• Une exposition anti-impérialiste se prépare, L’Humanité, 6 avril 1931.
    https://www.franceculture.fr/emissions/cetait-a-la-une/une-exposition-anti-imperialiste-se-prepare-lhumanite-6-avril-1931


    « Des lettres nous arrivent de tous côtés des coloniaux, des travailleurs, des hommes de toutes races nous demandent si la parade colonialiste de Vincennes restera sans réponse. Qu’ils soient assurés que la réplique sera vigoureuse. Cette réplique, c’est le prolétariat révolutionnaire qui doit la donner, le prolétariat français en premier lieu, puisqu’il est le plus directement touché devant l’Exposition. [...] C’est aussi sur le plan international que s’élèvera la protestation prolétarienne. La classe ouvrière saura montrer aux opprimés des colonies qu’elle n’a rien de commun avec l’impérialisme, avec les colonisateurs. » Roger Gaillard, L’Humanité, 6 avril 1931.

    #colonialisme #impérialisme #racisme #exposition_coloniale

  • L’impérialisme libéral
    http://www.laviedesidees.fr/L-imperialisme-liberal.html

    La défense de la liberté autorise-t-elle l’ingérence dans les affaires d’un autre État ? Peut-elle aller jusqu’à légitimer l’intervention armée ? Le #libéralisme a beaucoup débattu de ces questions, que le livre d’A. Knüfer étudie sous une double perspective, historique et philosophique.

    Livres & études

    / libéralisme, liberté, #Etat, #ingérence

    #Livres_&_études #liberté

  • Chialons en chœur contre les vieilles statues commémoratives iniques : le MONUMENT AUX HÉROS DE LA GUERRE DES BOERS (1907), à Montréal Les 7 du Quebec - Ysengrimus - 19 Janvier 2018

    Au temps des Guerres des Boers

    On tue des gens qu’on connaît pas
    
À quoi ça sert ?

    Gilles Vigneault

    Il y a donc dans l’air du temps cette tendance à chialer en chœur contre les vieilles statues commémoratives iniques. Je suis plutôt pour et je trouve particulièrement piquant de bien mettre en relief toutes les saloperies solennelles de fierté de merde qui trainassent encore un peu partout dans notre belle culture urbaine continentale. Bon, je ne ferais pas du dégommage des vieilles statues commémorant des iniquités révolues le but central de ma vie mais, quand même, il n’est pas inutile de s’aviser du fait que les ricains n’ont en rien le monopole de la niaiserie monumentale urbaine et que, sur ce point, le Canada ne laisse pas sa place, lui non plus http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1052813/petition-manifestation-elimination-statue-john-a-macdonald .

    Le John A. Macdonald montréalais du Carré Dorchester ayant reçu ce qu’il méritait en novembre 2017, je jetterai plutôt le dévolu de mon chialage méthodique et crispé sur le MONUMENT AUX HÉROS DE LA GUERRE DES BOERS (1907) se trouvant à Montréal, lui aussi au Carré Dorchester. J’ironise partiellement ici, mais pas que. Il s’agit surtout de montrer, d’un seul mouvement, l’importance de l’autocritique ainsi que celle de l’autocritique de l’autocritique. On rappellera, pour la bonne bouche philosophique, que ce qu’on perçoit n’est pas trivialement ce qu’on perçoit mais autre chose se donnant obligatoirement à la recherche. Mon chialage ici va donc se formuler en neuf points. Tous en chœur.

    Un monument de guerre. D’abord, au sens le plus fondamental du terme, ceci est un monument faisant, au premier degré et sans distanciation, l’apologie de la guerre. Ce n’est pas un monument sur l’agriculture, les spectacles hippiques ou l’équitation mais bien sur la guerre. La guerre, ce crime putride absolu, est présentée ici comme une réalité saine, valorisée et valorisante, méritoire, exaltante, presque joviale. Le traitement est laudatif, enthousiaste, hyperbolique. Il faut aller à la guerre. C’est une chose bien, appréciable, salutaire. On comparera, pour exemple, ce zinzin proto-fleur-au-fusil de 1907, avec l’installation monumentale du Mémorial canadien de la crête de Vimy (France) qui elle, date de 1936, et a au moins la décence minimale de dénoncer ouvertement les conséquences de l’absurdité guerrière. Les pleurs de la veuve canadienne de Vimy ne peuvent aucunement, eux, être perçus comme de l’apologie belliciste.

    La Guerre des Boers fut une guerre impériale. Arrêtons nous maintenant à cette Guerre des Boers elle-même. En gros, il n’y a pas de mystère. Les colonialistes britanniques en Afrique du Sud disent aux autres colonialistes du coin : poussez-vous de là qu’on s’y mette. Il s’agissait strictement, pour eux, de prendre le contrôle des ressources naturelles, notamment minières, de ce territoire immense et riche, dans le cadre du dispositif impérial victorien qui culminait alors et commençait à se fissurer ostensiblement au zénith, comme un pétard de fête. Les priorités de ce conflit, court mais violent, furent strictement impériales. Chercher à en dégager la moindre dimension éthique ou humanitaire est un mensonge frontal. C’est du brigandage de barbouzes pur et simple. Une succession de crimes (meurtres, déplacement de populations, occupations et rapines), point.

    Les Britanniques et les Boers étaient des colonialistes. Pour en rajouter une couche flibustière bien sentie, il ne faut pas chercher les petits saints, dans ce conflit. C’était clairement la guerre de la peste contre le choléra. Les Britanniques étaient les Britanniques, on les connaît bien. Le soleil ne se couche jamais sur leur ossuaire historique. Quant aux Boers, c’étaient des agriculteurs et des propriétaires terriens de souche néerlandaise, aussi rigides et fachos que leurs ennemis. Deux puissances coloniales en venaient aux mains sur le dos des populations locales africaines qui, elles, ne pouvaient que faire soldatesque de premières lignes dans les conflits de leurs deux occupants blancs, brutaux, et coloniaux (soldatesque ou pas, en fait — on évitait souvent de mettre des flingues dans les mains des Africains. On les parquait plutôt dans des camps). Vraiment : zéro partout pour les protagonistes, qui étaient tous ouvertement des racistes assumés pillant l’Afrique.

    Le Canada était réfractaire à entrer dans cette guerre. Ce monument est situé au Carré Dorchester, à Montréal. Montréal est au Canada, je ne vous apprends pas ça. Or le Canada de Wilfrid Laurier a vécu la Guerre des Boers comme la première grande crise existentielle de son rapport à l’impérialisme britannique. La question s’est posé avec acuité, pour la toute première fois : une guerre britannique est-elle nécessairement une guerre canadienne ? Le Canada d’alors n’a pas vraiment répondu oui à cette question. Il était déchiré, divisé par ce dilemme. Le clivage n’était pas seulement, comme on l’a dit souvent, entre francophones et anglophones, il était aussi entre impérialistes (pro-britanniques) et nationalistes (canadiens). Il faut donc poser la question prosaïquement, dans les termes du temps : comme notre nation ne voulait pas vraiment de cette guerre impériale extraterritoriale, qu’est ce que ce monument qui la promeut fout chez nous ?

