Le Pen -vs- Darmanin. résumé en 60 secondes :
des narabes, des narabes, des narabes...
▻https://twitter.com/caissesdegreve/status/1360348138607955968
▻https://video.twimg.com/amplify_video/1360345521118973952/vid/1280x720/4esMNM29-JzNRXhl.mp4
Le Pen -vs- Darmanin. résumé en 60 secondes :
des narabes, des narabes, des narabes...
▻https://twitter.com/caissesdegreve/status/1360348138607955968
▻https://video.twimg.com/amplify_video/1360345521118973952/vid/1280x720/4esMNM29-JzNRXhl.mp4
je dirai presque #installation_artistique_politique (qui a dit que l’art devait être beau ?)
Oui Reka.
Parce que Viktorovitch avait déjà pointé ces aspects dans sa chronique, il y avait même un petite début de montage similaire à celui-ci :
▻https://seenthis.net/messages/901742#message902083
Mais là, à la différence de Viktorovitch, je trouve qu’on bascule dans l’expérience sensible et artistique…
Si c’est une « installation artistique » elle est hideuse, je viens de voir en complément l’extrait monté par Viktorovitch, et les seuls mots qui me viennent à l’esprit, c’est « naufrage » et « décadence ». Il y aura tout un champs de recherche (pour qui aura le courage de s’y plonger) pour comprendre un mystère : comment le macronisme d’État a « généré » autant de personnalités aussi médiocres et décadentes soit au parlement, soit à des postes de haute responsabilité.
Pour ta question @reka je trouve qu’il y a certaines réponse dans ces deux videos
Gauche/Droite 2/3 : les partis
Ni gauche ni droite : Bonapartisme et confusionnisme
▻https://www.youtube.com/watch?v=FuGRVCFc0sk
Pendant que Marine Le Pen et Gérald Darmanin débattaient sur le service public, Jean-Luc Mélenchon, le député LFI a fait feu de tout bois sur C8 chez Cyril Hanouna.
▻http://www.urtikan.net/dessin-du-jour/chaud-politique
L’artiste passe-muraille ? | Espacestemps.net
▻https://www.espacestemps.net/articles/lartiste-passe-muraille
« Le bruit de sa renommée commençait à le lasser et depuis son séjour à la Santé, il était un peu blasé sur le plaisir de passer à travers les murs. Les plus épais, les plus orgueilleux, lui semblaient maintenant de simples paravents, et il rêvait de s’enfoncer au cœur de quelque massive pyramide. Tout en mûrissant le projet d’un voyage en Égypte, il menait une vie des plus paisibles […] »
Marcel Aymé. 1943. Le passe-muraille. Paris : Gallimard.
Dans la nouvelle à laquelle le personnage de Marcel Aymé a donné son nom, le Passe-Muraille est un homme anodin qui se découvre une faculté inouïe, celle de pouvoir traverser la pierre sans que son corps en soit affecté. Au-delà de quelques bénéfices immédiats, larcins et conquêtes amoureuses, il se lasse cependant de cette faculté magique et finit par commettre une imprudence qui lui vaut d’être rattrapé par la matière d’une muraille qu’il traversait, « une matière encore fluide, mais qui devenait pâteuse et prenait, à chacun de ses efforts, plus de consistance » (Aymé 1943) et qui finit par l’enserrer à jamais. Écrit sous l’occupation, le texte porte ce rêve de tous ceux qui, enfermés dans une réalité qui les étouffe, voudraient pouvoir en franchir les limites sans souffrir. Ce souhait, certainement, pourrait être exprimé par deux populations qui vivent au Proche-Orient, déchirées par une fragmentation géopolitique matérialisée depuis 2003 par une barrière, les Israéliens et les Palestiniens. Pourtant, les recherches (Lévy 2007, Latte Abdallah et Parizot 2011) tendent à montrer qu’une telle initiative, dont l’objectif semble être à première vue d’opérer une séparation territoriale, remplit de fait un but plus complexe pour les Israéliens, celui d’opacifier leur action en Cisjordanie.
