3D-printed sand wall created by Barry Wark at Museum of the Future
▻https://www.dezeen.com/2023/12/12/3d-printed-sand-wall-barry-wark
The wall was assembled from a series of 3D-printed “jigsaw panels”. These were produced using binder-jet printing, a process that involves adding a liquid binding agent into the thin layers of printed particles.
Quel #sable ?
Est-ce une voie pour utiliser le sable du désert, impropre à la construction béton ?
#impression_3D #architecture
Encore un porte-conteneurs de 12 000 EVP échoué
Un plan pour sortir l’« Ever Forward », enkysté au large de Baltimore Le Marin.Ouest.France
▻https://lemarin.ouest-france.fr/secteurs-activites/shipping/42950-un-plan-pour-sortir-l-ever-forward-enkyste-au-large-de-ba
#Evergreen, un an après l’accident à Suez de l’#Ever Given est confronté au difficile renflouement de l’#Ever Forward, un porte-conteneurs de taille moindre qui s’est échoué le 13 mars après son escale à Baltimore.
L’objectif est de déballaster le navire et de draguer le sol vaseux de la baie autour du porte-conteneurs afin de laisser de l’espace entre l’hélice et le safran et le fond marin. Il conviendra ensuite d’attendre une pleine mer pour sortir le porte-conteneurs de 334 mètres de long en faisant de nouveau appel à tous les remorqueurs portuaires disponibles dans la zone.
Les explications sur l’accident ne sont pas claires. Une tempête de fin d’hiver passée le 12 mars a pu modifier les niveaux des marées. Mais selon Sal Mercogliano, un historien maritime de l’université Campbell en Caroline du Nord, qui publie des vidéos sur l’accident, le navire allait trop vite et est sorti du chenal. Il s’est échoué par 7,50 mètres d’eau alors qu’il affichait un tirant d’eau de 13 mètres.
L’Ever Forward est affecté à une des lignes Asie - côte-est des Etats-Unis via Panama de l’Ocean alliance (Evergreen, #CMA #CGM et #Cosco-OOCL ).
#transport_maritime #pollution #transport #porte-conteneurs #transports #conteneurs #mondialisation #mer #container #environnement
]]> L’Israélien MeaTech veut mettre sur la table du porc cultivé en laboratoire Shoshanna Solomon
▻https://fr.timesofisrael.com/lisraelien-meatech-veut-mettre-sur-la-table-du-porc-cultive-en-lab
MeaTech 3D Ltd, un fabricant de produits carnés cultivés en laboratoire, a déclaré avoir entamé des recherches sur la production de viande de porc cultivée, pour éventuellement produire en masse la viande la plus consommée dans le monde sans tuer de porcs dans le processus.
En fonction de l’avis des rabbins, le bacon pourrait également être considéré comme casher, a déclaré Simon Fried, responsable du développement commercial de l’entreprise Ness Ziona, basée en Israël, qui a été fondée en 2018 par Omri Schanin et Sharon Fima.
« Le jury est encore en train de délibérer », a déclaré Fried dans une interview. « Il n’y a pas de réponses toutes faites pour savoir si cela sera jugé casher ou non. »
Les aliments casher sont des produits conformes aux exigences alimentaires définies par le judaïsme. La viande de porc n’est jamais casher, alors que les vaches ou les poulets, par exemple, sont casher s’ils sont abattus d’une manière particulière et que leur viande est traitée d’une manière prescrite qui implique un trempage et un salage.
La production de MeaTech n’implique pas l’abattage d’animaux, a déclaré M. Fried, mais le produit final a des propriétés « identiques » à celles de la chair animale.
MeaTech puise les cellules souches des animaux et les reproduit par une sorte de processus de fermentation dans des bioréacteurs, dans lesquels « nous recréons les conditions à l’intérieur de l’animal », a déclaré Fried dans une interview.

Cela permet aux cellules de se multiplier « de manière exponentielle », a-t-il ajouté. Elles peuvent ensuite être utilisées comme additifs alimentaires ou pour créer des tissus animaux cultivés, puis des morceaux de viande cultivés.
Les bioréacteurs, a expliqué M. Fried, « sont comme un hôtel cinq étoiles » dans lequel les cellules « reçoivent tout ce dont elles ont besoin pour se propager, comme dans la nature. »
Le « scénario idéal », selon M. Fried, serait de continuer à utiliser les cellules cultivées pour créer encore plus de cellules, en laissant les vrais animaux en dehors du processus, à terme. Les morceaux produits ne seraient que des parties que les gens sont prêts à manger – pas d’os, de sabots ou de queues.
La société MeaTech prévoit d’imprimer à terme des produits à base de bœuf, de volaille, de porc et de poisson, ainsi que de la graisse de poulet et d’oie.
Le fait que l’on se demande même si la viande de porc cultivée pourrait être casher est un signe de l’ »énorme révolution » qui se produit sur le terrain, a déclaré le cofondateur Schanin dans l’interview.
Une quarantaine d’entreprises dans le monde entier se battent pour être les premières à commercialiser des produits carnés à base de cellules qui ont le goût et l’apparence de la vraie viande et qui peuvent être produits en masse à un prix abordable pour répondre à la demande massive de protéines dans un monde dont la population augmente et s’enrichit.