    Une gloriole britannique sur le territoire montréalais. Je ne vous apprend pas non plus que la population de Montréal est historiquement de souche française (conquise par les Britanniques en 1760, et ouvertement occupée depuis). Planter ce vieux monument belliqueux britannique sur le sol de Montréal est donc aussi une insulte coloniale explicite aux québécois francophones, eux-mêmes. L’arrogance coloniale ici se dédouble. Tout ce Carré Dorchester est d’ailleurs cela : un ramassis hideux de statues pompeuses faisant l’apologie de l’occupant britannique sur Montréal. Son ancien nom est Square Dominion, et ça en dit long. On transforme Montréal en apologue d’un empire qu’il a subi plus qu’autre chose. Le Front de Libération du Québec, dans les années 1960-1970, dynamitait justement des monuments de ce genre, pour spectaculairement faire sentir sa critique de l’occupant britannique, tout en réduisant la casse utile au strict minimum.

    Cruauté envers les animaux. Regardons maintenant un petit peu la statue elle-même. C’est, à sa manière, une statue équestre, indubitablement. Or, justement, on devra un jour raconter adéquatement l’histoire du cheval dans les guerres modernes. Ce fut une immense boucherie animalière innommable. Ici, l’animal est d’évidence effarouché par les explosions d’artillerie ou la mitraille de tirailleurs embusqués. Son cavalier, descendu de selle probablement à cause des anfractuosités du terrain, force la pauvre bête vers le combat. Le thème statuaire central est justement cela. L’homme volontaire menant la bête réfractaire vers sa destiné sanglante. Il n’y a évidemment, dans ce mouvement, aucune critique de ce comportement. La charge symbolique canado-britannique involontaire (traîner une rosse qui se cabre vers un combat dont elle ne veut pas), est originale et presque touchante. Mais cela ne change rien à la dimension cruelle et révoltante du premier degré figuratif de cette catastrophe d’évocation

    Implication de la paysannerie et du prolétariat dans les guerres bourgeoises. L’autre pauvre bête dans l’affaire, c’est le cavalier lui-même. Un demi-million de soldats britanniques, la majorité d’entre eux d’origine paysanne et prolétarienne, ont été massacrés dans ce conflit de deux ans et demi qui n’aligna jamais que 45,000 Boers. Le dédain bourgeois pour les travailleurs en armes, le gaspillage humain cynique avec lequel les classes dominantes de cette époque envoyaient le prolo au casse-pipe en le traitant comme une commodité dans ses affaires, annoncent déjà les deux terribles conflits mondiaux à venir. Pour la transformation de la guerre impérialiste en guerre civile, dira, quelques années plus tard, Lénine aux travailleurs russes. Cela ne se fit pas dans le conflit que ce monument commémore. Le paysan et le prolétaire y ont servi le bourgeois jusqu’au sacrifice ultime, foutaise sanglante parfaitement inutile du point de vue de la vie civique et collective.

    George William Hill (1862-1934), un sculpteur bellicolâtre. Le statuaire auteur de cette œuvre n’a fait que ça de sa carrière : de l’art belliqueux, des cénotaphes de guerre, des premiers ministres à chier, des statues de soldoques. On promeut donc ici l’art figuratif monumental le plus servile et le plus soumis à l’ordre établi imaginable. Rien de moderne là dedans, rien de séditieux, rien de vif. De l’art public apologue à gros grains et ronron, tellement insupportable qu’on ne le voit plus vraiment quand on circule dans nos villes. En toute impartialité, il faut admettre que cette statue équestre de 1907 est une des moins ratées de ce statuaire. En la regardant, avec l’attention requise, on se dit que ce sculpteur aurait pu faire quelque chose de son art. Il faudrait la descendre de ce socle arrogant, par contre, qui est une hideur intégrale.

    Lord Strathcona (1820-1914), un grand bourgeois extorqueur. Notons, en point d’orgue, que ledit socle et sa statue ne sont pas dédiés au pauvre troupier anonyme qui tient son joual par la bride sous le feu, ou à ses semblables. Que non. Eux, ils ne sont que des objets. Le monument se veut une apologie lourdingue, veule et tonitruante, de ce Lord colonial canado-écossais mort en 1914 qui, lors de la Guerre des Boers, contra ouvertement les hésitations subtiles de son pays, le Canada, par ses initiatives privées fétides de rupin bouffi. Il engagea carrément un million de dollars (de 1902 — une somme mirifique) pour financer le Lord Strathcona’s Horse (Royal Canadians), un bataillon équestre qui alla casser du Boer pour l’Empire. Ce tycoon montréalais, politicard, négociant en fourrures, financier, magnat ferroviaire, était le grand bourgeois putride intégral, façon 19ième siècle. Et ce monument-hommage existe en fait pour lui et pour lui seul. Sans plus. Alors, la barbe.

    Je crois que, par la présente, j’ai dit mes lignes de chialage fort honorablement. S’il faut se résumer, en faisant court, on dira tout simplement que cette statue équestre est une merde inique intégrale et que sa passable qualité artistique (oui, oui, elle a un assez joli mouvement et assure un traitement thématique original de son sujet, lui-même pourtant fort étroit) ne la sauvera en rien d’une pesanteur symbolique lourdement répréhensible, déplorable, bourgeoise, coloniale, meurtrière, surannée, foutue. Ce qui est dit est dit, ce qui est dénoncé est énoncé.

    Faut-il pour autant la dégommer et le relocaliser dans une cours de casse. Là, d’autre part, j’ai mes difficultés. Les dégommeurs de monuments bien pensants, les abatteurs de statues larmoyants, cherchent bien souvent à effacer leur honte. Or effacer la honte c’est aussi effacer la mémoire et ça, c’est une idée hautement suspecte, qui porte souvent de fort nuisibles conséquences intellectuelles et matérielles. Non, je la laisserais là, cette commémoration d’un autre âge, comme on fait avec des arènes romaines (où il se passait pourtant fort peu de jolies choses). Simplement je placarderais devant, sur un panneau aux couleurs vives, ce que je viens tout juste de vous dire.

    Il est parfaitement possible de se souvenir sans promouvoir. Et les crimes d’antan nous parlent autant que les bons coups. Il est très important de savoir qu’il fut un temps où on croyait à ces énormités-là et que ce type avec son joual, deux criminels de facto, involontairement engagés dans une absurdité stérile et sanglante de jadis, furent un jour des héros anonymes, admirés hypocritement, adulés abstraitement, financés par des exploiteurs, cerclés d’une claque impériale ronflante et de thuriféraires bourgeois gras durs, planqués, et totalement imbus de leur gros bon droit inique de voleurs et d’exploiteurs.

