Alan #Turing, #mathématicien et cryptologue anglais, fait partie des chercheurs qui ont fondé l’#informatique. Il est aussi un symbole du dialogue entre les disciplines (diffusé avec CNRS Images). ►http://sms.hypotheses.org/10030
Alan #Turing, #mathématicien et cryptologue anglais, fait partie des chercheurs qui ont fondé l’#informatique. Il est aussi un symbole du dialogue entre les disciplines (diffusé avec CNRS Images). ►http://sms.hypotheses.org/10030
Zum 11. September in Chile : « Man weiß sehr wenig über Allendes Zeit » | amerika21
▻https://amerika21.de/audio/231436/11-september-chile-allende
▻https://amerika21.de/files/a21/audio/2019/20190910-manweisehrwe-w15886.mp3
11.09.2019 - Der Weg in den demokratischen Sozialismus
Von Nils Brock, Radio Dreyeckland
1970 wurde die erste marxistische Regierung gewählt mit Salvador Allende an der Spitze. 1973 endete der Traum eines und einer jeden Linken mit einem Militärputsch und dem Suizid Allendes. Wir sprachen mit Nils vom Nachrichtenpool Lateinamerika in Berlin.
Seit 2017 forscht das crossmediale Rechercheprojekt „Allendes Internationale“, eine Kooperation des Nachrichtenpools Lateinamerika e.V. und der Rosa-Luxemburg-Stiftung.
Rappellons les informations disponibles sur #seenthis à propos du développement d’une société informatisée socialiste sous l’Unidad Popuplar.
Eden Medina Le Projet Cybersyn, La cybernétique socialiste dans le Chili de Salvador Allende
▻https://seenthis.net/messages/778647
On Cybernetics / Stafford Beer
►https://seenthis.net/messages/715741
Project Cybersyn
►https://seenthis.net/messages/562656
« team syntegrity » développées entre autres par le cybernéticien Stafford Beer.
▻https://seenthis.net/messages/368059#message368638
The Planning Machine. Project #Cybersyn and the (socialist) origins of the #Big_Data nation. Evgeny Morozov
►https://seenthis.net/messages/300406
Letanía para un computador y para un niño que va a nacer
Texte : Stafford Beer, Musique : Angel Parra
►https://seenthis.net/messages/174261
Allende, l’informatique et la révolution, par Philippe Rivière
►https://seenthis.net/messages/15929
#données biométriques : des risques de sécurité
▻https://framablog.org/2019/09/08/donnees-biometriques-des-risques-de-securite
Rien de ce qui constitue notre vie numérique n’est totalement dépourvu de #failles, pas une semaine ne se passe sans qu’un #piratage massif ne soit révélé. C’est par millions que nos données d’internautes sont exposées, y compris et peut-être surtout … Lire la suite
#Droits_numériques #Internet_et_société #biométrie #biostar2 #fuite #Reconnaissance_faciale #Securite #suprema
The techlash has come to Stanford.
▻https://slate.com/technology/2019/08/stanford-tech-students-backlash-google-facebook-palantir.html
Palantir is about a 15-minute walk from Stanford University. That stone’s-throw convenience helped one morning in June when a group of Stanford students perched on the third story of a parking garage across the street from the data-analytics company’s entrance and unfurled a banner to greet employees as they walked into work: “OUR SOFTWARE IS SO POWERFUL IT SEPARATES FAMILIES.”
The students were protesting Palantir software that U.S. Immigration and Customs Enforcement uses to log information on asylum-seekers, helping the agency make arrests of undocumented family members who come to pick them up. The activists are members of a campus group called SLAP—Students for the Liberation of All People—that was founded by Stanford freshmen the winter after Donald Trump was elected president. At first, the group focused on concerns shared by leftist activists around the country: On the day of Trump’s inauguration, for example, members blocked the doors of a Wells Fargo near campus to protest the bank’s funding of the Dakota Access Pipeline and its history of racist lending practices. These days, though, SLAP has turned its attention to the industry in its backyard: Big Tech.
This might all sound like standard campus activism. But many of SLAP’s peers don’t see the group—and another, softer-edged student organization called CS+Social Good—as marginal or a nuisance. Even computer science students whom I interviewed told me they were grateful SLAP is making noise about Silicon Valley, and that their concerns reflect a growing campus skepticism of the technology industry, even among students training to join it.
Many of the computer science students at Stanford I talked to oscillated as they described how they feel about companies like Facebook, Microsoft, Amazon, and Google. Some told me they would never work for one of these companies. Others would but hope to push for change from within. Some students don’t care at all, but even the ones who would never think twice about taking a job at Facebook aren’t blind to how the company is perceived. “It probably varies person to person, but I’m at least hopeful that more of the Stanford CS community is thoughtful and critical of the morality of choosing a place to work these days, rather than just chasing prestige,” Neel Rao, a computer science undergrad at Stanford, told me in an online chat. “And that a lot of this is due to increasing coverage of major tech scandals, and its effect on mainstream public sentiment and distrust.”