Selon une étude publiée dans la revue Nature , l’élevage de vaches pour la viande a l’un des plus grands impacts négatifs sur l’environnement mondial. Il est donc nécessaire de réduire la consommation de viande pour diminuer les émissions de gaz et éviter le dérèglement climatique. Quelque 56 milliards d’animaux – vaches, agneaux et volailles – sont abattus chaque année pour nourrir le monde, où la consommation de viande devrait augmenter de 70 % d’ici à 2050, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, les classes moyennes d’Asie et d’Afrique devenant de plus en plus carnivores.
Israël joue un « rôle substantiel » sur le marché mondial des protéines alternatives et est considéré comme un pionnier dans ce domaine, les startups israéliennes ayant levé un montant record auprès des investisseurs en 2020, indique un rapport de The Good Food Institute Israel, une organisation à but non lucratif qui cherche à promouvoir la recherche et l’innovation dans ce domaine.
La semaine dernière, la société israélienne Aleph Farms a déclaré avoir obtenu un investissement de 105 millions de dollars pour mettre sur le marché des steaks cultivés en laboratoire. Future Meat Technologies, qui produit également de la viande à partir de cellules animales, a bouclé un tour de table de 27 millions de dollars en février. Selon le rapport, le secteur de la viande cultivée est appelé à prospérer dans les années à venir, lorsque les entreprises passeront du stade du développement à celui de la production.
Même si leurs processus cellulaires sont similaires, a expliqué M. Schanin, ce qui différencie MeaTech des autres entreprises, c’est qu’elle développe également ses propres technologies d’impression 3D pour imprimer à terme les produits carnés entiers. Pour les imprimantes, l’entreprise travaille en étroite collaboration avec Tal Dvir, de l’université de Tel Aviv, dont l’équipe de chercheurs a imprimé en 2019 un cœur humain en 3D, avec des tissus et des vaisseaux, dans un développement décrit comme une avancée médicale majeure.
Dvir est le conseiller scientifique de MeaTech, a déclaré Schanin, ajoutant que MeaTech a eu l’idée d’imprimer en 3D ses produits de viande de culture à partir de la technologie médicale. Tout comme les chercheurs impriment des organes à des fins médicales, a déclaré M. Shanin, les mêmes technologies peuvent être utilisées pour créer des protéines de viande de culture.
Les produits de MeaTech et les imprimantes en sont encore au stade de la recherche et du développement, a précisé M. Fried. L’entreprise a déclaré en mai qu’elle prévoyait de mettre en place une usine de production de graisse de poulet de culture en Belgique. Le processus de production de graisse de poulet de culture utilisera des technologies développées par la filiale belge de MeaTech, Peace of Meat, que l’entreprise israélienne a acquise au début de l’année.
L’idée est de produire de la graisse de poulet de culture, fabriquée à partir de cellules de poulet, pour l’utiliser comme additif et arôme dans l’industrie alimentaire, notamment pour donner aux aliments d’origine végétale comme les hamburgers végétariens la saveur, le parfum et la sensation du vrai produit.
D’ici la fin de l’année, a déclaré M. Fried, la société a pour objectif d’imprimer un steak de 100 grammes, afin de démontrer sa technologie.
L’objectif de MeaTech est de développer les lignées cellulaires et les imprimantes et d’octroyer des licences pour ses technologies aux producteurs de viande et à d’autres fabricants de produits alimentaires, qui cherchent à fournir des protéines de remplacement sous la forme de produits hybrides – un mélange de protéines végétales et de cellules cultivées pour une meilleure saveur – ou de versions hachées ou entières des produits de viande cultivée. Ces dernières sont plus difficiles à produire et prendront plus de temps à développer, a déclaré M. Fried.
Les actions de MeaTech ont commencé à être négociées à la bourse de Tel Aviv en octobre 2019 et la société a organisé une offre d’actions sur le Nasdaq en mars 2021. La société a déclaré en mai qu’elle prévoyait de retirer ses actions de la Bourse de Tel Aviv le 5 août.
La radiation de la bourse de Tel Aviv facilite la gestion des relations avec les investisseurs en envoyant un seul ensemble de messages à une seule bourse plutôt qu’à deux, a déclaré M. Fried, et résout les problèmes de délai d’information, étant donné le décalage entre les marchés boursiers, et de bureaucratie, a déclaré M. Fried.
La valeur de marché de la société sur le Nasdaq est de 90 millions de dollars et ses actions ont baissé d’environ 26 % depuis le début de leur négociation en mars de cette année.
L’extension des activités de recherche et de développement de MeaTech au porc fait partie de sa stratégie visant à développer une offre plus large de sa technologie, qui comprend déjà des lignées cellulaires de bœuf et de poulet. L’agriculture cellulaire porcine, si elle est développée avec succès, pourrait élargir la portée du marché potentiel de MeaTech, a déclaré la société.
Ses activités de fabrication de viande de porc ont déjà suscité l’intérêt du groupe Tiv Ta’am, propriétaire d’une chaîne de supermarchés en Israël et producteur et fournisseur de viande non casher, notamment de viande de porc. Tiv Ta’am a déclaré mercredi qu’il avait signé une lettre d’intention non contraignante avec MeaTech pour coopérer au développement conjoint de produits de viande cultivée, en mettant l’accent sur son porc cultivé.
Selon l’accord, que les parties s’efforceront de transformer en accord contraignant, Tiv Ta’am et MeaTech coopéreront dans le domaine de la recherche, mettront en place une usine de production de produits carnés cultivés et accorderont des droits de distribution et de commercialisation à Tiv Ta’am, y compris d’éventuels droits exclusifs sur les produits développés conjointement.