#art #cisjodanie #ariane_littman #installation_artistique #frontières
Pourquoi il faut absolument aller voir le projet DAU à Paris - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/art/82355-projet-dau-paris
Tout le monde en dit pis que pendre (beaucoup de celles et ceux qui y ont été ont dit que c’était, pour la faire courte, une vaste fumisterie), mais sans surprise « Russia Beyond » est enthousiaste :) Je n’ai pas d’avis, pas pu voir le truc.
#dau #exposition #soviétisme #installation_artistique
Les premières passions qui ont accompagné le lancement à Paris sont retombées. Désormais, on peut simplement tenter de comprendre l’art et la vie grâce à ce qui constitue probablement la plus puissante saga artistique et documentaire de l’histoire du cinéma.
Jusqu’au 17 février, DAU, l’événement culturel le plus retentissant et le plus scandaleux de ces dernières années, se déroule dans trois des principales institutions culturelles parisiennes : le théâtre du Châtelet, le Théâtre de la Ville et le centre Pompidou. Puis il déménagera à Londres.
A Berlin le gouvernement et les corps culturels associés n’en ont pas voulu. Je suppose que c’est dû au fait que DAU en allemand est l’abbréviation pour Dümmster Anzunehmender User , l’utilisateur le plus bête à prévoir . ;-)
Cette expression bien connue des administrateurs et développeurs de systèmes informatiques est une parodie de GAU , Größter Anzunehmenrder Unfall , l’accident nucléaire le plus grand à prévoir , ce cauchemar qui hante les Allemands depuis les années 1970.
Vu que cet artefact culturel appellé DAU est issu des même contrées (m’enfin presque) qui nous ont imposé en 1986 le rayonnement de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, je comprend pourquoi le titre et la provenance du show n’ont pas suscité beaucoup d’enthousiasme.
Après il y a toujours la mafia transatlantique qui traite de barbare tout ce qui vient de l’est (les sous-hommes russes arrivent pour violer nos femmes ... ), et on comprend pourquoi chez nous il y a si peu de nouveau nés appellés Igor ou Ivan. La vie est compliquée pour les artistes russes à Berlin ;-)
Une intéressante Installation artistique boulevard de l’Opéra à Paris (picoré sur twitter)
Voi aussi - grâce à l’intellignce collective de seenthis :
Street Art - How to Use Cars in a Smart Way
▻https://seenthis.net/messages/516097
►https://seenthis.net/messages/104871
Claude Rutault
Une démarche artistique intéressante, une installation esthétique, aussi aperçue au musée d’art moderne de Strasbourg
J’avoue que j’aime pas ce « concepte » de détruire la mémoire des gens (ici effacer les peintures faites par d’autres). Il y a peut etre des portraits de femmes importantes qui ont été détruits. Tout ca pour flatter l’égo et le portefeuille d’un homme blanc qui méprise la peinture, la mémoir et les sentiments des gens (puisqu’il dit effacer les toiles meme si les gens y sont attachés sentimentalement ou meme si elles ont de l’interet...).
Et visuellement c’est insipide, tu me met dans un espace avec des peintures de Rutault au mur je fait une dépression en 5 minutes.
#Edward_Kienholz - America My Hometown - Blain|Southern
▻https://www.blainsouthern.com/exhibitions/edward-kienholz-america-my-hometown
J’ai vu deux de ses œuvres au musée de Cologne, c’est très impressionnant.
America My Hometown traces Edward Kienholz’s formative years (1954-1967), showing an artist coming to terms with both his unique vision and the social climate of the US throughout this tumultuous era. The work is direct and raw in its execution, as well as unsparingly critical of the political problems of twentieth-century America.
One Day Wonder Painting (1954), the earliest work in the show, reveals Kienholz’s initial desire to become a painter. He soon developed a distinct artistic language based on his ability to transform found materials – including the discarded furniture on the streets of Los Angeles – into elaborate assemblage and complex tableaux with an angry and inventive wit. Bringing this vision to bear on the political and social issues of mid-century America, he became an iconoclast for whom nothing was sacrosanct. From the start of his artistic career, he rallied against the world with what John Coplans described as ‘a compulsively puritanical fury which impel(led) him to action’. Just four years after One Day Wonder Painting, Kienholz created The Little Eagle Rock Incident (1958), a reaction to the race riots at Arkansas Central High School in Little Rock the year prior. This was his first work that directly referenced a single, topical event. Employing taxidermy for the first time, the work signalled a move from construction paintings into assemblage.