But unlike Computer Professionals for Social Responsibility—and in contrast with the current direct-action approach of SLAP—CS+Social Good is primarily focused on changing computer science higher education from the inside. The organization has worked with the university to create new electives in Stanford’s CS department, like “A.I. for Social Good” and studio classes that allow students to partner with nonprofits on tech projects and get credits. And CS+Social Good has expanded to other campuses too—there are now more than a dozen chapters at campuses across the country. At Stanford, CS+Social Good counts more than 70 core members, though well over 1,000 students have attended its events or are enrolled in the classes it’s helped design.
La #multiplication réinventée | CNRS Le journal
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-multiplication-reinventee
Adaptation des proportions d’une recette, calcul de pourcentages, résolution de problèmes de $mathématiques, programmes informatiques… La multiplication est cruciale dans bien des domaines. Rien d’étonnant donc à ce qu’elle soit l’une des quatre opérations algébriques rudimentaires enseignées à l’école – avec l’addition, la soustraction et la division. Or voilà que lors de travaux récents, Joris van der Hoeven, du Laboratoire d’#informatique de l’École polytechnique1, à Palaiseau (Essonne), et son collègue australien David Harvey, de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud, sont parvenus à développer une méthode permettant de multiplier plus rapidement les #nombre_entiers (donc sans virgule). De quoi « aider à augmenter la vitesse de #calcul des #ordinateurs », se réjouit Joris van der Hoeven.
Problème : pour l’instant la nouvelle méthode n’est valable que pour de très grands nombres, « avec plus de 20 milliards de milliards de milliards de chiffres », détaille Joris van der Hoeven.
[…]
« Des variantes de notre algorithme pourraient aussi être implantées dans des logiciels utilisant l’algorithme dit de la “transformation de Fourier rapide” (ou #FFT), utilisé couramment pour traiter et interpréter des signaux numérisés dans divers domaines : simulation informatique, mécanique des fluides, traitement d’images, etc. », ajoute l’informaticien.
Ces #microtravailleurs de l’ombre | CNRS Le journal
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/ces-microtravailleurs-de-lombre
Quel est le portrait-robot du microtravailleur ?
A. C. : Notre enquête révèle une #géographie_sociale marquée par la #précarité, dont certains aspects sont assez alarmants. Le microtravailleur est d’abord une microtravailleuse, souvent chargée de #famille et possédant un #emploi principal à côté. 56 % des microtravailleurs en France sont en effet des #femmes ; 63 % des microtravailleurs ont entre 25 et 44 ans, et 64 % ont un emploi principal. Ils travaillent dans les secteurs de la santé, de l’éducation, ou encore dans les services publics… et utilisent le microtravail comme #revenu de complément.
L’investissement des femmes dans le microtravail, assez important dans certains cas, montre un glissement de celles-ci vers la « triple journée » : l’activité sur les plateformes de microtravail vient s’ajouter à un emploi à temps plein et aux tâches ménagères et familiales. À noter que 22 % des microtravailleurs sont au-dessous du seuil de pauvreté, ce qui confirme un réel problème de précarité économique dans notre pays. Enfin, et c’est assez surprenant pour des tâches dont on dit qu’elles ne demandent aucune qualification, les microtravailleurs sont plus diplômés que la moyenne de la population. Ainsi, 43 % ont un diplôme supérieur à Bac+2. Leur motivation principale pour le microtravail est avant tout l’argent, mais aussi la flexibilité qu’il autorise : on peut se connecter à n’importe quelle heure et y passer le temps que l’on souhaite puisque l’on est généralement payé à la pièce.
#travail #informatique #intelligence_artificielle #droit_du_travail
User Inyerface - A worst-practice UI experiment
▻https://userinyerface.com
Hi and welcome to User Inyerface, a challenging exploration of user interactions and design patterns. To play the game, simply fill in the form as fast and accurate as possible. Source: Relevé sur le Net...
La « loi de Neven », plus fort que la loi de Moore ?
▻http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/la-loi-de-neven-plus-fort-que-la-loi-de-moore
Malgré certaines voix discordantes, il semblerait bien que l’informatique quantique progresse, et progresse très vite. Pour preuve, cette histoire relatée par le magazine Quanta : « En décembre 2018, les chercheurs de Google AI ont effectué un calcul sur le meilleur processeur quantique de Google. Ils ont été capables de reproduire le (...)