Tiv Ta’am s’attend à ce que la demande croissante entraîne une augmentation de l’utilisation de la graisse de porc comme matière première dans les années à venir, ont déclaré les entreprises dans un communiqué.
« Nous voulons reconnecter l’ensemble de l’industrie », a déclaré M. Fried, et il y a « beaucoup de place » pour les concurrents. « Nous voulons rendre l’accès à la nourriture plus compétitif et permettre aux fabricants de produire des produits de culture n’importe où, y compris dans les pays où le bœuf et la volaille ne sont pas produits, a-t-il ajouté.
#MeaTech #MeaTech_3D #religion #lignées_cellulaires #matière_première #casher #cellules_souches #bioréacteurs #os #sabots #queues #protéines #startups #recherche_&_développement #impression_3d #imprimante_3d #imprimantes_3d
]]>These 3D printed homes are helping tackle homelessness in the US
- In America, 3D-printed houses are starting to be used as an affordable alternative to traditional builds.
- The process builds homes faster, cheaper and with less labor, and its structures are more resilient to natural disasters.
– It’s being used an an innovative way to tackle homelessness.
– It’s estimated that the 3D-construction market could be worth $1.5 billion by 2024.
After years of homelessness and hard living, Tim Shea has swapped the sharp corners in his life for the round, flowing design of his new 3D-printed home in Austin, Texas.
In August, Shea became the first person in the United States to move into a 3D-printed home, according to Austin-based developer ICON, in what advocates say is a milestone in efforts to boost the national supply of affordable housing.
This month New York-based firm SQ4D listed what is purported to be the country’s first 3D-printed house to go up for sale, while ICON completed the largest 3D-printed structure in North America – a military barracks.
Shea, 70, said his new house - which he moved into for free and is located in a community of formerly homeless people - has saved his life.
“It’s just phenomenally beautiful ... it just wraps around and gives me a feeling of life security,” Shea told the Thomson Reuters Foundation by phone from his 400-sq-ft (46-sq-m) home.
The house’s high ceilings, large windows and skylights make it feel larger than it looks from the outside, he added.
Shea got to watch his home being built on site by a large new “printer”, developed and operated by #ICON, a process which the company said took about 48 hours and is being reduced further as the technology improves.
Large-scale 3D printing is gaining steam around the world as a quicker, cheaper and more efficient way of building housing, with some projects producing a home in 24 hours of printing time for just a few thousand dollars.
ICON constructed the first permitted 3D-printed building in the United States in 2018 and is one of the few 3D construction firms focusing specifically on affordable housing.
Last year, Habitat for Humanity’s Terwilliger Center for Innovation in Shelter helped an Indian company called Tvasta build India’s first 3D-printed home, which brought construction times down by more than a third and reduced waste by about 65%.
“3D printing technology has huge potential to boost the affordable housing sector,” said Patrick Kelley, the center’s vice president, in emailed comments.
▻https://www.weforum.org/agenda/2021/02/3d-printed-homes-affordable-housing-homelessness-united-state
#logement #impression_3D #3D #SDF #sans-abris #USA #Etats-Unis #technologie
]]>Coronavirus COVID 19. A #Grenoble, des bénévoles fabriquent des #visières_de_protection avec des #imprimantes_3D
Les actions solidaires se multiplient pour fournir des équipements de protection aux soignants et aux professionnels qui travaillent au contact du public. En Isère, des bénévoles se sont lancés dans la fabrication de visières de protection à l’aide d’imprimantes 3D.
▻https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble/coronavirus-covid-19-grenoble-benevoles-fabriquent-visi
#impression_3D #3D #coronavirus #covid-19
#solidarité
Et comme dirait @fil : #pénurie de #masques
« Il ne faut pas rejeter les idées qui peuvent paraître farfelues » : comment un masque de plongée est devenu une arme pour lutter contre le #coronavirus
▻https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/il-ne-faut-pas-rejeter-les-idees-qui-peuvent-paraitre-farfelues-comment
Tout commence à Brescia, en Lombardie, épicentre de l’épidémie en Italie. Dans cette ville en quarantaine, Renato Favero, ancien médecin, a une idée en tête : il veut fabriquer un masque respiratoire d’urgence en convertissant un masque de plongée intégral déjà commercialisé. « J’y pensais depuis un moment et, ayant un masque de plongée à la maison, j’ai commencé à l’examiner pour savoir s’il était possible de l’adapter », détaille-t-il à La Repubblica (en italien).
Son concept sous le bras, il rend visite à la start-up italienne #Isinnova. Celle-ci a déjà offert une centaine de valves de #respirateurs, imprimées en 3D, à un hôpital de la région, raconte son dirigeant Cristian Fracassi au New York Times (en anglais). « Nous avons analysé sa proposition et conclu que le masque de Decathlon Easybreath était celui qui correspondait le mieux à sa demande », explique Alessandro Coraioli, ingénieur chez Isinnova, au Corriere della Sera (en italien).
