#insupportable

    • " De fait, l’annonce d’un déconfinement le 11 mai atteste que notre gouvernement cherche l’immunité collective plutôt que la suppression." Mais ce menteur parle vrai, on doit lui prêter attention.

      ...l’obligation de confinement est nécessaire à cause des externalités qu’un déconfiné impose à la société, que ce soit le fait de devenir vecteur du virus ou d’occuper un respirateur qui pourrait sauver quelqu’un d’autre. Dans le cas de la politique que je propose, ces externalités me semblent être de second ordre. Un senior qui sortirait alors que les jeunes et les adultes se refilent le virus à qui mieux mieux [les jeunes et les adultes vont s’exposer au virus pour leur offrir l’immunité collective. En fait, il s’agirait d’un bel exemple de solidarité intergénérationnelle. #Christian_Gollier, à aussi] avec un taux de prévalence par moment supérieur à 20%, ce serait une forme de suicide individuel. Je propose donc de ne pas imposer le confinement aux seniors, mais d’indiquer clairement que ceux d’entre eux qui prendraient le risque de se déconfiner pendant la phase d’immunisation collective ne pourraient revendiquer une priorité dans l’allocation des lits de réanimation et des respirateurs.

      Victor Hugo avait pas envisagé la nécessité de fermer des écoles.
      La responsabilité individuelle se fait ouvertement punition. Si on achève les vieux et les vulnérables (il reste de la morphine ou pas ?) c’est qu’ils ont commis l’erreur de sortir de notre politique sanitaire. Qu’importent les faits et la logique, l’#immunité_collective est l’horizon de l’humanité pandémique. Une épidémiologie d’abattoir. Dont on doit - après tout, nous humains, on cause - débattre des modalités.
      À voir comment le gouvernement refuse de se nourrir de quelque élément de réflexion étayée que ce soit (la cybernétique encombrée par tout feedback , une dame démissionnaire de la la REM en parle pendant un entretien aussi long qu’un garde-à-vue anti-terroriste
      https://seenthis.net/messages/848428, pour elle c’est un truc d’ « intellectuel » ...), il faut être content que ce confinement selon l’âge ait du être abandonné (provisoirement ?) pour conserver une réserve électorale. Les jours heureux viendront, on ira encore promener les gens des Ehpad... vers l’isoloir.

      #déconfinement_différenciée_selon_l’âge #offre_de_soin #rareté #vieux #vulnérabilité

    • Hum :

      Clearly, Israel’s military expansionism and aggressive strike-first military doctrine have played a major role in triggering these conflicts, but wars are by definition not a unilateral game. If the Arab mukhabarat states were essential in providing stability in the region, it is indeed very difficult to explain the persistence and protractedness of the Arab-Israeli conflict. Anyone who has studied official regime-sponsored Arab media in the past cannot have missed to notice that anti-Israeli warmongering was a very common staple in the populist propaganda of Arab autocrats.

  • Des nouvelles du fascisme israélien :

    Une autre victime de la guerre d’Israël : le droit à l’éducation des Palestiniens
    Aimee Shalan et Samer Abdelnour, Al Shabaka, le 1er août 2014
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article14853

    Imagine you are a Palestinian academic or a student
    Nazmi Al-Masri, Mondoweiss, le 12 août 2014
    http://mondoweiss.net/2014/08/palestinian-academic-student.html

    B’Tselem perd l’agrément pour accueillir des citoyens souhaitant y effectuer un service civil
    Gili Cohen, Haaretz, le 14 août 2014
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2014/08/19/btselem-perd-lagrement-pour-accueillir-des-citoyens-souhaitant-

    Gaza : Haaretz dénonce « une chasse aux sorcières »
    Tribune de Genève, le 16 août 2014
    http://www.tdg.ch/monde/Gaza-iHaaretzi-denonce-une-chasse-aux-sorcieres/story/29535318

    Le fascisme atteint un nouveau sommet en Israël. Interview de Zeev Sternhell
    Gidi Weitz, Haaretz, le 17 août 2014
    http://www.protection-palestine.org/spip.php?article13076

    • Let’s stop using the terms ‘fascism’ and ‘democracy’ from now on | +972 Magazine
      http://972mag.com/lets-stop-using-the-terms-fascism-and-democracy-from-now-on/95649

      There are many words that have a tighter link to Israeli political culture and to the Israeli experience which we should be using when we want to communicate political messages, even negative ones. (...)