Souris ergonomique verticale
On n’en parlé quelque fois ici mais personne n’avait testé. J’ai testé. Après avoir construit un tableau un peu copieux, j’avais une douleur dans le poignet... et un autre tableau tout aussi copieux à constituer. J’ai donc franchi le pas en consultant les différentes critiques publiées ici ou là. Pour ce premier essai j’ai opté pour une solution pas trop cher et écarté d’emblée la souris mac (150€) et la logitech (109€).
J’ai commandé la souris sans fil compatible pc, mac, linux Anker (20€) et ça le fait très bien. Deux fonctions ne marchent pas sur mac, page précédente-page suivante, mais perso ça m’est égal.
Plus déroutant pour moi, la navigation sur illustrator qui était multidirection avec mon ancienne souris mais en même temps cela présentait des inconvénients, notamment le déplacement intempestif de mon image dans la fenêtre. Maintenant je dois naviguer avec les curseurs latéral et bas de fenêtre. Bon, peut-être c’est différent avec les souris mac et logitech.
En attendant, mes douleurs s’estompent et je peux de nouveau travailler sur mon tableau.
#informatique #travail #test
Perso je n’utilise plus du tout de souris sur le Mac : ça fait des années que je suis passé au Magic Trackpad (version 2 désormais), qui est ce très grand trackpad « séparé » pour Mac de bureau.
Je trouve ça extrêmement précis, et ça réduit énormément les mouvements et les efforts de la main, notamment cette espèce de crispation quand on doit faire revenir la souris vers soi en maintenant cliqué.
Après, comme c’est du Apple, pour sauver ton bras qui travaille, justement ça coûte un bras.
Je ne connaissais pas ce système, c’est le même prix que la souris ergonomique Apple... Quand je pourrais m’offrir la gamme au-dessus, j’y réfléchirai du coup.
Il y a aussi la #tablette_graphique dont le stylet est proche de la prise en main de la souris verticale. (mais assez chère aussi, 50€ minimum).
L’idéal est le changement régulier de posture et d’outil.
Facile à dire, moins facile à faire car comme tu le soulignes @odilon chaque outil a sa propre ergonomie nécessitant une réadaptation.
Mais cette perte temporaire de « productivité » met en jeu la plasticité intellectuelle et en parallèle une plasticité physique qui active de nouveaux muscles etc.
A titre d’exemple @jacotte s’est bricolée un poste de travail « debout » pour varier les postures.
#névralgie_cervico_brachiale #syndrome_de_la_souris #canal_carpien
Pour la posture debout, c’est fait :) J’ai bricolé mes plans de travail depuis plusieurs années et possibilités assise ou debout.
Au boulot, le SPT délivre des bons pour souris verticales, c’est apparemment très efficace pour les problèmes main/poignet. Une ou deux personnes ont alors des soucis coude/épaule... Le changement de position et workrave restent deux incontournables (▻http://www.workrave.org) sous GNU/Linux et M$. Pour Mac je connais pas.
Avancées en machine learning vidéo
Un nouvel algorithme permet de créer des vidéos de type « deepfake » simplement en saisissant du texte. À ne pas mettre entre toutes les mains.
Ajouts notoires :
– mouvement des mains
– ajout / remplacement de mots
– traduction en direct
– compléments sonores non prononcés
▻https://www.youtube.com/watch?v=0ybLCfVeFL4
Apprendre la multiplication aux ordinateurs quantiques
▻http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/apprendre-la-multiplication-aux-ordinateurs-quantiques
On attend avec impatience l’arrivée des ordinateurs quantiques, et surtout le moment où ils achèveront la suprématie quantique, c’est-à-dire quand ils seront capables d’exécuter des tâches inaccessibles aux ordinateurs classiques. Pour des tas de raisons, il y a encore beaucoup de travail : combat contre la décohérence, correction des erreurs, mais (...)
When Workers Control the Code
Best of all, though, they would own their own code, with no Silicon Valley “disrupter” skimming profits off the top. “Any decisions on how the tech will be used is up to them,” Morse tells me.
In practice, that means more money goes to the people who actually put in the elbow grease.
▻https://www.wired.com/story/when-workers-control-gig-economy
Via ▻https://www.metafilter.com/180785/Hire-a-cleaning-co-op-Theres-an-app-for-that-and-they-built-it
#travail #code #informatique #aliénation #elbow_grease
@klaus participe à un projet similaire pour les #taxis de Berlin
Plein d’infos sur la radio !
▻https://nantes.indymedia.org/articles/45450
Radio Cayenne, à #Nantes, une radio qui cause #de luttes (et pas que), en direct (presque) tous les lundis à 19h sur ►https://radiocayenne.antirep.net Automédia, autogéré, si toi aussi tu veux participer n’hésite pas à nous contacter ;)
#Informatique #Médias #Répression #Resistances #contrôle #social #/ #prisons #centres #rétention #quartiers #populaires #gilets_jaunes #Informatique,Médias,Répression,Resistances,contrôle,social,/,prisons,centres,de,rétention,quartiers,populaires,gilets_jaunes
Voici une nouvelle passionnante pour la communauté C ++ : une conférence à Paris a été officiellement annoncée !