    Source : http://www.les7duquebec.com/7-au-front/chialons-en-choeur-contre-les-vieilles-statues-commemoratives-iniques-

     #monuments #mémoire #histoire #patrimoine #culture #statues #guerre-des-Boers #impérialisme #Canada #Angleterre #Montréal #Art-Urbain #conformisme #empire-britannique #guerre #histoire #lutte-des-classes #symbole

  • Tomgram: Engelhardt, Seeing Our Wars for the First Time | TomDispatch
    http://www.tomdispatch.com/post/176369/tomgram%3A_engelhardt%2C_seeing_our_wars_for_the_first_time/#more

    Mapping a World From Hell
    76 Countries Are Now Involved in Washington’s War on Terror
    By Tom Engelhardt

    He left Air Force Two behind and, unannounced, “shrouded in secrecy,” flew on an unmarked C-17 transport plane into Bagram Air Base, the largest American garrison in Afghanistan. All news of his visit was embargoed until an hour before he was to depart the country.

    More than 16 years after an American invasion “liberated” Afghanistan, he was there to offer some good news to a U.S. troop contingent once again on the rise. Before a 40-foot American flag, addressing 500 American troops, Vice President Mike Pence praised them as “the world’s greatest force for good,” boasted that American air strikes had recently been “dramatically increased,” swore that their country was “here to stay,” and insisted that “victory is closer than ever before.” As an observer noted, however, the response of his audience was “subdued.” (“Several troops stood with their arms crossed or their hands folded behind their backs and listened, but did not applaud.”)

    Think of this as but the latest episode in an upside down geopolitical fairy tale, a grim, rather than Grimm, story for our age that might begin: Once upon a time — in October 2001, to be exact — Washington launched its war on terror. There was then just one country targeted, the very one where, a little more than a decade earlier, the U.S. had ended a long proxy war against the Soviet Union during which it had financed, armed, or backed an extreme set of Islamic fundamentalist groups, including a rich young Saudi by the name of Osama bin Laden.

    By 2001, in the wake of that war, which helped send the Soviet Union down the path to implosion, Afghanistan was largely (but not completely) ruled by the Taliban. Osama bin Laden was there, too, with a relatively modest crew of cohorts. By early 2002, he had fled to Pakistan, leaving many of his companions dead and his organization, al-Qaeda, in a state of disarray. The Taliban, defeated, were pleading to be allowed to put down their arms and go back to their villages, an abortive process that Anand Gopal vividly described in his book, No Good Men Among the Living.

  • George Soros: Anti -Syria Campaign Impresario. | The Wall Will Fall
    https://thewallwillfall.org/2016/01/23/george-soros-anti-syria-campaign-impresario
    A propos de la guerre d’information

    THE BBC BAMBOOZLE

    The Madaya media circus lumbers on regardless of the multitude of proven anomalies and outright deceit of the mainstream narrative. Deaf to either public opinion or investigation, institutions like the BBC consider they are above accountability to those who pay for their existence, the British public. They consider it perfectly acceptable to release footage from Yarmouk 2014 and represent it as Madaya 2016..and when questioned, to remove the offending footage without explanation or responsibility for their obscurantism and misinformation tactics.

    Thankfully, Robert Stuart, ardent campaigner against the BBC’s long running, hostile, anti Syria propaganda offensive did raise an official complaint and demanded answers that the BBC has, for too long, been allowed to avoid answering.

    Al Mayadeen, Al Manar, Al Masirah TV channels and many others, representing the voices of the oppressed in the Middle East are being systematically excluded from Saudi funded Satellite channels and Israeli biased social media. Press TV, headquarters in Tehran, had its licence revoked by Ofcom in 2012

    RT has come under relentless attack by the BBC since the “Kremlin launched its international media operation”. The BBC lexicon never fails to maintain and celebrate the “cold war” terminology or to keep fear of the Russian “indoctrination” stewing in peoples minds.

    “But it [RT] is also coming under increased scrutiny over its lack of editorial balance and accusations that it is deliberately using disinformation to counter and divide the West.” ~ Russia’s Global Media Operation Under the Spotlight

    This astounding display of projectionism can only be matched by the Zionist ability to turn their own crimes against Humanity into a neatly packaged accusation that those they are oppressing, the Palestinians, on whose broken bones Israel has built its settlements, are the guilty and that Israel is exempt from judgement for its crimes which are committed in “self defence”.

    Is the BBC embellishing the truth in “self-defence” or is it being creative with the truth in defence of our Government’s appalling neo-colonialist foreign policy which is ensuring the fomenting of sectarian divide in the Middle East to facilitate desired “regime change” in Syria & the wholesale slaughter of civilians in Yemen, obliterated by made-in-UK missiles and weapons of mass destruction.

    These are just two examples of the BBC collusion in global de-stabilization and reduction of sovereign nations to perpetual conflict or “failed state” status, ripe for economic and pseudo “humanitarian” NGO complex, stealth invasion and occupation and of course the bolstering of the Military Industrial Complex profitability index.

    WILL THE BBC BE SOROS-IZED

    #Syrie #guerre #propagande #impérialisme #nouveau_médias #Royaume_Uni #BBC #Russie

  • SYRIA : Avaaz, Purpose & the Art of Selling Hate for Empire | Wrong Kind of Green
    http://www.wrongkindofgreen.org/2014/09/17/syria-avaaz-purpose-the-art-of-selling-hate-for-empire
    Le système des organisations de propagande tournant autour de la guerre en Syris

    Sep 17, 2014 350.org / 1Sky, Amnesty International, Antarctica, Avaaz, Earth Day Network, Examples of Legitimate Organizations, Human Rights Watch, Imperialist Wars/Occupations, Non-Profit Industrial Complex, Occupy Wall Street, Pacifism as Pathology, Purpose, TckTcktck Partner: Meet ’The Corporate Leaders Group on Climate Change’, The International Campaign to Destabilize Syria, Uncategorized, Whiteness & Aversive Racism, World Vision

    #Syrie #guerre #propagande #impérialisme #nouveau_médias

  • Mobilisation pour Jérusalem - Rassemblement
    https://grenoble.indymedia.org/2017-12-13-Mobilisation-pour-Jerusalem,45453

    Mobilisation pour Jérusalem Donald Trump a reconnu mercredi 6 décembre Jérusalem comme la capitale d’Israël et a annoncé le prochain transfert de son ambassade dans cette ville. Cette décision viole délibérément le droit international et les résolutions de l’ONU et expose toujours plus la population palestinienne à l’arbitraire de l’armée israélienne d’occupation. L’Association France Palestine Solidarité et le Collectif isérois pour la Palestine appellent à un rassemblement samedi 16 décembre à 15 heures (...)

    #Agenda

    / #Infos_locales, Impérialismes / Solidarités internationales

    #Impérialismes_/_Solidarités_internationales

  • The NIC Global Trends Main Report
    https://www.dni.gov/index.php/global-trends/letter-nic-chairman
    Là c’est gratuit, la traduction allemande vient de sortir pour ca. € 25,00

    This version, the sixth in the series, is titled, “Global Trends: The Paradox of Progress,” and we are proud of it. It may look like a report, but it is really an invitation, an invitation to discuss, debate and inquire further about how the future could unfold. Certainly, we do not pretend to have the definitive “answer.”