      (...) discrimination, violence, racism (...) cannot be reduced to an attack exclusively against the political Right; they carry a broader political and social significance than that. (Perhaps this is precisely why people prefer to shout “fascists,” as it suggests that the target is right wing.)

      (...)

      The word “democracy” is problematic in yet another way. The call to “defend democracy” assumes there is something to defend, and that this something is in danger. This observation is entirely unique to the Zionist Left . The Palestinians in the occupied territories can hardly be expected to feel that there is a democracy worth defending here. Palestinians citizens might have their doubts too. (As MK Ahmed Tibi memorably put it: “Israel is Jewish and democratic. Democratic for the Jews and Jewish for everyone else.”)

      #insupportable #gauche_sioniste

    • C’est dur a lire, prétentieux, et le propos c’est juste deux mecs qui ne veulent pas se prendre la tête avec les demandes faites par la « minorité » femme et continuer de traiter les flics de putes sans se faire emmerder par des féministes. Tout ca enrobé dans des référence péteuses pour bien avoir l’air de parler du haut de leurs couilles.
      #insupportable #non-mixité

    • Contexte : une affiche féministe avertit les camarades que s’ils continuent à proférer des injures sexistes aux flics sur les barricades, il ne devront pas s’étonner de recevoir une pierre derrière la tête.

      L’entretien (non contradictoire) défend au fond une seule et unique idée : il ne faut pas (se) censurer car la parole invente à chaque fois sa forme, et relève au final de ce qu’on chérit le plus au monde : la poésie et la liberté. En m’interdisant d’insulter à ma guise, vous révélez le flic qui sommeille en vous.

      Or, ce qui est critiqué me semble-t-il, ce n’est pas la liberté et la poésie de l’insulte, mais son indigence et son systématisme dans l’emploi d’expressions discriminatoires.

      Tous les mots, y compris les mots en question, peuvent être (et sont) employés pour l’humour, la poésie, la liberté, le retournement, et l’insulte — mais c’est le fait de ne défier le flic qu’à travers ces mots qui pose problème, et de ne le faire qu’à travers ces mots-là qui relève du sexisme.

      ☆ ☆ ☆

      Sur le politiquement correct comme repoussoir, ce texte de Philippe Mangeot chez @vacarme a peut-être un peu vieilli (1997), mais il s’applique assez bien ici :

      puritanisme, censure, dogmatisme, dictature des minorités, réduction de toute forme de singularité à une loi communautaire, écrasement du devenir minoritaire sous un fantasme de pouvoir et de normalité. L’inventaire est fait d’avance et récité par coeur. Dites « politiquement correct », ce paysage surgit instantanément : il a été élaboré dans les colonnes de tous les journaux, de droite comme de gauche. Il est immédiatement répulsif.

      http://www.vacarme.org/article77.html
      http://www.vacarme.org/article78.html

    • Super cette émission @intempestive et pour celle rapporter par @rastapopoulos sur « lafâm de Zad » j’ai pas réussi à l’écouter en entière.
      C’est trop moche aussi bien dans le contenu que dans la manière de le dire.

      J’ai bien aimé l’optimisme des féministes de Radio Canut quant elles disent que la remise en cause de la langue hétero-patriarcale est une chance, un bienfait, une opportunité de renouveler la poésie, et d’étendre la liberté d’expression.

    • @mad_meg

      On ne peut pas dire que cette disqualification d’emblée ...

      C’est dur a lire, prétentieux, et le propos c’est juste deux mecs qui ne veulent pas se prendre la tête avec les demandes faites par la « minorité » femme et continuer de traiter les flics de putes sans se faire emmerder par des féministes. Tout ca enrobé dans des référence péteuses pour bien avoir l’air de parler du haut de leurs couilles.

      ... soit très porteuse.

