doute à prendre ses distances avec une politique d’immunité collective meurtrière dans laquelle il est impliqué et affirme maintenant que pratiquement aucun décès n’aurait eu lieu en Grande-Bretagne avec des « personnes compétentes aux commandes ». Le Sunday Times avait rapporté en mars 2020 que quelques semaines avant, fin février, Cummings avait exposé la stratégie du gouvernement lors d’une réunion privée. Un observateur a décrit la politique comme suit : « immunité collective, protéger l’économie et si cela veut dire la mort de quelques retraités, tant pis ».

  • Reaching ‘Herd Immunity’ Is Unlikely in the U.S., Experts Now Believe - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2021/05/03/health/covid-herd-immunity-vaccine.html

    Unnerving scenarios remain on the path to this long-term vision.

    Over time, if not enough people are protected, highly contagious #variants may develop that can break through vaccine protection, land people in the hospital and put them at risk of death.

    “That’s the nightmare scenario,” said Jeffrey Shaman, an epidemiologist at Columbia University.

    How frequent and how severe those breakthrough infections are have the potential to determine whether the United States can keep hospitalizations and deaths low or if the country will find itself in a “mad scramble” every couple of years, he said.

    #immunité #sars-cov2 #covid-19 #immunité_collective

  • Time-dependent heterogeneity leads to transient suppression of the COVID-19 epidemic, not herd immunity | PNAS
    https://www.pnas.org/content/118/17/e2015972118

    #COVID-19 : Pourquoi l’#immunité naturelle collective est un #leurre | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-pourquoi-limmunite-naturelle-collective-est-un-leurre

    Alexei Tkachenko rappelle que « nous n’avons pas tous la même susceptibilité à l’infection en raison de facteurs tels que l’âge, les problèmes de santé préexistants (comorbidités) et la génétique. De la même manière, nous n’avons pas le même niveau d’activité sociale. Nous différons dans notre nombre de contacts et dans la fréquence de nos interactions, y compris au cours des différentes saisons. Cette hétérogénéité biologique et sociale de la population affaiblit le seuil d’immunité collective ».

    – Ainsi, si les modèles épidémiologiques basés sur des populations homogènes (ou peu de variation biologique et sociale entre les individus), prédisent une valeur élevée pour le seuil d’immunité collective -soit par ex. si le nombre de reproduction R0=3, 67% de la population doivent être infectés ou vaccinés pour atteindre l’immunité collective ;

    – chez une population hétérogène et à hétérogénéité notamment sociale constante dans le temps le seuil d’immunité collective tombe à environ 42% ;

    – chez une population hétérogène et à hétérogénéité notamment sociale variable dans le temps, la prise en compte des variations de l’activité sociale au fil du temps aboutit à un seuil d’immunité collective encore plus faible soit ~ 22%- ce qui apporte une fausse impression que l’épidémie est terminée alors qu’en réalité seule une immunité collective transitoire a été trouvée.

    [...]

    De profondes implications pour les #politiques_publiques : ainsi, les mesures de distanciation, de confinement ou d’isolement, dont notamment le port du masque et l’interdiction des grands rassemblements, devraient être maintenues jusqu’à atteindre un véritable seuil d’#immunité_collective grâce à la #vaccination.

    #immunité_de_groupe

  • Les vaccins protègent aussi ceux qui ne les reçoivent pas Nathan Jeffay - 5 avril 2021 - Time of israel
    https://fr.timesofisrael.com/les-vaccins-protegent-aussi-ceux-qui-ne-les-recoivent-pas-etude-en

    Comme les médecins l’espéraient, les injections aident non seulement les personnes vaccinées, mais fournissent aussi une "protection croisée" au reste de la population.

    Les espoirs d’obtenir une immunité collective contre la COVID-19 ont reçu un coup de pouce majeur lundi, après qu’une nouvelle étude israélienne a montré que les personnes vaccinées protégeaient aussi ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas se faire vacciner.