Isinnova contacte Decathlon, qui lui fournit gratuitement les plans du produit créé en 2017. « Il y a un peu plus d’une semaine, on a commencé à voir circuler des photos sur les réseaux sociaux », explique à franceinfo Philippe Dourcy, porte-parole de #Decathlon. L’enseigne constate que « des particuliers, des start-ups avaient commencé à modifier l’utilisation du masque. »
]]>Engineers 3D-print patented valves for free to save coronavirus patients in Italy - National | Globalnews.ca
▻https://globalnews.ca/news/6695286/coronavirus-italy-3d-print-valves
▻https://shawglobalnews.files.wordpress.com/2020/03/massimo-e1584558638339.jpg?quality=70&strip=all&w=72
An engineering company in Italy is saving lives and risking a future lawsuit by 3D-printing an expensive — and patented — medical valve needed to treat victims of COVID-19, the disease caused by the novel coronavirus.
The valves are used to connect COVID-19 patients to breathing machines at a hospital in Brescia, a city in northern Italy where the coronavirus outbreak has been most severe. However, the patented valves cost thousands of dollars and they must be changed out and discarded every eight hours to keep patients alive, according to Business Insider.
The hospital simply couldn’t keep up with the demand, so a local reporter and a physicist put the hospital in touch with Isinnova, a tech start-up that specializes in 3D-printing.
Isinnova chief executive Cristian Fracassi says he reverse-engineered and 3D-printed the part because the “ordinary” supply chain couldn’t keep up with the hospital’s extraordinary demand. Each part cost about 1 euro (about CAD$1.60) worth of materials to print, but Fracassi says his firm cranked out about 100 valves for free.
“There were people in danger of life and we acted,” Fracassi wrote on Facebook. “Period.”
Via @monolecte.
#impression_3D #brevet #propriété_intellectuelle #coronavirus
A Community of 50 3D Printed Homes Is Under Construction in Mexico
▻https://singularityhub.com/2019/12/11/a-community-of-50-3d-printed-homes-is-under-construction-in-mexico
▻https://www.youtube.com/watch?v=PbgCu0aUobE
This 3D Printed House Goes Up in a Day for Under $10,000
▻https://singularityhub.com/2018/03/18/this-3d-printed-house-goes-up-in-a-day-for-under-10000
▻https://singularityhub.com/wp-content/uploads/2018/03/3D-printed-homes-developing-world-New-Story-3d-printing.jpg
▻https://www.youtube.com/watch?v=SvM7jFZGAec
#architecture #impression_3D #logement
En contrepoint voir Cal-Earth ►https://www.calearth.org :)
]]>Aguahoja I by Mediated Matter Group | Dezeen Awards | Winners
▻https://www.dezeen.com/awards/2019/winners/aguahoja-i-mediated-matter-group
Fabricated from the molecular components found in tree branches, insect exoskeletons and human bones, Aguahoja I demonstrates the application of water-based robotic fabrication at a scale close to those of natural ecologies.
3D-printed house is made from biodegradable materials
▻https://www.dezeen.com/2019/02/27/gaia-wasp-3d-printed-house-biodegradable-video
The house was printed using a natural mud mixture made from soil taken from the surrounding site, as well as waste materials from rice production such as chopped straw and rice husks.
#Dagoma neutralise à distance les armes imprimées en 3D
▻https://www.latribune.fr/regions/nord-pas-de-calais/dagoma-neutralise-a-distance-les-armes-imprimees-en-3d-808183.html
Le spécialiste nordiste de l’#impression_3D Dagoma s’est lancé dans une croisade pour enrayer la prolifération des armes imprimables.
L’opération a été menée en toute discrétion : pendant quelques semaines, les collaborateurs de Dagoma ont modifié depuis Roubaix des centaines de fichiers permettant d’imprimer des armes à feu en 3D (une pratique illégale en France). La nouvelle tendance avait quelque chose d’inquiétant, car ces armes en plastique sont par nature indétectables. « Nous ne voulions pas que nos imprimantes soient détournées à des fins criminelles : comme les fichiers 3D sont le cœur de notre métier, nous avons changé le diamètre des canons ou la taille des gâchettes, déformé les crosses ou les chargeurs afin de rendre ces armes inutilisables », explique Gauthier Vignon, cofondateur de Dagoma, une entreprise devenue le leader européen de l’impression 3D.
Pourquoi avoir ensuite révélé au grand jour le tour de passe-passe ? « Pour nous, c’était une question de société : il fallait alerter les autres constructeurs de machines 3D pour leur faire prendre conscience des risques. »
« Après la première étape qui a consisté à pourrir les bons fichiers, la deuxième a été de modifier nos machines afin qu’elles ne puissent pas imprimer des armes. »
Gauthier Vignon espère même une prise de conscience pour que les internautes signalent tout fichier suspect et pour que les constructeurs se mettent à alimenter une base de données, afin de contrer les impressions illicites. « Certains nous rétorquent que, de toute façon, ces armes imprimées en 3D ne fonctionnent pas : tant mieux, nous préférons largement que cela reste un faux débat »
]]>Révolte dans la mode | ARTE (jusqu’au 6/11/2018)
▻https://www.arte.tv/fr/videos/071479-000-A/revolte-dans-la-mode
Face à un système devenu absurde et dangereux, de jeunes créateurs se mobilisent pour créer une mode plus responsable. Coécrit par Ariel Wizman, un documentaire enlevé sur les prémices d’une nouvelle internationale d’activistes de la #mode, de New York à Tel-Aviv, en passant par Amsterdam et Paris.