      Dur à lire je ne vois pas bien où est la difficulté, c’est pas limpide à toutes les lignes, mais ce n’est pas incompréhensible loin s’en faut, c’est juste aussi que les idées qui y sont développées ne sont pas de simples opinions, alors forcément il y a argumentation.

      prétentieux je pense au contraire qu’il est assez agréable de lire des personnes réfléchir tout haut et penser que l’on peut réfléchir avec eux, sans verser dans la vulgarisation systématique et les simplifications fautives inévitables en pareil cas.

      Je crois que le propos ce n’est précisément pas juste deux types...

      Quant aux références péteuses et les couilles des susdits, inutile d’aller si loin, on n’aura compris que vous n’êtes pas en parfait accord avec ce qui y est dit, tout du moins ce que vous en avez compris.

    • @Philippe_De_Jonckheere
      Pour les péteux et les couilles, je trouve que j’ai été sobre. Le machisme ca me met vite en colère. J’insiste deux hommes qui s’entretiennent entre hommes d’une question qui concerne les femmes et de prendre à la légère les revendications féministes (en les traitant au passage de facho et de flic) c’est des paternalistes, soit des couilles péteuses en langue poète.

      Leur revendication de poésie et d’usage libre des mots, c’est le droit de pouvoir continuer à blesser des personnes déjà blessées et qui ont fait la demande explicite de ne plus être blessées à nouveau.

      Si ils sont si libres qu’ils le prétendent avec les mots, pourquoi utiliser leur liberté pour continuer à blesser des personnes qui leur ont déjà fait savoir qu’elles étaient mal à l’aise avec ce choix de vocabulaire ?
      C’est pas comme si on était face à deux personnes en manque de mots, d’imagination ou de créativité. Ils n’ont pas d’excuse pour camouflé leur machisme.

      "Il y a un moment où il faut sortir les couteaux. C’est juste un fait. Purement technique. Il est hors de question que l’oppresseur aille comprendre de lui-même qu’il opprime, puisque ça ne le fait pas souffrir : mettez vous à sa place. Ce n’est pas son chemin. Le lui expliquer est sans utilité. L’oppresseur n’entend pas ce que dit son opprimé comme langage mais comme un bruit. C’est la définition de l’oppression [....] L’oppresseur qui fait le louable effort d’écouter (libéral intellectuel) n’entend pas mieux. Car même lorsque les mots sont communs, les connotations sont radicalement différentes . C’est ainsi que de nombreux mots ont pour l’oppresseur une connotation-jouissance, et pour l’opprimé une connotation-souffrance.
      Christiane Rochefort
      http://lmsi.net/Rupture-anarchiste-et-trahison

      sur ce bonne nuit.

    • Bon, je découvre cette série de commentaires en rentrant chez moi, perplexe, me demandant ce que je dois faire de toutes ces demandes — au fond — de typologies ... Je reviens d’un chantier collectif intense où il ne vient à l’idée de personne de demander à qui tient le tourne-bille dans la journée s’il est légitimement bûcheron, ni à qui parle d’Aristote le soir à la table commune s’il est légitimement philosophe. C’est bienvenu, car il s’agit souvent de la même personne, qui peut aussi bien m’accompagner au tango le lundi et m’aider à écorcer les troncs le jeudi. Son sexe est évidemment indifférent dans toutes ces activités. J’ai donc un peu l’impression d’avoir dérapé dans une grosse flaque de civilisation huileuse à mon retour.

      Devrais-je essayer de répondre dans le détail ? Voyons ... Il y a par exemple, là, des guillemets autour d’une phrase « la langue ne peut pas être sexiste en soi, tout comme elle ne peut pas être philosophe en soi »
      Aaah, les guillemets qui font tellement vrai, tellement Ouest-France, tellement proche de la vraie bouche de ceux qui causent. . Je l’ai cherchée, cette phrase. Si elle n’existe pas, les guillemets ne sont qu’une tentative d’intimidation. Mais la phrase incriminée est en fait celle-ci : « On peut dire ça très clairement ; on a ausculté autrefois les langues comme essentialisées par des types de rapports au monde, on a pu dire de certaines langues qu’elles philosophaient mieux que d’autres... Non, ce ne sont pas les langues qui philosophent, ce sont les sujets qui philosophent ; ce ne sont pas les langues qui mentent, ce sont les sujets qui mentent. Une langue n’a pas le pouvoir de mentir ni de philosopher...ni d’être sexiste ». Pour critiquer l’articulation entre les termes de la relation, il ne serait pas inutile de s’y tenir au lieu d’en trousser une autre. Mais il est plus simple d’abattre un dragon, qui n’existe pas, qu’un chien présent.