    Long-term thinking is critical to framing strategy. The Global Trends series pushes us to reexamine key assumptions, expectations, and uncertainties about the future. In a very messy and interconnected world, a longer perspective requires us to ask hard questions about which issues and choices will be most consequential in the decades ahead–even if they don’t necessarily generate the biggest headlines. A longer view also is essential because issues like terrorism, cyberattacks, biotechnology, and climate change invoke high stakes and will require sustained collaboration to address.

    Peering into the future can be scary and surely is humbling. Events unfold in complex ways for which our brains are not naturally wired. Economic, political, social, technological, and cultural forces collide in dizzying ways, so we can be led to confuse recent, dramatic events with the more important ones. It is tempting, and usually fair, to assume people act “rationally,” but leaders, groups, mobs, and masses can behave very differently—and unexpectedly—under similar circumstances. For instance, we had known for decades how brittle most regimes in the Middle East were, yet some erupted in the Arab Spring in 2011 and others did not. Experience teaches us how much history unfolds through cycles and shifts, and still human nature commonly expects tomorrow to be pretty much like today—which is usually the safest bet on the future until it is not. I always remind myself that between Mr. Reagan’s “evil empire” speech and the demise of that empire, the Soviet Union, was only a scant decade, a relatively short time even in a human life.

    Grasping the future is also complicated by the assumptions we carry around in our heads, often without quite knowing we do. I have been struck recently by the “prosperity presumption” that runs deep in most Americans but is often hardly recognized. We assume that with prosperity come all good things—people are happier, more democratic and less likely to go to war with one another. Yet, then we confront a group like ISIL, which shares none of the presumption.

    Given these challenges to thinking about the future, we have engaged broadly and tried to stick to analytic basics rather than seizing any particular worldview. Two years ago, we started with exercises identifying key assumptions and uncertainties—the list of assumptions underlying US foreign policy was stunningly long, many of them half-buried. We conducted research and consulted with numerous experts in and outside the US Government to identify and test trends. We tested early themes and arguments on a blog. We visited more than 35 countries and one territory, soliciting ideas and feedback from over 2,500 people around the world from all walks of life. We developed multiple scenarios to imagine how key uncertainties might result in alternative futures. The NIC then compiled and refined the various streams into what you see here.

    This edition of Global Trends revolves around a core argument about how the changing nature of power is increasing stress both within countries and between countries, and bearing on vexing transnational issues. The main section lays out the key trends, explores their implications, and offers up three scenarios to help readers imagine how different choices and developments could play out in very different ways over the next several decades. Two annexes lay out more detail. The first lays out five-year forecasts for each region of the world. The second provides more context on the key global trends in train.

    The fact that the National Intelligence Council regularly publishes an unclassified assessment of the world surprises some people, but our intent is to encourage open and informed discussions about future risks and opportunities. Moreover, Global Trends is unclassified because those screens of secrets that dominate our daily work are not of much help in peering out beyond a year or two. What is a help is reaching out not just to experts and government officials but also to students, women’s groups, entrepreneurs, transparency advocates, and beyond.

    Many minds and hands made this project happen. The heavy lifting was done by the NIC’s Strategic Futures Group, directed by Dr. Suzanne Fry, with her very talented team: Rich Engel, Phyllis Berry, Heather Brown, Kenneth Dyer, Daniel Flynn, Geanetta Ford, Steven Grube, Terrence Markin, Nicholas Muto, Robert Odell, Rod Schoonover, Thomas Stork, and dozens of Deputy National Intelligence Officers. We recognize as well the thoughtful, careful review by NIC editors, as well as CIA’s extremely talented graphic and web designers and production team.

    Global Trends represents how the NIC is thinking about the future. It does not represent the official, coordinated view of the US Intelligence Community nor US policy. Longtime readers will note that this edition does not reference a year in the title (the previous edition was Global Trends 2030) because we think doing so conveys a false precision. For us, looking over the “long term” spans the next several decades, but we also have made room in this edition to explore the next five years to be more relevant in timeline for a new US administration.

    #USA #politique #impérialisme #CIA #NSA #stratégie

  • Dur de lutter dans un monde où sévissent crapules et lâches
    https://grenoble.indymedia.org/2017-11-23-dur-de-lutter-dans-un-monde-ou

    Coucou, Hier soir, mercredi 22 novembre 2017, vers 18h. Deux braséros géants derrière le portail. Une masse de salariés dans la cour de GE, avenue Léon Blum, Grenoble. Général Electric, site de nouveau bloqué depuis trois journées, soit depuis lundi 20 novembre 4-5h du matin. bloqué car 345 des 700 salariés vont perdre leur emploi. 345, à savoir tous les ouvriers restant du site (soit 40 ouvriers), tous les EDTA (employés, dessinateurs, techniciens, administratifs) et comme ça ne sufffisait pas pour (...)

    #Articles

    / #Infos_locales, Travail / Précariat, Ville / Environnement, Impérialismes / Solidarités internationales, Révoltes / Luttes (...)

    #Travail_/_Précariat #Ville_/_Environnement #Impérialismes_/_Solidarités_internationales #Révoltes_/_Luttes_sociales

  • North Korea: The U.S. Imperialist Order Reasserted in Asia — Class Struggle 94 (The Spark, USA)
    https://the-spark.net/csart943.html

    The escalation in the war of words between U.S. president Donald Trump and North Korean leader, Kim Jong-un, has already produced many hysterical headlines about the threat of a nuclear war – and, even, of a new world war. And indeed, this is precisely what would appear to be the implication of Trump’s reactions to North Korea’s ostentatious missile launches and nuclear experiments, if his reactions were to be taken at face value – for instance, his promise to respond “with fire and fury like the world has never seen.” Especially so, as all rich countries’ governments have been unreservedly lining up behind Trump’s condemnations, including those which expressed some timid reservations about his bellicose threats.

    But then, what seems to be a rather insane contest between the two leaders to raise the stakes with each other is one thing – but real world politics is quite another. So, while American U.N. ambassador Nikki Haley was dutifully upholding Trump’s line by accusing North Korea of “begging for war” and stating that “the time for talking is over,” Trump’s secretary of state, Rex Tillerson, was declaring to the media that the U.S. administration was in direct contact with North Korea through multiple channels. And although Tillerson’s statement was immediately disowned by Trump, tweeting that he was “wasting his time trying to negotiate with Little Rocket Man” and asking him to “save your energy, Rex, we’ll do what has to be done,” Tillerson’s admission was probably a more accurate reflection of what is really happening behind the scenes.

    Indeed, whatever their rhetoric, neither Trump nor, of course, Kim Jong-un has any interest in triggering a war, which would be politically costly for the former and suicidal for the latter. Nor is the present standoff simply due to the “loose cannon” policy underpinned by Trump’s aggressive “tweets,” or Kim Jong-un’s alleged “paranoia.”

