• Maître Reiner FUELLMICH est formel ! Les ’vaccins’ sont là pour tuer ...!
    https://www.crashdebug.fr/maitre-reiner-fuellmich-est-formel-les-vaccins-sont-la-pour-tuer

    La télévision US admet publiquement que l’Hydroxychloroquine fonctionne contre le sars-cov2 et que les emails de Fauci révèlent qu’il le savait, mais l’a sciemment décrédibilisée pendant 18 mois pic.twitter.com/XR5VOBiGFZ — Idriss J. Aberkane Ph.D, Ph.D & Ph.D (@idrissaberkane) June 8, 2021

    #InjectionPoison Nous, les soi-disant complotistes, le disons, le crions, depuis 2 ans !#genocide des populations 🚨🚨🚨🚨RT en masse, il faut arrêter ces meurtres de masse les amis. https://t.co/zYI2bDaiea — Tirami Soulier #Résistance (@TiramiSoulier) June 6, 2022

    Chiffres à multiplier par 10 à cause de la sous-déclaration. Des milliers de morts. Des millions de blessés par les injections 💉💉 de poisons. Ce n’est pas dit à la télé ! Ce sont pourtant des chiffres UE officiels. pic.twitter.com/vektMC8Gu6 — Julia Cerisi (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Nom, nom_site et bio etant des champs librement modifiables par les utilisateurs, on les protege comme des forums, via safehtml · a111edc67f - spip - SPIP on GIT
    https://git.spip.net/spip/spip/commit/a111edc6

    SPIP : exemple d’une bonne pratique pour instituer au niveau de la déclaration d’une table une protection automatique des données envoyées par les utilisateurs

    #SPIP #safehtml #filtrage #déclaration_table #injection_SQL

  • USA : le peloton d’exécution instauré en Caroline du Sud, pour permettre d’appliquer la peine de mort

    Le peloton d’exécution a été instauré en Caroline du Sud pour appliquer la peine capitale aux condamnés à mort qui peuvent également choisir la chaise électrique, a annoncé lundi le gouverneur de cet Etat du sud des Etats-Unis.

    « Ce week-end, j’ai ratifié une loi qui va permettre à l’Etat d’appliquer la peine de mort. Les familles et les proches des victimes sont en droit de faire leur deuil et d’obtenir justice grâce à la loi. Maintenant, nous pouvons le faire » , a expliqué Henry McMaster sur Twitter.

    Ce républicain, favorable à la peine capitale, souhaite reprendre les exécutions après une pause de dix ans dans son Etat en raison d’une pénurie de substances utilisées dans les injections létales.

    La loi, signée vendredi, fait de la chaise électrique le premier choix d’un condamné à mort à la place de l’injection létale, et autorise la formation d’un peloton d’exécution, qui devient la seconde option. 

    L’exécution par injection redeviendra l’option prioritaire quand les substances nécessaires seront à nouveau disponibles, selon le texte.

    Jusqu’ici, un condamné à mort devait choisir entre la chaise et l’injection, cette dernière option étant automatique s’il refusait de choisir. 

    L’organisation d’aide aux prisonniers Incarcerated Outreach Network, basée en Caroline du Sud, a dénoncé sur Twitter une décision « effroyable, choquante et abominable ».

    Le quatrième état à l’autoriser
    Pour le représentant local de la grande organisation de défense des droits civiques ACLU, Frank Knaack, l’Etat a « trouvé un nouveau moyen de redémarrer les exécutions au sein d’un système raciste, arbitraire et sujet aux erreurs ».

    « La justice de Caroline du Sud fait des erreurs mais la peine capitale est irréversible » , a-t-il ajouté dans un communiqué, soulignant que les personnes de couleur représentaient plus de la moitié des condamnés à mort, mais seulement 27% de la population de l’Etat.

    La chaise électrique, baptisée « Old Sparky » , n’a plus été utilisée depuis 2008 et la dernière exécution par injection date de mai 2011, selon le Département des prisons de l’Etat et les médias locaux.

    La Caroline du Sud est le quatrième Etat américain à autoriser l’application de la peine capitale par un peloton d’exécution, avec le Mississippi, l’Oklahoma et l’Utah, selon le Centre d’information sur la peine de mort (DPIC).

    Seulement trois condamnés sont morts devant un peloton d’exécution, tous dans l’Utah, depuis le rétablissement de la peine capitale par la Cour suprême en 1976, selon le Centre.

    Source : https://www.rtbf.be/info/societe/detail_usa-le-peloton-d-execution-instaure-en-caroline-du-sud-pour-permettre-d-

  • Le témoignage d’Olivane, jeune bretonne emprisonnée aux USA

    http://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/le-temoignage-d-olivane-jeune-bretonne-emprisonnee-aux-usa-5110481

    Après, on nous a remis un paquetage, des vêtements donc nous avons dû nous déshabiller presque totalement. Avec mon petit copain, on nous interdisait de communiquer avant d’être séparés et placés dans des cellules transitoires. Moi, je suis restée près de 3 h dans la mienne mais Evan est resté 7 h ! Après, il a fallu passer un examen médical. Un homme et une femme m’ont questionné à nouveau sur mon état de santé. J’ai eu une injection en restant coopérative car je pensais que c’était une prise de sang. En fait je n’ai pas compris ce qu’on m’injectait et je n’avais pas le choix.