    L’étude, qui n’a pas encore été examinée par des pairs, a révélé que l’effet est si frappant, qu’avec chaque augmentation de 20 points des taux de vaccination des adultes dans une population donnée, le risque que les enfants y reçoivent un résultat de test positif est diminué de moitié.


    Des personnels médicaux et des malades, portant des masques, brandissent des drapeaux israéliens alors que les forces aériennes font une démonstration de vol acrobatique au dessus de l’hôpital Hillel Yaffe à Hadera, dans le nord d’Israël, le 29 avril 2020. (Crédit ;Ariel Schalit/AP)

    Les taux d’infection en Israël ont considérablement baissé ces dernières semaines. Cela n’est pas surprenant, car il a été abondamment démontré qu’une personne qui prend le vaccin Pfizer-BioNTech, administré à ce jour à plus de la moitié de la population israélienne, est très peu susceptible de tomber malade de la COVID-19.

    Mais la recherche est limitée lorsqu’il s’agit de savoir si les vaccins réduisent le risque de transmission du virus.

    Les scientifiques ont remarqué le fait que les personnes qui ont attrapé la COVID-19 après une seule injection ont une charge virale plus faible et semblent donc moins susceptibles de transmettre le virus. Mais il n’est pas encore tout à fait clair comment ce fait se traduit dans la vie réelle : les personnes non vaccinées sont-elles réellement plus à l’abri du virus lorsque leur entourage est vacciné ?

    Il s’agit d’une question importante étant donné le fait que si des vaccins sont en passe d’être approuvés prochainement pour les enfants âgés de 12 ans et plus, les moins de 12 ans ne seront pas vaccinés dans un futur proche, et environ un million d’Israéliens adultes n’ont pas été vaccinés. Le personnel des organisations médicales ne pense convaincre qu’environ la moitié d’entre eux.

    La nouvelle recherche répond par un « oui » retentissant à la question de savoir si les personnes vaccinées protègent leur entourage. Elle a examiné les données médicales provenant d’enfants – qui ne peuvent pas encore recevoir de vaccins – dans quelque 223 communautés israéliennes et a constaté que, plus la vaccination est répandue parmi les adultes de l’entourage, moins les enfants sont susceptibles d’être testés positifs.

    « Ces résultats fournissent des preuves fondées sur l’observation que la vaccination protège non seulement les vaccinés individuels, mais fournit également une protection croisée aux personnes non vaccinées de la communauté », ont écrit les chercheurs de l’Institut technologique Technion-Israel et des services de santé Maccabi.

    Les enfants ont fourni l’échantillon d’étude idéal, car ils ne sont pas vaccinés – à de très rares exceptions. Mais la question clé à laquelle ils permettent de répondre concerne les adultes. Ceux qui ne sont pas vaccinés parce qu’ils refusent ou ne peuvent pas se faire vacciner pour des raisons médicales sont-ils protégés par la vaccination d’autrui ?

    Si la réponse est oui, comme le suggère la recherche, cela indique qu’en dépit de toute l’incertitude quant au pourcentage de vaccination dont une société a besoin pour obtenir l’immunité collective, Israël va fermement dans cette direction. Et d’autres populations qui vaccinent largement le seront aussi.

    La recherche, qui a été publiée en ligne, a comparé le taux de vaccination chez les adultes sur des intervalles de trois semaines, par rapport aux données de test COVID d’enfants de l’entourage 35 jours plus tard. Ils ont trouvé une corrélation claire entre l’ampleur de la vaccination des adultes et l’ampleur de la baisse de résultats positifs chez les tests des enfants.

    « Nous constatons que des taux de vaccination plus élevés sont associés à un taux d’infection plus faible plus tard chez le groupe non vacciné », ont déclaré les chercheurs, dirigés par Tal Patalon de Maccabi et le professeur Roy Kishony du Technion.

    Pendant plusieurs semaines, les médecins se sont montrés prudents lorsqu’il s’agissait de discuter d’immunité collective, en raison du peu de données soutenant l’idée que les vaccins empêchent la transmission, et du sentiment qu’Israël s’approche d’un maximum en termes de taux de vaccination, car la plupart des adultes ont reçu des vaccins mais les enfants ne le peuvent pas.