Progrès , nous devons tous progresser en C++. La CPPP proposera des pistes pour les débutants ou pour ceux qui souhaitent consolider leurs bases en C++. (conférences en français, ce seront les seules)
Produisez , pour les personnes de l’industrie du logiciel qui travaillent avec C++ et qui cherchent des conseils pratiques et des techniques pour être plus productif avec C++ dans leur travail quotidien.
Poussez plus loin , pour les passionnés de C++ qui aiment pousser le langage au-delà de ses limites et accomplir des prouesses techniques.
Nous sommes tous un peu les trois, je suppose, donc je m’attendrais à ce que la plupart des gens naviguent entre ces trois voies pendant la conférence.
La date est le 15 juin 2019 . Ça approche vite !
Katie Bouman: The woman behind the first black hole image - BBC News
▻https://www.bbc.com/news/science-environment-47891902
A 29-year-old computer scientist has earned plaudits worldwide for helping develop the algorithm that created the first-ever image of a black hole.
Katie Bouman led development of a computer program that made the breakthrough image possible.
The remarkable photo, showing a halo of dust and gas 500 million trillion km from Earth, was released on Wednesday.
For Dr Bouman, its creation was the realisation of an endeavour previously thought impossible.
Excitedly bracing herself for the groundbreaking moment, Dr Bouman was pictured loading the image on her laptop.
“Watching in disbelief as the first image I ever made of a black hole was in the process of being reconstructed,” she wrote in the caption to the Facebook post.
She started making the algorithm three years ago while she was a graduate student at the Massachusetts Institute of Technology (MIT).
There, she led the project, assisted by a team from MIT’s Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory, the Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics and the MIT Haystack Observatory.
Skip Facebook post by Katie
Report
End of Facebook post by Katie
The black hole image, captured by the Event Horizon Telescope (EHT) - a network of eight linked telescopes - was rendered by Dr Bouman’s algorithm.
But Dr Bouman, now an assistant professor of computing and mathematical sciences at the California Institute of Technology, insisted the team that helped her deserves equal credit.
Taking the temperature of black holes
Hawking: Black holes store information
Dozen black holes at galactic centre
The effort to capture the image, using telescopes in locations ranging from Antarctica to Chile, involved a team of more than 200 scientists.
“No one of us could’ve done it alone,” she told CNN. “It came together because of lots of different people from many different backgrounds.”
No single telescope is powerful enough to capture the black hole, so a network of eight was set up to so do using a technique called interferometry.
The data they captured was stored on hundreds of hard drives that were flown to central processing centres in Boston, US, and Bonn, Germany.
Dr Bouman’s method of processing this raw data was said to be instrumental in the creation of the striking image.
She spearheaded a testing process whereby multiple algorithms with “different assumptions built into them” attempted to recover a photo from the data.
The results of the algorithms were then analysed by four separate teams to build confidence in the veracity of their findings.
“We’re a melting pot of astronomers, physicists, mathematicians and engineers, and that’s what it took to achieve something once thought impossible,” Dr Bouman says.
Katie Bouman - Insolite : la 1ère photo d’un trou noir s’est affichée sur un MacBook Pro
▻https://www.mac4ever.com/actu/142719_insolite-la-1ere-photo-d-un-trou-noir-s-est-affichee-sur-un-macbook
Hier, la première photographie d’un trou noir était dévoilée sur le net, créant le buzz très rapidement. En effet, le cliché est présenté comme une avancée scientifique majeure, dépassant le seul domaine de l’astronomie. Longtemps considérée comme impossible à réaliser, l’opération a demandé des années de préparations, huit radiotelescopes coordonnés à travers le monde et un soupçon de bonnes conditions.
Au-delà du projet Event Horizon Telescope, des 200 chercheurs mobilisés et des moyens techniques mis en œuvre, c’est un simple MacBook Pro d’une jeune diplômée du MIT, qui a affiché en tout premier cette image du trou noir super massif, situé dans la galaxie M87, à 55 millions d’années lumière de la Terre.
Image Katie Bouman
Embauchée il y deux ans, Katie Bouman a mis au point un algorithme qui a permis de combiner tous les clichés pris -en avril 2017- en un seul. Finalement, la photo ci-dessus a pu être prise lorsque l’image définitive du trou noir est enfin apparue sur l’écran de son MacBook Pro.