#art #Installation_artistique #art_moderne #art_contemporain
La carte d’Urbano Monte (1587) - Philippe Rivière - Visionscarto
►https://visionscarto.net/urbano-monte-fr
La carte d’Urbano Monte est l’un des premiers, et certainement l’un des plus extraordinaires, planisphères de l’histoire. Dessinée à la main, en 1587, elle forme un Atlas de 60 feuilles, dont seuls deux exemplaires existent au monde.
La collection de cartes David Rumsey de l’université de Stanford (Californie), vient de numériser l’atlas d’Urbano Monte, rédigé en 1587 à Milan. Comme 85 000 autres documents de cette collection, cette carte historique est désormais disponible sur son site Internet sous forme de fichiers d’une très grande qualité (définition et couleurs).
Nous vous proposons de la découvrir ci-dessous, en choisissant dans le menu la projection qui vous sied, et, avec la souris, l’angle de vue.
Internet Archive Search: “Radical Software”
▻https://archive.org/search.php?query=creator%3A%22Radical+Software%22
’’’Radical Software’’’ was an early journal on the use of video as an artistic and political medium, started in 1970 in New York City. At the time, the term ’’radical software’’ referred to the content of information rather than to a computer program.
Stephane Guiran sculpteur
▻https://www.guiran.com
▻https://static1.squarespace.com/static/58b46c8f579fb351d16b45da/58b8936a5016e1df9d3b6222/58b8936ad482e90722b93d8a/1489510074412/NDM+version+web.jpg?format=2500w
cette installation à Chaumont sur Loire : merveille
Le making of avec improvisations de Louis Winsberg au oud et Virginie Lascension à la voix ; envoutant.
▻https://vimeo.com/206169484
«The Stories Behind a Line» is a visual narrative of six asylum seekers’ routes
▻http://www.storiesbehindaline.com
They travelled from their hometown to Italy. This project wants to tell their stories through the data that shaped their personal travelling line.
Ça me fait penser aux travaux de l’artiste franco-marocaine Bouchra Khalili, ils étaient exposés au musée de l’immigration il y a quelques temps.
J’en parlais ici : ▻https://seenthis.net/messages/439480
D’autres en parlaient aussi sur Seenthis :
▻https://seenthis.net/messages/417720
▻https://seenthis.net/messages/449512
▻https://seenthis.net/messages/348730
C’est très intéressant, merci pour ces compléments.
SANS FEU NI FLAMMES
Réalisé à partir de l’#installation_artistique de Laetitia Carlotti, SANS FEU NI FLAMMES interroge l’évolution des paysages en centre #Corse.
I Fulminanti
L’installation est un art de jouer et déjouer des situations pour poser des questions de #taille (Rey 2014)1 et interroger ainsi différentes #dimensions. En tant que plasticienne et ouvrier du paysage, je conçois une œuvre pour et dans un milieu donné. Questionnant la nature des liens qu’elle tisse avec le monde, l’œuvre-art se donne comme manière d’aller vers la connaissance, de façon curieuse et concernée, en faisant valeur de partage et posant aussi la question de sa médiati(sati)on.
Crossing the line - Livemint
▻http://www.livemint.com/Leisure/fMim9rXQ9VHTG718EwTc0O/Crossing-the-line.html
▻https://www.youtube.com/watch?v=mx7iqNk_x8Y
Indian artist Shilpa Gupta’s exhibition during the 2015 Venice Biennale wasn’t spectacular just because of its location at the Palazzo Benzon, which hangs over the Grand Canal. Through the duration of the six-month art event, Gupta had stationed an artist to trace maps on more than 3,394m—representing the under-construction wire-fence border between India and Bangladesh—of cloth handwoven by the people of Phulia in West Bengal. Her performative installation, 998.9 (2015), intended to draw the attention of global audiences to this little-known area of border friction.
Gupta has always believed in art as a place for dialogue. The 41-year-old artist has devoted her art practice to the issues of borders and surveillance, her interest going beyond cartography to cover the other kinds of lines we draw around ourselves as people and as a society: security, privacy, racism, to name a few.