    A présent, avec la publication de cette étude et le début des préparatifs pour vacciner les enfants de 12 à 15 ans – après que Pfizer a trouvé ses vaccins très efficaces concernant ce groupe d’âge – l’immunité collective est une fois de plus fermement à l’ordre du jour.

    #covid-19 #immunité #coronavirus #sars-cov-2 #immunité_collective #vaccin #vaccination #confinement #vaccins #immunité_de_groupe #santé #pandémie #sars-cov2

  • Dans un contexte de nouvelle vague de #covid-19 aux #Etats-Unis

    Dr. Tom Frieden sur Twitter : “If we just chase the number vaccinated, we miss the point. We want maximum impact from vaccine—for fairness, to reduce deaths, to reduce cases, and to reduce risk of emergence of even more dangerous variants. 14/” /

    “100 million people in US have received 1 dose of vaccine. But about 50 million people over 50 (~37M age 50-64 and ~13M 60+) haven’t been vaccinated. Vaccinating these folks, who are disproportionately Black & Latinx, will prevent many more deaths than vaccinating young folks. 15/“

    https://twitter.com/DrTomFrieden/status/1378110381483294723

    Dr. Tom Frieden sur Twitter :
    “[...] a single well-targeted #vaccination could save 10x more lives and prevent 100x more cases than vaccinating a low-risk person in a low-risk community. This is the essential fact we must act on. Equity isn’t only good ethics. It’s essential for epidemic control. 21/” / Twitter
    https://twitter.com/DrTomFrieden/status/1378110395462860803

    #ciblage

  • Five reasons why COVID herd immunity is probably impossible
    https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

    De la difficulté à établir des modèles de prévision du fait de la variabilité des comportements humains

    The most challenging aspects of modeling #COVID-19 are the sociological components, Meyers says. “What we know about human behaviour up until now is really thrown out of the window because we are living in unprecedented times and behaving in unprecedented ways.” Meyers and others are trying to adjust their models on the fly to account for shifts in behaviours such as mask wearing and social distancing.

    Sur l’importance des mesures barrières même après #vaccination :

    To understand the additive effects of behaviour and immunity, consider that this flu season has been unusually mild. “Influenza is probably not less transmissible than COVID-19,” Scarpino says. “Almost certainly, the reason why flu did not show up this year is because we typically have about 30% of the population immune because they’ve been infected in previous years, and you get vaccination covering maybe another 30%. So you’re probably sitting at 60% or so immune.” Add mask wearing and social distancing, and “the flu just can’t make it”, Scarpino says. This back-of-the-envelope calculation shows how behaviour can change the equation, and why more people would need to be immunized to attain herd immunity as people stop practising behaviours such as social distancing.

    Changer d’espérance :

    Ending transmission of the virus is one way to return to normal. But another could be preventing severe disease and death, says Stefan Flasche, a vaccine epidemiologist at the London School of Hygiene & Tropical Medicine. Given what is known about COVID-19 so far, “reaching herd immunity through vaccines alone is going to be rather unlikely”, he says. It’s time for more realistic expectations. The vaccine is “an absolutely astonishing development”, but it’s unlikely to completely halt the spread, so we need to think of how we can live with the virus, Flasche says. This isn’t as grim as it might sound. Even without herd immunity, the ability to vaccinate vulnerable people seems to be reducing hospitalizations and deaths from COVID-19. The disease might not disappear any time soon, but its prominence is likely to wane.

    #immunité_de_groupe

    • Vaccinating quickly and thoroughly can prevent a new variant from gaining a foothold. But again, the unevenness of vaccine roll-outs creates a challenge, Ferrari says. “You’ve got a fair bit of immunity, but you still have a fair bit of disease, and you’re stuck in the middle.” Vaccines will almost inevitably create new evolutionary pressures that produce #variants, which is a good reason to build infrastructure and processes to monitor for them, he adds.