Quatre-vingts millions de vêtements sont produits dans le monde chaque année. La mode est la deuxième industrie la plus polluante au monde après le pétrole. Hypermercantiliste, mondialisée, elle suit le tempo effréné dicté par la fast #fashion qui, tout en détruisant la planète, engendre des burn out chez les designers et tue littéralement des forçats du textile. Fini le temps des indépendants flamboyants, comme Azzedine Alaïa, Martin Margiela ou Jean Paul Gaultier. Ils ont été supplantés par des empires du luxe, où le couturier n’est plus que la variable d’ajustement de la cotation boursière. Le 24 avril 2013, au Bangladesh, l’effondrement du Rana Plaza, où périssent plus de 1 130 ouvriers travaillant pour des marques internationales, révèle la face cachée d’un monde devenu fou. Quatre ans après cette tragédie, un mouvement de progressistes sonne l’heure de la révolte.
Écrit par Ariel Wizman et Laurent Lunetta, ce documentaire rythmé analyse les dérives d’une industrie à bout de souffle au travers de riches interviews de spécialistes, notamment la célèbre prévisionniste Li Edelkoort, et d’animations graphiques. À New York, Tel-Aviv, Amsterdam ou Paris, le film donne aussi la parole à une nouvelle internationale d’activistes de la mode, désireux de repenser le système dans son ensemble. De Daniel Harris, jeune producteur anglais de tweed qui prône un retour au tissage manuel, à Iris Van Herpen, pionnière dans l’utilisation de la 3D, des créateurs bourrés d’idées novatrices livrent leur vision de la haute couture.
Réjouissant.
]]> États-Unis : un jugement autorisant l’impression d’armes en 3D inquiète des élus AFP à Washingtown - 28 juillet 2018 - Le Devoir
▻https://www.ledevoir.com/monde/etats-unis/533409/etats-unis-un-jugement-autorisant-l-impression-d-armes-en-3d-inquiete-des-
Des élus américains s’inquiètent d’un récent jugement qui autorise la distribution gratuite aux États-Unis d’un programme d’impression en 3D d’armes de poing en plastique, faciles à dissimuler et quasi impossibles à contrôler.
Après des années de batailles devant les tribunaux, le gouvernement américain a finalement conclu un accord à l’amiable avec un militant texan du port d’armes, Cody Wilson, qui exigeait au nom du deuxième amendement de la Constitution américaine sur le droit à porter des armes, de permettre la fabrication d’armes chez soi, sans le contrôle des autorités car elles ne portent pas de numéro de série, et pour une somme modique.
Cet accord a été conclu le 29 juin entre le Département d’État, qui contrôle les exportations américaines d’armement, et le groupe Defense Distributed (DD) de M. Wilson, mais son existence est restée secrète jusqu’à ce que des groupes militant pour un renforcement de la réglementation des armes aux États-Unis n’exigent sa publication la semaine dernière.
L’accord à l’amiable autorise « tout résident des États-Unis […] à avoir accès, discuter, utiliser, reproduire ou bénéficier des informations techniques » mises à la disposition du public sur le site de Defense Distributed. Il prévoit que M. Wilson recevra près de 40 000 dollars au titre de dommages et intérêts.
Le site de DD invite toute personne intéressée à télécharger le programme à partir du 1er août.À condition de posséder une imprimante en 3D dont le coût avoisine les 2000 dollars, n’importe qui pourra donc à partir de la semaine prochaine se fabriquer une arme pour quelques centaines de dollars de plus avec un corps en plastique.
L’accord ne donne aucune justification à cette décision mais des programmes similaires ont été conçus dans d’autres pays, notamment en Chine, au Royaume-Uni ou encore au Japon.
Qualifiant cet accord à l’amiable de « stupéfiant » et la décision de dédommager M. Wilson d’« inexplicable », cinq sénateurs démocrates ont exigé dans une lettre ouverte que le gouvernement justifie sa décision et leur fournisse des explications écrites.
« Cet accord permettra à ces manuels d’être postés en ligne pour une distribution illimitée à tous — y compris des criminels et des terroristes — aussi bien ici, aux États-Unis, qu’à l’étranger », ajoutent les sénateurs.
« La décision de l’administration Trump ne fera qu’aggraver l’épidémie de violence armée aux États-Unis », ont renchéri jeudi 42 élus démocrates de la Chambre des représentants, notant que ces armes « ne portent pas le numéro de série d’un constructeur et peuvent être fabriquées avec des matériaux plastiques qu’il sera impossible de détecter aux contrôles de sécurité ».
« Nous ne devrions pas devoir attendre que quelqu’un tue une personne dans les bureaux de la Chambre des représentants après avoir franchi un contrôle de sécurité avec une arme en plastique imprimée en 3D pour faire quelque chose pour arrêter ceci », concluent les élus démocrates.
#imprimante_3d #impression_3d #3d #imprimantes_3d #armes #usa #net
]]>How the world’s first habitable 3D printed houses are made – video | World news | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/world/video/2018/jun/06/how-the-worlds-first-habitable-3d-printed-houses-are-made-video
Eindhoven in the Netherlands is set to become the first district in the world to have habitable homes, made with a 3D printer. Houses have been made with 3D printers before but none has been fit for people to live in. The Dutch team behind the innovation hope the system will revolutionise the construction industry with far more energy-efficient, eco-friendly homes
World’s first 3D-printed bridge opens to cyclists in Netherlands | Technology | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/technology/2017/oct/18/world-first-3d-printed-bridge-cyclists-netherlands
World’s first 3D-printed bridge opens to cyclists in Netherlands
Crossing printed from 800 layers of concrete could take weight of 40 trucks, designers say
]]>Geometrical kinetic tarts – DINARA KASKO
▻http://www.dinarakasko.com/geometrical-kinetic-tarts
(via Nadieh Bremer)
Les posts récents (#voronoi) sur les réseaux cellulaires m’ont refait penser à ▻http://n-e-r-v-o-u-s.com
Ils fabriquent des trucs (bijoux, lampes, puzzles) en utilisant des méthodes génératives (et #impression_3D) s’inspirant de la nature.