      Aborder par le concept ? Difficile d’une façon générale de répondre à des fantasmes ; notre discours serrait post tiqqunien par exemple. Ah ? Mais d’’où ? D’un point de vue historique, il serait fatalement pré tiqquniennes, jusqu’à la fossilisation même, Jean-François et moi (nous sommes des sortes de vieux) ayant une dizaine d’année de décalages avec les camarades forgés à Tiqqun dans nos travaux et notre socle de formation intellectuelle. Ce n’est pas anecdotique dans les rapports théoriques car c’est là, surtout, que se dessine un ligne franche de rupture : nous nous nous en prenons précisément à la pensée essentialisante de la langue et à la pensée purement historique du langage ce qui place, par exemple, Heidegger (socle tiqqunien s’il en est) du côté le plus violemment opposé à nos propositions (Benveniste, Meschonnic). Mais il est précisé ici que la conversation n’est pas « linguistique », en ces termes « c’est beaucoup d’honneur de faire comme si la discussion était linguistique, puisque c’est loin d’être l’objet (c’est une de mes compétences, je l’aurais reconnue) ». Faut-il en rire ? Sans doute. Que le travail de Savang soit encore peu connu, c’est un fait. Que ses positions (comme celles de Meschonnic) ne fassent pas l’unanimité, c’est une certitude. Qu’on lui dispute un de ses objets, c’est juste bête.
      Tout le reste est à l’avenant ; pur fantasme. À aucun moment je n’ai eu l’impression qu’il m’était dit quelque chose, qu’on me parlait, qu’on parlait de cet entretien, mais qu’on parlait juste un peu au-dessus de mon épaule, en s’adressant à un ectoplasme désiré, formalisé avant même que d’être apparu ; un fantasme, donc.
      Outre les remarques sexistes qui accompagnent les commentaires à propos de « deux mecs » qui donneraient des leçons (des leçons, vraiment ? De quelle autorité nous réclamerions-nous ? Il est vrai qu’on nous suppose, en terme d’autorité, pas assez grammairiens, pas assez agrégés - donc pas assez profs — : quelle ironie, pour qui voulait se soustraire aux rapports de force, que d’y recourir argumentairement de façon aussi grossière) , ça imagine sec notre arrière-plan et notre connexion au monde, aux actions, etc.
      Les trois camarades femmes qui nous accompagnaient dans la caravane de radio-klaxon, et qui furent demandeuses directement de cette émission n’ont pas souhaité prendre la parole en tant qu’elles étaient partie prenante dans ces problèmes actuels qui, contrairement à ce qui est supposé et dit ici, n’opposaient pas hommes et femmes, mais diverses formes de féminisme. Ces camarades ne manquent jamais de coffre ni de présence aux assemblées, et sont écoutées avec attention, considération, quand elles nous parlent, où qu’elles parlent. Il faut dire que je vis dans une partie du monde dans laquelle parlent ceux qui ont envie de parler, quand ils ont envie de le faire. C’est un monde bienveillant, débarrassé d’à peu près toutes les saloperies de rapports et de fixations que je retrouve là, intacts, bellicistes et niais, bourrés de complexes intellectuels en prétendant les avoir tous surmontés, et désireux de maintenir les séparations si précieuses pour continuer à être, ensemble, des brutes hostiles. Ça va bon sang me faire un putain de bien d’aller me laver de tout ça à la sueur des camarades (dotés d’un nombre indescriptible de sexes ne figurant à aucun catalogue à ce jour) et de reprendre un petit bain d’humanité bienveillante sur les chantiers en hissant des bordels à queue de poutres et en bavardant de ce putain d’Hugues de Saint Victor.