#frontières #frontière_contestée #inde #pakistan #art #installation_artistique
Magnifique travail de Bouchra Khalili sur les parcours des migrants : comment se construisent-ils, quels sont les désirs et les contraintes qui les modèles ? Comment les représenter ?
Deux de ces œuvres sont visibles au Musée de l’Histoire de l’Immigration.
Dans un premier temps elle a filmé des interview de migrants expliquant leur parcours et traçant ces trajectoires sur une carte :
The Mapping Journey Project (2008–11)
Puis partant de ces tracés elle en a tiré des « constellations » :
The Constellations
▻http://www.bouchrakhalili.com
The Mapping Journey Project
▻http://www.histoire-immigration.fr/musee/collections/the-mapping-journey-project#
Other Maps
On Bouchra Khalili’s Cartographies
▻http://www.ibraaz.org/essays/115
via @archiloque (qui d’autre?)
What colour is it? ▻http://whatcolourisit.scn9a.org
Quant au passage à une nouvelle heure, c’est magnifique. Ce soir je sais où je serai à minuit.
C’est très joli, mais il me semble que ce n’est pas le premier du genre (je crois me souvenir d’un site presque pareil, mais où on pouvait en plus switcher pour afficher le code hexadécimal seconde par seconde à la place de l’heure)
Je regarde les deux en même temps, ils n’ont pas accordé leurs nuanciers... Le premier semble juste.
Voici le petit code #javascript du premier affichage
<script type="text/javascript">
function dotime(){
$("body").css({"transition": “all 0.8s”, “-webkit-transition”: “all 0.8s”});
var d = new Date();
var hours = d.getHours();
var mins = d.getMinutes();
var secs = d.getSeconds();
if (hours < 10){hours = “0” + hours};
if (mins < 10){mins = “0” + mins};
if (secs < 10){secs = “0” + secs};
hours.toString();
mins.toString();
secs.toString();
var hex = “#” + hours + mins + secs;
$("#t").html(hours +" : “+ mins +” : "+ secs);
$("#h").html(hex);
document.body.style.background = hex;
setTimeout(function(){ dotime();}, 1000);
}
</script>
M O B I L E S I L L E G I T I M E S on Vimeo
Une installation création sur la migration des femmes, par la troupe étrange miroir. Très intéressante composition.
un Kaléidoscope sonore sur la migration vécue par les femmes :
Entrez au cœur de ce laboratoire sonore, documentaire, musical et interactif avec ce dispositif singulier proposant l’écoute au casque de courtes séquences sonores.
Cette proposition permet d’explorer la mobilité vécue par les femmes. À travers le regard des intéressées et de spécialistes, le sujet est traité dans toute sa complexité et toute sa diversité avec l’objectif de mettre en avant des axes peu médiatisés. Ce dispositif interactif invite les visiteurs à aller chercher, fouiller, explorer et se créer leur propre expérience d’écoute.
création collective
direction artistique : Marie Arlais et Raphaël Rialland
Réalisateurs sonores : Anaïs Denaux, Valentine Chevalier, Laure-Anne Bomati, Simon Poulain, Salima Kettar, Riwanon Quéré, Marie Arlais et Raphaël Rialland
musiques et habillages sonores : Erwan Fauchard, Raphaël Rialland, Matthieu Goulard, André Fèvre, Dimitrie Antik, Ronan Prual et Jack Roussel
développeur : Xavier Seignard
Construction meubles : Dimitrie Antik - Le Monde des Barons Perchés
sérigraphie : Kraken
coproduction : La Cimade / étrange miroir
résidences : Stéréolux/La Fabrique (Nantes) – Atelier du Nid d’oie (Clisson)
avec le soutien de la Région des Pays de Loire (aide au projet de création en arts plastiques)
etrangemiroir.org
Harun Farocki (1944 – 2014) ou la dialectique dans les images | Période
►http://revueperiode.net/harun-farocki-1944-2014-ou-la-dialectique-dans-les-images
Parce que j’aime énormément l’oeuvre d’Harun Farocki
Harun Farocki, décédé en juillet 2014, a été une figure du cinéma expérimental contemporain. Résolument marxiste, il n’a cessé de réfléchir au pouvoir des images et à la manière de déjouer les récits qu’elles soutiennent. Thomas Voltzenlogel revient ici sur l’itinéraire de ce cinéaste. Face aux écueils d’une critique des médias prisonnière du pédagogisme, Farocki propose un autre rapport au spectateur. Plutôt que dénoncer l’emprise de la société du spectacle, il en propose un montage et un commentaire non directif, ouvrant un espace de pensée sur ce que les images disent, les unes avec les autres, sur les rapports sociaux, la guerre, la production. Un travail méconnu à découvrir.