On peut parfois faire ses propres pièces avec un configurateur.
Our work at Nervous System combines scientific research, computer graphics, mathematics, and digital fabrication to explore a new paradigm of product design and manufacture. Instead of designing objects, we craft computational systems that result in a myriad of distinct creations. These forms are realized using computer-controlled manufacturing techniques such as 3D printing, laser cutting, and CNC routing.
]]>En #Birmanie, l’#impression_3D à la rescousse des #paysans
Ils n’ont souvent pas l’électricité et encore moins de tracteurs, mais les paysans birmans ont maintenant accès à une nouvelle technologie de pointe : l’impression 3D qui permet de concevoir des outils sur mesure.
▻http://www.courrierinternational.com/sites/ci_master/files/styles/image_original_765/public/afp/844532097c2556f957bde962c35ae3cf10785a40.jpg?itok=iB9wYgrO
▻http://www.courrierinternational.com/depeche/en-birmanie-limpression-3d-la-rescousse-des-paysans.afp.com.2
#agriculture #technologie
Je veux une vraie courgette, un vrai poisson, une vraie aubergine, mais apparemment, je ne suis pas du tout à la pointe de la technologie culinaire...
#3D Printing Food for an Entire Restaurant Menu
You’ve probably heard of 3D printing. But how about 3D printing food? How does it work? What can you make? How does it taste? Well, you’re about to find out…
L’#impression_3D peut sauver des vies. Cette nouvelle #technologie pourrait transformer les efforts de #déminage
En 2008, lors de la bataille de Sadr City qui s’était engagée cinq ans après le début de la guerre d’Irak, Allen Tan a failli être réduit en charpie.
La machine à faire des médicaments - Technology Review
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/142782939692
Le MIT a développé une unité autonome capable de produire 4 médicaments très courants (le Benadryl, Valium, Prozac, et la lidocaine, un anesthésique local). Une machine capable de produire très rapidement et localement (notamment pour des situations d’urgence) des médicaments, un peu comme une imprimante 3D pour la santé. Via la Technology Review.
]]>Amalgamma develops 3D-printed concrete for building
▻http://www.dezeen.com/2016/01/21/amalgamma-develops-3d-printing-concrete-technique-building-structures-bartle
A group of students from the Bartlett School of Architecture has developed a method of 3D printing concrete to create structural elements and large furniture pieces.
]]>Etre la machine des machines - Laura Devendorf
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/137675548977
Le projet Etre la machine des machines de l’artiste Laura Devendorf est un intéressant détournement des technologies d’impression 3D. Il consiste à utiliser les modèles et instructions fournies aux imprimantes 3D aux humains plutôt qu’aux machines en leur proposant de fabriquer les objets, couche par couche, à la main, grâce à un pointeur laser qui guide l’humain dans la réalisation des différentes couches permettant de réaliser l’objet. Elle réalise ainsi des sculptures en pâte à crêpe (vidéo) ou en glaise (vidéo), dans sa cuisine ou en extérieur. Derrière sa réalisation, l’artiste questionne bien sûr nos rapports aux machines. Pourquoi travailler avec des imprimantes 3D nous obligerait à déléguer le travail à une machine ? Comment engager un travail plus coopératif entre l’homme et la machine, une négociation (...)
]]>L’impression 3D, aussi toxique que l’amiante ?
▻http://www.zdnet.fr/actualites/l-impression-3d-aussi-toxique-que-l-amiante-39827860.htm
Quel recyclage pour les objets 3D toxiques ? Les conclusions des chercheurs portent sur la nécessité de mettre en place une règlementation liée aux matériaux utilisés pour créer des pièces d’impression 3D. Des questions se posent également sur le recyclage des pièces et des matériaux utilisés pour l’impression 3D, tant solide que liquide.
« Beaucoup de gens, moi y compris, sont très enthousiastes à propos de l’impression 3D » mentionne William Grover. « Mais nous devons vraiment prendre un peu de recul et poser la question de la sécurité des matériaux utilisés ».
]]>Unimorph : les interfaces thermosensibles - DesignBoom
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/130802561643
Le groupe des médias tangibles du MIT vient de publier une vidéo présentant unimorph, un projet de recherche proposant une technologie de fabrication d’interfaces capables de changer de forme. L’enjeu : créer des interfaces thermosensibles à faire soi-même capables de changer de formes à la demande - se plier, s’enrouler, se tordre, s’articuler… -, rapporte DesignBoom. Parmi les applications imaginées par le groupe de recherche, des post-its qui réagissent au toucher, des étuis adaptatifs pour nos objets électroniques, ou des signets électroniques pour nos livres papiers…
]]>Cartographie de l’impression 3D - 3Dhubs
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/128834541677
Tendances de l’impression 3D par 3Dhubs.