Pour la petite histoire, ce sont 5 pétaoctets de données enregistrées par les huit observatoires, qui ont été nécessaires pour dévoiler ce trou noir. Cette masse de données a été impossible à transférer numériquement vers le laboratoire où travaillait Katie Bouman et a du faire l’objet d’un transport spécial, pour acheminer les quelques 500Kg de disques durs.
Elle utilise quoi comme ordi ? J’arrive pas à voir sur la photo et j’ai pas trouvé dans l’article. :)
Tant qu’à faire :
The breathtaking image from the #EventHorizon telescope is a real achievement for science, and a nice demo of the power of collaboration. Also nice to see (in a behind-the-scenes video shared on the bird site) some laptops involved were running #Ubuntu!
▻https://mamot.fr/system/media_attachments/files/003/960/980/original/d762da77af874d41.png?1554923192
▻https://floss.social/@omgubuntu/101903445934039236
Sur la photo, ça a bien l’air d’un MacBook pas tout jeune, vu la connectique (pas USB-3).
EDIT : ah ben c’est dans le titre…
@simplicissimus oui c’est dans le titre et « MacBook Pro » apparaît 3 fois en tout en 1/4 de page.^_^
Depuis, elle se fait harceler. Tous les journaux ont titré « victime de son succès » genre shaming. Mais elle se fait agresser par des mecs que son succès dérange.
Et Unity, est très bien !!! J’aime pas GNOME non plus (ni KDE, ni mate, ni cinamon, ni lxce...)
Je suis resté deux jours sous Unity, à sa sortie. Ça m’a suffit et depuis je suis sous Xfce avec Xubuntu.
Je suis resté 5 ans sous Unity, et je me demande comment l’installer dans la version communauté qui semble moins stable que du temps d’Ubuntu. Le problème, c’est Mir.
Katie Bouman -> Première image d’un trou noir : Une ex-étudiante du MIT héroïne du Web
▻https://www.20minutes.fr/sciences/2494095-20190411-premiere-image-trou-noir-ex-etudiante-mit-heroine-web
Euh, pas héroîne du web, de la science !!! Redonnons lui sa véritable place.
ASTRONOMIE Katie Bouman était en master quand elle a conçu l’un des algorithmes qui a permis d’obtenir cette image historique
Katie Bouman a joué un rôle central pour obtenir la première image d’un trou noir alors qu’elle était encore étudiante au MIT.
Katie Bouman a joué un rôle central pour obtenir la première image d’un trou noir alors qu’elle était encore étudiante au MIT. — MIT
L’oeil de Sauron ou un donut galactique, chacun y verra ce qu’il veut. Mais une chose est sûre : même si elle est floue, la première image d’un trou noir (ou plutôt de sa silhouette), dévoilée mercredi, marquera l’histoire de l’astronomie. Et si le projet international de l’Event Horizon Telescope (EHT) a mobilisé 200 chercheurs et huit télescopes dans le monde entier, un algorithme a joué un rôle central pour combiner les pièces du puzzle en une image. Il a été développé il y a trois ans par Katie Bouman, étudiante en master d’informatique au MIT à l’époque. Alors que le rôle des femmes dans les sciences n’a souvent pas été reconnu à sa juste valeur, la contribution de l’ancienne étudiante, qui doit avoir, selon nos calculs, 29 ou 30 ans, a été largement saluée sur Twitter.
La jeune femme, qui a depuis terminé sa thèse, a publié sur sa page Facebook une photo du moment où elle a vu pour la première fois l’image reconstituée, et l’image a fait le tour du Web.
Le MIT a également publié une photo de la chercheuse posant devant une cinquantaine de disques durs contenant un échantillon des données mesurées par les radiotélescopes pointés sur le trou noir géant au cœur de la galaxie M87. L’image évoque la photo de Margaret Hamilton à côté de la pile gigantesque du code informatique qu’elle avait écrit pour la mission Apollo.
Pour l’anecdote, les données mesurées par les satellites du projet EHT étaient tellement volumineuses qu’elles ne pouvaient pas être transmises par Internet : une demi-tonne de disques durs contenant 5 petaoctets (5.000 To ou 5 millions de Go) a été envoyée à l’observatoire Haystack du MIT par avion.
Deviner les portions manquantes de l’image
Sur cette première image historique d’un trou noir, on peut observer le disque d’accrétion autour du trou noir au centre de la galaxie M87.
Sur cette première image historique d’un trou noir, on peut observer le disque d’accrétion autour du trou noir au centre de la galaxie M87. - EHT
« Comment photographier un trou noir ? » Katie Bouman a expliqué le fonctionnement de son approche lors d’une présentation TEDx en 2017. Les huit radiotélescopes (eux-mêmes constitués de plusieurs dizaines d’antennes) couvrent la surface entière du globe, du Chili à Hawaï, en passant par la France et l’Antarctique. En les synchronisant, les chercheurs disposent ainsi d’un télescope virtuel du diamètre de la Terre. Le problème, c’est qu’il n’y a pas assez d’antennes : en quatre jours, les astronomes n’ont donc pu observer que quelques pièces du puzzle. C’est là qu’intervient l’algorithme de l’ex-étudiante.