    In the meantime, however, a raft of new U.N. sanctions have been...

    #Etats_unis #Corée_du_Nord #impérialisme #Trump #Kim_Jong_un

  • Rassemblement Plan Hivernal
    https://grenoble.indymedia.org/2017-11-13-Rassemblement-Plan-Hivernal

    RASSEMBLEMENT PLAN HIVERNAL MERCREDI 15 NOVEMBRE 2017 à 9h15 Rue Joseph Chanrion-Grenoble. Pour : Une MISE A L’ABRI IMMEDIATE de toutes les personnes et familles à la rue ou sans solution d’hébergement pérenne Un VRAI PLAN à court, moyen et long terme d’HEBERGEMENT PERENNE – au lieu des réponses totalement inadaptées voire indignes que sont les prises en charge hôtelières pour une durée limitée et inconnue des intéressés ce qui revient par ailleurs très cher Ce PLAN doit comporter notamment la (...)

    #Agenda

    / #Infos_locales, Migrations / Sans-paps, Travail / Précariat, Logement / Squats, Ville / Environnement, Impérialismes / Solidarités internationales, Révoltes / Luttes (...)

    #Migrations_/_Sans-paps #Travail_/_Précariat #Logement_/_Squats #Ville_/_Environnement #Impérialismes_/_Solidarités_internationales #Révoltes_/_Luttes_sociales

  • Cinquième journée de protestations dans le Kurdistan Iranien
    https://grenoble.indymedia.org/2017-09-11-Cinquieme-journee-de-protestations

    7 et 9 Septembre 2017 – Kurdistan Iranien ou Rojhelat nouvelles qui nous sont parvenues par le biais du site du réseau du Kurdistan Human Rights Network et diverse pages de réseaux sociaux Kurdes Iraniens. Des manifestations et des protestation se poursuivent dans de nombreuses villes de la province du Kurdistan Iranien pour la cinquième journée consécutive Ces manifestations spontanées ont éclaté, après les meurtres de deux travailleurs Kolbers originaires de la ville de Baneh Heydar Faraji – 21ans (...)

    #Articles

    / Répression / Contrôle social, Impérialismes / Solidarités internationales, Révoltes / Luttes sociales, #Antifascisme, Autres (...)

    #Répression_/_Contrôle_social #Impérialismes_/_Solidarités_internationales #Révoltes_/_Luttes_sociales #Autres_infos
    http://www.loeildelexile.org/du-pain-ou-des-balles-un-dilemme-mortel-au-kurdistan-iranien
    http://kurdistanhumanrights.net/en/sanandaj-citizens-rallied-protest-killing-kurdish-kolbars-iran
    http://kurdistanhumanrights.net/en/kurdish-cities-iran-militarised-demonstrations-kurdish-politic
    https://twitter.com/KurdistanHRN
    https://anfenglish.com/news/does-the-iranian-regime-want-to-be-like-iraq-and-syria-21969
    https://rojava-news.blogspot.fr/2017/09/people-of-qandil-in-solidarity-with.html

  • Aung San Suu Kyi de la Birmanie et la fraude des droits de l’homme impérialistes
    http://www.wsws.org/fr/articles/2017/sep2017/birm-s15.shtml
    Décidément, le prix Nobel de la paiw n’est plus ce qu’il était…

    La victoire de la NLD dans les élections soigneusement orchestrées en 2016 et l’installation de Suu Kyi en tant que de facto chef de gouvernement a été unanimement salué par les médias de l’establishment, les libéraux de la classe moyenne et diverses organisations de pseudo-gauche comme la floraison de la #démocratie. En réalité, les militaires restent les maîtres : ils ont nommé des officiers à un quart des sièges parlementaires et installé des généraux en service aux postes ministériels clés de la défense, des affaires intérieures et des frontières.

    Suu Kyi et la NLD étaient d’accord avec ce simulacre parce que leur préoccupation fondamentale n’a jamais été les droits démocratiques en tant que tels. Plutôt, la NLD représente les sections de la #bourgeoisie birmane dont les intérêts économiques ont été étouffés sous la junte militaire. Alignés sur l’#impérialisme occidental, ils cherchaient à ouvrir le pays à l’investissement.

    En outre, la NLD, Suu Kyi inclus, est tout aussi mêlée que les militaires dans l’idéologie réactionnaire de la suprématie bouddhiste birmane, qui a été à plusieurs reprises exploitée pour semer les divisions religieuses et ethniques entre les travailleurs. À mesure que les espoirs d’un boom économique en Birmanie se sont envolés, les militaires, avec le soutien de la NLD, ont intensifié la #violence contre les Rohingyas musulmans, qui ont longtemps été utilisés comme bouc émissaire pour les problèmes du pays.

    Suu Kyi et la LND n’ont pris aucune mesure pour remédier au manque de droits fondamentaux pour la minorité Rohingyas, qualifiée « d’immigrés clandestins » du Bangladesh. En dépit d’avoir vécu, dans de nombreux cas, depuis des générations en Birmanie, ils n’ont pas la citoyenneté et n’ont donc aucun droit ni accès aux services sociaux.

    Suu Kyi a ouvertement défendu la campagne de nettoyage ethnique de l’armée, justifiée au nom de la « guerre contre le #terrorisme » et la nécessité de supprimer les milices Rohingyas qui ont émergé en réponse aux atrocités de l’armée. Après la critique de la présidente turque la semaine dernière, Suu Kyi a attaqué les « fausses photographies des actualités » et « un énorme iceberg de désinformation » qui crée des problèmes « dans le but de promouvoir l’intérêt des terroristes ».

  • Border wars: How European colonisers used maps to define and build empires in India
    https://scroll.in/magazine/846249/border-wars-how-european-colonisers-used-maps-to-build-empires-in-india

    Whenever Anubhav Nath’s grandfather was about to leave for a trip, he would ask him to point his destination on a pair of old maps hung in his home office – a wall-sized world map and a smaller one of Delhi from 1687.

    “The 1687 map shows the Mughal territories and has a rare view of the Red Fort in Delhi, on the 50th anniversary of the creation of Shahjahanabad,” said Nath, describing the memento from his grandfather that is now part of an exhibit marking the 71st year of Indian independence.

    #cartographie #frontières #histoire #inde #pakistan #bangladesh

  • Quand #Macron s’attaque au ventre des femmes africaines - Les Inrocks
    http://www.lesinrocks.com/2017/07/news/quand-macron-sattaque-au-ventre-des-femmes-africaines

    Une manière très réductrice d’expliquer le #sous-développement du continent, comme le rappelle la politologue Françoise Vergès dans le Ventre des Femmes (Albin Michel), paru en mars dernier. Dans cet ouvrage, elle met en lumière un scandale des années 1970 survenu sur l’île de la Réunion, où les femmes étaient contraintes aux avortements forcés et aux stérilisations par des médecins blancs, sans consentement. “On rend les femmes du #tiers-monde responsables du sous-développement. En réalité, on inverse la #causalité : la plupart des études prouvent aujourd’hui que c’est le sous-développement qui entraîne la #surpopulation”, explique-t-elle dans Libération, avant de poursuivre : “La théorie de la surpopulation évite aussi de questionner le rôle du #colonialisme et de l’#impérialisme dans la #pauvreté. Et ces discours visent, bien sûr, avant tout les #femmes.”