    #injection #USA #border #vacances #welcome_to_america

    • Ouais, dans Le Télégramme son camarade (injecté, lui aussi) conclut son témoignage par ces lignes :

      Brest. Le cauchemar américain d’Evan - Brest - LeTelegramme.fr
      http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/brest-le-cauchemar-americain-d-evan-03-07-2017-11582242.php

      Il reste aussi, pour l’un et l’autre, ce temps à l’étranger à effectuer et un souvenir annonciateur. « On nous a dit, à l’arrivée à Paris, que dans l’avion qui suivait, un autre jeune avait subi la même mésaventure que nous. Je témoigne parce que je ne veux pas que ça arrive à d’autres personnes. Il faut se méfier, et mentir si besoin. Je pense que nous avons été trop honnêtes sur notre emploi du temps et que tout s’est enchaîné contre nous ».

      Ou encore être assuré d’un séjour prolongé dans les geôles états-unienne : les douanes ou l’immigration ne plaisantent pas du tout avec les fausses déclarations…

  • Les États-Unis d’Amérique vont vont procéder à l’#exécution un prisonnier de 72 ans - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2016/02/01/les-etats-unis-vont-executer-un-prisonnier-de-72-ans_1430447

    Brandon Jones doit recevoir une #injection_étale dans un pénitencier de la ville de Jackson, à moins de deux semaines de son 73e anniversaire. Ce Noir, reconnu coupable du meurtre d’un commerçant blanc en 1979, a passé plus de 36 ans derrière les barreaux.

    Pour beaucoup, le sort judiciaire de cet homme symbolise la « double peine » à laquelle sont soumis aux États-Unis certains condamnés, qui passent des décennies à l’isolement carcéral avec pour seule perspective leur mort à venir. Dans un avis remarqué l’an dernier, le juge progressiste de la Cour suprême Stephen Breyer avait dénoncé ces « durées d’une longueur qui défie la raison et qui sapent le fondement punitif de la #peine_de_mort ».

    [...] Un total de 76 hommes se trouvent dans le couloir de la mort en Géorgie, État du sud-est des États-Unis qui avait suspendu plusieurs mois en 2015 ses exécutions en raison de controverses sur le produit utilisé pour les injections létales. Les États-Unis ont exécuté 28 personnes en 2015, le chiffre le plus bas depuis 1991

  • Et voilà une autre belle initiative... mais où va-t-on ?

    Amstutz will Zwangsspritzen bei Ausschaffungen erlauben
    –-> pour ceux qui ne comprennent pas l’allemand, ceci signifie : Amstutz (du parti UDC en Suisse) veut autoriser des injections non consenties pour les renvois d’étrangers !
    –-> rappelez-vous de son nom, comme cela on pourra lui faire un jour une petite visite surprise... on l’obligera aussi à prendre des calmants !

    SVP-Nationalrat Adrian Amstutz fordert, dass Beruhigungsmittel bei Ausschaffungen legal werden. Höhere Asylbewerberzahlen befeuern die politische Diskussion zum Thema Ausschaffung.

    «Es darf nicht sein, dass sich Begleitpersonen und Polizisten von renitenten und kriminellen Auszuschaffenden schlagen, anspucken, beschimpfen und beissen lassen müssen.» Dies sagt SVP-Fraktionspräsident Adrian Amstutz im Gespräch mit der BaZ. Der Berner Nationalrat begründet so seinen Vorstoss zum Thema Zwangsausschaffungen von abgewiesenen Asylbewerbern.

    Laut dem Vorstoss, den Amstutz im Einklang mit seiner Fraktion nächste Session ­einreicht, sollen Ärzte bei Ausschaffungen gegen den Willen von Betroffenen Beruhigungsmittel spritzen dürfen, um so polizeilichen Zwang durchzusetzen. Bisher darf ein Arzt nur dann Tranquilizer spritzen, wenn eine «medizinische Indikation» vorliegt – wenn es also für die Gesundheit notwendig ist oder wenn dadurch eine Selbst- oder Fremdgefährdung vermieden wird.

    Rechtliche Grauzone

    In den vergangenen acht Monaten hat der Bund 169 Personen zwangsweise ausgeschafft. In drei Fällen haben Begleit­ärzte der Oseara GmbH auf solchen Ausschaffungsflügen eine Beruhigungsspritze gesetzt – zur Vermeidung einer «Selbst- oder Fremdgefährdung», wie Gaby Szöllösy, Sprecherin des Bundesamts für Migration (BFM), in einem ­Artikel auf baz.ch/newsnet sagte. Die Firma ist derzeit in einem Pilotprojekt provisorisch zuständig für die medizinische Betreuung bei Zwangsausschaffungen.