A partir des fragments observés, l’algorithme, pour faire simple, fait le tri dans les parasites et extrapole les zones manquantes. En appliquant des techniques de « machine learning », il s’est entraîné à reconstituer des milliers d’images du quotidien puis a été appliqué à l’image parcellaire du trou noir, sans être influencé par les modèles physiques théoriques. La prouesse a permis de confirmer des prédictions faites par Albert Einstein dans sa théorie de la relativité générale. Un petit pas pour l’informatique, mais un bond de géant pour l’astronomie et la physique.
Le sondage 2019 de StackOverflow est sorti :
▻https://insights.stackoverflow.com/survey/2019
Alors, c’est pour les infos de genre que je la trouve intéressante :
– la France, ça craint
– on est pas pret de rattraper le retard
– l’inde c’est l’avenir du développement
– les informaticiens se surestiment
Je remplacerai ces analyses très fine par des captures et des commentaires plus classiques.
#stackoverflow #informatique
Facebook est ton ami
▻https://nantes.indymedia.org/articles/45211
Extrait de « sans attendre demain », Quelques infos sur le mouvement de révolte en cours :
#Informatique #Répression #contrôle #social #gilets_jaunes #nancy #Informatique,Répression,contrôle,social,gilets_jaunes
Des données de 540 millions d’utilisateurs de Facebook librement accessibles
▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/04/04/les-donnees-de-540-millions-d-utilisateurs-de-facebook-librement-accessibles
L’entreprise de #sécurité #informatique UpGuard a découvert que les #données de plus de 540 millions d’utilisateurs de Facebook étaient librement accessibles sur Internet. Dans un communiqué publié mercredi 3 avril, elle explique avoir découvert une base de données contenant des informations comme les noms, les commentaires, les « j’aime » et les réactions de 540 millions d’utilisateurs de #Facebook.
Elles étaient stockées sans protection sur un serveur, par l’entreprise mexicaine Cultura Colectiva, qui diffuse sur Internet des contenus « lifestyle ». Cette entreprise récoltait ces données, croit savoir UpGuard, pour analyser les réactions des utilisateurs à ses posts Facebook, afin de prédire quels futurs contenus s’annonçaient les plus prometteurs.
[...]
Les données retrouvées par #UpGuard « sont juste la dernière preuve en date que quand Facebook partage ses données avec des tiers, il n’a absolument aucun contrôle sur ce qu’elles deviennent », analyse Wired, magazine spécialisé dans les nouvelles technologies.
Facebook a contacté Amazon, qui louait les serveurs sur lesquels étaient hébergées les deux bases de données, afin qu’elles ne soient plus accessibles. Amazon s’est exécuté – Cultura Colectiva, qui avait mis sur un des serveurs la base de données de 540 millions d’utilisateurs, n’avait quant à elle pas donné suite aux alertes d’UpGuard, la première datant de janvier, a affirmé l’entreprise de sécurité informatique.
Indymedia Grenoble ou une petite histoire de l’autoritarisme ordinaire
▻https://nantes.indymedia.org/articles/45067
Communiqué du Collectif d’Indy Grenoble
#Informatique #Médias #contrôle #social #Informatique,Médias,contrôle,social
Women Once Ruled Computers. When Did the Valley Become Brotopia? - Bloomberg
▻https://www.bloomberg.com/news/features/2018-02-01/women-once-ruled-computers-when-did-the-valley-become-brotopia
Lena Söderberg started out as just another Playboy centerfold. The 21-year-old Swedish model left her native Stockholm for Chicago because, as she would later say, she’d been swept up in “America fever.” In November 1972, Playboy returned her enthusiasm by featuring her under the name Lenna Sjööblom, in its signature spread. If Söderberg had followed the path of her predecessors, her image would have been briefly famous before gathering dust under the beds of teenage boys. But that particular photo of Lena would not fade into obscurity. Instead, her face would become as famous and recognizable as Mona Lisa’s—at least to everyone studying computer science.
In engineering circles, some refer to Lena as “the first lady of the internet.” Others see her as the industry’s original sin, the first step in Silicon Valley’s exclusion of women. Both views stem from an event that took place in 1973 at a University of Southern California computer lab, where a team of researchers was trying to turn physical photographs into digital bits. Their work would serve as a precursor to the JPEG, a widely used compression standard that allows large image files to be efficiently transferred between devices. The USC team needed to test their algorithms on suitable photos, and their search for the ideal test photo led them to Lena.