  • Africa4 - Impérialisme numérique ? Depuis une vingtaine d’années, de plus en plus de documents ayant trait au passé africain se retrouvent en ligne. Mais des questions sont posées par le blog Africa4-Regards croisés sur l’Afrique : Qui choisi les archives à numériser ? Quid du reste ? Quelles stratégies d’accès aux contenus numérisés ? Où sont hébergés ces contenus ?
    http://libeafrica4.blogs.liberation.fr/2017/06/14/imperialisme-numerique

    ... les documents disponibles en ligne ne sont en fait qu’un maigre échantillon des rayons de documents conservés dans les archives. D’ailleurs, ces derniers ont tendance à être les plus « célèbres » aujourd’hui ce qui ne veut pas dire que dans cinquante ans les historiens auront d’autres centres d’intérêt. Enfin, ces documents se trouvent souvent dans les archives nationales des pays africains concernés, ce qui veut dire que les plus petits centres d’archives publiques et privées sont délaissés ce qui potentiellement peut avoir un effet déformant sur la recherche.

    Outre le problème historique, cette numérisation en masse pose aussi des problèmes d’accès. De nombreux Africains ne disposent pas d’une connexion Internet suffisante pour visionner ces documents. Tous les Africains n’ont pas accès aux débits Internet des villes du Kenya ou du Ghana. De plus à qui appartiennent ces documents vraiment ? De nombreux pays africains ne disposent pas d’un cadre légal mis à jour pour tenir en compte de l’évolution technologique de ces vingt dernières années. Des questions de souveraineté se posent donc quand des chercheurs non-africains numérisent en masse des documents et les déposent sur des serveurs en Amérique ou en Europe. Ce phénomène a ainsi poussé l’historien Keith Breckenridge à parler d’ « impérialisme numérique ».

    #Afrique #histoire #archives #imperialisme_numérique

  • Poetry Lovers’ Page - Rudyard Kipling : Screw-Guns
    https://www.poetryloverspage.com/poets/kipling/screw_guns.html


    Un poème militaire de Rudyard Kipling et sa caricature par Bert Brecht et Kurt Weill

    The Screw Gun
    http://oldbritishguns.com/the-screw-gun

    The Screw Gun was the brainchild of Colonel Cecil Brook le Mesurier of the Royal Artillery in 1877. His proposal was to break the gun down into parts to be carried by pack mules. The maximum practical load at the time for a mule was 200 pounds, so the 400 pound barrel was divided into two parts, to be screwed back together for action. It took at least 5 mules for the barrel, carriage and associated bits, then more mules for ammunition and powder.
    ...
    The gun was used all over Afghanistan and India, and was even present in the Sudan at the Battle of Abu Klea, during the relief of Khartoum. It was also well used in Africa by the West African Frontier Force and the King’s African Rifles.

    RML 2.5 inch Mountain Gun
    https://en.wikipedia.org/wiki/RML_2.5_inch_Mountain_Gun

    https://www.youtube.com/watch?v=UqJmBfgXRUQ

    Smokin’ my pipe on the mountings, sniffin’ the mornin’ cool,
    I walks in my old brown gaiters along o’ my old brown mule,
    With seventy gunners be’ind me, an’ never a beggar forgets
    It’s only the pick of the Army that handles the dear little pets — ’Tss! ’Tss!
    For you all love the screw-guns — the screw-guns they all love you!
    So when we call round with a few guns, o’ course you will know what to do — hoo! hoo!
    Jest send in your Chief an’ surrender — it’s worse if you fights or you runs:
    You can go where you please, you can skid up the trees, but you don’t get away from the guns!

    They sends us along where the roads are, but mostly we goes where they ain’t:
    We’d climb up the side of a sign-board an’ trust to the stick o’ the paint:
    We’ve chivied the Naga an’ Looshai, we’ve give the Afreedeeman fits,
    For we fancies ourselves at two thousand, we guns that are built in two bits — ’Tss! ’Tss!
    For you all love the screw-guns . . .

    If a man doesn’t work, why, we drills ’im an’ teaches ’im ’ow to behave;
    If a beggar can’t march, why, we kills ’im an’ rattles ’im into ’is grave.
    You’ve got to stand up to our business an’ spring without snatchin’ or fuss.
    D’you say that you sweat with the field-guns? By God, you must lather with us — ’Tss! ’Tss!
    For you all love the screw-guns . . .

    The eagles is screamin’ around us, the river’s a-moanin’ below,
    We’re clear o’ the pine an’ the oak-scrub, we’re out on the rocks an’ the snow,
    An’ the wind is as thin as a whip-lash what carries away to the plains
    The rattle an’ stamp o’ the lead-mules — the jinglety-jink o’ the chains — ’Tss! ’Tss!
    For you all love the screw-guns . . .

    There’s a wheel on the Horns o’ the Mornin’, an’ a wheel on the edge o’ the Pit,
    An’ a drop into nothin’ beneath you as straight as a beggar can spit:
    With the sweat runnin’ out o’ your shirt-sleeves, an’ the sun off the snow in your face,
    An’ ’arf o’ the men on the drag-ropes to hold the old gun in ’er place — ’Tss! ’Tss!
    For you all love the screw-guns . . .

    Smokin’ my pipe on the mountings, sniffin’ the mornin’ cool,
    I climbs in my old brown gaiters along o’ my old brown mule.
    The monkey can say what our road was — the wild-goat ’e knows where we passed.
    Stand easy, you long-eared old darlin’s! Out drag-ropes! With shrapnel! Hold fast — ’Tss! ’Tss!
    For you all love the screw-guns — the screw-guns they all love you!
    So when we take tea with a few guns, o’ course you will know what to do — hoo! hoo!
    Jest send in your Chief an’ surrender — it’s worse if you fights or you runs:
    You may hide in the caves, they’ll be only your graves, but you can’t get away from the guns!