      S’il fallait reprendre point par point toutes les conneries que j’ai lues ici, j’y perdrais très inutilement mon temps ; pourquoi inutilement ? Parce que notre travail a été jugé avant même que d’être lu, et bien avant qu’on ait tenté d’en comprendre la position singulière. Il était entendu, d’emblée, que les deux-mecs parlaient de là, et pas d’ici. Je n’ai donc rien à dire de plus à qui ne veut, au fond, rien entendre.

    • Peut-être (peut-être !) que tout (ou une partie) n’est que « pur fantasme » justement parce qu’il n’y a aucun exemple concret durant toute l’émission (ni dans cette réponse). Alors même que les théoriciens name-droppés — Meschonnic n’étant pas le dernier ! — n’en sont pas avares, eux. Le fantasme ne sortirait donc pas de nulle part.

      Théoriser des choses, c’est tout à fait bien, aucun problème, mais ça se fait en relation avec la vie de tous les jours, et à mon avis d’autant plus lorsqu’on part d’une situation conflictuelle très précise : on se doit de faire le lien entre nos théories et la situation de départ de la discussion. Sinon ça ressemble fortement à du vent, malheureusement, et on peut alors difficilement se plaindre de se faire accuser de péteux.

      Ici il s’agissait apparemment d’au moins deux choses :
      1) les demandes de ne plus utiliser des insultes qui blessent certaines des personnes du même côté de la barricade que nous lorsqu’elles sont prononcées ;
      2) la volonté de rendre plus neutre (et non pas vraiment « féminiser », en fait) certains mots lorsqu’on parle d’un groupe hétérogène.

      Ça ne me choque pas que certains (plus souvent certains que certaines, parmi les gens que j’ai entendu ou lu sur ce sujet) argumentent contre cela. Mais encore faut-il qu’un lien soit fait entre les arguments théoriques et ces points précis.

      Mais peut-être est-ce vain…

  • Barack Obama aux Européens : « Notre liberté n’est pas gratuite »
    http://www.lemonde.fr/international/article/2014/03/27/barack-obama-donne-une-lecon-de-puissance-et-de-morale-aux-europeens_4390365

    #Insupportable.

    Le président américain a aussi dénoncé toutes les équivalences « absurdes » avancées par Moscou. Non, le Kosovo ne peut pas justifier la Crimée. « L’OTAN n’y est intervenue qu’après que les habitants y ont été brutalisés et tués pendant des années. » L’Irak « symbole de l’hypocrisie occidentale » ? M. Obama s’est pratiquement trouvé à défendre son prédécesseur : « Même en Irak, l’Amérique a cherché à passer par le système international. » Et, a-t-il ajouté, « nous n’avons pas revendiqué ou annexé le territoire irakien ». « Nous n’avons pas accaparé les ressources pour notre propre profit. »

    Obama Suddenly Defends U.S. Invasion of Iraq—Mainstream Media Shrug
    http://www.thenation.com/blog/179045/obama-suddenly-defends-us-invasion-iraq-mainstream-media-shrug

    In fact, the U.S. forced Iraq to privatize its oil industry, which had previously been under the control of the state, and further required that it accept foreign ownership of the industry. The effort to transfer the resources to the control of multinational, largely U.S.-based oil companies has been hampered in part by the decade of violence unleashed by the invasion.

    (...)

    Ross Caputi and Matt Howard, members of the Iraq Veterans Against the War, spoke with Common Dreams by phone and said that President Obama’s argument was both weak factually and morally. As it happens, both IVAW members were together in Washington, DC on Wednesday, organizing an evening event focused on the devastating impacts of the Iraq War—both for veterans like themselves and the Iraqi civilian population—when they heard news about what the president had said.

    “What President Obama said is false,” said Caputi. “The U.S. did not attempt to work within the international system. We acted unilaterally, without the approval of the UN Security Council.”

    “We went from one lie, which was weapons of mass destruction, to another lie which was liberation and freedom,” said Howard. Citing the devastation cited by Iraqi civil society allies, especially women in the country, he continued, “This idea that Iraq is somehow better off or that the U.S. waged a so-called ’Good War’ is ridiculous.”

    • #insupportable

      Ou pourquoi et comment votre méconnaissance peut nuire à la santé de vos enfants.