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Lena
According to William Pratt, the lab’s co-founder, the group chose Lena’s portrait from a copy of Playboy that a student had brought into the lab. Pratt, now 80, tells me he saw nothing out of the ordinary about having a soft porn magazine in a university computer lab in 1973. “I said, ‘There are some pretty nice-looking pictures in there,’ ” he says. “And the grad students picked the one that was in the centerfold.” Lena’s spread, which featured the model wearing boots, a boa, a feathered hat, and nothing else, was attractive from a technical perspective because the photo included, according to Pratt, “lots of high-frequency detail that is difficult to code.”
Over the course of several years, Pratt’s team amassed a library of digital images; not all of them, of course, were from Playboy. The data set also included photos of a brightly colored mandrill, a rainbow of bell peppers, and several photos, all titled “Girl,” of fully clothed women. But the Lena photo was the one that researchers most frequently used. Over the next 45 years, her face and bare shoulder would serve as a benchmark for image-processing quality for the teams working on Apple Inc.’s iPhone camera, Google Images, and pretty much every other tech product having anything to do with photos. To this day, some engineers joke that if you want your image compression algorithm to make the grade, it had better perform well on Lena.
“We didn’t even think about those things at all when we were doing this,” Pratt says. “It was not sexist.” After all, he continues, no one could have been offended because there were no women in the classroom at the time. And thus began a half-century’s worth of buck-passing in which powerful men in the tech industry defended or ignored the exclusion of women on the grounds that they were already excluded .
Based on data they had gathered from the same sample of mostly male programmers, Cannon and Perry decided that happy software engineers shared one striking characteristic: They “don’t like people.” In their final report they concluded that programmers “dislike activities involving close personal interaction; they are generally more interested in things than in people.” There’s little evidence to suggest that antisocial people are more adept at math or computers. Unfortunately, there’s a wealth of evidence to suggest that if you set out to hire antisocial nerds, you’ll wind up hiring a lot more men than women.
Cannon and Perry’s work, as well as other personality tests that seem, in retrospect, designed to favor men over women, were used in large companies for decades, helping to create the pop culture trope of the male nerd and ensuring that computers wound up in the boys’ side of the toy aisle. They influenced not just the way companies hired programmers but also who was allowed to become a programmer in the first place.
In 1984, Apple released its iconic Super Bowl commercial showing a heroic young woman taking a sledgehammer to a depressing and dystopian world. It was a grand statement of resistance and freedom. Her image is accompanied by a voice-over intoning, “And you’ll see why 1984 won’t be like 1984.” The creation of this mythical female heroine also coincided with an exodus of women from technology. In a sense, Apple’s vision was right: The technology industry would never be like 1984 again. That year was the high point for women earning degrees in computer science, which peaked at 37 percent. As the number of overall computer science degrees picked back up during the dot-com boom, far more men than women filled those coveted seats. The percentage of women in the field would dramatically decline for the next two and a half decades.
Despite having hired and empowered some of the most accomplished women in the industry, Google hasn’t turned out to be all that different from its peers when it comes to measures of equality—which is to say, it’s not very good at all. In July 2017 the search engine disclosed that women accounted for just 31 percent of employees, 25 percent of leadership roles, and 20 percent of technical roles. That makes Google depressingly average among tech companies.
Even so, exactly zero of the 13 Alphabet company heads are women. To top it off, representatives from several coding education and pipeline feeder groups have told me that Google’s efforts to improve diversity appear to be more about seeking good publicity than enacting change. One noted that Facebook has been successfully poaching Google’s female engineers because of an “increasingly chauvinistic environment.”
Last year, the personality tests that helped push women out of the technology industry in the first place were given a sort of reboot by a young Google engineer named James Damore. In a memo that was first distributed among Google employees and later leaked to the press, Damore claimed that Google’s tepid diversity efforts were in fact an overreach. He argued that “biological” reasons, rather than bias, had caused men to be more likely to be hired and promoted at Google than women.
The Old New Thing
Raymond Chen
Il est majoritairement tiré de 20 ans de ce blog :
▻https://devblogs.microsoft.com/oldnewthing
#ux #uxdesign #informatique
Grace Murray Hopper, l’informaticienne certainement la plus récompensée, et pas par n’importe qui !
_ Pour faire suite au billet de @aris :▻https://seenthis.net/messages/767643
Sa biographie wikipédia
Grace Murray Hopper, née le 9 décembre 1906 à New York et morte le 1er janvier 1992 dans le comté d’Arlington, est une informaticienne américaine et Rear admiral (lower half) de la marine américaine.
Elle est la conceptrice du premier compilateur en 1951 (A-0 System) et du langage COBOL en 1959.
Grace Brewster Murray est née le 9 décembre 1906 à New York. Elle étudie les mathématiques, la physique et l’économie au Vassar College, et en sort diplômée en 1928. En 1934, elle obtient un doctorat en mathématiques de l’université Yale.