]]>Imprimer ses vêtements en 3D - Engadget
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/119833413541
Engadget évoque le lancement du projet Electroloom sur Kickstarter qui vise à construire une imprimante 3D capable de “tisser” des vêtements depuis du polyester et du coton liquide (vidéo). Des vêtements sans coutures dont les effets de relief peuvent être personnalisés par les utilisateurs. Comptez 17 heures pour imprimer un débardeur. Pour l’instant, l’enjeu d’Electroloom n’est pas de proposer un produit grand public, mais une imprimante en version alpha (pour 4500 dollars, livrée avec 1,5 litres de solutions pour imprimer 7 bonnets, 4 débardeurs ou 3 jupes) à des concepteurs pour améliorer son système.
]]>Tinkerplay : l’impression 3D pour les #enfants - Metro
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/116015047021
Tinkerplay est un logiciel qui permet de créer des personnages jouets depuis des modules prédéterminés, de les personnaliser, puis de les imprimer sur son imprimante 3D. Via Metro.
]]>Les appareils électroniques imprimés en 3D arrivent - Singularity Hub
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/108810021139
La nouvelle imprimante 3D de Voxel8 annonce pouvoir imprimer des dispositifs électroniques fonctionnels en un seul morceau. Elle ne peut pas pour l’instant imprimer tous les composants d’un smartphone par exemple, bien sûr, mais, grâce à sa seconde buse lui permettant d’imprimer des circuits conducteurs (la première imprime du plastique), on peut lui connecter des composants comme des moteurs, un processeur, une batterie. Une vidéo de démonstration montre le dispositif d’impression d’un drone du début à la fin. L’imprimante peut imprimer des antennes, des bobines électromagnétique ou des circuits intégrés. Pour SingularityHub, c’est là une preuve de concept qui annonce l’impression personnalisée d’appareils électroniques. Voxel8 souhaite développer des “encres” spécifiques pour imprimer des résistances, (...)
]]>Imprime-toi toi-même - New Yorker
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/104827942519
Jerome Groopman pour le New Yorker fait le point sur le rôle de plus en plus étonnant que joue l’impression 3D dans le domaine de la #médecine. Il évoque d’abord le rôle qu’elle a joué dans l’opération d’un bébé de trois mois qui avait un sérieux problème respiratoire où les médecins ont reproduit via une imprimante les canaux respiratoires altérées pour l’implanter chez l’enfant, fabricant une sorte d’attelle respiratoire personnalisée, permettant à sa poitrine et à ses cellules de se développer, puis à l’attelle de se dissoudre à mesure que l’enfant grandissait. Une procédure qui devient de plus en plus courante… L’impression 3D est utilisée pour créer des prothèses ou segments complexes et personnalisés. Il y évoque ainsi Invisalign, ces prothèses dentaires “invisibles” et imprimées à la demande ou encore (...)
]]>Trois objets utiles à imprimer - Discover Magazine
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/97039425926
Fatigué d’imprimer des “Crottbjects" ? Discover Magazine a décelé trois projets susceptibles de réellement améliorer notre quotidien. Bien entendu les spécifications de ces objets sont en #open_source et disponibles pour tout un chacun. Le premier est le F-F-Fiddle, un violon électrique dont on peut imprimer la plupart des parties en 10-20h pour environ 250 $. Bien sûr il faudra acquérir séparément certains éléments comme les cordes ou les composants électroniques.
Nous est proposé ensuite le E-Nable, une main prosthétique pour les gens ayant perdu un ou plusieurs doigts. On peut ouvrir ou plier les doigts artificiels par des mouvements du poignet. Attention, il s’agit d’un système mécanique destiné à remplacer des doigts et non d’une main robotique (ou même d’une main mécanique “complète”) comme les (...)
]]>Les Selfies boosteront-ils l’impression 3D ? - Bayl1ve
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/96952592985
Le succès planétaire du terme #selfie fait qu’il est de plus en plus rattrapé par le marketing, comme le souligne le blog satirique Your Selfie idea is not original. Le phénomène social - en 2014, près d’un milliard de Selfie auraient été pris dans le monde - se renforce à mesure que les téléphones se dotent de caméras orientées vers l’avant et que les applications de partages se démultiplient… Va-t-il pour autant devenir la coqueluche de l’impression 3D, questionne Bayl1ve ? Plusieurs startups se lancent à la conquête de la figurine personnalisable, comme Twinkind, My3DTwin, 3DFigureWorks, Shapify ou TwinDom. Reste que le coût de ces figurines n’est pas au même niveau que la gratuité du Selfie : comptez entre 25 et 300 $ selon la qualité de finition pour disposer d’un portrait de soi en 3D. Les crottbjets ont de (...)
]]>L’impression 3D va-t-elle changer le monde ? - New York Times
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/96438425664
Le New York Times a accueilli un autre débat intéressant cet été : les imprimantes 3D vont-elles changer le monde ? Au-delà des avis techno-béats habituels, quelques critiques intéressantes méritent l’attention. Comme celle de Nick Allen le fondateur de 3D Print UK, qui rappelle que l’impression additive est plus lente et plus coûteuse que la fabrication soustractive ou la fabrication par moulage. La qualité de finition aura toujours du mal a concurrencer celle des produits manufacturés. L’impression 3D permet surtout de faire des articles qui sont aujourd’hui très bon marché quand ils sont produits par la production de masse et en ce sens, elle n’est pas près de devenir son rival. Comparons avec l’impression papier, rappelle encore Nick Allen. Si tout le monde à une imprimante à domicile, qui y imprime son (...)