    Aufgrund der heutigen Gesetzes­lage sind solche Zwangsspritzen für den Bund ein Problem und stossen ­ent­sprechend bei Jacques de Haller, dem Ex-Präsidenten der FMH und heutigen FMH-Delegierten in einem Forum für Zwangsrückschaffungen, auf Widerstand. Haller sagt: «Für die FMH ist klar, niemandem darf ohne dessen Einwilligung ein Medikament zugeführt werden.» Ärzte hätten keine polizeiliche Funktion. Gerate ein Rückzuschaffender in einem Flugzeug ausser Kontrolle, sei dies ein Problem, das von der Polizei gelöst werden müsse und nicht von einem Arzt.

    Sonderflüge in der Kritik

    Eine Aussprache zu diesem ­heiklen Thema hat gemäss der Zeitung «Le Temps» am 10. Dezember zwischen BFM-Direktor Mario Gattiker und Jean-Pierre Restellini stattgefunden. Restellini ist selber Arzt und zugleich Präsident der Nationalen Kommission zur Verhütung von Folter (NKVF). Er bezeichnet es «als sehr problematisch», Personen gegen deren Willen Beruhigungsmittel zu spritzen. Er fordert eine andere Lösung.

    Im politischen Fokus stehen in diesem Zusammenhang Sonderflüge mit Personen, die sich illegal in der Schweiz aufhalten und sich einer Rückschaffung physisch widersetzen. BFM-Sprecherin Szöllösy sagte dazu in der «Berner ­Zeitung»: «Wenn wir keine Sonderflüge durchführen dürften, würde dies ­mög­licherweise als Signal verstanden, dass ein abgelehnter Asylentscheid ­keine Folgen hat.» Bei dendrei fraglichen Fällen handelte es sich um sogenannte Level-IV-Rückführungen. Dabei werden Auszuschaffende gefesselt, mit Helm und Spuckschutz in Sonderflügen in ihr Herkunftsland zurücktransportiert.

    Gestiegene Asylzahlen

    Die Diskussion zur Durchsetzung von Ausschaffungen erfolgt vor dem Hintergrund zuletzt massiv gestiegener Asylbewerberzahlen. Gut 28 600 Menschen haben 2012 in der Schweiz Asyl beantragt. Dies berichtete die NZZ am Samstag – zwei Wochen bevor der Bund seine offizielle Asylstatistik für das vergangene Jahr vorlegen will. Demnach wird die Marke von 30 000 Asylgesuchen aber nicht überschritten, wie vergangenes Jahr an verschiedenen Orten befürchtet worden war.

    Trotzdem: Diese Zahl bedeutet eine Höchstmarke seit dem Kosovokrieg Ende der 90er-Jahre, als noch Bundes­rätin Ruth Metzler oberste Asylzuständige war. In die Höhe geschnellt sind die Zahlen 2012 auch im Zusammenhang mit dem arabischen Frühling. Hinter Eritrea als Herkunftsland Nummer eins folgen Nigeria, Tunesien, Serbien, ­Afghanistan, Syrien und Mazedonien.

    http://www.tagesanzeiger.ch/schweiz/standard/Amstutz-will-Zwangsspritzen-bei-Ausschaffungen-erlauben/story/27176074

    #injections #calmants #Amstutz #vols_spéciaux #renvois #étrangers #asile #Suisse #migration #udc

    @reka

  • L’UE ne fournira plus le « cocktail de la mort » aux Etats-Unis
    http://fr.myeurop.info/2011/12/12/l-ue-ne-fournira-plus-le-cocktail-de-la-mort-aux-etats-unis-4074

    L’Europe va interdire l’exportation de certains #sédatifs utilisés aux États-Unis pour les #injections_létales. Une entreprise suisse a également demandé au Nebraska de ne pas utiliser son produit. La pénurie de thiopental a déjà permis le report d’exécutions.

    Le 21 janvier 2011, l’entreprise Hospira, seul fabricant américain agréé par la Food and Drug Administration (FDA), annonçait l’arrêt définitif de sa production, justifiant sa décision par l’usage de l’anesthésiant dans les injections létales.

    Pour reconstituer ses stocks de thiopental, le Nebraska a choisi de s’en procurer par des voies détournées, si ce n’est illégales. L’entreprise pharmaceutique suisse Naari AG lui demandant expressément de ne pas utiliser son produit à des fins mortelles

    Naari a donné des échantillons gratuits du médicament, produit dans son usine indienne, à un intermédiaire indien qui prétendait vouloir les utiliser et, éventuellement, les vendre comme anesthésique en Zambie. Au lieu de cela, l’intermédiaire a vendu les échantillons pour 5 411 dollars aux fonctionnaires du Nebraska.