–---
Son film quadriptyque sur la construction des murs est un chef-d’oeuvre
▻http://whitney.org/Research/ISP/CuratorialProgram/2011Exhibition
Harun Farocki, still from In Comparison, 2007. 16mm film, color, sound ; 61 min. Collection of the artist.
▻http://whitney.org/image_columns/0030/0618/farocki_540.jpg?1367684344
merci @fil : je ne sais pas s’il existe une version Internet de cette oeuvre que j’ai vu au musée d’art moderne à Vienne il y a 6 ou 7 ans. le film se déroule sur quatre écrans disposés en « carrés ». On est simplement « envoûté ».
Bentley coulée dans le ciment
▻http://www.lecourrierderussie.com/2014/09/bentley-coulee-ciment
Belle surprise pour le producteur Arthur V. Shachnev lorsqu’il a voulu reprendre sa voiture garée dans le centre de Moscou !The post Bentley coulée dans le ciment appeared first on Le Courrier de Russie.
Un drapeau ukrainien au sommet d’une tour stalinienne à Moscou
▻http://www.lecourrierderussie.com/2014/08/roofer-moscou-ukrainien-drapeau
Dans la nuit de mardi à mercredi 20 août, des individus ont peint l’étoile surplombant l’immeuble d’habitation sur la berge Kotelnitcheskaïa [un des sept gratte-ciels staliniens de Moscou] aux couleurs du drapeau ukrainien avant d’en disposer un à son sommet.The post Un drapeau ukrainien au sommet d’une tour stalinienne à Moscou appeared first on Le Courrier de Russie.
Le procès d’une polémique - Workshop - HEAD, Genève » a people is missing - le peuple qui manque
▻http://www.lepeuplequimanque.org/2014-02-workshop-head.html
Ce workshop mené par les commissaires d’expositions Aliocha Imhoff & Kantuta Quirós propose l’élaboration collective d’une exposition performative, sous la forme d’un procès fictif, retraçant les enjeux d’une importante polémique littéraire récente.
En 2009, l’écrivain français Yannick Haenel reçoit le prix Interallié pour son roman « Jan Karski » paru chez Gallimard, basé sur la vie du résistant éponyme, diplomate et courrier du gouvernement polonais en exil à Londres, témoin dès 1942 de l’horreur des camps nazis et chargé d’alerter les Alliés du sort réservé aux Juifs d’Europe. Jan Karski rencontre en 1943 le président Américain, à la Maison Blanche, durant un long entretien.
Deux documents diplomatiques en attestent mais personne ne sait avec exactitude, ce qu’ils se sont dits, ni comment a réagi Roosevelt au récit de l’insoutenable. Souhaitant « témoigner pour le témoin », Yannick Haenel imagine dans la troisième partie de son livre, le déroulement de cette rencontre, et propose - face aux silences des archives, aux silences des témoins - une fictionnalisation de l’Histoire, à partir d’une approche délibérément intuitive. S’en suivra, durant tout le premier trimestre 2010, une très vive polémique, ouverte notamment, par le cinéaste et auteur de Shoah, Claude Lanzmann qui accusera Yannick Haenel de falsifier l’Histoire.
Une installation artistique en haut d’un immeuble sur la place de plainpalais à Genève
« L’ordre n’a pas d’importance » ?
« Yes to all »
Opération « Retrouver les citasses ! » haut perchées
Very good, @fil... Mais les deux yeux devraient être pris d’un autre angle pour qu’ils aient vraiment du sens
;o
Les Yeux de Gutete Emerita - Rwanda, 20 ans après
Le monde s’apprête à commémorer le vingtième anniversaire du génocide rwandais (qui débute en avril 1994). Les expositions, colloques et cérémonies commencent déjà à se multiplier.