]]>« La #Gameboy fête, cette année, ses 25 ans d’existence. Pour l’occasion, il est désormais possible de fabriquer soi-même sa console portable. Avec un #Raspberry_Pi et l’#impression_3D, les bidouilleurs peuvent s’amuser à la reproduire chez eux pour renouer avec le rétro-gaming. »
▻http://www.tomsguide.fr/actualite/impression-3d-gameboy,44192.html
]]>Une imprimante 3D pour enfants - Boing Boing
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/89352733854
Printeer est un projet kickstater visant à produire industriellement une imprimante pour enfants. reliée à un Ipad. Selon ses promoteurs, cet appareil ne demande aucune connaissance technique, son usage s’apprend en 30 secondes et il n’existe aucune étape intermédiaire entre la conception et l’impression.Il suffit d’activer la touche “print” pour matérialiser sa création. Via Boing Boing
]]>Et maintenant on peut aussi imprimer des fruits - Cambridge News
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/87776612401
Une entreprise de Cambridge, Dovetailed, a réussi, en partenariat avec Microsoft Research de Cambridge, à mettre au point un système d’impression de fruits. Pour ce faire on fait tomber des gouttes de purée de fruit dans un récipient, lesdites gouttes se retrouvant assemblées par un processus de gastronomie moléculaire nommée sphérification. L’intérêt ? On peut mélanger des purées différentes et créer ainsi de toutes nouvelles saveurs.
]]> Colorfabb lance l’impression 3D à base de bronze et de bambou
▻http://www.3dnatives.com/colorfabb-bronze-bambou
Aujourd’hui, la société annonce tester deux nouveaux matériaux, le BronzeFill et le BambooFill, avant leur lancement officiel en Juin prochain.
Ça commence a devenir intéressant ces matériaux d’impression, du point de vue du rendu j’entends. Parce que ce n’est pas non plus sans poser quelques questions du même type que les agrocarburants par exemple.
#Agriculture #Bambou #Bronze #Greenwashing #Impression_3D #Imprimante_3D
]]>Une imprimante 3D volante -New Scientist
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/85712909413
Cette vidéo du New Scientist nous montre un drone quadricoptère muni de deux substances substances chimiques produisant une espèce de mousse, et d’une imprimante 3d. Il est ainsi capable de construire des structures. Dans la vidéo, il dépose la mousse sur une boite, et lorsque la mousse a séché, celle-ci est devenue collante et le robot peut alors se saisir de l’objet et l’emporter. Un tel système pourrait par exemple servir à évacuer des déchets nucléaires ou réparer des bâtiments.
]]>Une imprimante 3D nanométrique - KurzweilAI
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/85198627667
IBM a mis au point une “imprimante 3D” capable de fonctionner au niveau du nanomètre et qui pourrait être utilisée pour construire la prochaine génération de transistors, qui doivent se situer en dessous de la barre des 30 nanomètres, selon KurzweilAI. Cette “imprimante”, contrairement à ses congénères macro, ne fonctionne pas de manière “additive”, mais “soustractive” en enlevant de la matière sur un support. Il s’agit en fait d’une espèce de “nanoburin”. IBM a confié la la fabrication de cette appareil à une société suisse, SwissLitho, qui le commercialisera sous le nom de NanoFrazor Explore. En guise de démonstration, les chercheurs ont réussi à “imprimer” une couverture du magazine National Geographics Kids sur un espace de 11x14 micromètres. 2000 de ces impressions pourraient tenir sur un grain de (...)
]]>L’impression 3D, pas encore prête pour une consommation de masse - Computer World
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/84511307584
Un rapport de Juniper Research semble montrer que les consommateurs ne sont pas encore prêts pour se lancer dans l’impression, 3D, explique Computer World. Pour l’instant, il manque à la fois des “killers applications” et un écosystème logiciel suffisamment riche pour permettre l’existence d’un marché de masse. Jusqu’ici il s’est vendu 44 000 imprimantes 3D pour un usage non professionnel. Il pourrait y en avoir un million en 2018, ce qui est certes bien mieux, mais reste marginal. Mais au delà de cette période, les choses pourraient changer, surtout si de grands acteurs comme HP se lancent dans ce domaine. Ce constructeur a en effet effectué plusieurs annonces alléchantes sur le sujet. La CEO d’ HP a en effet annoncé que sa compagnie avait résolu deux problèmes fondamentaux de l’impression 3D, la (...)
]]> BigBro : La prototypeuse ultime
▻http://blog.nicolasc.eu/bigbro-la-prototypeuse-ultime
Il y a peu, l’ami Zem avait su me motiver à me lancer dans la fabrication de ma propre imprimante 3D. Seulement voilà ; ça me rappelait cruellement l’époque où, faute de temps, j’avais dû abandonner mon projet de réalisation d’une CNC qui m’aurait notament rendu de grands services en me permettant de graver à l’anglaise mes circuits imprimés.
En effet, le rapprochement entre ces deux engins se fait assez rapidement puisqu’il « suffit » de remplacer la broche de fraisage par un extrudeur 3D pour imprimer.
Mais pourquoi s’arrêter là puisqu’il « suffit » également de remplacer l’extrudeur par un laser pour faire de la découpe ou de la gravure ; par une source d’air chaud pour souder, ou par le nécessaire pour placer des CMS...
Ambitieux mais génial. Très curieux de suivre ce projet.
#Prototypage_rapide #Impression_3D #Découpeuse_laser #Fablabs #Makers #DIY
]]>