    A propos du texte et de la musique de Screw Guns
    http://www.kiplingsociety.co.uk/rg_screwguns1.htm

    Der Kanonen Song
    https://www.youtube.com/watch?v=7bEKU70_7E8

    John war darunter und Jim war dabei
    Und Georgie ist Sergeant geworden
    Doch die Armee, sie fragt keinen, wer er sei
    Und sie marschierte hinauf nach dem Norden.
    Soldaten wohnen
    Auf den Kanonen
    Vom Cap bis Couch Behar.
    Wenn es mal regnete
    Und es begegnete
    Ihnen ’ne neue Rasse’ne braune oder blasse
    Da machen sie vielleicht daraus ihr Beefsteak Tartar

    Johnny war der Whisky zu warm
    Und Jimmy hatte nie genug Decken
    Aber Georgie nahm beide beim Arm
    Und sagte „Die Armee kann nicht verrecken“.
    Soldaten wohnen
    Auf den Kanonen
    Vom Cap bis Couch Behar.
    Wenn es mal regnete
    Und es begegnete
    Ihnen ’ne neue Rasse’ne braune oder blasse
    Da machen sie vielleicht daraus ihr Beefsteak Tartar

    John ist gestorben und Jim ist tot
    Und Georgie ist verißt und verdorben
    Aber Blut ist immer noch rot
    Und für die Armee wird jetzt wieder geworben!
    Soldaten wohnen
    Auf den KanonenVom Cap bis Couch Behar.
    Wenn es mal regneteUnd es begegnete
    Ihnen ’ne neue Rasse’ne braune oder blasse
    Da machen sie vielleicht daraus ihr Beefsteak Tartar

    L’esprit militaire
    https://en.wikipedia.org/wiki/Non-commissioned_officer#United_Kingdom

    Sergeant Jamie Shannon of the 105 Regiment Royal Artillery stands in the Middle Ward, Edinburgh Castle. As District Gunner, he has just supervised the firing of the One O’Clock gun, which points east over the Mills Mount Battery wall. The rest of the gunners are formed up behind the gun, to the right.

    #Royaume_Uni #Allemagne #histoire #militarisme #colonialisme #impérialisme #théâtre #musique #poésie

  • Plongée dans la tête des kamikazes
    http://abonnes.lemonde.fr/societe/article/2017/06/07/dans-la-tete-des-kamikazes_5139774_3224.html?h=11

    Le Califat, promesse de réparation historique

    Ce sentiment d’impuissance face aux souffrances des musulmans a atteint son acmé avec le déclenchement de la guerre civile syrienne. Il trouvera concomitamment une issue avec la proclamation du « califat », le 29 juin 2014, perçu comme une promesse de réparation des humiliations passées.

    Dans son message à sa mère, Ibrahim El Bakraoui présente ainsi l’EI comme un espoir de revanche historique : « Maintenant, nous, gloire à Dieu, depuis des centaines d’années, on a perdu l’Andalousie, on a perdu la Palestine, on a perdu, euh, tous les pays musulmans en fait, l’Afghanistan, l’lrak, la Syrie, le Maroc, il est gouverné par un tyran, la Tunisie, l’Algérie tous les pays, gloire à Dieu, il y a un Etat islamique qui a été créé. »

    Cette fierté retrouvée de l’oumma (la communauté des musulmans), près d’un siècle après l’abolition du dernier califat ottoman, en 1924, Khalid El Bakraoui tente de l’expliquer à son épouse dans une lettre d’adieu manuscrite : « Sache Nawal qu’il y a toujours eu des Etat islamique. Le dernier a été detruit début des annes 1920, mais ensuite les gens ont abandonner le djihad et Allah depuis n’a cesser de nous humilier (…) Mais aujourd’hui nous avons un Etat islamique qui a remporter beaucoup de victoir. »

    « Pourquoi nous vous haïssons »

    Cette exportation du « djihad défensif » vers l’Occident sert aujourd’hui d’alibi à un « djihad offensif » qui ne dit pas son nom, l’objectif affiché de protection de l’islam devant, à terme, mener à sa propagation. Ce glissement a été formalisé par l’EI dans un article intitulé « Pourquoi nous vous haïssons, pourquoi nous vous combattons », publié par l’organe de propagande Dabiq, en juillet 2016.

    L’article développe son titre en six points. Les trois premiers ont trait à la nature de l’Occident : « Nous vous haïssons, d’abord et avant tout parce que vous êtes des mécréants » ; « Nous vous haïssons parce que vous vivez dans des sociétés libérales et sécularisées qui autorisent ce qu’Allah a interdit » ; « Pour ce qui concerne la frange athée, nous vous haïssons et vous faisons la guerre parce que vous ne croyez pas en l’existence de notre Seigneur ». Les trois points suivants font référence aux actions prêtées à l’Occident : les « crimes contre l’islam », les « crimes contre les musulmans » et « l’invasion » des terres musulmanes.

    La liste se conclut sur cette clarification : « Ce qu’il est important de comprendre ici, c’est que même si certains assurent que votre politique extérieure est à l’origine de notre haine, cette cause est secondaire, raison pour laquelle nous ne l’exposons qu’en fin de liste. En réalité, même si vous cessez de nous bombarder, de nous emprisonner, de nous torturer, de nous diffamer, de prendre nos terres, nous continuerons à vous détester parce que la cause principale de cette haine ne cessera pas tant que vous n’aurez pas embrassé l’islam. »
    Le ressort psychologique : impuissance et culpabilité

    Ainsi la propagande de l’EI fait-elle insensiblement dériver ses soldats d’un combat humanitaire vers sa finalité totalitaire : l’annihilation de toute altérité. La seule paix envisagée est la pax islamica. Ce basculement ne séduit cependant qu’une minorité de candidats, mettant en lumière les ressorts psychologiques propres au processus de radicalisation. Une dimension intime évidemment rejetée par les intéressés.

    « Quel était l’état d’esprit des EI Bakraoui ?, demande à Osama Krayem la juge belge chargée de l’enquête sur les attentats de Bruxelles.

    – Ce sont des gens ordinaires. D’ailleurs lbrahim me disait que sans cette coalition, ces musulmans qui se font opprimer là-bas, il aurait eu une vie ordinaire avec des enfants. Je crois qu’à un certain moment il a changé de comportement. (…) Khalid El Bakraoui, sa femme était enceinte. (…) Le terrorisme n’est pas une personnalité, en fait. Vous pouvez lire l’histoire des musulmans, à aucun moment ce sont les musulmans qui ont pris l’initiative d’attaquer ou de faire du mal. »

    Osama Krayem affirme que le terrorisme n’est pas « une personnalité ». Mais qu’est-ce qui a finalement convaincu Ibrahim El Bakraoui de renoncer à sa « vie ordinaire » et son frère Khalid d’abandonner sa femme enceinte pour se faire exploser ? Comme nombre de candidats au djihad, les frères El Bakraoui étaient des délinquants, très éloignés de la religion, avant leur conversion à l’islam radical.

    « Beaucoup de délinquants se sentent en réalité coupables, explique le psychanalyste Fethi Benslama, auteur d’Un furieux désir de sacrifice. Le surmusulman (2016, Seuil). Or, les religions monothéistes jouent sur la culpabilité. En arabe, religion se dit din, qui signifie “dette”. Leur entrée dans le djihad peut atténuer ce sentiment en leur offrant une cause. Il s’opère ensuite ce qu’on pourrait appeler un renversement moral de culpabilité : l’hostilité intérieure se transforme en hostilité extérieure et autorise l’agression d’autrui dans un sentiment de toute- puissance. »

    #djihadisme #EI #Al-Queda #psychologie #impérialisme

    http://zinc.mondediplo.net/messages/68962 via BoOz

  • Politique des parias. Sur la racialisation de la classe ouvrière anglaise Satnam Virdee

    En tant qu’Anglais à la peau brune, quelle ne fut pas ma déception devant ce qu’un socialiste, en 2013, avait reconstruit de la vie de la classe ouvrière d’après-guerre : un portrait certes émouvant, mais entièrement blanc. Je n’ai pas vu mes grands-parents dans le tableau peint par Loach, ni les agriculteurs caribéens avec lesquels mon grand-père travaillait et auprès desquels il vivait. En fait, il n’y avait pas un seul Britannique noir ou à la peau foncée de tout le film.