Je me souviens avoir participé à une exposition consacrée à « l’art et la cartographie » (ou le contraire...) au Kunstverein de Hanovre en 2004, j’avais entre autre écrit un texte pour le catalogue. Ils m’avaient invité pour l’ouverture de l’expo.
Die Sehnsucht des Kartografen (Le désir des cartographes... Tout un programme)
▻http://www.kunstverein-hannover.de/ausstellungen/2003/die-sehnsucht-des-kartografen.html++/search_highlighter/die%2Bsehnsucht%2Bdes%2Bkartografen
https://dl.dropbox.com/s/qb51c4hej70tfji/P1160048.jpg
Je me souviens d’une oeuvre en particulier, celle d’Alfredo Jaar qui a laissé en moi une empreinte très forte. Beaucoup d’émotion dans la salle où était présenté l’oeuvre, les visiteurs étaient tous silencieux, recueillis comme s’ils étaient dans une église ou un cimetière (j’ai pensé à Oradour-sur-Glane) alors que dans le reste du musée, les visiteurs « s’amusaient » littéralement avec les autres oeuvres ! Quel contraste.
https://dl.dropbox.com/s/w95dy886ph1tcke/kunstverein2.jpg
L’oeuvre d’Alfredo Jaar consacré au Rwanda était une installation très simple : un texte en lettres blanches sur fond noir, une photo (les yeux de Gutete Emerita, et une immense table lumineuse sur laquelle « gisaient », en désordre et en tas, un million de diapositives représentant chacune d’elle les yeux de Gutete Emerita. Un million de paires d’yeux.
https://dl.dropbox.com/s/0ui49pi12xq4ror/kunstverein%206.jpg
https://dl.dropbox.com/s/amhnl8le8qpeg44/kunstverein5.jpg
https://dl.dropbox.com/s/0g6b3keavtmgm9i/kunstverein4.jpg
L’artiste en a fait une version Internet qui date de 1997 :
▻http://alfredojaar.net/gutete/gutete.html
Et un étudiant danois a fait en 2012 une très intéressante analyse de cette oeuvre :
The Flitting of an Image : Visual Dyslexia in Alfredo Jaar’s ‘The Eyes of Gutete Emerita’ | UCB Comparative Literature Undergraduate Journal
▻http://ucb-cluj.org/announcing-clujs-fall-2011-issue/vol-22-spring-2012-special-issue/2559-2
The Flitting of an Image: Visual Dyslexia in Alfredo Jaar’s ‘The Eyes of Gutete Emerita’
The Flitting of an Image: Visual Dyslexia in Alfredo Jaar’s ‘The Eyes of Gutete Emerita’
Pelle Valentin Olsen
—
In this essay I hope to destabilize the very tenacious misconception that there exists a direct link between seeing, deduction of meaning, and action. Furthermore, I will argue that suffering and pain can be of an unimaginable and incomprehensible character and therefore beyond representation. There exist, so to speak, images that cannot be read –images that escape the spectator. Thus, the rendering visible of this suffering poses serious challenges to spectatorship as well as to the person trying to represent and convey it, be it an artist, photographer, journalist or academic. Finally, and with Walter Benjamin as inspiration, this essay will analyze Alfredo Jaar’s installation, The Eyes of Gutete Emerita (1996), as an alternative mode of dealing with the problematic of rendering visible.
Still bewegt. Videokunst und Alte Meister
Die Publikation präsentiert mehr als 20 Videoarbeiten zeitgenössischer Künstler, die sich auf unterschiedlichste Weise mit dem klassischen Thema des Stilllebens befassen. In spannungsreichen Gegenüberstellungen werden die Bezüge zu frühen Gemälden dieses Genres aus dem 17. Jahrhundert aufgezeigt.Das Stillleben erlebte seine erste Blüte im 16. und 17. Jahrhundert in Flandern und den Niederlanden und führte dem Betrachter die Vergänglichkeit des Lebens vor Augen. Während die Alten Meister mit malerischen Mitteln die vergehende Zeit in einem Bild festhielten, werden in den Filmen in einer Vielzahl aneinandergereihter Bilder Zeitläufe der Vergänglichkeit aufgezeigt. Der Blick auf die Stillleben der Alten Meister vergegenwärtigt im Nebeneinander mit den Video-Stillleben, wie grundlegend diese Fragen seit jeher waren und bis heute sind. Über 50 barocke Gemälde u. a. von Willem Kalf, Abraham Mignon und Georg Flegel treten in den Dialog mit Videoarbeiten von zeitgenössischen Künstlern wie Christoph Brech, Gabriella Gerosa, Ori Gersht und Sam Taylor-Johnson.