La jeune femme enseigne les mathématiques au Vassar College entre 1931 et 1944. Elle épouse en 1930 Vincent Hopper, un professeur de littérature. Le couple, qui n’a pas d’enfants, divorce en 19451.
Carrière
En 1943, Grace Hopper s’engage dans la marine américaine. Promue au grade de lieutenant, elle est affectée l’année suivante au Bureau of Ordnance Computation Project de l’université Harvard. Elle travaille dans l’équipe de Howard Aiken sur l’ordinateur Harvard Mark . Elle fait partie du premier groupe, comptant trois personnes, apprenant à le programmer.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle quitte le service actif de la marine, mais continue à travailler au développement des ordinateurs Harvard Mark II puis Harvard Mark III pour le compte du Computation Laboratory d’Harvard.
En 1949, Grace Hopper est employée par Eckert–Mauchly Computer Corporation (en) (EMCC) et rejoint l’équipe développant UNIVAC à Philadelphie. En 1950, la compagnie est rachetée par Remington Rand. Hopper conçoit l’année suivante le premier compilateur pour UNIVAC I, nommé A-0 System.
À partir de 1957, elle travaille pour IBM, où elle défend l’idée qu’un programme devrait pouvoir être écrit dans un langage proche de l’anglais plutôt que d’être calqué sur le langage machine, comme l’assembleur.
De cette idée naît le langage #COBOL en 1959.
En 1966, conformément au règlement en vigueur, elle doit quitter la Navy après avoir atteint l’âge de 60 ans, mais est rappelée l’année suivante.
Au cours des années 1970, elle mène les travaux d’établissement de normes pour les ordinateurs, en particulier les premiers langages de programmation évolués : le #Fortran et le COBOL.
Grace Hopper au clavier de l’UNIVAC, vers 1960. Grace Hopper reste dans la Marine jusqu’en 1986, date à laquelle elle prend sa retraite avec le grade de Rear admiral (lower half). Elle est alors l’officier le plus âgé de la marine américaine.
Jusqu’à son décès en 1992, elle est employée comme consultante externe par Digital Equipment, pour des conférences sur les débuts de l’informatique3. Elle est enterrée avec les honneurs militaires au cimetière national d’Arlington.
Distinctions
En 1986, Grace Hopper est décorée de la Defense Distinguished Service Medal, plus haute distinction existante pour les non-combattants3. En 1991, elle reçoit la National Medal of Technology pour « ses contributions novatrices dans le développement de langages de programmation »6.
Le 22 novembre 2016, Barack Obama lui décerne à titre posthume la médaille présidentielle de la Liberté7.
Hommages
En 1973, Grace Hopper est nommée « membre émérite » (distinguished fellow) de la British Computer Society3. Elle est inscrite au National Women’s Hall of Fame en 19945. Près d’une cinquantaine de doctorats honoraires lui ont été décernés3. En 1997, un destroyer de la classe Arleigh Burke, est baptisé USS Hopper (DDG-70).
#femmes #genre #sexisme #culture_geek #informatique #us_navy #amiral
Le Cobol, un langage de programmation a peu prêt naturel, donc simple à apprendre.
Une petite partie des comptables, dans les entreprises ont donc été transformés en information.e.s, ce qui a permis l’éradication des comptables, et des employé.e.s de bureaux.
Pour information, une version française avait été développée, elle devait se nomer le « français ».
Il semble que ce langage de programmation soit toujours utilsé, dans 1 % des cas.
Pourquoi les filles ont délaissé l’informatique
▻http://theconversation.com/pourquoi-les-filles-ont-delaisse-linformatique-110940
C’est un fait qui saute aux yeux de tout organisateur de salon d’orientation post-bac ou de journées portes ouvertes en école d’ingénieurs : les garçons sont largement plus nombreux que les filles à se presser autour des stands dédiés aux métiers du numérique. On pourrait croire qu’il en a toujours été ainsi. D’ailleurs, cet état des lieux est ancré dans les mentalités, la figure du « geek » se déclinant encore souvent au masculin.
Cela ferait presque oublier qu’aux débuts de ce qu’on appelait l’« informatique », de nombreuses mathématiciennes ont joué un rôle clé. Parmi ces grandes figures, on peut citer Grace Hopper, qui a imaginé la notion de compilateur et en a fait le premier prototype en 1952. C’est une femme, Mary Keller, qui a soutenu la première thèse en informatique, en 1965.
On peut citer aussi Kathleen Booth, pionnière de la reconnaissance de caractères et de la traduction automatique. Ou Barbara Liskov, qui programme en 1968 un des premiers jeux d’échecs, et devient professeure en intelligence artificielle au MIT.