    C’est contre ce genre de vision étriquée de l’histoire de la classe ouvrière que j’ai écrit ce livre.

    http://revueperiode.net/politique-des-parias-sur-la-racialisation-de-la-classe-ouvriere-anglai

    #répression #révolution #Nation #impérialisme #gauche #classe #Black_communism #matérialisme #postcolonialisme #race #sionisme #antifascisme #sexisme #néolibéralisme #islamophobie #racisme

  • Japanese imperialism rearms - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/03/24/japa-m24.html

    Japanese imperialism rearms
    24 March 2017

    Japan’s ruling Liberal Democratic Party (LDP) is exploiting the extremely tense situation on the Korean Peninsula to push for its military to be able to carry out “pre-emptive” strikes on an enemy such as North Korea. The acquisition of offensive weapons, such as cruise missiles, for the first time since the end of World War II would be another major step by Prime Minister Shinzo Abe’s government to rearm Japan, heightening the danger of war.

    Commenting on North Korean missile tests, Defence Minister Tomomi Inada suggested on March 9 that Japan could acquire the capacity for “pre-emptive” attacks. “I do not rule out any method and we consider various options, consistent of course with international law and the constitution of our country,” she said.

    #japon #armement #impérialisme

  • Pertes et profits de l’économie coloniale - La Vie des idées
    http://www.laviedesidees.fr/Pertes-et-profits-de-l-economie-coloniale.html

    À partir d’une histoire des entreprises dans les colonies françaises d’Afrique du Nord, Samir Saul prend le contrepied d’une interprétation encore dominante qui rapporte la décolonisation à la baisse des profits des activités françaises dans ces colonies.
    Recensé : Samir Saul, Intérêts économiques français et décolonisation de l’Afrique du Nord (1945-1962), Genève, Droz, 2016, 763 p., 69 €.

    Le capitalisme est-il décolonisateur ? Telle est la question principale à laquelle Samir Saul, professeur d’histoire des relations internationales à l’Université de Montréal, entend répondre en étudiant de près la rentabilité des activités économiques françaises en Afrique du Nord. Son approche est originale. Il ne propose pas de nouvelle explication du processus ayant mené aux décolonisations, mais conteste la validité d’une thèse répandue : celle qui s’inspire du cartiérisme [1] pour affirmer que, les colonies étant ruineuses, la décolonisation découlerait du développement du capitalisme.

    #colonialisme #impérialisme #colonies #décolonisation #livre #biblio

  • Why Singapore Changed the Name of Its New World War II Exhibition · Global Voices
    https://globalvoices.org/2017/02/26/why-singapore-changed-the-name-of-its-new-world-war-ii-exhibition

    To educate younger generations about the horrors of war, particularly the bitter experience of thousands of Singaporeans during the Japanese occupation from 1942 to 1945, Singapore’s government opened a new exhibition on Feb. 16, which it initially named “Syonan Gallery: War and Its Legacies.”

    A day after the opening, however, the government changed the gallery’s name to “Surviving the Japanese Occupation: War and Its Legacies.”

    Many people reminded the authorities that “Syonan-To,” which means “light of the south,” was the name used by the Imperial Japanese Army when it occupied Singapore during World War II. Many felt the decision to revive the name was an insult to thousands who suffered during the Japanese occupation.

    #mots #sémantique #les_mots_sont_importants #terminologie #vocabulaire #manipulation #asie_du_sud_est #singapour #japon #seconde_guerre_mondiale #occupation #impérialisme

  • Une brève histoire de l’impérialisme français
    http://revueperiode.net/une-breve-histoire-de-limperialisme-francais

    Aujourd’hui, le complexe militaro-industriel joue un rôle essentiel dans la morphologie du capitalisme français. La place de l’armée et de la sécurité dans la Ve République est par ailleurs connue pour être essentielle. On trace souvent une généalogie de cet état de fait dans la guerre d’Algérie et ses conséquences constitutionnelles. Il s’avère pourtant que cette position du militaire plonge ses racines dans tout le long XXe siècle, de la Commune de Paris à la guerre d’Algérie, en passant par les guerres de conquête coloniale. Appuyé sur une conceptualisation marxiste solide, Serfati trace, dans cet extrait Le Militaire, une généalogie saisissante des dispositifs impérialistes français, à travers le rôle de la finance dans l’entreprise coloniale, mais aussi de l’impact de l’armée dans les rapports (...)

    #Uncategorized #anti-impéralisme #impérialisme

  • Münchner Sicherheitskonferenz 2017: News, Teilnehmer und Ergebnisse
    http://www.faz.net/aktuell/politik/thema/muenchner-sicherheitskonferenz

    Allgemeine Infos über Münchner Sicherheitskonferenz

    Auf der Münchner Sicherheitskonferenz finden sich jährlich Sicherheitspolitiker aus aller Welt, Rüstungsindustrielle und Militärangehörige ein. Unter dem Motto „Frieden durch Dialog“ werden aktuelle Themen rund um die Sicherheits- und Verteidigungspolitik diskutiert. Herausragende Leistungen werden jeweils mit einer Auszeichnung honoriert.

    Ziele und Ergebnisse
    Die Münchner Sicherheitskonferenz ist das weltweit größte Treffen in diesem Kontext. Es geht ausschließlich um die Diskussion sicherheitsrelevanter Themen. Da die Veranstaltung privat organisiert ist, können keine verbindlichen Beschlüsse gefasst werden. Abweichend von ähnlichen Veranstaltungen werden die Ergebnisse nicht abschließend zusammengefasst. Die Finanzierung der Konferenz erfolgt aus dem Etat des Verteidigungsministeriums, weitere Partner und Sponsoren finden sich in der Wirtschaft.

    Demonstration und Proteste – die SiKo in der Kritik
    Friedensinitiativen und Rüstungsgegner begleiten die Konferenz jährlich mit Protesten, den Hauptkritikpunkt bildet die militärische Ausrichtung. Um die Konferenz zu schützen, wurden in den letzten Jahren Polizeikräfte und Soldaten der Bundeswehr aktiviert. Als Gegenveranstaltung wird seit Februar 2003 zeitgleich mit der Münchner Sicherheitskonferenz die Internationale Münchner Friedenskonferenz veranstaltet.

    https://www.securityconference.de/en

    #guerre #impérialisme #militarisme