Audio: ▻http://www.ardmediathek.de/hr2/hr2-fruehkritik?documentId=17610924
▻https://www.youtube.com/watch?v=_RbBJTyJRN4
Still bewegt. Videokunst und Alte Meister
Die Publikation präsentiert mehr als 20 Videoarbeiten zeitgenössischer Künstler, die sich auf unterschiedlichste Weise mit dem klassischen Thema des Stilllebens befassen. In spannungsreichen Gegenüberstellungen werden die Bezüge zu frühen Gemälden dieses Genres aus dem 17. Jahrhundert aufgezeigt.Das Stillleben erlebte seine erste Blüte im 16. und 17. Jahrhundert in Flandern und den Niederlanden und führte dem Betrachter die Vergänglichkeit des Lebens vor Augen. Während die Alten Meister mit malerischen Mitteln die vergehende Zeit in einem Bild festhielten, werden in den Filmen in einer Vielzahl aneinandergereihter Bilder Zeitläufe der Vergänglichkeit aufgezeigt. Der Blick auf die Stillleben der Alten Meister vergegenwärtigt im Nebeneinander mit den Video-Stillleben, wie grundlegend diese Fragen seit jeher waren und bis heute sind. Über 50 barocke Gemälde u. a. von Willem Kalf, Abraham Mignon und Georg Flegel treten in den Dialog mit Videoarbeiten von zeitgenössischen Künstlern wie Christoph Brech, Gabriella Gerosa, Ori Gersht und Sam Taylor-Johnson.
Pfaffenbichler/Schreiber : AKTEINETREPPEHINABFAHREND
▻http://www.pfaffenbichlerschreiber.org/de/Projekte/AKTEINETREPPEHINABFAHREND
AKT EINE TREPPE HINABFAHREND
Bewegungsbild
>>
Lotte Schreiber
Videoloop, Re:MODERN, Künstlerhaus Wien, A, 2005
Das Video zeigt die Frontalansicht eines “kubistisch” verfremdeten Frauenakts, der eine Rolltreppe hinabfährt. Die Arbeit ist eine Paraphrase auf Marcel Duchamps Schlüsselwerk “Akt, eine Treppe herabsteigend” (1912) und Gerhard Richters “Ema - Akt auf einer Treppe” (1966). Die Farbigkeit des Videos und die Unschärfe wurden von Richters Bild übernommen, das Moment der simultanen Mehransichtigkeit verweist auf Duchamps Werk. Der Technozentrismus der Moderne wird ironisiert, in dem die herkömmlichen Stufen durch eine elektromechanische Rolltreppe ersetzt werden.
Die Arbeit wird ohne Ton auf einem Breitbildmonitor präsentiert, der im Hochformat wie eine Gemälde an einer Wand hängt. Auf diesem Bildschirm ist ein Endlosloop von DVD zu sehen, wobei kein Bildschnitt erkennbar ist. Durch den Einsatz des Flachbildmonitors wird die Kategorie “Tafelbild” bemüht.
36
– Norbert Pfaffenbichler
– Lotte Schreiber
AT / 2001 , 2 min.
das video 36 von lotte schreiber und norbert pfaffenbichler ist eine streng mathematisch-graphische komposition basierend auf der titelgebenden zahl. alle elemente inklusive der dauer sind als variablen dieser ausgangszahl begründet. drei scheinbar voneinander unabhängige wahrnehmungsfelder werden durch den bildsynchronen ton von stefan németh verbunden. im linken feld 36 vertikale und horizontale weisse linien, die verschiedene bewegungsmuster nach dem prinzip eines binären digitalen ordnungssystems
(0=senkrecht, 1=waagrecht) durchlaufen, ehe sie sich letztlich zu sechs quadraten vereinen, die wiederum als projektionsflächen für amorphe laufbildminiaturen dienen.