      – Créez une adresse email avec votre enfant à laquelle vous devez pouvoir accéder, sans abuser.

      Créez-vous un compte Facebook,

      N’hésitez pas à identifier les amis de votre enfants et surveiller leurs publications

      se prendre en photo, oui, mais pas 15 fois par jour

      Se mettre aux réseaux sociaux pour protéger ses enfants…

      Pour protéger la santé de leurs enfants, on peut aussi conseiller aux parents d’acheter un téléviseur si ils ont oublié d’être dans le move, de se mettre tout de suite une puce RFID sous la peau, suivre les déplacements de leurs enfants en GPS, ou d’installer la vidéosurveillance dans la salle de bain ? Surtout n’oubliez pas de prendre la carte biométrique de la cantine. On croit rêver !

      #colère #propagande

    • Comment protégez vos enfants de Sophie Gironi ?

      Blonde outside, geek inside — Marketing & Strategy consultant, teacher & speaker — Founder @teambleekin, coworker @LesSatellites — sometimes on @RadioMonacoFM

    • Bonjour @sophiegironi, bienvenue sur seenthis

      Il me semble pourtant avoir été claire en reprenant des extraits de votre texte. Je réprouve les arguments que vous professez qui participent de la campagne des technologies de surveillance lancée par le Gixel il y a une dizaine d’années, cf le petit livre bleu du susnommé.

      Les parents qui ne veulent pas que leurs enfants soient sur les réseaux sociaux n’ont pas à être rééduqués ! Que l’on soutienne plutôt ceux qui les y laissent à se questionner sur les technologies de surveillance.

    • Je suis assez d’accord avec vos propos dans l’absolu.
      Sauf que je suis assez en contact avec la réalité, étant parent d’une pré-ado et enseignant dans différentes université.
      Aujourd’hui, le grand public (je ne parle pas des gens comme vous et moi qui sommes conscients des enjeux liés à la confidentialité et à la protection des échanges) est totalement inconscient des dangers liés au web et, pour autant, leurs enfants et leurs ados y sont, c’est un fait. Et s’ils n’y sont pas, ils subissent parfois les conséquences du manque de discernement d’autres ados, tout aussi peu éduqués.

    • Oups, envoi involontaire...
      Donc, disais-je, pour moi, l’un ne va pas sans l’autre.
      Oui, il faut inciter le grand public à s’interroger sur les enjeux, la surveillance, les problèmes de confidentialités... mais tous ne sont pas forcément ni intéressés ni en mesure de les entrevoir. A ceux-là, j’essaie de donner des clés pour éviter qu’une génération d’ado toute entière subisse le manque de discernement de leurs parents largués.
      Vous n’êtes juste pas dans la cible :)

    • @sophiegironi,
      vous vous enferrez.
      Je n’envisage effectivement pas mes interlocuteurs ou lecteurs en tant que « cibles » et n’adapte mon discours aux présupposés que j’ai d’eux.

      Je ne suppose pas que les parents qui sont réfractaires aux réseaux sociaux soient inconscients des dangers qui y sont liés, le seraient-ils, les pousser à s’inscrire sur facebook pour surveiller leurs progéniture me parait très contestable d’autant que les enfants échapperont rapidement à ce contrôle futile.

      Je vous accorde cependant que la responsabilité d’éducation et de réflexion que les adultes ont envers les enfants passe par la connaissance des outils qu’on leur laisse utiliser (ou subir).

      PS seenthis vous permet de corriger ou effacer vos messages si besoin.

    • "fouillez les réglages de confidentialité, pour comprendre les possibilités de la plateforme et mieux sensibiliser votre enfant à la nécessité de protéger ses publications. N’hésitez pas à identifier les amis de votre enfants et surveiller leurs publications : beaucoup d’ados ne savent pas protéger leur profil et ce sera pour vous l’occasion de voir ce qui “buzze” (et de constater les lacunes orthographiques de toute une génération, mais c’est un autre débat)."

      Entre nous c’est beaucoup plus le fait des adultes que des ados. A lire aussi http://www.theguardian.com/technology/2013/dec/27/facebook-dead-and-buried-to-teens-research-finds