im rechten bildteil eine palette, deren einzelne farbflächen – die an gerhard richter erinnern – sich zu immer neuen mischungen und kombinationen verändern, als wären sie der steuerung durch ein elektrisches relais unterworfen.
an der basis des bildes schließlich zwei einander eingeschriebene quadrate, die in sich fortlaufend die zeitliche achse des videos abbilden. ähnlich einem metronom geben sie den grundrhythmus vor, bewegen sich dabei aber linear dem sichtbaren endpunkt entgegen.36 verweist sowohl auf ästhetische traditionen der abstrakten malerei als auch auf strukturelle ansätze des frühen geometrischen films (etwa eines walther ruttmann oder hans richter). zugleich eröffnen sich assoziationen an frühe videospiele mit ihren reduzierten, nur den hauptachsen folgenden bewegungsmöglichkeiten.
beim betrachten von 36 entwickelt sich eine unglaubliche spannung und konzentration, die nicht zuletzt in der klarheit des konzepts und der reduktion der mittel begründet liegt. (gerald weber)
Gift of Sound and Vision
1. Gustav Deutsch Spectrum (2003, F, 49 sek.) Sound: Martin Siewert
2. [n:ja] track 09 (2001, F, 4 min.) Sound: shabotinski
3. Barbara Doser even odd even (2004, S/W, 8 min.) sound: Kurt Hofstetter (arranged by B. Doser)
4. norbert pfaffenbichler/lotte schreiber 36 (2001, F, 2 min.) sound: Stefan Németh
5. Michaela Schwentner transistor (2000, F, 6 min.) Musik: Radian
6. Michaela Grill, Martin Siewert Cityscapes (2007, F, 16min.) Musik: Martin Siewert
7. Dariusz Kowalski Luukkaankangas – updated, revisited (2005, F, 8 min.) Sound: Stefan Németh
8. lia G.S.I.L.VI / almada (2001, F, 4 min.) Sound: @c
9. Ben Pointeker Overfart (1999, F, 6 min.) Musik: General Magic
10. Siegfried A. Fruhauf REALTIME (2003, F, 6 min.) Musik: Christoph Ruschak, Jürgen Gruber
11. Billy Roisz -2:20 (2003, F, 4 min.) Sound: dieb13
12. Jürgen Moritz Instrument (1997, F, 5 min.) Musik: Christian Fennesz
13. Didi Bruckmayr/Michael Strohmann Ich bin traurig (2003, F, 5 min.) Sound: Fuckhead
14. Tina Frank chronomops (2004, F, 2 min.) Musik: General Magic
15. Karø Goldt subrosa (2004, F, 4 min.) Sound: rashim
16. skot Aus (1998, F / S/W, 4 min.) Musik: Christian Fennesz (p) 1997 Mego Editions Mego
Schon lange vor dem Kino wurden optische Spektakel von Musik begleitet. Die Verwendung akustischer und optischer Elemente zur Produktion von synästhetischen Ereignissen hat ihren Reiz nicht verloren, ja scheint besonders im abstrakten Bereich nach digitalen, computerprogrammierten Bild- und Soundquellen zu verlangen. Seit den 90er-Jahren arbeitet eine lebendige Szene von elektronischen MusikerInnen und VideokünstlerInnen in Österreich kontinuierlich zusammen und macht mit ihren innovativen audiovisuellen Werken auf den internationalen Festivals Furore. Einige der sinnlichsten Beispiele finden Sie auf dieser DVD: SEE THE RYTHM!
Schon lange vor dem Kino wurden optische Spektakel von Musik begleitet. Die Verwendung akustischer und optischer Elemente zur Produktion von synästhetischen Ereignissen hat ihren Reiz nicht verloren, ja scheint besonders im abstrakten Bereich nach digitalen, computerprogrammierten Bild- und Soundquellen zu verlangen. Seit den 90er-Jahren arbeitet eine lebendige Szene von elektronischen MusikerInnen und VideokünstlerInnen in Österreich kontinuierlich zusammen und macht mit ihren innovativen audiovisuellen Werken auf den internationalen Festivals Furore. Einige der sinnlichsten Beispiele finden Sie auf dieser DVD: SEE THE RYTHM!